Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
Sujet: Iran crise Dim 3 Fév - 23:12
La crise précipite les Iraniens dans la rue
REGARDEZ. De violents heurts ont éclaté mercredi au coeur de Téhéran, après la chute spectaculaire de la monnaie iranienne. Analyse.
Citation :
Trop, c'est trop. La spectaculaire chute de la monnaie iranienne, qui a perdu 40 % de sa valeur en à peine une semaine, a provoqué mercredi des manifestations populaires à Téhéran, les premières du genre dans le pays depuis un an et demi. "Ahmadinejad, le traître, tu as ruiné le pays", scandaient, d'après des vidéos, des dizaines de personnes sur l'avenue Ferdowsi, au centre-ville de Téhéran, où des bennes à ordures ont été incendiées, dégageant une épaisse fumée noire. "Laisse la Syrie tranquille et pense un peu à nous !" criaient d'autres mécontents, place Imam Khomeiny.
"À travers la Syrie, ce n'est pas qu'Ahmadinejad, mais le régime entier, en premier lieu duquel le guide suprême, et les brigades al-Qods qui sont critiqués pour leur soutien indéfectible à la Syrie", remarque la sociologue Azadeh Kian*. Des slogans qui, mot pour mot, sont ceux scandés en 2009 contre la réélection contestée de Mahmud Ahmadinejad à la présidence. À l'époque, c'était l'aide financière apportée aux Palestiniens qui était visée. Cette fois, les manifestants ne sont plus des étudiants et des classes moyennes, mais des marchands "bazari" (du bazar, NDLR) et des couches plus populaires.
Chasse aux revendeurs de dollars
Des pierres sont maintenant jetées contre une voiture de la police. Les forces de l'ordre répliquent à coups de gaz lacrymogène, raconte Reuters. Des centaines de policiers sont déployés avenue Ferdowsi pour y interpeller les marchands illégaux de dollars. Depuis lundi, les Iraniens se précipitent sur ces vendeurs à la sauvette pour convertir leur argent en dollars, de peur de voir fondre leur épargne. L'embargo européen sur les achats de pétrole iranien, additionné aux sanctions frappant déjà les secteurs bancaires et nucléaires du pays, a provoqué l'effondrement des exportations de pétrole iranien, qui assurent au gouvernement près de 85 % de ses recettes en devises étrangères.
Des pertes qui vident le stock de la Banque centrale iranienne (BCI), censée injecter les devises sur le marché afin de maintenir l'équilibre de la monnaie iranienne. La crise est d'autant plus grave qu'elle est venue se greffer sur une inflation déjà galopante. Si le taux officiel est fixé à 23,5 %, le chiffre réel serait en réalité au moins deux fois plus élevé. En un an, le prix des denrées alimentaires, majoritairement exportées depuis l'étranger, a été multiplié par deux. Le gouvernement a bien fixé le taux officiel du dollar à 12 260 rials, rien n'y a fait. Face au manque de liquidités s'est développée dans le pays une véritable économie parallèle, comme au temps de la guerre Iran-Irak.
Comme en 1979 ?
Mardi, le billet vert s'arrachait au marché noir jusqu'à 36 000 rials : un record historique. Pour éteindre l'incendie, le gouvernement a dernièrement mis en place des "centres d'échange", censés fournir prioritairement les importateurs de produits de première nécessité à un taux préférentiel. Or, cette mesure n'a fait en réalité qu'accentuer la panique au sein d'une population qui ne croit plus aux promesses gouvernementales d'une amélioration rapide de la situation. Le coup le plus dur infligé au régime reste sans doute la fermeture durant la journée de mercredi du bazar, l'un des poumons économiques du régime.
"Nous avons fermé parce que nous ne savons pas ce qui va se passer" avec le dollar, a indiqué à l'AFP un marchand de l'artère téhéranaise, traditionnellement proche du clergé chiite iranien. "Le même produit peut changer de prix en une heure", regrette un autre commerçant interrogé par Reuters. En 1979, l'implication des bazari dans la révolution islamique a précipité le renversement du shah d'Iran. Un tel scénario serait-il sur le point de se reproduire ? Sans aller jusqu'à cette extrémité, Azadeh Kian note que la situation du jour est "inédite" depuis la révolution de 1979. "Le mécontentement, déjà visible au sein d'autres groupes sociaux, touche désormais les classes plus populaires, note la sociologue. Or, les caisses de l'État se vidant, le gouvernement n'aura plus les moyens de payer la répression."
oui c'est normale mais sa prouve rien les sanction on fait très lame au pays et je l'ai dit mais c'est pas comme si q'uil etait pas sous emabrgo et qui sont dans cette crise
yak Admin
Messages : 13552 Date d'inscription : 24/04/2011 Localisation : SUR TERRE
Sujet: Re: La Crise Iranienne Dim 3 Fév - 23:40
heureux celui qui a rien vue rien entendu rien dit . avent de dire pour quoi ca va pas il faut ce demander comme l’Algérie tien toujours.....;;.. grasse au sang de ces filles et fils
Dernière édition par yak le Dim 3 Fév - 23:49, édité 1 fois
berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
Sujet: Re: La Crise Iranienne Dim 3 Fév - 23:44
Alors n'oublie pas aussi que nous aussi onT étais en guerre et sous embargo...
Et entre ( ) on est toujours en guerre donc si on veut pas une explosion social on doit laissé au peuple un ballon d'oxygène .
yak Admin
Messages : 13552 Date d'inscription : 24/04/2011 Localisation : SUR TERRE
Sujet: Re: La Crise Iranienne Dim 3 Fév - 23:54
Iran president accuses parliament speaker's family of corruption http://uk.reuters.com/article/2013/02/03/uk-iran-politics-idUKBRE91209X20130203
yak Admin
Messages : 13552 Date d'inscription : 24/04/2011 Localisation : SUR TERRE
Sujet: Re: La Crise Iranienne Dim 3 Fév - 23:56
L'Iran se situe à 168 en indice de perception de la corruption 2009
lol areté de me mettre en ennemie numéro 1 svp je suis aussi algerien et je doute pas une seconde que l’Algérie et une nation un peuple pacifique mais kan on le cherche il et prés a renverser le monde on et prés a renoncer a tous sauf a notre nif oublier pas sa seulement pour sa il fait TRAVAILLERRRR on et dans l’œil du cyclone j'ai pas oublier mon cher berhoum sauf que l’Algérie n'est plus sous embargo et on devrait en profité justement l'iran et sous embargo depuis 79 et avec une guerre plus sanglante qui était avec une puissance régional qui était l'irak de saadam les enfant de l'iran sont mort de la meme maniére et c'est sa qui forge les peuple croyer moi l peuple algerien et iranien sont vraiment pas si différent que sa c'est juste la politique qui n'est pas la même mais le peuple et pareille j'ai était dans plu sieur pays ya pas une mentalité similaire a la mentalité iranienne et algerienne et vous l'avez dit vous mime l’Algérie et unique dans le monde arabe preuve quela rien avoir avec les autre et j'en suis fier mais il faut bosser car on joue avec notre nation comme sa
Rebell banni
Messages : 7649 Date d'inscription : 21/09/2012
Sujet: Re: La Crise Iranienne Dim 3 Fév - 23:59
yak a écrit:
L'Iran se situe à 168 en indice de perception de la corruption 2009
lol serieux tu va pas croire sa kan même tu sais très bien que l’Iran on lui trouve tout les maux aujourd’hui meme le rechaussement planétaire c'est a cause de l'iran je vous invite a y allé
berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
Sujet: Re: La Crise Iranienne Lun 4 Fév - 0:05
Crois moi Rebell Ont bosse grave ...
Mais il faut laissé le temps au temps notre Pays à beaucoup de chose à faire mais il le fera !
Car les Patriotes Veilles dans l'Ombre
yak Admin
Messages : 13552 Date d'inscription : 24/04/2011 Localisation : SUR TERRE
Sujet: Re: La Crise Iranienne Lun 4 Fév - 0:05
Iran : Ahmadinejad et le président du Parlement s'accusent de corruption
Citation :
Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad et le président du Parlement Ali Larijani se sont mutuellement accusés dimanche de tentative de corruption, de népotisme et d'immoralité, des accusations sans précédent entre deux dirigeants en guerre ouverte depuis plusieurs mois. Lors d'un débat parlementaire houleux, M. Ahmadinejad a diffusé un enregistrement dans lequel une voix présentée comme celle de Fazel Larijani, frère du président du Parlement et du chef de l'autorité judiciaire Sadegh Larijani, demande à un proche du président iranien, Saïd Mortazavi, des pots-de-vin en contrepartie d'un soutien politique de ses deux frères. M. Mortazavi, ancien procureur général de Téhéran, est visé par une enquête judiciaire pour son rôle dans la mort en prison de manifestants arrêtés lors des manifestations ayant suivi la réélection contestée de M. Ahmadinejad en 2009.
Le gouvernement ayant refusé de limoger M. Mortazavi, actuel chef de la Sécurité sociale, le Parlement a lancé une procédure de destitution contre son supérieur, le ministre du Travail Abdolreza Cheikh-ol-Eslami.
Réagissant à l'enregistrement, Ali Larijani a accusé M. Ahmadinejad d'empêcher la justice d'agir contre "ses proches ayant un dossier judiciaire". "Le président ne respect pas le b.a.-ba de la morale" et "répand l'immoralité dans la société par son action", a-t-il lancé. M. Larijani a également accusé M. Ahmadinejad de l'avoir "menacé" de diffuser l'enregistrement contre son frère si la procédure de destitution du ministre du Travail était maintenue.
Alors que M. Ahmadinejad affirmait que M. Larijani entravait "l'action du gouvernement" en annulant des décrets ou les nominations décidés en conseil des ministre, il s'est entendu répondre qu'il ne "respectait pas la loi".
Ces accusations réciproques interviennent à moins de cinq mois de l'élection présidentielle prévue le 14 juin, dans un climat politique marqué par la guerre ouverte entre différentes factions conservatrices. Mahmoud Ahmadinejad ne peut plus se représenter et Ali Larijani est l'un des candidat potentiel à sa succession.
Les députés ont finalement voté à une large majorité le limogeage de M. Cheikh-ol-Eslami. En février 2011, le ministre des Transports avait déjà fait les frais de cette rivalité, en étant destitué après un accident d'avion meurtrier.
t"es malades tu baisses de régime on te connait plus critique les insultes fuse dhabitude on se croirait dans le deuxieme peuple élu
pourtant c est la crise en iran
mais tout le monde est gentil tout le monde il est beau
yak Admin
Messages : 13552 Date d'inscription : 24/04/2011 Localisation : SUR TERRE
Sujet: Re: La Crise Iranienne Lun 4 Fév - 0:30
Rebell a écrit:
sa prouve rien yak
je l’espère bien berhoum
yak Admin
Messages : 13552 Date d'inscription : 24/04/2011 Localisation : SUR TERRE
Sujet: Re: La Crise Iranienne Lun 4 Fév - 0:31
Rebell a écrit:
sa prouve rien yak
je l’espère bien berhoum
donc suivent ta logique il y'a pas aussi de corruption en Algérie puisque l'occident est contre nous aussi ;
Rebell banni
Messages : 7649 Date d'inscription : 21/09/2012
Sujet: Re: La Crise Iranienne Lun 4 Fév - 0:35
faty arête stp oui je suis très très critique seulement l’Iran défend plus farouchement ses interet et riposte au coup j'ai du hérité de cette mentalité kan israel a tué les scientifique iranien avec les voiture piéger l’Iran a riposté en avec des attentat dans différente embrassade d’Israël dans le monde et l'algerie qui sais que c'est le maroc le Qatar l’Arabie saoudite etc.. qui alimente le terorisme et elle ne fait rien c'est ce que je reproche a l’Algérie sa me fait male de voir ses salopart vivre alors q'uil en massacré notre peuple
ps: et la crise ce n'est pas sa faute c'est les sanction tout simplement et pourtant beaucoup de programme sont financer
Rebell banni
Messages : 7649 Date d'inscription : 21/09/2012
Sujet: Re: La Crise Iranienne Lun 4 Fév - 0:38
yak a écrit:
Rebell a écrit:
sa prouve rien yak
je l’espère bien berhoum
donc suivent ta logique il y'a pas aussi de corruption en Algérie puisque l'occident est contre nous aussi ;
non l’Algérie n'a pas d'embargo aparement vous ignoré l’embargo qui et mie contre l’Iran il n'a rien avoir avec celui qui a était imposer a l’Algérie en 90surtout qu’il dure depuis 79 et la cerise sur la fleur en plein guerre avec l'irak
attention je dit pas qu’il ya pas de corruption mais beaucoup moin que on Algérie on Iran les pasdaran font régné la loi dehors ceux qui mettent pas bien le voile les voleur escroc etc..il ya moin de coruption masi il yen a comme dans chaque pays mais l’Algérie c'est partout ya pas un seul douanier qui m'a spa reclamer de l'argent
yak Admin
Messages : 13552 Date d'inscription : 24/04/2011 Localisation : SUR TERRE
Sujet: Re: La Crise Iranienne Lun 4 Fév - 0:42
tu parle d'embrgo jusque cette anneé il y'avait une usine PSA en Iran oui ou non ?
berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
Sujet: Re: La Crise Iranienne Lun 4 Fév - 0:44
Tu est sur que tu était bien en Algérie ...
faty Colonel
Messages : 3229 Date d'inscription : 08/04/2012
Sujet: Re: La Crise Iranienne Lun 4 Fév - 0:46
t in quiète pas pour les intérèts en algerie de tout temps des Hommes y ont veillé ont combatu et ont donné leurs vies pour les noble causes.
par contre je suis pas inquié pour iran il nous on deja surpris et meme remercier avec des aides a nos ennemis des vrai laches alors que algerie dans le passé les a aidé.
c est vrai qe iran defendait ces interets avec le fis.
faty Colonel
Messages : 3229 Date d'inscription : 08/04/2012
Sujet: Re: La Crise Iranienne Lun 4 Fév - 0:51
yak ils les ont aidé pour le nucleaire aussi si ce n était pas le cas il aurait subit le meme sort que irak il y a bien longtemps centrale osiris et pas un embargo qui ne fonctionne pas pour le nucleaire
Rebell banni
Messages : 7649 Date d'inscription : 21/09/2012
Sujet: Re: La Crise Iranienne Lun 4 Fév - 1:06
je voie pas le rapport avec PSA l'embargo prenez petite a petit sur plusieurs domaine
par contre faty insulte pas l’Iran de lâche tu connait rien -_- l'iran aide pas nos ennemie comme tu dit mais ce sont tes frère arabe sunnite du golf c'est eux qui te poignarde dans le dos
yak Admin
Messages : 13552 Date d'inscription : 24/04/2011 Localisation : SUR TERRE
Sujet: Re: La Crise Iranienne Lun 4 Fév - 1:07
rebell j ai rien contre toi ni contre l'Iran loin de la mais il y'a aucun pays qui n’échappe a la corruption ou d'autres problèmes donc comme en critique il faut aussi accepte d’être critiqué c'est comme ça
Rebell banni
Messages : 7649 Date d'inscription : 21/09/2012
Sujet: Re: La Crise Iranienne Lun 4 Fév - 1:11
j'ai jamais dit que je n'accepte pas j'ai jamais di q'uil ya pas de coruption en Iran loin de la relises mes poste mais la corruption et limité
apré si vous trouver qu’il ya pas de corruption en Alger et que tout va bine ben tampi votre compte et bon mais demandez a la population et il ya même des temoin qui on vécu sa raptor13 a lui meme dit que plusieurs foi il lui on glandez de l'argent pour passer je sais aussi que a la frontière marocaine si tu peye tu passe donc en faite si ta de la drogue avec toi si tu peye bien le garde il te laisse passer..super..
yak Admin
Messages : 13552 Date d'inscription : 24/04/2011 Localisation : SUR TERRE
Sujet: Re: La Crise Iranienne Lun 4 Fév - 1:14
POUR TOI REBELL
Citation :
La révolution de 1979[modifier]
Lors de la Révolution iranienne de 1979 le Shah est dépossédé du pouvoir une seconde fois. L'Ayatollah Khomeini devient le nouveau chef du pouvoir en Iran et peu de temps après s'amorce une violente rhétorique contre les États-Unis décrivant ce pays comme le Grand Satan et également comme une nation d'infidèles. L'administration américaine dirigée par le président Jimmy Carter refuse alors d'offrir son soutien au Shah et ne manifesta pas d'intérêt particulier à le voir revenir au pouvoir. Carter se trouva alors en position délicate lorsque le Shah, qui souffrait à ce moment même d'un cancer, demanda une autorisation d'entrer aux États-Unis pour y recevoir un traitement. Le président accepta de mauvaise grâce mais cette décision accentua le sentiment des Iraniens que l'ex-monarque n'était qu'un instrument des États-Unis. La crise des otages en Iran de 1979[modifier] Article détaillé : Crise iranienne des otages. Le 4 novembre 1979 des militants étudiants iraniens envahissent l'ambassade des États-Unis à Téhéran avec le soutien de l'ayatollah Khomeini. Cinquante-deux américains sont alors retenus en otages pendant 444 jours. Le 7 avril 1980 les États-Unis rompent toute relation diplomatique avec l'Iran et le 24 avril 1981 le gouvernement Suisse accepte de représenter les intérêts des États-Unis à Téhéran via une section des intérêts américains8. De même, les intérêts iraniens aux États-Unis sont représentés par la section des intérêts iraniens9 de l'Ambassade du Pakistan à Washington D.C. En accord avec la déclaration d'Alger du 20 janvier 1980, le Bureau des Plaintes Iran-E.U. (situé à La Haye aux Pays-Bas) est créé dans le but de traiter les réclamations des ressortissants américains à l'encontre de l'Iran ainsi que celles des ressortissants iraniens à l'encontre des États-Unis. Les relations entre les États-Unis et l'Iran à la Haye se limitent à ces questions purement judiciaires. La destruction en vol de l'avion Iran Air 655 en 1988[modifier] Article détaillé : Vol 655 Iran Air. Le 3 juillet 1988, le croiseur américain USS Vincennes abat un Airbus A300B2 d'Iran Air au cours d'un vol commercial régulier dans l'espace aérien iranien alors qu'il survolait le détroit d'Ormuz causant la mort de 290 civils de six nationalités différentes et comptant parmi eux 66 enfants. Le 22 février 1996 les États-Unis accepteront de payer à l'Iran la somme de 61,8 millions de dollars (environ 42.5 millions d'euros) en dédommagement des 248 Iraniens décédés au cours de cet incident. Cette somme représente toutefois bien moins que les sommes qui avaient été prélevées sur les avoirs iraniens gelés aux États-Unis en compensation de la prise d'otages américains. Les États-Unis ont également pris 65 millions de dollars (environ 48,3 millions d'euros) sur ces avoirs à la suite de la prise d'otage de trois ressortissants américains par des groupes libanais qui, selon les États-Unis, avaient bénéficié d'un soutien indirect de l'Iran. À ce jour les États-Unis n'ont toujours pas remboursé l'Iran pour l'avion lui-même qui valait plus de 30 millions de dollars (environ 23 millions d'euros). Relations commerciales[modifier] Avant la Révolution contre le Shah, les États-Unis étaient le premier partenaire économique et militaire de l'Iran et contribuaient ainsi grandement à la modernisation rapide de ses infrastructures et de son industrie. L'Iran a compté jusqu'à trente mille expatriés américains qui y ont exercé des fonctions techniques, de conseil ou encore d'enseignement. A posteriori, certains analystes occidentaux considèrent que la transformation du pays s'est peut-être faite trop rapidement et a pu ainsi alimenter l'inquiétude et le mécontentement d'une part importante de la population du pays aboutissant finalement à la Révolution elle-même en 1979. Depuis la guerre Iran-Irak, les relations commerciales entre les deux pays sont limitées. En raison de la guerre marine livrée entre les deux États du Golfe persique, les États-Unis avaient bombardé des plates-formes pétrolières de la National Iranian Oil Company en 1987 et 1988. La même année, Reagan promulgua un ordre exécutif soumettant les échanges commerciaux en matière de pétrole à un embargo. Ces bombardements firent l'objet d'un arrêt de la Cour internationale de justice, qui appréhenda l'affaire sous l'angle de la liberté de commerce garantie par un traité bilatéral de 1955, prononcé en 2003 (Plate-formes pétrolières (Iran c. États-Unis)). Aujourd'hui, les relations commerciales bilatérales sont limitées par des sanctions américaines et consistent principalement d'une part en des achats iraniens de nourriture et de produits médicaux et d'autre part en des achats américains de tapis et de nourriture. Le gouvernement américain interdit presque toute transaction avec l'Iran à travers l'application de la Iran-Libya Sanctions Act (loi sur les sanctions de l'Iran et de la Libye) votée en 1996. La question des avoirs iraniens gelés est particulièrement importante pour le gouvernement iranien. Après la prise de contrôle de l'ambassade américaine à Téhéran en 1979, les États-Unis ont gelé environ 12 milliards de dollars d'avoirs, en comptabilisant les comptes en banque, l'or et autres biens. Selon des officiels américains la plupart de ces avoirs ont été rendus en 1981 en échange de la libération des otages qui avaient été capturés lors de la prise de contrôle de l'ambassade. Néanmoins une part de ces avoirs - représentant jusqu'à 10 milliards de dollars selon les représentants iraniens, bien moins selon leurs homologues américains - sont encore gelés en attendant une résolution complète de toutes les procédures judiciaires entamées depuis le début de la Révolution. De l'an 2000 à 2004[modifier] Depuis 2003, les États-Unis lancent des drones depuis l'Irak pour survoler l'Iran et obtenir des informations sur son programme nucléaire, lesquelles informations se sont avérées peu nombreuses10. Le gouvernement Iranien a protesté formellement contre ces incursions11 . En janvier 2006, James Risen, journaliste au New York Times, a affirmé dans son livre "État de Guerre"12 que la CIA avait entrepris une opération soutenue par le Président Clinton, baptisée Opération Merlin. Elle visait à retarder le programme nucléaire iranien en lui fournissant de mauvais renseignements techniques sur des composants essentiels à ce programme mais aurait finalement eu l'effet opposé. En effet, un ancien chercheur nucléaire soviétique qui devait servir d'intermédiaire pour transmettre ces informations aurait, semble-t-il, détecté et corrigé les erreurs contenues dans les documents, ce qui aurait au final aidé les progrès iraniens dans ce domaine. Les inquiétudes respectives des gouvernements iranien et américain[modifier]
Peinture murale contre les É.-U.A., Téhéran Il existe des obstacles sérieux à l'amélioration des relations entre les deux pays. Le gouvernement américain définit cinq points de politique iranienne qu'il considère inacceptables : les supposés efforts iraniens d'acquérir des armes nucléaires et d'autres armes de destruction massive ; la participation supposée de l'Iran au terrorisme international ; le soutien supposé à une opposition violente au processus de paix au Proche-Orient; les menaces et activités subversives supposées contre ses voisins le non-respect des droits de l'homme Les obstacles vus par les Iraniens sont les suivants : l'opération Ajax qui a écarté du pouvoir le Premier ministre démocratiquement élu Mohammad Mossadegh et restauré le Shah qui était parti en exil; les avoirs iraniens gelés qui n'ont pas été mis à disposition depuis 1979; le soutien américain à des organisations terroristes anti-iraniennes (OMPI par ex.); l'assistance des compagnies américaines dans le développement des installations de production d'armes chimiques pendant la Guerre Iran-Irak; la destruction en vol de l'avion d’Iran Air (vol 655) par le USS Vincennes ayant causé la mort de nombreux civils; les survols illégaux de drones dans l'espace aérien iranien depuis 2003; le non-respect des droits de l'homme. Tensions et menaces d'opérations militaires en 2005-2006[modifier]
La position officielle des États-Unis concernant l'Iran est qu'"un Iran possédant l'arme nucléaire n'est pas acceptable" et que "toutes les options" y compris l'usage unilatéral de la force et d'armes nucléaires en premier ressort (sans sommations ?) sont « sur la table ». Cependant, ils nient préparer une attaque imminente. Ces faits apparurent lorsque trois pays européens : la France, le Royaume-Uni et l'Allemagne (l'Euro 3) tentèrent de négocier la cessation par l'Iran d'activités d'enrichissement nucléaire et les accusations américaines que ces activités étaient destinées à fabriquer des armes nucléaires. Les États-Unis ont, à ce jour, une histoire longue de plusieurs décennies d'étroite coopération militaire ou une présence militaire significative, sinon importante, avec quatre pays limitrophes qui sont l'Irak, la Turquie, l’Afghanistan et le Pakistan. Refus américain d'accorder des visas aux Iraniens dans le cadre d'activités relevant des Nations unies[modifier] En septembre 2005, le département d'état américain a d'abord refusé d'accorder un visa au porte parole du parlement iranien ainsi qu'à un groupe d'officiels iraniens voulant voyager aux États-Unis afin de participer à une rencontre parlementaire internationale organisée par les Nations unies. Le visa a finalement été accordé mais trop tard pour que les parlementaires assistent à la rencontre13. D'après les règles de l'ONU, les E.U doivent accorder des visas aux représentants de n'importe quel pays membre de l'ONU afin de prendre part aux conférences qu'elle organise, sans restriction par rapport à leurs opinions politiques. Déclarations relatives aux menaces d'attaque militaire des États-Unis contre l'Iran[modifier] La position officielle des États-Unis concernant l'Iran est qu'"un Iran possédant l'arme nucléaire n'est pas acceptable" et que "toutes les options" y compris l'usage unilatéral de la force et d'armes nucléaires d'agression sont "sur le tapis" 14. Cependant, ils nient préparer une attaque imminente. Ces faits apparurent lorsque trois pays européens : la France, le Royaume-Uni et l'Allemagne (l'Euro 3) tentèrent de négocier la cessation par l'Iran d'activités d'enrichissement nucléaire.Se sont ajoutées les accusations américaines, prétendant que ces activités étaient destinées à fabriquer des armes nucléaires. [5] Les États-Unis ont, à ce jour, une histoire longue de plusieurs décades d'étroite coopération militaire ou de présence militaire significative, sinon importante avec quatre pays limitrophes qui sont l'Irak, la Turquie, l'Afghanistan et le Pakistan. Un journaliste américain, Seymour Hersh, a affirmé qu'en janvier 2005, il a été demandé au CENTCOM (Commandement Central militaire Américain dans la Zone) de réviser les plans de guerre de l'armée américaine, prévoyant une invasion terrestre et aérienne maximale de l'Iran. Il a également affirmé que les "faucons" du gouvernement américain ne croyaient pas que les négociations menées par l'"Euro 3" allaient réussir et que l'administration américaine agira sitôt la situation clairement établie. Un officiel de haut rang du renseignement lui a dit : « Il ne s'agit pas de savoir si on allait faire quelque chose contre l'Iran. Ils y travaillent (déjà) »15. Scott Ritter, ancien inspecteur des Nations unies en Irak pour les armes de destruction massive de 1991 à 1998 a affirmé en avril 2005 que le Pentagone devait être prêt pour juin 2005 à lancer une attaque aérienne massive contre l'Iran afin de détruire le programme nucléaire iranien. Il a aussi affirmé en juin 2005 que les États-Unis se préparaient à une présence militaire massive en Azerbaïdjan qui préfigurerait une campagne terrestre majeure destinée à prendre Téhéran. Il a aussi affirmé que l'attaque américaine "avait déjà commencé "16. Dans son article publié le 27 mars 2006, Joseph Cirincione, Directeur pour la non-prolifération à la Fondation Carnegie pour la Paix Internationale, a déclaré que "certains officiels de haut rang ont déjà décidé. Ils veulent frapper en Iran" et qu'"il pourrait y avoir une campagne concertée pour frapper en Iran"17 . Il a cependant averti qu'"un raid militaire serait désastreux pour les États-Unis. Il ne ferait que réaliser l'union nationale auprès d'un régime impopulaire, attiser la colère anti-américaine dans le monde musulman, mettre en danger la position américaine en Irak, déjà fragile, et qu'il ne ferait qu'accélérer et non retarder le programme nucléaire iranien. Ainsi, les faucons de Téhéran se verraient confortés dans leurs sentiments que le seul moyen de dissuader les États-Unis est de posséder l'arme nucléaire. Les dirigeants Iraniens pourraient préparer un programme nucléaire en un temps record qui produirait l'arme atomique en quelques années." Stephen Zunes, professeur à l’université de San Francisco et rédacteur pour le Moyen-Orient au Foreign Policy in Focus Project affirme aussi qu'une attaque contre l'Iran est prévue18. Déclarations relatives aux plans d'utilisation d'armes nucléaires contre l'Iran[modifier] En mars 2005, les États-Unis révisent leur doctrine concernant l'usage de l'arme nucléaire pour considérer son usage préemptif ou éventuellement la guerre préventive contre des états ne possédant pas eux-mêmes l'arme atomique. En août 2005, Philip Giraldi, ancien officier de la CIA, a déclaré que le vice-président américain Dick Cheney avait ordonné au STRATCOM de préparer un plan d'urgence à appliquer en réponse à une attaque terroriste de type 11 septembre sur les États-Unis...[y compris] une attaque aérienne massive sur l'Iran en employant des armes nucléaires tactiques et des armes conventionnelles... sans qu'il soit nécessaire que l'Iran soit effectivement impliqué dans des actions terroristes contre les États-Unis. La raison invoquée pour avoir décidé de faire usage de mini-bombes dans cette attaque est que les cibles sont renforcées ou enterrées profondément dans le sol et qu'elle ne pourraient être détruites par des têtes non-nucléaires19. Entre 2005 et 2006, plusieurs personnalités ont déclaré que les États-Unis prévoient l'emploi de l'arme nucléaire dans une attaque contre l'Iran. On peut citer Jorge Hirsch20,21, Michel Chossudovsky22 en janvier 2006, le comité "Campaign Against Sanctions and Military Intervention on Iran" 23 et enfin, en avril 2006, Seymour Hersh24. Le 18 avril 2006, sur CSPAN, le président américain George W. Bush répondait à un journaliste qui lui demandait : « Monsieur, lorsque vous parlez de l'Iran, que vous dites qu'une solution diplomatique doit être trouvée, vous dites souvent que toutes les options sont sur la table. Cela inclut-t-il la possibilité d'une attaque nucléaire ? Votre administration a-t-elle de tels plans ? ». Le président a alors répondu « Toutes les options sont sur la table »25. Déclarations relatives aux installations iraniennes qui seraient attaquées par les États-Unis[modifier] Les villes susceptibles d'être ciblées, selon le Centre des Études pour la non-prolifération 26, le groupe de recherche Oxford (Oxford Research Group) 27 et Michael Keefer28 incluent des villes ayant une population estimée à environ 23 millions d'habitants (1999-2006). Ces villes incluent : des villes ayant des installations nucléaires (censées jouer un rôle dans le développement d'armes nucléaires) Bushehr, 165 000h 2005 Arak, 511 000h 2005 Natanz, 40 000h1999 Isfahan, 2 040 000h, 2000, ville inscrite au patrimoine mondial de l'UNESCO (Place Naghsh-e Jahan). Téhéran, capitale, 12 180 000h (avec ses banlieues) des villes ayant des bases aériennes dépendant du Commandement Ouest Tabriz, 2 200 000h Hamadan, 550 000h, 2005, l'ancienne Ecbatane Dezfoul, 260 000h, 2005 Omidiyeh, 50 000h, 2005 Shiraz, 1 250 000h, connue pour son Vin et raisin de Shiraz des villes ayant des bases aériennes dépendant du Commandement Sud Bandar Abbas, 350 000h, 2005 Chabahar des villes avec bases aériennes proches de la frontière irakienne Abadan, 1 290 000h, 2005 Khorramshahr Ahvaz, 1 630 000h, 2005 Mahabad, 1 670 000h, 2006 Le rôle du programme nucléaire iranien dans les tensions américano-iraniennes[modifier] Sur les autres projets Wikimedia : Traité de non-prolifération nucléaire, sur Wikisource Depuis 2003, les États-Unis (le seul pays qui a utilisé l'arme atomique contre des populations civiles) affirment que l'Iran développe un programme d'armes nucléaires. L'Iran maintient que son programme nucléaire ne vise qu'à produire de l'électricité. En juin 2005, la secrétaire d'État américain Condoleezza Rice a déclaré que le directeur de l'AIEA (Agence Internationale de l'Energie Atomique), Mohamed El Baradei devrait durcir sa position à propos de l'Iran, sinon il pourrait ne pas obtenir un troisième mandat comme directeur de l'AIEA29. Les États-Unis et l'Iran sont parties prenantes du traité de non-prolifération nucléaire (TNP). Lors de la conférence de mai 2005 sur le TNP, on a accusé les États-Unis (et d'autres états possédant officiellement l'arme nucléaire) de violer l'article VI du TNP qui exige qu'ils désarment, ce qu'ils n'ont pas encore fait à ce jour. Mais l’AIEA déclare que l'Iran viole l'accord de Sauvegarde pour ne pas fournir d'informations suffisantes concernant son matériel nucléaire, son traitement et son utilisation30. L'article IV du Traité donne le droit aux états ne possédant pas l'arme nucléaire de développer des programmes nucléaires à usage civil31. Depuis 2003 jusqu'au début de l'année 2006, la tension entre l'Iran et les États-Unis s'est graduellement accrue, même lors des inspections des sites industriels nucléaires sensibles iraniens par l'AIEA, selon un Protocole Additionnel du TNP que l'Iran avait accepté. Le 8 mars 2006, les représentants des États-Unis et du groupe EU-3 ont remarqué que l'Iran avait suffisamment de gaz hexafluorure d'uranium non enrichi, pouvant être hautement enrichi pour fabriquer dix bombes atomiques, ajoutant qu'il était temps que le Conseil de Sécurité agisse32. Or, l’uranium non enrichi ne peut être utilisé ni dans le réacteur de Bushehr, qui est un réacteur à eau pressurisée, ni dans une bombe atomique, à moins qu'il ne soit enrichi. Le rôle du pétrole brut et autres facteurs stratégiques dans les tensions américano-iraniennes[modifier] Stephen Zunes a déclaré que le parti républicain et le parti démocrate ont hâte de punir, isoler, et menacer d'attaquer un pays riche en pétrole qui refuse de coopérer suffisamment avec les plans stratégiques et économiques américains au Moyen-Orient. Le rôle de la Bourse pétrolière iranienne et de l'euro dans les tensions américano-iraniennes[modifier] Articles détaillés : Bourse iranienne du pétrole, Guerre économique par pétrodollars et Pétroeuro. La Bourse iranienne du pétrole a ouvert ses portes le 17 février 2008. L'ouverture de cette Bourse avait été programmée pour le 20 mars 2006, mais a été reportée33. La possibilité que les transactions s'y effectuent en euros et probablement d'autres devises plutôt qu'en dollars, généralement utilisés sur les autres marchés échangeant du pétrole a été interprétée par de nombreux analystes comme une source de conflit majeur avec les États-Unis. Beaucoup craignent que cela puisse avoir un impact négatif significatif sur la valeur du dollar sur les marchés des changes internationaux. Mais d'après le Ministère Iranien du Pétrole Gholam-Hossein Nozari les transactions se font dans un premier temps dans la devise iranienne, le rial34. L'ambassadeur iranien auprès de la Russie a déclaré que « dans le futur, nous pourrions utiliser la devise russe, le rouble, pour nos échanges » et que « la Russie et l'Iran, deux producteurs principaux de l'énergie mondiale, devraient encourager les transactions de pétrole et de gaz dans diverses devises autres que le dollar, libérant le monde de son esclavage vis-à-vis du dollar34. » Pepe Escobar écrit également que « Mohammed Javed Asimpour, alors directeur exécutif chargé d'établir la Bourse iranienne du pétrole, en 2005, a indiqué la direction envisagée de cette bourse. […] La bourse commencera par échanger des contrats de produits pétrochimiques et, ensuite, ce que tout le monde attend vraiment avec impatience : le brut peu soufré de la Mer Caspienne. Cette bourse ne sera pas de style iranien mais « une bourse internationale complètement intégrée dans l'économie mondiale. » Le but ultime est très ambitieux : la création d'un prix de référence pétrolier pour le Golfe Persique34. » Dès lors l'embargo imposé par les États-Unis contre les grandes sociétés internationales qui commercent avec l'Iran peut être interprété comme un moyen de pression visant à limiter l'influence de la Bourse iranienne du pétrole. Par ailleurs, la campagne internationale visant à empêcher l'accession supposée de l'Iran à l'arme nucléaire peut également être interprétée comme un isolement commercial, monétaire et diplomatique de l'Iran dans le but d'empêcher que la Bourse iranienne du pétrole ne joue le rôle international d'indice de référence pour la fixation des prix du pétrole dans une monnaie autre que le dollar. Le rôle de la politique intérieure aux États-Unis dans les tensions américano-iraniennes[modifier] En novembre 2005, Michael Klare, professeur à la section d'Études pour la Paix et la Sécurité du Hampshire College a affirmé qu'un facteur majeur qui inciterait l'administration George W. Bush à attaquer l'Iran serait son désir de détourner l'attention des difficultés politiques du pays pour accroître la popularité du président. Le soutien populaire au président Bush a augmenté d'environ 10 % quand les États-Unis ont envahi l'Irak en 2003 et n'est retombé à son niveau précédent que quelques mois plus tard35. Le rôle de la politique intérieure en Iran dans les tensions américano-iraniennes[modifier] Article détaillé : Mahmoud Ahmadinejad et Israël. Des analystes tels Ali Ansari ont interprété les remarques faites par le président iranien Mahmoud Ahmadinejad comme de la propagande électorale interne au pays36. D'autres comme le gouvernement israélien y voient des menaces d'attaque contre l'état d'Israël37. Mahmoud Ahmadinejad, qui est un religieux conservateur, a été élu président de l'Iran en 2005. En octobre 2005, il a déclaré à plusieurs reprises devant un public iranien être d'accord avec la déclaration de l'Ayatollah Khomeini selon laquelle "le régime occupant en Palestine devrait disparaître des pages du livre des Temps", mentionnant dans son discours que les régimes du Shah Mohammed Reza Pahlavi, de l'Union soviétique en tant qu'état et le gouvernement de Saddam Hussein en Irak ont été déchus du pouvoir de la même façon. Le 8 décembre 2005, il a fait une déclaration niant l'Holocauste mais une semaine plus tard, le 14 décembre, il renouvelait son discours sans cette fois nier la Shoah explicitement. On considère généralement que ses déclarations suivent la ligne de son électorat populiste (19 % des voix au premier tour des présidentielles 2005) Mahmoud Ahmadinejad et Juan Cole affirment que ces déclarations ont été mal traduites et mal interprétées par les médias occidentaux lorsqu'ils affirment que le président iranien a dit qu'Israël doit être rayé de la carte. Le but de Mahmoud Ahmadinejad selon eux était seulement de défendre la démocratie en Palestine. Sans polémiquer sur la mauvaise interprétation éventuelle de ces propos, la réaction internationale à ceux-ci a été extrêmement négative. Seema Mustafa dans l'Asian Age prétend que les propos d'Ahmadinejad sur Israël et la Shoah sont maintenant utilisés comme prétexte pour une attaque contre l'Iran. Il affirme qu'une campagne visant à diaboliser Ahmadinejad et rassembler l'opinion internationale contre l'Iran est effectivement lancée. [Mahmoud Ahmadined] a en fait été astucieusement utilisé dans la guerre de propagande contre l'Iran. Il prétend aussi que cet argument a été invoqué devant la presse à Delhi par les représentants de l'EU-3, le Dr. Michael Schaeffer, et le sous-secrétaire américain Nicholas Burns lorsqu'ils invitaient le représentant indien à accepter les recommandations de l'AIEA de soumettre la question iranienne au Conseil de sécurité des Nations unies38. Le rôle du développement de la démocratie au Moyen-Orient dans les tensions américano-iraniennes[modifier] Dans les discours qui ont suivi l'invasion de l'Irak en 2003, George W. Bush a déclaré (après qu'aucune arme de destruction massive n'y ait été trouvée) que le but de son administration lors de cette invasion était d'apporter la démocratie aux pays du Moyen-Orient et de contrer l’"islamofascisme". Des organisations opposées à cette intervention comme Le Tribunal Mondial sur l'Irak et d'autres ont mis en doute la sincérité de ce motif, faisant allusion à une campagne systématique contre les intellectuels en Irak durant l'occupation américaine en Irak. Robert Dreyfuss, auteur de Jeu du Diable : Comment les États-Unis ont contribué à exacerber l'Islam Fondamentaliste prétend que les actes américains dans la région ont en fait encouragé et continuent d'encourager l’ islamofascisme plutôt que de le contrer39. Le 5 février 2006, le bloggeur iranien Persian Majeed publie une liste de violations probables des Droits de l'homme par les États-Unis en Iran et d'attaques de la démocratie iranienne durant ce dernier demi-siècle, exigeant des enquêtes judiciaires et compensations financières adéquates envers les iraniens. Il conclut son jugement sur la sévérité des actions américaines contre la démocratie en Iran par la volonté de voir les États-Unis sanctionnés par l'intermédiaire des Nations unies40. Les craintes de l'Iran d'une éventuelle attaque des États-Unis[modifier] Paul Pillar, ancien cadre de la CIA, qui a dirigé la préparation de toutes les Évaluations Nationales du Renseignement (National Intelligence Estimates ou NIE) sur l'Iran de 2000 à 2005 en tant que cadre national du renseignement pour le Proche-Orient et l'Asie du Sud-Est, a déclaré à Inter Press Service que toutes les NIE sur l'Iran durant cette période "concernaient explicitement les craintes iraniennes d'une attaque américaine et [ces NIE] faisaient un lien entre ce désir d'avoir l'arme nucléaire et ces craintes" et déclara que " les perceptions iraniennes de la menace, particulièrement américaine et israélienne, n'étaient pas le seul facteur mais étaient un des éléments de ce qui provoqua, selon nous, cette volonté de construire l'arme nucléaire." 41 Les soupçons de violation de souveraineté du territoire iranien par les États-Unis dans la période 2003-2006[modifier]
Il a été affirmé à plusieurs reprises que les États-Unis ont violé la souveraineté territoriale de l'Iran à plusieurs reprises depuis 2003. Par exemple il a été affirmé que les États-Unis ont fait usage de drones42,43,44, envoyé des soldats sur le territoire iranien15, et utilisé d'anciens ou actuels membres des Moudjahidin e-Khalq (MEK or MKO)45 ainsi que du Parti pour une vie libre au Kurdistan (PJAK)46 pour procéder à des attentats à la bombe en territoire iranien afin d'y aviver des tensions ethniques préexistantes. Déclarations relatives à l'usage de drones américains ayant survolé le territoire iranien[modifier] Depuis 2003, les États-Unis auraient lancé des drones depuis l'Irak afin de survoler le territoire de l'Iran pour obtenir des renseignements sur le programme nucléaire iranien; survols qui n'auraient procuré que peu d'informations42. Le gouvernement iranien a formellement protesté contre ces incursions illégales. Un RQ-7 Shadow et un Hermes UAV américains se sont écrasés en Iran43. En juin 2005, Scott Ritter déclare que les attaques américaines sur l'Iran ont déjà commencé, incluant le survol de l'Iran par des drones sans pilotes44. Déclarations relatives à la présence de forces armées américaines sur le territoire iranien[modifier] Seymour Hersh a dit que les États-Unis ont pénétré l'Iran oriental depuis l'Afghanistan afin de rechercher des installations souterraines servant au développement d'armes nucléaires15. Déclarations relatives à l'usage de bras armés par les États-Unis[modifier] Scott Ritter a aussi déclaré que les Moudjahidin e-Khalq (MEK ou MKO), un groupe d'opposition répertorié par le Département d'État américain comme organisation terroriste étrangère avait bombardé l'Iran avec l'aide de la CIA. En avril 2006, The Raw Story a cité une source anonyme des Nations Unies "proche" du Conseil de sécurité des Nations unies qui a déclaré que d'anciens membres du MEK avaient été utilisés par procuration par les États-Unis pendant "environ un an" en territoire iranien. Une source du renseignement citée par The Raw Story a déclaré que ces anciens membres du MEK "avaient été forcés de prêter serment à la démocratie et de démissionner du MEK" avant d'être incorporés dans des unités combattantes américaines et réentraînés en vue d'opérations en Iran45. Article détaillé : Parti pour une vie libre au Kurdistan. À la suite de l'exécution de 24 membres des forces de sécurité iraniennes en Iran en mars 2006 par le Parti pour une vie libre au Kurdistan (PJAK), un groupe d'opposants ayant des liens avec le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), qui figure sur la liste du Département d'État américain des Organisations terroristes étrangères, Dennis Kucinich a déclaré, dans une lettre à George W. Bush, le 18 avril 2006, que le PJAK est soutenu et coordonné par les États-Unis, car il est basé en Irak qui est de facto sous contrôle militaire américain46
lol wikipedia qui a écrie cette article les opposant? les israelien? le shah était le chien des americain cette propagande et faite pour le peuple iranien pour q'uil se pose des question et pour q'uil se separe de l’État comme kan il disait que les généraux algerien en massacré leur propre peuple égorger des enfant etc..et il on prie toute les richesse du pétrole sous leur contrôle tu y croie a sa??? sa doit être vrai alors l’Iran n va lui trouver tout les mot de toute façon khomeiny a tendue la main au dirigent arabe c'est eux qui on refuser et maintenant il sont esclave c"est faut tout sa yak le shah offert au americain la position strategique idéale juste a coté de la Russie de plus le shah a soutenue israel pandant la guerre israeo arabe on peut pas refuser un tel chien tout comme on peut pas refuser les roi chien du golf maintenant sans l'iran israel aurait deja envahi le liban et elle aurai deja masacré la population de gaza c"est l'iran qui a activer le djihad islamique et le hamas c'est eux qui on forcer israel a négocier et sa grace a l’Iran chose que aucun pays arabe n'a fait sans l’Iran et ses missile il aurai pas eu une telle riposte si l'iran et diaboliser ainsi c'est normale sa prouve quel et sur la bonne voie