Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
Sujet: Missilerie Navale Sam 19 Avr - 15:49
Au DSA 2014, la 14e Services Asia Exposition et Conférence Défense a eu lieu à Kuala Lumpur (Malaisie), MBDA souligne deux de ses missiles de supériorité maritime: - Le bloc 3 missile anti-navire Exocet MM40 - Le missile VL MICA surface-air
Stéphane Bertuzzi, responsable des systèmes navals à MBDA, présente l'Exocet MM40 noir 3 et le MICA VL
Anti-Ship armes EXOCET se classe probablement le plus connu de missiles anti-navires du monde. Il est en service avec les principaux marines du monde entier dans ses air, surface et sous-marins variantes lancées.En 2010, le test marine royale malaisienne a tiré un SM39 EXOCET de son sous-marin KD Tunku Abdul Rahman Scorpène. Le missile a été tiré à une profondeur de 55 mètres exploitant un avantage majeur du SM39 qui, contrairement à d'autres de telles armes, ne nécessite pas la sous d'augmenter la profondeur de périscope (et le danger potentiel) avant de lancer l'attaque. Au DSA le stand MBDA présente toute la famille EXOCET y compris un modèle des derniers développements, MM40 Block 3 qui est une arme anti-navire classe 200 km avec une capacité cible de terre littorale ajouté.
Citation :
Anti-Air Défense VL MICA est déjà en service dans ses versions navales et terrestres à avoir été ordonnée par quatre clients à l'exportation. VL MICA est designned pour le point de la marine et de la défense aérienne de zone locale avec une capacité anti-surface. Il est disponible en deux versions radar actif et Candidats IR.VL MICA ont un avantage d'être extrêmement compact en termes d'espace de lanceur nécessaire, leur permettant d'être installées dans un large éventail de l'artisanat de VPO vers le haut.
DR LECTER Admin
Messages : 792 Date d'inscription : 15/05/2011
Sujet: Re: Missilerie Navale Sam 19 Avr - 17:44
Ce missile a donner beaucoup de fil a retordre aux britanniques lors des malouines d'ailleurs
berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
Sujet: Re: Missilerie Navale Sam 19 Avr - 17:49
Merci pour l'info DR LECTER
berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
Sujet: Re: Missilerie Navale Sam 19 Avr - 17:52
La famille Exocet
La suite http://www.netmarine.net/armes/exocet/
berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
Sujet: Re: Missilerie Navale Mer 23 Avr - 17:47
Le Forbin détruit un missile supersonique avec un Aster 30
Tir d'un missile Aster 30 depuis le Forbin
Citation :
Le 4 avril, les frégates de défense aérienne Forbin et Chevalier Paul ont, pour la première fois en Europe, fait face au missile d'exercice GQM-163A Coyote, mis en oeuvre par la société américaine Orbital. Dotée d'un booster, cette cible manoeuvrante, développée pour simuler une attaque de missile antinavire, peut atteindre la vitesse de Mach 2.5 et voler au ras des flots. Elle a été tirée depuis le Centre d'essais missiles de la Direction Générale de l'Armement, basé sur l'île du Levant, dans le Var, et visait un objectif fictif symbolisant une « unité précieuse », de type porte-avions ou bâtiment de projection et de commandement. Les FDA Forbin et Chevalier Paul, conçues pour traiter une menace anti-missile grâce à leurs radars (S-1850 M et EMPAR) ainsi que leur système d'armes principal PAAMS (avec missiles surface-air Aster 15 et Aster 30), avaient déjà réussi, lors d'exercices, à détruire des cibles. Mais jamais encore des mobiles supersoniques représentant aussi bien le comportement d'un missile antinavire.
Citation :
l convenait donc de tester les nouvelles frégates de la Marine nationale dans une situation de défense aérienne de ce genre. L'essai s'est conclu par une réussite. « Le Forbin a intercepté la cible en vol avec son système Aster 30. Le Chevalier Paul a assuré le suivi de la cible et des missiles tirés. Cet essai, mené en collaboration avec la DGA, conforte la capacité de la Marine à assurer la protection de forces à la mer (groupe aéronaval ou groupe aéromobile) face aux menaces de missiles antinavires les plus contraignants. Il constitue, par ailleurs, une première en Europe, aux cours de laquelle les deux frégates se sont préparées puis ont mené à bien un scénario opérationnel complexe, faisant face à une menace supersonique en vol rasant au dessus de l'eau », se félicite la DGA. Compte tenu de la nature de l'armement mis en oeuvre, d'importantes mesures de sécurité étaient en place. Au préalable, la DGA avait mené différentes études (sauvegarde, trajectoire, retombées de débris...) ayant permis de déterminer des zones d'exclusion aérienne et maritime. Pour mémoire, les frégates Forbin et Chevalier Paul, admises au service
actif en 2010 et 2011, embarquent chacune 16 Aster 15 et 32 Aster 3
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
Sujet: Re: Missilerie Navale Sam 26 Avr - 9:34
berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
Sujet: Re: Missilerie Navale Lun 28 Avr - 19:35
berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
Sujet: Re: Missilerie Navale Ven 16 Oct - 16:28
3M14TE
berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
Sujet: Re: Missilerie Navale Ven 16 Oct - 21:52
berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
Sujet: Re: Missilerie Navale Mer 8 Fév - 13:24
[size=48]Les Torpilles[/size]
[size=32]"Une torpille tout le monde sait ce que c'est ?"[/size]
[size=32]"Bon baissez les mains je vais expliquer."[/size]
La TP-62 de Saab Bofors Dynamics AB ( surnommée torpille2000.)
Citation :
Torpille (arme, pas le poisson évidement) :
Arme sous-marine automotrice équipée d'une charge explosive et disposant parfois d'un système de guidage interne qui commande sa direction, sa vitesse et sa profondeur. La forme typique d'une torpille est celle d'un cigare de 6 m de long, d'un diamètre de 50 cm et d'un poids d'une tonne. Les torpilles sont les principales armes d'un sous-marin mais sont également utilisées par des bâtiments de surface (torpilles-missiles de type Malafon, dans la Marine française), ainsi que par des avions torpilleurs ou de lutte anti-sous-marine. Elles sont de plus en plus filoguidées ( un câble de plusieurs millier de mètres les relie au sous-marin permettant ainsi de re-programmer ou re-diriger l'engin selon l'évolution de la cible.).
Les torpilles modernes sont propulsées par la vapeur ou par l'électricité. Les premières ont des vitesses allant de 25 à 45 nœuds, et leur portée va de 4 à 27 km. Elles se composent de quatre éléments essentiels : le cône de charge, la section à air, la section arrière et la section de queue. Le cône de charge est rempli d'explosif (de 181 à 363 kg). Dans une torpille à vapeur, la section à air représente environ un tiers de la torpille et contient de l'air comprimé, ainsi que des réservoirs de carburant et d'eau pour le système de propulsion. La section arrière contient les turbines de propulsion avec les systèmes de guidage et de commande de profondeur. Enfin, la section de queue renferme les gouvernails, les soupapes d'échappement et les hélices. Les commandes d'une torpille électrique sont similaires à celles des torpilles à vapeur, mais la cuve d'air est remplacée par des batteries et les turbines par un moteur électrique. Les torpilles électriques supplantent progressivement les torpilles à vapeur car elles sont plus difficiles à détecter. Elles possèdent des hélices contrarotatives ce qui leur évitent de tourner sur elle mêmes.
la suite
http://sousmarin.chez.com/torpille.htm
berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
Sujet: Re: Missilerie Navale Mer 8 Fév - 13:36
Les Torpilles allemandes (1939-1945)
Citation :
En septembre 1939 lorsque l'Allemagne entre en guerre, les U-Boote ont à leur disposition deux types de torpilles: les G7a (ou T I) et les G7e (ou T II). Ces deux torpilles de 53 cm de diamètre et 7 mètres de long emportent une charge explosive de 280 kg. Deux types de mise à feu existent: la plus simple se fait par contact direct avec la cible, la seconde, plus évoluée mais parfois défaillante, se fait par détection magnétique. La T I, avec sa vitesse de 40 nœuds et son rayon d'action de 7,5 km, offre de larges capacités tactiques aux U-Boote. La propulsion est assurée par la combustion de paraffine et d'air comprimé. Ce système de propulsion thermique est en fait un véritable handicap : lors de son trajet vers la cible, la torpille produit un long sillage de bulles facilement repérable. De jour, ou par nuit claire,
Citation :
le sillage peut informer les escorteurs de la présence d'un U-Boot, le faisant ainsi passer de chasseur à gibier. La T II, bien que moins performante (vitesse de 30 nœuds et rayon d'action de 5 km), ne connaît pas ce problème. La propulsion étant électrique, aucun sillage n’apparaît après son lancement ; sa discrétion est donc bien supérieure. Pourtant une contre partie existe : la nécessité de recharger les batteries oblige l'équipage à sortir la torpille des tubes tous les 4 ou 5 jours, une tâche exténuante pour l'équipage (les torpilles pèsent 1 tonne). Ces deux torpilles, les plus utilisées au cours du conflit, ne sont ainsi pas entièrement satisfaisantes. Les problèmes de mise à feu sont fréquents, certaines torpilles n’explosent pas, d'autres explosent avant d'atteindre leur cible. Leur stabilisation n'est pas au point non plus, parfois certaines font surface, d'autres passent sous la coque du navire visé. Ainsi jusqu’en 1942 les torpilles allemandes seront source de problèmes pour les U-Boote, parfois de magnifiques cibles seront ratées, parfois elles les trahiront en révélant leur emplacement. Fin 1942 la mise à feu magnétique de la T II est améliorée, la dénomination de cette nouvelle torpille est maintenant T III. A cette même époque, des progrès sont faits dans le système de guidage des torpilles avec l'apparition des systèmes «Fat», puis «Lut». Le système «Fat» permet à la torpille, si la cible n'a pas été touchée, d'entamer une série de cercles augmentant ainsi les chances de toucher un navire du convoi. La première torpille équipée du système «Fat» est la TI, plus tard des T III en seront aussi équipées. En 1943, est mis en service le système «Lut». Ce système, semblable à «Fat», permet à la torpille d'accomplir une série de zigzags. On imagine facilement ce qu'une torpille «Lut» peut faire au sein d'un convoi lorsque celle ci est lancée depuis une position favorable. «Lut» est monté sur des T IIIa (des T IIIa à batteries améliorées) puis sur des T I. Ces nouvelles torpilles bien que pleinement satisfaisantes ne sont pas aussi répandues que les classiques T I et T III.
La plus grande évolution se fait par l'introduction des torpilles acoustiques, «Falke» et «Zaunkönig », après des recherches commencées dès 1934 en vue de la destruction des navires de guerre. Le guidage se faisait au son émis par les hélices de ces navires. Les défauts des autres torpilles vont accélérer les recherches en ce domaine, désormais les navires de commerce seront aussi visés. La première torpille acoustique est mise en service début 1943, elle est dénommée G7as «Falke» (ou T IV).
Sa vitesse est inférieure aux autres (20 nœuds) et sa charge explosive (274 kg) réduite par la taille de la tête acoustique. Fin 1943, une nouvelle torpille acoustique est mise en service : la G7a «Zaunkönig» (ou T V), sa vitesse est de 24 nœuds mais son rayon d'action n'est que de 5,7 km alors que la «Falke» atteint les 7,5 km. La Royal Navy, inquiétée par l'apparition de ces nouvelles torpilles, mettra au point une parade: le système « Foxer » . Le «Foxer» est un appareil émettant un bruit visant à désorienter les torpilles acoustiques; il est attaché à un long filin derrière les escorteurs épargnant ainsi les navires du convoi. Ces torpilles, bien qu'étant le reflet d'une Allemagne toujours capable de produire des engins géniaux, ne sont pas du tout satisfaisantes ; leur taux de réussite dépasse à peine les 10% (sur 700 torpilles lancées). De plus, ces torpilles, attirées par le bruit des moteurs du U-Boot, revenaient parfois vers le tireur!
Les allemands bien qu'étant à la pointe du progrès dans le domaine des armes sous-marine, devront se battre pendant toute la guerre avec des engins souvent défaillants, voire dangereux pour eux-mêmes. Les « Loups Gris » infligeront cependant de lourdes pertes aux navires alliés.
Messages : 6445 Age : 53 Date d'inscription : 04/02/2014
Sujet: Re: Missilerie Navale Mer 8 Fév - 13:58
salam articles tres intéressant merci
berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
Sujet: Re: Missilerie Navale Mer 8 Fév - 14:34
Merci sagit
L'ARMEMENT
Les sous marins ainsi que les bâtiments de surface utilisent tout un éventail d’armement ASM leurs permettant de rivaliser. Tout le monde le sait, la principale arme du sous marin est la torpille. Cependant ce dernier peut emporter des missiles, des mines, des leurres...
Les torpilles
La torpille est un engin sous marin autopropulsé autonome ou non.
Citation :
divers versions existent donnant à ses dernières des capacités(portée puissance de la charge militaire etc...) différentes. Les torpilles utilise maintenant des sonar internes ainsi que des centrales inertielles ce qui leur permet d’être autonomes. Cependant la création du filoguidage a permis d’augmenter leur précision. Le filoguidage est tout simplement le fait de relier la torpille à un fil qui permet de guider précisément sur son objectif. Ces armes ont une vitesse allant de 50 à 120 km/h et les charges militaires (explosif) de 50 à 500 kg et plus d’explosif brisant (HE). Il existe également des ogives militaires à charge creuse, ce qui permet à l’arme de ne pas exploser tout simplement mais de créer une importante voie d’eau sur un sous marin ou un bâtiment de surface. Les torpilles peuvent être lancées de différente façon. Soit par un sous marin, soit par un navire de surface, soit pas un avion ou hélicoptère.
Pour que le sous marin puisse lancer une torpille il a besoin d’avoir un certain nombre d’élément à rentrer dans ses calculateur de tir. Cet élaboration s’appelle la solution de tir. Elle est déterminé par la vitesse la distance l’immersion et le relèvement (360°) par rapport au lanceur. Cette solution de tir est obtenu en effectuant des branches, autrement dit en zigzaguant, afin de pouvoir déterminer à l’aide du sonar passif tout ses éléments. Cela prend un peu de temps mais est parfaitement discret. La où cela devient beaucoup difficile c’est quand les deux sous marin effectuent des branche de détermination de solution de tir l’un sur l’autre. Là doivent intervenir des calculateur et même en dépit de cela la solution ne reste valable qu’un moment donnée à cause des évolutions de l’objectif.(AZIMETRIE). La solution peut être relevé au sonar passif ou actif. En actif, le sonar émet une ou plusieurs onde sonore dans l’eau dans la direction supposé de l’objectif (bandes étroites) ou bien alors une onde tout autour de lui (bandes larges). Si cette onde touche le sous marin adverse ou tout autre objectif marin, elle rebondit et revient vers le sous marin (même principe que le radar). Lors du retour de l’onde la solution est immédiatement établi et connue sauf cas particuliers. Alors le SM peut tirer une torpille sur l’objectif. La solution de tir est entrée dans l’ordinateur de la torpille. Il est possible de lui faire prendre des trajectoire divers et variés afin de faire croire à la victime que le chasseur n’est pas là où il le croyait. Dans un premier temps la torpille est passive, elle se dirige juste en écoutant et prenant compte des paramètres de la solution. Une distance de sécurité est en place sur ses armes. Quand l’arme dévie de plus de 160° par rapport à l’axe de lancement, la propulsion de cette dernière s’arrête et elle coule, cela empêchant à la torpille de se retourner contre son sous marin lanceur. Cette sécurité peut être enlevé (et peut l’être systématiquement) avec une relative tranquillité dans le cas d’un filoguidage, car en cas de mauvais retour il est toujours possible de changer la trajectoire de l’arme. Il y a également une sécurité sur la distance d’armement de la charge militaire. La charge explosive ne s’arme qu’après avoir parcouru une certaine distance en général de 800 à 1200 mètres. Mais cette distance peut être modifiée à volonté. Après être lancée la torpille se dirige vers l’objectif, soit guidée par le sous marin soit seule, arrivée à faible distance du contact supposé sont radar actif se met en route (si prédéfini) et recherche le contact suivant les informations de la solution de tir et de son sonar actif en relation avec celui du sous marin. Une fois qu’un but ou que le but a été repérer le sonar actif bombarde l’objectif d’ondes sonores afin de le suivre comme un missile à tête chercheuse. Ensuite la charge militaire s’arme, la torpille gagne toujours du terrain sur l’objectif et arrivée à une dizaine de mètres de l’objectif explose (si elle utilise une fusée de proximité) ou bien explose au contact. Avec une charge moyenne de 200 kg d’explosif brisant le sous marin ennemie a en règle général soit une bonne partie de sa coque externe détruite à l’endroit de l’impact soit est éventrée provoquant une voie d’eau sans précédent entraînant ce dernier à coup sur le fond.
LES MISSILES
Citation :
Les submersibles disposent également de missiles (à changement de milieu) cela signifie que l’arme est dans une enveloppe étanche qui parcoure la distance du sous marin à la surface de l’eau dans sa capsule, arrivée à la surface il est éjecté et se dirige vers l’objectif. Certaines de ces armes, en général plutôt des missiles mer-air n’ont pas de capsule mais à l’aide de leurs propulseur produisent une extrême chaleur ce qui porte l’eau de mer en ébullition et crée une bulle de gaz chaud autour de l’arme ne l’a mettant pas au contact de l’eau.
Ils y a différent types de missiles. Les missiles de croisière, dont l’objectif est en général une cible terrestre ou bien une cible de surface de grande importance (porte avion par exemple). Je parle de missile de croisière en ayant une pensée pour le TOMAHAWK qui est pour moi l’arme de croisière par excellence. Ces armes comme les torpilles ont également besoin de solutions de tir. Cependant dans le cas de gros missiles de croisières à longue portée, ils utilisent d’autres procédés de navigation comme les satellites ou bien alors des trajectoire préprogrammé dans le centrale de navigation. Ces solution sont très compliquées. Cependant, il existe tout une gamme de missiles de croisière anti navire ou anti sous marin simple et rapide d’emploi, comme le JAVELOT l’EXOCET HARPOON OWSOW et bien évidement j’en passe. Ces missiles nécessite pratiquement la même solution de tir que pour les torpilles, elle peut également être déterminée au sonar actif passif, par le biais du radar comme de capteur ESM. En règle général ces missiles peuvent avoir deux trajectoires bien particulières. Soit une trajectoire rasante, à 1 2 ou 3 mètres au dessus de la surface de la mer. Soit des trajectoire d’attaque en piqué, cela signifie que le missile monte très haut et quand il arrive pas très loin de l’objectif il amorce un piqué pratiquement à la verticale (ce qui entraîne parfois des difficultés pour son interception) sur la cible. Le missile est éjecté de sa capsule de protection qui coule par la suite, monte un peut sous la poussé de ses moteurs fusées, arrivée à une certaine altitude les boosters d’appoint se coupent et les stato réacteurs se mettent en route et le missile descend ou monte afin de respecter la trajectoire d’attaque prédéfinis. Bien évidement la démarche que je vient de citer n’est valable que pour quelques armes, les possibilités de ses nouveaux vecteur sont telles qu’il faudrait réaliser individuellement et par arme une fiche pouvant atteindre plusieurs pages. En trajectoire rasante, le missile peut frapper la cible soit au dessus de la ligne de flottaison, ou bien en dessous, il plonge au dernier moment et vient exploser à 1 ou 2 mètres sous l’eau au contacte de la coque. En règle général les missiles n’explosent pas simplement au contact mais attendent d’être rentrée dans la structure de la cible et explosent à l’intérieur provoquant des dégâts majeurs. Une missile de croisière supersonique peut très bien pénétrer à un endroit de la coque où celle ci n’est que très faiblement protégée, ce qui lui permet de pénétrer les superstructures et d’exploser à plusieurs mètres à l’intérieur du bâtiment.
LES MINES SOUS MARINES.
Citation :
Ces armes datant de la dernière guerre sont toujours très utilisées. Cependant elle ont une tout autre technologie, dans beaucoup de cas elle sont devenue intelligente, elle peuvent reconnaître leur cibles, ou bien rester immergée à une profondeur bien définie et dériver en silence, se plaquer par magnétisme contre la coque de leur victime et n’exploser que quelques temps après dans une zone bien défini. Ces mines sont immergé en général soit par des sous marin, soit par des navires mouilleurs de mines. Dans le cas des sous marin, ils sont mis en oeuvre par les tubes lance torpilles, ou bien dans le cas des soviétiques et sur certains types de bâtiment par des sas de mouillage de mines bien particuliers. Elle ont une grande autonomie, un sonar dans la plus part des cas. Une charge allant de 50 à 300 kg d’explosif brisant. Elle peuvent rester à une immersion bien définie à l’aide de système d’admission et d’éjection de l’eau de mer.
LES LEURRES ANTI TORPILLES. (armes de défense).
Jais placé les leurres dans la famille de l’armement car j’estime qu’elles en font partie, servant à lutter contre d’autres armes. Les leurres anti torpilles sont très répandus, pour être plus simple tout sous marin d’attaque nucléaire ou non se doit d’avoir un moyen de défense contre les mangeuses de coque. Sachant que les torpilles recherchent du bruit (cavitation etc...) il a fallu faire des leurres qui donnent au autodirecteurs des torpilles ce qu’elles veulent. Pour cela il a été développé ce que j’appelle moi des sac effervescent, en l’occurrence un conteneur de petit taille ressemblant à un baril par exemple contient de la matière effervescente qui provoque un nuage de bulles sous l’eau. La particularité des leurres c’est qu’il restent pratiquement à l’immersion où ils ont été lancés et descendent peut à peux en tendant un rideau de bulle masquant le sous marin en fuite. En règle générale, le SM après avoir lancé ses leurs 1 ou deux en moyenne continu sur 2 à 300 mètres puis change de cap brutalement afin de ne pas se retrouver dans le champs de la torpille quand cette dernière aura traversée ce champs de bulles aveuglant littéralement sont autodirecteur. Le sous marin peut alors espérer que cette dernière va poursuivre droit devant elle effectuer une petite recherche en zigzag et voyant qu’elle a perdue le contact stopper sa propulsion et couler. Ils y a également des leurres, que j’appellerais un peux plus actifs, ils sont utilisé quand les premiers ont échoués. Ces sont des petites charges de profondeur avec une minuterie qui sont lancée sur la trajectoire de la torpille. Restant à la même immersion, ils explosent aux plus près de la torpille lors de sont passage lui faisant apparaître devant sont sonar une masse solide (comme une coque) en réalité l’onde de choc de l’explosion, en règle général la torpille explose. Il arrive également que la torpille même leurrée par les première contre mesures arrive à retrouver le contact, tout dépendant de sa programmation ainsi que de sa maniabilité. (capacité à évoluer supérieurement au sous marin)
http://mathieu.rosa.free.fr/armement.html
berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
Sujet: Re: Missilerie Navale Mer 8 Fév - 15:09
Guidage par filoguidage
Citation :
Une torpille tirée d'un sous-marin peut être filoguidée. Dans ce cas elle déroule derrière elle un câble qui permet à l'équipage du sous-marin de la diriger. Le sous-marin utilise les informations de ses propres hydrophones pour guider l'arme vers son but. Cette technique de guidage est largement utilisée, car elle est plus fiable et plus flexible que le guidage totalement autonome et robotisé. En effet, les capteurs d'un sous marin sont plus performants. De plus une torpille autonome, si elle est dirigée contre une cible silencieuse (un autre sous-marin ou un navire à l'arrêt) devra utiliser son sonar actif, ce qui la rend immédiatement repérable et pourra laisser à sa cible le temps de lancer les contre-mesures adéquates. Les torpilles filoguidées des sous-marins modernes sont aussi capables d'être autonomes (pour le cas où le câble casse ou doit être coupé, mais aussi afin d'atteindre avec précision la cible en fin de course).