L'Iran a condamné samedi 8 décembre un test nucléaire sous-critique mené par les Etats-Unis dans un site souterrain au Nevada, qui démontre selon Téhéran le refus américain d'un "désarmement total". "L'Iran condamne le récent test nucléaire mené par les Etats-Unis", a déclaré Ramin Mehmanparast, porte-parole du ministère des affaires étrangères, cité par le site internet de la télévision d'Etat.
Ce test démontre le refus de Washington d'accepter "un désarmement total" nucléaire, a-t-il ajouté, alors que l'Iran "victime des armes de destruction massive [durant la guerre Iran-Irak], cherche à faire appliquer sur la scène internationale l'application de la fatwa [du guide suprême l'ayatollah Ali Khamenei] selon laquelle l'islam interdit la production, la possession et l'utilisation de telles armes".
Les Etats-Unis ont mené mercredi un test nucléaire afin d'étudier le comportement de matériaux nucléaires sans recourir à la fission. Le test, baptisé Pollux, avait pour objectif de rassembler des données scientifiques qui "fourniront des informations cruciales pour maintenir la sécurité et l'efficacité des armes nucléaires nationales", a indiqué l'administration de la sécurité nucléaire nationale (NNSA) du ministère de l'énergie.
Publié le 15 décembre 2012 à 17h04 Mis à jour le 15 décembre 2012 à 17h04
Le déploiement de missiles antimissile Patriot en Turquie préparerait le terrain à une "guerre mondiale", a mis en garde le chef d'état-major de l'armée iranienne cité samedi par l'agence de presse iranienne Isna. "Chacun de ces Patriot est une marque noire sur la carte du monde et vise à provoquer une guerre mondiale", a déclaré le général Hassan Firouzabadi. L'Otan, dont la Turquie fait partie, a autorisé la semaine dernière le déploiement, à la demande d'Ankara, de batteries de Patriot pour renforcer ses défenses aériennes contre d'éventuels tirs de missiles syriens. Au total, six batteries de missiles antimissile seront envoyées par les Etats-Unis, l'Allemagne et les Pays-Bas. "Ils se préparent à une guerre mondiale, et c'est très dangereux pour l'avenir de l'humanité et pour l'avenir de l'Europe elle-même", a ajouté le général Firouzabadi.
Messages : 13552 Date d'inscription : 24/04/2011 Localisation : SUR TERRE
Sujet: Re: Actualités en Iran Dim 16 Déc - 4:47
L'Iran est une puissance régionale au moyen orient il y'a rien a dire elle fait peur a tous le monde (33 tours du golfe et même un peut Israel ) mais elle joue pas dans la même catégorie des les USA déjà personne ne joue ans la même catégorie que même pas les Russe et encore moins les chinois . ils peuvent perdre dans des guerres asymétrique mais dans des guerre total il foute une raclée a tous le monde sauf les russe car la c'est un match nul bombes nuc ou bien en d'autre terme l’équilibre de la terreur
Rebell banni
Messages : 7649 Date d'inscription : 21/09/2012
Sujet: Re: Actualités en Iran Dim 16 Déc - 13:23
oui mais il faut bien comprendra la strategie de l'iran elle dit au americain si je tombe tu tombe avec moi les abse us dans le golf et les entreprise américaine tout sa il serait prie en cible ce qui va crée un désastre régional et économique mondial apré les americain il aurai pas le choix d'envoyer des troupe au sol avec de lourde perte avant de securiser le teritoir et ensuite au sol les iranien v'on les manger mais c'est aps totu les russe et les chinosi interviendrait car la c'est leur sécurité directe qui et menacer la chine et dépendant du pétrole iranien si les américain arrive a changer de régime elle prendra contrôle des hydrocarbure iranienne et sa sera un retour a l’époque du shah ce que les russe et les chinois ne peuvent se permettre même inférieur au américain il ne les laisserons jamais detruire l’Iran
faty Colonel
Messages : 3229 Date d'inscription : 08/04/2012
Sujet: Re: Actualités en Iran Dim 16 Déc - 13:48
Yak jette un oeil la dessus info ou intox bon c est un merdias de entité sioniste qui publie "infotox" a voire
L’Iran dispose de suffisamment de plutonium pour fabriquer 24 bombes du même type qu’à Nagasaki.
Fatman: le type d'Implosion nucléaire de ce procédé.
Echec des pourparlers nucléaires américano-iraniens.
Citation :
Les négociations secrètes en face-à-face que le Président Barack Obama a lancées avec l’Iran sont allées droit dans le mur. Un membre de premier plan de l’équipe iranienne, Mostafa Dolatyar, a déclaré, vendredi 14 décembre, à New Delhi, que le processus diplomatique visant à résoudre le problème nucléaire avec l’Iran, ne menait, en fait nulle part, parce que la demande que Téhéran mette un terme à son enrichissement d’uranium à 20% n’a aucun sens ».
Il a poursuivi en disant : “Ils [les puissances mondiales] ont fait certains liens avec des questions purement techniques, et d’autres, purement politiques. Aussi longtemps que cela traduit la mentalité, l’esprit et que c’est là toute l’approche du sujet par le 5+1 [Les Six Grandes Puissances] – ou quelle que soit la façon dont on l’appelle- il n’y a aucune issue à ce jeu ».
Selon Debkafile : la phrase : “ou quelle que soit la façon dont on l’appelle” peut être prise comme la première allusion voilée de l’Iran aux pourparlers directs avec Washington, lancés le 1er décembre, en Suisse, dans la ville de Lausanne. Mostafa Dolatyar n’est pas un quelconque responsable anonyme. Il est à la tête du Think Tank lié au Ministère des Affaires étrangères iranien, l’Institut des Etudes de Politique Internationale, et également un membre d’importance au sein de l’équipe iranienne faisant face aux négociateurs américains à Lausanne. Ses remarques ont, indubitablement, bénéficié de l’autorisation spéciale du bureau du Guide Suprême, l’Ayatollah Ali Khamenei, qui, à travers lui, a diffusé un message à l’attention de Washington : si l’exigence de suspension de l’enrichissement est maintenue, le jeu est terminé.
Après plus de 15 ans de diplomatie allant clopin-clopant, largement dénuée d’objectifs précis, avec les puissances mondiales et de tactiques évasives envers l’agence nucléaire de l’ONU, Téhéran montre, pour la première fois, des signes d’impatience et, plus seulement son habituel mépris. Cela traduit que deux choses ont changé :
1.Au cours de toutes ces années, Téhéran a profité de toute ouverture diplomatique pour faire traîner les négociations en longueur au sujet de son programme nucléaire, afin de gagner du temps, être dégagé de toute pression et pousser ce programme plus avant. Maintenant, les Iraniens font comprendre aux Américains et aux Européens qu’ils ont atteint leur objectif. Pour eux, le temps n’a plus aucune importance, comme il peut en avoir pour l’Occident.
2. Le Wall Street Journal a révélé la deuxième évolution, le 5 décembre, dans un court article intitulé : « De Bushehr à la Bombe ». Cette révélation n’a été reprise par aucune autre publication occidentale, ni même israélienne, en dépit de sa nature sensationnelle.
S’appuyant sur des sources des renseignements américains, l’article suggérait que le retrait de 136 barres de combustibles du réacteur de Bushehr, à la mi-octobre – au prétexte de bouts de métal éparpillés – et le retour de ces barres, au cours de la dernière semaine de novembre « pourrait être un test mené par les Iraniens pour tenter de réinitialiser ces barres à l’intérieur de bombes au plutonium ».
Les experts nucléaires américains, russes et israéliens ont toujours maintenu que la technologie consistant à extraire du plutonium à partir de barres de combustibles était trop coûteuse et compliquée pour être pratiquée – et qu’elle était certainement bien au-delà des capacités de l’Iran.
Le Wall Street Journal est d’un avis différent : “… Les experts nous ont confié que l’extraction rapide de plutonium utilisable pour des armes à partir de barres de combustibles ayant déjà servi, est un procédé direct qui peut être réalisé dans un espace plutôt réduit (et facile à maintenir secret)".
Cela signifie que Téhéran peut facilement fabriquer des bombes au plutonium, sans avoir besoin de construire un vaste réacteur au plutonium, comme celui qui est construction à Arak.
L’article poursuit en révélant que, par le biais de cette méthode, l’Iran pourrait extraire 220 livres (un peu moins de 100 kgs) de plutonium, suffisant pour produire l’équivalent de « 24 bombes du type de celle employée à Nagasaki » - faisant référence au bombardement de la ville japonaise, le 9 août 1945, qui a mis un terme à la Seconde guerre Mondiale.
L’une de ces bombes – surnommée “ L’homme Gras » (Fat Man, selon le surnom de Winston Churchill)- est égale à 20 kilotonnes. Les sources militaires et du renseignement de Debkafile remarquent que si cette révélation illustre l’état réel du programme nucléaire de l’Iran, alors le jeu est réellement terminé. La politique de poursuite d’imposition de sanctions mise en oeuvre par l’Occident, pour contraindre l’Iran à abandonner son enrichissement et à fermer son installation souterraine de Fordo est devenue dénuée de toute pertinence. Il en va, aussi, de même, pour les fameuses lignes rouges que le Premier ministre israélien Binyamin Netanyahou souhaitait rendre si explicites, grâce à l’usage d’un graphique, devant l’Assemblée Générale de l’ONU, le 27 septembre dernier.
Ce que Mostafa Dolatyar était en train de dire, en effet, c’est, tout simplement, que l’Iran avait dominé le jeu de ses adversaires, jusqu’à la ligne finale d’arrivée, annonçant que la partie est finie.
Adaptation : Marc Brzustowski.
DEBKAfileReportage Spécial15 Decembre 2012, 12:03 PM (GMT+02:00)
il ya une chose de vrai oui l’Iran a assez d'uranium pour fabriqué quelque bombe mais ecequ'el va le faire? c'est la a question
faty Colonel
Messages : 3229 Date d'inscription : 08/04/2012
Sujet: Re: Actualités en Iran Dim 16 Déc - 18:57
L'Iran va sortir du traité sur la non-prolifération des armes nucléaires
Citation :
Si la pression sur l'Iran va augmenter, Téhéran va sortir du traité sur la non-prolifération des armes nucléaires, a déclaré le chef du comité de sécurité du parlement de l'Iran Nozar Shafi, commentant les négociations avec l'AIEA, qui viennent de s'achever à Téhéran.
Shafi a indiqué : « On nous a dit que les pourparlers ont été constructifs, mais la joie et l'optimisme doivent être limités en tenant compte de la réalité, et non pas des compliments diplomatiques ».
Selon Shafi, la question nucléaire iranienne reste irrésolue non pas en raison de son incroyable complexité, mais en raison du « manque de volonté ». L'Occident refuse de faire confiance à l'Iran complètement, que pourrait provoquer un effondrement complet des négociations.
Un virus informatique a tenté d'infecter des installations industrielles du sud de l'Iran, a annoncé, mardi, un responsable de la défense civile. Ce dernier a accusé les "ennemis" de l'Iran de s'en prendre continuellement au pays.
Par Dépêche (texte)
L'Iran a déjoué une nouvelle cyberattaque visant des installations industrielles dans le sud du pays, a annoncé mardi un responsable régional de la défense civile, accusant les "ennemis" de s'en prendre continuellement à ses infrastructures.
"Un virus a infecté (les réseaux informatiques d') industries de manufacture dans la province d'Hormuzgan, mais ses progrès ont été stoppés grâce à la coopération de hackers", a déclaré Ali Akbar Akhavan, cité par l'agence Isna.
Le virus était "du type Stuxnet", un ver ayant sévi en 2010, et l'attaque a eu lieu "ces derniers mois", a-t-il ajouté sans plus de précision.
Selon M. Akhavan, l'une des victimes du virus est la société Bandar Abbas Tavanir Co., qui contrôle la production et la distribution d'électricité à Hormuzgan et dans les provinces voisines. Il n'a pas spécifié l'étendue des dégâts provoqués par ces attaques.
Il a accusé les "ennemis" de l'Iran d'attaques continuelles visant à perturber l'activité industrielle du pays.
En avril, le ministère du Pétrole, dont les ressources sont essentielles pour l'Iran, avait annoncé avoir circonscrit une cyberattaque contre des ordinateurs pilotant certaines de ses activités, notamment sur son principal terminal pétrolier à Kharg. La production ou l'exportation de pétrole n'avait pas été affectée, selon le ministère.
Ces dernières années, l'Iran a été la cible d'attaques informatiques dirigées contre son programme nucléaire controversé. Le ver Stuxnet a notamment déréglé en 2010 les systèmes de contrôle des centrifugeuses nécessaires à l'enrichissement d'uranium.
Téhéran accuse les Etats-Unis et Israël d'être à l'origine de ces virus, alors que l'Occident et l'Etat hébreu soupçonnent le pays de vouloir se doter de l'arme atomique, ce que l'Iran dément. http://www.france24.com/fr/20121225-iran-teheran-dejoue-nouvelle-cyber-attaque-virus-informatique-internet
Rebell banni
Messages : 7649 Date d'inscription : 21/09/2012
Sujet: Re: Actualités en Iran Mer 26 Déc - 0:04
L'Iran procède à de nouvelles manœuvres dans le détroit d'Ormuz
Le Monde.fr avec AFP et Reuters | 25.12.2012 à 15h26 • Mis à jour le 25.12.2012 à 20h56
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L'Iran a lancé, mardi 25 décembre, un exercice naval dans le Golfe et en mènera un autre à partir de vendredi dans le détroit d'Ormuz, par où transite le tiers du trafic pétrolier mondial, pour "démontrer ses capacités navales", ont annoncé des responsables militaires.
Les Gardiens de la révolution, l'armée d'élite du régime, ont entamé mardi un exercice naval de quatre jours dans le Golfe, a indiqué un porte-parole des Gardiens, cité par l'agence de presse FARS. Ces manœuvres se déroulent dans les eaux territoriales iraniennes entre Asalouyeh, près du port de Bouchehr (sud), et South Pars, un champ gazier géant partagé avec le Qatar, a précisé l'amiral Alireza Nasseri. Baptisé "Fajr 91", l'exercice a pour but de tester des "scénarios de défense et de sécurité", selon la même source.
La marine régulière débutera de son côté vendredi un exercice baptisé "Velayat 91", qui se déroulera pendant six jours dans le détroit d'Ormuz, la mer d'Oman et jusque dans l'océan Indien, a expliqué le commandant des forces navales, l'amiral Habibollah Sayari. Cet exercice sera effectué sur une superficie d'un million de kilomètres carrés couvrant le détroit, le golfe d'Oman et les parties nord de l'océan Indien, a déclaré le commandant de la marine aux médias iraniens.
Des sous-marins et des bâtiments de guerre participeront à ces manœuvres, qui seront aussi l'occasion pour la marine de tester des systèmes de missiles et de défense, ainsi que des méthodes de patrouille et de reconnaissance, a expliqué l'amiral lors d'une conférence de presse. "Nous respecterons bien sûr les frontières maritimes de nos voisins et conduirons les manœuvres selon les lois internationales", a-t-il affirmé, cité par l'agence ISNA. Selon l'amiral Sayari, l'Iran veut par ces exercices "démontrer ses capacités navales et envoyer un message de paix et d'amitié aux pays de la région".
MENACES IRANIENNES
L'Iran organise régulièrement des exercices militaires pour mettre en valeur ses capacités militaires. La marine iranienne, forte de 17 000 hommes, est responsable des opérations en mer d'Oman, à l'est du détroit d'Ormuz, et jusque dans le golfe d'Aden. Ses forces de haute mer sont limitées à une demi-douzaine de petites frégates ou destroyers pour la plupart anciens, et à trois sous-marins russes de classe "Kilo" de 3 000 tonnes.
Téhéran dénonce régulièrement la présence de "forces étrangères", notamment américaines, comme un facteur d'instabilité dans le Golfe, estimant que la sécurité doit être assurée "par les pays de la région". Les relations entre l'Iran et les pays arabes du Golfe, empreintes de méfiance, se sont particulièrement tendues depuis plusieurs mois, Téhéran ayant menacé d'attaquer notamment les bases américaines dans le Golfe en représailles à une éventuelle frappe israélienne contre ses sites nucléaires. Israël, tout comme les Occidentaux, soupçonne Téhéran de vouloir se doter de l'arme atomique, ce que Téhéran dément.
L'Iran a menacé à plusieurs reprises de bloquer le détroit d'Ormuz, par où transite 40 % du pétrole transporté par voie maritime à travers le monde, s'il était attaqué ou si ses intérêts vitaux étaient en jeu.
LES MONARCHIES DU GOLFE DURCISSENT LE TON CONTRE L'IRAN
Peu de temps avant cette annonce iranienne, les monarchies du Golfe, dirigées par des dynasties sunnites, ont durci le ton contre leur voisin chiite. Au terme de leur sommet annuel à Manama, les dirigeants du Conseil de coopération du Golfe (CCG - Arabie saoudite, Bahreïn, Emirats arabes unis, Oman, Koweït et Qatar) ont sommé mardi l'Iran à "cesser immédiatement et définitivement" ses ingérences dans leurs affaires internes.
Dans leur communiqué au ton dur, ils ont exigé de Téhéran de renoncer à "toutes les mesures de nature à attiser les tensions et à menacer la sécurité et la stabilité régionales". Le CCG a dénoncé, dans ce contexte, la poursuite de l'"occupation iranienne de trois îles des Emirats" dans le Golfe et déploré le refus de Téhéran de toute négociation ou arbitrage international sur ce différend. L'Iran affirme fréquemment sa souveraineté sur l'île d'Abou Moussa et les îlots de la grande et petite Tomb, revendiqués par les Emirats.
A propos du programme nucléaire iranien, le CCG a appelé Téhéran à coopérer pleinement avec l'Agence internationale pour l'énergie atomique (AIEA), et à assurer la sécurité du réacteur de Bouchehr sur le Golfe de manière à éviter tout accident nucléaire.
Les monarchies du CCG ont apporté aussi leur soutien au régime de Bahreïn, confronté à une contestation des chiites, majoritaires dans ce pays. L'Iran est soupçonné de favoriser en sous-main cette contestation, tout comme celle de la minorité chiite dans l'est de l'Arabie saoudite. http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2012/12/25/l-iran-va-proceder-a-de-nouvelles-man-uvres-dans-le-detroit-d-ormuz_1810266_3218.html
Rebell banni
Messages : 7649 Date d'inscription : 21/09/2012
Sujet: Re: Actualités en Iran Jeu 27 Déc - 0:55
la faut se méfier contre ce genre de guerre
Stuxnet : l'Iran à nouveau touchée ?
Sécurité : Les autorités iraniennes ont affirmé ce mardi avoir été à nouveau attaquées par le ver Stuxnet, avant de faire assez étrangement machine arrière.
Par
La rédaction de ZDNet.fr | Mercredi 26 Décembre 2012
Stuxnet aurait à nouveau frappé l'Iran, si l'on en croit une conférence de presse donnée par le responsable de la sécurité civile d'une province de la République islamique, Ali Akbar Akhavan, hier. Selon le site web de la radio britannique BBC, des installations industrielles auraient été visées. Pour le responsable de la sécurité civile, il s'agit d'une attaque venant des "ennemis" de la République islamique. "Un ver a attaqué les industries de manufacture dans la région d'Hormuzgan," ajoutant que "son avancée a été arrêtée grâce à la coopération de hackers confirmés." "Ennemis" de l'Iran
Le ver aurait été identifié par l'Iran comme étant Stuxnet, qui semble avoir été mis sur pied par Israël et les Etats-Unis, et a déjà causé des dégâts sur les installations du pays en 2010. Selon la même source, l'attaque dénoncée hier aurait été arrêtée et éradiquée avec succès. En donnant une conférence de presse, l'agence régionale de sécurité civile a néanmoins tenu à accuser une nouvelle fois les "ennemis" de l'Iran d'avoir tenté de corrompre les systèmes de contrôle de ses installations industrielles. Des accusations fréquentes de la part de la République islamique, qui affirme être sous le coup d'un harcèlement de la part des hackers américains ou israéliens. Etonnant, donc, que ce retournement de situation, un peu plus tard dans la soirée : le même Ali Akbar Akhavan dément sa propre information. Rétropédalage
Sur le site de la télévision d'Etat iranienne, le responsable de la sécurité civile a en effet déclaré quelques heures plus tard que l'information d'une attaque avait été "rapportée par erreur." Une mauvaise interprétation de ses propos, selon une dépêche publiée par l'AFP - notamment disponible sur le site d'Europe 1. Ali Akbar Akhavan explique qu'il s'agissait en fait d'une conférence de presse destinée à réaffirmer la préparation de l'Iran si jamais il fallait "lutter contre une cyberattaque visant les installations de l'Hormuzgan." La mauvaise interprétation des propos tenus plus tôt est pourtant assez peu crédible, d'autant que le matin même, le responsable de la sécurité avait donné des noms d'entreprises visées... Le rétropédalage est pour l'heure inexpliqué, mais une chose semble claire : l'Iran aurait à nouveau été visée par une attaque informatique. Il sera sans doute difficile de faire la lumière sur celle-ci, tant les informations liées à la République islamique ou aux vers du type de Stuxnet sont difficiles à vérifier.
elle avance doucement mais surement Bravo a Iran pourtant sous embargo elle a sue s adapter et investir sur Homme qui font des miracles dans tout les domaines.
Rebell banni
Messages : 7649 Date d'inscription : 21/09/2012
Sujet: Re: Actualités en Iran Jeu 27 Déc - 21:06
des personne la bas mon dit que les sanction a afaiblie le pays le peuple peine a trouver des produit vitaux comme les médicament et la nourriture a triplé masi le pays et toujours debout
berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
Sujet: Re: Actualités en Iran Jeu 27 Déc - 21:57
Algérie : Une délégation parlementaire en visite en Iran à partir de dimanche Par Agence | 27/12/2012
Citation :
Une délégation du conseil de la nation effectuera du 30 décembre 2012 au 2 janvier 2013 une visite en république islamique d’Iran, indique jeudi un communiqué du conseil.
La visite de cette délégation dirigée par le président de la commission des affaires étrangères, de la coopération internationale et de la communauté algérienne à l’étranger, M. Brahim Boulahia, intervient à l’invitation du président de la commission de la sécurité nationale et de la politique étrangère du Majliss Echoura (conseil consultatif) iranien, M. Alla eddine Barjoudi. (APS)
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
Sujet: Re: Actualités en Iran Dim 30 Déc - 12:03
L'Iran loue la lutte anti colonialiste de l'Algérie (Boroujerdi) dimanche, 30 décembre 2012
Citation :
Pour réaliser des progrès tous azimut, le monde islamique n'a d'autre choix que de s'engager dans un processus de re-scientifisation de tous les secteurs, a déclaré le président de la commission de la sécurité nationale et de la politique étrangères du Majlis islamique, Boroujerdi. Le parlement iranien soutient le développement tout azimut des relations amicales et constructives avec l'Algérie, a déclaré Alaeddine Boroujerdi,samedi, lors de sa rencontre, à Téhéran, avec le président algérien de la commission des Affaires étrangères et de coopération internationales, Ibrahim Boulhia. L'Algérie soutient le développement des relations avec l'Iran et attache une importance toute particulière aux coopérations parlementaires, a souligné la partie algérienne.
ouiii bravo bravo bravoo j’espère que les relation serons encore plus soudé et dans tout les domaine
Rebell banni
Messages : 7649 Date d'inscription : 21/09/2012
Sujet: Re: Actualités en Iran Dim 30 Déc - 12:11
de plus il a raison tout scientification car la ou en et c''est grave le monde arabe ne sais plus comment planté de la pomme de terre il sont depandant dans tout absolument tout ce qu’il ignore c'est que on depandant ainsi il sapovrisent pour rendre plus riche des occidentaux
Rebell banni
Messages : 7649 Date d'inscription : 21/09/2012
Sujet: Re: Actualités en Iran Lun 31 Déc - 16:46
c'est bravo a quand l’Algérie fera de même on vu des menace a ses frontière?? c'est kan que l’Algérie va mené de réel manœuvre dans le dessert en vu un lourd conflit avec les tango ou autre?
L'Iran mène un exercice de guerre informatique lors de manoeuvres navales
L'Iran a mené pour la première fois un exercice d'attaque et de défense informatique dans le cadre des manoeuvres navales poursuivies depuis une semaine autour du détroit stratégique d'Ormuz, selon un porte-parole militaire cité lundi par les médias iranien. (c) Afp
TEHERAN (AFP) - L'Iran a mené pour la première fois un exercice d'attaque et de défense informatique dans le cadre des manoeuvres navales poursuivies depuis une semaine autour du détroit stratégique d'Ormuz, selon un porte-parole militaire cité lundi par les médias iranien.
Une unité de cyber-défense de la marine a "lancé une attaque contre le réseau informatique des forces défensives (lors des manoeuvres) avec l'objectif d'infiltrer ce réseau pour y pirater des informations et y introduire des virus", a déclaré le contre-amiral Amir Rastegari cité par le quotidien officiel Iran Daily.
L'attaque a été détectée et repoussée par les forces défensives, a-t-il ajouté.
C'est la première fois que l'Iran évoque publiquement un exercice de guerre informatique dans le cadre de manoeuvres militaires.
L'Iran a été la cible depuis trois ans de plusieurs attaques informatiques, qu'il a attribuées aux Etats-Unis et à Israël, contre ses installations industrielles, notamment nucléaires et pétrolières, ainsi que ses réseaux de communication ou bancaires.
Téhéran a développé, en réponse, des unités de cyber-défense civile et militaire visant à faire face à cette nouvelle menace.
La marine iranienne et les forces navales des Gardiens de la révolution, l'armée d'élite du régime, ont mené depuis une semaine d'importantes manoeuvres dans les eaux du Golfe et du détroit d'Ormuz, par où transite le tiers du trafic pétrolier mondial, ainsi qu'en mer d'Oman.
Ces manoeuvres ont été présentées par les responsables militaires comme destinées à "démontrer les capacités navales" de l'Iran et à tester ses "scénarios de défense et de sécurité".
Elles ont notamment intégré des exercices avec des sous-marins ainsi que des tests de plusieurs systèmes de missile, selon les informations publiées par les médias.
Téhéran a souligné le caractère "défensif" de ces manoeuvres visant à "dissuader toute agression", dans un contexte de forte tension régionale. Cette tension est liée aux menaces israéliennes de frappe contre les installations nucléaires iraniennes mais aussi au contentieux territorial persistant entre l'Iran et les Emirats arabes unis ou aux crises à Bahreïn et en Syrie.
Les responsables militaires iraniens ont toutefois affirmé que les manoeuvres ne visaient pas à fermer le détroit d'Ormuz.
L'Iran avait agité cette menace lors d'exercices similaires en décembre 2011, au plus fort de la crise autour du dossier nucléaire iranien controversé et à la veille de l'adoption par les Occidentaux de sanctions pétrolières contre Téhéran.
L'Iran a menacé à plusieurs reprises dans le passé de bloquer le détroit d'Ormuz s'il était attaqué ou si ses intérêts vitaux étaient en jeu. L'une des missions des Gardiens de la révolution en cas de conflit est de miner ce détroit stratégique.
Téhéran dénonce régulièrement la présence de "forces étrangères", notamment américaines, comme un facteur d'instabilité dans le Golfe, estimant que la sécurité doit y être assurée par les pays de la région.
L'Iran organise régulièrement des manoeuvres pour mettre en valeur ses capacités militaires.
La Marine iranienne, forte de 17.000 hommes, est responsable des opérations en mer d'Oman, à l'est du détroit d'Ormuz, et jusque dans le Golfe d'Aden. Les forces navales des Gardiens de la révolution, responsables de la sécurité dans le Golfe, sont estimées à quelque 20.000 hommes.
Ces deux derniers mois, "trois malades hémophiles, atteints d'une hépatite C, ont péri en raison de manque de médicaments", a annoncé le directeur du Centre iranien de lutte contre l'hémophilie, Mir Velayatoddin Hashemi, le 29 décembre 2012. M. Hashemi a également souligné que "les devises destinées [par l'Etat] à importer les médicaments nécessaires n'ont pas été suffisantes", rapporte l'agence semi-officielle Fars.
Depuis des mois, le marché de médicaments en Iran connaît de graves pénuries à cause de l'envolée des devises étrangères à l'été 2012. Beaucoup de malades, notamment ceux atteints d'un cancer, se plaignent de la pénurie de certains médicaments. Les sanctions internationales contre le pétrole iranien et celles imposées sur les transactions financières entre les banques iraniennes et étrangères ont mis à mal Téhéran, qui a du mal à se fournir en devises et à acheter des médicaments. De nombreux députés iraniens et responsables politiques mettent en garde contre une crise dans le domaine de la santé.
Certains accusent le gouvernement du président Mahmoud Ahmadinejad de ne pas avoir fourni les dollars nécessaires à l'importation des médicaments fabriqués à l'étranger ou des matières premières nécessaires à leur fabrication en Iran. Ces critiques, reprises à son compte par la ministre de la santé, Marziyeh Vahid Dastdjerdi, lui ont valu d'être limogée, le 27 décembre. Elle était la seule femme du gouvernement iranien.
Marziyeh Vahid Dastdjerdi, l'ex-ministre de la santé
Avant d'être renvoyée, elle avait annoncé une augmentation des prix de différents médicaments en raison d'"une hausse de la devise dite étatique qui sert à acheter de médicaments". L'ex-ministre avait également accusé la Banque centrale iranienne de tarder "à fournir les devises nécessaires".
Dans un entretien télévisé, le 22 décembre, le président iranien lui avait violemment répondu : "Personne ne doit augmenter le prix de médicaments." M. Ahmadinejad avait également affirmé que les devises nécessaires à l'importation de médicaments étaient disponibles.
Les garde-côtes iraniens ont intercepté deux bateaux de pêche saoudiens qui avaient pénétré dans les eaux territoriales iraniennes, rapporte mardi l'agence de presse Fars. Les relations entre le pouvoir chiite iranien et les sunnites d'Arabie saoudite sont régulièrement sous tension. L'Arabie saoudite, alliée des Etats-Unis, a accusé l'Iran de susciter des troubles parmi les shites dans sa province de l'Est, riche en pétrole, ce que l'Iran dément. L'agence Fars ne précise pas quand ni où l'incident s'est produit mais dit que l'information provient de Qalandar Lashkari, le capitaine des garde-côtes à Bouchehr, ville du littoral du Golfe et capitale de la province du même nom. La ville abrite également l'unique centrale nucléaire de la République islamique. L'agence cite le capitaine, qui explique que deux boutres, des voiliers traditionnels, ont été interceptés après leur entrée illégale dans les eaux territoriales iraniennes. Les dix membres d'équipage ont été appréhendés. Selon les premiers éléments de l'enquête, les bateaux provenaient d'Arabie saoudite et leur capitaine et leur équipage étaient de nationalité indienne. Fars ajoute qu'une semaine avant cet incident les Gardiens de la Révolution ont saisi un autre bateau saoudien, avec quatre hommes à bord, qui était entré illégalement dans les eaux iraniennes. Il a ensuite été expulsé.
Iran: Pour Khamenei, critiquer l'élection de juin, c'est servir l'ennemi
Mis à jour le 08.01.13 à 16h52
Le guide suprême de la Révolution islamique, Ali Khamenei, a lancé mardi une mise en garde à quiconque «servirait l'objectif de l'ennemi» en critiquant l'élection présidentielle à venir.
Les Iraniens se rendront aux urnes en juin pour élire un successeur à Mahmoud Ahmadinejad, dont la réélection contestée en juin 2009 avait fait descendre des milliers d'opposants dans les rues et déclenché la plus grave crise politique en Iran depuis la révolution de 1979.
Des réformateurs autorisés à se présenter?
«Tout le monde, même ceux qui émettent des recommandations générales sur l'élection en (exprimant) des préoccupations, doit prendre garde à ne pas servir l'objectif de l'ennemi», déclare l'ayatollah Khamenei dans un communiqué publié sur son site internet officiel. Ces propos semblent faire écho à un débat qui agite en ce moment la République islamique sur le point de savoir s'il faut autoriser des candidats réformateurs à participer au scrutin.
Selon des analystes, des candidats réformateurs pourraient être autorisés à se présenter s'ils prennent leurs distances avec les deux candidats d'opposition de 2009, Mirhossein Moussavi et Mehdi Karoubi, assignés à résidence depuis près de deux ans. Les mouvements réformateurs hésitent encore à participer à l'élection ou à la boycotter à moins que Moussavi et Karoubi soient libérés. Une réunion devrait avoir lieu dans le courant du mois pour en débattre.
LEAD 3-PSA-L'Europe et l'Iran font chuter les ventes mondiales
mercredi 9 janvier 2013 14h24
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* Ventes mondiales -16,5%, -8,8% pour les véhicules montés
* Ventes en Europe -14,8%, reste du monde +3,2%, Chine +9,2%
* PSA prévoit une baisse de 3% à 5% du marché européen en 2013
* Compte renouer avec une croissance de ses ventes mondiales cette année
(Actualisé avec précisions, analyste et cours)
par Gilles Guillaume et Laurence Frost
PARIS, 9 janvier (Reuters) - PSA Peugeot Citroën a subi une chute de 16,5% de ses ventes mondiales en 2012, la performance du groupe à l'international, notamment en Chine, n'étant pas parvenue à compenser sa pire performance en Europe depuis 20 ans.
PSA a commercialisé l'an dernier 2,96 millions de véhicules. En excluant les ventes de véhicules en kit, notamment en Iran où les livraisons sont totalement suspendues depuis février à cause des sanctions contre Téhéran, la baisse des ventes de véhicules montés ressort à 8,8%, soit un volume de 2,82 millions d'unités.
Ce recul est surtout imputable au marché européen, et bien qu'aucun rebond ne se profile en 2013, PSA compte sur l'international pour renouer avec la croissance de ses ventes mondiales en volume, hors Iran, cette année.
"Le groupe subit de plein fouet la chute durable des marchés européens", a déclaré Frédéric Saint-Geours, directeur des marques du groupe, cité dans un communiqué. "Par ailleurs, la décision de suspendre ses activités de vente d'éléments détachés en Iran (...) a impacté les ventes du groupe en 2012." Suite...
L'Iran soupçonné de cyberattaques contre des banques US
Sécurité : Si les attaques de ces derniers mois contre des banques américaines ont été justifiées par la publication d’une vidéo polémique moquant le Prophète, des officiels américains y voient plutôt une opération de l’Iran.
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La rédaction de ZDNet.fr | Mercredi 09 Janvier 2013
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Plusieurs banques américaines dont Wells Fargo, J.P. Morgan Chase, Bank of America, Citigroup et HSBC ont fait l’objet au cours des derniers mois d’attaques informatiques de type déni de service. L’identité des auteurs de ces cyberattaques n’a pas été dévoilée.
Mais selon des officiels du gouvernement américain et des chercheurs en sécurité interrogés par le New York Times, l’Iran serait derrière ces attaques ciblées. Pour James A. Lewis, ancien fonctionnaire des départements d’Etat et du commerce, et désormais expert en sécurité informatique, l’implication de l’Iran ne fait aucun doute.
Absence de preuves techniques
Pour justifier cette hypothèse, officiels et chercheurs mettent notamment en avant le volume de trafic acheminé contre les banques américaines dans le but de paralyser leur système informatique. Un trafic en bande passante jugé sans précédent par Dmitri Alperovitch de la société de sécurité CrowdStrike.
En clair, seule une attaque conduite avec les moyens d’un Etat aurait pu parvenir à un tel résultat. De là à conclure à l’implication de l’Iran… D'ailleurs aucun élément technique n'est avancé pour étayer cette thèse. Les autorités ne croient en tout cas pas à l’authenticité des revendications émises par un groupe baptisé « Izz ad-din Al qassam » et qui déclarait avoir lancé ces attaques en protestation à la mise en ligne d’une vidéo moquant le Prophète. Pour certains officiels, il s’agirait d’une couverture pour dissimuler le rôle joué par l’Iran.