Nano technologie en Algérie

a toi berhoum

je voulais parler de nano technologie en Algérie, beaucoup de personnes spécialement les étudiants ne savent pas quoi faire après leur BAC ....
il faut savoir que les nano technologies sont l'avenir dans beaucoup de domaine
_médecine
_mécanique
_industrie
_spatiale
_etc ...etc
l'Algérie accuse un retard considérable !! dans ce domaine ....
notre PAYS a besoin de cette technologie pour le 21eme siècle .
je demande ,aux médias ,décideur,profs, de diffusé l'information. Pour les parents sur ce FORUM dans parler avec leurs enfants et leurs familles

Téchnologies avancées


http://www.cdta.dz/

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http://www.alterinfo.net/the-truth-life/Un-chercheur-annonce-L-Algerie-a-les-moyens-de-produire-son-arme-atomique_a875.html

une nouvelle médaille pour toi berhoum

http://www.nasr-dz.org/recrut_DGRSDT.htm

http://www.univ-blida.dz/

Quand je vois l'appel à candidatures pour le recrutement de 1200 chercheurs dans des disciplines aussi diverses alors qu'il y a 18 000 candidats enregistrés, je trouve cela triste. Avec les moyens financiers dont dispose le pays, j'aurais souhaité que la Direction générale de la recherche scientifique et du développement technologique recrute au moins 6000 nouveaux chercheurs pour surmonter le retard enregistré dans le domaine et permettre aux différents secteurs utilisateurs de bénéficier des applications technologiques les plus récentes.

@boussouf oui tu a raison c'est au gouvernement de prendre ces responsabilité !! et de prendre conscience les enjeux pour demain il faut qu'il réagisse et vite

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http://www.alterinfo.net/Libellule-ou-Insecte-Espion-Des-Scientifiques-Travaillent-sur-des-Robots-Bestioles_a12470.html

http://www.city-dz.com/les-nanotechnologies-en-debat-un-livre-pour-expliquer-les-enjeux/

[/b]suitehttp://www.cnrs.fr/cw/dossiers/dosnano/

Des élèves de ( 1ère S4 ) Hadjarab anis Harrat djamil

























http://energieren-algerie.e-monsite.com/http://energieren-algerie.e-monsite.com/http://energieren-algerie.e-monsite.com/

Citation :

[b][url=Recherche scientifique : Les premiers résultats des 3 000 projets lancés sont probants estime M. Aoureg


[img:0569]http://www.elmoudjahid.com/temp/fr/actualite2[30314].jpg[/img:0569]

[url=Près de deux ans après la mise en place de 34 programmes de recherche scientifique, à travers 3 000 projets touchant l’ensemble des activités socioéconomiques, initiés dans le cadre de la loi quinquennale 2008-2012, tous les secteurs n’adhèrent pas ou du moins ne s’impliquent pas réellement dans les actions engagées. Tel est le constat établi hier par le responsable de la Direction générale de la recherche scientifique et du développement technologique (DGRSDT), le professeur Hafid Aoureg. Ces tergiversations de divers secteurs font que les programmes de recherche engagés tournent beaucoup plus autour des scien-ces fondamentales et très peu sont à valeur ajoutée pour l’activité socioéconomique. Cela dit, les ministères de la Défense nationale et de l’Agriculture montrent l’exemple et font preuve d’une forte implication qui s’est soldée par le lancement d’importants program-mes de développement technologique et dont les premiers résul- tats sont «fort probants», affirme M. Aoureg. «Nous sommes à mi-parcours de la mise en œuvre des programmes, et la première évaluation des travaux fait ressortir des résultats très probants. Les programmes engagés ont pu résoudre des problèmes posés pour les secteurs concernés», explique le directeur général de la DGRSDT qui déplore le manque d’implication des autres secteurs. Pointant du doigt le problème de mentalité et la règle prudentielle que s’imposent les managers algériens dans la prise de risque vis-à-vis des projets de recherche, il soulignera plus loin l’adéquation existant entre la recherche scientifique et le développement technologique pour souligner la nécessité de restructurer la recherche sectorielle. Il annonce à ce titre la mise en place de laboratoires mixtes associant le ministère de l’Enseignement supérieur et les autres secteurs socioéconomiques à travers des structures de recherche permanentes implantées dans les milieux industriels et l’adoption d’une stratégie à moyen et long terme pour revaloriser les secteurs d’activités dans tous leurs aspects. Il est prévu également d’élargir le statut du chercheur pour introduire la notion de chercheur à temps partiel dans le secteur socioéconomique en vue de valoriser ses autres compétences. Et à partir de l’année prochaine, des thèses en industrie seront introduites pour élever le niveau diplômant du secteur socioéconomique. Cette stratégie vise, indique M. Aoureg, à mettre l’étudiant directement en contact avec le secteur d’activité de son choix et à le préparer à travailler sur une thèse à caractère socio-économique et non académique pour aboutir à une valorisation par un brevet. Et dans la série des mesures prises dans le cadre du plan quinquennal de développement de la recherche scientifique, il citera, par ailleurs, la réalisation de 36 centres de recherche et tous les services communs essentiels pour le développement technologique pour assurer une plus-value pour le secteur socio-économique. Parmi ces infrastructures en projet, il est prévu la mise en place d’une plate-forme pour la production des filatures de la fibre optique algérienne à partir de 2014, une plate-forme pour la protytage 3D qui n’existe pas encore en Algérie alors qu’il est très important dans la sous-traitance et la production de la pièce détachée. Il y aura aussi des infrastructures pour la production du plastique, du polymère et des nanomatériaux en vue de propulser le secteur industriel. Dès la rentrée prochaine, des laboratoires industriels seront également lancés avec pour but de développer des processus à valeur ajoutée pour le secteur économique et conformément au décret mis en place pour la commercialisation des produits de la recherche, chaque laboratoire et université peut être doté de sa filiale commerciale. En somme, à l’horizon 2020, soit dans huit ans, une période nécessaire à la maturation des projets lancés, M. Aoureg promet des résultats réellement visibles sur le terrain. «En 2020, l’Algérie sera un pays émergent dans le domaine du développement technologique. Nous avons les atouts pour émerger pour peu qu’on lève les verrous bureaucratiques et qu’on allège les codes des marchés pour les produits destinés à la recherche en instaurant un couloir vert, faute de quoi nous mettrons encore plus de retard à concrétiser les projets engagés», soutient-il. Côté financement, un fonds très important de 100 milliards de dinars a été mis la disposition de la recherche scientifique par le Président de la République, et un nouveau plan quinquennal 2013-2017 sera proposé avec des «objectifs simples» qui portent notamment sur la consolidation des projets engagés. Citant certaines réussites parmi les projets lancés, il évoquera le laser qui enregistre actuellement une forte demande africaine, ainsi que les plaques photovoltaïques algériennes adaptées au climat subsaharien aride. Le retour des chercheurs algériens au pays au lieu des départs massifs enregistrés au cours des années précédentes est à lui seul, de l’avis de M. Aoureg, un indice de l’amélioration de la recherche scientifique en Algérie. Ils seraient 200 chercheurs installés dans les pays du Golfe à avoir signé récemment une pétition de retour et une centaine d’autres sont déjà revenus et occupent des postes au niveau des universités et des centres de recherche. En 40 ans d’existence, le secteur de la recherche scientifique, lancé à la faveur de la création, en 1971, de l’Office national de la recherche scientifique, a fait beaucoup de chemin. En 1971, l’Algérie comptait 400 chercheurs contre 30.000 actuellement, et le nombre des brevets algériens à l’international est passé de 2 dans les années 70 à plus de 3 000 brevets à haute valeur ajoutée pour le secteur socioéconomique. Hamida B.[url=http://www.elmoudjahid.com/fr/actualites/30314

L’Algérie aura bientôt un système national de l’innovation
Par Lila Ghali | 13/12/2012 |

Ouf ça bouge ..

Citation :

La mise en œuvre prochaine d’un système national de l’innovation que compte lancer le gouvernement conduira à la création d’une agence national de l’innovation et l’invention, a affirmé le ministre de l’industrie, de la PME et de la promotion de l’investissement, Cherif Rahmani, lors d’une conférence internationale, en présence d’opérateurs économiques et d’universitaires.

Selon le ministre, “le gouvernement compte lancer un système national de l’innovation qui se fonderait sur trois ancrages : une loi, une agence pour cristalliser et capitaliser les énergies des inventeurs et des jeunes talents, et la synergie entre l’Education, la formation et la recherche”.

Différents secteurs seront impliqués à travers ce nouveau système, tels l’enseignement supérieur, la formation professionnelle et l’industrie, dans l’objectif d’établir une passerelle entre l’innovateur et l’entreprise et d’améliorer la productivité et la compétitivité des entreprises algériennes.

Dans son intervention, Cherif Rahmani a plaidé pour le développement des domaines scientifiques d’avenir, comme les nanotechnologies et la biotechnologie, en prévision notamment de la concrétisation des futurs projets du Centre Algérien des Technologies de l’Information, de la Communication et des Technologies Avancées (CATICTA) de Sidi Abdellah.

Il a indiqué compter beaucoup sur la diaspora algérienne, notamment les jeunes diplômés “qui gardent toujours un lien fort avec leur pays” dans le développement de ce pôle technologique dédié surtout aux Start-ups. Un pôle qui constitue, selon lui, un élément important de formation et de recherche dans la biotechnologie et la nanotechnologie.

http://www.algerie1.com/actualite/lalgerie-aura-bientot-un-systeme-national-de-linnovation/

enfin enfin enfin!!!! :p

c bien de dire il vont faire ca il vont ouvrire ca mes je vois rien venir cella depuit belle lurette le seule qui avait fait de gros investissement pour lalgerie ce fut fee boumedienne il a comencer a industrialiser le pays a ca mort tout a etait abandoner quelle desastre pour lalgerie des million investie partie en rouille c lui qui a ouvert le chantier navale de mers el kebir lecole de borg el behrie a alger qui sort des ingenieur en mecanique electronique et jen passe depuit plus rien eus c contente dacheter il tienne le pays pourquoit ce casserais il la tete il tienne tout lemport les vehicule tout passe par les genereaux quan le fln ne serra plus la lalgerie bondira mes pas avant

oh il aura toujours quelqu’un boumedienne lah yara7mou lui était un vrai homme les progres on les a vu et si il serait resté on serai maintenant une grande puissance économique et militaire (ou bien on aurait fini comme l'irak si il aurait poser trop de probleme comme saddam) mais c’était un vrai homme qui aimer sont pays a sa mort le pays était ruiner en meme pas 6 ans -_-

Sidi Bel Abbès : une révolution invisible nommée «Nanotechnologies»





Les journées portes ouvertes sur les nanosciences et les nanotechnologies, clôturées mercredi à l’Hôtel Eden de Sidi Bel Abbès, ont été l’occasion de mettre en valeur les résultats de nombreux projets de recherches menés dans le cadre des Programmes nationaux de recherche (PNR).

Citation :

Organisées par l’agence thématique de recherche en sciences et technologie, sous l’égide de la direction de la recherche (DGRSDT), ces journées, ponctuées de débats, ont été consacrées à plusieurs thèmes portant notamment sur l’utilisation de la nanotechnologie dans les domaines liés à la sécurité et à la protection de la santé humaine et de l’environnement. Les nanosciences et nanotechnologies peuvent être définies comme étant l’ensemble des études et des procédés de fabrication et de manipulation des structures, dispositifs, et systèmes matériels à l’échelle du nanomètre (nm).

Selon Pr. Azzedine Boudriou, chercheur à l’Université Paris 13, les recherches en nanosciences et en nanotechnologies sont devenues, aujourd’hui, indispensables, en particulier pour les pays émergents. Dans sa communication axée sur les «nanotechnologies ou la révolution invisible», il a rappelé que les nanotechnologies sont la «première révolution scientifique et technologique économiquement importante depuis la seconde guerre mondiale».

Le conférencier, qui s’est longuement exprimé sur les enjeux technologiques et sociétaux importants que constituent les nanotechnologies, n’a pas manqué de souligner que «le pays qui conduira la découverte et la réalisation des nanotechnologies aura un avantage considérable sur la scène économique et militaire pour les décennies à venir». Selon lui, la consolidation du réseau national de recherche en nanotechnologie constitue une priorité technologique pour lequel tous les moyens et les compétences doivent être mobilisés.

Dans ce sens, le directeur de la DGRSDT, M. Abdelhafid Aoureg, a indiqué que l’Algérie s’est «résolument engagée» depuis quelques années dans un ambitieux et vaste programme de recherche, mobilisant quelque 377 chercheurs pour la concrétisation de 71 projets. En marge de cette manifestation scientifique, M. Aoureg a déclaré à El Watan que le premier essai de drone (avion sans pilote) fabriqué par une jeune équipe de chercheurs algériens aura lieu le 5 juillet prochain à Sidi Bel Abbès.

Cet appareil, fabriqué au niveau de la plate forme technologique de Bou-Ismail (Tipaza), a été conçu pour la surveillance des frontières et des installations pétrolières dans le Sud du pays. Mesurant 12 mètres, ce prototype disposera d’une autonomie de 6 heures de vol et d’un rayon d’activité de 20 kilomètres.

Abdelkrim Mammeri


http://www.elwatan.com/regions/ouest/belabes/sidi-bel-abbes-une-revolution-invisible-nommee-nanotechnologies-02-06-2013-215895_138.php

Algérie-Afrique du Sud: Vers la mise en place d'un centre de recherche en nanotechnologie

Citation :

Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Mohamed Mebarki, et l’ambassadeur d’Afrique du Sud en Algérie, Joseph Kotane, ont convenu, lors d’un entretien lundi à Alger, de mettre en place un centre de recherche de "classe internationale" sur la nanotechnologie.

Ce centre de recherche en nanotechnologie ou en biotechnologie, qui sera implanté en Algérie, "pourra accueillir non seulement des chercheurs des deux pays, mais également ceux des pays africains", indique le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique dans un communiqué.

Au cours de l’audience, les deux parties ont passé en revue l’état de coopération dans le domaine de l’enseignement supérieur et la recherche scientifique, notant "avec satisfaction le niveau d’excellence atteint en matière d’échange d’expériences en sciences et en technologie".

Par ailleurs, les deux pays "se sont également félicités de la richesse du cadre juridique de coopération et de la densité des échanges de délégations de chercheurs et de chefs de projets au niveau institutionnel et opérationnel".

L’Algérie et l’Afrique du Sud ont manifesté, dans ce cadre, "leur volonté à développer leur coopération interuniversitaire par l’envoi de conférenciers de haut niveau, l’échange de bourses doctorales et postdoctorales, ainsi que le développement de l’enseignement de la langue anglaise".

http://www.maghrebemergent.com/actualite/breves/fil-maghreb/item/31699-algerie-afrique-du-sud-vers-la-mise-en-place-d-un-centre-de-recherche-en-nanotechnologie.html