Actualités en Israël

Kaci M a écrit:

Dites mes amis LES MODERATEURS ET AUTRES ADMIN : ça ne vous dérangerais pas de changer le titre de ce topic par son VRAI nom: Actualité en Palestine Occupée . Merci.   (Non, parce que là, Israël...c'est limite hein  ...)

rimonidz a écrit:

c'est un espace d'échange de point de vue, il est vrai que nous avons en Algérie un point de vue très révolutionnaire en ce qui concerne la question Palestinienne, mais j'ai ouvert ce topic pour qu'il puisse être un espace d'échange avec des israeliens, .la définition sioniste est valable en Algérie et dans les Mondes Arabe et Musulman, mais je tiens à éviter à faire fuire les inscrits étrangers et non Algériens ou Musulmans en opposant un intitulé de "parti pris" (ce qui nous serait immédiatement reproché) dans la question Palestinienne. 

je tiens à intégrer tout les types d'interventions et points de vus, dans le respect, mais sans créer des intitulés de Topic contreversés !

IsraelValley a écrit:

La menace politique majeure de Netanyahu arrivera à la mi-septembre lorsque le ministre des Finances Yair Lapid doit présenter le budget national de 2015 au gouvernement pour un vote. S’il est voté au cabinet, il passera très probablement à la Knesset, mais un âpre combat au cabinet semble se profiler.
La bataille du budget commence avec l’augmentation attendue du budget de la défense. Dans le sillage de la guerre à Gaza, le ministère de la Défense a demandé une augmentation de 20 milliards de shekels au budget de 52 milliards de shekels pour 2015. Une augmentation en dessous de 10 milliards, a-t-on déclaré à la Défense, laisserait les défenses d’Israël dans un manque de préparation dangereux face aux nombreux périls qui guettent aux frontières du pays et au delà.
Afin de payer une telle augmentation, Lapid a décidé ces derniers jours d’augmenter le déficit public, pour éviter le menace d’augmentation des impôts ou des coupes sociales pour les électeurs de la classe moyenne sur lesquels dépend l’avenir politique de Lapid. Il se souvient très précisément des coupes du budget de l’année dernière, qui lui ont coûté pas moins que la moitié de sa base électorale dans les sondages. Il doit encore travailler à récupérer cette perte.
La décision du déficit a conduit à une amère dispute publique entre lui et le gouverneur de la Banque d’Israël, Karnit Flug. La Banque a averti qu’une augmentation des déficits pourrait avoir des répercussions néfastes pour l’économie dans son ensemble dans une période de faible performance.
La semaine dernière, le Bureau Central des Statistiques a publié les chiffres pour le second trimestre de 2014 qui montrait seulement une croissance d’1,7 %, en baisse par rapport aux 2,8 % du trimestre précédent et aux 5,3 % du même trimestre l’année dernière.
Ces chiffres datent d’avant le début des combats, de l’augmentation de dépenses de défense et des difficultés de l’industrie du tourisme israélien.
En effet, la décision sur le déficit de Lapid est venue la semaine où la banque centrale a baissé ses taux d’intérêt pour septembre au niveau historiquement bas de 0,25 % dans une mesure de stimulation de l’économie.
L’augmentation du budget de la Défense est tout sauf certain – à part probablement pour la requête minimum de 10 milliards de shekels de l’armée. Netanyahu reconnaît l’augmentation des besoins de l’establishment de la Défense après la guerre de Gaza, indique les spécialistes.
Cependant, les meilleurs économistes du pays s’insurgent contre une augmentation du déficit. Et le ministre des Finances est persuadé qu’augmenter les impôts sur les revenus et réduire les dépenses liées aux prestations serait du suicide politique. Ces points d’achoppements n’augurent rien de bon pour le prochain débat du cabinet le mois prochain.
Il ne va probablement pas quitter le gouvernement les prochains jours pour éviter de devoir présenter le budget sous son nom. Il doit être présenté dans deux semaines. Il est en grande partie complété, et démissionner maintenant ne va pas le protéger des répercussions politiques du budget qui finira sur la table du cabinet.
Il devrait peut-être, à la place, essayer de faire ce que les politiciens appellent parfois en Israël : « danser à deux mariages en même temps » ou « garder le beurre et l’argent du beurre ».
Cela signifierait qu’il présenterait un budget politiquement acceptable (et sans aucun doute irresponsable fiscalement) au gouvernement. Un qui augmenterait les dépenses publiques au lieu d’augmenter les impôts et de réduire les prestations sociales – et laisser le cabinet voter les changements nécessaires. Lapid serait, du coup, en mesure d’affirmer à ses électeurs que c’est le cabinet, ou tout simplement Netanyahu, qui est responsable des mesures douloureuses du budget 2015.
Même si Netanyahu ne serait pas ravi de ce genre de tour, il serait surement soulagé. Pour Lapid, le choix qui lui reste, s’il décide de ne pas faire de Netanyahu son bouc émissaire, est de sortir de la coalition en emportant les 19 sièges qui sont probablement irremplaçables.
Si les sondages restent peu flatteurs mais stables, et si les ministres du cabinet ne se laissent pas dépasser par ce spectacle du budget, le gouvernement de Netanyahu durera jusqu’au début de la session d’hiver de la Knesset en octobre.
Ensuite, avec le retour des querelles partisanes des politiciens israéliens, la politique du pays reviendra à son état de semi-crise permanente, habituelle.
Oh, et il y aura aussi les élections de mi-mandat du Congrès américain – ça sera la dernière fois que le président Barack Obama aura à se montrer poli envers qui que ce soit. En novembre, avec un président américain qui aura désespérément besoin de laisser sa marque et plus d’électeurs à séduire, il n’est pas inconcevable qu’Israël se retrouve obligé de participer à nouveau à des négociations imposées par Washington. Négociations qui prendront place avec toutes les incertitudes sur la position nationale du gouvernement et de son unité politique.

Haaretz a écrit:

The Israel Air Force shot down an unmanned aircraft that infiltrated Israeli territory in the north in the Quneitra area near the border. The Israel Defense Forces told the Associated Press that the drone appeared to have belonged to the Syrian military and had flown accidentally into Israeli airspace. 
The IDF said that the drone was identified in Israel's air space and shot down by a ground-to-air Patriot missile. The IDF "will respond to any breach of Israel's sovereignty," Lt. Col. Peter Lerner said.
It is not clear whether the drone was carrying explosives or was sent to photograph aerial images. It is also not clear whether the aircraft was intentionally launched at Israel, or if its operators dispatched it errantly in this direction. It is also not clear whether the aircraft was intentionally launched at Israel, or if its operators dispatched it errantly in this direction.

Citation :

Israël se prépare à un conflit bien plus meurtrier qu'à Gaza, souligne un colonel de Tsahal
L'armée israélienne a détruit vendredi un dispositif d'"espionnage" des communications du Hezbollah dans la région d'Adloun, au Liban-Sud près de Tyr, ont rapporté les médias libanais. Selon la chaîne Al Manar, appartenant au Hezbollah, Hussein Ali Haidar, âgé de 25 ans, a été tué lors de l'explosion à distance.
"Une patrouille des services de renseignement de l'armée libanaise ont découvert 4 pièces d'un objet suspect près d'Adloun. Alors que la patrouille s'apprêtait à inspecter les éléments, l'ennemi israélien l'a fait exploser à distance, tuant un civil libanais se trouvant dans le secteur", peut-on lire dans le communiqué des Forces libanaises qui précise qu'un appareil de l'armée de l'air israélienne se trouvait au même moment dans la zone.
Plusieurs militaires de la patrouille ont également été blessés, selon le site libanais Daily Star. Le porte-parole de l'armée israélienne a refusé de commenter l'incident.
Des responsables libanais et de l'Onu ont régulièrement accusé Israël par le passé d'avoir fait exploser des dispositifs de surveillance identiques à celui d'hier dans une zone sous le contrôle du Hezbollah.

Le Hezbollah prêt à ouvrir un nouveau front ?

Selon des informations émanant de médias israéliens, Tsahal se prépare à "une guerre très violente" avec le Hezbollah sur sa frontière nord qui est pourtant relativement calme depuis la seconde guerre du Liban en 2006.
Selon le colonel Dan Goldfus, commandant d'une unité d'infanterie en Galilée, un conflit avec le Hezbollah "sera une toute autre histoire" que la dernière guerre avec le Hamas à Gaza qui s'est achevée il y a une dizaine de jours. "Il nous faudra utiliser une puissance de feu considérable" contre le Hezbollah soutenu par son allié iranien "afin d'agir de manière plus décisive et plus drastique", a déclaré l'officier israélien.
On estime à 100.000 le nombre de roquettes détenues par le Hezbollah, soit 10 fois plus que la quantité qui était stockée par le Hamas et à 5.000 le nombre de missiles à longue portée qui sont entreposés à Beyrouth et dans d'autres zones du Liban.
Le colonel Goldfus a précisé que les habitants des localités frontalières du Liban pourraient bien être évacuées au cas où le Hezbollah ouvrirait un nouveau front.
"Le Hezbollah ne parviendra pas à conquérir la Galilée. Notre mission consiste à défendre les civils et je ferai en sorte qu'ils ne soient pas touchés", a souligné le colonel israélien qui a estimé que contrairement à l'idée reçue, le Hezbollah n'a pas été affaibli par 3 ans et demi de guerre contre les rebelles syriens aux côtés de Bachar al Assad.
Le colonel Goldfus a également évoqué la crainte de constructions de tunnels par le Hezbollah depuis le sud-Liban jusqu'à l'intérieur du territoire israélien à l'instar des tunnels "offensifs" du Hamas dans les localités frontalières israéliennes de Gaza.

F-16I a écrit:

Un drone venu de Syrie qui aurait accidentellement traversé le ciel Israélien a été abattu près de la frontière Syrienne par un missile Patriot.

Haaretz a écrit:

The Israel Air Force shot down an unmanned aircraft that infiltrated Israeli territory in the north in the Quneitra area near the border. The Israel Defense Forces told the Associated Press that the drone appeared to have belonged to the Syrian military and had flown accidentally into Israeli airspace. 
The IDF said that the drone was identified in Israel's air space and shot down by a ground-to-air Patriot missile. The IDF "will respond to any breach of Israel's sovereignty," Lt. Col. Peter Lerner said.
It is not clear whether the drone was carrying explosives or was sent to photograph aerial images. It is also not clear whether the aircraft was intentionally launched at Israel, or if its operators dispatched it errantly in this direction. It is also not clear whether the aircraft was intentionally launched at Israel, or if its operators dispatched it errantly in this direction.

http://www.haaretz.com/news/diplomacy-defense/1.613322

Citation :

Israël : Retex «Bordure protectrice» 

Citation :

Plusieurs commissions d’enquête de l’armée, du contrôleur de l’Etat et de la commission de la Défense et des Affaires étrangères du Parlement vont plancher ces prochains mois sur les «enseignements» à tirer de l’opération «Bordure protectrice».
Les renseignements militaires et le Shabak (Service de sécurité intérieure israélien) se retrouveront sur la sellette en raison de leurs erreurs d’appréciation sur le Hamas. D’autres leçons porteront sur trois priorités : des recherches et le développement de systèmes de détection de tunnels, celles sur l’interception d’obus de mortier, et sur le remplacement des transports de troupes obsolètes de type M-113.
«Le succès à près de 90 % d’Iron Dome va sans aucun doute inciter le Hamas à se fier davantage aux obus de mortier», explique un officier. 

Or, l’armée israélienne ne dispose d’aucune réplique contre ces engins d’une portée de moins de sept kilomètres. «Ces obus sont d’autant plus dangereux que l’alerte ne peut être donnée qu’une quinzaine de secondes après le tir», ajoute l’officier. Elbit Systems a un projet utilisant deux rayons lasers pour les détruire en vol. Mais il faudra un à deux ans avant que cette solution prouve son efficacité. C’est le laps de temps nécessaire pour disposer d’un système permettant de repérer les tunnels. Selon les premières estimations, ces différents projets pourraient nécessiter des investissements d’un demi-milliard de dollars, que le ministre de la Défense est décidé à assurer.
Durant l’opération, plus de 30 installations souterraines ont été découvertes et détruites. Leur nombre et leur sophistication ont surpris, d’où les vives critiques adressées au chef des renseignements militaires (Aman), le général Aviv Kochavi, qui, hasard du calendrier, a quitté ses fonctions le 1er septembre sur un bilan en demi-teinte. Il a été nommé commandant de la région militaire nord (frontière avec le Liban et le plateau du Golan).
Autant la réorganisation d’Aman et ses résultats sur le cyber-front lui ont valu des louanges, autant ses performances durant l’opération à Gaza ont été mises en cause. L’armée de l’air lui reproche, en outre, le peu d’informations sur la localisation des lanceurs de roquettes à longue portée du Hamas capables d’atteindre Tel-Aviv ou Jérusalem. Aman est également accusé d’avoir induit le gouvernement en erreur, début juillet, avant le lancement de l’opération, en estimant que le Hamas voulait à tout prix éviter un affrontement. Ces contre-performances pourraient coûter cher au général Kochavi, que beaucoup d’experts militaires considéraient comme le grand favori pour remplacer le chef d’état-major actuel, Benny Gantz.
Le Shabak a lui aussi été attaqué. Il lui est reproché d’agir comme si le Hamas n’était qu’une organisation terroriste, alors que l’organisation islamiste doit être combattue, selon les militaires, comme une armée. les hommes que le Hamas voulait infiltrer en Israël font partie de commandos et pas d'un groupe terroriste",souligne un officier.

IsraelValley a écrit:

Bonne surprise : les recettes fiscales du mois d’août ont dépassé les prévisions et le déficit public est retombé à 2,6% du PIB au début septembre.
Décidément, il est difficile en Israël de faire des prévisions fiables, même à très court terme. Alors que la guerre à Gaza et la baisse de l’activité qui s’en est suivie laissaient prévoir une baisse des recettes fiscales, voilà que le Service israélien des Impôts publie des chiffres inattendus pour le mois d’août.
RECETTES FISCALES : RÉCUPÉRATION RAPIDE
Même les experts les plus chevronnés ont été pris de court : les recettes fiscales du mois d’août se sont élevées à 21,3 milliards de shekels, soit 15% de mieux qu’en août 2013. Les recettes de l’impôt sur le revenu ont augmenté de 19% alors que la fiscalité indirecte a augmenté de 11% « seulement ».
Comment expliquer ce sursaut des recettes fiscales en août alors que la guerre à Gaza aurait dû, au contraire, réduire les versements d’impôts de la part des entreprises situées non loin de la zone du conflit ? À Jérusalem, les experts du Trésor expliquent qu’une grande partie de la hausse des recettes fiscales s’explique par le report en août de la date de paiement des impôts qui auraient dû être payés en juillet.
DÉFICIT PUBLIC : BAISSE INATTENDUE
En raison de l’opération militaire Bordure protectrice, le fisc israélien a autorisé un report de la date limite du paiement des impôts, aussi bien de la TVA que de l’impôt sur le revenu. Autrement dit, les pertes fiscales enregistrées en juillet (au moment du déclenchement du conflit) ont déjà été récupérées au mois d’août (après le cessez-le-feu).
La récupération fiscale du mois d’août a contribué à une autre surprise d’ampleur : le déficit public est tombé de 2,7% du PIB en juillet à 2,6% en août. L’an dernier à la même époque, le déficit public atteignait le taux de 3,3% du PIB.
« ISRAËL », UNE VALEUR SÛRE ?
Ces chiffres renforcent la promesse de Yaïr Lapid, le ministre des Finances, qui refuse catégoriquement toute augmentation des impôts en 2015 pour financer la guerre à Gaza. Désormais, la baisse du déficit donne au gouvernement israélien une bonne marge de manœuvre pour financer les dépenses militaires, même en laissant filer le déficit d’un-demi-point de PIB supplémentaire, voire d’un point entier.
Yaïr Lapid continue à exprimer en public son optimisme vis-à-vis de l’économie israélienne. À l’occasion de l’inauguration officielle de la nouvelle Bourse de Tel Aviv, il a déclaré cette semaine : « Après 50 jours de combats, Il est le temps de revenir à une économie forte et stable, une économie créative et optimiste, qui croît en elle-même » ; et d’ajouter : « Si Israël était une action boursière, je l’achèterais aujourd’hui, avant que l’action ne prenne trop de valeur ».
Jacques Bendelac (Jérusalem)

Citation :

Bien que peu probable à l'heure actuelle, l'armée israélienne se prépare à hostilités futurs potentiels avec le Hezbollah, qui a développé de nouvelles capacités transfrontalières offensives aux côtés de son gigantesque arsenal de roquettes et de missiles, une source militaire de haut rang a déclaré dimanche. 


Hezbollah envisage d'envoyer des dizaines ou des centaines de terroristes à la frontière en Israël dans une guerre future, tout en ciblant le front intérieur israélien avec un grand nombre de projectiles, dans un conflit qui pourrait durer jusqu'à quatre mois, selon les évaluations de l'agent. 


L'accent mis par le Hezbollah sera à pleuvoir des roquettes et des missiles sur Israël, mais il est également la planification de raids à partir des enseignements qu'il a tirés de son intervention en Syrie. Ces raids pourraient être évités par une offensive terrestre israélienne préventive. 


«La confiance du Hezbollah est de plus en plus, ainsi que son expérience de combat en Syrie. Les champs de bataille de la Syrie ont permis au Hezbollah de mettre à niveau ses capacités. Hezbollah envisage d'envoyer de nombreux combattants en territoire israélien près de la frontière et la saisir", a déclaré l'officier. Cela a incité Israël à faire des "changements radicaux" à ses plans de défense de la frontière, at-il ajouté. 


"Nous avons compris que le Hezbollah pense offensivement. Elle acquiert de l'expérience en Syrie, où il met en place les agressions dans les zones bâties, et d'attaquer les villes. C'est apprendre à propos de la guerre souterraine du point de vue de l'attaquant ... et en apprendre davantage sur eux-mêmes comme le défenseurs au Liban ... Ils apprennent sur ​​le contrôle de centaines de combattants, de coordonner l'intelligence, la puissance de feu, le commandement et le contrôle. c'est un développement grave qui nous oblige à nous préparer en conséquence », dit l'officier. 


Dans le cas où le Hezbollah tente de surprendre par Israël "envahir" le nord du territoire, l'armée israélienne va reprendre le contrôle de la zone en quelques heures, a dit l'officier. "Sur le plan opérationnel, ce n'est pas une histoire difficile à traiter,» dit-il. 


L'agent ne doutait pas que le Hezbollah est "affaire" avec du forage de tunnels, mais il a ajouté qu'il n'y a pas tunnels transfrontaliers connus menant à Israël du Liban. Le Hezbollah a construit un vaste réseau de tunnels et de bunkers souterrains dans le sud du Liban, et, avec l'Iran, le Hamas instructions sur la façon de faire la même chose dans la bande de Gaza. 


Combat avec le Hezbollah sera très sanglant, et le Liban subirait de lourds dommages dans toute guerre, l'officier a mis en garde. "Ils sont dans tous les [sud du Liban] villages." 


"Il pourrait être très longue. Partie de cela dépend de la rapidité avec laquelle nous lançons une offensive terrestre. Plus vite nous lancent une offensive terrestre agressive, la plus dramatique de l'effet qu'elle aura." Une israélien effort de guerre militaire de grande échelle entraînerait la défaite du Hezbollah, dit l'officier. 


En quelques heures, l'armée israélienne peut mobiliser des brigades de zones de rassemblement, et commencer à les envoyer au Liban. "Il n'y a pas de problème avec massant les forces et partir sur une manœuvre au sol rapide. Nous pouvons le faire très rapidement", at-il dit. "Les dégâts seraient énormes au Liban. Wars ne peut être menée de manière« propre »plus. Hezbollah fonctionne du milieu de civils. Partout où les unités blindées et d'infanterie traversent, il y aura décès non-combattants ainsi," at-il ajouté. 


"Il y aura beaucoup de morts. Hezbollah comprend cela", dit l'officier. 


Le Hezbollah continue de renforcer ses capacités offensives contre Israël, même si Israël ne fait pas son objectif principal pour le moment. 


Lutte contre les groupes djihadistes sunnites en Syrie, l'Irak et le Liban sont objectif principal du Hezbollah. 


Le Hezbollah a également créé des forces spéciales, et l'armée estime qu'il a probablement une unité de commando de la marine pour les raids côtiers. 


Malgré les menaces, l'officier a dit qu'il était important de «garder les choses en proportion. Le niveau de la puissance de feu utilisée par la Syrie sur le plateau du Golan en 1973 la guerre de Yom Kippour était beaucoup plus important ... il n'ya pas de défi au Liban que l'armée israélienne ne peut pas surmonter. Il n'est pas un village au Liban que l'armée israélienne ne peut pas écraser le Hezbollah en ". L'armée israélienne a également besoin d'augmenter considérablement le temps passe la formation, a dit l'officier, se référant à des coupes budgétaires. Sans des niveaux satisfaisants de formation, les forces terrestres devront payer une "taxe d'apprentissage élevé» dans les premiers jours de la guerre des prix dans le sang qui peut être atténué si l'argent est investi dans la formation. 


"La situation à la frontière israélo-libanaise est actuellement calme. Touristes arrivent dans la région. Nous ne nous considérons pas comme face à une guerre imminente. D'autre part, il ya beaucoup de développements et de l'instabilité", a déclaré l'officier. 


Petits incidents peuvent facilement conduire à des incidents majeurs, qui peuvent alors dégénérer en une guerre. 


Ceci, malgré le fait que personne ne veut une guerre maintenant, selon l'agent. 


"Mais si Nasrallah sent qu'il doit répondre à un incident, et procède à une attaque terroriste meurtrière à la frontière, ce qui pourrait déclencher une riposte israélienne, qui pourrait conduire à une réponse du Hezbollah, ce qui pourrait conduire à une escalade", at-il dit. 


Déclencheurs de conflit sont possibles comprennent une attaque terroriste à l'étranger par le Hezbollah visant des Israéliens, ce qui pourrait conduire à des représailles israéliennes directe contre le Hezbollah. Alternativement, une frappe aérienne israélienne contre un convoi de la contrebande d'armes pourrait inciter le Hezbollah de représailles. 


"Le Hezbollah n'est pas en détresse et il n'est pas juste de croire que ce ne sera pas faire une chose. Dans la« guerre entre les guerres de courant de la phase que nous sommes, où nous devons prendre des risques, il faut s'attendre à ce que cela peut conduire à une détérioration, et ne pas être surpris », a dit l'officier, faisant allusion aux conséquences de potentiels futurs raids aériens israéliens sur les armes de contrebande convois. 


Hezbollah est constamment importer de nouvelles armes en provenance d'Iran. Il peut proposer de nouveaux types de roquettes et de les faire industriel produit en masse en Iran ou en Syrie, avant de les recevoir au Liban, a dit l'officier. 


"Il n'y a rien qui ne puisse être mis en Liban", at-il ajouté. 


«Nous devons gérer les choses de manière responsable et avec précaution", a déclaré la source. 


"L'armée doit être très bien préparés." En mai, l'armée israélienne a amélioré ses mesures de sécurité les plus avancés sur la frontière avec le Liban, l'installation de nouveaux capteurs le long de la clôture. 


Le nouveau système multi-sensorielle, nommé Mars, active une gamme de capteurs, notamment des caméras et radars sensibles au mouvement humain. Les capteurs nourrissent une salle de contrôle qui surveille un large éventail de secteurs, et qui peut brouiller les forces en réponse à des mouvements suspects. Contrôleurs de Tsahal surveiller des dizaines de mouvements le long de la frontière chaque jour et de la nuit. 

Lors de l'attaque, le Hezbollah a planté deux bombes, composées chacune de 20 kilogrammes d'explosifs, ce qui suggère son intention était de tuer et de mutiler autant de soldats que possible. L'attaque a suivi un certain nombre de tentatives d'attaques terroristes du Hezbollah à l'étranger, et le bombardement d'un bus touristique dans la station balnéaire de Burgus, la Bulgarie, qui a tué cinq Israéliens en 2012. 


Selon les évaluations du renseignement israélien, le Hezbollah a le contrôle total du Sud Liban (la zone est surnommé «Hezbolland '), où rien ne se passe avec l'approbation de l'organisation chiite. 


Ses drapeaux jaunes sont une fois de plus voler à la frontière avec Israël, et armés, les hommes du Hezbollah en uniforme ont été repérés près de la frontière, un signe d'une nouvelle audace. 


Cela fait suite à une période de huit ans après la Seconde Guerre du Liban quand le Hezbollah a gardé un profil bas.

Citation :

Le Mossad a publié lundi un communiqué annonçant le lancement de son nouveau site en ligne de recrutement d'agents.


Le but de la rénovation du site est de proposer l'accès aux mythiques services de renseignements israéliens à des candidats potentiels pour remplir diverses missions allant de la fonction d'opérateurs de base jusqu'au service "action" en passant par l'exploitation de renseignements et la technologie cybernétique.
Le recrutement est divisé en quatre catégories principales: opérations, renseignements, technologie et divers.
Le Mossad reçoit des milliers de demandes chaque année, un chiffre qui est d'ailleurs en hausse constante. La plupart des candidats souhaitant rejoindre les services secrets israéliens sont issus du secteur high-tech ou ont fait des études commerciales, de droit ou même de médecine qui ont décidé de se lancer d'autres défis.
Le processus de recrutement est complexe et unique au monde, mais le Mossad ne donne, par la force des choses, aucune précision sur cette procédure.
Le site est également accessible en anglais et les questionnaires de recrutement dans plusieurs langues étrangères. Il est également doté d'une application pour smartphone.
"L'Etat d'Israël a été et est encore l'objet de menaces chaque jour. Il nous faut poursuivre le recrutement des meilleurs agents possible afin que le Mossad puisse continuer à protéger l'Etat d'Israël et sa pérennité. La richesse qualitative des ressources humaines du Mossad est le secret de la réussite de nos services. Le Mossad continuera d'agir en tout lieu et à tout moment afin de maintenir la sécurité de l'Etat d'Israël", a déclaré le directeur du Mossad Tamir Pardo à l'occasion du lancement du nouveau site internet.
Le Mossad, dont le nom signifie "l'Institut pour les Renseignements et les Opérations spéciales", est l'une des 3 agences de Renseignements israéliennes avec le Shabbak, les services de Sécurité intérieurs (plus connus sous le nom de Shin Beth) et l'Aman, les services de Renseignements militaires.

Citation :

Jihad Ali Alwan, malgré les pressions, réaffirme son soutien à Israël: « c’est la terre des juifs ! »

F-16I a écrit:

Quels rêves ?

DR LECTER a écrit:

F16i, sais on quel est la résolution affiché pour ofek 10 

Citation :

L'Allemagne accepte de vendre à Israël des bateaux lance-missiles

Citation :

Berlin a fini par accepter la vente de trois bateaux lance-missiles à Israël, moyennant une remise de 300 millions d'euros, rapporte le quotidien "Haaretz". Une décision motivée par la sécurité d'Israël et les intérêts économiques allemands.

C'est un accord qui vient apaiser plusieurs mois de tensions entre l'Allemagne et Israël. Berlin a fini par céder à l'État hébreu, qui souhaitait acquérir trois bateaux lance-missiles avec une remise de 300 millions d'euros, rapporte le quotidien israélien "Haaretz", dimanche 19 cotobre. Le marché devrait être finalisé au cours des prochaines semaines.

L'acquisition de ces bateaux, dont la valeur totale est estimée à 900 millions d'euros selon le journal, s'avère stratégique pour Israël qui entend ainsi protéger ses plateformes offshore de gaz, au large de ses côtes.
Cet accord met un terme à des mois de tergiversations et de crispations entre les deux pays. Début mai, excédée par la suspension des pourparlers de paix israélo-palestinien, l'Allemagne avait refusé d'accorder la remise de 30 % demandée par Israël. D'autant que Berlin s'était par ailleurs montré fort irrité par la poursuite des contructions dans les colonies cisjordiennes.

Le conseiller à la sécurité nationale de Merkel, Christoph Heusgen, avait donc signifié à son homologue israélien Yossi Cohen qu'aucune ristourne ne serait accordée dans ces conditions, rappelle "Haaretz". Des positions qui avaient accentué la tension déjà vive depuis cinq ans entre les deux pays, en raison des rapports difficiles entre la chancelière allemande Angela Merkel et le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou.
Menace réelle du Hezbollah

Deux mois plus tard, des pourparlers secrets avaient repris, grâce, selon "Haaretz", à plusieurs éléments. D'abord le déplacement à Berlin, fin juin, du ministre des Finances israélien Yaïr Lapid. L'homme était parvenu à calmer le courroux des autorités allemandes en leur faisant part de l'intention de gouvernement israélien de réduire le transfert d'argent vers les colonies.

Peu après, l'Allemagne auraient également pris la mesure de l'importance stratégique de ces bateaux-missiles pour la sécurité d'Israël. Le conseiller israélien à la sécurité nationale, Yossi Cohen, au cours d'un long entretien avec son homologue allemand, lui a fait comprendre "la menace réelle que le Hezbollah faisait peser sur les plateformes offshore", note le journal israélien. Et, note "Haaretz" en citant anonymement un membre de l'administration allemande, s'il est un sujet sensible aux yeux d'Angela Merkel, c'est bien la sécurité de l'État hébreu : "Même si elle est très critique [au sujet de la politique israélienne], quand il est question de la sécurité d'Israël, elle met tous les autres sujets de côté".

Enfin, l'intérêt économique de l'Allemagne a manifestement aussi motivé cette vente. Face au refus allemand de vendre à moindre coût, l'État hébreu avait examiné la possibilité d'acheter des bateaux similaires à la Corée du Sud. Une perte qui aurait représenté plusieurs centaines de millions d'euros pour l'Allemagne, où l'industrie navale emploie des milliers de salariés.

habiban a écrit:

Citation :

L'Allemagne accepte de vendre à Israël des bateaux lance-missiles

Citation :

Berlin a fini par accepter la vente de trois bateaux lance-missiles à Israël, moyennant une remise de 300 millions d'euros, rapporte le quotidien "Haaretz". Une décision motivée par la sécurité d'Israël et les intérêts économiques allemands.

C'est un accord qui vient apaiser plusieurs mois de tensions entre l'Allemagne et Israël. Berlin a fini par céder à l'État hébreu, qui souhaitait acquérir trois bateaux lance-missiles avec une remise de 300 millions d'euros, rapporte le quotidien israélien "Haaretz", dimanche 19 cotobre. Le marché devrait être finalisé au cours des prochaines semaines.

L'acquisition de ces bateaux, dont la valeur totale est estimée à 900 millions d'euros selon le journal, s'avère stratégique pour Israël qui entend ainsi protéger ses plateformes offshore de gaz, au large de ses côtes.
Cet accord met un terme à des mois de tergiversations et de crispations entre les deux pays. Début mai, excédée par la suspension des pourparlers de paix israélo-palestinien, l'Allemagne avait refusé d'accorder la remise de 30 % demandée par Israël. D'autant que Berlin s'était par ailleurs montré fort irrité par la poursuite des contructions dans les colonies cisjordiennes.

Le conseiller à la sécurité nationale de Merkel, Christoph Heusgen, avait donc signifié à son homologue israélien Yossi Cohen qu'aucune ristourne ne serait accordée dans ces conditions, rappelle "Haaretz". Des positions qui avaient accentué la tension déjà vive depuis cinq ans entre les deux pays, en raison des rapports difficiles entre la chancelière allemande Angela Merkel et le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou.
Menace réelle du Hezbollah

Deux mois plus tard, des pourparlers secrets avaient repris, grâce, selon "Haaretz", à plusieurs éléments. D'abord le déplacement à Berlin, fin juin, du ministre des Finances israélien Yaïr Lapid. L'homme était parvenu à calmer le courroux des autorités allemandes en leur faisant part de l'intention de gouvernement israélien de réduire le transfert d'argent vers les colonies.

Peu après, l'Allemagne auraient également pris la mesure de l'importance stratégique de ces bateaux-missiles pour la sécurité d'Israël. Le conseiller israélien à la sécurité nationale, Yossi Cohen, au cours d'un long entretien avec son homologue allemand, lui a fait comprendre "la menace réelle que le Hezbollah faisait peser sur les plateformes offshore", note le journal israélien. Et, note "Haaretz" en citant anonymement un membre de l'administration allemande, s'il est un sujet sensible aux yeux d'Angela Merkel, c'est bien la sécurité de l'État hébreu : "Même si elle est très critique [au sujet de la politique israélienne], quand il est question de la sécurité d'Israël, elle met tous les autres sujets de côté".

Enfin, l'intérêt économique de l'Allemagne a manifestement aussi motivé cette vente. Face au refus allemand de vendre à moindre coût, l'État hébreu avait examiné la possibilité d'acheter des bateaux similaires à la Corée du Sud. Une perte qui aurait représenté plusieurs centaines de millions d'euros pour l'Allemagne, où l'industrie navale emploie des milliers de salariés.

http://www.france24.com/fr/20141019-allemagne-berlin-israel-remise-vente-bateaux-lance-missiles-economie/?utm_medium=twitter&utm_source=dlvr.it

Citation :

La première nouvelle ville arabe d'Israël depuis sa création pourrait voir le jour avant la semaine prochaine, rapporte le quotidien israélien Haaretz.
La ville, qui sera construite près de la communauté arabe de Jdeideh Makr (à l'est d'Acre) pourra accueuillir jusqu'à 40.000 habitants.
A l'origine de cette initiative, l'Autorité territoriale israélienne (Israel Lands Authority), le ministère du Logement et de la Construction ainsi que l'Administration de la Planification au sein du ministère de l'Intérieur.
Des travaux entre ces différentes autorités ont eu lieu depuis 4 ans mais il est toujours difficile de garantir la date à laquelle débutera la construction de la ville d'une superficie d'environ 274 hectares.
Le but de cette nouvelle ville est notamment de fournir des terrains aux citoyens, mais aussi de véhiculer un message "à la population arabe que de nouvelles constructions sont en cours pour les Juifs mais aussi pour les Arabes", indique le rapport préparé par les planificateurs de la ville cité par Haaretz.
Une nouvelle ligne de train devrait être créée pour rendre accessible la ville, qui disposera d'immeubles d'au moins 6 étages et des parcs urbains.
L'équipe de planification a rencontré de nombreux planificateurs arabes, des maires et des universitaires, dont certains ont apporté leur soutien au projet comme une solution à la crise du logement, mais d'autres s'y sont opposés, invoquant la création d'une ville pour un groupe de population spécifique, note Haaretz.

Netanyahu aurait aussi approuvé quelque 2 000 nouveaux logements en Cisjordanie, ainsi que des projets d’infrastructure et de routes

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VOYAGE EN BARBARIE, SUR LA PISTE DES RÉFUGIÉS DU SINAÏ

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« Le tortionnaire nous a sortis de la cave et a brisé nos chaînes. Puis il nous a poussés vers le désert. Notre premier réflexe a été de marcher vers la frontière israélienne. On croyait qu’en voyant nos blessures, ils nous auraient laissés entrer. » Un an et demi a passé et Mariam n’en revient toujours pas. Relâchée du camp d’Abu Ahmed en mars 2013, après dix mois de tortures quotidiennes, elle a cru la fin de son calvaire proche. « Israël, c’était à dix minutes de marche du camp. » Traînant une plaie béante au pied dévorée par les asticots, elle part vers la frontière et escalade les premiers barbelés avec un groupe de rescapés.« De l’autre côté, les soldats israéliens ont fait semblant de ne pas nous voir. » Mariam et les autres passent six heures sous un soleil de plomb, sans eau, sans nourriture, à attendre. Prisonniers de deux rangées de barbelés. « A la fin de la journée, les soldats nous ont sortis de là et mis dans une voiture en nous disant qu’ils nous amenaient vers un centre de rétention. » Mais la voiture fait demi-tour et file côté Sinaï, tout droit vers une patrouille de l’armée égyptienne. « Nous étions une bande de squelettes sans force, et ils ont eu le courage de se jouer de nous. »


Pour celui qui veut s'etendre sur ces crimes :http://www.lemonde.fr/afrique/visuel/2014/10/13/voyage-en-barbarie-dans-le-desert-du-sinai_4501271_3212.html

F-16I a écrit:

Le conseil des ministres a approuvé des peines plus sévères pour les lanceurs de pierres,qui maintenant risqueront jusqu'à 20 ans de prison sans possibilité de remise de peine.
Cette décision fait suite aux émeutes qui secouent Jérusalem....

http://www.ynetnews.com/articles/0,7340,L-4587022,00.html