regardez moi ce torchons!!!!! COMMENT PEUT TON AUTORISER DES TRAITRE!!!!! DES ENFANT DE LA FRANCE PARLEZ ON TOUTE IMPUNITÉ DANS NOTRE CHER PAYS IL PENSE REPRÉSENTEZ LA KABYLIE ET IL ET EN TRIN DE MONTEZ LES ALGÉRIEN LES UN CONTRE LES AUTRE
vraiment notre pouvoir et trop gentille moi les personne comme lui je l'aurai exécuté pour sa trahison on ver la nation et je lui prouverai que les kabyle sont algérien comme les autre amazigh algérien je construirez beaucoup de chose en Kabylie comme dans les autre wilaya d'ailleurs et les gent qui parle de haine et qui v'on loin je les ferait exécuté -_- je l'exilerait même pas car il va toujours comploté avec ses maitre il doit avoir un compte bien remplie en France ou en Israël
Sofiane et Mounir assassinés par l’armée algérienne
Avec ces deux assassinats, la
liste des victimes de l’armée algérienne en Kabylie se prolonge
impunément. Hier, l’armée avait abattu Mme Zahia Kaci, à Fréha, Mustapha
Dial à Azazga, les deux chasseurs, Rafik Haddad et Mohand Matoub à
Azeffoun, Madani Goujil à Akfadou.
31/12/2012 - 14:00 mis a jour le 30/12/2012 - 02:08 par
Lyazid Abid
Aujourd’hui c’est Mounir et Sofiane à Darguina et demain, nul ne sait
quel forfait cette armée d’occupation prévoit de commettre. Toutes ces
personnes sont innocentes. Leur seul tort est d’être Kabyle et de vivre
en Kabylie.
Sofiane et Mounir sont assassinés à proximité des gorges de Kherrata
lieu, où le 8 mai 1945 des centaines de Kabyles furent jetés dans des
ravins abrupts et si profonds qu’aucune survie n’est possible. Ce 21
décembre 2012, le parcours de ces deux innocents n’a pas croisé le fruit
du sacrifice de ces milliers de Kabyles morts le 8 mai 1945 et pendant
la guerre 1954-1962 pour que leur progéniture vive en liberté. Leur
ardeur de la vie est stoppée nette par les kalachnikovs d’une armée
devenue au fils des ans plus sauvage que l’armée coloniale française.
La présence, en surnombre, de cette armée en Kabylie ne nous apporte
aucune sécurité, aucun réconfort. Désormais, nul Kabyle n’est à l’abri
de ses exactions. La présence de l’armée algérienne sur notre territoire
est maintenue pour nous humilier, pour assurer l’impunité des
terroristes repentis et faciliter les actions des terroristes encore en
activité. Ailleurs où l’islamisme a triomphé lors des élections
législatives de 1991, le terrorisme a disparu et les militaires aussi.
En Kabylie, pays réfractaire au terrorisme islamiste et à son idéologie,
on nous assassine en plein jour, en toute impunité, sous prétexte d’une
soi-disant protection contre le terrorisme.
Tous les discours de bravoure et d’honneur de l’incorruptible Lhocine
Ait Ahmed et de l’intrépide Saïd Sadi n’auront apparemment servi à
rien. L’amour de nos Hommes pour l’Algérie s’est mué en illusion
mortelle. Leur engagement du côté des militaires ou des islamistes n’ont
pas fédéré les Algériens autour de leur projet démocratique. Bien au
contraire, ils ont récolté le doute, la méfiance voire le mépris des
non-Kabyles.
En Kabylie même, le désolant spectacle que nous offrent les
candidats de nos deux partis est hallucinant. Ils s’entredéchirent à
couteaux tirés avant de coaliser avec les partis du pouvoir raciste, le
FLN et le RND, dans le vain espoir d’entrer dans les grâces de chefs de
daïras qui sont nommés pour nous réprimer.
À cette déconfiture politique, s’ajoutent les assassinats et
kidnappings qui font le lit des crimes économiques et écologiques. Nos
forêts sont brûlées par les militaires, chaque été. Les nappes
phréatiques sont volontairement polluées par l’extraction illicite de
sable sur les lits de nos rivières. Ceci est minutieusement géré par les
gendarmes. Le sabotage de tout investissement en Kabylie est la feuille
de route des walis sous la surveillance du ministre de l’Intérieur...
Là où elle peut, l’Algérie sabote la Kabylie. Elle le fait de manière
systématique, méthodique et scientifique. Plus elle est puissante et
riche plus forte est sa nuisance au plus profond de la société kabyle.
Elle agit ainsi pour nous faire croire que non seulement notre destin
est entre ses mains mais en plus, en dehors d’elle le peuple kabyle n’a
point de salut.
Pour commettre ses forfaits sans que l’opinion internationale s’en
inquiète, l’Algérie soudoie la France, sa tutrice, dans le concert des
nations. Cette France qui, selon son président, a promis de faire la
guerre à l’argent est piégée par une Algérie qui ne cherche qu’à acheter
le silence des pays occidentaux.
L’assassinat de Sofiane et Mounir, le lendemain du discours de
François Hollande à l’Assemblée, rappelle que le pardon de la France
qu’exige le pouvoir criminel d’Alger doit être adressé aux Algériens en
général et au peuple kabyle en particulier et non à un gouvernement de
façade représenté par un Bouteflika sénile. Selon les archives de la
guerre d’Algérie, 75 % des effectifs de l’armée de l’ALN engagés dans la
guerre contre la France sont originaires de Kabylie. D’ailleurs, un
jour la Kabylie obligera le pouvoir algérien à lui demander pardon pour
les crimes qu’il a commis sur son territoire avant et après 1962.
Par conséquent chaque Kabyle est interpellé pour en tirer toutes les
conséquences. Il est temps de se réapproprier les réflexes patriotiques
de notre vaillant Cheikh Aheddad. Rappelez-vous son célèbre coup de
bâton au marché d’Akbou. Tout engagement ou combat pour la liberté de la
Kabylie se doit d’aller dans ce sens.
Cinquante ans après l’indépendance, l’Algérie a épuisé le
capital-confiance des Kabyles.
Rappelons-nous, ils sont venus quémander de l’aide contre
leurs frères fanatisés par l’islam puis ils ont confisqué nos fusils
avant de nous imposer leurs salafistes.Au nom de l’Anavad et en mon nom personnel, je présente aux familles Salhi et Saidj mes condoléances les plus attristées
http://www.tamurt.info/sofiane-et-mounir-assassines-par-l-armee-algerienne,3368.html?lang=fr