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 D.A.T

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yak
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yak


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MessageSujet: D.A.T   D.A.T Icon_minitimeMar 10 Juil - 0:52

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yak
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MessageSujet: Re: D.A.T   D.A.T Icon_minitimeMar 10 Juil - 1:00

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Zoubir8
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MessageSujet: Re: D.A.T   D.A.T Icon_minitimeDim 15 Juil - 11:48

Un article un peu critique mais instructif.


L’ANP organise une opération de com’ à la SAFEX
une exposition à défaut d’un défilé militaire

le 15.07.12 El Watan

D.A.T Actu2_1088425_465x348
© Sami. K

Parmi les attractions de cet expo de l’ANP, cet avion de chasse...
Pour la célébration du 50e anniversaire de l’indépendance, l’ANP
organise du 7 au 19 juillet une grande exposition à la Safex (Pins
maritimes). Le dernier défilé militaire remonte à 1989. Une grande
parade militaire devait être organisée en 2004 à l’occasion du
cinquantenaire de la Révolution. Elle a été annulée à la dernière
minute.

Un débarquement militaire impressionnant a été observé ces derniers
jours aux Pins maritimes, à l’est d’Alger. Il ne s’agit pas d’une
intervention musclée de l’armée ni pas même d’un exercice de manœuvres
militaires, mais d’une opération de com’. En effet, celle que l’on
surnomme à tort «la Grande Muette» tient salon à la Safex. Une expo qui
s’inscrit dans la lignée des célébrations du cinquantenaire de
l’indépendance, et qui s’étale du 7 au 19 juillet sous le slogan
«Mémoire et réalisations». Toutes les directions du MDN (à quelques
exceptions près) y sont représentées ainsi que les principales
structures de l’ANP : les trois commandements militaires (forces
terrestres, forces aériennes et forces navales), Garde républicaine,
Gendarmerie nationale, direction du service national, direction de la
communication et de l’orientation (DCIO), défense aérienne du territoire
(DAT), intendance, transmissions, sport militaire, etc. A quoi
s’ajoutent les grandes écoles de formation : l’Académie militaire
interarmes de Cherchell, les écoles des cadets de la nation ou encore
l’Ecole militaire polytechnique.

Dans ce décor martial, une entité brillera particulièrement par son
absence : le mythique Département du renseignement et de la sécurité
(DRS). Oui. Nous avons beau chercher, point de stand des «srabess».
Aucune trace visible de la fameuse «sécurité militaire». Et point de
«renseignement et sécurité» dans le programme distribué à la presse.
«Vous savez, ce n’est pas la seule direction qui manque au tableau»,
glisse d’un sourire amusé le commandant Rachid, officier émargeant à la
Direction de la communication, de l’information et de l’orientation
(DCIO). «Il y a par exemple la direction du personnel qui n’est pas
représentée non plus.» «Sincèrement, qu’est-ce qu’il va présenter ? (le
DRS, ndlr)», dédramatise-t-il en déroulant un argumentaire en pointillé.
Il convient de souligner que ce n’est pas la première fois que l’ANP
organise une manifestation de ce type, elle qui n’a eu de cesse de
multiplier les gestes de communication grand public : «Certes, par sa
dimension et par sa taille, cette exposition revêt une importance
particulière dans la mesure où il est question de la célébration du
cinquantenaire de l’indépendance», indique le colonel Omar Serhane du
service de presse, avant d’ajouter : «Mais ce n’est pas le premier
événement de ce type que nous organisons. Nous avons toujours fait des
choses en direction du public. Nous avons régulièrement organisé des
journées portes ouvertes, des séminaires, des visites guidées dans nos
différentes unités et nos grandes écoles, et ce, dans toutes les
régions. Sans oublier les expositions qu’abrite le Musée central de
l’armée.» Dès lors, il est aberrant, appuie-t-il, de continuer d’user de
l’appellation «Grande Muette» à l’endroit d’une institution qui ne rate
pas une occasion pour marquer sa présence, et qui fait de plus en plus
dans l’événementiel avec force étalage de sa puissance de feu.

Un parc d’attractions bariolé

Sur fond de chants patriotiques, l’expo bat son plein. Sur des écrans
géants sont diffusées des images de fantassins aguerris se livrant à des
exercices tactiques. Pendant ce temps, une colonne de gardes communaux
tente, en ce lundi 9 juillet, de gagner Alger à pied depuis Blida. Ils
seront violemment dispersés par la police et une partie de leurs
collègues sévèrement bastonnés à l’entrée de Birkhadem. Mais sous les
chapiteaux de la Safex, l’heure est à la fête. Exit les sujets qui
fâchent…
Aux abords du pavillon central sont exposés divers engins de combat et
autres véhicules de transport de troupes : des chars (T55, T72), des
BTR-80 amphibie, des camions-radars, des stations mobiles de
transmissions. Un large parachute est déployé. Deux avions sont
également exhibés, des appareils d’entraînement militaire : un avion de
chasse L-39ZA Albatros, et un autre, baptisé «Safir-43M», réalisé par
l’Entreprise de construction aéronautique de Tafraoui (lire encadré).

En parlant aéronefs, voici un hélico de la police nationale qui se pose
carrément sur l’esplanade principale. Au stand réservé aux forces
aériennes, un jeune officier nous convie à admirer une brochette de
missiles, dont un RVV-AE (de fabrication russe) particulièrement
redoutable. «Nous sommes équipés de missiles ultramodernes qui nous
assurent une bonne couverture aérienne. L’armée algérienne est à jour.
Notre pays est bien protégé», lance, confiant, le jeune officier. Même
si l’affluence est loin d’égaler celle de la Foire internationale
d’Alger ou du Salon de l’automobile, le public est au rendez-vous. Le
tram nouvellement mis en marche déverse des flots de visiteurs à la
station «Foire d’Alger».

Emerveillés par les engins bariolés et tous ces gadgets grandeur
nature, les enfants s’en donnent à cœur joie, transformant la foire de
l’ANP en parc d’attractions. «Nous, on connaît les dessous de tout ça.
On sait que le pays va à la dérive. Mais pour eux, c’est important.
C’est bien que l’armée fasse cette expo. Les enfants ont besoin
d’enchantement. Ils ont besoin de symboles forts, comme nous sous
Boumediène. Ils ont besoin de sentir qu’ils ont un Etat fort qui veille
sur eux», observe un cadre de la CNEP. Les jeunes sont tout aussi
excités. Ils montent sur les chars, envahissent la tourelle des blindés,
s’adonnent à des poses cocasses en roulant les mécaniques.
Une famille prend des photos devant un camion «moustache» de la
Gendarmerie nationale. Paradoxe saisissant entre cette ambiance bon
enfant et les rigueurs de la vie militaire. Si bien que, sous ses
oripeaux kaki, et en dépit de tout cet attirail de guerre, la Safex
ressemble à tout sauf à une caserne.

Femmes officiers et militaires «cool»

En flânant dans les allées de ce «Salon de l’ANP» (officiellement, on
parle d’exposition), l’impression générale qui se dégage est celle d’une
armée fortement soucieuse de soigner son image auprès du public. Dans
le dernier numéro de la revue El Djeich (hors-série de juillet 2012), le
ministre de la Défense délégué, le général Abdelmalek Guenaïzia, écrit :
«La modernisation de nos forces armées devait nécessairement
s’accompagner d’efforts dans le sens de la promotion et de la
communication (…) dans le but de faire connaître au public, toutes
catégories confondues, l’Armée nationale populaire (…), une démarche
visant à permettre à l’institution militaire de se rapprocher du
citoyen.» Elément-clé de ce dispositif marketing : les ressources
humaines.

Ainsi, nous aurons remarqué que dans chaque stand, l’ANP a mobilisé ses
meilleures compétences. Capitaines, commandants, lieutenants-colonels
sont ainsi chargés d’expliquer au public les subtilités de leur métier.
Parmi eux, une flopée d’ingénieurs hautement qualifiés, diplômés des
plus grandes écoles. Il n’échappera pas à l’observateur la présence
également de beaucoup de femmes officiers. Les élites en uniforme se
veulent «cool», ouvertes, cultivées, polyglottes. Nos interlocuteurs se
montrent disponibles, loquaces, avenants. Ils ont le sourire facile et
un sens aiguisé de la répartie. C’est l’autre facette d’une armée
souvent réduite aux manigances d’une poignée de généraux qui font la
pluie et le beau temps. A la Safex, ce ne sont plus les généraux
«décideurs» qui émergent, mais une armée de cadres de haute qualité,
ceux-là mêmes qui assurent la pérennité et le bon fonctionnement de la
plus importante institution du pays.

«Nous sommes, certes, la colonne vertébrale de ce pays, mais nous ne
voulons pas être les seuls sur la scène. Nous souhaitons être
accompagnés dans cet effort par la société civile», confie un officier
supérieur en martelant que «l’armée s’est retirée du champ politique».
Les spin doctors de cette opération séduction entendent, au premier
chef, faire passer un message dont les maîtres mots sont :
professionnalisation, modernisation, formation. Cela ressort clairement
dans l’architecture de l’expo, où une large place est accordée aux
écoles de formation mais aussi aux entreprises affiliées au MDN. Car
l’ANP version 2012 se veut industrieuse et entrepreneuse, comme
l’illustre le complexe Base centrale logistique (BCL) de Beni Merad qui
se targue d’être le fleuron de l’industrie militaire (voir encadré)
ci-contre.

Pas de parade militaire depuis 1989

Interrogé sur les répercussions sécuritaires du nouveau contexte
régional induit par la situation au Mali et le déferlement des armes
libyennes, le commandant Rachid du DCIO se contente de cette réponse
lapidaire et qui, néanmoins, en dit long : «Quand vous voyez tout ça,
est-ce que vous vous sentez en sécurité ou pas ? C’est ça notre
réponse.» Question purement spéculative : faut-il comprendre qu’à
défaut d’une parade militaire, l’armée s’est contentée d’une expo ? Une
certaine tradition voudrait, en effet, que les grandes célébrations
nationales se fassent avec des défilés militaires auxquels sont invités
généralement les grands de ce monde. La dernière parade militaire en
date, convient-il de le rappeler, remonte à… 1989.

Un défilé militaire devait être organisé à Alger le 1er novembre 2004 à
l’occasion du cinquantenaire du déclenchement de la lutte armée. Mais à
la dernière minute, un communiqué de la présidence de la République en
annonçait l’annulation en des termes sibyllins, sans en fournir les
vraies raisons : «Les manifestations prévues pour la célébration de ce
50e anniversaire du 1er Novembre se devaient de répondre par leur éclat à
l’importance que les Algériens veulent donner à un événement qu’ils
placent au centre de leur histoire. Cette commémoration devait comporter
également un défilé militaire pour renouer avec une tradition qui a été
abandonnée depuis plus d’une décennie. Le président de la République,
Abdelaziz Bouteflika, a cependant décidé d’annuler ce défilé militaire,
pour ne retenir, dans le programme des commémorations, que les
manifestations civiles, appelant ainsi les Algériens à témoigner de
cette manière leur attachement à la paix et à une vie paisible dans leur
pays et avec le reste du monde.»
Pour cette fois-ci, il n’y a même pas eu de communiqué. Ni de discours à
la nation. Juste un somptueux (et somptuaire) feu d’artifice…

Une industrie militaire en plein boom

D.A.T 9k=

Dans les stands de la direction centrale du matériel, le complexe BCL
(Base centrale logistique) de Beni Merad occupe une place de choix.
«Notre principale mission est la réparation, la rénovation et la
modernisation du matériel de combat. Il s’agit surtout du matériel
lourd», explique le directeur commercial de la BCL, le colonel Sahraoui.
En fin connaisseur de sa gamme de production, lui, le diplômé de
l’Enita, ingénieur en conception et fabrication mécanique, le colonel
Sahraoui dira : «Nous maîtrisons tous les procédés de fabrication
mécanique. Nous avons un atelier de fonderie, une forge, un atelier de
traitement thermique et un atelier d’usinage.» A l’appui de cet
inventaire, il nous montre, par écran digital interposé, des chars
complètement rénovés par la BCL après avoir été entièrement désossés.

«Cela nous permet d’économiser des milliards de dollars», argue notre
guide, le commandant Rachid. Le colonel Sahraoui précisera dans la
foulée que la BCL ne se limite pas au «marché» militaire et compte
nombre de clients civils, dont Sonatrach et Air Algérie. Un imposant
rotor fabriqué pour Sonatrach illustre cette tendance. D’autres pièces
d’acier également exposées attestent de cette diversification de l’offre
BCL. Une brochure vante la fabrication de pièces mécaniques pour divers
secteurs (hydrocarbures, travaux publics, bâtiment, sidérurgie…).

«Depuis 2010, la BCL a un statut d’EPIC (établissement public à
caractère industriel et commercial, ndlr). Et même si nous sommes sous
la tutelle du MDN, nous avons notre autonomie de gestion et notre
autonomie financière. Nous obéissons au code des marchés publics comme
toutes les entreprises», souligne le colonel Sahraoui. La BCL emploie
entre 2500 et 3000 personnes, des civils dans leur majorité. Outre les
pièces de fonderie lourdes, le colonel Sahraoui nous apprend que
l’entreprise qu’il représente s’est même investie dans le champ
artistique en accompagnant des sculpteurs dans la réalisation de statues
de bronze. C’est le cas d’une grande statue à l’effigie de l’Emir
Abdelkader, et qui trône sur une place publique de Mascara, ou encore un
buste à la gloire du chahid Ahmed Zabana.

Dans le même pavillon expose une autre entreprise militaire,
spécialisée celle-là dans la réhabilitation du parc roulant de l’ANP. Il
s’agit de l’Etablissement de rénovation des matériels automobiles
(ERMA), basé à Dar El Beïda. Des modèles réduits de BTR 60 et BTR 80
(véhicules de transport de troupes) sont exposés. Une tourelle de char
remise à neuf témoigne de la qualité du travail fourni. «Tous les vingt
ans, en moyenne, un engin est soumis à une révision générale. Mais nous
avons pour règle de faire en sorte que cette rénovation n’excède pas 40%
du prix initial d’achat de l’engin en question», explique un
lieutenant-colonel de l’ERMA. «Nous avons des véhicules qui datent de
l’époque de Boumediène et qui sont encore en marche», se félicite-t-il.

Interrogé sur le nombre d’engins endommagés dans le feu de la lutte
antiterroriste, notre interlocuteur réplique, évasif : «Nous, nous
obéissons à un plan de charge fixé par le MDN. Nous faisons notre
travail normalement.» Et le commandant Rachid de préciser : «La mission
principale de la Direction du matériel est de faire en sorte que les
engins soient prêts à tout moment et qu’ils ne subissent pas de
dégradation.» L’enjeu, on l’aura compris, est aussi de ne pas dépendre,
en termes de service après-vente, de l’expertise étrangère.





Firnas et Safir, deux avions «made in Algeria»


Au pavillon du Commandement des forces aériennes, un aéronef «made in
Algeria» sort du lot. Il est fièrement exhibé au stand de l’Entreprise
de construction aéronautique (ECA). Il s’agit du modèle Safir-43M. Basée
à Tafraoui et placée sous la tutelle du MDN, l’ECA est passée désormais
au statut d’EPIC (décret présidentiel du 27 avril 2009). L’entreprise a
deux modèles d’avion à son actif. Le Firnas-142 d’abord, fortement
inspiré de son ancêtre tchèque, le Zlin-142, et le Safir (43M et 43E). A
la fin des années 1980, il était question de commencer par le montage
d’avions de type Zlin-142.

A cet effet, le ministère de la Défense nationale a créé en 1993 l’ECA.
Objectif : jeter les bases d’une industrie aéronautique. «Ces avions
servent surtout à l’entraînement des élèves pilotes», explique un
capitaine exerçant dans cette entreprise en indiquant que plusieurs
appareils ont déjà été livrés au MDN. «Maintenant, nous sommes en
négociation avec le ministère de l’Agriculture pour le modèle Safir 43E
qui peut être utilisé pour l’épandage des engrais et dans la lutte
antiacridienne. Il peut traiter 300 hectares par sortie en 40minutes»,
ajoute cet ingénieur en aéronautique. Notons que l’ECA compte également
dans son portefeuille clients de nombreux aéroclubs, dont elle assure la
maintenance de leurs aéroplanes.


Des bureaux de recrutement dans toutes les wilayas

Dans la foulée de sa politique de proximité, l’ANP procède depuis
quelques années à un maillage étroit de son réseau de bureaux et centres
de recrutement. «Avant, les habitants des wilayas isolées, notamment
celles du grand Sud, éprouvaient beaucoup de difficultés pour accomplir
les formalités du service national. Certains étaient même privés de la
carte jaune à défaut de pouvoir régulariser leur situation.

Désormais, cela va être possible. Nous œuvrons pour l’ouverture de
nouveaux bureaux de recrutement de façon à couvrir toutes les wilayas»,
affirme un membre de la cellule de presse en marge de l’exposition de
l’ANP à la Safex. A noter que depuis 2009, le nombre de bureaux du
service national (BSN) est passé de 13 à 23. Selon la revue El Djeich,
«plusieurs autres seront ouverts au cours de cette année au niveau des
wilayas de Tipasa, Sid Bel Abbès, Tissemssilt, Aïn Témouchent, Tlemcen,
Naâma, El Oued, Ghardaïa, Jijel, Khenchela, Bordj Bou Arréridj, Guelma,
Skikda et Souk Ahras. Deux autres sont prévus pour l’exercice 2013 à
Mila et Médéa.»


Mustapha Benfodil
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