Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
Sujet: Re: Inexpliqué en débat.. Sam 24 Nov - 20:08
Ils veulent détruire les astéroïdes avec une bombe nucléaire comme dans Armageddon mer. 21 nov. 2012
Des chercheurs développent une technique pour détruire les astéroïdes dangereux avec une bombe nucléaire
Citation :
Des scientifiques américains travaillent actuellement à développer un projet qui permettrait de détruire un astéroïde si celui-ci venait à menacer la terre. Comment ? En utilisant une bombe nucléaire comme dans le film Armageddon.
Et si Armageddon n'était finalement pas aussi irréel qu'on le pense ? Depuis sa sortie en 1998, le film de Bruce Willis a conquis des millions de cinéphiles mais a aussi suscité pas mal de critiques de la part des scientifiques. En cause, l'histoire un peu tirée par les cheveux que raconte le film : celle d'une équipe d'astronautes qui part dans l'espace détruire un astéroïde menaçant à l'aide d'une charge nucléaire. Si l'idée parait déjà étonnante, des chercheurs ont souligné que le scénario contenait beaucoup d'erreurs techniques et que le projet serait en vérité irréalisable.
Et pourtant, c'est bien un projet semblable qu'ont récemment dévoilé des scientifiques de l'université de l'Iowa. Au cours d'un meeting organisé par la NASA la semaine dernière, ceux-ci ont annoncé qu'ils tentaient actuellement de développer un concept de mission destiné à détruire un astéroïde menaçant la Terre à l'aide... d'une explosion nucléaire. Néanmoins, le projet ne serait pas tout à fait comme dans Armageddon puisque la mission réelle ne nécessiterait pas d'intervention d'humaine.
Elle serait basée sur un engin appelé "Hypervelocity Asteroid Intercept Vehicle" ou HAIV envoyé dans l'espace pour frapper l'astéroïde. Concrètement, le HAIV le frapperait successivement à deux reprises : le premier coup non-nucléaire et un second coup qui lui amènerait la charge nucléaire.
Deux impacts pour une destruction totale
"En utilisant notre concept, nous avons une solution viable sur le plan pratique - une solution rentable, économiquement viable et techniquement faisable", a expliqué Bong Wie, lors du meeting du 2012 NASA Innovative Advanced Concepts (NIAC). La NASA a identifié 168 erreurs techniques dans Armageddon, a t-il rappelé, mais sur un point le film a totalement raison : une bombe atomique serait bien plus efficace s'il elle explosait à l'intérieur de l'astéroïde plutôt qu'à sa surface. Par exemple, à une profondeur de 3 mètres, la puissance de la bombe serait environ 20 fois plus importante, selon Bong Wie.
Pour cette raison, ce scientifique et ses collègues ont conservé l'idée de jeter la bombe dans un trou en enlevant la participation de l'équipage humaine. A la place, ils comptent doter leur HAIV de deux impacteurs distincts : l'un principal et l'autre qui le suivra. Lorsque l'engin s'approchera de l'astéroïde, le premier s'en séparera pour venir frapper l'objet menaçant. Ceci devrait permettre de creuser un cratère d'environ 100 mètres de largeur. Puis moins d'une seconde plus tard, ce sera au tour du second impacteur contenant la bombe nucléaire de frapper, pulvérisant l'astéroïde.
Une extension d'un impacteur créé par la NASA
D'après les simulations faites, l'explosion projettera des morceaux de roche aux alentours, mais seul un petit pourcentage de la masse de l'astéroïde atteindra la Terre, a expliqué Wie cité par le Huffington Post. Et si le projet peut encore laisser dubitatif, les chercheurs précisent qu'ils ont d'ores et déjà reçu deux séries de fonds de la part du programme du NASA Innovative Advanced Concepts. Le projet pourrait ainsi être réalisable d'ici peu.
"En fait, notre concept est une extension de la mission Deep Impact de 300 millions de dollars", a précisé à Space.com Wie, faisant référence à un impacteur conçu par la NASA. En 2005, celui-ci est entré en collision avec la comète Tempel 1 dans le but d'étudier sa composition interne. Reste que pour l'heure la mission HAIV n'en est qu'à un stade précoce et que beaucoup de travail reste à faire. Ce qui n'abat pas les chercheurs qui prévoient même un test de leur engin sans bombe dans la décennie qui vient.
Aujourd'hui, leurs recherches consistent ainsi à évaluer la faisabilité de la technique pour des astéroïdes relativement petits (environ 100 mètres de large) mais tout de même dangereux. "Une fois que nous aurons développé la technologie à utiliser dans cette situation, nous serons prêts à éviter n'importe quelle collision - avec une taille plus grande", a ajouté le scientifique.
Messages : 13552 Date d'inscription : 24/04/2011 Localisation : SUR TERRE
Sujet: Re: Inexpliqué en débat.. Dim 25 Nov - 0:11
magnifique topic rien a dire bravo et nouvelle médiale pour toi
berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
Sujet: Macroscopique Dim 25 Nov - 13:10
La première téléportation quantique macroscopique Le 24 novembre 2012
Citation :
Ce n’est certes pas de la téléportation à la Star Trek, mais la téléportation quantique d’un qubit que vient de réaliser une équipe de chercheurs est tout de même impressionnante. En utilisant des photons intriqués, ils ont transféré l’état quantique d’un paquet de 100 millions d’atomes dans un autre paquet similaire. C’est la première fois que l’on transmet ainsi une mémoire quantique portée par un objet macroscopique.
La théorie quantique autorise la téléportation d’états quantiques. Mais comme l’explique Nicolas Gisin dans la vidéo ci-dessous, il ne s’agit pas de téléportation d’objets matériels mais bien de la structure, c'est-à-dire l’information quantique qu’ils portent. Si l’humanité peut raisonnablement rêver d'un vaisseau spatial qui lui fera fouler le sol d’exoplanètes en orbite autour d’Alpha du Centaure (au bout de quelques dizaines d’années de voyage), il ne semble pas que les lois de la physique rendent possible la téléportation d’un astronaute de ce vaisseau spatial sur la surface d’une de ces exoplanètes, comme dans Star Trek.
Qu'est-ce que la téléportation d'un état quantique et à quoi cela peut-il servir ? Des explications données par l'un des pionniers de la téléportation et de la cryptographie quantique.
Les travaux de pionnier de Charles Bennett ont prouvé que la simple téléportation de qubits d’information est prometteuse.
Plusieurs laboratoires dans le monde font donc des recherches sur la téléportation quantique. On a réussi à la mettre en pratique avec des paires de photons ou entre des ions par exemple, mais il s’agissait à chaque fois d’un petit nombre de systèmes physiques. Bien évidemment, comme pour le cas des ordinateurs quantiques, l'idéal serait de pouvoir manipuler et téléporter l’état d’un grand nombre de qubits.
Des mémoires quantiques macroscopiques
Une équipe de chercheurs du National Laboratory for Physical Sciences at the Microscale de l’University of Science and Technology of China à Hefei et de l’université de Heidelberg en Allemagne vient de faire de la téléportation avec un seul qubit. Cette performance exposée dans un article sur arxiv serait restée peu spectaculaire si elle ne concernait pas des objets macroscopiques de 1 mm de diamètre.
C'est un record !
Charles Bennett, l'un des premiers physiciens qui a compris comment faire de la téléportation quantique en 1993.
Les chercheurs ont commencé par obtenir des paquets de 100 millions d’atomes de rubidium piégés. D’une taille d’environ 1 mm chacun, ces paquets peuvent donc être considérés comme des objets macroscopiques. Dans chacun, ils ont produit une onde de spin quantique.
On peut se faire une idée de ce qu’est une onde de spin en considérant des toupies en rotation verticale, alignées avec la propagation de proche en proche d’un signal faisant se basculer chacune de ces toupies avant qu’elles ne reviennent dans leur état initial. Des atomes en rotation possédant un moment cinétique peuvent être vus approximativement comme des toupies. Une onde de spin dans un gaz de ces atomes est alors l’analogue du phénomène précédemment décrit. Cette onde peut porter un qubit d’information et on peut intriquer cet état quantique avec celui d’un photon, ce que les physiciens ont fait.
L’étape suivante a consisté à utiliser une fibre optique de 150 m de long pour transmettre ce photon en direction de l’autre paquet d’atomes, lui-même intriqué de façon similaire avec un autre photon. En intriquant ces deux photons lors d’une opération de mesure appropriée, il est possible de téléporter l’état du qubit du premier paquet d’atomes de rubidium vers le second, ce qui a effectivement été fait avec un taux de réussite de 88 %.
Ces paquets d’atomes sont présentés comme des mémoires quantiques par les chercheurs. Elles seraient en tant que telles des éléments importants pour un futur réseau de transfert d’informations quantiques sur de longues distances. Cependant, pour cela, il faudrait que le stockage des qubits avec des ondes de spin dans ces mémoires dure plus longtemps que 129 microsecondes pour atteindre au moins 100 millisecondes.
Erwin Schrödinger avait compris avec Einstein en 1935 que les équations de la théorie quantique impliquaient le phénomène d'intrication quantique aujourd'hui utilisé dans l'effet EPR et les travaux sur la téléportation.
berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
Sujet: Re: Inexpliqué en débat.. Dim 25 Nov - 18:40
Schéma du principe de la téléportation quantique. Une paire de particules intriquées (entangled en anglais) permet la téléportation de l'état quantique d'une autre particule par effet EPR
Des boîtes quantiques pour la téléportation
Citation :
Les recherches sur l’information quantique se multiplient de par le monde, ainsi des travaux concernant les boîtes quantiques et la téléportation d’informations à l’aide d’états intriqués sont des thèmes récurrents aujourd’hui dans les différentes publications. Dans ce contexte, deux chercheurs de la Nanyang Technological University in Singapore viennent de publier un article intéressant mêlant ces deux sujets.
Les boîtes quantiques sont des assemblages semi-conducteurs de plusieurs milliers d’atomes produisant l’équivalent d’un puits de potentiel dans lequel apparaissent une série de niveaux d’énergies discrets sur lesquels peuvent se loger des électrons. L’ensemble se comporte donc comme un atome artificiel avec des transitions atomiques possibles accompagnées d’émissions ou d’absorptions de photons.
La téléportation quantique d’informations repose sur le célèbre phénomène quantique d’intrication dans lequel plusieurs particules en interaction forment un tout indissociable représenté par un seul état quantique. L’exemple le plus connu est celui d’une paire de particules identiques polarisées, comme des électrons ou des photons, dans l’effet EPR. L’observation de l’une de ces particules influençant immédiatement l’état de l’autre particule quelle que soit la distance. Avec de telles paires, des physiciens comme Anton Zeilinger en 1997, ont pu démontrer expérimentalement que le transfert d’états quantiques, mais pas de matière, était possible.
Plus généralement, le phénomène d’intrication des particules permet théoriquement de construire une nouvelle génération d’ordinateurs, les ordinateurs quantiques, dont les performances de calcul surpasseraient celles des ordinateurs classiques. Pour le moment, seuls des embryons de tels ordinateurs ont pu être réalisés. Il n’en reste pas moins que tout ce qui tourne autour de ces notions de calculs quantiques et de téléportation d’informations est riche en promesses pour les télécommunications et le traitement d’informations à l’échelle mondiale. Indépendamment de son intérêt intrinsèque, on comprend aisément que beaucoup de laboratoires sur la planète soient engagés dans une course à la maîtrise de ces technologies.
Téléportation d’états quantiques entre deux boîtes quantiques
Dans l’article intitulé “Quantum dot as a resource for teleportation and state swapping” et publié dans Phys. Rev. B 75 205321 (2007), Leong Chuan Kwek et K.W. Choo se sont intéressés à la téléportation d’états quantiques entre deux boîtes quantiques. Comme précédemment indiqué, il s’agit de produire des états quantiques intriqués entre particules dans ces systèmes. Mais le véritable obstacle à la réalisation non seulement d’une téléportation fidèle d’informations mais surtout, à la mise en place d’un calcul quantique vraiment performant et capable de traiter une quantité importante d’informations, c’est celui de la décohérence.
En effet, la superposition quantique des états entre les systèmes de particules, qui est centrale pour tous ces processus, est rapidement détruite même par de légères interactions avec l’environnement, notamment lorsqu’il s’agit d’interactions thermiques. Si l’on compare la superposition des états à un morceau de musique, rapidement le « bruit environnant » (l’agitation thermique des particules en contact avec le système par ex) finit par noyer complètement cette musique et à la rendre inaudible.
Le point-clé dans le travail de ces chercheurs est que, d’après leurs calculs et le mode de fabrication des boîtes quantiques avec états intriqués qu’ils proposent, les effets de la décohérence pourraient être réduits suffisamment pour que téléportation et calculs quantiques soient réalisables plus facilement et efficacement, et surtout, à température ambiante.
berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
Sujet: Re: Inexpliqué en débat.. Ven 30 Nov - 18:29
Et si la Nasa avait trouvé une solution pour le saut temporel ? le 30/11/2012
Le saut temporel bientôt maîtrisé ?
Citation :
D'après la Nasa, le saut temporel pourrait être plausible grâce à la réduction de la taille de l'espace dans un champ donné. Comme dans un film. La Nasa aurait trouvé une solution pour que le saut temporel soit une réalité à portée de main. La conclusion serait venue après l'étude d'un projet de voyage spatial. Travaillant dessus, le physicien Harold White affirme qu'un "déplacement supraluminique pourrait être possible". Pour information, un "déplacement supraluminique" n'est autre qu'un voyage plus rapide que la lumière. Star Wars ou autres Star Trek n'auront donc bientôt plus de secrets pour nous. D'après White, rien ne sert "de déplacer un vaisseau à une vitesse supérieure à celle de la lumière", il suffirait pour les scientifiques de penser aux "Warp Drive", une distorsion temporelle. Il s'agirait ainsi de réduire la taille de l'espace dans un champ donné. Il faudrait donc agir sur l'espace autour du vaisseau. En octobre 2011, Harold White était en train de préparer un discours d'inauguration des 100 ans de projets sur les vaisseaux spatiaux à Orlando, en Floride, lorsqu'il a eu cette réflexion. "Mes conclusions ont suggéré que j'avais découvert quelque chose qui était mathématique", a-t-il avoué avant d'ajouter avoir "soudainement réalisé que si vous maîtrisiez cette énergie, cela pouvait amener à cette découverte". Le système Alpha du Centaure situé à 4,4 années-lumière de nous ne prendrait ainsi que deux semaines à être ralliée. Pour le moment, les recherches de la Nasa se focalisent sur une application à petite échelle. Mais rien que l'idée de maîtriser le saut temporel ravira bien des scientifiques
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
Sujet: Re: Inexpliqué en débat.. Dim 2 Déc - 12:30
Pourquoi l'hypothèse des chercheurs qui affirment avoir découvert un yéti ne tient pas debout Publié le 2 décembre 2012
Citation :
La vétérinaire Melba S. Ketchum l'affirme : le Bigfoot serait un cousin de l'espèce humaine qui serait apparu il y a 15000 ans. Une équipe de chercheurs lancés sur les traces du yéti dans le grand Nord américain aurait découvert un échantillon d'ADN de la créature. L'analyse de cet ADN suggérerait qu'il se serait même reproduit avec des femmes humaines donnant ainsi naissance à des individus hybrides. Quel crédit doit-on accorder à cette annonce ? Des yétis, on n’en a jamais retrouvé. Je suis très sceptique à ce sujet. On a souvent cité des élucubrations de personnes qui cherchent à entretenir le mystère. Dans beaucoup de forêts françaises, on parle depuis toujours d’hommes géants, de grands singes, d’hommes des forêts, etc. Il s’agit souvent d’une sorte d’illusion collective. On a signalé le Yéti dans le Caucase, on l’a signalé dans l’Himalaya, où l’on a trouvé les empreintes de pas très grandes. Mais il se trouve qu’en fondant sur les côtés, l’empreinte de pas s’élargi naturellement dans la neige. C’est un mirage collectif de populations locales.
Cette fois, c’est en Amérique du Nord. Pour affirmer avoir trouvé l’ADN du yéti, il faudrait d’abord avoir trouvé le yéti.
Les chercheurs ont analysé de l'ADN mitochondrial et de l'ADN nucléaire. Ils auraient alors constaté que l'ADN mitochondrial était identique à celui de l'Homo sapiens moderne. En revanche, l'ADN nucléaire lui, a montré des différences s'apparentant à celles d'un nouvel hominidé cousin de l'Homo sapiens et d'autres espèces de primates. Le yéti serait donc un hybride entre l'homme et un autre grand singe ? Pour se prononcer réellement sur les résultats, il faudrait savoir où cet échantillon a été prélevé, quel est le laboratoire qui a analysé l’ADN, si c’est un laboratoire sérieux. Il serait également utile de savoir s’il s’agit d’un fossile ou d’un être vivant actuel… Peu de laboratoires sont capables de faire des analyses d’ADN fossiles, qui nécessitent beaucoup d’équipement. Il faut donc éviter de relayer ce genre d’informations extraordinaires pour vendre du papier. Il s’agit souvent de mauvais scientifiques, qui font des coups de com’ avant même la publication de leur étude, et avant la relecture de l’article par des revues à comité de lectures.
Est-ce envisageable qu’un mâle d’une espèce inconnue d’hominidé ait pu s’accoupler avec une femelle homo sapiens pour créer une sorte d’hybride ? Si ce ne sont pas deux espèces véritablement différentes, cela est toujours possible. On pense que les derniers hommes de Néandertal se sont accouplés avec les premiers sapiens qu’ils ont rencontrés. D’ailleurs, des travaux sur l’ADN fossile effectués par des laboratoires sérieux ont mis en évidence que dans notre patrimoine génétique, celui de l’homme moderne, il y a un peu de patrimoine néandertalien. Donc on peut envisager qu’il y ait possibilité de reproduction s’il ne s’agit par de deux espèces totalement différentes.
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
Sujet: Re: Inexpliqué en débat.. Dim 2 Déc - 14:52
La foudre, menace du cie
Citation :
Depuis toujours, la foudre a impressionné l’Homme, qui en a fait un attribut de la puissance divine. La foudre intervient dans toutes les mythologies, de tout temps et sous toutes les latitudes. Plus que sur l’histoire de la foudre, nous insistons sur cet aspect mythique à l’origine de toutes les civilisations
La foudre et ses effets, menace du ciel.
Les effets physiques et physiologiques de la foudre sont nombreux et n’ont plus rien de mystérieux. Ce sont les effets de tout courant électrique traversant un milieu déterminé, mais il faut toujours garder à l’esprit qu’il s’agit d’un courant impulsionnel (et non continu ou alternatif !) très intense et de très courte durée n’excédant généralement pas une fraction de seconde. Ces effets sont électriques, électrodynamiques, thermiques, électromagnétiques, électrochimiques, acoustiques (le tonnerre !) et surtout physiologiques car la foudre atteint tous les êtres vivants.
La protection contre la foudre est un domaine qui a beaucoup évolué ces dernières années et nous préférons renvoyer le lecteur au livre de l'auteur (Doit-on craindre la foudre ?) pour en comprendre l’application. En effet, les mécanismes d’interception sont toujours à l’étude et seul un modèle électrogéométrique rudimentaire est actuellement utilisé avec confiance. La prévention et l’analyse des risques y sont aussi largement commentées, car elles constituent la base de toute étude de protection, suivant une norme internationale conséquente (CEI 62305). http://www.futura-sciences.com/fr/doc/t/meteorologie/d/foudre_1512/c3/221/p1/
berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
Sujet: Re: Inexpliqué en débat.. Dim 2 Déc - 15:23
La foudre, menace du ciel
Citation :
Depuis les origines, la foudre a tellement fasciné l’Homme qu’il en a doté de nombreux dieux, à travers toute la mythologie. Ce phénomène naturel fantastique nous réjouit parfois, mais nous effraie surtout non seulement à cause de ses effets destructeurs mais aussi par le mystère qui continue à l’entourer.
Zeus à Corfou.
Aux temps préhistoriques, la foudre allumait des branches sèches fournissant lumière et chaleur aux premiers Hommes longtemps avant que ceux-ci n’aient appris à faire eux-mêmes du feu. Suivant de nombreuses mythologies, seuls les dieux possédaient ce feu. Les premiers contes imaginés par l’Homme lui furent inspirés par le spectacle des phénomènes naturels, dont il ne parvenait pas à saisir le sens mais qu’il souhaitait interpréter pour apaiser sa frayeur ou justifier sa terreur.
Si les mythes se ressemblent quelles que soient les civilisations qui les ont vu naître, ce n’est pas par similitude d’origine, ni par interpénétration des peuples, mais parce que la pensée émerge d’idées et d’images qui sont les mêmes partout sur Terre. Ignorant l’ordre de la nature, les premiers Hommes voyaient en l’éclair et le tonnerre le déchaînement des forces surnaturelles qu’ils retrouvaient dans la stabilité des roches ou dans le cours régulier des astres.
Partout on vit éclore des récits mythiques faisant appel aux pouvoirs mirifiques des dieux : foudre punitive, tonnerre grondant et terrifiant, foudre fertilisante et fécondante associée aux pluies ou foudre apprivoisée, source d’énergie.
En Asie Mineure, les panthéons d’Anatolie avaient tous à leur tête une parédrie : un dieu de l’orage, émanation de la montagne, figuré par le taureau, son animal fétiche, et une déesse de la fécondité, incarnation de l’eau vive, source ou rivière, le premier fécondant la seconde (dieux : Enlil-Bel, Tarhunda-du-Ciel, Adad, Hadad, Baal, Teshub…
Chez les Grecs, la foudre était l’arme de Zeus. Les lieux frappés par l’éclair lui étaient consacrés. A Rome, son équivalent Jupiter punissait de la même façon.
Nos ancêtres les Gaulois vénéraient Taranis, personnification du ciel lumineux et des orages, associé au Jupiter romain.
Les divinités de la foudre sont très présentes dans les différentes mythologies, des Grecs aux Hindous, en passant par les Chinois et les Mayas. Elles se nomment Zeus, Thor, Indra, Chac, Tlaloc...
Perché sur son éléphant blanc ou d’un éléphant tricéphale, Indra, le foudroyant, dieu védique (hindou) des tempêtes, roi du ciel (comme Zeus), frappe de son vajra (éclair) redoutable les habitants du sous-continent indien.
Thor et son célèbre marteau de la foudre.
Chez les Vikings, le foudre s’appelle mjöllnir, le célèbre marteau de Thor ou de Donar, puis de Wodan, chez les Germains. En Scandinavie, Perun est vénéré et possède les mêmes attributs que Thor. Perkunas (en Lituanie) ou Perkons (en Lettonie) serait l’anthropomorphisation d’un arbre qui incarne la vie féconde par excellence et jouit à ce titre d’un culte particulier (fertilité-fécondité). Zeus en Grèce, Jupiter à Rome, Indra en Inde, Thor et Perun en Europe septentrionale et centrale… ont des caractères et des attributs similaires. Ce sont des dieux créateurs et organisateurs.
Tlaloc.
Chez les Amérindiens, la foudre était personnifiée par un être mythique vêtu avec splendeur et portant une coiffure de plumes multicolores : Tlaloc chez les Aztèques, Cocijo chez les Zapotèques, Aktsin chez les Totonaques, Tzahui chez les Mixtèques, Illapa chez les Incas ou Chac chez les Mayas sont à la fois des dieux de la foudre, de la pluie et de la fertilité.
En Afrique subsaharienne, essentiellement chez les Yoruba, au Bénin et au Nigéria, le grand dieu guerrier Shango gouverne grâce à la foudre, il est viril et gaillard, violent et justicier : il châtie les menteurs, les voleurs et les malfaiteurs, la mort par foudroiement est donc particulièrement infamante.
Dans la mythologie taoïste chinoise, la foudre est réellement apprivoisée, conséquence du conflit entre le yang (air chaud, symbole masculin) et le yin (pluie froide, symbole féminin) ; la divinité suprême qui préside aux mystères de la foudre est Lei-tsou président du ministère du Tonnerre et des orages, constitué de vingt-quatre dignitaires dont son adjoint Lei-kong, duc du tonnerre, homme bleu ailé, hideux, affublé de vilaines griffes, punit les humains de leurs crimes les plus secrets.
Raijin.
Au Japon, Raiden ou Raijin, dieu du Tonnerre, secoue Ciel et Terre de ses coups fracassants, le but était d’exciter la terreur en figurant la redoutable puissance des dieux de l’orage.
En Terre d’Arnhem (Australie du Nord), région tropicale, chaude et humide, on trouve probablement les plus anciennes peintures rupestres avec motifs de foudre ; le géant Djambuwal fait entendre sa voix terrifiante à chaque orage.
La foudre a donné naissance à de nombreux mythes dès l’aube des civilisations. Ces mythes sont une projection apaisante de l’angoisse humaine. À travers eux, s’organisent les exigences profondes et les rêves des Hommes. Car les récits mythiques décrivent des comportements sur lesquels le temps n’a pas d’effet. Ils montrent que, depuis les origines, sous toutes les latitudes, l’Homme n’a guère changé puisqu’il reste animé des mêmes sentiments d’amour, de haine, d’ambition, de crainte, de vengeance et de compassion.
Le nuage orageux est le plus vigoureux des nuages. On l’appelle cumulonimbus ou roi des nuages. Les cumulonimbus se présentent rarement sous forme isolée comme représenté ci-dessous, mais plutôt en agrégats. Ils diffèrent des autres nuages d’averses à la fois par l’échelle de leur extension tant verticale qu’horizontale et par leur aptitude à donner naissance à des phénomènes électriques.
Couches atmosphériques (en km), régions électriques et cumulonimbus typique
Un cumulonimbus isolé a la forme d’une énorme tour verticale surmontée d’une zone supérieure en forme d’enclume et appelée enclume, située à une altitude variant entre 6 et 18 km, parfois davantage. Les cumulonimbus sont pratiquement tous observés dans la troposphère où la température décroît, en moyenne, jusqu’à la tropopause, sa limite supérieure.
Nuage orageux Garajau, Madère.
La tropopause a une altitude variable : d’environ 10 km aux pôles, elle peut dépasser 17 km sous les tropiques. La hauteur des cumulonimbus est liée à l’altitude de la tropopause, fonction de la température. Elle varie avec la latitude et diffère selon les saisons ; elle atteint 17 km sous les tropiques ; toutefois, dans les régions tempérées, à des latitudes moyennes, de 12 km l’été, elle décroît jusqu’à 6 km l’hiver. La base d’un cumulonimbus, quasi horizontale est située généralement entre 1 et 2 km du sol et occupe une surface de quelque 10 km de diamètre.
Répartition des charges électriques dans un cumulonimbus isolé (tripôle).
Dans la phase de maturité du cumulonimbus, un certain équilibre électrique (tripôle) s’établit entre l’énorme charge électrique positive, de 10 à 50 C (coulombs), voire jusqu’à 300 C, assez diffuse de sa partie supérieure, et la charge électrique négative, tout aussi énorme, relativement concentrée verticalement (sur 1 km environ) dans sa partie médiane et séparée de la charge positive supérieure par une zone quasi neutre, ainsi que sous forme d’une petite poche positive, de l’ordre de 10 % de la charge positive supérieure (souvent comprise entre 1 et 5 C, parfois davantage), qui se maintient dans la partie inférieure du nuage en dessous de l’isotherme de 0 °C.
Quels sont les facteurs influençant la fréquence de foudroiement ? Par quoi est attirée la foudre ? Chaleur, ou plutôt gradient de température, et humidité, même légère, sont indispensables à la formation des nuages orageux. Chaque fois que l’un de ces deux facteurs vient à manquer (par exemple dans les régions polaires ou les régions désertiques), il ne se produit d’orage que de façon exceptionnelle.
Sous les tropiques, les orages sont fréquents. En France, les orages ne menacent véritablement la stabilité du temps qu’entre dix et trente-cinq jours par an. Le niveau kéraunique en un lieu donné est le nombre moyen de jours par an (ou an-1) au cours desquels le tonnerre y a été entendu.
Carte mondiale de la densité des coups de foudre au sol.
C’est une notion improprement quantifiable car si dans une région tempérée une tempête orageuse frontale peut passer en quelques minutes ou y séjourner pendant plusieurs heures en pleine activité, dans les régions tropicales la foudre émanant d’un nuage stationnaire sur quelques kilomètres carrés de territoire peut être entendue dans un rayon de 40 km (10 km seulement dans nos régions urbanisées) donnant une impression terriblement exagérée de l’activité orageuse. En France, les régions les plus souvent foudroyées sont les Alpes du Sud, les Pyrénées (surtout occidentales) et le Massif Central où le niveau kéraunique dépasse nettement 30 par an. Sur la Côte nord-ouest, le long de la Manche, il est plus faible, compris entre 10 et 18 par an. Pour l’ensemble du territoire français, on adopte une valeur moyenne de 20 par an. Le niveau kéraunique est une grandeur indicative de l’activité orageuse qui est peu rigoureuse, car elle ne donne aucune indication sur le nombre de coups frappant la Terre, un jour donné. On lui préfère de loin la notion de densité locale des coups au sol, c’est-à-dire le nombre de coups frappant le sol par kilomètre carré et par an (km-2.an-1). Dans les régions tempérées, la densité des coups au sol (exprimée en km-2.an-1) vaut approximativement le dixième du niveau kéraunique (exprimé en an-1).
En France, cette relation fournit une densité des coups au sol comprise entre 1 et 3,5 km-2.an-1 avec une moyenne de 2 km-2.an-1. Au Brésil, en Indonésie et en Afrique Centrale, la densité des coups au sol est beaucoup plus importante, elle se situe entre 8 et 15 km-2.an-1. Une relation empirique intéressante, valable pour des structures isolées (pylône, tour, cheminée, antenne, etc.) en terrain horizontal plat ne dépassant pas une hauteur h de 100 m, fournit la fréquence de foudroiement dans une région de niveau kéraunique donné. Ainsi, une tour isolée de 50 m de hauteur en plaine, dans une région de niveau kéraunique égal à 20 par an, serait frappée par la foudre en moyenne une fois tous les douze ans, alors qu’une tour isolée de 100 m de hauteur serait frappée une fois tous les trois ans.
Échos radar en série, ou train, caractéristique des orages à formation rétrograde. Les flèches donnent la direction de déplacement des orages individuels mais la reformation se produit toujours au bout en bas de la ligne.
La hauteur d’une structure n’est pas le seul facteur influençant la fréquence de foudroiement. Des facteurs essentiellement topologiques (humidité du sol et réchauffement local, couloirs orageux favorisés par des courants d’air dans les vallées, foudroiements à flanc de coteau plutôt qu’au sommet des montagnes, orages de chaleur souvent localisés, etc.), géologiques et orohydrographiques (les failles, les crevasses, les nappes d’eau, les terrains marécageux, les saillies… attirent la foudre) expliquent les attirances locales préférentielles.
À petite échelle (de l’ordre quelques centaines de mètres), la conductivité du sol joue un rôle important sur la probabilité d’impact. Plus un sol est conducteur, plus il attire la foudre, comme on le vérifie aisément en laboratoire. En revanche, la conductivité locale de l’air (ou sa concentration ionique), ne semble pas influencer la fréquence de foudroiement, les concentrations ioniques mesurées en présence de perturbations orageuses étant beaucoup trop faibles.
Comme tout courant électrique, le courant de décharge atmosphérique (engendré par un impact de foudre) suit les lois usuelles de l’électromagnétisme. Toutefois ses caractéristiques lui donnent une violence irrésistible lorsqu’il se fraie un passage dans des milieux plus ou moins conducteurs.
Ses effets sont liés à la présence de tout courant dans un conducteur : électriques (charges, courants), électrodynamiques (forces), thermiques (dégagement de chaleur), électromagnétiques (champs rayonnés induisant des surtensions dangereuses dans les circuits électriques), électrochimiques (décomposition galvanique), acoustiques (tonnerre, ondes de pression) et physiologiques (actions sur le cœur et les centres nerveux qui commandent la respiration).
On distingue les effets directs (foudroiement direct de structures conduisant à des destructions, des incendies, des brûlures, etc.) et indirects (foudroiement en un point d’impact plus ou moins éloigné d’une structure, engendrant des surtensions qui se propagent, par conduction ou par rayonnement, jusqu’aux équipements de cette structure à protéger). Contre les effets directs, la protection consiste généralement en l’installation de paratonnerres, ou, plus exactement, d’installations extérieures de protection contre la foudre (IEPF). Contre les effets indirects, elle consiste en l’installation coordonnée de parafoudres, associés aux divers circuits électriques.
- Effets électriques d'un impact de foudre. Dans les chemins variés et complexes empruntés par la foudre pour s’écouler vers la terre apparaissent des différences de potentiel importantes sur de faibles distances. Celles-ci provoquent des claquages locaux qui endommagent les conducteurs présents dans le sol.
Troupeau foudroyé (le courant de foudre a traversé les pattes antérieures et postérieures).
Ces tensions présentent un grave danger pour les êtres vivants, notamment en surface (tension de pas). De plus, des effets électriques indirects, liés au couplage galvanique ou couplage par conduction, engendrent des perturbations sur les lignes d’énergie électrique et sur les lignes de télécommunications ainsi que sur les réseaux de masse.
- Effets électrodynamiques. Entre conducteurs parallèles ou quasi parallèles parcourus par des courants de même sens s’exercent des forces d’attraction (antennes tubulaires minces, descentes de paratonnerre et descentes de gouttière, etc.) qui entraînent des contraintes mécaniques et déforment ces conducteurs qui s’entrechoquent ou même s’écrasent.
Façade foudroyée et lézardée par la violente onde de pression accompagnant l'éclair.
Ces effets sont négligeables si l’écartement entre conducteurs parallèles dépasse 50 centimètres.
Arbre foudroyé : écorce éclatée.
Ne confondons pas ces effets électrodynamiques avec l’effet de souffle ou de déflagration capable de briser vitres et parois, de projeter êtres vivants et objets matériels à distance, d’engendrer surdités et hémorragies internes graves, de provoquer l’éclatement explosif de l’écorce des arbres (cf. figure), de mâts mauvais conducteurs, de poutres et de murailles, là où s’accumule l’humidité (fortes densités de courant), etc.
- Effets acoustiques. Le tonnerre est une onde de choc violente qui génère des pressions importantes à courte distance (pressions de centaines d’atmosphères dans le plasma du canal de foudre). Celles-ci provoquent des bris de vitres proches du point d’impact. L’onde de choc acoustique d’un coup proche (de l’ordre de quelques mètres) est à l’origine des déflagrations importantes citées au paragraphe précédent. La perception du tonnerre ne dépasse guère 10 kilomètres dans les régions tempérées à forte urbanisation et à grande densité de population.
- Effets thermiques. La décharge atmosphérique produit la fusion des parties métalliques au point d’impact. Les coups chauds (ceux qui durent plus d’un centième de seconde) peuvent enflammer du bois sec et provoquer des incendies. Dans des sols mauvais conducteurs (silice), il y a vitrification au passage du courant de foudre (plasma à 30.000 °C !) et formation de fulgurites (cf. figure ci-dessous), structures géologiques particulières de sable siliceux fondu ressemblant à du verre naturel. Les fulgurites suivent la forme ramifiée des éclairs ; on parle d’éclairs fossilisés.
Fulgurite venant du Sahara libyen exposée au musée de Minéralogie de Dresden.
Leurs dimensions peuvent atteindre plusieurs dizaines de mètres (exemple : une fulgurite de 35 m de longueur a été extraite du désert libyen). Hormis au point d’impact, la foudre ne peut faire fondre que des fils métalliques assez fins. Les décharges de longue durée entraînent facilement une mise à feu. Il faut prendre garde aux mauvais contacts. L’eau contenue dans le bois ou les maçonneries (en particulier dans les fissures, les jointures, les cavités, la sève des arbres, etc.) s’évapore instantanément et la pression qui en résulte provoque une explosion.
- Effets électromagnétiques. Les effets électromagnétiques sont des effets induits sur des boucles ouvertes où les différences de potentiel atteintes peuvent provoquer des étincelles et donc des incendies, surtout en présence de matières inflammables ou explosibles. Vu l’importance des amplitudes de courant en jeu, des surtensions sont véhiculées jusqu’aux équipements électriques et électroniques en leurs extrémités provoquant des dégâts, voire des destructions complètes, et altérant la qualité du service. Les signaux parasites détruisent des composants électroniques de plus en plus miniaturisés et donc de plus en plus sensibles aux surtensions.
- Effets électrochimiques. Même sur des descentes de paratonnerres fréquemment foudroyés il n’y a pas lieu de s’attendre à des décompositions électrochimiques. La corrosion accélérée due à des courants circulant dans le sol est importante sur les conducteurs enterrés (câbles, canalisations, installations de mise à la terre, etc.). Toutefois, compte tenu de la courte durée des coups de foudre, ces effets sont généralement négligeables par rapport à ceux provoqués par les courants telluriques (courants électriques qui circulent naturellement dans la Terre, surtout dans les couches sous-jacentes, contenant ou non des parties métalliques, au niveau du sol ; ces courants résultent des champs électriques induits par les variations du champ magnétique terrestre, dès que le sol est légèrement conducteur), appelés aussi courants vagabonds.
berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
Sujet: Re: Inexpliqué en débat.. Dim 2 Déc - 15:48
Des éclairs inversés, qui grimpent vers le ciel !
Curieux phénomène, connu depuis peu et mal expliqué, les éclairs ascendants partent du sommet des nuages d'orage en direction de l'ionosphère. Par hasard, une équipe américaine a pu en photographier un et en mesurer la charge électrique.
D'ordinaire, lors d'un orage, les éclairs zèbrent le ciel entre la base des gros nuages d'orage, les cumulonimbus, et le sol. C'est ainsi que les hommes les ont vus jusqu'au vingtième siècle. Mais il en est parfois d'autres, beaucoup plus élevés, qui naissent au sommet de ces grands nuages et filent vers le haut, jusqu'à atteindre l'ionosphère.
Ces gigantesques jets, comme on les appellent souvent, sont très rarement observés, parfois depuis le sol, plus souvent depuis l'orbite terrestre, et n'ont été photographiés que cinq fois depuis 2001. Ils ne semblent pas systématiquement associés aux éclairs et le peu de choses que l'on sait d'eux est qu'ils grimpent très haut, jusque vers 90 kilomètres d'altitude, avec une vitesse bien supérieure à celle des éclairs descendants qui nous sont familiers, car ils voyagent dans une atmosphère plus ténue. Cet échange de charges réalise ainsi un couplage électrique entre la troposphère et l'ionosphère, une interaction que l'on connaît très mal.
On connaît d'autres phénomènes de ce genre, notamment les jets bleus, qui eux aussi s'élèvent depuis le sommet des nuages orageux mais montent bien moins haut. En juillet 2008, au moment de la tempête tropicale Cristobal, une équipe de la Duke University, dirigée par Steven Cummer, avait préparé une installation sophistiquée pour observer une classe particulière de ces phénomènes lumineux éphémères, les sylphes rouges, également appelés farfadets, ou encore sprites en anglais. A 250 kilomètres de la côte, une caméra ultrarapide scrutait la haute atmosphère, au-dessus des nuages de la tempête, tandis qu'un appareil mesurait le champ magnétique ambiant.
berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
Sujet: Re: Inexpliqué en débat.. Dim 9 Déc - 15:18
Le cratère Patomsky : OVNI, météorite ou éruption volcanique ?
Citation :
L’éruption d’un volcan, la chute d’un météorite ou le crash d’un vaisseau spatial extraterrestre ? Les scientifiques russes comptent mettre un point final aux discussions sur l’origine d’un des endroits les plus mystérieux de la planète, le cratère Patomsky en Sibérie orientale. La neuvième expédition se rendra au printemps 2013 vers cet objet géologique dans la région d’Irkoutsk. Le cratère Patomsky domine la taïga comme une pyramide égyptienne. Les chasseurs locaux l’ont baptisé « Nid de l’aigle de feu ». Sa structure a un diamètre de 180 m et une hauteur de 40 m. Le directeur de l’Institut de l’écorce terrestre Dmitri Gladkotchoud estime que le mont a été nommé « cratère » par erreur :
« Lorsqu’on parle d’un cratère, on suppose une cavité. Dans ce cas-là, il s’agit plus tôt d’un cône, c'est-à-dire qu'il il existe une forme positive du relief. Ensuite, le cratère apparaît généralement suite à la chute de corps célestes ».
Huit expéditions ont essayé d’établir l’origine du « Nid de l’aigle de feu », mais aucune version, dont celle de la chute d'un météorite ou le crash d'un OVNI n’a été confirmée.
Les résultats des recherches mettent en évidence un volcan qui pourrait être causé par la vapeur et les dégagements instantanés de gaz. En particulier, il pourrait, selon les résultats de la cinquième expédition, s'agir de cryovolcanisme datant de l'époque du petit âge glaciaire .
Selon M. Gladkotchoud, le cratère continue encore de se former. Pour confirmer cette théorie, plusieurs détecteurs ont été installés sur la superficie du « volcan ». Si leur position change l’année prochaine, cela signifiera que le cratère est « vivant » et bouge.
Des expéditions scientifiques ont eu lieu en 2006, 2008 et 2010. La masse de roches déplacée est estimée à environ 1 million de tonnes.
Lors de la prochaine expédition, les scientifiques comptent utiliser un appareil permettant d’étudier le cratère à une profondeur de 1,5 km.
Le cratère Patomsky a été découvert en 1949 par le géologue Vladimir Kolpakov. T
http://french.ruvr.ru/2012_10_03/90078348/
berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
Sujet: Re: Inexpliqué en débat.. Dim 9 Déc - 16:59
Astéroïdes : l'apocalypse demain ? - 06/12/2012
Citation :
Il est évidemment essentiel de surveiller les mouvements des géocroiseurs potentiellement dangereux. Le premier à éprouver nos défenses pourrait être Apophis (nommé d’après le dieu égyptien Apep, le Destructeur), un astéroïde de 300 m découvert simultanément par les équipes de scientifiques du Jet Propulsion Laboratory et de l’université de Pise, durant les vacances de Noël 2004.
En avril 2029, Apophis passera à l’intérieur des orbites des satellites géostationnaires. S’il entre dans le « trou de serrure » – une zone de l’espace à peine plus large que l’astéroïde lui-même, où les forces gravitationnelles lui donneraient une nouvelle impulsion, il pourrait se retrouver sur une trajectoire de collision avec la Terre 7 ans plus tard, le 13 avril 2036, un dimanche de Pâques. Les chances pour qu’Apophis emprunte ce passage furent alors estimées à 1 sur 45.000, mais des dizaines de facteurs peuvent influencer l’orbite des astéroïdes.
Nous sommes aujourd’hui parfaitement en mesure de déterminer avec précision les effets de la collision d’un corps de 300 m de diamètre et quelque 25 millions de tonnes, comme Apophis, avec la Terre. Cet APD est une sidérite, donc très dense et non poreux ; s’il suit une trajectoire de collision, sa vitesse au moment de l’impact serait de 12,5 km/s. Sachant cela, les astronomes estiment que la collision dégagerait une énergie équivalente à 510 mégatonnes, une puissance comparable à 34.000 bombes comme celle qui frappa Hiroshima. La catastrophe serait de la même ampleur, que l’astéroïde s’écrase sur la terre ferme ou qu’il plonge dans l’océan.
La chute d'un gros astéroïde sur Terre pourrait ressembler à cette vue d'artiste.
Astéroïde Apophis : et s'il tombait sur Terre ?
Dans le premier cas, la déflagration serait suffisante pour anéantir un pays grand comme l’Espagne ou la France, avec des millions de victimes à la clé. À la suite de la poussière libérée dans l’atmosphère, il pourrait en résulter un hiver d’impact dans l’hémisphère touché qui pourrait durer plusieurs mois.
Dans l’autre cas, le plongeon provoquerait un tsunami de proportions dantesques : les simulations numériques suggèrent une vague de 170 m de hauteur qui déferlerait à 100 km/h sur les mégapoles, faisant tout autant de victimes qu’un impact au sol. Le passage d’Apophis près de la Terre en 2013 ravivera les craintes, même si les mesures optiques qu’il sera possible de faire à cette occasion devraient réduire ou écarter définitivement le risque de collision.
La Terre est-elle menacée par les astéroïdes ?
La Terre a toujours été soumise à des impacts de comètes et d’astéroïdes, bien que de gros chocs soient très rares. Les astronomes de la Nasa mènent une étude appelée la « Spaceguard Survey » afin de détecter les astéroïdes géocroiseurs longtemps avant qu’ils ne nous touchent.
La conclusion est qu’il n’existe pas, à court ou moyen terme, de menace d’un astéroïde aussi grand que celui qui a tué les dinosaures. Les travaux se font au grand jour et les découvertes sont mises en ligne au quotidien sur le site Internet du programme NEO de la Nasa, auquel chacun peut rendre visite afin de constater que rien n’est prévu dans l’immédiat.
berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
Sujet: Re: Inexpliqué en débat.. Dim 9 Déc - 17:21
Astéroïdes : l'apocalypse demain ? - 06/12/2012
Citation :
Repérer le danger, c’est bien. L’éliminer, c’est mieux. Quelle serait la meilleure manière de se débarrasser d’un rocher de l’espace trop menaçant ? S’il était possible de connaître très précisément la date et l’heure d’arrivée d’un « astéroïde tueur », pourrait-on éviter la catastrophe ?
Voici des plans de bataille possibles.
Pulvériser les astéroïdes dangereux
Nombre de physiciens s’accordent à dire que la seule façon de libérer assez d’énergie pour contrer rapidement les APD reste l’arme nucléaire, qui offre le meilleur rendement énergie/poids (le poids étant la contrainte principale lorsqu’on envoie une mission dans l’espace). Des lanceurs lourds, comme la fusée russe Proton ou l’européenne Ariane 5 pourraient être utilisés comme propulseurs – le programme américain Titan ayant été arrêté en 2005. Pour s’assurer que le ou les objets seraient pulvérisés et non pas fragmentés en morceaux qui pourraient retomber sur Terre, Edward Teller (le développeur de la bombe à hydrogène, décédé en 2003) a estimé simplement qu’il faudrait mettre suffisamment d’explosifs. D’autres pensent que si le remède était inefficace et que des fragments retombaient sur Terre, le résultat serait encore pire que si l'on n’avait rien fait. Des études récentes montrent que la chute d’une série de gros morceaux aurait des conséquences globales plus dévastatrices qu’un seul énorme bloc, en initiant de nombreuses conflagrations isolées qui finiraient par se fondre en une tempête de feu globale. Et bien sûr, les débris seraient radioactifs.
Une vue d'artiste d'un porteur de charges nucléaires pour pulvériser un astéroïde menaçant.
Dévier les astéroïdes
Pour éviter le danger de fracturer l’impacteur, d’autres chercheurs pensent que la meilleure méthode consisterait à le dévier de sa course. Là aussi, tout dépend du délai d’intervention. Les comètes à longue période détectées « sur le pas de la porte » exigeraient des poussées comprises entre quelques mètres et quelques centaines de mètres par seconde pour être déviées de leur trajectoire mortelle, tandis que pour les astéroïdes repérés des années à l’avance à plusieurs millions de kilomètres de distance, une poussée de quelques centimètres par seconde suffirait. En effet, à grande distance un tout petit angle de déviation fait diverger suffisamment la trajectoire, tandis qu’à faible distance, il faut une déviation nettement plus grande pour éviter la Terre. Johndale Solem, physicien à Los Alamos, a publié quantité d’articles sur les scénarios de déviation. Il affirme que la meilleure façon de dévier un géocroiseur serait l’explosion d’une bombe à neutrons déclenchée un peu au-dessus de la surface de l’astéroïde.
Écorcher les astéroïdes
Grâce à un miroir gonflable de 800 m, on concentrerait les rayons du Soleil sur un point de l’astéroïde. La surface s’échaufferait à plus de 1.000 °C et se mettrait à fondre, des panaches de vapeur jailliraient du corps céleste et fourniraient une poussée suffisante pour le dévier de sa route. On pourrait également utiliser un laser ultrapuissant.
« L’effet Yarkovsky »
Dans une toute autre approche, on peut envisager de modifier la trajectoire d’un bolide cosmique en jouant sur « l’effet Yarkovsky ». Ce dernier stipule que les propriétés physiques de la surface d’un astéroïde affectent la réflexion de la lumière solaire, et peuvent donc modifier son orbite. Il s’agirait donc de déverser une couche de poussière colorée d’un centimètre d’épaisseur à la surface de l’astéroïde (mais cela nécessiterait l’envoi de 250.000 tonnes de matériau, soit l’équivalent de 90 fusées Saturne V utilisées lors du programme Apollo). Le chercheur américain Joseph Spitale a par exemple proposé de saupoudrer un astéroïde de talc blanc ou de poussière noire afin de modifier son albédo. Les rayons solaires exerceraient sur lui une pression différente, suffisante pour le pousser hors de son chemin.
Des voiles solaires pour dévier un astéroïde
Voiliers de l’espace
La palme de l’idée la plus élégante dans le domaine revient aux voiles solaires. Le concept est simple : il s’agit d’utiliser la pression de radiation émise par le Soleil pour se déplacer dans l’espace à la manière d’un voilier. Plus la voile est grande et réfléchissante, plus grande est la force de propulsion. Une voile de 220.000 m² est nécessaire pour obtenir une poussée de 1 kg par m/s. La difficulté est de transporter la voile lors de sa mise en orbite, de l’arrimer à l’astéroïde, de la déployer et de la diriger dans le vide interplanétaire. Les études de faisabilité n’en sont qu’au stade expérimental.
Une vue d'artiste d'un vaisseau utilisé pour faire du remorquage gravitationnel.
Remorquage gravitationnel
La solution la moins difficile à mettre en œuvre a récemment été proposée par Edward Lu et Stanley Love, deux astronautes de la Nasa, membres de la fondation B612. Dans le cas où le danger de collision d’Apophis avec la Terre se préciserait après son passage en 2029, ils ont suggéré l’envoi, en 2027, d’un vaisseau spatial d’une tonne et de la taille d’une simple cabine Apollo à proximité immédiate d’Apophis, et de l’y maintenir en position au moyen de moteurs ioniques fonctionnant à l’énergie solaire. Selon leurs calculs, la seule force d’attraction entre les deux objets suffirait à dévier l’astéroïde des quelques centaines de mètres nécessaires afin qu’il manque en 2029 le « trou de serrure » de 600 m de diamètre qui le conduirait à percuter la Terre sept années plus tard. Le vaisseau agirait en quelque sorte comme un « vaisseau tracteur », utilisant simplement la gravité comme câble remorqueur, sans entrer en contact avec l’astéroïde. Cette méthode ne serait pas sensible aux propriétés physiques de la surface, ni à la structure interne et à la rotation de l’astéroïde. Le vaisseau aurait seulement besoin de rester en vol stationnaire, dans la direction du remorquage, tandis que l’astéroïde tournerait en dessous de lui.
berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
Sujet: Re: Inexpliqué en débat.. Dim 16 Déc - 18:43
Des chercheurs font naitre un poisson avec des pattes Publié le 15 décembre 2012 par Maxime Lamber
Citation :
Des scientifiques espagnols viennent de mettre en évidence les mécanismes génétiques responsables de l’évolution des membres des vertébrés qui leur a permis de passer de la mer à la terre ferme. Grâce à cela, ils ont réussi à transformer les nageoires d'un poisson-zèbre en "proto-membres".
L’étude des fossiles nous éclaire peu à peu sur les mystères de l’évolution de la vie. L'un des phénomènes les plus étonnants et encore mystérieux est surement celui du passage de la vie marine à la vie terrestre. Mais au fil des ans, les indices récoltés ont permis de reconstituer les grandes lignes de l’histoire. On sait actuellement que les nageoires des vertébrés ont subi toute une série d’étapes, s’allongeant et s’amincissant jusqu’à former des membres adaptées à la locomotion sur la terre ferme. Un mécanisme sur lequel on en sait un peu plus aujourd'hui.
En effet, des scientifiques de l’Université Pablo de Olavide, à Séville, sont parvenus à mettre en évidence les modifications génétiques à la base de ces changements morphologiques. Selon les chercheurs, le développement des pattes a eu lieu grâce à l’activation d’un fragment de matériel génétique déjà présent chez les poissons mais de manière "silencieuse". Des résultats qui représentent une véritable avancée dans la compréhension de l’histoire des tétrapodes, premier groupe de vertébrés à marcher sur la terre.
Pour en arriver à une telle conclusion, les chercheurs ont étudié le développement embryonnaire du poisson zèbre, organisme modèle particulièrement apprécié des généticiens. Leurs expériences ont consisté à introduire sur le bout de la nageoire des embryons un gène, HOXD13, connu pour jouer un rôle dans la distinction des différentes parties du corps.
Une mutation responsable de la pousse des membres ?
Les résultats, publiés dans la revue Developmental Cell, indiquent que sous l’effet de HOXD13, du cartilage se forme au détriment des nageoires. Autrement dit, les poissons zèbres issus des embryons n'ont pas développé des nageoires normales mais des proto-membres avec des tissus cartilagineux très semblables à ceux des animaux terrestres. Au regard de ces résultats, les scientifiques ont cherché à savoir si cet élément génétique avait dans le passé subi une augmentation provoquant ainsi le développement des membres.
Pour répondre à cette question, un régulateur du gène, prélevé sur des embryons de souris, a également été introduit sur les nageoires en devenir. "Nous avons découvert que chez le poisson zèbre l'élément de contrôle de HOXD13 était capable de diriger l'expression du gène dans la plus extrême de la nageoire'' indique dans un communiqué José Luis Gómez-Skarmeta, co-auteur de l’étude.
Selon le scientifique, ce régulateur était présent dans le dernier ancêtre commun aux animaux à nageoires à ceux à pattes. L'hypothèse formulée est ainsi qu'une mutation de ce régulateur a pu survenir à cette époque et entrainer une surexpression du gène HOXD13, qui aurait alors provoqué la pousse de proto-membres cartilagineux.
Sujet: Re: Inexpliqué en débat.. Dim 16 Déc - 19:13
ahh c'est des fou il v'on crée a ta de chose surnaturel
berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
Sujet: Re: Inexpliqué en débat.. Lun 17 Déc - 20:28
Les robots tueurs se dresseront contre l'humanité 16.12.2012,
Les hommes doivent réfléchir à la manière de faire face à une possible révolte de machines tueuses, armées jusqu'aux dents. Les experts militaires mettent en garde La Voix de la Russie du danger des robots de combat. Selon les chercheurs, si leur fabrication n'est pas contrôlée, on n’évitera pas l’apocalypse.
Citation :
Des robots de guerre, des drones militaires et des machines armées automatisées sont utilisés dans le complexe militaro-industriel d’aujourd’hui. La plupart de ces dispositifs sont équipés d’une fonction « pilote automatique ». Seuls les robots de combat ne sont pas équipés d’une telle fonction.
« Voici comment fonctionne le système d'intelligence d’un robot tueur: il doit se rendre à un point de coordonnées X et Y, y définir une cible par rayonnement thermique, et éliminer cette cible », explique Noel Sharkey, professeur de robotique et d'intelligence artificielle à l’Université de Sheffield (Royaume-Uni). « Mais il s’agit là d’un raisonnement « stupide ». Ce qui inquiète, c’est que ce robot ne va pas faire la distinction entre un soldat ennemi, un rebelle ou un civil ».
Les militaires et les scientifiques continuent à améliorer la précision des systèmes de combat automatisés. Selon eux, les robots tueurs aideront à réduire le nombre de soldats sur le terrain, en réduisant ainsi le nombre de tués.
« Les scientifiques ont mis au point le drone Falcon HTV-2, qui est actuellement en phase de test. Il s’agit d’un avion autoguidé qui peut accélérer jusqu’à une vitesse de 20 000 km/h. Le pilote ne peut se trouver aux commandes d’un tel avion, il ne survivrait pas à une telle vitesse. D'ailleurs, l’homme aurait du mal à se concentrer sur ce qu’il fait à une telle vitesse, il ne serait pas capable d’évaluer correctement la situation et de réagir à des ordres », poursuit Sharkey.
Le Département de la Défense des États-Unis a rendu public un rapport sur les systèmes automatisés de combat, qui explique quelles sont les caractéristiques des armes autonomes et semi-autonomes. A la fin de ce rapport, une liste des lacunes et des vulnérabilités de ces armes est dressée. Cette liste est grande. Elle inclut notamment des aspects importants comme la possibilité de piratage informatique des systèmes de programmation, des interférences radio, des pièges radars, l’usurpation d'identité ou l'interception du signal crypté dans le but de piratage.
« Les technologies qui existent actuellement sont un pas vers l’utilisation des machines tueuses automatisées que l’homme ne serait plus en mesure de contrôler. Les algorithmes à l’intérieur du logiciel de ces machines sont tellement complexes que le système émettrait parfois des erreurs qu’un homme ne pourrait pas résoudre seul. Certains systèmes interagiraient avec d'autres systèmes, et nous ne pourrions pas contrôler leur relation. Nous n’aurions pas non plus le contrôle de la réaction à un signal d’erreur que le système recevrait », s’inquiète Mark Avrum Gubrud, docteur en physique et en mathématiques à l'Université de Princeton.
Avec tous le dangers de l'utilisation de robots militaires autonomes, la décision d'y recourir appartient aux entreprises productrices d'armes militaires. L’organisation internationale de défense des Droits de l’Homme Human Rights Watch, en collaboration avec des experts de l’école juridique de l'Université de Harvard a publié un rapport intitulé Losening Humanity : The Case Againts Killer Robots (Perte de l'humanité : une affaire contre les robots tueurs). Ce rapport traite de la nécessité d'arrêter l'utilisation, la production, et le développement des robots tueurs entièrement automatisés. Le rapport prône l'élaboration de normes du droit international qui régulent la circulation de ces machines militaires dans le monde pour empêcher leur production et leur propagation incontrôlée.
« Je ne crois pas que les robots, peu importe à quel point sont développées leurs technologies, puissent suivre les normes internationales pour la protection des civils pendant des conflits armés »,considère Bonnie Docherty, experte sur les questions militaires de Human Rights Watch. « Rien ne pourra les retenir, même pas la pitié pour les civils, car ils ne la ressentent pas. D’ailleurs, il est difficile de prendre les actions des robots tueurs sous contrôle. Leurs actions aveugles peuvent porter atteinte à la politique de dissuasion par l'intimidation ».
Des spécialistes qualifiés et des technologies de pointe sont utilisés actuellement dans l’armement. Mais la plupart des chercheurs appellent les concepteurs à ne pas équiper les robots avec des armes et les utiliser plutôt à des fins pacifiques.
« Les robots doivent aider l’homme à faire face aux problèmes complexes qui sont une routine », conclut Gubrud. « Et les hommes doivent travailler avec les hommes. L’utilisation des robots dans des domaines où la vie de l’homme est menacée n’est pas justifiée. La vie coûte cher, et nous devons en prendre soin, qu’elle soit la nôtre ou celle d’autrui ».
Les experts sont d’accord sur le fait que les robots doivent être employés uniquement dans les sphères civiles, par exemple dans l’agriculture ou la médecine. Ces machines doivent aider les hommes et non pas les tuer. Sur le champ de bataille, le facteur humain joue par certains moments un rôle décisif. Quant au robot, il ne peut que copier le comportement de l’homme sans faire le choix de ce qui est « humain » ou non. /L
Sujet: Re: Inexpliqué en débat.. Lun 17 Déc - 21:45
imagine sa fini comme terminator :p
berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
Sujet: Re: Inexpliqué en débat.. Mer 26 Déc - 21:12
Il se peut que nous vivions à l'intérieur d'un trou noir mercredi, 26 décembre 2012
Citation :
Nikodem Poplawski de l'Université de l'Indiana affirme que notre planète serait située au sein d'un trou noir et que les trous noirs présents dans notre univers hébergeraient d'autres univers. Poplawski postule que tous les trous noirs peuvent être considérés comme entrées dans les «trous de ver», passerelles hypothétiques reliant diverses régions de l'espace-temps. Le cosmologiste estime que ces tunnels relient un trou noir (porte d'entrée) et un trou blanc, son antipode, l'espace dans lequel rien ne peut pénétrer. Les conditions apparaissent à l'intérieur de ce trou de ver galactique rappelant un univers en extension. Il s'ensuit que notre Univers peut être tout simplement une partie intérieure d'un trou de ver.
Sujet: Re: Inexpliqué en débat.. Lun 14 Jan - 18:35
La révélation des pyramides - documentaire
[youtube][/youtube]
faty Colonel
Messages : 3229 Date d'inscription : 08/04/2012
Sujet: Re: Inexpliqué en débat.. Dim 20 Jan - 23:55
Le secret caché des pyramides d’Égypte révélé
« La plus grande pizza du monde
Un coup de poing pour Noël »
201 Mercredi 26 décembre 2012 dans Actualité Le documentaire "Le secret caché des pyramides d'Égypte révélé" nous plonge dans un univers incroyable sur la révélation des pyramides, produit par Ekwanim Productions et distribué par Wild Bunch. Voici la version française de ce documentaire, qui tente de trouver des réponses à de nombreuses question que les scientifiques se posent encore aujourd'hui. Plusieurs sujets sont traités, la construction de la grande pyramide de Gizeh, le nombre d'or, les civilisations Égyptienne, la forme des pyramides, la précision des monuments, le nombre PI et tant d'autres. [dailymotion] Le secret caché des pyramides d'Égypte révélépar Spi0n[/dailymotion]
berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
Sujet: Re: Inexpliqué en débat.. Lun 21 Jan - 20:08
faty je l'est vue jusqu'au bout vraiment très intéressant
berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
Sujet: Re: Inexpliqué en débat.. Jeu 31 Jan - 22:56
Le rayon tracteur de Star Wars devient réalité
Plusieurs scènes dans Star Wars et Star Trek montrent les effets d’un rayon tracteur capable de piéger des astronefs et des objets pour les manipuler à loisir, notamment en les attirant. La réalité vient de rejoindre la fiction grâce à des groupes de physiciens utilisant des rayons laser.
Citation :
L’une des scènes de Star Wars montre le Millenium Falcon de Han Solo piégé par un rayon tracteur attirant son vaisseau en direction de l’Étoile noire. À première vue, il semble impossible qu’un tel rayon soit réalisable à l’aide d’un faisceau laser. D’ordinaire, en effet, la lumière exerce au contraire une pression sur les objets qu’elle éclaire. Le premier physicien ayant envisagé cet effet était Johannes Kepler, lorsqu’il cherchait à expliquer l’orientation de la queue des comètes par rapport au Soleil. Des siècles plus tard, après la découverte des équations de Maxwell gouvernant le champ électromagnétique responsable de l’existence des ondes lumineuses en physique classique, plusieurs physiciens comprirent que Kepler avait vu juste.
Ce fut le cas de Maxwell lui-même en 1871, qui avait déduit de ses équations l’existence de ce que l’on appelle la pression de radiation, puis de Joseph Poynting qui, tout en précisant cette déduction, en avait étudié les conséquences sur des particules de poussière en 1903, et surtout de Pyotr Nikolaevich Lebedev. Ce physicien russe a donné une preuve expérimentale de l’existence de la pression de radiation vers 1900.
Les faisceaux d'ondes sonores de Bessel
La théorie quantique de la lumière ne fit que conforter l’idée que la direction de la pression de radiation était toujours dirigée dans le sens de la propagation de la lumière en introduisant les quanta de lumière d’Einstein, les photons. Possédant certaines caractéristiques des particules, comme une quantité de mouvement, l’effet d’un faisceau lumineux sur une surface pouvait donc être comparé à celui d’un flux de particules, par exemple celui d’un jet d’eau.
Un schéma illustrant le dispositif constituant un rayon tracteur. Deux faisceaux laser (en vert) sont combinés pour produire une onde lumineuse qui attire de petites sphères.
Et pourtant, en 2006, le physicien Philip Marston de la Washington State University a montré théoriquement que, dans certains cas, des faisceaux d’ondes sonores appelés des faisceaux de Bessel avaient une structure particulière pouvant conduire à des effets contre-intuitifs.
Vers les ondes lumineuses et le rayon tracteur de Star Wars
Transposé au cas des ondes lumineuses, le travail de Marston impliquait que le bilan de la quantité de mouvement des ondes électromagnétiques diffusées dans toutes les directions par des particules éclairées par des faisceaux de Bessel similaires pouvait être tel, dans certains cas, qu’au lieu d’éloigner ces particules d’une source de lumière, il les rapprochait.
À cause de l’énergie nécessaire, il semble très difficile d'exploiter des faisceaux de Bessel pour tracter le vaisseau de Han Solo ou même des petites particules. Pourtant, une première sorte de réalisation concrète de cette idée a été réalisée l’année dernière par des chercheurs américains, qui ont décrit leur expérience dans les Physical Review Letters.
Aujourd’hui, des physiciens de l’University of St Andrews en Écosse et de l’Institute of Scientific Instruments (ISI) en République tchèque viennent de publier un article dans Nature Photonics montrant qu’il est possible de contourner l’obstacle. Ils ont réalisé un rayon tracteur à l’aide de deux faisceaux laser. Le dispositif obtenu est prometteur car il pourrait avoir des applications biomédicales intéressantes, comme trier des macromolécules et des cellules.
berhoum Modérateurs
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Sujet: Re: Inexpliqué en débat.. Dim 3 Fév - 13:40
Un astéroïde géant vole vers la Terre 3.02.2013
Citation :
Un astéroïde, qui volera près de la Terre dans deux semaines, se trouvera à une distance record proche d'elle. Cette distance entre l'objet et la Terre au moment d'un rapprochement maximal représentera 17000 km. Notre planète ne connaissait pas de phénomène similaire de tout son histoire moderne.
L'astéroïde 2012DA14, découvert par les astronomes de l'Observatoire espagnole La Sagra, s'approchera de la Terre le 15 février. Il sera encore plus près que certains satellites.
Le diamètre de 2012DA14 est de 45 m, son poids représente 130 000 tonnes. S'il tombe sur la Terre, une énergie équivalente à 2,4 mégatonnes de TNT serait libérée.
Sujet: Re: Inexpliqué en débat.. Dim 14 Avr - 11:50
Etude norvégienne: Les effets biologiques des retombées de la géo-ingénierie sur la vie végétale
Citation :
L’étude traduite et recopiée ci-dessous a été préparée par des chercheurs norvégiens. Elle contribue à documenter quelques-uns des effets hautement néfastes des programmes de GSA (géo-ingénierie stratosphérique par aérosols) et de GRS (gestion des radiations solaires) en cours. Il ne subsiste désormais plus de sources « organiques » de nourriture. Tout a été pollué avec les métaux toxiques et les produits chimiques qui sont émis par les programmes mondiaux de vaporisation d’aérosols. Certains des éléments toxiques que nous sommes contraints d’ingérer dans notre alimentation ont été identifiés, d’autres sont sans doute encore inconnus.
Citation :
] Lien vers la version PDF (en anglais) de cet article: BaSrTiO3_cell_communication.pdf ]
Conférence « Esprit Ouvert », Oslo, 19-21 octobre 2012
Harald Kautz-Vella:
Effets néfastes théoriques et scientifiquement prouvés des nano-particules de (Ba, Srx) TiO3 sur la croissance des végétaux (premier jet)
Concernant les qualités chimiques et physiques du TiO3 (Ba, Srx) désigné comme aérosols dans les concepts d’ingénierie climatique globale
Résumé:
Les implications théoriques ainsi que les preuves scientifiques indiquent que des nano-particules de <100nm [1/1O.OOOème de millimètre, ndt] de (Ba, Srx) TiO3 [titanate de baryum/strontium - baryum=Ba, strontium=Sr, le 'x' indique l'usage de plusieurs isotopes de cet élément, titane=Ti, le suffixe -ate indique un composé contenant de l'oxygène, O - ndt] telles que celles faisant l’objet de discussions, en tant que composantes de l’ensemencement du nuages dans les brevets de modification climatique globale, nuiraient aux végétaux en:
- interrompant la communication cellulaire au seuil d’absorption de rayonnement UV de 230nm, en absorbant les faibles signaux UV intracellulaires responsables du déclenchement de la division cellulaire;
– irradiant l’ADN de la plante avec de la lumière hautement énergétique de longueur d’onde (λ) de 230nm stockée dans un état excité dans les nucléides [les protons et les neutrons présents dans le noyau des atomes, ndt] de baryum et de strontium. Cette excitation est provoquée par l’exposition aux radiations cosmiques dans les nuages. Les photons à haute énergie stockés peuvent être relâchés par une interaction non-linéaire lorsqu’un photon longitudinal UV de faible énergie et de même λ (un bio-photon) frappe une nano-particule. L’état excité des nucléides se décharge alors en une onde en réplique inversée dans le temps qui s’écoule directement en retour vers l’ADN, l’exposant alors à un impact photonique UV de même λ mais beaucoup plus énergétique;
- déséquilibrant le potentiel électrique de la cellule lorsque stimulées par le champ électromagnétique terrestre, des radiations radar ou des micro-ondes, en relâchant des électrons libres lors d’une altération induite dans leur géométrie cristalline selon leurs propriétés piézo-électriques, rendant les plantes vulnérables aux attaques fongiques.
L’interaction complexe de ces trois formes de nuisance théoriquement envisageables n’est pas entièrement comprise. Toutefois l’effet général sur les végétaux a pu être expérimentalement confirmé, démontrant un dosage létal pour les plantes d’approximativement 35mg de (Ba, Srx) TiO3 par kg de matière organique sèche, en fonction du type de plante et d’autres variables externes (à la fois par des analyses en laboratoire et) des études en extérieur.
Attendu que:
- la quantité de (Ba, Srx) TiO3 évaluée, en g/ha [grammes par hectare, ndt] et par an résultant des projets de géo-ingénierie est beaucoup plus élevée que le dosage mesuré comme mortel pour les végétaux en g/ha et qu’en sus de cela,
- l’indissolubilité de ces cristaux mènerait à une accumulation continuelle de ces particules dans la biosphère,
la mise en œuvre de ces projets serait une menace pour les écosystèmes du monde qui tôt ou tard mèneraient à la destruction totale des biotopes naturels et des récoltes agricoles dans les zones de retombées.
1. Introduction
L’esprit humain est entraîné à penser à l’échelle macroscopique, ce qui peut mener à des erreurs de décision quand il s’agit d’exposer la nature à des nano-particules. Plus petites sont les particules, le plus grand devient le rapport de surface au volume. Nous sommes techniquement capables de produire des particules de (Ba, Srx) TiO3 offrant une surface de 2500m² au gramme. Pour les estimations qui vont suivre, cette valeur servira dans les opérations de calcul.
En théorie une quantité de 300 tonnes de ce matériau serait suffisante pour en construire une couche de l’épaisseur d’une particule à même de couvrir optiquement un pays de la taille de l’Allemagne. Assurer la dissémination par aérosols de ces particules prendrait 30 vols de Boeing 737.
Ce simple calcul est ce qui rend ces matériaux si tentants quand il s’agit de géo-ingénierie. Que ce soit pour l’ensemencement de nuages pour contrôler le changement climatique, ou pour protéger des zones industrielles des effets d’éruptions solaires en formant un écran de plasma dans les couches supérieures de l’atmosphère en utilisant les propriétés piézo-électriques de ce matériau – les bénéfices peuvent être considérables. De plus le baryum, les isotopes non-radioactifs 85, 86, 87 et 88 du strontium et le titane ainsi que ses oxydes peuvent être considérés comme chimiquement non-toxiques.
Il y a des preuves irréfutables que des vaporisations non-autorisées ont été menées par le passé. Des séquences vidéo d’avions militaires en pleine opération de vaporisation, de traînées d’avions persistantes à des températures de -35° et un taux d’humidité de 40%, la langue de bois des personnes impliquées jusqu’à l’ancien directeur du FBI, et des analyses chimiques révélant les taux de titanate de baryum/strontium dans l’analyse des eaux pluviales, des sols et de spécimens de plantes dans la plupart des pays industrialisés. Nonobstant cela l’objectif de ce document n’est pas de discourir sur l’existence ou la légitimité d’actions passées, mais de présenter les effets d’activités futures alors qu’elles sont apportées dans le débat public, notamment par le service fédéral allemand de l’environnement, « Umwelt Bundesamt » dans le livret « Geo-Engeneering. Wirksamer Klimaschutz oder Grössenwahn. Methode. Rechtliche Rahmenbedingungen. Umweltpolitische Fragen. Berlin, April 2011″ [Géo-ingénierie. Protection du climat efficace ou mégalomanie. Méthode. Cadre juridique général. Questions de politique environnementale. Berlin, avril 2011 - PDF (en anglais)]
Ne sont pas prises en considération dans ces discussions publiques les propriétés optiques et électro-physiques de ces matériaux, qui sont remarquables, ou leur possible interaction avec les systèmes biologiques.
L’objectif de ce document est d’apporter ces considérations au débat.
Des échantillons de plantes mourantes dont le taux de croissance avait été ralenti de manière significative de tout autour du monde ont révélé au cours d’analyses de laboratoire des valeurs répétitivement hautes de baryum, de strontium et de titane en une concentration molaire relative indiquant une quantité de 35mg de titanate de baryum/strontium nano-cristallin par kg de matière organique sèche au moment de la mort de la plante. Bien qu’il n’y ait pas d’explication biochimique pour quelque dommage causé à la plante, la corrélation des dommages et des concentrations de baryum, de strontium et de titane est suffisamment significative pour prendre en considération des mécanismes alternatifs d’interaction plante-particule autres que ceux qui sont connus par la chimie. Sachant que des nano-particules de la taille de celles projetées dans les brevets de géo-ingénierie peuvent être absorbées par les plantes dans leur ensemble, et connaissant les propriétés remarquables de ces matériaux, ces modes d’interaction alternatifs peuvent très bien être optiques et/ou électro-physiques dans leur nature.
2. Affirmations
2.1 Interruption optique de la communication cellulaire
Dans la conception des bio-photons les molécules d’ADN d’une plante envoient des modèles qui s’interfèrent de faibles émissions bidirectionnelles dans la gamme des UV, qui toutes ensemble forment une image holographique servant de schéma directeur pour la plante, amenant à des divisions cellulaires là où il n’y a pas d’onde-réplique renvoyée par une molécule ADN receveuse pour cause d’une cellule « manquante ». L’onde mono-directionnelle et donc visible déclenchera la division cellulaire dans une cellule avoisinante pour refermer l’espace. Des plantes entières auraient leurs échanges luminiques intracellulaires dans un état entièrement annihilé par les ondes UV et leurs répliques inversées dans le temps, les plantes blessées ou les zones de croissance active comme le cambium devraient montrer un excès d’ondes UV mono-directionnelles, déclenchant la division cellulaire.
Une forme simplifiée de ce concept est utilisée dans des technologies de projection holographique se servant de lasers comme « ADN transmetteur » et du même type de nano-cristaux piézo-électriques comme « ADN récepteur » et capables de projeter des hologrammes en 3D de haute définition.
Le seuil d’absorption des nano-particules de titanate de baryum/strontium a son maximum à une longueur d’onde de 250nm, absorbant 90% de la lumière passant par le cristal.
La communication intracellulaire qui est responsable du déclenchement est accomplie par des photons de faible énergie d’une longueur d’onde de 260nm.
Adjoindre ces deux découvertes ensemble démontre que l’insertion de particules piézo-électriques de cette qualité devrait interférer lourdement avec la communication cellulaire – ainsi l’ADN et les particules se servent de la même longueur d’onde et de la même forme d’onde électromagnétique pour communiquer.
Afin de comprendre la relation quantitative entre ce type particulier d’opacité suscité par les nano-particules et les dommages causés aux plantes il est utile de calculer la densité optique des particules dans la plante au moment de la mort.
Estimant qu’une concentration de 35mg/kg de matière organique sèche ainsi que mesurée dans l’herbe norvégienne comme dans l’écorce d’arbres californiens mourants l’on peut affirmer que
35mg ≈ 87,5m² de surface particulaire ≈ 21.875 de surface optique
Estimant que 1kg de matière organique sèche équivaut à 3l = 0,003m3 de matière organique vivante, l’opacité sera atteinte à une distance optique de 0,1311mm ce qui est dans l’ordre de la taille d’une cellule.
Au moment de la mort d’une plante, contenant 35mg (Ba, Srx) TiO2, la densité optique des nano-particules est suffisamment élevée pour aller jusqu’à interrompre les communications de cellules directement avoisinantes!
2.2 Irradiation de l’ADN des plantes avec du rayonnement UV de haute énergie
Comprendre le concept de bio-photons comme un modèle d’ondes bi-directionnelles avec leurs ondes-répliques inversées dans le temps envoyées et reçues par des molécules d’ADN, incluant des éléments photo-actifs étrangers pourrait induire le changement de la force des photons impliqués de faibles à pas si faibles.
Il est connu que des particules dans les nuages peuvent être excitées par la radiation cosmique incidente et relâcher cette radiation plus tard sous la forme de rayons gamma. Cette émission de rayons gamma peut subvenir spontanément ou être déclenchée par l’arrivée d’un photon.
En visualisant cette possibilité, il devient évident que l’implication de nucléides en état d’excitation dans un échange de bio-photons pourrait mener à l’émission de quanta de rayons gamma stockés sous la forme d’ondes de réplique inversées dans le temps étant dirigées directement en retour vers l’ADN qui avait émis le photon déclencheur.
Ce processus non-entropique redirigeant de grandes quantités d’énergie de retour vers une source faible déclencheuse est en fait la caractéristique principale des systèmes optiques non-linéaires. Pour une compréhension plus complète veuillez vous rapporter aux articles référencés.
Le rayonnement UV de haute énergie est connu pour être la source principale de dommages aux végétaux. Par conséquent un dépôt d’aérosols optiquement excités pourrait mener à des dommages à l’ADN par l’émission de quanta UV.
2.3 Déséquilibrage du potentiel cellulaire
Le système immunitaire de toutes les cellules suit une courbe hautement raffinée de potentiels électromagnétiques cellulaires, avec des différences de potentiel définies entre le cœur de la cellule et la membrane cellulaire interne, ainsi qu’entre la membrane cellulaire interne et la membrane cellulaire externe. Toute altération de ces potentiels cellulaires affaiblit le « système immunitaire » en dérangeant l’équilibre des procesusi oxydants et anti-oxydants.
Le titanate de baryum/strontium, en tant que substance piézo-électrique change sa géométrie cristalline quand elle est exposée à des champs électromagnétiques externes. Tout changement dans la structure cristallographique est accompagné de l’émission d’électrons.
En tant qu’aérosol dans l’atmosphère cet effet peut être utilisé pour « allumer ou éteindre » des nuages en appliquant des champs électromagnétiques tels qu’utilisés par les appareils HAARP et ICECAT ou d’autres systèmes d’antennes de radiations de micro-ondes en altérant la structure cristallographique, ce qui mène à changer par du courant libre la particule en ion, provoquant instantanément la formation d’une gouttelette dans le nuage.
Le même effet provoqué par des téléphones cellulaires terrestres, des transmissions radar ou de micro-ondes mèneraient à l’émission spontanée d’électrons libres par la particule, ce qui altérerait le potentiel cellulaire de la plante et donc détruire ou affaiblir le système immunitaire de la plante.
Comme cause indirecte la plante pourrait mourir d’infections fongiques dissimulant la cause première de sa souffrance.
3. Preuves expérimentales
Des expériences de germination avec du titanate de baryum/strontium du domaine industriel, ajouté en concentrations différentes pré-définies au processus de germination, ont besoin d’être menées afin de déterminer de manière expérimentale le dosage létal de titanate de baryum/strontium pour les plantes. J’estimerais une concentration de 35mg/kg de graines imbibées comme zone ciblée d’expérimentation, ajoutant le titanate de baryum/strontium à l’eau pour être sûr qu’il soit complètement absorbé par les graines.
Je suggérerais de travailler sur des semences céréalières telles que le maïs, le soja et le blé, et des plantes à croissance rapide comme le cresson pour des résultats rapides afin de pouvoir publier une première version.
Il devrait être possible d’acheter du (Ba, Srx) TiO3 via Internet, j’ai vu des offres. S’il est impossible de mettre la main sur de petites quantités je suggère de contacter en privé des personnes travaillant dans des laboratoires où cette substance est utilisée.
4. Conclusion
Bien que les mécanismes présentés en postulat avec leurs interactions n’aient pas fait l’objet de recherches complètes il y a assez de preuves et de logique autour du sujet pour NE PAS utiliser les nano-particules décrites à moins que la chose ait été convenablement étudiée, et que les dommages à la nature et aux végétaux aient pu être exclus.
Bien qu’il soit tentant de contrôler la météo pour le bénéfice de l’agriculture, bien qu’il puisse paraître sans alternative, pour protéger nos technologies pendant les éruptions solaires pouvant nous frapper jusqu’à l’équateur pendant un possible basculement magnétique – surtout, pris en considération le déplacement s’accélérant de façon exponentielle du pôle nord magnétique au cours des cinq dernières années, indiquant la période de novembre 2012 à mars 2013 comme moment de transition possible – le prix pourrait être trop élevé et la nature pourrait simplement ne pas se réveiller après un hiver de vaporisation d’aérosols – étant totalement aveuglés par notre tentative de protection.
Madame, Monsieur,
Je demande respectueusement à tous et à toutes qui ont accès à des conditions de laboratoire ou à des serres disposant de conditions contrôlées de se livrer aux expériences manquantes au chapitre 4 et de rapporter les résultats, comprenant des photos à:
kautzvella@gmail.com
Tél. 0049 179 2661123
Si je ne devais pas réagir à des résultats arrivants dans la semaine ce texte peut être utilisé dans le domaine public et complété avec vos résultats chiffrant les doses létales de titanate de baryum/strontium, ensemble avec les preuves expérimentales. Tant qu’un e-mail ou contact téléphonique m’a été donné je souhaite évaluer les résultants entrants moi-même et les publierai dès qu’il y aura un schéma visible dans ces résultats.
Merci pour votre attention et possibles contributions.
Dieu vous garde
Harald Kautz-Vella
Source: geoengineeringwatch; chemtrailsplanet
Lien vers l’article d’où est tirée la traduction: http://www.unhealthyearth.com
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
Sujet: Re: Inexpliqué en débat.. Sam 20 Avr - 15:39
Supertempéte solaire au mois de Mai : Que nous cache la NASA ?
Périodiquement, les scientifiques de la NASA émettent des pronostics alarmistes à propos d'une tempête solaire qui reléguerais notre civilisation au moyen âge. Au départ, celle ci était prévue pour 2012 puis elle fut retardée pour 2013 lorsque il est apparu que le fameux maximum solaire avait du retard. Cette fois, les taches solaires sont au rendez vous, alors les savants sont catégoriques, 2013 sera une année cataclysmique pour notre civilisation fondée sur les composants électroniques. Ils le clament haut et fort : "préparez vous à vivre dans un monde sans eau, ni électricité !". Déjà, certains astrophysiciens investissent dans des bunkers, c'est donc que cette fois l'alerte est sérieuse.
Citation :
L'un de ces savants, le docteur Richard Fisher, directeur de la division Heliophysique de la NASA a même donné une interview des plus alarmistes au journal "The Telegraph". Il déclara que la tempête pourrait engendrer de gigantesques pannes électriques, court circuitant les réseaux de communication, le système GPS, les satellites, le réseau bancaire, les ordinateurs et de manière générale "tout ce qui est électronique".
Il ajoute que de larges régions seraient privées de courant, que les réparations seraient difficiles et prendraient beaucoup de temps, "Ce sera une cause de problèmes majeurs pour le monde", " la tempête bouleversera le champ magnétique terrestre et les systèmes ne fonctionnerons plus".
Les avertissements du Dr Fisher sont les plus explicites que la NASA ai jamais formulé en la matiére. Selon lui, tous les 22 ans le cycle magnétique du soleil culmine alors que le cycle des taches solaires est de 11 ans. Le probléme c'est que cette année, ces 2 cycles vont se combiner et engendrer de hauts niveaux de radiations. La température du soleil va alors dépasser les 5500 ° celcius.
Dans le pire des cas, d'importantes régions du monde seront privées d'électricité pendant des mois. Dans le cadre d'un scénario plus optimiste, de larges zones dans le Nord de l'Europe et en Grande Bretagne (aux infrastructures plus fragiles) seraient sans courant quelques heures, au maximum plusieurs jours. Il ajouta que les autorités savent que le probléme est imminent mais qu'elles en ignorent l'ampleur. Toutefois, l'impact économique d'une telle tempéte serait comparable à au moins 20 fois celui de l'ouragan Katrina.
Peu après les déclarations du docteur Richard Fisher , le " Space Weather enterprise Forum", une conférence organisée à Washington réunissant des savants de la NASA, des politiciens, des chercheurs et des membres du gouvernement aboutissait aux mêmes conclusions.
Plus récemment, un rapport de la " Royal Academy of Engineering " de Grande Bretagne mettait en garde contre une telle tempête et conseiller de mieux s'y préparer afin d'en atténuer les effets avant qu'il ne soit trop tard.
Plusieurs autres institutions lancèrent une alerte à propos de ce qu'il est convenu d'appeler la "supertempéte de 2013". Et un rapport de la NOAA sponsorisé par la NASA, spécifia que le maximum solaire aurait lieu exactement au mois de Mai 2013. Dés lors, certains médias se mirent à parler de la tempête de Mai 2013. Le même rapport spécifia également que le nombre moyen de taches solaires du cycle actuel culminerait à 90, ce qui en ferait le plus faible cycle depuis 1928. Or, c'est dans ces mêmes conditions que survint la fameuse tempête de Carrington en 1859. Dés lors, le net s'enflammait dans la perspective d'un événement cataclysmique, la date étant connue, il ne restait plus qu'à patienter jusqu'à l"échéance fatidique.
Cette bréve retrospective résume comment la NASA et les autorités scientifiques sont parvenus à alerter les décideurs à propos du danger que représente une telle tempête solaire tout en occultant les causes réelles derrière ce phénomène. Tout d'abord, on remarquera que cela fait des années que les savants ont lancé leurs alertes, les masses populaires n'étant dotée que d'une mémoire à court terme, cela a permis d'éviter les mouvements de panique.
Quelques informations judicieusement delivrées au moment propice permirent même de révéler la date approximative de l'événement. Même si pour certains commentateurs, annoncer des années à l'avance la date d'une tempête solaire représente un exploit impossible, la plupart acceptèrent sans broncher cette énième version officielle qui fait de la NASA, une institution omnisciente et infaillible douée du don de prophétie. Je rappelle néanmoins qu'aucune explication satisfaisante n'a été fournie quand au retard du maximum solaire (1 an alors que précédemment il était calqué sur la période orbitale de Jupiter avec une précision de l'ordre du centiéme de pourcent).
En vérité, la NASA ou plutôt devrait on dire, l'élite intellectuelle occidentale, cherche par tous les moyens d'empêcher que le public n'accède à un savoir qui remonte à l'antiquité. Cela s'applique également aux lois qui régissent le cosmos et notamment dans le cas qui nous préoccupe ici, au fonctionnement du système solaire et à l'influence des astres sur notre planète.
C'est le fraudeur Einstein et sa théorie de la relativité (ou plutôt son plagiat) qui permirent eu début du XX ème siècle d'occulter ce savoir de la sphère de la science et de le reléguer au rang de vieille croyance païenne l'Ether, cette force invisible qui imprègne le cosmos et qui circule entre les astres était bannie au profit d'un univers strictement fait de vide et de matière. Tesla fut acculé à la misère pour le plus grand profit des marchands d'électricité et de pétrole et aujourd'hui nous le payons au prix fort alors que la pollution est en train d'atteindre des niveaux qui mettent en danger la biosphére.
La science de l'Ether stipule que les astres canalisent cette énergie cosmique et la libèrent en cas d'alignement. Ils jouent donc le rôle de condensateur, nous avons dés lors affaire à un univers électrique dont les soleils sont les éléments centraux.
Lorsque des astres importants sont sur la même ligne que le soleil et la Terre, des échanges d'énergies se produisent à divers niveaux. Cette énergie se dissipe sous forme de tempêtes, séismes, éruptions volcanique. Au niveau du soleil, le surcroît d'activité magnétique fait apparaître de gigantesques taches sombres qui peuvent engendrer des éruptions solaires (la modification du barycentre du système solaire y est aussi pour quelque chose).
Un bref retour en arrière permet de se rendre compte de la validité de la théorie de l'Ether. Ainsi, lors de ses 2 derniers alignements avec Saturne et le soleil, la Terre connut respectivement un séisme d'une magnitude 8,9 fracturant la croûte terrestre au niveau de l'océan indien et une supertempéte qui inonda une partie de la région de New York. Saturne est actuellement la planète la plus chargé en énergie éthérique de notre système solaire, depuis des années d'importantes tempêtes y sont signalées.
Cette année, le principal alignement, celui où la Terre se trouve directement placée dans le flux éthérique, surviendra entre les derniers jours du mois d'Avril et le début du mois de Mai. la date fournie par les savants de la NASA inclue donc le laps de temps nécessaire pour que les taches solaires se forment et engendrent une tempête solaire qui peut atteindre la Terre dans les jours voire heures qui suivent.
Position de la Terre au 1 ier Mai 2013
Il y a quelques années, la NASA a finalement admis que les alignements entre certains astres et le soleil pouvaient engendrer des éjections de masse coronale de part et d'autres du soleil. Le risque d'une super tempête propulsée dans la direction de la Terre est donc bien réel. D'ailleurs, en Novembre 2003 déjà, une supertempéte de classe X 28 aurait pu détruire une partie des infrastructures électriques si elle avait touché notre planète. Mais comme on l'a vu, le risque ne se limite pas au soleil, cet alignement pourrait engendrer un puissant séisme accompagné d'un tsunami. La position des astres indique donc que ce 1er Mai pourrait s'avérer potentiellement dévastateur. D'ici là, il est fort probable que comme par le passé, l'élite illuministe (dont c'est le jour de fête) trahisse certains indices indiquant qu'elle se prépare à toute éventualité. C'est en restant à l'affût de tels indices qu'à notre tour nous pourrons nous y préparer.