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| Actualités Politiques | |
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+18samir_reghaia houaridz raptor13 Rebell berhoum rimonidz Zoubir8 numidia Kaci M masssinissa benevole philipides7 habiban boussouf faty Raid DR LECTER yak 22 participants | |
Auteur | Message |
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Rebell banni
Messages : 7649 Date d'inscription : 21/09/2012
| Sujet: Re: Actualités Politiques Lun 10 Déc - 19:53 | |
| oué maintenant qu’ils sont dans la merde, ils parlent de réconciliation, il faut rien faire avec la France il nous ont isolés maintenant à nous de les ignorer dans la région. | |
| | | faty Colonel
Messages : 3229 Date d'inscription : 08/04/2012
| Sujet: Re: Actualités Politiques Lun 10 Déc - 20:23 | |
| - Rebell a écrit:
- oué maintenant qu’ils sont dans la merde, ils parlent de réconciliation, il faut rien faire avec la France, ils nous ont isolés, maintenant à nous de les ignorer dans la région
tu devrais lire le papier Rebell trés bonne analyse de René Naba | |
| | | Rebell banni
Messages : 7649 Date d'inscription : 21/09/2012
| Sujet: Re: Actualités Politiques Lun 10 Déc - 20:44 | |
| je le lirai merci moi j'ai juste lu le début en gras :p ça m'a suffit | |
| | | Zoubir8 Commandant
Messages : 1597 Date d'inscription : 11/04/2012 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Actualités Politiques Mar 11 Déc - 0:22 | |
| - faty a écrit:
- Rebell a écrit:
- oué maintenant qu’il sont dans la merde il parle de réconciliation il faut rien faire avec la France il nous on isolé maintenant a nous de les ignoré dans la région
tu devrais lire le papier Rebell trés bonne analyse de René Naba Merci pour cette excellente analyse que je recommande à chacun de diffuser dans ses réseaux. Contre les menaces occidentales contre notre pays, que s'organise une véritable intifadha électronique (expression palestinienne). | |
| | | yak Admin
Messages : 13552 Date d'inscription : 24/04/2011 Localisation : SUR TERRE
| Sujet: Re: Actualités Politiques Mar 11 Déc - 0:46 | |
| - Zoubir8 a écrit:
- faty a écrit:
- Rebell a écrit:
- oué maintenant qu’il sont dans la merde il parle de réconciliation il faut rien faire avec la France il nous on isolé maintenant a nous de les ignoré dans la région
tu devrais lire le papier Rebell trés bonne analyse de René Naba Merci pour cette excellente analyse que je recommande à chacun de diffuser dans ses réseaux.
Contre les menaces occidentales contre notre pays, que s'organise une véritable intifadha électronique (expression palestinienne). je confirme un peu chauvin mais très juste | |
| | | Rebell banni
Messages : 7649 Date d'inscription : 21/09/2012
| Sujet: Re: Actualités Politiques Mar 11 Déc - 13:35 | |
| rhoo mais c'est n'importe quoi regarder sa EXCLUSIF AFP: Alger pour une relation forte avec la France et un soutien au MaliCréé le 11-12-2012 à 08h46 - Mis à jour à 13h31
PARTAGER RÉAGIR0Abonnez-vous au Nouvel Observateur Le président algérien Abdelaziz Bouteflika a plaidé pour "une relation forte et dynamique avec la France", dans un entretien accordé à l'AFP à quelques jours de la première visite en Algérie de son homologue François Hollande. (c) Afp ALGER (AFP) - Le président algérien Abdelaziz Bouteflika a plaidé pour "une relation forte et dynamique avec la France", dans un entretien accordé à l'AFP à quelques jours de la première visite en Algérie de son homologue François Hollande. M. Hollande est attendu en Algérie les 19 et 20 décembre en visite d'Etat à l'invitation de M. Bouteflika pour relancer une relation en dents de scie depuis l'indépendance de l'ex-colonie française il y a 50 ans. "L'Algérie est favorable à une relation forte et dynamique avec la France, fondée sur la densité des liens et les nombreux intérêts qui unissent nos deux pays", indique le chef d'Etat algérien, dans une rare interview écrite accordée à un média et reçue dimanche. Plutôt que de parler d'un traité d'amitié franco-algérien, décidé en 2003 avec le président français d'alors Jacques Chirac mais abandonné depuis par Paris, Abdelaziz Bouteflika souligne que les deux pays veulent un "partenariat d'exception" dont les formes "importent peu finalement: c'est sa consistance qui est essentielle". Pour M. Bouteflika, il faut "construire un partenariat qui résiste aux contingences et qui dépasse les seules relations commerciales où chacun réduit l'autre à un débouché". Il insiste sur "une intensification du dialogue à tous les niveaux" et un partenariat "gagnant-gagnant" pour développer ce pays de 37 millions d'habitants, le plus étendu d'Afrique (plus de 2 millions de km2). Le président algérien plaide pour ces liens en pleine mondialisation où "l'interdépendance entre Etats, fussent-ils éloignés, est devenue une chose inévitable". M. Bouteflika veut aussi "transcender beaucoup de pesanteurs" non identifiées mais qui comprennent les 132 ans de colonisation française et la guerre meurtrière qui a abouti à l'indépendance il y a exactement 50 ans. Evoquant ce demi-siècle, le chef d'Etat algérien réaffirme "l'obligation pour l'Algérie et la France de travailler ensemble tant leurs interdépendances sont nombreuses". Plus d'un demi-million d'Algériens vivent en France et des centaines de milliers d'autres ont la nationalité française. La France est le premier fournisseur de l'Algérie, son premier investisseur hors hydrocarbures et son quatrième client derrière l'Italie, les Etats-Unis et l'Espagne. Résolument tourné vers l'avenir, M. Bouteflika n'évoque pas la repentance de la France, pourtant réclamée par certains Algériens. "Nous devons tirer les enseignements de notre expérience passée pour corriger (...) un partenariat toujours perfectible", dit-il. Face à la situation au Nord Mali, occupé par des mouvements islamistes radicaux dont le Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao) et Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), M. Bouteflika évoque "une menace globale qui n'a pas de nationalité, ni de région ou de religion d'appartenance". Il juge donc "normal que le Mali bénéficie de l'appui de la communauté internationale pour son éradication", répondant à la question de savoir si l'Algérie accepterait une aide de la France et des Etats-Unis dans la lutte anti-terroriste dans le nord du Mali. Le Conseil de sécurité de l'ONU doit adopter avant la fin de l'année une résolution autorisant l'envoi de 3.300 soldats ouest-africains pour les déloger. L'Algérie, médiatrice au Mali, a toujours défendu le principe de non-ingérence. Enfin face au Printemps arabe qui a balayé nombre de dirigeants au pouvoir depuis des décennies, M. Bouteflika, élu en 1999 puis réélu à deux reprises, défend le droit de chaque nation à trouver sa voie et évoque son train de réformes politiques lancé en avril 2011. Parmi elles, l'agrément de nouveaux partis, la percée des femmes aux élections législatives de mai dernier et la prochaine révision de la Constitution. "Ce processus de réformes est irréversible car il fait la quasi-unanimité au sein de la classe politique et de la société civile", a-t-il affirmé. http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/20121211.AFP7486/exclusif-afp-alger-pour-une-relation-forte-avec-la-france-et-un-soutien-au-mali.html | |
| | | faty Colonel
Messages : 3229 Date d'inscription : 08/04/2012
| Sujet: Re: Actualités Politiques Mar 11 Déc - 18:00 | |
| ALGÉRIELe « printemps arabe » ne profite pas aux islamistes algériens, par Abed CharefSamedi, 08 décembre 2012 - Citation :
Les partis islamistes ont, de nouveau, reculé, lors des élections du 29 novembre. Revue des cinq piliers qui expliquent cet échec.
Vue de l’extérieur, la déroute des partis islamistes a constitué le fait dominant des élections locales du 29 novembre. Mais, en Algérie, le phénomène a été à peine évoqué. Comme s’il s’agissait d’un fait déjà admis, d’une évolution actée et digérée.
Le décalage est énorme, et la différence de perception évidente. Les acteurs algériens, enfermés dans leur nombrilisme, sont d’abord soucieux de compter les points, dans une scène politique figée; mais à l’extérieur, d’autres acteurs, qui tentent de maitriser l’évolution de toute la région, sont perplexes, se demandant pourquoi l’Algérie semble échapper à la logique du » printemps arabe « .
Pour le pouvoir algérien, ce recul des islamistes confirme le côté spécifique de l’expérience algérienne, qui voudrait que le pays échappe définitivement au » printemps arabe « . Par contre, pour les parrains de cette nouvelle donne qui promet de redistribuer les cartes dans le monde arabe, la situation de l’Algérie fait un peu désordre. Elle ne cadre pas avec les nouvelles orientations qui voudraient que la gestion des affaires de la région soit confiée aux islamistes, en espérant qu’ils soient plus performants que les bureaucraties militaires qui se sont imposées après les indépendances. L ‘Algérie offre, donc, un nouveau paradoxe, celui d’un pays où l’islamisme politique décline, au point de devenir presque marginal, alors que partout ailleurs dans le monde arabe et musulman, il est soit en phase ascendante, menaçant de conquérir de nouveaux pays, soit à son apogée. En Algérie, le déclin du Mouvement de la Société pour la Paix et de l’Alliance Verte, relevé depuis des années, a été confirmé lors des élections di 10 mai, et s’est amplifié le 29 novembre. Le MSP, ancien parti de l’alliance présidentielle, participant au gouvernement depuis une quinzaine d’années sans interruption, a connu son chiffre le plus faible depuis sa création. Les partis de Abdellah Djaballah et de Fateh Rebii ont été laminés, et n’ont pratiquement pas de représentation. Comment expliquer ce recul des islamistes ? Cinq facteurs ont joué en ce sens. Le premier concerne l’échec de l’islamisme de gestion. Il est essentiellement le fait du MSP. Le passage de dirigeants de ce parti au gouvernement a laissé une piètre impression. Les ministres MSP n’ont pas brillé par une compétence particulière. Le ministre le plus médiatique du MSP, M. Amar Ghoul, a quitté le parti pour jouer en solo, donnant l’impression, auprès de l’opinion, que dans ce monde aussi, on est plus intéressé par le poste et les privilèges qu’il offre que par les idéaux ou les idéaux.
Le scandale qui entoure l’autoroute est-ouest, éclaboussant M. Amar Ghoul, et les informations récurrentes sur l’implication du fils de M. Bouguerra Soltani et de ses proches dans des affaires opaques, ont également contribué à détruire l’image de probité dont voulaient se prévaloir les dirigeants du MSP. Au bout du compte, le MSP a perdu son image de parti islamiste, pour apparaitre comme un simple appareil servant de tremplin pour accéder aux arcanes du pouvoir.
UNE ÈRE POST-ISLAMISTE
Ceci a été aggravé par la dissidence dirigée par M. Amar Ghoul, qui a fondé un nouveau parti, TEDJ. En décidant de rester au gouvernement contre l’avis de la direction du MSP, le ministre des travaux publics avait provoqué une première fissure : entre son parti et un poste de ministre, il a choisi de rester au gouvernement. Mais il a aussitôt créé un parti, entrainant avec lui une partie des cadres les plus ambitieux. En mai, lors des législatives, M. Ghoul, candidat à Alger comme candidat de l’Alliance verte, avait devancé le FLN pour arriver en tête. Cette fois-ci, il n’a pas présenté de candidat, ce qui a provoqué l’écroulement de son ancien parti, alors que les autres formations islamistes n’arrivent même plus à être visibles.
A ces deux facteurs, s’ajoute l’interdiction qui frappe les anciens du FIS. L’accord conclu entre les groupes islamistes armés et le pouvoir, et consacré dans la loi sur la réconciliation nationale, adoptée par référendum, interdit aux anciens du FIS toute activité politique. Cette situation ambiguë, gérée au gré de la conjoncture, maintient en marge de la vie politique une frange d’Algériens qui avaient auparavant appartenu au FIS. Ce courant s’est dégonflé, et ne regroupe plus qu’une partie des anciens membres des groupes armés, qui ont pris de l’âge et se sont largement recyclés. Mais c’est un courant qui a occupé le haut de la scène au début des années 1990, avant de s’engager dans une aventure qui s’est avérée destructrice pour le pays. Il y a vingt ans, c’était la première force politique du pays. Aujourd’hui, ce n’est plus qu’une nébuleuse qui essaie de se faire oublier, malgré quelques coups d’éclat.
Cette évolution révèle le quatrième facteur du reflux de l’islamisme politique en Algérie : ce courant peut drainer les foules quand il est dans l’opposition, et assurer une très forte mobilisation, en tenant un discours radical et en promettant le paradis, avec le rétablissement d’un mythique royaume de Omar Ibn El-Khattab ; mais dans l’exercice du pouvoir, il redevient un appareil comme un autre, l’ouverture et la compétence en moins. Le MSP l’a prouvé, la Tunisie et l’Égypte sont en train de découvrir que, face à aux difficultés, les Islamistes se comportent comme les autres. Ils recherchent l’argent auprès de ceux qui peuvent en fournir, en premier lieux les bailleurs de fonds occidentaux et les monarchies du Golfe, et ils sont prêts à faire les concessions nécessaires pour y arriver. Découvrir cette vérité, c’est dégonfler une baudruche. L’ Algérie l’a fait, maladroitement. Et aujourd’hui, l’Algérie se situe, d’une certaine manière, dans une ère post-islamiste. Ce qui ne signifie pas que l’islamisme a disparu, mais il ne constitue plus un rêve. On le voit dans le rapport qu’entretiennent les Algériens avec les dirigeants islamistes : l’imam médiatique Kardhaoui ne fait plus recette, Ali Belhadj n’attire plus les foules, alors que les Tunisiens et les Égyptiens, dirigés par des gouvernements islamistes, vivent les mêmes difficultés qu’avant, les illusions en moins.
Sur ce terrain, il faut bien reconnaître que l’Algérie a une longueur d’avance. Un échec d’avance. Elle a raté le virage post-islamiste. Elle a dirigé le choix islamiste, elle a survécu, mais elle patauge, faute de projet politique. Elle a dépassé le projet islamiste, mais elle n’en a pas fabriqué un autre comme alternative.
http://lavoixdelalibye.com/?p=6706 | |
| | | Rebell banni
Messages : 7649 Date d'inscription : 21/09/2012
| Sujet: Re: Actualités Politiques Mer 12 Déc - 14:17 | |
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- Citation :
Intervention au Nord-Mali : un désaccord de façade entre Paris et Alger
© Assiya Hamza
Face à la volonté affichée du gouvernement français d’intervenir au Nord-Mali, l'Algérie a longtemps défendu le principe de non-ingérence. Mais l’option militaire souhaitée par Paris semble désormais s'imposer à Alger. Interview.
Le terrorisme dans le nord du Mali est "une menace globale qui n'a pas de nationalité, ni de région ou de religion d'appartenance. Il est normal que le Mali bénéficie de l'appui de la communauté internationale pour son éradication". À huit jours de la visite d'État de François Hollande en Algérie, le président Abdelaziz Bouteflika semble donc avoir changé son fusil d'épaule. Jusque-là opposées au principe même d'une intervention militaire au Nord-Mali malgré un ballet diplomatique incessant des autorités américaines et françaises pour infléchir la position d'Alger, les autorités algériennes laissent désormais la porte entre-ouverte. Un revirement defaçade selon l'analyse du politologue Mohamed Chafik Mesbah, ancien officier supérieur du DRS (Département du renseignement et de la sécurité, NDLR), docteur d'État en sciences politiques et diplômé du Royal College of Defence Studies de Londres.
FRANCE 24 : Pourquoi l'Algérie est-elle opposée à une intervention militaire au Nord-Mali ?
Mohamed Chafik Mesbah : Sur le plan doctrinal, la position de l’Algérie est très claire : non immixtion dans les affaires intérieures des États, rejet de la violence comme moyen de dénouement des conflits, notamment internes et intangibilité des frontières héritées de la période coloniale. Depuis une vingtaine d’années, l’Algérie a servi de médiateur entre le gouvernement central malien et les mouvements de résistance touareg, et elle s’est toujours opposée à une éventuelle sécession du Nord par rapport au reste du pays
F24 : L’Algérie serait-elle prête à accepter une intervention de l’Otan ?
M.C.M. : L'Algérie a une aversion pour l’Otan et pour le principe d’une intervention occidentale. Pendant la guerre de libération, l’Otan a assisté logistiquement et opérationnellement la France, il y a donc un mauvais souvenir. C’est d’ailleurs pour cela que pendant la crise libyenne, même si l’opinion publique n’avait pas de sympathie particulière pour Kadhafi, elle était hostile à l’intervention de l’Alliance.
F24 : Le dialogue prôné par Alger jusqu'à aujourd'hui est-il réaliste ?
M.C.M. : Dans la pratique, les autorités algériennes savent que le dialogue n’est pas une solution. On peut discuter avec les mouvements de résistance touareg mais pas avec les mouvements terroristes qui rejettent le dialogue. Il ne reste que l’intervention armée.
F24 : Quelles pourraient être les conséquences d'une aggravation du conflit pour l'Algérie ?
M.C.M. : Les autorités craignent que le conflit ne s’étende au-delà du Nord-Mali, notamment parce que les frontières sont incontrôlables. Si on cède sur l’intégrité territoriale du Mali, les revendications d’indépendance des Touareg vont s’étendre à tout le Sahel, partout où il sont présents, notamment en Algérie où il y a une forte communauté. Enfin, si la situation s’enlise et qu’il y a des morts, l’Algérie sera obligée de s’impliquer et là il y a un risque pour la stabilité du régime algérien.
F24 : Alors pourquoi une telle posture ?
M.C.M. : Du point de vue de l’opinion publique, les autorités algériennes veulent envoyer le message que tout a été fait pour trouver un dénouement pacifique à la question. Mais, dans le fond, elles savent que, fatalement, il y aura une intervention militaire. Du point de vue de la politique interne, Bouteflika est focalisé sur la perspective d’un quatrième mandat. Il est donc prêt à entamer des négociations avec les Américains et les Français pour qu’il n’y ait pas d’objection majeure au renouvellement de son mandat. Il avait dit avant même qu’il ne soit intronisé président de la République qu’il souhaitait mourir aux commandes. Les partenaires occidentaux le savent. Ils font semblant d’accompagner l’Algérie sur le principe du dialogue mais, concrètement, ils savent que le pays ne s’opposera pas à une intervention militaire.
F24 : Chacun fait donc semblant de camper sur ses positions ?
M.C.M. : Bouteflika a sa propre feuille de route. Il cherche à gagner du temps pour obtenir le soutien de l’opinion publique. Il veut aussi l’adhésion de l’armée, ce qui n’est pas le cas pour l’instant. La France et les États-Unis auraient bien voulu que l’Algérie prenne le commandement militaire d’une intervention. On va donc trouver une solution à mi-chemin : elle accepte l’intervention, apporte son soutien logistique et en terme de renseignement; mais ne participera pas directement.
F24 : Pourquoi la France refuse-t-elle de s'impliquer militairement ?
M.C.M. : Parce que ce serait retourner à une période néo-coloniale. Il y a aussi ce qu’on appelle la guerre zéro mort. Les États-Unis, par exemple, ne veulent plus intervenir dans des conflits où des soldats américains pourraient mourir. Ce principe est valable pour la France. Elle veut un dénouement mais sans en payer le prix humain. Il y a toujours une réaction négative du public. Les Français seront obligés d’intervenir sous la forme d’unités spéciales, comme ils l’ont fait en Libye.
F24 : Quand pourrait avoir lieu cette intervention ?
M.C.M. : D’après les experts sur le terrain, la période idéale serait la fin du premier trimestre 2013.
http://www.france24.com/fr/20121212-algerie-intervention-nord-mali-desaccord-facade-france-alger-otan-hollande-bouteflika Voila il l'a lui même dit, des frontières incontrôlables et un pays qui ne contrôle pas ses frontière se fera detruire un jour. On prend pas vraiment des mesures au vu de nos moyens. L’Iran lui qui a tout les ennemis à ses portes et il a su garder ses frontiéres pourquoi l’Algérie ne pourrait pas? deja si des tonnes de drogue arrivent à passer par le Maroc ensuite on a vu que plusieurs armes libyennes ont pu entrer en Algérie et saisies dans les montagnes de Kabylie parmi les groupes et que dans le sud il y a des attentats et qu'ils arrivent à recruter parmi la population réfugiée sahraouie c'est qu’il ya un énorme probleme de surveillance de frontiéres qui n'est pas pris au sérieux et qui nous serait fatal le jour où ils décideront de s'en prendre à l’Algérie.. | |
| | | faty Colonel
Messages : 3229 Date d'inscription : 08/04/2012
| Sujet: Re: Actualités Politiques Mer 12 Déc - 17:08 | |
| - Citation :
L’AFP a-t-elle piégé Abdelaziz Bouteflika ?
Hier, très tôt le matin, l’agence française de presse AFP diffuse ce qu’elle qualifie d’interview «exclusive et rare» d’Abdelaziz Bouteflika. Par «interview», l’AFP entend deux dépêches dans lesquelles le commentaire fait la part belle aux propos du Président. En milieu de journée, l’agence officielle algérienne APS diffuse l’interview dans son intégralité (voir Documents). Comparaison faite, il s’avère que sur les 17 000 signes que compte l’entretien accordé par Bouteflika à la cheffe du bureau d’Alger de l’AFP, seul un millier de signes ont été repris par celle-ci. Visiblement irrité par ce manquement à un engagement qui aurait été pris à l’avance par la journaliste française, le service presse de la présidence de la République a reçu ordre de publier le texte in extenso dans une agence officielle mais non moins concurrente – l’APS –, en faisant fi des règles qui régissent la profession et sans même demander l’autorisation de l’AFP. Une réaction qui a été, du reste, relevée par un site algérien qui a fort probablement été contacté par les responsables de l’AFP pour détourner l’attention sur les raisons véritables de ce cafouillage médiatique. Certains confrères contactés par nos soins ont estimé que le Président «n’aurait pas dû répondre à cette agence sachant qu’elle fait preuve d’une partialité flagrante dans le traitement de l’information, notamment en ce qui concerne le dossier malien». D’autres croient savoir, à la lecture du texte intégral de l’interview et au regard du style usité, que celui-ci a non seulement été transmis à l’AFP par écrit, mais il émane du président Bouteflika lui-même, contrairement aux habitudes, dans ces interviews – tout ce qu’il y a de plus protocolaire – qui précèdent la visite d’un chef d’Etat. Mais la question qui taraude tous les esprits dans la profession, c’est pourquoi avoir sollicité une interview «exclusive et rare» d’un président peu prolixe depuis sa maladie, pour n’en diffuser qu’une infime partie déclinée sous forme d’une dépêche presque banale ? Il est attendu une interview similaire du président François Hollande soit par le biais de l’APS, soit dans deux quotidiens – l’un arabophone et l’autre francophone – généralement sollicités par l’ambassade de France pour ce faire. Ce fut le cas lors des visites de Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy en Algérie durant leurs mandats respectifs. Cet «écart» de l’AFP induit-il un incident diplomatique larvé ? L’interview à paraître de François Hollande sera-t-elle étriquée de la même façon par mesure de «réciprocité» ? Nous devrions le savoir vers le 18 de ce mois, si interview de Hollande il y aura. M. Aït Amara http://www.algeriepatriotique.com/article/l-afp-t-elle-piege-abdelaziz-bouteflika
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| | | boussouf Admin
Messages : 2099 Date d'inscription : 20/11/2011
| Sujet: Re: Actualités Politiques Mer 12 Déc - 22:08 | |
| Une simple journaliste de l'AFP n'aurait pas pu se permettre le geste de censurer le chef de l'Etat algérien. Donc, c'est plus haut que cela fut décidé. Cela ne m'étonnerait pas qu'il s'agisse d'un geste volontaire en vue de saboter le rapprochement en cours entre les deux pays. Le service de presse de la présidence de la République a bien géré la chose en publiant dans son intégralité l'interview. Mais la vigilance reste de mise. Il ne faut pas tomber dans le premier piège tendu. Seule la défense de nos intérêts nationaux devrait compter. | |
| | | boussouf Admin
Messages : 2099 Date d'inscription : 20/11/2011
| Sujet: Re: Actualités Politiques Mer 12 Déc - 22:17 | |
| MC Mesbah a dit: - Citation :
- si la situation s’enlise et qu’il y a des morts, l’Algérie sera obligée de s’impliquer et là il y a un risque pour la stabilité du régime algérien.
Rien que cette phrase suffit à montrer le véritable visage de ce soi-disant spécialiste qui est "grossi" par certains médias nationaux et comme par hasard par France24. C'est un spécialiste khorti. Il utilise son passé d'ex-officier du DRS pour donner un semblant de "sérieux" à son discours de frustré.Faire croire que le "régime" algérien comme il dit joue sa survie dans la gestion de la crise malienne c'est de la désinformation. Ce n'est pas le régime, c'est l'Algérie en tant que nation et Etat qui est visée | |
| | | Rebell banni
Messages : 7649 Date d'inscription : 21/09/2012
| Sujet: Re: Actualités Politiques Jeu 13 Déc - 0:32 | |
| il exagère on fessait croire que quelque tango v'on faire trembler le régime qui avec plus de difficulté les a écraser dans les année 90 alors qu’il était plus nombreux que maintenant et il l'ion fait avec les moyen du bord
mais une chose qui et vrai c'est sur les frontiére incontrôlable partout sur nos frontiére il ya deja eu toute sorte de trafique et de passage et c'est vraiment risqué de pas renforcer la surveillance accrue sur nos frontiére kan et t'il de l'actualité du mure électronique qui était censé protéger toute nos frontiére? | |
| | | berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
| Sujet: Re: Actualités Politiques Sam 15 Déc - 16:19 | |
| Essais nucléaires français : Les dossiers des victimes algériennes rejetés Par Lila Ghali | 14/12/2012 [/b]liberté égalité fraternité [b] - Citation :
- Les dossiers des victimes algériennes des essais nucléaires français dans le Sahara relatifs à la reconnaissance du statut de victime et des indemnisations qui en découlent, ont été rejetés par la commission ad-hoc mise sur pied à la faveur de la loi Morin, a rapporté l’APS en citant le président de l’Association des vétérans des essais nucléaires, Jean-Luc Sans.
“En ce qui concerne l’Algérie, 32 dossiers de civils ont été déposés, tous rejetés au motif que les pathologies déclarées ne rentrent pas dans le cadre de la Loi Morin de 2010″, a indiqué M. Sans à l’APS, au lendemain d’une rencontre de son association et de celle de Moruroa et Tatou (Polynésie) avec le ministre français de la Défense, M. Jean-Yves Le Drian, sur ce sujet.
Lors de cette troisième réunion de la commission consultative de suivi de la loi Morin, le comité d’indemnisation composé, selon le ministre, de “grands experts”, statuant “en toute indépendance”, a été doublé de Jean-Paul Bodin, ancien directeur adjoint de cabinet de M. Morin et principal promoteur de la loi controversée du 5 janvier 2010.
Les deux associations ayant pris part à cette réunion se sont dites, dans un communiqué commun, qu’elles étaient “médusées” d’entendre la présidente du Comité d’indemnisation leur annoncer que sur les 782 dossiers reçus, 400 avaient été examinés. A l’issue du travail de ce Comité, il a été donc conclu au rejet de 391 dossiers et à l’indemnisation de 9 victimes, ont déploré les deux associations.
Pour le ministre français de la Défense, ces résultats qu’il a qualifiés de “décevants” n’ont qu’une seule cause : le trop faible nombre de dossiers déposés, prenant pour responsables de cet échec les associations qui, selon lui, n’ont pas incité leurs membres à “profiter” des dispositions de la loi Morin.
Au lieu de trancher, avec courage politique, l’injustice faite aux victimes des essais nucléaires, M. Le Drian, comme ses prédécesseurs, a préféré s’en remettre à la décision de “scientifiques” acquis à la thèse des effets “négligeables des radiations”, ont encore déploré les associations des victimes.
L’Observatoire des armements, un mouvement antimilitariste français, avait réclamé, en février dernier, justice et vérité pour “toutes” les victimes des essais nucléaires français dans le Sahara algérien et le Pacifique, s’interrogeant sur la persistance du discours officiel vantant leur quasi-innocuité.
Il critique le décret d’application de la loi qui, selon lui, réintroduit notamment le discours sur l’innocuité des essais nucléaires français, autre version des “essais propres”.
Le 13 février 1960, la France faisait exploser sa première bombe atomique, “Gerboise bleue”, dans le ciel de Reggane, en plein Sahara algérien, un désastre écologique et humain qui, 52 ans après, continue de provoquer des maladies dont des cancers radio-induits. A ce jour, aucune des victimes civiles de ces essais, suivis par d’autres jusqu’à 1966, n’a été reconnue comme telle. http://www.algerie1.com/actualite/essais-nucleaires-francais-les-dossiers-des-victimes-algeriennes-rejetes/ | |
| | | Rebell banni
Messages : 7649 Date d'inscription : 21/09/2012
| Sujet: Re: Actualités Politiques Sam 15 Déc - 16:24 | |
| pfff un jour ou l'autre, ils prendront en compte ce dossier, j’espère que notre pays sortira ça à Hollande aussi et que s'il refuse on le renvoie se coucher chez lui. | |
| | | Rebell banni
Messages : 7649 Date d'inscription : 21/09/2012
| Sujet: Re: Actualités Politiques Lun 17 Déc - 8:36 | |
| - Citation :
SYSTÈME ÉNERGÉTIQUE L'Algérie 2e en Afrique et dans le Monde arabe
Lundi 17 Decembre 2012
Adoptant une politique avisée en matière de production et de gestion énergétiques, l'Algérie parvient à glaner une place plus qu'honorable. Le système de production et de gestion énergétiques mis en place par l'Algérie a été classé deuxième meilleur système énergétique en Afrique et dans le Monde arabe, selon l'index de performance de l'architecture énergétique mondiale 2013, publié par le Forum économique mondial (WEF). Selon le dernier rapport de cet index qui classe les systèmes énergétiques de 105 pays selon des critères économiques, environnementaux et de sécurité énergétique, l'Algérie occupe la 58e position dans le monde, la 2e en Afrique et dans le Monde arabe après la Tunisie (50e position), et la 1re au sein de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep). Cet index mesure les forces et les faiblesses des système énergétiques afin d'aider les pays à «gérer les défis que soulève cette période de changement» qui exige de nouveaux investissements pour répondre à la demande mondiale croissante,selon un communiqué du WEF. Signalons ici que quelques experts prévoient que l'Algérie, économie rentière avec une population importante, sera touchée de plein fouet par ces mutations énergétiques autant que l'Iran et le Venezuela. «Les pays à revenu élevé mènent la transition vers une nouvelle architecture énergétique, mais il reste beaucoup à faire en matière de durabilité environnementale», a estimé le WEF. La Norvège, la Suède, la France, la Suisse et la Nouvelle-Zélande sont à la tête du classement, alors que les Etats-Unis sont à la 55e place. Parmi les Brics, le Brésil est à la 21e place, suivi de la Russie (27e), l'Afrique du Sud (59e), l'Inde (62e) et la Chine (74e). Autant d'Etats qui sont énergivores. Ce classement a été élaboré à partir des notations des experts du WEF sur la base de trois critères. Il s'agit du développementet croissance économiques d'où l'Algérie est classée 64e, l'accès à l'énergie et la sécurité énergétique où l'Algérie se trouve à la 30e position, ainsi que la durabilité environnementale (64e place pour l'Algérie). Le rapport indique, que beaucoup de pays en développement peinent encore à satisfaire les besoins énergétiques élémentaires de leurs habitants. Il estime également, que les subventions aux combustibles fossiles, l'utilisation de l'eau pour la production d'énergie et la gestion efficace du patrimoine de ressources doivent être l'objet d'une approche mondiale. «Les prises de décision sur l'énergie pourraient se voir simplifiées par une compréhension commune des compensations qu'elles impliquent», a, par ailleurs, expliqué le directeur principal chargé des industries énergétiques au WEF, Roberto Bocca, selon le communiqué. «Avec des objectifs clairs visant à mettre en place un système énergétique équilibré sur le plan environnemental durable, qui soit le moteur de l'économie et qui soit sûr, les décideurs devraient pouvoir faciliter des transitions plus rapides et plus rentables. L'index est un outil pour aider au déroulement de ce processus», a-t-il ajouté http://www.lexpressiondz.com/actualite/165757-l-algerie-2e-en-afrique-et-dans-le-monde-arabe.html | |
| | | Rebell banni
Messages : 7649 Date d'inscription : 21/09/2012
| Sujet: Re: Actualités Politiques Mar 25 Déc - 23:49 | |
| mon cher faty et mes compatriotes voila quelqu’un qui pense comme moi et qui dit les choses telles qu'elles sont. - Citation :
Conférence au forum géostratégique d’“El Moudjahid” La France considère l’Algérie comme un marché juteux
La France, qui prône le discours des droits de l'Homme et de l'émancipation des peuples, fait le contraire sur le terrain, en témoigne sa position envers l'émancipation du peuple sahraoui, a indiqué hier à Alger le Pr Salah Saoud, enseignant à l'université Alger III. Il a animé une conférence au forum géostratégique du journal El Moudjahid consacrée à “La politique française au Maghreb et ses retombées sur les peuples concernés” et a affirmé que “la France n'a pas reconnu et ne reconnaîtra jamais ses crimes en Algérie parce qu'elle serait en contradiction avec ses fondements”. De plus, a-t-il ajouté, “elle n'a pas trouvé en face d'elle qui la pousserait à le faire de façon correcte”. Pour lui, la France perçoit l'Algérie avant tout comme “un marché juteux” pour ses propresintérêts, indiquant que la gauche française “a historiquement toujours porté préjudice à l'Algérie”. “Je considère qu'il n’y a pas de relations nouvelles entre les deux pays, mais une simple continuité. La France exercera la pression sur nous en raison de nos besoins constants actuellement et à l'avenir”, a-t-il dit. http://www.liberte-algerie.com/radar/la-france-considere-l-algerie-comme-un-marche-juteux-conference-au-forum-geostrategique-d-el-moudjahid-191312 | |
| | | berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
| Sujet: Re: Actualités Politiques Mer 26 Déc - 21:22 | |
| Algérie: des partis considèrent la visite de Hollande comme «négative» mercredi, 26 décembre 2012 - Citation :
- Des partis politiques algériens se sont réunis, le 22 décembre, pour analyser la dernière visite de François Hollande qui a eu lieu le 19 et 20 décembre.
«Cette visite est négative, alors qu'elle devait être l'occasion d'améliorer les relations entre les deux pays et les deux peuples et de permettre l'amélioration des possibilités de coopération ainsi que le développement des relations bilatérales et le règlement du contentieux historique», notent les rédacteurs d'un communiqué rendu public dimanche dernier. «Négative», jugent ces partis, car «les aspirations du peuple algérien pour la reconnaissance des crimes durant la période coloniale et la repentance, en plus des indemnisations, n'ont pas été satisfaites». «Nous exprimons un profond regret et nous nous indignons du contenu de cette visite qui se réduit à concrétiser les intérêts de l'Etat français au détriment des intérêts du peuple algérien», ajoutent ces partis. Ils estiment que «le président français n'a pas respecté l'Etat souverain algérien». «Il a agi comme s'il est venu inspecter une province française et comme si l'Algérie n'existe pas», ajoutent-ils. Pour ces formations, «le régime algérien, illégitime et issu de la fraude, a acheté le silence de la France pour que l'actuel chef de l'Etat puisse briguer un 4e mandat». «Le président français s'est permis de s'ingérer dans les affaires internes d'un pays indépendant en annonçant la modification de la Constitution. Des accords ont été signés d'une manière douteuse, ce qui nous incite à demander à connaître leur contenu. Cette visite a également permis à la France de fermer l'investissement étranger dans notre pays. Le président français est venu avec un état d'esprit hégémonique pour monopoliser le marché algérien et le cadenasser au profit des entreprises françaises», observent les signataires du communiqué. Les partis signataires du communiqué sont le Mouvement des citoyens libres (MCL), le Rassemblement populaire républicain (RPR), El Fedjr El Jadid, le Front national algérien (FNA), le Mouvement de la société pour la paix (MSP), le Front de la jeunesse démocratique pour la citoyenneté (FJDC), le Front de la nouvelle Algérie (FAN), le Parti républicain progressiste (PRP), le Parti de la proclamation et de l'équité (PPE).
http://french.irib.ir/info/afrique2/item/233117-des-partis-consid%C3%A8rent-la-visite-de-hollande-comme-%C2%ABn%C3%A9gative%C2%BB | |
| | | raptor13 Capitaine
Messages : 1257 Date d'inscription : 31/05/2012
| Sujet: Re: Actualités Politiques Mer 26 Déc - 22:54 | |
| c ce que jarete pas de dire il serve la france avent de servire lalgerie des valais de la france | |
| | | Rebell banni
Messages : 7649 Date d'inscription : 21/09/2012
| Sujet: Re: Actualités Politiques Mer 26 Déc - 23:47 | |
| les valais de la France faudra les renvoyer a la France!!! mais c'est sur que cette visit et négative comme totue les visite française | |
| | | Rebell banni
Messages : 7649 Date d'inscription : 21/09/2012
| Sujet: Re: Actualités Politiques Dim 30 Déc - 17:20 | |
| lol regardez sa et sa devrait vraiment être supprimer -_-
http://www.rue89.com/2012/12/30/lalgerie-vers-la-prohibition-de-lalcool-entre-tabou-et-hypocrisie-238214 | |
| | | faty Colonel
Messages : 3229 Date d'inscription : 08/04/2012
| Sujet: Re: Actualités Politiques Lun 31 Déc - 18:51 | |
| Guerre au RND : le retour du général Mohamed Betchine ? - Citation :
- Le vent de la contestation souffle de plus en plus fort sur la maison
RND. Les opposants au secrétaire général du parti, Ahmed Ouyahia, redoublent de férocité depuis quelques semaines. Les «bons résultats» obtenus lors des élections locales n’ont pas refroidi les ardeurs des contestataires de l’ancien Premier ministre. Fort, désormais, de leur nouveau chef, le très médiatique Yahia Guidoum, les redresseurs ne ménagent aucun effort pour destituer «le plus vite possible» celui qu’ils accusent d’avoir dirigé le RND d’une main de fer depuis 1999. Lancé en mai 2012 par les «recalés» des élections législatives, le mouvement de redressement, qui piétinait au début sous la conduite de l’ancien P/APC d’Alger-Centre, Tayeb Zitouni, connaît aujourd’hui un souffle nouveau avec le ralliement de grosses pointures dont des ministres en exercice. Du jamais vu au sein de cette formation fondée en 1997. Quatre ministres et un général Ils sont quatre ministres à signer l’appel à la destitution d’Ahmed Ouyahia : Chérif Rahmani (Industrie), Belkacem Melah (secrétaire d’Etat chargé de la Jeunesse), Mohamed Mibarki (Formation professionnelle) et Bouabdallah Ghlamallah (Affaires religieuses). A ces noms annonciateurs d’une bataille féroce aux enjeux dépassant les calculs partisans, s’ajoutent ceux non moins importants d’anciens ministres à l’instar de Mouldi Aïssaoui et Belaïd Bekhti. Il y a également un autre poids lourd : l’ex-secrétaire général de la Présidence, Ammar Zegrar, qui connaît bien les arcanes du système. Ces détracteurs d’Ahmed Ouyahia, qui s’affichent ouvertement, sont loin d’être de simples aventuriers qui s’engagent dans des «opérations» sans en avoir réellement calculé le coup et les conséquences politiques. Autrement dit, la crise qui déchire actuellement le RND est loin d’être un simple conflit d'intérêts conjoncturel lié aux élections législatives et locales. La crise est bien plus profonde et l’enjeu dépasse celui du contrôle du parti, puisqu’il s’agit de l’avenir même du pays. Ces dissensions internes qui montent crescendo participent, en effet, d’un affrontement insidieux pour la succession au président Bouteflika qui, pour le moment, n’a pas encore décidé de briguer un quatrième mandat en 2014. Certaines sources très au fait de cette crise parlent d’un retour aux affaires du général à la retraite Mohamed Betchine qui, en réalité, ne s’est jamais éloigné du centre de décision en se rangeant, lui aussi, du côté du président Bouteflika. Les «pions» en mouvement Les incertitudes sur la candidature ou non de Bouteflika pour un quatrième mandat mettent en branle les machines partisanes de tous les acteurs qui veulent jouer, chacun à sa façon, un rôle prépondérant dans le processus de succession. Il y a les caciques qui sont de retour et qui cherchent à se replacer sur l’échiquier politique et sur la pyramide du pouvoir. Il y a, de l’autre côté, ceux qui sont aux affaires, téméraires et pleins d’ambition, qui refusent d’abdiquer. Cette situation est née justement de cette absence d’un successeur «clé-en-main», d’un leader capable d'occuper le poste de Président en remplacement d'un Bouteflika qui a marqué ses trois mandats par son omniprésence, au point que rien ne semble se faire sans son aval, «jusqu'à la réfection d'un trottoir», ironise-t-on. Ce «vide», créé par cette ubiquité du chef de l’Etat lui-même, attise ainsi les appétits des uns et des autres et ouvre la voie à tous ceux qui chérissent l’idée de présider un jour aux destinées de l’Algérie. D’une manière ou d’une autre , soit en étant directement candidat soit en étant le mentor de celui qui sera porté à la tête de l’Etat. Ce qui se passe au RND – appendice du pouvoir –, comme d’ailleurs au FLN, reflète en tout cas une guerre de tranchées pour la présidentielle de 2014. L’arroseur arrosé Ahmed Ouyahia n’a jamais caché son ambition présidentielle, même s’il a toujours affirmé que jamais il ne se présenterait contre Abdelaziz Bouteflika. Ses opposants, bien qu’ils ne le disent pas, semblent vouloir, comme les redresseurs du FLN, lui barrer le chemin qui mène à El-Mouradia. Au profit de qui ? Difficile d’y répondre. Le général à la retraite Mohamed Betchine, qui a créé le RND en 1997 chez feu Mohamed Diabi, sur la côte ouest algéroise, et en présence de deux autres personnalités proches du système à l'époque, n’hésiterait pas à reprendre la main. Et le contexte semble s’y prêter. Le RND a toujours vécu au rythme de coups et de contrecoups. L’accession d’Ahmed Ouyahia en 1999 à la tête de ce parti fut lui-même un véritable coup de force contre Mohamed-Tahar Benbaïbèche que le très influent Betchine (à l’époque) avait choisi pour diriger le parti «né avec sa moustache». Ouyahia sera-t-il cet arroseur arrosé ? Ahmed Ouyahia aura-t-il les coudées franches pour résister à cette attaque frontale, sachant que ses fidèles lieutenants, tels que Seddik Chihab, Abdesselam Bouchouareb et autre Miloud Chorfi, sont loin de faire le poids face aux grosses pointures qui ont rallié l’opposition interne. Pugnace, Ahmed Ouyahia, qui a toujours placé son statut de commis de l’Etat avant celui de chef du parti, va-t-il remettre les armes et céder à la pression ? Nous le saurons avant mai 2014. Sonia B. | |
| | | faty Colonel
Messages : 3229 Date d'inscription : 08/04/2012
| Sujet: Re: Actualités Politiques Lun 31 Déc - 20:50 | |
| Photo Très Rare...... La toute dernière selon nos informations Elle fut prise le 14 novembre 1978 à son arrivée à l'aéroport de Moscou pour être hospitalisé dans une clinique russe, le Président Houari Boumediene très affaiblie, à peine reconnaissable sur ce cliché, décédera quelques jours plus tard, le 27 décembre 1978 à Alger, il y a tout juste 34 ans | |
| | | faty Colonel
Messages : 3229 Date d'inscription : 08/04/2012
| Sujet: Re: Actualités Politiques Lun 31 Déc - 20:51 | |
| Un jour comme celui-ci, le 10 décembre 1976 : L'Algérie a un nouveau président de la République; Houari Boumediene , élu avec 95,23 % des suffrages. | |
| | | faty Colonel
Messages : 3229 Date d'inscription : 08/04/2012
| Sujet: Re: Actualités Politiques Lun 31 Déc - 20:52 | |
| de trés belles photos sur ce site
https://www.facebook.com/lesitealgerie2012 | |
| | | Rebell banni
Messages : 7649 Date d'inscription : 21/09/2012
| Sujet: Re: Actualités Politiques Lun 31 Déc - 21:17 | |
| un vrai homme !!!!! sa nous manque des personne comme lui a la tête du gouvernement | |
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| Sujet: Re: Actualités Politiques | |
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