Tensions en Syrie

Pour Longuet, 'une action aérienne en Syrie ne réglerait rien'

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Dans un entretien au Figaro à paraître mardi 11 juillet, le ministre de la défense, Gérard Longuet, se dit opposé à une action aérienne en Syrie, rappelant que sur le terrain diplomatique 'le Conseil de sécurité ne peut pas rester silencieux'.
Interrogé sur l'hypothèse ou non d'une intervention occidentale en Syrie, où ont été attaquées lundi les ambassades de France et des Etats-Unis par des manifestants pro-Bachar Al-Assad, M. Longuet souligne que 'la situation syrienne n'est absolument pas comparable avec celle de la Libye'.

http://fr.news.yahoo.com/longuet-action-a%C3%A9rienne-syrie-ne-r%C3%A9glerait-rien-200813871.html
est oui bien sur

Deux gazoducs endommagés en Syrie

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Reuters – il y a 1 heure 15 minutes
AMMAN (Reuters) - Deux gazoducs secondaires ont été endommagés par des explosions à la bombe mercredi dans l'est de la Syrie, affirment des habitants tandis que les autorités évoquent pour leur part un incendie accidentel sur une conduite de pétrole.
Si la thèse de l'attentat était vérifiée, il s'agirait de la première attaque d'une infrastructure pétrolière en quatre mois de contestation du régime du président Bachar al Assad.
L'agence officielle de presse Sana, citant un responsable du ministère du Pétrole, assure pour sa part que de mauvaises conditions climatiques ou une fuite de pétrole sont probablement à l'origine d'un incendie sur un oléoduc.
"Une enquête est en cours. Le plus probable est que le feu ait pris dans des herbages voisins et qu'il se soit propagé ou qu'il y ait eu une fuite sur le pipeline, qui est en construction", écrit l'agence Sana.
La Syrie ayant interdit son territoire aux médias internationaux, aucune vérification indépendante de ces deux thèses n'est possible.
D'après des habitants, les explosions, survenues pendant la nuit de mardi à mercredi, se sont produites dans les régions d'al Tayana et de Busaira, à l'est de la capitale provinciale de Deïr al Zor, près de la frontière avec l'Irak.
"Les gens soupçonnent le régime d'être derrière ces attaques pour discréditer le mouvement démocratique après des mois de manifestations pacifiques", a déclaré à Reuters Cheikh Naouaf al Khatib, une éminent chef de tribu. "Il est très compliqué d'atteindre ces gazoducs vu le nombre croissant de soldats déployés à Deïr al Zor", a-t-il ajouté.
L'Est, où est produite la totalité des 380.000 barils de pétrole par jour en Syrie, compte parmi les plus pauvres régions du pays.
Khaled Yacoub Oweis; Marine Pennetier et Henri-Pierre André pour le service français

http://fr.news.yahoo.com/deux-gazoducs-endommag%C3%A9s-par-des-explosions-en-syrie-092950553.html

Syrie: l'armée entre à Zabadani; nouvelle vague d'arrestation d'opposants

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BEYROUTH (AP) — Environ 2.000 soldats syriens appuyés par des blindés sont entrés dimanche à Zabadani (ouest), près de la frontière avec le Liban, tandis que le régime de Bachar el-Assad mène une nouvelle campagne d'arrestations, qui a touché plus de 500 personnes depuis vendredi. L'un des responsables de l'opposition, Ali Abdallah, a été arrêté dimanche à son domicile dans la banlieue de Damas, selon son fils.
L'armée est entrée dans Zabadani (40km au nord-ouest de Damas) dans la matinée, un jour après l'avoir encerclée, selon le militant des droits de l'Homme Mustapha Osso et les Comités locaux de coordination. Peu avant l'intervention, l'électricité, internet et le téléphone avaient été coupés.
Par ailleurs, des témoins ont rapporté samedi que les forces de sécurité avaient ouvert le feu sur des manifestants à Boukamal (est), près de la frontière avec l'Irak, faisant un mort et des blessés. Selon Mustapha Osso, une centaine de soldats auraient toutefois fait défection en soirée, parcourant les rues de la ville avec les habitants aux cris de "Le peuple et l'armée sont semblables".
Le régime, d'après M. Osso, mène par ailleurs une nouvelle campagne d'arrestations, qui a touché plus de 500 personnes depuis vendredi. L'un des responsables de l'opposition, Ali Abdallah, a été arrêté dimanche matin à son domicile de Katana, un faubourg damascène, selon son fils Mohammed, joint au téléphone à Washington.
M. Abdallah, 61 ans, avait été remis en liberté le 30 mai après quatre ans de prison. Cet écrivain appartient au groupe d'opposants baptisé Déclaration de Damas. D'après Mohammed, les forces de sécurité étaient en réalité venue chercher son frère Omar, absent lors de la descente. Agé de 26 ans, cet étudiant avait été relâché il y a trois mois après avoir passé cinq ans en prison pour son blog jugé subversif. En emmenant le père, les soldats auraient dit à la famille: "Il reviendra si on a Omar".
Depuis le début du soulèvement à la mi-mars contre le régime alaouite, des centaines de milliers de Syriens sont notamment descendus dans la rue à Damas et sa banlieue, à Hassakeh et Idlib (nord-ouest), à Deraa (sud), à Lattaquié (côte ouest) ou encore à Homs et Hama (centre). Fait significatif, ils étaient des dizaines de milliers samedi dans la capitale, alors que les rassemblements y étaient jusqu'ici beaucoup plus épars.
Pour l'heure, la répression a fait quelque 1.600 morts, selon les militants des droits de l'Homme. L'opposition syrienne avait dédié les manifestations de vendredi aux milliers de personnes arrêtées depuis le début du mouvement de protestation. Environ 15.000 sont toujours détenues, selon des militants. AP
ll/v0/mw

Violences religieuses en Syrie, où Assad est sous pression

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AMMAN (Reuters) - La Syrie a connu ce week-end sa première flambée de violences religieuses depuis le début des manifestations contre Bachar el Assad, à l'occasion d'affrontements entre partisans et opposants du régime à Homs.
La répression menée par le président syrien, contesté depuis quatre mois par des manifestations dans tout le pays, l'isole de plus en plus sur la scène internationale, comme en témoigne le rappel de l'ambassadeur qatari à Damas.
Au moins 30 personnes sont mortes à Homs (centre) lors de combats entre des habitants alaouites, partisans du président syrien, et des opposants sunnites, a annoncé lundi Rami Abdelrahmane, président de l'Observatoire syrien pour les droits de l'homme.
Homs est un bastion de l'opposition au régime depuis que l'armée a fait irruption dans la ville pour écraser des manifestations il y a deux mois. Elle est aussi un condensé de la mosaïque religieuse syrienne, avec une majorité sunnite et les minorités alaouite - branche du chiisme - et chrétienne.
"Ces affrontements constituent une évolution dangereuse qui handicape la révolution et sert les intérêts de ces ennemis, qui veulent la transformer en guerre civile", a dit l'ONG syrienne dans un communiqué.
Mohamad Saleh, un militant résidant à Homs, a dit que les affrontements avaient cessé lundi mais que l'ambiance était tendue.
Les cadavres de quatre alaouites ont été trouvés samedi avec les yeux crevés et six corps supplémentaires ont été découverts dimanche, ce qui a déclenché les affrontements.
"Les chrétiens restent en dehors de tout ça", a dit un avocat habitant à Homs. "En fait il y a deux quartiers armés à Homs et les tribus commencent à régler leurs comptes avec le régime", a-t-il ajouté sous couvert de l'anonymat.
"C'est l'arroseur arrosé. Le régime pensait qu'en armant les tribus avec des AK-47 il s'assurerait leur loyauté éternelle. Mais la répression les a fait passer à la rébellion", a-t-il analysé.
ASSAUT
Dans l'Est, la population de Bou Kamal, à la frontière avec l'Irak, négociait lundi avec l'armée assiégeant la ville, selon plusieurs témoignages.
L'armée est tentée de donner l'assaut après plusieurs défections de soldats qui devaient mater des manifestations.
Selon les habitants, des soldats alaouites sont arrivés de l'ouest du pays après des manifestants ayant rassemblé des milliers de personnes et faisant suite au meurtre de cinq manifestants par des agents de renseignement du régime.
Les soldats et la police secrète n'ont pu contenir les manifestants. Des habitants rapportent qu'une centaine de membres de l'armée de l'air ont rejoint les manifestants, ainsi que les occupants de quatre véhicules militaires au moins.
Le Qatar a ajouté lundi à l'isolement de la Syrie en rappelant son ambassadeur à Damas, après avoir fermé sa mission diplomatique, a appris Reuters auprès de diplomates dans la capitale syrienne.
Les liens entre Doha et Damas, alliés avant les premières manifestations en Syrie, se sont distendus à mesure que les sunnites étaient visés par les forces de sécurité du président.
L'ambassade a été fermée la semaine dernière à la suite de deux attaques de miliciens fidèles à Bachar el Assad.
L'Union européenne, dont plusieurs membres avaient commencé à réhabiliter le régime syrien ces dernières années, continue de condamner la répression et doit réfléchir, dit Londres, à de nouvelles sanctions.
Les Vingt-Sept ont déjà gelé les avoirs et les visas de 34 personnalités ou entités syriennes.
"La situation reste très sérieuse et se détériore plutôt", a dit le secrétaire au Foreign Office britannique, William Hague, à l'issue d'une réunion des ministres européens des Affaires étrangères à Bruxelles.
"Jusqu'à ce que cette violence inacceptable contre la population civile s'arrête et que des progrès importants soient accomplis pour répondre aux aspirations démocratiques légitimes du peuple syrien, l'UE poursuivra et renforcera sa politique actuelle, y compris par l'intermédiaire de sanctions", a ajouté le chef de la diplomatie britannique.
Avec Mariam Karouny et Oliver Holmes à Beyrouth et David Brunnstrom et Ilona Wissenbach à Bruxelles; Clément Guillou pour le service français

Syrie: tirs nourris signalés à Homs

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BEYROUTH (AP) — Des tirs nourris étaient signalés jeudi à Homs dans le centre de la Syrie, selon un militant des droits de l'Homme et un habitant de cette ville, qui rapportaient que les forces de sécurité menaient des raids et des arrestations.
Selon Rami Abdul-Rahman, directeur de l'Observatoire syrien pour les droits de l'Homme, basé à Londres, les chars ont bouclé certains quartiers de Homs, dont Bab Sbaa, où se déroulaient les principales opérations des forces de sécurité.
Un habitant de la ville racontait que les hauts-parleurs d'une mosquée transmettaient des appels à la population pour aider Bab Sbaa. Cet habitant qui a requis l'anonymat par peur de représailles expliquait que d'intenses tirs de mitrailleuses retentissaient depuis 4h du matin.
La ville d'Homs a été le théâtre de certaines des plus graves violences en Syrie au cours de la semaine écoulée alors que se poursuit le mouvement de contestation contre le régime du président Bachar el-Assad. AP
sb/v265

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Syrie: deux explosions secouent une académie militaire
10:41 23/07/2011
Deux puissantes déflagrations se sont produites dans la nuit de vendredi à samedi dans l'académie militaire de Homs (centre), théâtre des accrochages entre manifestants antigouvernementaux et forces de l'ordre, rapportent les médias occidentaux.

http://fr.rian.ru/world/20110723/190236745.html

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Syrie: huit personnes tuées par les forces de sécurité près de Damas

AP – il y a 4 heures
BEYROUTH (AP) — Les forces de sécurité syriennes ont ouvert le feu lors des manifestations qui rassemblaient plusieurs dizaines de milliers de personnes dans plusieurs villes de Syrie après les prières du vendredi, selon des militants des droits de l'homme.
Les troupes syriennes ont notamment tiré sur la foule à Lattaquieh (nord-ouest) et molesté des manifestants à Banias (nord-ouest), précise-t-on de mêmes sources, sans fournir de bilans dans l'immédiat.
Les mouvements d'opposition avaient appelé les Syriens à descendre dans la rue comme chaque vendredi après les prières, avec cette fois le mot d'ordre "Votre silence nous tue". L'opposition s'efforce d'inciter les différentes catégories de la population à se mobiliser davantage, ainsi que les dirigeants arabes restés silencieux devant la répression. AP
ll/v0372

Affrontements à Daïr az Zour dans l'est de la Syrie

http://fr.news.yahoo.com/affrontements-%C3%A0-da%C3%AFr-az-zour-dans-lest-la-070134666.html

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Vingt-quatre civils ont été tués lundi en Syrie dont dix après la prière du soir au premier jour du ramadan, par les tirs des forces de sécurité, a affirmé Rami Abdel Rahmane, chef de l’Observatoire syrien des droits de l’Homme.
«Dix martyrs sont tombés et plusieurs ont été blessés par les tirs des forces de sécurité lors des manifestations dans divers villes syriennes après la prière des Tarawih», qui a lieu tous les soirs durant le mois de ramadan après la rupture du jeûne, a précisé M. Abdel Rahmane faisant état d’un bilan global pour la journée de vingt-quatre morts.
(Source AFP)

Veto de la Russie et de la Chine à l'Onu sur la Syrie

http://fr.news.yahoo.com/veto-la-russie-et-la-chine-%C3%A0-lonu-053317950.html

quoi elle est pas morte alors on nous a menti :rendeer:

Un "terrain d'entente" trouvé avec la Syrie, selon le chef de la diplomatie algérienne

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ALGER (AP) — Le ministre algérien des Affaires étrangères, Mourad Medelci a déclaré mardi à Alger qu'un "terrain d'entente" avait été trouvé avec la Syrie, lors de la réunion du comité de suivi de l'initiative arabe de paix à Dohar (Qatar). Il a souhaité que les avancées de cette réunion se confirment au Caire, lors de la réunion extraordinaire du Conseil de la Ligue arabe.
"On a eu une bonne réunion à Doha et nous avons trouvé un terrain d'entente avec nos amis syriens, et j'espère que ce terrain d'entente se confirme au Caire", a expliqué le chef de la diplomatie algérienne, dans une déclaration rapportée par l'agence officielle APS.
Mourad Medelci a fait cette déclaration quelques instants avant de s'envoler pour le Caire. Il doit assister à la réunion extraordinaire du Conseil de la Ligue arabe au niveau ministériel prévue mercredi, qui sera qui sera consacrée à l'examen des résultats de la mission de la commission ministérielle arabe sur la Syrie, pays avec lequel l'Algérie entretient traditionnellement une forte relation.
L'organisation panarabe, qui regroupe 22 Etats, a proposé au régime de Damas un plan de sortie de crise pour mettre fin aux violences en Syrie, où le régime du président Bachar el-Assad mène depuis sept mois une sanglante répression contre les manifestants qui réclament son départ.
La commission ministérielle était dirigée par le Qatar, et une réunion de suivi a eu lieu dimanche à Doha. AP
xoao/nc

http://fr.news.yahoo.com/terrain-dentente-trouv%C3%A9-syrie-selon-chef-diplomatie-alg%C3%A9rienne-114256158.html

Citation :

LE CAIRE (AP) — La Ligue arabe a suspendu samedi la participation de la Syrie à toutes les réunions de l'organisation tant que Damas n'aura pas mis en oeuvre l'accord conclu pour mettre fin à la répression meurtrière du mouvement de contestation dans le pays.

http://fr.news.yahoo.com/ligue-arabe-suspend-participation-syrie-132116237.html

Décision illégale du point de vue de la charte de la ligue arabe ;

Suspendre un pays est permis uniquement par unanimité , et non pas par majorité...

c'est ps une ligue cette chose
tu voie la faute du régime Syrien c est pas de tue sont peuple no c est d’être alaouite donc chiite
car si en veut parle de liberté c est pas au pays du golf de la montrer

tout était planifié d'avance khouya Yak...rien ne m’étonne de cette chose qu'on appelle Ligue.

On devrait fermer son siège et le transformer en grande pizzeria

ça sera plus utile

a 100% d'accord avec toi

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وزير خارجية الجزائر: بالامكان رفع تعليق عضوية سوريا في الجامعة العربية قبل 16 تشرين الثاني/نوفمبر
(AFP) – منذ ساعة واحدة
الجزائر (الجزائر) (ا ف ب) - اعلن وزير الخارجية الجزائري مراد مدلسي الاحد ان الجامعة العربية يمكن ان ترفع تعليق عضوية سوريا في الجامعة العربية قبل السادس عشر من تشرين الثاني/نوفمبر، موضحا ان الجزائر لن تسحب سفيرها في دمشق.
وقال مدلسي في مؤتمر صحافي عقده مع نطيره المصري محمد كامل عمرو "تعليق عضوية سوريا مؤقت ويمكن رفعه في اقرب وقت ممكن" مضيفا "ولما لا قبل السادس عشر من هذا الشهر بما ان هناك اجتماعا مقررا في الرباط في هذا التاريخ".
وأكد بذلك وزير الخارجية الجزائري انباء صحافية كانت اشارت الى اجتماع وزراء الخارجية العرب في الرباط الاربعاء المقبل على هامش المنتدى العربي التركي.
ودعت سوريا الاحد الى عقد قمة عربية طارئة لمعالجة الازمة السورية و"تداعياتها السلبية" على الوضع العربي.
واضاف الوزير الجزائري "نحن نأمل ان تتجاوب الحكومة السورية مع هذا الأمل العربي الكبير في ان يتوقف العنف في سوريا بصفة سريعة وسريعة جدا حتى نعمل من أجل حل سوري عربي".
ومن جهته اكد وزير الخارجية المصري ان الهدف الاساسي للمبادرة العربية هو "تجنب التدخل الاجنبي في سوريا".
وقال "هدفنا واحد هو ان مبادرة الجامعة العربية ما زالت حية وما زالت اساس الحل في سوريا، وهدف الجزائر وهدف مصر هو تجنب التدخل الاجنبي في سوريا تحت اي مسمى وتحت اي غطاء"
وكشف مدلسي ان الجزائر رفضت المسودة الاولى للقرار وكانت "ستنسحب من اللجنة الوزارية العربية" لو تم اعتمادها.
واوضح "كان هناك نقاش ساخن قبل الخروج بهذه الورقة التي تعبر عن وجهة نظر اللجنة وليس وجهة نظر مصر او الجزائر".
وبخصوص بند القرار المتعلق بسحب السفراء العرب من سوريا، اكد مدلسي أن الجزائر اتخذت قرارها "ولن تسحب سفيرها من دمشق".
وقال "اصبح اليوم اكثر من اي وقت مضى مهما بالنسبة لنا تقوية العلاقات مع الحكومة السورية لتطبيق الخطة العربية".
وقرر وزراء الخارجية العرب السبت تعليق مشاركة وفد سوريا في اجتماعات الجامعة العربية، ودعوا الى سحب السفراء العرب من دمشق.

كما اعترفوا ضمنا بالمعارضة السورية ودعوها الى اجتماع في مقر الجامعة "لبحث المرحلة الانتقالية المقبلة".

http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5hLCKR89ThYteofTpRa9jgXQLj0Hw?docId=CNG.95f958f365344ace5c15cb0ba8405f0a.291
traduction google

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Le ministre des Affaires étrangères de l'Algérie: levée éventuelle de suspension de la Syrie dans la Ligue arabe, avant Novembre 16
(AFP) - Depuis une heures
Alger (Algérie) (AFP) - Le ministre algérien des Affaires étrangères Mourad Medelci dimanche que la Ligue arabe pourrait soulever la suspension de la Syrie dans la Ligue arabe avant le seizième de Novembre, ajoutant que l'Algérie ne sera pas retirer son ambassadeur à Damas.
Medelci a déclaré lors d'une conférence de presse avec Ntarh Mohamed Amr Kamel, "une suspension temporaire de la Syrie peut être levée dès que possible", ajoutant: «Pourquoi pas avant le seizième de ce mois, y compris qu'il ya une réunion prévue à Rabat dans cette histoire."
Il a souligné que le ministre des Affaires étrangères algérien des rapports de presse ont indiqué était une réunion des ministres arabes des Affaires étrangères à Rabat, mercredi prochain, en marge du Forum arabo-turc.
Et a appelé la Syrie, le dimanche de tenir un sommet arabe d'urgence pour résoudre la crise, la Syrie et le «répercussions négatives» sur la situation arabe.
Le ministre algérien a déclaré: «Nous espérons que le gouvernement syrien répondre avec cette grande espérance arabes pour arrêter la violence en Syrie comme un moyen rapide et très rapide, donc nous travaillons à résoudre la République arabe syrienne."
Pour sa part, le ministre égyptien des Affaires étrangères a déclaré que le principal objectif de l'initiative arabe est "d'éviter l'ingérence étrangère en Syrie."
«Notre objectif est celui que l'initiative de la Ligue arabe est toujours vivant et toujours à la base de la solution en Syrie, et l'objectif de l'objectif de l'Algérie et l'Egypte est d'éviter l'ingérence étrangère en Syrie sous n'importe quel nom et sous aucune couverture"
M. Medelci a révélé que l'Algérie a rejeté le premier projet de la décision et a été "retirer du comité ministériel arabe," s'il est adopté.
Il a dit "Il ya eu un débat houleux avant d'aller dans ce document reflètent les vues de la Commission et non le point de vue de l'Egypte ou l'Algérie."
Concernant le point relatif au retrait de la décision des ambassadeurs arabes de Syrie, M. Medelci a déclaré que l'Algérie avait pris la décision "ne sera pas retirer son ambassadeur de Damas."
"Il a aujourd'hui plus que jamais important pour nous de renforcer les relations avec le gouvernement syrien à mettre en œuvre le plan arabe."
Et décidé de ministres arabes des Affaires étrangères samedi de suspendre la participation aux réunions de la délégation de la Syrie, la Ligue arabe, et a appelé au retrait des ambassadeurs arabes de Damas.
Il a également reconnu implicitement l'opposition syrienne et l'ont appelé à une réunion au siège de l'université »pour discuter de la prochaine phase de transition."

Les médias nous montrent ce qu'ils veulent en final

Pas un mot sur les centaines de milliers de manifestants contre la décision de la ligue arabe à Damas aujourd'hui

Citation :

ALGER (AP) — L'Algérie ne rappellera pas son ambassadeur en Syrie, a déclaré dimanche à Alger le ministre algérien des Affaires étrangères, Mourad Medelci, au lendemain de la décision de la Ligue arabe de suspendre temporairement la Libye en raison de la répression dans le sang des manifestations.
En marge d'une rencontre avec son homologue égyptien Mohamed Kamel Amr, M. Medelci a indiqué: "Il n'est pas question pour l'Algérie de mettre en oeuvre la disposition de la Ligue arabe, qui permet d'ailleurs à chaque pays de prendre sa décision de manière souveraine".
"Bien au contraire", a-t-il poursuivi, "plus que jamais le moment est aujourd'hui au renforcement de la relation avec le gouvernement syrien pour mettre en oeuvre plus concrètement encore le plan que nous avons adopté le 2 novembre dernier au niveau de la Ligue arabe".
L'Algérie fait partie du comité interministériel chargé du suivi de la crise syrienne. Samedi, la Ligue arabe a décidé de suspendre la Syrie de ses instances si le régime de Bachar el-Assad n'appliquait pas, dans un délai de quatre jours, le plan arabe de sortie de crise conclu il y a une dizaine jours. AP
xoao/mw

La Ligue arabe d’Amérique pave la voie à la recolonisation de la Syrie

Citation :

par Pierre Khalaf
vant même que n’expire le délai de 15 jours accordé à la direction syrienne pour mettre en œuvre le plan arabe de règlement de la crise, la Ligue arabe a décidé, dans une mesure inattendue, de suspendre la Syrie de toute ses institutions. Cette décision était planifiée à l’avance, comme l’ont affirmé les ministres syrien et russe des Affaires étrangères, Walid Moallem et Serguei Lavrov.

D’ailleurs, l’initiateur de ce complot, le Premier ministre qatari, Hamad Ben Jassem, n’avait pas pu cacher son irritation lorsque Damas avait accepté le plan arabe, le 1er novembre. La France, les États-Unis et la Turquie, qui coordonnent leur action étroitement, ont eu la même attitude négative.

Ce plan de règlement avait en fait été mis en place pour qu’il soit refusé par la Syrie. Sentant le piège, Damas l’avait accepté. Mais l’acharnement des Arabes de l’Amérique n’a, semble-t-il, aucune limite. Sans prendre la peine de préserver les formes, ils ont initié une campagne médiatique féroce, avançant tous les jours des bilans fantaisistes de morts en Syrie, pour dénoncer le non-respect par Damas du plan arabe, afin de justifier une réunion urgente. Lors de cette rencontre au Caire, le 12 novembre, l’affaire a été expédiée en un quart de tour. Pas de délibérations, pas de lecture des lettres adressées par les autorités syriennes expliquant les mesures prises (libération de 550 détenus), début du retrait de l’Armée des villes, visas pour 80 journalistes etc…), pas de débat. La décision –illégale car ne faisant pas l’unanimité- de suspendre la Syrie, pays fondateur de la Ligue et dernier État arabe à faire face à Israël, a été annoncée.

Une tentative d’internationalisation

Le but de cette décision est d’assurer une couverture arabe à l’internationalisation de la crise, en renvoyant le dossier devant le Conseil de sécurité. Progressivement, des mesures seront prises pour accentuer l’isolement et l’affaiblissement de la Syrie, en prélude d’une intervention militaire, vraisemblablement conduite par la Turquie, membre de l’Otan.

La Syrie a réagi sur le double plan populaire et diplomatique à ce coup de poignard.

Dès les premières heures de dimanche, des millions de personnes ont commencé à se rassembler à Damas et dans les autres grandes villes du pays. De la côte méditerranéenne à l’ouest, jusqu’à la frontière irakienne à l’Est ; de Daraa et Soueida au Sud, à Alep et Raqqa au Nord, les Syriens se sont mobilisés en masse. Les manifestants ont brandi des portraits de Bachar al-Assad et déployé des drapeaux syriens géants, tout en scandant des slogans à la gloire du président et hostiles aux pays du Golfe. Une foule en colère avait attaqué, samedi, l’ambassade d’Arabie saoudite à Damas et les consulats de France et de Turquie à Lattaquié.

Sur le plan politique, la Syrie a annoncé qu’elle était disposée à recevoir, avant le 16 de ce mois, le comité de médiation arabe. Les médiateurs pourraient se fait accompagner d’observateurs militaires et civils et de journalistes pour vérifier les développements sur le terrain. Damas a également réclamé la tenue d’un sommet arabe urgent au niveau des chefs d’Etat, pour examiner la crise syrienne et ses répercussions sur la conjecture arabe.

En faisant preuve d’ouverture, Damas veut prouver à son peuple d’abord et aux autres ensuite, que la Ligue arabe n’est pas motivée par le souci de « protéger les civils », ni de régler la crise via le dialogue, mais par l’exécution des ordres de Washington qui consistent à renvoyer le dossier au Conseil de sécurité.

Bien que fortement embarrassés par l’offre syrienne, la Ligue n’avait toujours pas donné de réponse lundi soir. Les Arabes d’Amérique étaient occupés à préparer une autre réunion ministérielle à Rabat, mercredi, au cours de laquelle ils projettent de donner leur feu vert à la création, par la Turquie, d’une zone tampon, dans le Nord de la Syrie. En d’autres termes, ils prévoient de couvrir l’occupation d’un pays arabe par une puissance régionale non-arabe !

Quoi qu’il en soit, Walid Moallem a assuré que la Syrie défendrait la plus petite parcelle de sa souveraineté. (voir plus bas)

La Russie campe sur ses positions

La manœuvre de la Ligue arabe, dominée par un petit émirat sous-peuplé ployant sous d’incroyables richesses, était tellement grossière que Serguei Lavrov n’a pas pu s’empêcher, lundi, de la dénoncer en des termes on ne peut plus sévères (voir plus bas). Le chef de la diplomatie russe a réaffirmé que son pays refuse toute intervention étrangère en Syrie et s’oppose à la suspension de Damas des instances de la Ligue. Il a accusé l’Occident d’encourager la contestation et les voisins de la Syrie de transférer des armes aux insurgés. L’Iran, l’Irak et le Venezuela ont dénoncé les ingérences américaines dans les affaires syriennes et l’Algérie a annoncé qu’elle ne comptait pas rappeler son ambassadeur.

Et comme si la trahison des Arabes ne suffisait pas, la coalition pro-américaine du 14-Mars, au Liban, s’investit à fond aux côtés de l’opposition syrienne. L’Armée libanaise a annoncé à plus d’une occasion avoir saisi des armes destinées aux insurgés syriens. La Sureté générale a arrêté à l’aéroport de Beyrouth trois ressortissants syriens avec des listes de matériels réclamés par les groupes armés en Syrie. Ils étaient en route pour un pays du Golfe pour trouver le financement.

Dans les régions frontalières à majorité sunnite, allant du Nord à l’Est du Liban sur une distance de plus de 100 kilomètres, les opposants syriens et leurs familles sont accueillis et logés. Deux députés islamistes proches du Courant du Futur de Saad Hariri, Mouïn Merhebi et Khaled Daher, ont mis en place une importante logistique pour accueillir non seulement les réfugiés mais aussi les blessés. Et depuis quelques jours, le 14-Mars mène campagne pour l’installation d’un camp de réfugiés, comme en Turquie, qui deviendra, très vite une base d’entrainement d’extrémistes. Pourtant, selon les Nations unies, il n’y a au Liban que 3300 réfugiés, logés la plupart chez des proches.

L’encerclement de la Syrie se met en place et « la guerre rampe très vite » vers ce pays, pour reprendre le titre du quotidien arabophone londonien Al-Qods Al-Arabi.

Les conditions actuelles ressemnlent à celles d’il y a 20 ans, lorsque la Ligue arabe a fait de même avec l’Irak suite à l’invasion du Koweït. Mais la Syrie n’est ni la Libye de Moammar Kadhafi ni l’Irak de Saddam Hussein. Et tous ceux qui complotent contre elles le découvriront… à leurs dépens.

Déclaration de Walid Moallem, ministre syrien des Affaires étrangères

« Le leadership syrien voit dans le dialogue et les réformes dans un climat de paix civile la base d’une vie digne à laquelle tous les Syriens aspirent. Et c’est pour cela qu’il traite ouvertement avec tout effort contribuant au lancement du dialogue.

L’attitude de la Russie et de la Chine ne changera pas tant que la coopération avec ces deux pays amis se poursuit. Le peuple syrien ne doit pas s’inquiéter d’une éventuelle internationalisation et de la répétition du scénario libyen en Syrie. Il n’y a pas d’escalade dans la crise ; au contraire nous nous orientons vers sa fin.

Nous réaffirmons que le comité de médiation arabe est le bienvenu en Syrie, accompagné d’observateurs militaires, civils et de journalistes afin de vérifier que le plan de la Ligue arabe a commencé à être mis en œuvre.

Je ne cache pas qu’il y a une crise en Syrie et que les conspirations la frappent de toutes parts, car elle paie le prix de la fermeté de ses positions et de la sincérité de son Arabité. Mais la Syrie ne fléchira pas et sortira forte de la crise.

La décision de la Ligue arabe de suspendre la Syrie est très dangereuse pour l’action arabe commune dans l’immédiat et à l’avenir. Cette mesure a été planifiée à l’avance. Nous disposons d’une étude juridique qui confirme que la suspension est illégale et contraire à la charte de la ligue car elle doit être décidée à l’unanimité de tous les pays membres, à l’exception de l’État concerné. La Syrie a ses raisons de croire que les parties qui avaient préparé cette mesure ont été surprises par la mise en œuvre des points du plan d’action arabe par Damas.

Une campagne médiatique sans précédent a accompagné cette acceptation, en plus d’une escalade des actes criminels armés sur le terrain. La Syrie avait commencé à retirer les troupes des villes, libéré 553 détenus, autorisé l’entrée de 80 journalistes. Si les Arabes ne réagissent pas positivement à l’appel de la Syrie, cela veut dire qu’ils auront abandonné leur rôle.

Les comploteurs contre la Syrie avaient prévu que le mois ramadan verrait la réalisation de leur complot. Cette date a été prolongée jusqu’au 16 de ce mois et la voilà prorogée une nouvelle fois jusqu’à fin 2011, date du retrait des Américains d’Irak. Mais tous ces plans seront voués à l’échec. »

Déclaration de Serguei Lavrov, ministre russe des Affaires étrangères

« La décision de la Ligue arabe de suspendre la Syrie est une faute et une action planifiée à l’avance. Ceux qui ont pris cette décision ont perdu une chance très importante de mettre la situation sur une voie plus transparente.

Les pays occidentaux incitent l’opposition syrienne à déstabiliser la Syrie. Je suis vivement déçu par les déclarations du ministre français des Affaires étrangères, Alain Juppé, dans lesquelles il avait indiqué que le plan arabe était mort-né.

De même, il est inacceptable que Washington appelle les manifestants armés, d’une manière flagrante, à ne pas rendre les armes ni à bénéficier de l’amnistie générale. Les groupes armés exploitent insolemment les manifestations pacifiques afin de provoquer les autorités syriennes. Il existe un trafic d’armes de Turquie, d’Irak et d’autres pays en faveur des extrémistes en Syrie.

Je ne crois pas que l’évolution des événements en Syrie exige un examen par le Tribunal pénal international. Les partenaires de la Syrie qui ont une influence sur les différentes forces de l’opposition syrienne doivent assumer leurs responsabilités. »

Articles de Pierre Khalaf publiés par Mondialisation.ca

Citation :

La Ligue arabe d’Amérique pave la voie à la recolonisation de la Syrie

mort de rire merci Ben, en plus ça veut tous dire
heureusement pour la Syrie que ces intérêts convergent avec ceux de la Russe et leur base naval de Tartous donc pas de résolution de l'ONU et pour les pseudo arabes qui gouverne la péninsule
l'histoire vous jugera