Du nouveau au sujet du second avion furtif chinois
18 septembre 2012


Finalement, il s’appelerait le J-31 (c’est ce que suggère son immatriculation : 31001)

il a de l'allure

nouvelle image( J31)[b]


ho..un Raptor

Citation :

La Chine va construire des destroyers d’un type nouveau
http://french.ruvr.ru/2012_09_23/Chine-destroyers/

Sacré évolution



Edit yak c est fait bravo mon ami

J-20 Fighter 5ème génération

J-20 le largage de carburant sur Chengdu le 24:

J-10B prêt à entrer en service prochainement.


Chine J-10B dragon vigoureux à un stade avancé Inlet Diverterless (DSI) supersonique technologie ---------- Pour votre information, le Dragon J-10B vigoureux a servi de prototype au début pour tester la Chine DSI pointe de la technologie. Vous pouvez voir clairement la similitude entre le supercalculateur conçu bosses DSI au niveau des entrées d'air à la fois du J-20 Puissant Dragon et J-10B. J-10B dragon vigoureux porte des missiles et des gousses de carburant supplémentaires pour étendre la portée de vol



Longue liste de J-10B améliorations par rapport à J-10A

Les différences les plus évidentes externes entre le J-10A et 10B sont des J-la bosse DSI et les moteurs WS-10A sur le J-10B. Voici la liste complète des améliorations. Chengdu J-10 - Wikipedia, l'encyclopédie libre "J-10B: Une variante améliorée du J-10 avec les nouvelles technologies, également connu sous le nom". Super-10 »[31] L'existence de la J-10B n'est pas confirmée par des sources officielles chinoises, mais de nombreuses images d'une nouvelle variante J-10 ont fait surface, montrant un prototype J-10 modifié avec un matériau absorbant radar accrue, la prochaine génération de la gestion intégrée EW suite, augmenté composites, de nouveaux génération d'avionique, MAW, une entrée diverterless supersonique (DSI), une recherche infra-rouge et la piste (IRST) du capteur, modifiée dérive et les ailes, nageoires ventrales, boîtiers montés sous les ailes, modernisé WS-10B moteur, la prochaine génération de solides -étatiques électronique intégrée, et un nez modifié avec un radar AESA. [32] [33] Il a eu son premier vol en Décembre 2008. " ----------


Pourriez-la puissance du moteur WS-10A J-10, J-11B et J-15 avion? La réponse est «oui» si deux conditions sont remplies. Tout d'abord, la production chinoise de WS-10A moteurs doit être suffisante pour répondre à la demande (y compris la production de pièces pour la maintenance et les moteurs de remplacement, à la fin de la durée de vie prévue) pour les trois avions. Deuxièmement, je ne sais pas si WS-10A moteurs sont interchangeables avec les moteurs AL-31F. Si elles ne sont pas facilement interchangeables sans modifier le fuselage puis les combattants actuels avec AL-31F moteurs seront très probablement rester avec les moteurs de remplacement AL-31F

J-10B vigoureuse dragon volant avec WS-10A moteurs

WS-10A moteur (avec boîte de vitesses vers le bas) est conçu pour alimenter le chasseur J-10B dragon vigoureux. Cette version du moteur WS-10A turboréacteur à double flux est dit d'avoir une poussée maximale 13,2 tonnes. Il existe plusieurs moteurs emballés près du sol. [Note:. Merci pour Pinko pour le poste] ---------- J-10A et 10B évolution J-dragon vigoureux

La photo du haut est un J-10A avec AL-31F moteur. Les photos des deuxième et troisième montrer un J-10B avec un apport DSI et AL-31F moteur. La quatrième photo est un J-10B chinois intérieure WS-10A moteur. Cette séquence d'images illustre l'évolution de la J-10 de la famille d'un J-10A (avec AL-31F moteur) dans un J-10B à un stade avancé DSI technologie et WS-10A moteur. Dans la série de photographies, il est facile de faire la distinction entre l'AL-31F et WS-10A moteurs. Les "pétales" flexibles sur le WS-10A sont beaucoup plus courts que sur l'AL-31F. Comparaison des chinois WS-10A (en haut) et les réacteurs russes AL-31F (en bas). [Note: Merci à HouShanghai pour la première image et Maya pour la photo Comparateur.]


Via Secret Projects

Le J-10B est intéressant car il représente un changement majeur pour ce bloc est lui-même une conception relativement nouvelle. Le changement le plus visible est l'entrée diverterless supersonique - une caractéristique qui est généralement associé à l'avant-radar du secteur de réduction de section. (. La DSI a été développé à l'origine pour une meilleure F-16 de conception) Dans le cas où le J-10B, il peut également être une alternative moins coûteuse et moins bruyante à la jambe-contreventé mixte de compression rampe sur la conception originale - mais le derniers J-10B montrent également des photos de la teinte révélateur d'un auvent métallique traitée.

Via Secret Projects

autres changements comprennent ce qui semble être un nouveau système de guerre électronique avec des antennes plus en carénages sous voilure et un boîtier fin pointe et un système d'avertissement d'approche de missile / lancement. Une norme J-10 a également été observée avec double rail lanceurs de missiles PL-12.

La Chine met en service son premier porte-avions dans un contexte tendu

PEKIN - La Chine a admis mardi au service actif son premier porte-avions, lui assignant la mission de "défendre la souveraineté nationale" dans un contexte de fortes tensions maritimes avec le Japon.


le Liaoning, premier porte-avions chinois, le 24 septembre 2012 à Dalian

J 21

Les implications de l'introduction du Porte-Avion Chinois dans sa Marine Militaire a un impact certain dans tout conflit futur. Cette acquisition s'inscrit dans une démarche réflichie et méthodique, après études prélable de l'expérience de l'Ex-Union Soviétique et du camp occidental dans l'utilisation des portes-aéronefs.

lisez cette article pour plus de compréhension

Citation :

« Liaoning » - un porte-avions chinois révolutionnaire ?


L’arrivée du premier porte-avion chinois Liaoning dans la flotte chinoise est un évènement symbolique, consacré au prochain congrès du parti communiste chinois (PCC) qui aura lieu en novembre. Cette nouvelle réalisation dans le complexe militaro-industriel chinois marque la fin de la première étape de développement de la marine du pays. La mise en service de ce nouveau porte-avions ne conduira pas à des changements importants dans l'équilibre des forces dans la région. Mais elle prépare le terrain pour ces changements.


source http://french.ruvr.ru/2012_10_07/premier-porte-avion-chinois-Liaoning/

Un point intéressant sur les drones chinois. C'est une source américaine et cela date d'octobre 2009 mais cela nous donnera une idée des progrès chinois en la matière. On notera trois choses importantes: 1. les Chinois ont bénéficié au début de la coopération israélienne dans le domaine, 2. Les Chinois finiront par avoir un drone performant dans une dizaine d'années; 3. Les Chinois sont conscients que sans satellite militaire, leurs drones auront toujours un point faible par rapport aux drones US.

Citation :

Chinese researchers break through the mysteries of UAVs and UCAVs
06:45 GMT, October 14, 2009 defpro.com | Larry Dickerson, senior unmanned systems analyst for Forecast International, recently stated that the international demand for unmanned aircraft is rapidly growing, with the United States continuing to be the key driver of this trend. According to Dickerson, U.S.-based companies will account for more than 60 per cent of the market's value. However, western European countries and Israel are keeping up with the pace and spawning domestic development of such systems, which in some cases could already achieve more or less significant export successes (particularly Israel) with their industrial solutions. With respect to the obvious boom of unmanned aerial vehicle (UAV) development and export programmes in western countries, China, as much as Russia, still lag somewhat behind.


Catching up with world-leading standards

Nevertheless, the gap is quickly closing as the military’s requirement for state-of-the-art reconnaissance UAVs is becoming increasingly important in both countries. However, the activities are principally still focused on analysing (and often enough copying) already existing and fielded systems, such as the United States’ Global Hawk, Predator and Reaper as well as Israel’s Harpy and Heron. Completely domestic and unprecedented solutions emerge in only very few cases, of which many are too ambitious to make it into series production, let alone introduction into service.

In the case of China, the effort to increasingly use unmanned systems, as well as the capability to domestically develop and produce such aircraft, is publicly and proudly demonstrated, as could recently be seen on the occasion of the 60th anniversary celebration of the People's Republic of China. A total of ten short- and mid-range tactical reconnaissance UAVs mounted on their launching rail on the back of a truck, took part in the National Day parade (see [color:c78e=#f00][Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] “The ten UAVs of three different models have been [provided] to the PLA's special forces to carry out various reconnaissance missions,” Wang Baorong, captain of the UAV formation, told the state-run Xinhua press agency on that occasion.

According to the assessment of Professor Tan Kaijia, a weaponry expert with the PLA's National Defense University, this latest display shows that “China has made substantial progress in intelligent control systems, precise measuring-controlling systems and computer information processing for military uses.” Even more far-reaching concepts, such as the “Dark Sword” or the “Xianglong”, prove this assessment to be true, as the focus and the development is quickly going beyond small propeller-driven tactical UAVs towards high-altitude, long-endurance (HALE) UAVs and unmanned combat air vehicles (UCAV). The recent spotting of two probable HALE UAVs in front of their hangars at a Chinese air base suggests that such a system is already (near-to) operational.


Still many challenges ahead

However, as Andrei Chang, a Chinese military analyst with the Kanwa Information Centre in Toronto emphasised, it still is puzzling for what reason “the plethora of UAV models on display at Zhuhai do not go into production.” China is having difficulty mastering the technical complexity of operating UAVs in real time, he recently told Defence News. Chang suggests that many of the companies and institutions do not have an actual prototype and are simply looking for a foreign investor for their concept.

In an interview in early 2007 published by sina.com.cn, Tu Jida, chief designer of the Aviation Industries of China (AVIC), said that UCAVs are still at an early development stage in China and current efforts may lead to a successful aircraft system in approximately ten years. He further emphasised that for any such effort, China will be on its own and will have to “rely on its own strength and self-reliance.” The interview also left the impression that China is still working on the development of more secure and resistant control and communication links for the operation of UAVs to prevent enemies from interfering with the control of UAVs and the transmission of reconnaissance information.

Although the extension of China’s military satellite network allows the use of HALE UAVs over long ranges and in operations abroad, China is fully aware of dangers and the importance of satellite communications in modern UAVs. “Without military satellites, the commanders sitting in the United States could not operate their Predator UAVs, which are thousands of miles away on the other side of the globe,” Prof. Chen Hong of the Chinese Air Force's Command College correctly observed. Further statements published by Xinhua (see [color:c78e=#f00][Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] acknowledge that China’s push in all fields of defence technology proves that the country is prepared to show strength in the air as well as in space and will make sure its networks will be working when their antagonists’ resources are down.


Major systems and concepts

Apart from the “Harpy” UAV sold to China by Israel Aerospace Industries (IAI) in 1994, China has indigenously developed and manufactured a number of unmanned systems during the past 30 to 40 years, often based on western – primarily US-built – UAV and UCAV concepts. A row of transformations of formerly manned aircraft, such as the Ba-5 (based on the J-5, a MiG-17 copy) and the Jian-7 (based on the MiG-21), for use as target drones, as well as the development of smaller target drones such as the Ba-2, Ba-9 (many more types have been produced), provided China with enough experience to develop remotely controlled and later pre-programmed and autonomously flying systems.

China also has a number of man-portable and -launchable mini-UAVs (such as the ASN-15), which are generally propeller-driven models for short-range tactical reconnaissance of ground troops. The following list of systems focuses on larger reconnaissance and combat concepts and – not least due to the lack of reliable information – does not claim to be complete (for instance, you may miss the formerly important ASN-104/105 and ChangKong-1 or a newer concept called “Combat Eagle”, which strongly recalls the X-45 and nEUROn UCAVs). However, it offers a condensed overview on past, present and future Chinese UAV and UCAV concepts, as well as on the often-foreign technological sources.

Reconnaissance Unmanned Aerial Vehicles (UAV)

• WuZhen-5 (also ChangHong-1)
The WZ-5, in particular, which has been developed on the basis of the U.S. AQM-34N Firebee, will have provided China with the required technical background to take the next step in UAV technology development. After a number of these jet-powered reconnaissance UAVs had been shot down by the PLA in the 1960s, and at least one could be recovered for reverse-engineering, the Beijing Institute of Aeronautics (BIA; now Beijing University of Aeronautics & Astronautics, BUAA) began the development of a reconnaissance UAV based on the AQM-34N. The concept, consisting of the airframe, the optical camera sensor-suite, the turbojet engine and the ground station, resulted in two prototypes completed by 1972 and two in 1976. After achieving design certification in 1978, nine such systems were fielded by the People’s Liberation Army Air Force (PLAAF) as of 1981.

After having been successfully used for reconnaissance missions in the 1980s, the BUAA is believed to have developed an improved version, designated WZ-5A, which provided greater accuracy due to a GPS and inertial navigation system. The WZ-5 was air-launched at altitudes between 4,000 and 5,000 metres and would then climb to its operational altitude of 17,500 metres, where it may fly at up to 800km/h. It was originally launched by a modified Tu-4 Bull bomber, and later by the Y-8E (An-12 Cub copy) turboprop transport aircraft. Due to its lack of a real-time data link, its endurance of merely 3 hours and its limitation to day-time optical reconnaissance, the system can no longer keep up anymore with modern solutions. Without a real-time link and control, it must stay on its pre-programmed flight path, disregarding changing tactical situations or enemy air-defences.

• Xianglong (“Sour Dragon”, Chengdu)
As one of the more recent concepts, the “Xianglong” of the Chengdu Aircraft Corporation (CAC) was first unveiled at the 2006 Zhuhai air show. Its dimensions, jet engine and intake arrangement and wing shape very much recall the US RQ-4 Global Hawk and suggest that this UAV will also be used for high-altitude, long-endurance (HALE) reconnaissance missions. In fact, it is reported to fly at altitudes of up to 18,000 metres (approx. 59,000 ft), which is slightly less than the ceiling of the Global Hawk. According to unnamed sources, the aircraft already completed high-speed taxiing tests in late 2008 and was scheduled to have its maiden flight in early 2009.

The intake and engine, located on top of the fuselage at the rear between the V-shaped tail wings, are much smaller than those of the Global Hawk. However, according to Chinese media reports, it is believed to fly slightly faster than the RQ-4, reaching speeds of about 750km/h and ranges up to 7.000 kilometres. With a reported take-off weight of 7,500kg and a mission payload of 650kg, it is lighter than the RQ-4 and can carry less weight (RQ-4B max. weight: 14.640kg; payload: 1.360kg). Due to its comparably limited range, it is supposed to exclusively operate in the Asia and Pacific region.

• WuZhen-2000 (also WZ-9, Guizhou Aviation Industry Group)
Just as the Xianglong, the WZ-2000’s design seems to have been taken from the U.S. Global Hawk, with V-shaped tail wings and a single WS-11 turbofan on top of the rear fuselage. However, the WZ-2000 is smaller (length 7.5m, wingspan 9.8m) and has slightly aft swept wings, as well as obvious radar cross-section reduction features, including a flat bottom surface. Being an older – but nevertheless stealthy – reconnaissance UAV concept (1999) than the Xianglong, the WZ-2000 is reported to having accomplished its maiden flight in December 2003 and an onboard remote sensing system test in August 2004.

Although the aircraft has smaller dimensions, it is intended to fly at a service ceiling of 18,000 metres with a reported maximum speed of 800km/h for a total endurance of only 3 hours. The 80 kg mission payload reportedly contains a thermal imaging camera and a synthetic aperture radar. Reconnaissance data is transmitted via a satellite communications antenna in the nose bulge.

• ASN-206 / ASN-207 (Xi'an ASN Technology Group Company)
The ASN-206 is one of the earlier advanced tactical UAV programmes and one of the few that has been successfully introduced into service with the PLA. It is a lightweight, short-range, tactical multi-purpose UAV developed by Xi'an ASN Technology Group Company in 1994 and produced in series starting in 1996. According to unconfirmed sources, the Israeli company Tadiran Spectralink Ltd. has been involved in the development process. It carries various mission payloads and can, therefore, be used in a multitude of operations including day/night aerial reconnaissance, electronic warfare and countermeasures (EW/ECM), battlefield surveillance, border patrols and nuclear radiation sampling.

Powered by a HS-700 piston engine, the ASN-206 is a twin-tail braced UAV which is launched with the help of an accessory rocket from a 6x6 truck and is operated by a digital flight control and management system. The aircraft marks an important step in China’s UAV development as it provides real-time reconnaissance information, while older UAV models had to be recovered in order to access the collected data.

The ASN-207, of which four systems headed the UAV formation at the National Day Parade in early October, is an improved version of the ASN-206. It significantly surpasses the AN-206’s capabilities, reportedly providing double the endurance time and mission payload with a maximum range of 600km. It can easily be distinguished due to its mushroom-shape antenna mounted at the front of the aircraft, which receives flight control commands from the ground station.

Attack Drones / Unmanned Combat Air Vehicles (UCAV)

• Harpy (IAI)
The Harpy, built by Israel Aerospace Industries (IAI), was another technology source for China’s own development efforts. The procurement of an unknown number of these attack UAVs in 1994 created quite a stir in U.S.-Israeli diplomatic relations, leading to a crisis of confidence between the two countries. This only happened in 2004 when the Chinese Harpy’s were sent back to Israel for an upgrade and after it was discovered that the PLA used Harpies during a military exercise. The Bush administration subsequently urged Israel to halt all arms-transfers to China.

The Harpy (which since has been further developed: see [color:c78e=#f00][Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] is not a typical UAV but, rather, a weapons system called “loitering munition”. The propeller-driven aircraft is launched from a ground vehicle or surface warship and can loiter for some time above the mission area to locate and identify a suitable high-value target. Its sensor collects valuable information until the Harpy attacks and destroys its target by crashing into it and detonating its 32 kg (70 lb) high-explosive warhead. It was specifically developed to detect, track and destroy radar emitters, such as enemy radar and SAM emplacements, in all weather conditions during day or night.

• Yi-long (Chengdu)
Another design by the Chengdu Aircraft Corporation appears to be a copy of the U.S. MQ-1 Predator, yet without inverted but, rather, upright V-shaped tail wings. The aircraft is driven by a small tail propeller. It carries a small pivotable sensor suit almost beneath the centre of the slender fuselage. The model displayed at the 2008 Zhuhai air show did not feature pylons to carry weapons, however, design concepts of this aircraft were presented with one pylon on each wing, arranged in the same fashion as on the Predator, to carry light missiles.

• CH-3 (China Aerospace Science and Technology Corp.)
The CH-3 is a medium-range long-endurance (MALE) UCAV model presented at the 2008 Zhuhai show which, due to its complexity, still appears to be far from becoming a reality. The aircraft has a canard airframe design with the tailplane ahead of the main wing. Still propeller-driven, the aircraft carries a large sensor suite underneath the fuselage at the level of the main wings’ root. According to the model, the aircraft is designed to carry two air-to-ground missiles, such as the AR-1 air-surface missile.

• Anjian (“Dark Sword”, Shenyang)
The “Dark Sword” is an unmanned combat air vehicle (UCAV) concept which was displayed as a model at the 2006 Zhuhai air show. It is obviously designed for high manoeuvrability at supersonic speeds, having a flat, triangular shape with an additional large wing area and swing canards, hinting at China’s J-10 multi-role combat aircraft (which itself strongly resembles jets such as the Eurofighter, Rafale and Gripen). Its large intake underneath the fuselage implies high speed, agility and angle-of-attack, further suggesting that the aircraft will be powered by a turbofan.

At the Zhuhai air show, a staff member called the aircraft the “future of Chinese unmanned combat aviation”, emphasising its projected ability to evade enemy radar and to engage in air-to-air combat.

http://www.aeronewsline.biz/t240-drones-uav

Le Shenyang J-21/31 effectue son premier vol !

[quote]
Le second avion de combat furtif développé par Shenyang, le F-21/31 à effectué son vol inaugural ce matin en compagnie d’un Shenyang J-11. Ce premier vol d’une durée de 11 minutes confirme que la volonté de en chine de développer deux appareils furtifs, en concurrence ou non pour équiper l’aviation militaire chinoise.


La spécialiste aéronautique chinoise Xiu Li Xheng, déclarait à la suite de ce vol « Je crois que cet appareil va avoir un régime d’essais beaucoup plus rythmé que le J-20, et que cet avion va être une percée chinoise importante face aux F-22 américain et T-50 russe ».


Shenyang J-21/31 :

Si le Chengdu J-20 semble être plutôt une sorte de bombardier furtif voir un appareil, uniquement dédié à la supériorité aérienne longue distance de part sa taille, se second appareil développé par Shenyang Corporation (SAC) reprend l’ensemble des formes du Lockheed-Martin F-22 «Raptor» en ce qui concerne les formes générales et ressemble de face à si m’éprendre au F-35. Plus petit que le F-22 mais assez proche du F-35, ce J-21 semble donc être un chasseur de supériorité aérienne multi-rôle susceptible de venir contrer ses équivalents américains.

Biréacteur, le J-21 ou J-31 (on ne sait pas encore exactement sa dénomination) reprend les entrées d’air du F-35 sans séparateur de couche, du moins en apparence. On notera que les tuyères sont classiques à la différence du F-22.

Conçu par l'Institut 601 de Shenyang et fabriqué par l'Usine 112, toujours à Shenyang, cet avion ne serait pas commandé par l'armée de l'air chinoise, du moins pour l’instant. Serait-il alors en concurrence avec le J-20 ? Rien n’est moins sûr pour l’instant. L’avion pourrait cependant intéresser la Force aérienne et peut-être également la marine qui cherche également à compléter sa dotation actuelle avec le J-15 (copie du SU-27).
[quote]http://psk.blog.24heures.ch/archive/2012/10/31/le-shenyang-j-21-31-effectue-son-premier-vol.html

pas mâle!!!!! on devrait travailler avec eu sans perdre de temps a long terme sa nous sera bénéfique

Un article intéressant qui nous apprend des choses sur les programmes de l'aéronautique militaire chinoise. Malgré les progrès, la Chine reste dépendante de la Russie notamment au niveau motorisation. Si on peut donc bénéficier de l'expérience chinoise en matière de modification et d' "indigénisation" des appareils russes de 4eme génération, il est encore prématuré d'envisager l'acquistion d'un chasseur 100% chinois comme le souhaitent certains compatriotes. Mais c'est une piste à ne pas négliger.

Citation :

La Chine mettrait au point un deuxième chasseur de 5e génération


Si les informations sur l’élaboration du chasseur chinois J-21 de cinquième génération se confirment, la Chine deviendra le seul pays au monde à réaliser simultanément deux programmes de développement des chasseurs de cinquième génération. Ni les Etats-Unis ni la Russie n’ont pu mettre au point un programme militaire d’une telle ampleur. Quant à l’Union européenne, ses entreprises militaires ont même décidé de renoncer au développement d’un chasseur de cinquième génération.



La photo du deuxième prototype du chasseur chinois de cinquième génération est apparue mercredi sur Internet. Selon les experts, l’appareil a été conçu pour démontrer le progrès technico-militaire de l’Empire du Milieu à la veille du 18ème Congrès du Parti communiste chinois. Dans un futur proche, les internautes auront de plus amples informations sur ce chasseur, développé par la Shenyang Aircraft Corporation, ainsi qu’une présentation officielle de cet aéronef par les autorités chinoises. Ensuite, les journalistes recevront des informations sur son premier vol triomphant.

C’est exactement selon ce scénario que les informations sur le premier programme du chasseur chinois de cinquième génération ont été dévoilées. Cet avion a été baptisé J-20, et il a été conçu par la Chengdu Aircraft Industry Group (CAC).

Les sociétés de construction d’avions de Shenyang et de Chengdu sont les deux principaux centres de production de chasseurs en RPC. Elles sont toutes deux des filiales de l’Aviation Industry Corporation of China (AVIC). Le PDG du groupe, Lin Zuomin, a jugé stratégique l’unification des différentes usines sous un même groupe pour éviter la concurrence improductive et le chevauchement des programmes militaires. Les experts estiment donc que les deux programmes de production des chasseurs de cinquième génération ne doivent pas se faire concurrence l’un à l’autre, et son plutôt complémentaires, étant orientées sur des secteurs de marché différents.

Selon les photos, l'avion J-21 n’est pas plus petit que le J-20, et il n’est donc pas plus léger que son prédécesseur. Selon certaines suppositions, le J-20 possèderait une grande section interne pour l’armement et serait en réalité un avion d’attaque. Par conséquent, le J-21 devrait être un avion de chasse maniable destiné pour le déploiement sur les porte-avions.

Toutefois la Chine ne maîtrise pas une technologie importante pour ce type d’aéronefs : elle ne fabrique pas des moteurs d’aéronefs modernes suffisamment performants. Même pour les chasseurs de quatrième génération, qui constituent actuellement la puissance de combat de l'armée de l'air chinoise, la plupart des moteurs ont été achetés en Russie. Les chasseurs chinois J-11B, utilisent généralement les moteurs russes AL-31F, alors que les chasseurs J-10 – les moteurs AL-31FN.

Les exigences techniques pour les moteurs des chasseurs de cinquième génération sont plus élevés : ces machines doivent avoir une vitesse de croisière supersonique et un rayon d’action plus important comparé aux chasseurs de génération précédente. Il est probable que des moteurs russes soient également installés sur les aéronefs de nouvelle génération.

Avec ses deux prototypes de chasseur de cinquième génération, la Chine a de quoi être fière. Mais il ne faut pas exclure que les essais et la mise au point prendront beaucoup de temps et nécessiteront de faire appel à l’aide étrangère.

Pour l’instant, le J-20 et le J-21 sont plutôt des modèles de technologie, car la puissance de combat réelle de la Force aérienne chinoise est déterminée par d’autres programmes. Il s’agit notamment de l'amélioration des avions de combat de quatrième génération qui sont actuellement produits en série. /L

http://french.ruvr.ru/2012_09_20/chine-chasseur-J-21/

J'ai pas dit qu'on abandonne les russes on garde toujours les su-30/35 comme épine dorsale mais si les chinois peuvent nous apporter un transfert de technologie sérieux et dans tous les domaines, missiles, composants etc.. faut tenter le coup c'est ce dont on a besoin, plus tard on développera nos propres missiles, composants etc.. et on aura une grande expérience, on pourra travailler en partenariat avec l’Europe, la Russie ou autre comme le fait l'Inde, le Brésil, etc.. mais il faut deja les bases, il nous faut quelque chose qui accroche car pour travailler en partenariat il faut avoir un certain savoir et nous on n'a pas grand chose et vu le prix on pourra en prendre quelques uns si les chinois acceptent un transfert de plus comme ils dépendent de certaines choses russes on pourrait se fournir chez les russes comme chez les chinois.

C TROP TARD JE PENSSE QUN PAYS QUI DEVELOPE DEUX CHASSEURE DE GENERATIONE 5 NA PAS BESOIN DINVESTISSEMENT IL FALLAIT C REVEILLER AVENT LA JE PENSSE C TROP TARD

non ce que je veux dire c'est prendre quelque chasseur chinois si bien sur il accepte un transfert de technologie même si il on pas besoin d'argent (on a toujours besoin d'argent )on représente un endroit stratégique pour eu et un bon moyen de commerce et nos richesse aussi oublier pas sa celui qui a un marché aussi important que l'aviation doit avoir une confiance de la part d’Alger et sa facilitera les investissement il acception mieux celui qui nous a fourni les avions qu’un autre qui a refuser tu voie les chinois on beaucoup a nous apprendre o aura toute les base de l’aéronautique on sera on mesure de fabriqué des composant et a tat de chose une coopération diversifier dans ce domaine avec l’Allemagne et la chine me parait plus juste sauf bien sur si on arrive a arracher sa de la Russie avec poutine qui sais si il nous a fait une telle offre il sais très bien que a l'avenir on jouera un grand rôle stratégique et économique

La Chine présente le drone Yilong
Dossier: Airshow China 2012

Citation :

La Chine a présenté au public son drone Yilong dont le coût, estimé à près d'un million de dollars, est considérablement inférieur à celui des avions sans pilote américains et israéliens, annoncent mercredi les médias chinois.

Conçu et développé par l'Institut de l'aviation de Chengdu, le drone a réalisé son premier vol d'essai en 2008. Jusqu'à présent, le public n'a vu que ses modèles réduits. Mardi, le drone Yilong a été présenté au grand public lors du Salon de l'aéronautique et de l'espace Airshow China 2012 de Zhuhai.

Le drone mesure 9,34 m de long, son envergure d'aile est de 14 m. Pesant légèrement plus d'une tonne, il est capable de s'acquitter de missions à une altitude de 5.300 m. Le drone possède une autonomie de vol de 4.000 kilomètres.

http://fr.rian.ru/defense/20121114/196613488.html

tan qu’il fait de la reconnaissance et qu’il attaque on devrait négocier vu qu'on cherche à tout prix un drone

Chine: premier atterrissage réussi sur un porte-avions
Publié le 25/11/2012

Citation :

La Chine a annoncé dimanche avoir effectué avec succès le premier atterrissage d'un avion de combat sur son porte-avions récemment mis en service, un geste destiné à asseoir un peu plus sa puissance militaire dans la région, sur fond de tensions territoriales avec ses voisins.



L'avion, un chasseur-bombardier Shenyang J-15, version chinoise de l'avion de chasse russe Sukhoï Su-33, a atterri avec succès sur le pont du "Liaoning", le premier porte-avions chinois officiellement admis au service actif le 25 septembre dernier, a indiqué dimanche le ministère de la Défense.

"Un atterrissage réussi (...) a toujours été vu comme le symbole de la capacité opérationnelle de combat d'un porte-avions", a déclaré à la télévision publique Zhang Junshe, vice-directeur de l'Institut militaire de recherche des affaires maritimes. "C'est une étape importante pour le porte-avions chinois (...) et cela le rapproche de la capacité à combattre".

Des images vidéo diffusées par la China Central Television montrent un crochet à l'arrière du J-15 qui attrape un câble sur le pont du porte-avions, alors que l'avion atterrit puis s'immobilise.

C'est la première fois que la Chine est vue en train d'utiliser cette technique d'atterrissage.

Depuis la mise en service du navire, l'équipage a procédé à une centaine d'entraînements et de programmes de test, a ajouté le ministère de la Défense.

Le Liaoning a été construit à partir de la coque du Varyag, un porte-avions de 67.000 tonnes de la classe Amiral Kouznetsov destiné à la Marine soviétique, mais dont la construction avait été interrompue par la chute de l'URSS en 1991. La coque a été rachetée en 1998 à l'Ukraine, puis rénovée pendant des années dans le chantier naval de Dalian.

Les essais autour du Liaoning interviennent dans un contexte de fortes tensions territoriales en mer de Chine orientale avec le Japon, alimentées par la décision de Tokyo de nationaliser un petit archipel en mer de Chine orientale revendiqué par les deux géants asiatiques.

Pékin revendique également des îles et îlots, en mer de Chine du Sud, réclamés par les Philippines ou le Vietnam.

http://www.lepoint.fr/monde/chine-premier-atterrissage-reussi-sur-un-porte-avions-25-11-2012-1533275_24.php

bravo au chinois il on fait d’énorme progrès