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 nucleaire

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MessageSujet: nucleaire    nucleaire  Icon_minitimeSam 2 Mar - 19:17

http://www.wikistrike.com/article-l-algerie-peut-avoir-la-bombe-atomique-entre-3-et-4-ans-93324571.html[url]Un chercheur annonce : «L'Algérie a les moyens de produire son arme atomique» «L'Algérie a, si elle le veut, les moyens de produire son arme atomique en 36 à 46 mois.» Cette déclaration est de Farid Benyahia, docteur en relations internationales diplomatiques, qui a animé, hier, une conférence-débat au forum du quotidien El Moudjahid sur «l'impact de l'utilisation de la nanotechnologie sur les systèmes d'information et la guerre électronique». Selon lui, l'Algérie dispose de l'infrastructure nécessaire (le réacteur d'Aïn Oussara) bien avant le Pakistan - qui est aujourd'hui une puissance nucléaire - et l'Iran qui cherche à le devenir. «Ce qui nous manque, c'est la volonté politique», relève-t-il. Les priorités des autorités, «pour le moment», sont d'après lui l'amorce d'un développement économique hors hydrocarbures, l'investissement dans les énergies renouvelables et la sécurité intérieure du pays. M. Benyahia défend l'option du nucléaire en ce sens que les engins atomiques constituent une arme de dissuasion contre toute attaque militaire étrangère directe. Dans le cas de l'Algérie, «il faut un changement de politique, des finances et des compétences». «Les puissances nucléaires ne se sont jamais fait la guerre», fait-il observer. Le conférencier fait aussi part d'un débat chez les stratèges de l'armée algérienne sur la nécessité de s'équiper plutôt de matériel léger mais doté de haute technologie plutôt que de continuer à acquérir un arsenal lourd. «L'Algérie est la première puissance de feu à l'échelle africaine», indique-t-il. L'invité du forum d'El Moudjahid plaide pour un système de défense militaire basé sur l'acquisition des nanotechnologies et l'encouragement de la recherche dans ce domaine en favorisant surtout l'apparition des thinks thanks (laboratoires d'idées) regroupant des experts qui produisent des études et des propositions diverses. Les nanotechnologies sont au croisement de plusieurs disciplines scientifiques comme l'électronique, la mécanique, la chimie et la biologie ; elles manipulent des objets d'une taille de l'ordre du nanomètre (un milliardième), une unité beaucoup plus petite que le centimètre. «Les responsables algériens manquent de visibilité en matière de nanotechnologies et de guerre électronique», estime M. Benyahia. Les capacités de l’Iran dans la guerre électronique Pour illustrer «la guerre électronique» en cours dans le monde, qui est à son avis celle des mathématiciens, des électroniciens et des informaticiens - alors que la Première Guerre mondiale était celle des chimistes et la seconde celle des physiciens, il donne un exemple d'une brûlante actualité vécu au Moyen-Orient. En effet, les Gardiens de la révolution iranienne ont annoncé, le mercredi 4 décembre, l'interception d'un drone américain RQ-170 Sentinel en mission d'espionnage au-dessus du pays pour le compte de la CIA. Appelé aussi «la bête de Kandahar», ce magnifique bijou électronique a quitté une base militaire en Afghanistan pour une mission de reconnaissance, avant d'être forcé d'atterrir en territoire iranien. Selon Téhéran, cette prise de guerre a été réalisée par un détournement conduit par des spécialistes de la guerre électronique, à travers une intrusion dans le système de guidage GPS du drone. Les Iraniens révèlent avoir intercepté auparavant six autres drones espions, quatre appartenant aux Israéliens et deux aux Américains. La Maison-Blanche, reconnaissant cette perte, exige la restitution de la «bête de Kandahar» et parle «d’incident technique» pour expliquer cette mésaventure. Cela n'a pas convaincu les spécialistes qui s'interrogent sur le fait que les Américains n'ont pas prévu un système d'autodestruction en cas d'interception du drone. Un ancien officier de la CIA, tout en mettant l'accent sur la capacité défensive et de renseignements de l'Iran, a souligné que la perte du drone était une bonne leçon pour Washington pour ne pas sous-estimer la capacité de l'Iran. Selon lui, cette interception avait comme message pour l'armée américaine d'être plus prudente et de savoir que la capacité défensive de l'Iran est beaucoup plus que les autorités américaines s'imaginent. Cet épisode ne signifie pas que les deux pays se situent au même niveau de développement technologique. «Les Iraniens malgré l'embargo international, sont arrivés à un niveau de décryptage très avancé. Dans le domaine scientifique, tout se vend et tout s'achète avec quelques difficultés à surmonter. Cela demande un haut niveau de renseignement. Je pense que les Iraniens ont acquis une certaine matière technologique de manière informelle et une autre de manière formelle. C'est une réalité», explique M. Benyahia. Intervenant lors du débat, l'expert international en économie, Mebarek Malek Serraï, s'est dit surpris d'entendre un ami de longue date, un homme qui a fait campagne à l'est du pays, en 2005, en faveur du référendum sur la paix et la réconciliation nationale, développer un discours en faveur du nucléaire, entendu comme un soutien aux manières fortes dans le règlement des relations internationales. L'intéressé réplique qu'il souscrit pleinement à l'idéal de la paix mais qu'il y a une réalité sur le terrain qu'il faut voir de face. Sa religion est faite : «Il faut être fort pour imposer la paix.» D.C. http://www.letempsdz.com//content/view/67564/177/ inShare1Plus Email Lien Imprimer Partager l'article ! L'Algérie peut avoir la bombe atomique entre 3 et 4 ans !: Un chercheur annonce : «L'Algérie a les moyens de produire son arme atomique ... inSharePar wikistrike.com - Publié dans : Politique internationale Ecrire un commentaire 1 - Voir le commentaire - Voir les 1 commentaires Précédent : Le voyage de particules de lumière... Retour à l'accueil Suivant : Micro-puce sous-cutanée : la menace... Infos / Contact Liste d'articles Washington admet enfin la validité de l’élection d’Ahmadinejad Erdogan veut criminaliser l’islamophobie au même titre que l’antisémitisme Australie: Les francs-maçons se paient une téléréalité pour améliorer leur image Sarah Palin : Les USA sont foutus et le gouvernement stocke des munitions en prévision de troubles civils ! Voir tous les articles de la catégorie "Politiq[/url]
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MessageSujet: Re: nucleaire    nucleaire  Icon_minitimeSam 2 Mar - 19:57

sukhoi 30mka a écrit:
http://www.wikistrike.com/article-l-algerie-peut-avoir-la-bombe-atomique-entre-3-et-4-ans-93324571.html[url]Un chercheur annonce : «L'Algérie a les moyens de produire son arme atomique» «L'Algérie a, si elle le veut, les moyens de produire son arme atomique en 36 à 46 mois.» Cette déclaration est de Farid Benyahia, docteur en relations internationales diplomatiques, qui a animé, hier, une conférence-débat au forum du quotidien El Moudjahid sur «l'impact de l'utilisation de la nanotechnologie sur les systèmes d'information et la guerre électronique». Selon lui, l'Algérie dispose de l'infrastructure nécessaire (le réacteur d'Aïn Oussara) bien avant le Pakistan - qui est aujourd'hui une puissance nucléaire - et l'Iran qui cherche à le devenir. «Ce qui nous manque, c'est la volonté politique», relève-t-il. Les priorités des autorités, «pour le moment», sont d'après lui l'amorce d'un développement économique hors hydrocarbures, l'investissement dans les énergies renouvelables et la sécurité intérieure du pays. M. Benyahia défend l'option du nucléaire en ce sens que les engins atomiques constituent une arme de dissuasion contre toute attaque militaire étrangère directe. Dans le cas de l'Algérie, «il faut un changement de politique, des finances et des compétences». «Les puissances nucléaires ne se sont jamais fait la guerre», fait-il observer. Le conférencier fait aussi part d'un débat chez les stratèges de l'armée algérienne sur la nécessité de s'équiper plutôt de matériel léger mais doté de haute technologie plutôt que de continuer à acquérir un arsenal lourd. «L'Algérie est la première puissance de feu à l'échelle africaine», indique-t-il. L'invité du forum d'El Moudjahid plaide pour un système de défense militaire basé sur l'acquisition des nanotechnologies et l'encouragement de la recherche dans ce domaine en favorisant surtout l'apparition des thinks thanks (laboratoires d'idées) regroupant des experts qui produisent des études et des propositions diverses. Les nanotechnologies sont au croisement de plusieurs disciplines scientifiques comme l'électronique, la mécanique, la chimie et la biologie ; elles manipulent des objets d'une taille de l'ordre du nanomètre (un milliardième), une unité beaucoup plus petite que le centimètre. «Les responsables algériens manquent de visibilité en matière de nanotechnologies et de guerre électronique», estime M. Benyahia. Les capacités de l’Iran dans la guerre électronique Pour illustrer «la guerre électronique» en cours dans le monde, qui est à son avis celle des mathématiciens, des électroniciens et des informaticiens - alors que la Première Guerre mondiale était celle des chimistes et la seconde celle des physiciens, il donne un exemple d'une brûlante actualité vécu au Moyen-Orient. En effet, les Gardiens de la révolution iranienne ont annoncé, le mercredi 4 décembre, l'interception d'un drone américain RQ-170 Sentinel en mission d'espionnage au-dessus du pays pour le compte de la CIA. Appelé aussi «la bête de Kandahar», ce magnifique bijou électronique a quitté une base militaire en Afghanistan pour une mission de reconnaissance, avant d'être forcé d'atterrir en territoire iranien. Selon Téhéran, cette prise de guerre a été réalisée par un détournement conduit par des spécialistes de la guerre électronique, à travers une intrusion dans le système de guidage GPS du drone. Les Iraniens révèlent avoir intercepté auparavant six autres drones espions, quatre appartenant aux Israéliens et deux aux Américains. La Maison-Blanche, reconnaissant cette perte, exige la restitution de la «bête de Kandahar» et parle «d’incident technique» pour expliquer cette mésaventure. Cela n'a pas convaincu les spécialistes qui s'interrogent sur le fait que les Américains n'ont pas prévu un système d'autodestruction en cas d'interception du drone. Un ancien officier de la CIA, tout en mettant l'accent sur la capacité défensive et de renseignements de l'Iran, a souligné que la perte du drone était une bonne leçon pour Washington pour ne pas sous-estimer la capacité de l'Iran. Selon lui, cette interception avait comme message pour l'armée américaine d'être plus prudente et de savoir que la capacité défensive de l'Iran est beaucoup plus que les autorités américaines s'imaginent. Cet épisode ne signifie pas que les deux pays se situent au même niveau de développement technologique. «Les Iraniens malgré l'embargo international, sont arrivés à un niveau de décryptage très avancé. Dans le domaine scientifique, tout se vend et tout s'achète avec quelques difficultés à surmonter. Cela demande un haut niveau de renseignement. Je pense que les Iraniens ont acquis une certaine matière technologique de manière informelle et une autre de manière formelle. C'est une réalité», explique M. Benyahia. Intervenant lors du débat, l'expert international en économie, Mebarek Malek Serraï, s'est dit surpris d'entendre un ami de longue date, un homme qui a fait campagne à l'est du pays, en 2005, en faveur du référendum sur la paix et la réconciliation nationale, développer un discours en faveur du nucléaire, entendu comme un soutien aux manières fortes dans le règlement des relations internationales. L'intéressé réplique qu'il souscrit pleinement à l'idéal de la paix mais qu'il y a une réalité sur le terrain qu'il faut voir de face. Sa religion est faite : «Il faut être fort pour imposer la paix.» D.C. http://www.letempsdz.com//content/view/67564/177/ inShare1Plus Email Lien Imprimer Partager l'article ! L'Algérie peut avoir la bombe atomique entre 3 et 4 ans !: Un chercheur annonce : «L'Algérie a les moyens de produire son arme atomique ... inSharePar wikistrike.com - Publié dans : Politique internationale Ecrire un commentaire 1 - Voir le commentaire - Voir les 1 commentaires Précédent : Le voyage de particules de lumière... Retour à l'accueil Suivant : Micro-puce sous-cutanée : la menace... Infos / Contact Liste d'articles Washington admet enfin la validité de l’élection d’Ahmadinejad Erdogan veut criminaliser l’islamophobie au même titre que l’antisémitisme Australie: Les francs-maçons se paient une téléréalité pour améliorer leur image Sarah Palin : Les USA sont foutus et le gouvernement stocke des munitions en prévision de troubles civils ! Voir tous les articles de la catégorie "Politiq[/url]

Je connais le contexte de cette déclaration, on lui reproche, dont moi je suis de cette avis, qu'il n'a pas précisé que notre programme nucléaire est résoluement pacifique, actuellement développer avec l'aide des grandes nations spécialistes du domaines ; essentiellement les états-unis et de la france et sous un contrôle qui s'effectue régulièrement et total sous la supervision TOTALE de l'agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) qui nous conseille et nous fournit l'aide scientifique nécessaire pour développer un secteur O combien nécessaire pour les études médicales, soigner le cancer (on produit les pastilles pour les thérapies anti-tumeurs par rayons atomiques), également les maladies, et l'agriculteur et la lutte contre les parasites.
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MessageSujet: Re: nucleaire    nucleaire  Icon_minitimeSam 2 Mar - 21:30

oui oui on a bien les moyen de produire la bombe on 3ans...meme pas...mais on le fait pas...rimonidz on fait le nucléaire avec les chinois aussi non?
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MessageSujet: Re: nucleaire    nucleaire  Icon_minitimeSam 2 Mar - 21:44

rimonidz a écrit:
sukhoi 30mka a écrit:
http://www.wikistrike.com/article-l-algerie-peut-avoir-la-bombe-atomique-entre-3-et-4-ans-93324571.html[url]Un chercheur annonce : «L'Algérie a les moyens de produire son arme atomique» «L'Algérie a, si elle le veut, les moyens de produire son arme atomique en 36 à 46 mois.» Cette déclaration est de Farid Benyahia, docteur en relations internationales diplomatiques, qui a animé, hier, une conférence-débat au forum du quotidien El Moudjahid sur «l'impact de l'utilisation de la nanotechnologie sur les systèmes d'information et la guerre électronique». Selon lui, l'Algérie dispose de l'infrastructure nécessaire (le réacteur d'Aïn Oussara) bien avant le Pakistan - qui est aujourd'hui une puissance nucléaire - et l'Iran qui cherche à le devenir. «Ce qui nous manque, c'est la volonté politique», relève-t-il. Les priorités des autorités, «pour le moment», sont d'après lui l'amorce d'un développement économique hors hydrocarbures, l'investissement dans les énergies renouvelables et la sécurité intérieure du pays. M. Benyahia défend l'option du nucléaire en ce sens que les engins atomiques constituent une arme de dissuasion contre toute attaque militaire étrangère directe. Dans le cas de l'Algérie, «il faut un changement de politique, des finances et des compétences». «Les puissances nucléaires ne se sont jamais fait la guerre», fait-il observer. Le conférencier fait aussi part d'un débat chez les stratèges de l'armée algérienne sur la nécessité de s'équiper plutôt de matériel léger mais doté de haute technologie plutôt que de continuer à acquérir un arsenal lourd. «L'Algérie est la première puissance de feu à l'échelle africaine», indique-t-il. L'invité du forum d'El Moudjahid plaide pour un système de défense militaire basé sur l'acquisition des nanotechnologies et l'encouragement de la recherche dans ce domaine en favorisant surtout l'apparition des thinks thanks (laboratoires d'idées) regroupant des experts qui produisent des études et des propositions diverses. Les nanotechnologies sont au croisement de plusieurs disciplines scientifiques comme l'électronique, la mécanique, la chimie et la biologie ; elles manipulent des objets d'une taille de l'ordre du nanomètre (un milliardième), une unité beaucoup plus petite que le centimètre. «Les responsables algériens manquent de visibilité en matière de nanotechnologies et de guerre électronique», estime M. Benyahia. Les capacités de l’Iran dans la guerre électronique Pour illustrer «la guerre électronique» en cours dans le monde, qui est à son avis celle des mathématiciens, des électroniciens et des informaticiens - alors que la Première Guerre mondiale était celle des chimistes et la seconde celle des physiciens, il donne un exemple d'une brûlante actualité vécu au Moyen-Orient. En effet, les Gardiens de la révolution iranienne ont annoncé, le mercredi 4 décembre, l'interception d'un drone américain RQ-170 Sentinel en mission d'espionnage au-dessus du pays pour le compte de la CIA. Appelé aussi «la bête de Kandahar», ce magnifique bijou électronique a quitté une base militaire en Afghanistan pour une mission de reconnaissance, avant d'être forcé d'atterrir en territoire iranien. Selon Téhéran, cette prise de guerre a été réalisée par un détournement conduit par des spécialistes de la guerre électronique, à travers une intrusion dans le système de guidage GPS du drone. Les Iraniens révèlent avoir intercepté auparavant six autres drones espions, quatre appartenant aux Israéliens et deux aux Américains. La Maison-Blanche, reconnaissant cette perte, exige la restitution de la «bête de Kandahar» et parle «d’incident technique» pour expliquer cette mésaventure. Cela n'a pas convaincu les spécialistes qui s'interrogent sur le fait que les Américains n'ont pas prévu un système d'autodestruction en cas d'interception du drone. Un ancien officier de la CIA, tout en mettant l'accent sur la capacité défensive et de renseignements de l'Iran, a souligné que la perte du drone était une bonne leçon pour Washington pour ne pas sous-estimer la capacité de l'Iran. Selon lui, cette interception avait comme message pour l'armée américaine d'être plus prudente et de savoir que la capacité défensive de l'Iran est beaucoup plus que les autorités américaines s'imaginent. Cet épisode ne signifie pas que les deux pays se situent au même niveau de développement technologique. «Les Iraniens malgré l'embargo international, sont arrivés à un niveau de décryptage très avancé. Dans le domaine scientifique, tout se vend et tout s'achète avec quelques difficultés à surmonter. Cela demande un haut niveau de renseignement. Je pense que les Iraniens ont acquis une certaine matière technologique de manière informelle et une autre de manière formelle. C'est une réalité», explique M. Benyahia. Intervenant lors du débat, l'expert international en économie, Mebarek Malek Serraï, s'est dit surpris d'entendre un ami de longue date, un homme qui a fait campagne à l'est du pays, en 2005, en faveur du référendum sur la paix et la réconciliation nationale, développer un discours en faveur du nucléaire, entendu comme un soutien aux manières fortes dans le règlement des relations internationales. L'intéressé réplique qu'il souscrit pleinement à l'idéal de la paix mais qu'il y a une réalité sur le terrain qu'il faut voir de face. Sa religion est faite : «Il faut être fort pour imposer la paix.» D.C. http://www.letempsdz.com//content/view/67564/177/ inShare1Plus Email Lien Imprimer Partager l'article ! L'Algérie peut avoir la bombe atomique entre 3 et 4 ans !: Un chercheur annonce : «L'Algérie a les moyens de produire son arme atomique ... inSharePar wikistrike.com - Publié dans : Politique internationale Ecrire un commentaire 1 - Voir le commentaire - Voir les 1 commentaires Précédent : Le voyage de particules de lumière... Retour à l'accueil Suivant : Micro-puce sous-cutanée : la menace... Infos / Contact Liste d'articles Washington admet enfin la validité de l’élection d’Ahmadinejad Erdogan veut criminaliser l’islamophobie au même titre que l’antisémitisme Australie: Les francs-maçons se paient une téléréalité pour améliorer leur image Sarah Palin : Les USA sont foutus et le gouvernement stocke des munitions en prévision de troubles civils ! Voir tous les articles de la catégorie "Politiq[/url]

Je connais le contexte de cette déclaration, on lui reproche, dont moi je suis de cette avis, qu'il n'a pas précisé que notre programme nucléaire est résoluement pacifique, actuellement développer avec l'aide des grandes nations spécialistes du domaines ; essentiellement les états-unis et de la france et sous un contrôle qui s'effectue régulièrement et total sous la supervision TOTALE de l'agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) qui nous conseille et nous fournit l'aide scientifique nécessaire pour développer un secteur O combien nécessaire pour les études médicales, soigner le cancer (on produit les pastilles pour les thérapies anti-tumeurs par rayons atomiques), également les maladies, et l'agriculteur et la lutte contre les parasites.
rimonidz excuse moi , mais le monsieur ne dis pas que l'algerie travail pour une arme atomique , mais il s'uggere que l'algerie doit avoir sa bombe comme arme dissuasive pour contrer toute tentation d'attaque contre sa souveraineté
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MessageSujet: Re: nucleaire    nucleaire  Icon_minitimeDim 3 Mar - 1:01

+1 su-30 mais c trop risqué de penser a sa tant kan et dépendant nucleaire  1753695682
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MessageSujet: Re: nucleaire    nucleaire  Icon_minitime

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