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 la NSA

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MessageSujet: la NSA   la NSA Icon_minitimeMar 25 Juin - 10:06

la NSA 200px-National_Security_Agency.svgLa National Security Agency (NSA, « Agence américaine de la sécurité ») est un organisme gouvernemental dudépartement de la Défense des États-Unis, responsable du renseignement d'origine électromagnétique et de la sécurisation des systèmes de communications et de traitement des données du gouvernement américain.
Le Central Security Service (CSS) est une agence qui loge dans les mêmes bureaux que la NSA et qui a été créée dans le but de coordonner les efforts des sections de cryptographie de la NSA et de l'armée américaine.
[th]Création[/th][th]Juridiction[/th][th]Siège[/th][th]Coordonnées[/th][th]Employés[/th][th]Budget annuel[/th][th]Activité(s)[/th][th]Direction[/th][th]Agence mère[/th]La NSA/CSS est chargée de diriger les activités de cryptologie du gouvernement américain. La cryptologie, selon sa définition, comprend deux missions principales3 :Signals Intelligence (SIGINT), c'est-à-dire le renseignement d'origine électromagnétique ;Information Assurance (IA), la sécurité des systèmes de communications et de traitement des données.En pratique, la NSA est le seul collecteur et traiteur de Communications Intelligence (renseignement venant de l'interception de communications), le principal (mais pas le seul) traitant de Foreign Instrumentation Signals Intelligence (FISINT), et coordonne le programme d’Electronic Intelligence (ELINT) depuis 1958. La NSA est également chargée depuis les années 80 de la formation des services du gouvernement à l’Operations Security (OPSEC).La NSA dirige l’US Cryptologic System (USCS)note 1 qui englobe les entités du gouvernement américain chargées du SIGINT et de l'IA4. En plus de la NSA, l'USCS comprend les Service Cryptologic Components (SCC, « composants cryptologiques des services », c'est-à-dire les éléments chargés du SIGINT des forces armées des États-Unis)note 2 et des milliers de personnes chargées du SIGINT dans divers commandements et unités militaires de par le monde. La NSA contrôle aussi les opérations de SIGINT de la Central Intelligence Agency (CIA) et notamment leur service conjoint de collecte clandestine de renseignement, le Special Collection Service (SCS)5.Le directeur de la NSA est également chef du Central Security Service (CSS) et commandant du United States Cyber Command (USCYBERCOM).


4 novembre 1952
Gouvernement fédéral des États-Unis
la NSA 20px-Flag_of_the_United_States.svg Fort George G. Meade,Maryland
la NSA 18px-Geographylogo.svg39° 06′ 32″ N 76° 46′ 12″ O  
Estimés à 38 000+ en janvier 20091
Estimé à 15 millards de dollars pour 20102
Renseignement d'origine électromagnétiquesécurité des systèmes d'information
Lieutenant général Keith B. Alexander (Director, NSA / Chief, CSS)
John C. Inglis (Deputy Director, NSA)
Département de la Défense des États-Unis
Membre de l'Intelligence Community

la NSA La National Security Agency (NSA, « Agence américaine de la sécurité ») est un organisme gouvernemental du département de la Défense des États-Unis, responsable du renseignement d'origine électromagnétique et de la sécurisation des systèmes de communications et de traitement des données du gouvernement américain. Le Central Security Service (CSS) est une agence qui loge dans les mêmes bureaux que la NSA et qui a été créée dans le but de coordonner les efforts des sections de cryptographie de la NSA et de l'armée américaine
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MessageSujet: Re: la NSA   la NSA Icon_minitimeMar 25 Juin - 10:08

Espionnage: Washington demande à Moscou de lui livrer Snowden
par: AFP publié le : 25/06/2013 à 08:33 18 vues Dans: International
la NSA 0c7e5e3d76be27997b183aac11d4a852d954cb6f
Edward Snowden s'est fait recruter par un sous-traitant de l'Agence nationale de sécurité (NSA) américaine dans le but de recueillir des preuves de son vaste programme d'espionnage des communications, a rapporté mardi le South China Morning Post, le grand quotidien anglophone de Hong Kong. - Copyright : AFP/Archives

Hong Kong (AFP)
Les Etats-Unis ont mis la Russie en demeure de lui livrer l’ex-consultant de l’agence de renseignement américaine NSA Edward Snowden, arrivé dimanche à Moscou en provenance de Hong Kong et qui restait introuvable mardi alors qu’il cherche à obtenir l’asile politique en Equateur.
A l’origine des spectaculaires révélations sur l’espionnage par l’Agence nationale de sécurité (NSA) américaine de communications téléphoniques et internet aux Etats-Unis et à l’étranger, Edward Snowden est considéré comme un traître par Washington qui a demandé son arrestation, pour l’instant sans succès, à Hong Kong et Pékin, puis Moscou.
Selon le fondateur de WikiLeaks, Julian Assange, le jeune technicien américain, dont les Etats-Unis ont invalidé le passeport, est porteur de « papiers de réfugié » délivrés par l’Equateur.
Il est « en bonne santé et en sécurité », a-t-il affirmé lundi, sans préciser où il se trouvait, dans une conférence par téléphone à l’ambassade d’Equateur à Londres où lui-même est réfugié depuis un an.
Très remontée contre Hong Kong qui a laissé partir M. Snowden officiellement pour des raisons juridiques, la Maison Blanche a fermement demandé à la Russie « d’étudier toutes les options à sa disposition pour expulser M. Snowden vers les Etats-Unis ».
Le président Barack Obama lui-même a déclaré que son pays suivait « toutes les voies légales et travaillait avec plusieurs autres pays » pour obtenir son arrestation.
Le secrétaire d’Etat américain John Kerry a menacé lundi la Chine et la Russie de conséquences sur leurs relations avec Washington, en jugeant « très décevant » le fait que l’ancien consultant de la CIA ait pu voyager de Hong Kong vers Moscou.
Snowden a « trahi son pays », a affirmé le chef de la diplomatie américaine, en visite en Inde.
Le porte-parole de la Maison Blanche, Jay Carney, a fustigé « un choix délibéré du gouvernement (chinois) de libérer un fugitif en dépit d’un mandat d’arrêt valide ». « Cette décision a incontestablement un impact négatif sur la relation » entre les deux pays, a-t-il ajouté.
Des sources informées ont indiqué à l’agence Interfax que la Russie étudiait une demande d’extradition présentée par les Etats-Unis.
Mais une autre source a déclaré que M. Snowden ne pouvait pas être interpellé et extradé « dans la mesure où il n’a pas franchi la frontière russe », faisant apparemment allusion à la présence du jeune Américain dans la zone de transit de l’aéroport Moscou-Cheremetievo.
Les informations contradictoires se sont multipliées toute la journée sur le sort de M. Snowden, qui n’a apparemment pas embarqué à bord du vol Moscou-La Havane, sur lequel il était enregistré et qui a décollé lundi en début d’après-midi.
Selon une source proche du dossier citée par l’agence Interfax, il a sans doute déjà quitté la Russie. « Il a pu prendre un autre vol. Il est peu probable que les journalistes aient été témoins du décollage de son avion », a dit cette source.
Mais une autre source au sein des services de sécurité de l’aéroport a affirmé à l’agence officielle Itar-Tass que l’Américain se trouvait encore dans la zone de transit de Cheremetievo.
Snowden était censé partir à Cuba pour rejoindre ensuite l’Equateur où il a demandé l’asile politique.
Il s’était réfugié à Hong Kong le 20 mai après avoir quitté son domicile de Hawaï où il travaillait pour un sous-traitant de la NSA.
Dans un entretien avec le South China Morning Post réalisé le 12 juin mais publié ce mardi, Edward Snowden affirme s’être fait recruter par la firme Booz Allen Hamilton dans le but de recueillir des preuves des activités de la NSA.
« Mes fonctions au sein Booz Allen Hamilton me donnaient accès aux listes de machines (ordinateurs, téléphones portables, NDLR) espionnées à travers le monde par la NSA », a-t-il déclaré au quotidien anglophone de Hong Kong.
« C’est pour ça que j’ai accepté le poste il y a trois mois », a-t-il expliqué.
L’entreprise a licencié le jeune Américain après les premières fuites dans la presse.
Inculpé notamment d’espionnage, Edward Snowden encourt 30 ans de réclusion aux Etats-Unis.
Le président équatorien, Rafael Correa, a annoncé lundi que son pays analyserait « avec une très grande responsabilité » la demande d’asile d’Edward Snowden.
« Nous prendrons la décision que nous estimons la plus adaptée dans le respect absolu de notre souveraineté », a ajouté M. Correa sur son compte Twitter.
L’Equateur a déjà accordé l’asile à Julian Assange, lui-même recherché par les Etats-Unis pour avoir publié en 2010 des centaines de milliers de documents diplomatiques confidentiels.
Signature : AFP
Copyright : © 2013 AFP
http://fr.starafrica.com/actualites/espionnage-washington-demande-a-moscou-de-lui-livrer-snowden.html
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MessageSujet: Re: la NSA   la NSA Icon_minitimeMer 26 Juin - 14:09

Alain Benajam



Citation :
Edward Snowden n'a rien révélé que tout le monde ne sache depuis longtemps et surtout les services de renseignement de tous les états à savoir l'espionnage par la NSA ou plutôt le réseau Echelon de tout ce qui communique dans le monde. Le réseau Echelon est d'ailleurs partagé entre les USA, l'UK, le Canada, l'Australie et la Nouvelle Zélande. Il y a même une station d'écoute d'Echelon en Chine qui avait été installé pour espionner l'URSS. Ce système s'occupe surtout d'espionnage économique et pour casser les contrats d'armement de la France notamment et les contrats commerciaux allemands.
La France en collaboration avec l'Allemagne dispose d'un système similaire ainsi que le Japon, la Chine et vraisemblablement la Russie. De sorte que quand votre conjoint vous appelle pour dire "chéri ramène le pain" une multitude de systèmes informatiques automatiques analyse cette simple demande.
Reste à savoir, pourquoi ce scandale maintenant "révélé" par la presse au service de l'impérialisme, toutes les supputations son permises. Snowden ne serait-il pas simplement un agent US mis sur orbite ? Tout comme Assenge d'ailleurs qui n'a jamais rien révélé.
Que ces gens commencent par nous dire ce qui s'est passé le 11 septembre 2001 et ils seront crédibles.
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MessageSujet: Re: la NSA   la NSA Icon_minitimeMer 26 Juin - 14:12

Les conséquences de l’espionnage mondial pratiqué par les Etats-Unis (Partie 3/4)

la NSA Usa2
Citation :
Les chefs d’Etat et de gouvernements de l’Ouest ont établi, d’un commun accord, un plan d’action de  guerre secrète dans laquelle les Etats-Unis, en tant que coordinateur de l’opération devait se concentrer principalement sur la situation en URSS, pendant que l’Allemagne et la Grande-Bretagne s’occuperaient (avec les États-Unis)  de l’Allemagne de l’Est, la Pologne et la Tchécoslovaquie, et que la France, les Pays-Bas et l’Italie (sous le leadership américain) se chargeaient de la Hongrie, la Bulgarie et la Roumanie.
Le plan d’action stipule que la guerre secrète menée contre l’économie socialiste doit suivre quatre directions.
1. Rétablir un tiers-monde et restaurer la domination capitaliste à travers une nouvelle forme néocoloniale.
2. Reconstruire les anciens marchés en expulsant les sociétés des états socialistes.
3. Transformer la zone des pays ayant connu des régimes socialistes en simples marchés pour les produits industriels des pays développés capitalistes.
4. Prise de contrôle des principales sources d’énergie: pétrole, gaz naturel, l’énergie nucléaire.
Le plan d’action de la guerre secrète menée contre l’économie socialiste est conçu pour suivre différentes phases :
I. Phase de préparation, sur une période estimée entre 10 et 15 ans au cours desquels ont été utilisés, en secret, tous les moyens pour saper l’économie des pays socialistes.
II. Étape fondamentale d’actions de changement de l’Europe socialiste selon le principe de l’effet domino à partir de déclenchements simultanés de pseudo révolutions. Cette phase devait avoir une durée de 1 an maximum.
III. Phase d’actions de transition des pays socialistes d’Europe, d’une durée de 5-8 ans. L’objectif immédiat est la dissolution du Comecon, la désintégration du  Pacte de Varsovie, le démantèlement de l’URSS, et le démembrement de la Tchécoslovaquie et de la Yougoslavie.
IV. Phase de consolidation de l’occupation occidentale des pays ‘’de facto’’ conquis, neutralisation de la Russie et arrêt du développement de la République Populaire de Chine. Cette période est estimée à 10 ans. Suivraient ensuite la République démocratique de Corée et la République démocratique du Vietnam qui seraient placées sous contrôle américano-nippo-sud-coréen. Les autres cibles étaient l’Iran, l’Irak, la Libye et la Syrie, accusés de communisme islamique.
Le plan visant à détruire l’adversaire idéologique par une guerre secrète mondiale marque une première mondiale dans l’histoire de la guerre et de l’humanité, considérant que c’est le concept le plus audacieux qui ait jamais été élaboré dans le domaine de l’information secrète. Pour les scénarios des révolutions de 1989, qui n’étaient rien de plus que des opérations d’infiltration à grande échelle, ont révélé le degré de raffinement dans l’art de la diversion dans la doctrine militaire américaine qui a réussi à détruire l’ennemi chez lui, sans déploiements de troupes. Cette guerre secrète a réussi, jusqu’à aujourd’hui, à détruire non seulement le socialisme, mais aussi les gens en Europe de l’Est et en l’URSS.
Les manuels d’Histoire nous enseigne que l’idée de la guerre, surtout la guerre secrète, provoque l’indignation, la répulsion, alors que l’idée de révolution provoque la sympathie et bénéficie de publicité pour le progrès de l’humanité qu’elle véhicule, ce qui explique que l’accès aux détails des révolutions n’est pas censuré. Ce qui est bizarre, c’est que dans les anciens pays communistes d’Europe de l’Est, les informations sur la guerre secrète n’étaient accessibles qu’aux leaders politiques de ces pays, leurs gouvernements et les militaires de haut rang, renforçant le soupçon qu’ils étaient des produits au service de l’Amérique et de l’occident. Ce qui expliquerait alors l’ordre que l’OTAN a envoyé, en 2004, aux anciens pays socialistes d’Europe, immédiatement après avoir été admis dans cette organisation, pour classer tous les documents relatifs aux révolutions en Europe de 1989 à 1991.


Par Valentin Vasilescu, pilote d’aviation, ancien commandant adjoint des forces militaires à l’Aéroport Otopeni, diplômé en sciences militaires à l’Académie des études militaires à Bucarest 1992.
Traduction : Avic
http://avicennesy.wordpress.com/2013/06/26/les-consequences-de-lespionnage-mondial-pratique-par-les-etats-unis-partie-34/
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MessageSujet: Re: la NSA   la NSA Icon_minitimeLun 1 Juil - 15:10

Dernière révélation d’Edouard Snowden
la NSA Bilde
Citation :

A 40 km au sud de Salt Lake City se trouve le Camp Williams, garnison et champ de tir de la Garde nationale de l’état de Utah. L’ancien aérodrome de la garnison ainsi que le terrain environnant (600 km2) a été repris par la NSA (National Security Agency) qui a commencé à construire le premier centre de traitement de données du projet CCNCI ( Community Comprehensive National Cybersecurity Initiative ), sur la base du décret secret NSPD- 54/HSPD-23, signé en Janvier 2008 par le président américain George W. Bush (Homeland Security Presidential Directive 23).
[url=http://mapper.acme.com/?ll=40.4375,-111.9255&z=15&t=H&marker0=40.4375,-111.9255,Camp Williams]http://mapper.acme.com/?ll=40.4375,-111.9255&z=15&t=H&marker0=40.4375,-111.9255,Camp%20Williams[/url]
Selon ce décret, les objectifs CCNCI sont: l’élaboration d’une stratégie ayant pour objectifs de décourager les interférences et les cyber-attaques contre les Etats-Unis, le renforcement de la première ligne de défense contre la pénétration des réseaux du gouvernement américain "à travers un mécanisme de prévention’’, la défense des Etats-Unis par rapport à l’éventail complet des menaces créées par l’espionnage externe et enfin de renforcer le futur cadre de la sécurité cybernétique grâce à l’éducation, la coordination et la recherche. Le Centre de traitement de données de l’Utah sera prêt en Octobre 2013.
La construction de ces bâtiments avait coûté 1,5 milliards de dollars, auxquels il faut rajouter 2 milliards de dollars pour les installations informatiques et les logiciels pour le stockage des informations et pour la maintenance. La consommation d’énergie électrique du centre est énorme (65 mégawatts), l’équivalent de l’approvisionnement en électricité d’une ville de 65 000  bâtiments. Pour refroidir les énormes ordinateurs sont utilisés quotidiennement 6 millions de litres d’eau.
Le centre de données sera en mesure de traiter et de stocker toutes les formes de communication au niveau mondial recueillies par des satellites, à partir des réseaux de radio et vidéo, des câbles à fibres optiques souterrains et sous-marins étrangers, des réseaux  nationaux et internationaux.
http://avicennesy.wordpress.com/2013/06/24/les-consequences-de-lespionnage-mondial-pratique-par-les-etats-unis-partie-ii/
Le Centre a une capacité de mémoire mesurée en zettabyte (http://en.wikipedia.org/wiki/Zettabyte) qui permet de stocker le contenu complet de 300 milliards d’iPhone, et toutes les données que sont les e-mails personnels, les téléphones mobiles, les SMS, les recherches Internet, les messages envoyés à la "poubelle" et toutes sortes de données personnelles ainsi que des enregistrements vidéo des caméras qui surveillent la circulation des véhicules, les tickets de stationnement, les itinéraires de voyage, les achats de livres dans les bibliothèques numériques, etc.


https://youtu.be/of5i6Hnskz0
Par Valentin Vasilescu, pilote d’aviation, ancien commandant adjoint des forces militaires à l’Aéroport Otopeni, diplômé en sciences militaires à l’Académie des études militaires à Bucarest 1992.
Traduction : Avic

http://avicennesy.wordpress.com/2013/07/01/derniere-revelation-dedouard-snowden/
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MessageSujet: Re: la NSA   la NSA Icon_minitimeLun 1 Juil - 15:16

Le prix de la vérité
Alors que la presse internationale traite les informations d’Edward Snowden comme des révélations sur le programme PRISM et feint de découvrir ce que tout le monde pouvait savoir depuis longtemps, Thierry Meyssan s’intéresse au sens de cette rébellion. De ce point de vue, il attache beaucoup plus d’importance au cas du général Cartwright, également mis en examen pour espionnage.
la NSA 1-3802-3192e
Ancien commandant de la force de frappe US, ancien chef d’état-major adjoint interarmes, ancien conseiller militaire du président Obama, le général Cartwright est accusé d’espionnage : il aurait fait fuiter au New York Times des informations sur la guerre secrète contre l’Iran de manière à prévenir une guerre inutile.

Citation :



Les fonctionnaires états-uniens, civils ou militaires, qui encourent 30 ans minimum de réclusion pour avoir révélé à la presse des secrets d’État US, sont-ils des « lanceurs d’alerte » exerçant un contre-pouvoir dans un système démocratique ou des « résistants à l’oppression » d’une dictature militaro-policière ? La réponse à cette question ne dépend pas de nos propres opinions politiques, mais de la nature de l’État US. Cette réponse change totalement si l’on se concentre sur le cas de Bradley Manning, le jeune soldat gauchiste de Wikileaks, ou si on y intègre le cas du général Cartwright, conseiller militaire du président Obama, mis en examen jeudi 27 juin 2013 pour espionnage.
Ici, un retour en arrière est nécessaire pour comprendre comment on passe de l’« espionnage » au profit d’une puissance étrangère à la « déloyauté » face à une organisation criminelle qui vous emploie.
Pire que la censure : la criminalisation des sources
Le président des États-Unis et Prix Nobel de la paix, Woodrow Wilson, tenta de donner à l’Exécutif le pouvoir de censurer la presse lorsque la « sécurité nationale » ou la « réputation du gouvernement » sont en jeu. Dans son discours sur l’état de l’Union (7 décembre 1915), il déclara : « Il y a des citoyens des États-Unis ... qui ont versé le poison de la déloyauté dans les artères mêmes de notre vie nationale, qui ont cherché à traîner l’autorité et la bonne réputation de notre gouvernement dans le mépris ... à détruire nos industries ... et à avilir notre politique au profit d’intrigues étrangères .... Nous sommes sans lois fédérales adéquates .... Je vous exhorte à faire rien de moins que de sauver l’honneur et le respect de soi de la nation. De telles créatures de la passion, de la déloyauté, et de l’anarchie doivent être écrasées  » [1].
Cependant, le Congrès ne le suivit pas immédiatement. À la suite de l’entrée en guerre des États-Unis, il vota l’Espionage Act, reprenant l’essentiel de l’Official Secrets Act britannique. Il ne s’agit plus de censurer la presse, mais de lui couper l’accès à l’information en interdisant aux dépositaires des secrets d’État de les communiquer. Ce dispositif permet aux Anglo-Saxons de se présenter comme des « défenseurs de la liberté d’expression », alors qu’ils sont les pires violateurs du droit démocratique à l’information, défendu constitutionnellement par les pays scandinaves.
Le silence, pas le secret
De la sorte, les Anglo-Saxons restent moins bien informés de ce qui se passe chez eux que ne peuvent l’être les étrangers. Par exemple, durant la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis, le Royaume-Uni et le Canada purent ainsi maintenir le secret chez eux sur le Projet Manhattan de construction de la bombe atomique, alors qu’il employait 130 000 personnes pendant 4 ans et qu’il était largement pénétré par les services secrets étrangers. Pourquoi ? Parce que Washington ne préparait pas cette arme pour cette guerre, mais pour la suivante, contre l’Union soviétique. Comme l’ont montré les historiens russes, la capitulation du Japon fut reportée jusqu’à ce qu’Hiroshima et Nagasaki soient détruites, comme avertissement à l’URSS. Si les États-uniens avaient su que leur pays disposait d’une telle arme, leurs dirigeants auraient eu à l’utiliser pour en finir avec l’Allemagne et non pas pour menacer l’allié soviétique au détriment des Japonais. En réalité, la Guerre froide commençait avant la fin de la Seconde Guerre mondiale [2].
En matière de secret, on observera que Staline et Hitler furent informés du Projet Manhattan dès son lancement. Ils disposaient en effet d’agents dans la place. Tandis que Truman n’en fut pas informé en sa qualité de vice-président, mais seulement au dernier moment, après le décès du président Roosevelt.
La véritable utilité de l’Espionage Act
Quoi qu’il en soit, l’Espionage Act ne traite que secondairement d’espionnage comme le montre sa jurisprudence.
En période de guerre, il sert à sanctionner les opinions dissidentes. Ainsi, en 1919, la Cour suprême a admis dans les affaires Schrenck contre États-Unis, et Abrams contre États-Unis que le fait d’appeler à l’insoumission ou à ne pas intervenir contre la Révolution russe tombait sous le coup de l’Espionage Act.
En période de paix, la même loi sert à empêcher les fonctionnaires à rendre publics un système de fraudes ou des crimes commis par l’État, même lorsque leurs révélations sont déjà connues, mais pas encore attestées.
Sous l’administration de Barack Obama, l’Espionage Act aura été invoqué 8 fois, un record en temps de paix. Laissons de côté le cas de John Kiriakou, un officier de la CIA qui a révélé l’arrestation et la torture d’Ali Zoubeida. Loin d’être un héros, Kiriakou est en réalité un agent provocateur de l’Agence chargé de faire accroire le public aux pseudos aveux extorqués à Zoubeida pour justifier a posteriori la « lutte contre le terrorisme » [3].
Éliminons également le cas de Shamal Leibowitz, dans la mesure où ses révélations ne furent jamais diffusées au public. Restent 6 cas qui nous enseignent sur le système militaro-policier US.
Stephen Jin-Woo Kim a confirmé à Fox News que la Corée du Nord préparait un test nucléaire, malgré les menaces US ; une confirmation qui ne portait aucun tort aux USA sinon celui de souligner leur incapacité à se faire obéir par la Corée du Nord. Dans un autre contexte, cette information avait déjà été diffusée par Bob Woodward sans provoquer de réactions.
Thomas Andrew Drake a révélé la gabegie du programme Trailblazer à un membre de la Commission du Renseignement de la Chambre des représentants. Il lui a été reproché d’avoir informé les parlementaires chargés de surveiller les agences de renseignement de ce que la NSA jetait secrètement des milliards par les fenêtres. Trailblazer visait à trouver un moyen d’implanter des virus sur n’importe quel ordinateur ou téléphone portable. Il n’a jamais fonctionné.
Dans la même veine, Edward Snowden, un employé du cabinet juridique Booz Allen Hamilton, a rendu publics divers documents de la NSA attestant de l’espionnage US en Chine aussi bien que de celui des invités au G20 britannique. Surtout, il a montré l’ampleur du système d’écoutes militaire des téléphones et du web, auquel nul ne peut échapper fut-il président des États-Unis. La classe politique US le décrit comme « un traître à abattre », uniquement parce que ses documents empêchent la NSA de continuer à nier devant le Congrès des activités connues de tous de longue date.
Bradley Manning, un simple soldat, a transmis à Wikileaks les vidéos de deux bavures de l’armée, 500 000 rapports de renseignement des bases militaires en Afghanistan et en Irak, et 250 000 câbles sur les renseignements recueillis par les diplomates US lors de conversations avec des hommes politiques étrangers. Rien de tout cela n’a d’importance capitale, mais cette documentation donne une piètre idée des ragots récoltés par le département d’État et qui servent de base à sa « diplomatie ».
Jeffrey Alexander Sterling est un employé de la CIA qui révéla au New York Times « l’Opération Merlin ». Plus étonnant, le général James Cartwright était le numéro 2 des armées, en sa qualité de chef d’état-major adjoint interarmes, et un conseiller proche du président au point d’être surnommé « le général d’Obama ». Il aurait révélé, l’an dernier, au New York Times « l’Opération Jeux Olympiques », et vient d’être placé sous enquête, selon CNN.
Sterling et Cartwright ne croient pas au mythe israélien de « la bombe atomique des mollahs ». Ils ont donc tenté de désamorcer la guerre dans laquelle Tel-Aviv tente de précipiter leur pays. « L’Opération Merlin » consistait à faire parvenir à l’Iran de fausses informations sur la fabrication de la bombe. En réalité, il s’agissait de pousser l’Iran à engager un programme militaire nucléaire de manière à justifier a posteriori l’accusation israélienne [4]. Quant à « l’Opération Jeux Olympiques », elle consistait à implanter les virus Stuxnet et Flame dans la centrale de Natanz, pour en perturber le fonctionnement, notamment les centrifugeuses [5]. Il s’agissait donc de bloquer le programme nucléaire civil de l’Iran. Aucune de ces révélations n’a porté atteinte aux intérêts US, mais aux ambitions d’Israël.
De grands résistants
Une opposition de salon nous présente les hommes mis en cause au nom de l’Espionage Act comme des « lanceurs d’alerte » (whistleblower), comme si les États-Unis d’aujourd’hui étaient une réelle démocratie et qu’ils alertaient les citoyens de quelques erreurs à corriger. En réalité, ils nous apprennent qu’aux États-Unis, du simple soldat (Bradley Manning) au numéro 2 des armées (le général Cartwright), des hommes tentent comme ils le peuvent de lutter contre un système dictatorial lorsqu’ils découvrent en être un rouage. Face à un système monstrueux, ils sont à placer au niveau de grands résistants comme l’Amiral Canaris ou le comte de Stauffenberg

.
Thierry Meyssan
http://www.voltairenet.org/article179172.html
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MessageSujet: Re: la NSA   la NSA Icon_minitimeMer 3 Juil - 15:47

Snowden: imbroglio diplomatique après l'escale forcée de Morales
https://www.youtube.com/watch?v=QZx9K1-_HZ4
http://www.agoravox.tv/actualites/international/article/meme-a-distance-les-usa-peuvent-39821
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MessageSujet: Re: la NSA   la NSA Icon_minitimeJeu 4 Juil - 15:31

L'UPR lance une grande pétition internationale multilingue pour l'attribution du prix Nobel de la Paix 2014 à Julian ASSANGE et Edward SNOWDEN
L’UPR lance une grande pétition internationale multilingue pour l’attribution du prix Nobel de la paix 2014 à Julian ASSANGE et Edward SNOWDEN

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Citation :
L’Union Populaire Républicaine lance le jeudi 4 juillet 2013 une grande pétition internationale, en français, anglais et espagnol dans un premier temps, pour demander que le Comité Nobel norvégien attribue le prix Nobel de la paix 2014 conjointement à MM. Julian Assange et Edward Snowden.
Ces deux personnalités, connues et approuvées par des millions de personnes à travers le monde, se sont distinguées de façon éminente et pacifique par leurs actions en faveur du respect des droits de l’homme, de la liberté de l’information et du secret des correspondances au niveau planétaire.
Leurs actions sont pleinement conformes à la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme adoptée par la résolution 217 (III) A de l’Assemblée générale des Nations unies le 10 décembre 1948 et notamment par les États-Unis d’Amérique. Elles visent en particulier à faire respecter l’article 12 de cette Déclaration universelle qui dispose que « nul ne sera l’objet d’immixtions arbitraires dans sa vie privée, sa famille, son domicile ou sa correspondance ».
L’action de MM. Julian Assange et Edward Snowden est capitale pour l’avenir de l’humanité puisqu’elle vise à empêcher l’avènement d’un univers effrayant de surveillance généralisée de tous les êtres humains comparable à celui décrit par George Orwell dans son roman d’anticipation 1984.
Le Comité Nobel norvégien a eu pour jurisprudence constante d’attribuer le prix Nobel de la paix à des personnalités qui avaient œuvré de façon semblable en faveur des droits de l’homme. Il a, en outre, souvent distingué des personnalités qui n’avaient pas hésité à mettre leur sécurité et leur liberté personnelles en jeu pour cette noble cause, en comptant que l’attribution du prix Nobel de la paix leur apporterait une immunité de fait.
Andreï Sakharov, Lech Wałęsa, Desmond Tutu, Aung Saung Suu Kyi, le Dalaï Lama, Liu Xiaobo ont, par ce moyen, été protégés de la vindicte d’autorités gouvernementales.
En attribuant le prix Nobel de la paix 2014 à Julian Assange et à Edward Snowden, le Comité Nobel norvégien n’agirait pas seulement comme le lui commandent les idéaux élevés du Prix qu’il délivre ; il ferait opportunément la preuve de son impartialité vis-à-vis des autorités de Washington.
 
FIN DU COMMUNIQUÉ DE PRESSE
 
MODE D’EMPLOI ET CONSEILS
Nous appelons tous les adhérents et sympathisants de l’UPR à signer et à faire signer tout autour d’eux la présente pétition, dont le texte est reporté ci-infra.
Il n’est bien entendu pas du tout nécessaire de partager tout ou partie des analyses de l’UPR pour signer ce texte, qui s’adresse à l’humanité toute entière et qui vise un but qui va bien au-delà de la situation politique, économique et sociale de la France.
Cette pétition est pour l’instant disponible en français, anglais et espagnol. Nous souhaitons pouvoir la diffuser dans le plus grand nombre possible de langues du monde et nous accueillerons donc avec gratitude toute proposition de traduction dans une autre langue (allemand, russe, portugais, italien, chinois, arabe, japonais, polonais, grec, turc, suédois, hindi, vietnamien, swahili, espéranto, etc.).
Les propositions de traduction doivent nous être transmises à http://www.upr.fr/nous-contacter
Le site hébergeant la pétition nous a informé que les versions dans les différentes langues feront l’objet d’un cumul mondial du nombre de signatures.
Nous insistons sur la nécessité de donner à cette pétition le plus grand retentissement planétaire car l’enjeu est fondamental pour les libertés publiques du XXIe siècle. Nous demandons donc instamment à tous nos lecteurs de diffuser cette pétition à tous les réseaux sociaux, en France mais aussi dans le monde, afin d’obtenir un afflux massif de signatures venues de toute la planète.
Comme l’a récemment dit Glenn Greenland, le journaliste du Guardian qui a diffusé les révélations d’Edward Snowden, « le courage est contagieux ». Nous ne devons pas laisser s’installer l’univers effroyable de George Orwell.

  • Pour signer la pétition en français : http://www.change.org/fr/p%C3%A9titions/aux-membres-du-comit%C3%A9-nobel-norv%C3%A9gien-pour-l-attribution-du-prix-nobel-de-la-paix-%C3%A0-j-assange-et-%C3%A0-e-snowden


  • Pour signer la pétition en anglais : http://www.change.org/petitions/to-the-nobel-committee-members-nominate-j-assange-and-e-snowden-for-the-2014-nobel-peace-prize



  • Pour signer la pétition en espagnol  : http://www.change.org/es/p%C3%A9titions/a-los-miembros-del-comit%C3%A9-nobel-noruego-por-la-atribuci%C3%B3n-del-premio-nobel-de-la-paz-a-j-assange-y-e-snowden

 
PÉTITION EN LANGUE FRANÇAISE


 
AUX MEMBRES DU COMITÉ NOBEL NORVÉGIEN : POUR L’ATTRIBUTION DU PRIX NOBEL DE LA PAIX 2014 À J. ASSANGE ET À E. SNOWDEN
Nous, soussignés, agissant en tant que membres de l’humanité tout entière,
Considérant que la reconnaissance de la dignité, inhérente à tous les membres de la famille humaine, et de leurs droits égaux et inaliénables, constitue le fondement de la liberté, de la justice et de la paix dans le monde,
Considérant que la Déclaration universelle des droits de l’homme (DUDH), adoptée par la résolution 217 (III) A de l’Assemblée générale des Nations unies le 10 décembre 1948, a solennellement proclamé que « l’avènement d’un monde où les êtres humains seront libres de parler et de croire, libérés de la terreur et de la misère, constitue la plus haute aspiration de l’homme »,
Considérant que, selon l’article 12 de cette Déclaration universelle, « nul ne sera l’objet d’immixtions arbitraires dans sa vie privée, sa famille, son domicile ou sa correspondance »,
Considérant que, selon le Préambule de cette Déclaration universelle, « il est essentiel que les droits de l’homme soient protégés par un régime de droit pour que l’homme ne soit pas contraint, en suprême recours, à la révolte contre la tyrannie et l’oppression »,
Considérant que M. Julian Assange, informaticien et cybermilitant de nationalité australienne, fondateur, rédacteur en chef et porte-parole de WikiLeaks, agissant conformément aux principes fondamentaux posés par la Déclaration universelle des droits de l’homme, a constamment œuvré pour permettre à tous les citoyens du globe d’avoir librement accès à une information qui ne soit pas uniquement placée sous le contrôle des États ou manipulée par les puissances d’argent,
Considérant qu’en reconnaissance de son action en faveur de la liberté d’accès à l’information et de la lutte contre la censure, M. Julian Assange a reçu plusieurs prix de renommée internationale, notamment :
•   le « Media Award 2009 » d’Amnesty International (prix Nobel de la paix 1977),
•   l’Index on Censorship Award 2008 du journal The Economist,
•   la médaille d’or de la Sydney Peace Foundation pour la « défense du droit des individus à la connaissance »,
Considérant que M. Edward Snowden, informaticien de nationalité américaine, ancien employé des services de renseignement des États-Unis d’Amérique, agissant conformément à l’éthique et aux principes fondamentaux posés par la Déclaration universelle des droits de l’homme, a dévoilé à l’opinion publique mondiale :
•   l’existence d’un système généralisé de captation des métadonnées des appels téléphoniques aux États-Unis,
•   l’existence d’un système d’écoute planétaire des communications privées sur Internet conduit secrètement par le gouvernement américain sous le nom de programme de surveillance PRISM,
•   et l’existence d’un système comparable conduit secrètement par le gouvernement du Royaume-Uni sous le nom de TEMPORA,
Considérant que ces informations sont jugées parfaitement crédibles par toute la communauté mondiale des informaticiens et des services de renseignements,
Considérant que le gouvernement des États-Unis d’Amérique n’a aucunement démenti ces informations rendues mondialement publiques par M. Snowden, mais qu’il en a au contraire confirmé implicitement l’authenticité en décidant de poursuivre son ressortissant sous les chefs d’accusation d’espionnage, de vol et d’utilisation illégale de biens gouvernementaux,
Considérant que ces informations ont été jugées d’une gravité telle que le gouvernement de la République fédérale d’Allemagne, notamment, a demandé officiellement, par la voie de son ministère de la Justice, aux autorités américaines et britanniques des explications sur les tenants et aboutissants des systèmes d’interception PRISM et TEMPORA,
Considérant que ces systèmes d’écoute et d’interception, secrets, universels et systématiques, violent au niveau planétaire le principe essentiel du secret des correspondances, violent en conséquence l’article 12 de la Déclaration universelle des droits de l’homme (DUDH) précité,
Considérant qu’en alertant l’opinion publique mondiale sur ces systèmes qui laissent craindre l’avènement d’un univers effrayant de surveillance généralisée de tous les êtres humains comparable à celui décrit par George Orwell dans son roman d’anticipation 1984, M. Edward Snowden doit être remercié comme étant un bienfaiteur de l’humanité,
Considérant que le Comité Nobel de la Paix a eu pour jurisprudence constante d’attribuer le prix Nobel de la paix à des personnalités mondiales qui avaient en particulier œuvré de façon pacifique en faveur du respect des droits de l’homme,
Considérant que le Comité Nobel de la Paix a notamment attribué le Prix Nobel de la Paix :
•   à Andreï Sakharov en 1975 « pour sa campagne en faveur des droits de l’homme », en dépit des protestations des autorités de son propre pays,
•   à Amnesty International en 1977 « pour son combat en faveur des droits de l’homme et du respect de la Déclaration universelle des droits de l’homme »,
•   à Barack Obama en 2009 « pour ses efforts extraordinaires afin de renforcer la coopération entre les peuples »,
•   à Liu Xiaobo en 2010 « pour sa lutte de longue durée et sans violence, en faveur des droits de l’homme », en dépit des protestations des autorités de son propre pays.
Considérant que le Comité Nobel de la Paix a souvent eu le souci, complémentaire du précédent, d’attribuer le prix Nobel de la paix à des militants des droits de l’homme dont la sécurité et la liberté personnelles étaient en jeu, en tablant sur le fait que l’attribution du Prix Nobel leur apporterait une immunité de fait,
Considérant que MM. Julian Assange et Edward Snowden ont œuvré de façon éminente et pacifique en faveur du respect des droits de l’homme, de la liberté de l’information et de la liberté du secret des correspondances au niveau planétaire, et que cette action les rend irréfutablement pleinement éligibles à l’attribution du prix Nobel de la paix,
Considérant que la sécurité et la liberté personnelles de MM. Julian Assange et Edward Snowden sont actuellement immédiatement et gravement menacées par les autorités américaines et que l’attribution du prix Nobel de la paix serait un moyen de les protéger, tout comme l’attribution du prix Nobel de la paix a protégé en leur temps Andreï Sakharov, Lech Wałęsa, Desmond Tutu, Aung Saung Suu Kyi, le Dalaï Lama, Liu Xiaobo, etc., de la vindicte d’autres autorités gouvernementales,
demandons officiellement et solennellement à :
    •   M. Thorbjørn Jagland, Président du Comité Nobel norvégien 
    •   Mme Kaci Kullmann Five, vice-Présidente du Comité Nobel norvégien 
    •   Mme Inger-Marie Ytterhorn, membre du Comité Nobel norvégien 
    •   Mme Berit Reiss-Andersen, membre du Comité Nobel norvégien 
    •   M. Gunnar Stålsett, membre du Comité Nobel norvégien
ainsi qu’à M. Geir Lundestadt, secrétaire du Comité Nobel norvégien
d’attribuer le prix Nobel de la paix 2014 conjointement à MM. Julian Assange et Edward Snowden « pour leur combat pacifique en faveur du droit imprescriptible des êtres humains à la liberté de l’information et au secret absolu de leurs correspondances, en vertu du préambule et de l’article 12 de la Déclaration universelle des droits de l’homme adoptée solennellement par l’Organisation des Nations unies. »
Pour signer cette pétition en français : http://www.change.org/fr/p%C3%A9titions/aux-membres-du-comit%C3%A9-nobel-norv%C3%A9gien-pour-l-attribution-du-prix-nobel-de-la-paix-%C3%A0-j-assange-et-%C3%A0-e-snowden
 
PÉTITION EN LANGUE ANGLAISE


 
TO THE NOBEL COMMITTEE MEMBERS : NOMINATE J. ASSANGE AND E. SNOWDEN FOR THE 2014 NOBEL PEACE PRIZE
We, undersigned, acting as members of the entire human kind,
Whereas recognizing that dignity, inherent to all the members of the human family, and their equal and inalienable rights, are the foundation of freedom, justice and peace in the world,
Whereas the Universal Declaration of Human Rights, adopted by Resolution 217 A (III) of 10 December 1948 at the United Nations General Assembly, solemnly declares that “human beings shall enjoy freedom of speech and belief and freedom from fear and want has been proclaimed as the highest aspiration of the common people”,
Whereas according to Article 12 of the Universal Declaration, “No one shall be subjected to arbitrary interference with his privacy, family, home or correspondence”,
Whereas, according to the Preamble of this Universal Declaration, “it is essential, if man is not to be compelled to have recourse, as a last resort, to rebellion against tyranny and oppression, that human rights should be protected by the rule of law”,
Whereas Mr Julian Assange, citizen of Australia, computer specialist and online activist, founder, editor in chief and spokeperson of Wikileaks, acting in accordance with the core principles of the Universal Declaration of Human Rights, constantly worked to give free access to all the citizens of the World to types of information not entirely under State control or the influence of financial power,
Whereras acknowledging his actions in favour of a free access to information and his fight against censorship, Mr Julian Assange received several world-renowned awards , amongst which:
· the “Media Award 2009” from Amnesty International (itself Nobel Peace Laureate 1977),
· the “Index on Censorship Award 2008” from The Economist newspaper,
· the Sydney Peace Foundation golden medal for “upholding the right of individuals to knowledge”,
Whereas Mr Edward Snowden, American citizen, computer specialist and former employee of the United States intelligence services, in accordance with the ethics and core principles of the Universal Declaration of Human Right, disclosed to the general public the existence of:
·  a generalized system of remote metadata capture of telephone calls in the United States,
·  a world-wide system of eavesdropping in on Internet private communications, secretly monitored by the American Government through a surveillance program called PRISM,
·  a similar system monitored by the British Government called Tempora,
Whereas the entire community of computer specialists and intelligence services considers this information perfectly convincing,
Whereas the Government of the United States, far from denying the information which Mr Snowden released to the whole world, has implicitly confirmed its authenticity by prosecuting his national citizen, charging him with espionage, theft and illegal use of Government assets,
Whereas this information was considered serious enough by the Government of the Federal Republic of Germany to inter alia officially ask the British and American authorities explanations on the ins and outs of PRISM and Tempora interception systems, through its ministry of Justice,
Whereas these secret, universal and systematic eavesdropping and interception systems, worldly infringe on the key principle of the privacy of communications, and therefore infringe on Article 12 of the above-mentioned Universal Declaration of Human Rights (UDHR),
Whereas in warning the general public of these systems as forerunning signs of a frightening world, based on global surveillance of all human beings, similar to the one pictured in George Orwell prospective novel 1984, Mr. Edward Snowden must be thanked as a benefactor to mankind,
Whereas the Nobel Peace Committee case-law has always been to award the Nobel Peace Prize to world renowned people for their specific peaceful actions in favour of human rights respect,
Whereas the Nobel Peace Committee has awarded the Nobel Peace Prize in particular to:
· Andrei Sakharov in 1975 for “his campaign in favour of human rights” , in spite of protests from his own country authorities,
· Amnesty International in 1977 “for its fight in favour of human rights and respect of the Universal Declaration of Human Rights”,
· Barack Obama in 2009 “for his extraordinary efforts to strengthen international diplomacy and cooperation between peoples”,
· Liu Xiaobo in 2010 “for his long and non-violent struggle for fundamental human rights” in spite of protests from his own country authorities,
Whereas the Nobel Peace Committee has also often been concerned about awarding the Nobel Peace Prize to human rights activists whose personal security and freedom were at stake, counting on the Nobel Peace Prize to de facto grant them immunity,
Whereas Messrs Julian Assange and Edward Snowden have significantly and peacefully worked in favour of human rights respects, of freedom of information and freedom of communication secrecy at a global level, and that this deed makes them eligible for the Nobel Peace Prize,
Whereas at the moment the personal security and freedom of Messrs Julian Assange and Edward Snowden are immediately and seriously threatened by American authorities and that awarding them the Nobel Peace Prize would protect them, like in their own time the Nobel Peace Prize award protected Andrei Sakharov, Lech Wałęsa, Desmond Tutu, Aung Saung Suu Kyi, the Dalaï Lama, Liu Xiaobo, etc. from other governmental authorities condemnation,-
officially and formally ask:
·        Mr Thorbjørn Jagland, Norwegian Nobel Committee President,
·        Ms Kaci Kullmann Five, Norwegian Nobel Committee Vice-President,
·        Ms Inger-Marie Ytterhorn, member of the Norwegian Nobel Committee,
·        Ms Berit Reiss-Andersen, member of the Norwegian Nobel Committee,
·        Mr Gunnar Stålsett, memberof the Norwegian Nobel Committee
as well as Mr Geir Lundestadt, Norwegian Nobel Committee Secretary,
to award the Nobel Peace Prize 2014 to both Mr Julian Assange and Edward Snowden “for their peaceful fight in favour of the inalienable right of human beings to freedom of information and total secrecy of their correspondence, according to Preamble and Article 12 of the Universal Declaration of Human Rights solemnly adopted by the United Nations Organization.”
Pour signer cette pétition en anglais : http://www.change.org/petitions/to-the-nobel-committee-members-nominate-j-assange-and-e-snowden-for-the-2014-nobel-peace-prize
PÉTITION EN LANGUE ESPAGNOLE


 
A LOS MIEMBROS DEL COMITÉ NOBEL NORUEGO : POR LA ATRIBUCIÓN DEL PREMIO NOBEL DE LA PAZ A J. ASSANGE Y E. SNOWDEN
Los abajo firmantes, actuando como miembros de la humanidad en su totalidad,
Considerando que el reconocimiento de la dignidad, inherente a todos los miembros de la familia humana, y de sus derechos iguales e inalienables, constituye el fundamento de la libertad, la justicia y la paz en el mundo,
Considerando que la Declaración universal de los Derechos humanos (DUDH), adoptada por la Asamblea general de las Naciones unidas en su Resolución 217 (III) A el 10 de diciembre de 1948, declara solemnemente que « se ha proclamado, como la aspiración más elevada del hombre, el advenimiento de un mundo en que los seres humanos, liberados del temor y de la miseria, disfruten de la libertad de palabra y de la libertad de creencias »,
Considerando que, según lo establecido en el artículo 12 de dicha Declaración universal, « nadie será objeto de injerencias arbitrarias en su vida privada, su familia, su domicilio o su correspondencia »,
Considerando que, según lo establecido en el Preámbulo de dicha Declaración universal, es « esencial que los derechos humanos sean protegidos por un régimen de Derecho, a fin de que el hombre no se vea compelido al supremo recurso de la rebelión contra la tiranía y la opresión »,
Considerando que el señor Julian Assange, informático y hacktivista de nacionalidad australiana, fundador, redactor jefe y portavoz de WikiLeaks, actuando conforme a los principios fundamentales establecidos en la Declaración universal de los Derechos humanos, siempre ha trabajado para permitir a todos los ciudadanos del orbe que tengan un libre acceso a una información que no resulte únicamente colocada bajo control estatal o manipulada por las potencias financieras,
Considerando que, en agradecimiento a su acción en pro de la libertad de acceso a la información y de la lucha contra la censura, el señor Julian Assange recibió varios premios de prestigio internacional, entre los cuales:
- el Media Award 2009 de Amnistía Internacional, premio Nobel de la paz 1977,
- el Index on Censorship Award 2008 del periódico The Economist,
- la medalla de oro de la Fundación de la Paz de la Universidad de Sídney por la « defensa del derecho de los individuos al conocimiento »,
Considerando que el señor Edward Snowden, informático de nacionalidad estadounidense, ex empleado de los servicios secretos de los Estados Unidos de América, actuando conforme a la ética y a los principios fundamentales establecidos en la Declaración universal de los Derechos humanos, reveló a la opinión pública mundial:
- la existencia de un sistema generalizado de captación de los metadatos de las llamadas telefónicas en los Estados Unidos de América,
- la existencia de un sistema de escucha mundial de las comunicaciones privadas en Internet, llevado a cabo en secreto por el gobierno estadounidense, conocido con el nombre de programa de vigilancia PRISM,
- y la existencia de un sistema equiparable llevado a cabo en secreto por el gobierno del Reino Unido, conocido con el nombre de Tempora,
Considerando que toda la comunidad mundial de los informáticos y los servicios secretos juzgan estas informaciones perfectamente creíbles,
Considerando que el gobierno de los Estados Unidos de América no ha desmentido en absoluto esas informaciones que el señor Snowden ha hecho públicas en todo el mundo sino que, al contrario, ha confirmado implícitamente su autenticidad decidiendo inculpar al mismo señor Snowden por espionaje, robo y utilización ilegal de bienes gubernamentales,
Considerando que tales informaciones han parecido tan graves que el gobierno de la República federal de Alemania, entre otros, ha pedido oficialmente, por el conducto de su ministerio de Justica, a las autoridades estadounidenses y británicas que les proporcionen explicaciones y pormenores acerca de los sistemas de intercepción PRISM y Tempora,
Considerando que dichos sistemas de escucha e intercepción, secretos, universales y sistemáticos, vulneran a escala mundial el principio esencial del secreto de la correspondencia y vulneran por lo tanto lo establecido en el susodicho artículo 12 de la Declaración universal de los Derechos humanos,
Considerando que, por haber advertido a la opinión pública mundial sobre estos sistemas que hacen temer el advenimiento de un universo espantoso de vigilancia generalizada de todos los seres humanos equiparable al que describió George Orwell en su novela de anticipación 1984, se debe agradecerle al señor Edward Snowden como benefactor de la humanidad,
Considerando que el Comité Nobel de la paz ha tenido como jurisprudencia constante atribuir el premio Nobel de la paz a personalidades mundiales que habían trabajado de forma particular y pacífica en pro del respeto a los derechos humanos,
Considerando que el Comité Nobel de la paz les atribuyó el premio Nobel de la paz a:
- Andréi Sájarov en 1975 « por su lucha en pro de los derechos humanos », a pesar de las protestas de las autoridades de su propio país,
- Amnistía Internacional en 1977 « por su lucha en pro de los derechos humanos y el respeto a la Declaración universal de los Derechos humanos »
- Barack Obama en 2009 « por sus extraordinarios esfuerzos para fortalecer la colaboración entre los pueblos» ,
- Liu Xiaobo en 2010 « por su lucha no violenta y duradera por defender los derechos humanos », a pesar de las protestas de las autoridades de su propio país,
Considerando que el Comité Nobel de la Paz a menudo ha hecho esfuerzos, como complemento a lo precedente, para atribuir el premio Nobel de la paz a militantes de los derechos humanos cuya seguridad y libertad personales estaban en juego, contando con que la atribución del premio Nobel les brindaría una inmunidad de hecho,
Considerando que los señores Julian Assange y Edward Snowden han trabajado de forma eminente y pacífica en pro del respecto a los derechos humanos, de la libertad de información y de la libertad al secreto de la correspondencia a nivel mundial, y que esta acción les hace de forma plena e irrevocable elegibles para el premio Nobel de la paz,
Considerando que la seguridad y la libertad personales de los señores Julian Assange y Edward Snowden son en la actualidad amenazadas de forma grave e inmediata por las autoridades estadounidenses y que la atribución del premio Nobel de la paz sería un recurso para protegerles, tal y como la atribución del premio Nobel de la paz protegió en su época a Andréi Sájarov, Lech Wałęsa, Desmond Tutu, Aung San Suu Kyi, el Dalái Lama, Liu Xiabo, etc., de la vindicta de otras autoridades gubernamentales,
pedimos oficial y solemnemente:
- al señor Thorbjørn Jagland, presidente del Comité Nobel noruego,
- a la señora Kaci Kullmann Five, vicepresidenta del Comité Nobel noruego,
- a la señora Inger-Marie Ytterhorn, miembro del Comité Nobel noruego,
- a la señora Berit Reiss-Andersen, miembro del Comité Nobel noruego,
- al señor Gunnar Stålsett, miembro del Comité Nobel noruego,
así como al señor Geir Lundestadt, secretario del Comité Nobel noruego
que atribuyan el premio Nobel de la paz 2014, de forma conjunta, a los señores Julian Assange y Edward Snowden « por su lucha pacífica en pro del derecho imprescriptible de los seres humanos a la libertad de información y al secreto absoluto de la correspondencia, en virtud de lo establecido en el preámbulo y en el artículo 12 de la Declaración universal de los Derechos humanos adoptada solemnemente por la Organización de las Naciones unidas. »
Pour signer cette pétition en espagnol  : http://www.change.org/es/p%C3%A9titions/a-los-miembros-del-comit%C3%A9-nobel-noruego-por-la-atribuci%C3%B3n-del-premio-nobel-de-la-paz-a-j-assange-y-e-snowden
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Espionnage de la NSA : la vraie raison, c’est le chantage (Giulietto Chiesa)


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Nous publions à nouveau cette intervention du journaliste italien Giulietto Chiesa (datant d’octobre 2013) à propos des véritables raisons de l’espionnage généralisé opéré par la NSA au détriment des citoyens et en particulier des dirigeants occidentaux, à l’heure où Wikileaks nous révèle (sans grande surprise) que nos trois derniers présidents ont été « écoutés » pendant des années par les grandes oreilles de nos alliés américains, et le sont probablement toujours.

http://reseauinternational.net/espionnage-de-la-nsa-la-vraie-raison-cest-le-chantage-giulietto-chiesa/
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