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Sujet: Tourisme (la Beauté Sauvage de l'Algerie) Dim 1 Mai - 21:54
yak Admin
Messages : 13552 Date d'inscription : 24/04/2011 Localisation : SUR TERRE
Sujet: Re: Tourisme (la Beauté Sauvage de l'Algerie) Dim 1 Mai - 22:00
yak Admin
Messages : 13552 Date d'inscription : 24/04/2011 Localisation : SUR TERRE
Sujet: Re: Tourisme (la Beauté Sauvage de l'Algerie) Dim 1 Mai - 22:07
yak Admin
Messages : 13552 Date d'inscription : 24/04/2011 Localisation : SUR TERRE
Sujet: Re: Tourisme (la Beauté Sauvage de l'Algerie) Lun 2 Mai - 0:32
yak Admin
Messages : 13552 Date d'inscription : 24/04/2011 Localisation : SUR TERRE
Sujet: Re: Tourisme (la Beauté Sauvage de l'Algerie) Lun 2 Mai - 0:34
berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
Sujet: Re: Tourisme (la Beauté Sauvage de l'Algerie) Dim 12 Aoû - 14:29
Les plantes endémiques d’Algérie passent de 224 à 300 espèces
Les 22 zones importantes pour la flore du nord de l’Algérie (N. Yahi, E. Vela, S. Benhouhou, G. De Belair & R. Gharzouli. Journal des espèces menacées. UICN. Août 2012)
Citation :
Les résultats d’une étude sur la biodiversité de la région méditerranéenne parue le 6 août dans le Journal des espèces menacées1 viennent renforcer le caractère exceptionnel de la biodiversité en Algérie.
En 2010 et dans le but d’entreprendre des actions de conservation, un travail d’identification des végétaux a été lancé dans le nord de l’Algérie pour identifier les aires importantes pour les plantes (Important Plants Areas, IPA), et les zones-clés pour la biodiversité dans le sud et l’est de la région méditerranéenne, Au départ, les auteurs précisent que les connaissances sur les espèces endémiques et les menaces qui les guettent sont rares, mais indépendamment de cela, le nombre d’espèces endémiques, passé de 224 à 300 pour un total de 4000 espèces, est relativement élevé. Ce taux d’endémisme est partagé avec la Tunisie et le Maroc.
Vingt-deux API ont été identifiées et délimitées des monts de Ghar Rouban (Tlemcen), El Kala (Tarf). Ils couvrent au total 10 656 km2, soit 2,5% de la région méditerranéenne considérée. Ils rassemblent des types d’habitats qui s’étendent du littoral aux reliefs de l’Atlas saharien en englobant les zones humides. Ces sites constituent autant de petits points chauds (hotspots) dans une région, la Méditerranée, elle-même élevée au rang point chaud mondial pour la biodiversité en raison du nombre et de la diversité de sa flore et dans lequel figurent le complexe Kabylie-Numidie-Kroumirie récemment reconnu comme un centre d’endémisme et de zone de refuge. Ces sites, ajoutent les auteurs, sont d’une importance extrême pour la conservation.
Certains d’entre eux bénéficient déjà de statuts de protection lorsqu’ils sont inclus dans les parcs nationaux, les réserves ou les sites Ramsar pour les zones humides. Pour les auteurs, il est impératif de poursuive le travail sur une connaissance plus approfondie de la flore, d’une part pour mieux cerner l’ensemble du patrimoine, mais également pour permettre aux chercheurs d’appliquer des critères de classement compatibles avec ceux en usage dans la communauté scientifique.
Un numéro spécial sur les aires-clés pour la biodiversité http://www.threatenedtaxa.org/
boussouf Admin
Messages : 2099 Date d'inscription : 20/11/2011
Sujet: Re: Tourisme (la Beauté Sauvage de l'Algerie) Jeu 20 Sep - 16:53
Citation :
Tourisme vert à Souk Ahras : un riche potentiel à la recherche d’investisseurs
SOUK AHRAS - Riche d’un couvert végétal couvrant près du tiers de son territoire, la wilaya de Souk Ahras qui conserve les traces du passage de plusieurs civilisations recèle un potentiel touristique d’une richesse inestimable.
Les grandes étendues vertes et les denses forêts de cette région dans l’extrême Est du pays offrent des espaces d’oxygénation de qualité qui permettent de projeter une industrie touristique à caractères multiples, social, écologique ou sportif.
Une industrie pour la création de laquelle il serait de bon ton, estiment les services de la Direction du Tourisme et de l’artisanat, d’imaginer des mesures réellement attractives pour les investisseurs.
Parmi les sites forestiers les plus remarquables, figure celui de la commune frontalière d’Ain Zana (40 km à l’est du chef-lieu de wilaya), face à la région tunisienne de Ghardimaou. Dans cette commune, la région d’El Ma Lahmar est un site naturel vierge, avec un panorama d’une rare beauté, pouvant abriter un centre de préparation des sportifs du même niveau que celui d’Ain Draham en Tunisie.
Aïn Zana : un site idéal pour abriter un centre de préparation des équipes sportives
L’endroit est propice pour mettre en place les installations nécessaires à la pratique de sports tels que le football, le tennis, le golf, les courses équestres, voire le ski. Le directeur du tourisme et de l’artisanat, M. Zoubir Boukaabache, invite les responsables des grands clubs algériens à lancer des projets d’infrastructures sportives dans cette région qui se situe entre 1.300 et 1.400 m d’altitude (le même niveau que le site d’Ain Draham en Tunisie).
La Direction du Tourisme en appelle aux responsables locaux du secteur de la Jeunesse et des sports pour encourager l’implantation de projets sportifs de proximité dans cette région dont la vocation est de devenir un pôle sportif national, apte à attirer de nombreuses équipes et offrir l’occasion à de nombreux jeunes de découvrir les sites touristiques de cette wilaya.
Les prairies vertes de Machrouha
A 20 km au nord de Souk Ahras, le site de Machrouha est à 1.200 m du niveau de la mer. Le froid y est souvent rude, le visiteur se doit d’être chaudement habillé pour profiter du paysage tout en verdure. C’est ici qu’était établi durant la glorieuse Révolution, le PC de la base de l’Est, à Dechret el Mazraâ.
Cette région abrite encore de nombreux site naturels restés pratiquement vierges. Elle est connue pour avoir accueilli le grand poète tunisien Abou El Kacem Chabbi (1909-1934) qui y avait trouvé un lieu propice au repos et à l’inspiration.
La création d’un parc animalier doublé d’un parc des loisirs a également sa place dans la région, en l’occurrence la zone d’extension touristique de Lemghassel, au milieu d’une forêt dense, voisinant un plan d’eau. De plus, une étude d’aménagement l’atteste, la source thermale de Hamimime est apte à enrichir la variété des centres d’intérêt touristiques dans la région, connue également pour son patrimoine historique et archéologique des plus attrayants.
Il faut aussi signaler, dans la région de Machrouha, la richesse du couvert végétal et la grande variété d’animaux de la forêt, tel que le cerf de Barbarie, ou encore la perdrix, le lièvre, le chardonneret, par ailleurs menacés par les méfaits des chasses sauvages ou des braconniers faisant fi des dons de la nature s’adonnent au vandalisme pour gagner facilement de l’argent, au dépens du patrimoine naturel, déjà fragilisé par l’insuffisance de protection.
Les responsables du secteur du Tourisme estiment à ce propos, même si cela peut paraître, quelque part, paradoxal, que l’exploitation intensive du patrimoine naturel constituera sans doute la protection la plus efficiente, en particulier contre l’exploitation frauduleuse des ressources forestières et les incendies provoquée sciemment en vue de l’extension des pacages.
Le lac Burgas, le site de Madaure et l’olivier de Saint-Augustin, des pôles à valoriser
Dans la commune de Taoura, le lac Boumaaraf Sebti (anciennement lac Burgas) est l’un des arguments touristiques les plus séduisants de la wilaya de Souk Ahras, pour la beauté du paysage, en particulier au printemps. Entre février et la mi-avril, le lac reçoit entre 800 et 1.200 mm de pluies, ce qui favorise une végétation luxuriante sur les berges, avec une flore aquatique variée et une faune des zones humides des plus riches.
Parler de tourisme dans la wilaya de Souk Ahras sans évoquer le site de Madaure (M’daourouche) est un non sens. Cette ville fondée sous les Flaviens, qui tire son nom de l’antique ville romano numide Madauros, fut successivement berbère, romaine, vandale et byzantine. Madaure était célèbre pour son université, l’une des premières du Continent africain. Apulée, considéré comme l’auteur du premier roman (L’Ane d’or), y est né vers l’an 123. A l’époque romaine, l’université de Madaure était fréquentée par nombre d’étudiants en philosophie, parmi eux le philosophe et théologien Saint Augustin.
L’olivier de Saint Augustin, à Souk Ahras, constitue sans doute un symbole fort du tourisme vert et du tourisme religieux. Il est en outre une destination pouvant se prévaloir d’un potentiel de clients composés de pèlerins pouvant venir du monde entier, compte tenu de l’important de Saint Augustin dans l’histoire de l’église catholique. Durant le seul 1er semestre de 2012, il a été dénombré 400 pèlerins étrangers en provenance d’Amérique, de France, de Belgique et d’Italie qui ont visité l’olivier de Saint Augustin.
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
Sujet: Bladi Dim 23 Sep - 13:26
Sans modération
yak Admin
Messages : 13552 Date d'inscription : 24/04/2011 Localisation : SUR TERRE
Sujet: Re: Tourisme (la Beauté Sauvage de l'Algerie) Jeu 2 Mai - 10:31
une chanson qui fait pleurer les pierres un chédeuvre de la culture algerienne Hiziya
Citation :
Poème et Histoire d'amour triste ( Histoire algérienne ), entre saîyed et Hiziya ,sa bien aimée, qui l'a perdue à l'age de 23 ans,"1852-1875" trente jours après cette perte , il perd aussi son cheval , ne pouvant supporter la mort de sa bien aimée Saiyed erre quelque temps, avant de demander au grand poète de la région Ben Guitoun de l'immortaliser dans un poème ; quelle triste histoire! voir la tombe de Hizia a sidi khaled
Dernière édition par yak le Sam 4 Avr - 14:33, édité 1 fois
Rebell banni
Messages : 7649 Date d'inscription : 21/09/2012
Sujet: Re: Tourisme (la Beauté Sauvage de l'Algerie) Jeu 2 Mai - 11:35
c trop triste j'ai les larme au yeux!!!!
berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
Sujet: Re: Tourisme (la Beauté Sauvage de l'Algerie) Sam 2 Nov - 11:20
Sur la piste du guépard de l’Ahaggar
Il est l’un des derniers grands prédateurs du Sahara
Son pelage très clair, moucheté de taches noires ou ocres, est un camouflage parfait pour le désert. Sa silhouette élancée est celle d’une ombre qui se fond parfaitement dans un paysage rocailleux ou sablonneux. Tamanrasset. De notre envoyé spécial
Citation :
Le dernier des grands carnivores du Sahara central est devenu, ces dernières décennies, une légende que l’on se plaît à évoquer entre deux thés, le soir autour d’un feu. Un fantôme plus proche du mythe que de la réalité. Certains nomades affirment avoir aperçu sa silhouette féline dans un oued à acacias, d’autres soutiennent avoir perdu un chamelon ou un chevreau sous ses griffes acérées. Pour beaucoup, en revanche, Amayas, le guépard de l’Ahaggar, était une espèce éteinte, du moins jusqu’en 2004. Cette année-là, une jeune femelle, s’étant aventurée un peu trop près de leurs troupeaux, a été capturée par des nomades. Alertés, les responsables de l’OPNA (Office du parc national de l’Ahaggar), se sont déplacés sur les lieux pour prendre le fauve en photo avant de le relâcher dans la nature. Il faut croire que celui-là a eu beaucoup de chance tant, en général, les nomades ne sont guère indulgents avec les prédateurs qui s’en prennent à leur bétail. La capture de la jeune femelle dans la Tefedest confirme donc, de façon éclatante, la présence du guépard dans l’Ahaggar. Mieux encore, l’année suivante, en 2005, une analyse génétique des fanges de carnivores collectées dans l’Anhef, réalisée dans le cadre d’un inventaire de la faune, a permis d’identifier avec certitude la présence du guépard et du léopard dans la région. Farid Belbachir, un biologiste de l’université de Béjaïa, se lance sur les traces du guépard dans le cadre d’une thèse de doctorat en anthropologie biologique à l’University College London. Après la signature d’une convention de collaboration entre l’Office national du parc culturel de l’Ahaggar et la Faculté des sciences de la nature et de la vie de l’université de Béjaïa. En 2008, une mission de collecte des indices est montée pour réaliser un essai d’estimation de la densité de la population du guépard et du domaine vital des individus. L’OPNA et le ministère de la Culture offrent la logistique d’une expédition qui prend très vite des allures d’une grande aventure dans l’inconnu. Traquer un animal aussi insaisissable sur un territoire aussi vaste revenait à chercher un poil de chameau dans une meule de foin. Le GPS est indispensable pour se repérer dans ces immensités désertiques. La mission confirme on ne peut plus clairement l’existence de cet animal emblématique qu’est le guépard.
Un félin qui joue à cache-cache avec les chercheurs
Une deuxième mission sur le terrain est alors montée en 2010. Elle dure trois mois. Une quarantaine de camera-traps, des pièges photographiques qui se déclenchent par détecteur de mouvement, sont disséminés sur un territoire de 2800 km2. Notre félin est un sacré baladeur aux longs parcours. Les caméras sont fixées dans des lieux bien étudiés : des oueds aux acacias à Tamarix et à des endroits susceptibles d’abriter les prédateurs. Les pièges sont relevés en moyenne tous les 15 jours : vérification des batteries puis lecture et copie sur ordinateurs portables des données des cartes mémoire. On fait également l’inventaire des indices et autres signes de présence comme les fanges que l’on recueille soigneusement. Un travail épuisant qui est effectué dans des conditions de chaleur et de froid extrêmes du Grand Sud. «C’était un travail extrêmement dur. Nous étions dans un état de fatigue permanent», se rappelle Farid Belbachir, rencontré à Tamanrasset lors de la projection d’un film documentaire consacré à cette recherche. L’autre Farid, Ighilahriz de son nom et directeur du parc de l’Ahaggar de son état, à l’époque de cette quête éperdue dans le désert, avait également jeté toutes ses forces et toutes ses ressources dans la réussite du projet. A chaque passage, le félin laisse des traces de sa présence. Il semble jouer à cache-cache avec les chercheurs et guides touareg qui le pistent. Amel Belbachir Bazi, l’épouse de Farid, est chargée d’échantillonner chaque indice recueilli sur le site. De retour au laboratoire, elle s’occupera d’extraire l’ADN de chaque espèce à partir des précieuses fèces de carnivores qui sont collectées dans des sacs en plastique. Il s’agit de dresser la carte de la richesse spécifique des carnivores de la région et de déterminer la structure génétique de la population des guépards présente dans la région.
Des renards, des chacals dorés, des gazelles, des mouflons…
L’angoisse et le cœur qui bat au moment fatidique où l’on découvre les images prises par les pièges photographiques. Le suspense est de mise comme dans un thriller haletant où le détective part à la recherche d’un fugitif particulièrement intelligent. Le guépard est un animal rare qui ne se laisse pas piéger facilement. Les images donnent à voir des lièvres, des renards de Rüpell, des chacals dorés, des gazelles dorcas, des mouflons à manchettes, etc. C’est toute la faune du désert qui défile, mais point de guépard. Jusqu’au jour où, enfin, l’Amayas est là. Une, deux, trois, quatre photos... L’équipe recueille une bonne quantité de clichés du plus célèbre prédateur qui couronne la chaîne trophique de l’Ahaggar. Si l’expédition est un succès, elle ne révèle pas moins l’existence de cas de braconnage sur le mouflon et la gazelle. Quelles sont les chances de maintien du guépard dans son milieu naturel ? «Il faut un minimum d’espèces proies-clés pour son maintien durable», estime notre chercheur. «La mise en danger actuelle de la gazelle dorcas et du mouflon à manchettes ainsi que la disparition de la gazelle dama rendent un peu plus minces ses chances de survie», déclare-t-il encore. Farid Belbachir estime également que la situation est différente de ce qu’elle peut être dans les parcs nationaux de Serengeti (Tanzanie) et Kruger (Afrique du Sud) où le guépard est en compétition avec le lion et la hyène tachetée, compétiteurs féroces qui chapardent souvent ses proies et n’hésitent pas à tuer une grande partie des nouveaux nés et des jeunes guépards. «Ici, dans l’Ahaggar, il est seul au sommet de la pyramide anthropique», souligne Farid Belbachir.
Un fauve d’une grande valeur écologique
Le chercheur suggère qu’il faudrait lutter efficacement contre le braconnage des gazelles et des mouflons sur le terrain et réintroduire les ongulés qui ont disparu de la région, afin de permettre à cet animal emblématique ainsi qu’à la guilde des grands carnivores prédateurs de survivre à long terme dans les régions de l’Ahaggar et du Tassili n’Ajjer. «Ses domaines vitaux sont immensément grands mais le complexe des aires protégées de l’Ahaggar et du Tassili n’Ajjer de par son étendue constitue l’espoir ultime pour la conservation durable de la plus grande population du guépard du nord-ouest de l’Afrique», dit-il encore. Les proies du prédateur doivent être abondantes et ses habitats sauvegardés. Et moins il est en contact direct avec les humains, plus il a des chances de survivre, pense le chercheur. Dans l’Ahaggar et le Tassili n’Ajjer, le guépard est le seul grand prédateur à vivre sans compétition. C’est un fauve d’une grande valeur écologique car, la présence de guépards dans l’Ahaggar est une preuve de la survivance d’espèces proies reflétant ainsi la santé globale de l’écosystème. Est-il alors possible d’estimer avec précision la densité du nombre de guépards dans l’Ahaggar ? Farid Belbachir estime qu’il faudrait pour ce faire, déployer des moyens logistiques, matériels et humains énormes. Un chiffre toutefois : «Il s’agit de 250 individus matures pour l’ensemble de la région du Nord-Ouest de l’Afrique. J’ai personnellement réalisé l’évaluation du statut de conservation du guépard pour la région du Nord-Ouest de l’Afrique en 2008 à la demande du groupe des spécialistes des félins de l’UICN. Cette évaluation est basée sur une analyse de données bibliographiques demandant à être revue dans le futur. Elle a permis de classer la sous-espèce hecki (guépard du nord-ouest de l’Afrique) en 2008 au statut de ‘‘En danger d’extinction’’ à celui de ‘‘ En danger critique d’extinction’’ », dit-il. Les images des caméras pièges révèlent l’existence d’autres prédateurs dans la région de l’Anhef. Les informations recueillies, notamment lors des entretiens avec les populations locales, suggèrent la présence d’autres espèces en attente d’identification. Notamment, et c’est une vraie surprise pour les scientifiques, un loup africain dont la présence dans le Nord-Est algérien et la région de l’Adagh-n-Foghas malien a été attestée par une équipe de chercheurs et publiée dans une revue internationale. Guépard, loup ou léopard, le désert algérien est tellement vaste qu’il pourrait réserver au monde encore de très belles surprises.
epoustoufflant notre pays est comme ca , d'apres le realisateur , 2,5millions de telespectateur francais ont suivit le docummentaire , est ce le bon depart pour une politique touristique est en finir avec la politique de laisser la part du gateau pour les voisins puisqu'ils n'ont pas de petrole
sagit Modérateurs
Messages : 6445 Age : 53 Date d'inscription : 04/02/2014
Sujet: Re: Tourisme (la Beauté Sauvage de l'Algerie) Dim 5 Avr - 20:49
pas sure que le tourisme soit une aubaine, quand les gens verrons l argent que le tourisme apporte ils seront tenté par l argents facile vus les dérives mal saine chez nos voisins je suis dubitatif ,j aimerais pas voir mon peuple œuvrer comme nos voisins
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Sujet: Re: Tourisme (la Beauté Sauvage de l'Algerie)