Actualités Politiques

@Faty, je pense très simplement que parfois il ne faut pas chercher loin pour trouver des réponses à ce genre de question. Peut-être que c'est seulement dû à paresse du webmaster ou au complexe de celui qui lui aurait conseillé ce serveur croyant qu'il sera ainsi mieux ..."servi"

Ceci dit, cela n'empêche pas qu'il y ait par ailleurs des combines et des complicités pour continuer à piller nos richesses naturelles et à asseoir notre dépendance à l'égard des hydrcocarbures et de l'import-import

tu as raison c est pure spéculation je ne suis dans aucune décision aucun secret .mais il faut admettre qu il y a quelque chose qui cloche hèbergè le site du ministère a l étranger ça fait désorde.
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en plus le site c est une vrai mine d or des revues des plans de mines et hydrocarbure
http://www.mem-algeria.org/francais/index.php?page=450

Colonel Noureddine Amrani au Centre de recherche stratégique et sécuritaire : La parole est aux historiens

Citation :

«Il appartient aux historiens, législateurs et juristes algériens de rester vigilants
et d’éviter de s’aligner aux expressions de certaines lois mémorielles qui falsifient
l’histoire de notre Révolution», fait savoir l’expert.

«Il appartient aux historiens, législateurs et juristes
algériens de rester vigilants et d’éviter de s’aligner aux expressions
de certaines lois mémorielles qui falsifient l’histoire de notre
Révolution», fait savoir l’expert.

Citation :

Guerre d’Algérie, un terme à bannir. A ne plus utiliser. «L’unique
objectif de la France coloniale, inventrice de ce vocable, est de se
tailler une histoire sur mesure.» C’est la conclusion à laquelle a
abouti, hier, le colonel Noureddine Amrani, auteur d’une communication
intitulée : «La révolution algérienne… le droit de vérité interpelle la
France». Pour l’orateur qui s’est exprimé au Centre de recherche
stratégique et sécuritaire, il s’agit d’«une révolution et d’une lutte
armée».
Explicite, il souligne que cette «guerre», comme les Français
continuent à l’appeler, n’a «ni nature, ni inscription dans le temps, ni
buts, encore moins de légitimité». M. Amrani a lancé un impérieux appel
à l’élite algérienne, appelée à constituer un rempart devant toute
velléité française. «Il appartient aux historiens, législateurs et
juristes algériens de rester vigilants et d’éviter de s’aligner aux
expressions de certaines lois mémorielles qui falsifient l’histoire de
notre Révolution», fait savoir le conférencier.
«La France qui a envahi l’Algérie sans aucune déclaration de guerre a
buté, selon M. Amrani, contre une résistance farouche de la part de
l’Organisation secrète, du Comité révolutionnaire d’unité et d’action et
enfin du Front de libération nationale.» Au sein du FLN, les militants
s’étaient convergés pour «être plus efficaces». Mieux, ils ont décidé
«de déclencher la lutte armée pour retrouver l’indépendance du pays»,
a-t-il tenu à spécifier.
Retraçant minutieusement les différentes étapes de la Révolution
algérienne et les dépassements illégaux commis par la France coloniale,
l’orateur s’arrête sur la loi 99/82 adoptée en 1999 pendant le
quinquennat de Jacques Chirac. Cette loi considère tout ce qui s’est
passé entre 1954 et 1962 comme «évènements d’Algérie», alors que dans
son contenu, elle parle d’«opérations d’Afrique du Nord». Sans valeur,
cette loi est, aux yeux du conférencier, «un trou dans l’histoire de la
France».
De 1830 à 1962, la colonisation de l’Algérie «mérite un regard très
précis». Enchaînant, l’orateur rappelle que cette période a été,
notamment, marquée par des «razzias, des déportations de tribus
complètes et des exécutions sommaires». Autre reproche fait par le
colonel Amrani à la France coloniale, «le code d’indigénat et toutes les
non-sens qu’il inclut».
Auteur d’autant de pratiques ignominieuses, la France ne «voulait
reconnaître ni la guerre ni l’histoire». Pendant qu’elle cumule les
incohérences, la diplomatie et la politique algériennes, soutient l’hôte
du CRSS, «ont été à la hauteur de l’engagement du peuple».
Dans cette optique, il souligne que le souci de l’Etat français «est de
satisfaire une reconnaissance pour ses services rendus et de
s’interdire de s’avouer objectivement son déni de vérité. «Le french
paradoxe réside dans l’adoption d’une seconde loi sans abroger la
première. L’histoire en jugera.» Malgré le recours à des méthodes
condamnables et dévastatrices, «la France n’est pas parvenue à contenir
l’élan du peuple algérien vers la liberté», a enfin soutenu le
conférencier.
Fouad IRNATENE

http://www.elmoudjahid.com/fr/actualites/26689

http://www.elmoudjahid.com/pdf-politis/3


pseudo révolution

"art" du manimment des peuples

pseudo révolutions

ne nous faisons pas berner

Il manquait une revue d'analyse géopolitique en Algérie. C'est bien qu' El Moudjahid ait pensé à faire ce mensuel. Espérons que d'autres suivront pour permettre un meilleur éclairage de l'opinion publique nationale. La guerre pour l'indépendance, la souveraineté nationale et le développement se mène avant tout sur le terrain de l'info et des idées. Les grandes puissances avec leurs centres spécialisés consacrent des milliards de dollars à la guerre médiatique. En plus, elles peuvent compter maintenant sur les chaînes des pétromonarchies réactionnaires du Golfe qui ciblent particulièrement notre pays

dommage que nous n'ayons pas les autres numéros
si quelqu un pourrai y remédier

Comme on pouvait s'y attendre, la mission des observateurs européens en Algérie pour la surveillance des législatives a commencé à chercher les problèmes. Elle demande à consulter le fichier national alors qu'elle pouvait consulter les fichiers de toutes les wilayas et s'arroge le droit de remettre en question des choses qui sont pourtant prévues dans la loi algérienne comme le délai de recours de 72 heures. Pire, elle se permet de mettre en cause le le vote des 30 000 militaires inscrits dans la wilaya de Tindouf en arguant qu'ils vont participer à l'élection des députés de cette wilaya alors qu'ils n'en sont pas des résidents permanents alors que la loi algérienne stipule que le mandat de député est un mandat national ( nous retrouvons d'ailleurs la même recommandation dans la plupart des pays européens)...Vigilance, vigilance.

Citation :

Législatives: Les réponses algériennes aux réserves des observateurs européens

Une source informée, au ministère des Affaires étrangères, a répondu, ce mardi 8 mai via l’agence officielle APS, aux "réserves" formulées par les observateurs européens. La source de l’APS a répondu sur l’accès au fichier électoral et le déroulement des opérations de dépouillement. Elle ne s’est cependant pas prononcée sur le cas des 30 000 militaires inscrits à Tindouf.

Concernant le refus « qu'auraient notifié les autorités algériennes à la demande de la mission d'observation européenne d'avoir accès au fichier électoral national, un courrier officiel a été adressé au chef de la mission d'observation européenne par l'autorité compétente par lequel elle lui a réitéré la volonté de l'État de mettre en place toutes les conditions nécessaires au déroulement du scrutin selon les standards et critères internationalement admis en la matière », a précisé cette source à l’APS.

« C'est ainsi, souligne‑t‑elle, qu'outre le fait que cette présentation des faits est inexacte, elle omet de mentionner que les observateurs sont autorisés à accéder au fichier électoral de toutes les wilayas, étant entendu que le fichier national, outre des données électorales, renferme des données personnelles et confidentielles que la loi algérienne interdit de communiquer à l'instar des législations en vigueur dans de nombreux pays à travers le monde ».

« Deuxièmement, dans le souci de renforcer la transparence du processus électoral et de mettre en place toutes les garanties nécessaires au bon déroulement du scrutin, elle a fait part de l'autorisation accordée par les autorités algériennes aux observateurs internationaux d'assister aux travaux des commissions électorales de consolidation des résultats au niveau des wilayas », ajoute la même source.

« Troisièmement, pour ce qui est du délai de recours fixé à 72 heures accordé aux partis politiques, il y a lieu de préciser qu'il s'agit là d'une disposition de la loi algérienne qui s'impose à tous les participants aux élections, y compris la mission des observateurs qui s'est engagée à mettre en œuvre son mandat conformément aux lois en vigueur en Algérie », a précisé la source de l’APS.

« Quatrièmement, le jour du scrutin et à l'issue des opérations électorales, la copie des procès‑verbaux de centralisation des résultats dressés par les commissions électorales de wilaya sera remise aux observateurs internationaux », explique encore la même source. Avant de conclure : « la mission d'observation européenne, comme les autres missions d'observation et comme cela est spécifiquement mentionné par les mémorandums d'entente conclus avec chacune d'entre elles, doit poursuivre sa tâche avec discernement, impartialité, objectivité et dans la discrétion loin de toute polémique ou surenchère qui peut porter préjudice à la crédibilité de sa mission ».

http://www.tsa-algerie.com/politique/alger-repond-aux-reserves-exprimees-par-les-observateurs-europeens_20640.html

en effet boussouf j avais remarqué cette article et j avais pensée exactement la meme chose .
de toute les manières ils nous chercheront toujours des poux

A propos d'election Yasmina Khadra lance quelques fleches ?

Citation :

Quel est ce pays arabe qui a payé plus cher son droit au respect? Les Algériens ont été les premiers à se soulever. C'est un miracle s'ils demeurent encore debout après 50 ans de mensonges, de désillusions, d'incompétence, de médiocrité et d'injustice. Je ne veux pas que la rue bascule de nouveau dans la violence. Elle ne nous réussit pas, la violence. Nous sommes écartelés entre le dégoût et le déni de soi. C'est une situation étrange, insupportable, mais nous espérons éviter le cauchemar de la décennie noire dont les traumatismes nous hantent encore. Il faut que les gouvernants comprennent que le monde a changé, qu'une nation se doit de se renouveler et qu'il est temps de confier aux jeunes générations les rênes de leurs propres destins.

http://www.slateafrique.com/86883/interview-khadra-alg%C3%A9rie-election-legislatives

Yasmina Khadra est peut-être un bon romancier (je n'en sais rien, je ne suis pas compétent en la matière) mais quand il parle politique, il dit beaucoup de conneries. Bien-sûr, il a raison quand il met en garde contre le retour à la violence politique qui ne peut être que destructrice. Mais quand il se permet de résumer les cinquante ans d'indépendance par des qualificiatifs dignes de n'importe quel revanchard colonial aigri, ignorant ainsi les acquis enregistrés par notre pays dans tous les domaines malgré toutes les dérives que nous connaissons, il fait le même raccourci que les populistes intégristes qu'il critique très justement. Par ailleurs, quand il met en garde contre le retour de la violence en généralisant "la violence ne nous réussit pas", c'est très grave parce qu'implicitement, il met sur le même plan la violence intégriste de la décennie 90 et la violence révolutionnaire de 1954-1962 qui nous a permis de nous libérer du colonialisme et cela est inadmissible.

boussouf a écrit:

Yasmina Khadra est peut-être un bon romancier (je n'en sais rien, je ne suis pas compétent en la matière) mais quand il parle politique, il dit beaucoup de conneries. Bien-sûr, il a raison quand il met en garde contre le retour à la violence politique qui ne peut être que destructrice. Mais quand il se permet de résumer les cinquante ans d'indépendance par des qualificiatifs dignes de n'importe quel revanchard colonial aigri, ignorant ainsi les acquis enregistrés par notre pays dans tous les domaines malgré toutes les dérives que nous connaissons, il fait le même raccourci que les populistes intégristes qu'il critique très justement. Par ailleurs, quand il met en garde contre le retour de la violence en généralisant "la violence ne nous réussit pas", c'est très grave parce qu'implicitement, il met sur le même plan la violence intégriste de la décennie 90 et la violence révolutionnaire de 1954-1962 qui nous a permis de nous libérer du colonialisme et cela est inadmissible.

J'adhère totalement au commentaire

Article totalement inhabituel de France24. Je n'ai pas souvenir d'articles de presse française ou étrangère (ou même de presse locale néo colonisée) donnant la parole à ce type d'opinion. Dans les médias étrangers la parole est systématiquement donnée au partisans de la sinistrose.
Les bras m'en tombent , vraiment étrange...

Les électeurs algériens partagés entre résignation et optimisme

http://www.france24.com/fr/20120509-algerie-elections-legislatives-10-mai-electeurs-algeriens-vote-bouteflika-alger-chomage-jeunes-fraude


quelques extraits :

Citation :

Il estime que l’État fait ce qu’il peut, même s’ il n’est pas parfait, car l’Algérie ne profite pas assez de son potentiel humain et de ses immenses richesses. "Le pays est un très grand chantier qui se construit, on aurait pu se développer beaucoup plus, c’est vrai, mais l’essentiel est de croire et d’avancer pour revenir en force, et c’est ce qui est en train de se passer". Et de conclure : "Dans la classe politique, il y a ceux qui travaillent et ceux qui sont corrompus, ceux qui se sacrifient pour le pays et ceux qui font du business, les électeurs doivent se prononcer sur ce seul critère".

Citation :

À 38 ans, elle dirige une école spécialisée dans l’audiovisuel à Tizi Ouzou, en Kabylie. Un projet qu'elle a pu concrétiser grâce à un microcrédit octroyé par l’État. "Malgré les problèmes quotidiens, il faut reconnaître que certaines facilités existent dans le pays, qui a un gros potentiel", concède-t-elle.

Citation :

Mais interrogée sur les enjeux des législatives, elle renvoie dos à dos les électeurs et les hommes politiques algériens. "Il y a un problème de civisme dans le pays, les gens se plaignent de la fraude mais ils ne font rien contre ce phénomène qui ne peut être éradiqué que par une prise de conscience collective et citoyenne, poursuit-elle. Ils critiquent sans cesse leurs élus, ce qui ne les empêche pas de revoter par opportunisme en leur faveur à chaque élection". Par conséquent, Fatiha affirme s’attendre à ce que ce scenario se répète le 10 mai. "Le courant ne passe pas entre la classe politique et la population à cause d’un manque de communication et des excès de bureaucratie. Il ne faut plus gérer le pays avec des méthodes vieilles de dix ans" constate-t-elle

faty a écrit:

en effet boussouf j avais remarqué cette article et j avais pensée exactement la meme chose .
de toute les manières ils nous chercheront toujours des poux

A mon humble avis, la déclaration des observateurs est de la surenchère
Ils veulent autre choses que le fichier national..mais va savoir quoi
C'est la lecture que je fais..

La vigilance est hautement recommandable à ce stade..il ne manquerait plus qu'on vote pour les observateurs

Cette caricature relevée d'un site français et parait-il publiée par un journal algerien , on ne sait pas lequel ?!
Apres tout et ironiquement , les etrangers disent baser leur vision de la mauvaise image de l'Algerie en feuilletant uniquement des journaux locaux !!

@philipides, oui, effectivement, il s'agit d'un article inhabituel si on compare avec la prose qu'on lit habituellement s'agissant de notre pays. Cela signifie qu'il y a des journalistes honnêtes qui font correctement leut boulot et qui peuvent être sensibles à d'autres arguments. Raison de plus pour que les patriotes se mobilisent plus et mieux sur ce terrain médiatique qui constitue aujourd'hui un des champs de bataille majeurs de la nouvelle guerre planétaire.

@habiban, tu as raison, beaucoup de stéréotypes véhiculés par les chancelleries occidentales et les médias occidentaux proviennent -hélas- de certains médias "nationaux" qui sont connus et qui utilisent le chantage à l'"opposionnite" pour bénéficier de la manne publicitaire de l'ANEP Un jour, il faudra bien constituer des dossiers solides sur ces pratiques et les dénoncer publiquement en attendant qu'il y ait une Justice indépendante qui fait son travail dans notre pays.

35% à 17h30, les 40% sont jouables et même un peu plus . Il y a encore des gens qui vote après 19h, l'ouverture des bureaux de vote de 534 communes prolongée jusqu'à 20h , conformément à la loi électorales.

Analyse à chaud :


A titre de comparaison , au Maroc il y avait 13,6 millions d'inscrits lors des dernières législatives contre 21,7 millions d'inscrits en Algérie.

Si l'on prend les chiffres de l'ONU de 2010 de la population et la population par tranche d'age , nous avons

En Algérie :

35,468 millions d'habitant dont 22 millions ont plus de 20 ans , si on rajoute 3 millions pour prendre en compte ceux qui ont 18 et 19 ans ( je n'ai que les tranches d'age par 5 ans d'intervalle), pour tenir compte de la tranche des 15-19 ans , moins ceux qui ont 17 ans aujourd'hui en 2012 , moins les personne décédée rabi yarhmahoum en 2011 et 2012

Donc à 40% , nous aurons 8,64 millions de votants (21,6*0,40), qui représente 35% de la population en age de voté


Au Maroc :

Population de 31,951 millions d'habitant , dont 20 milliosn ont plus de 20 ans, si de la même manière on rajoutte 2,5 millions pour prendre en compte ceux qui ont 18 et 19 ans , et ceux qui les ont atteint depuis 2010 , moins ceux dans la tranche des 15-19 ans qui n'ont pas atteint l'age de voter , et qui avait 17 ans le jour du vote, moins les personnes décédées rabi yarhmhoum, en 2011 et 2012

Donc avec le taux annoncé de 45% de taux de participation , nous aurons 6,12 millions (13,6 *0,45), qui représente 27% de la population en age de voté


Pour la Tunisie

Nombre de votants lors de la constituante 3,7 millions , populations totale 10,48 millions dont avec la même méthode que plus haut de 8,8 de personne en age de voter. Et donc en divisant les votants sur le ce chiffre nous obtenons : 42% de particpation de la population en age de voter.

Je ferais plus tard le calcul pour l'Egypte.

Pour conclure avec l'hypothèse de 40% de taux de participation en Algérie cela correspond à 35% de la population en age de voter soit quasiment la moyenne entre le même indicateur pour le Maroc (27%) et la Tunisie (42%), qui donne 34,5%. Je trouve que ce n'est pas si mal , même si Kaci M a raison , une grande partie de la presse locale et celle étrangère va crier au taux de participation catastrophique, mais est ce si important ? Ça fait tout de même plus d'une année qu'ils appellent sans cesse à ce que nous suivions le beau modèle libyen , sans résultat. Et pour ce qui est de l'image de l'Algérie ,naif celui qui comptait sur l'amélioration du traitement de l'image de l'Algérie après ce scrutin , même si le taux de participation avait atteint 60%.

Pour l'améliorer numidia nous a présenté de manière magistrale l'importance d'une politique active de communication , et encore les irréductibles de l'algerophobisme , camperons sur leur thèses quoi qu'on fasse, et ils n'arrêteront de le faire que si on se couche , comme les autres larbins de la région, et qu'on leur remet le pays et surtout ses ressources sur un plateau.

A 17h30, le taux de participation à l'échelle nationale était de 34,95%. On se dirige vers un taux de participation inférieur à 50% sauf engouement de dernière heure dans les 500 bureaux de vote qui sont restés ouverts jusqu'à 20 heures. C'est un résultat mitigé qui sera interprété diffféremment suivant les acteurs politiques. Mais une chose est sûre: si on tient compte de la dépolitisation et de la désaffection de la société algérienne -surtout la jeunesse- à l'égard du politique en général et de la classe politique en particulier, ce résultat est loin d'être catastrophique.

Les médias occidentaux-surtout français- ainsi que ceux du Golfe et leurs succédanés chez nous, ne vont pas rater l'occasion pour distiller leur propagande venimeuse contre l'Algérie dans le but de porter atteindre à la stabilité et à la paix civile dans notre pays. On connaît le refrain. Si la participation est bonne, c'est qu'il y a eu fraude. Si la partcipation est faible, c'est la preuve du rejet de l'Etat par le peuple

Il n'empêche que les patriotes algériens se doivent de débattre sereinement sur les voies et moyens à mettre en oeuvre pour réconcilier les citoyens algériens et surtout les jEunes avec le politique. Attendons donc les résultats défintifs pour en tirer tous les enseignements.

Citation :

Le taux de participation aux élections législatives au niveau national a atteint 34,95 % à 17h30, a annoncé jeudi à Alger le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, M. Daho Ould Kablia. Le taux de participation aux législatives 2012 était de 04,11% à 10h00, 15,50 % à 12h00 et de 27,04% à 15h30.
APS

]

@ Boussouf même l'AFP n'ose pas dire que le taux est catastrophique , c'est dire ....

Citation :

Algérie: participation en hausse

Les Algériens se sont rendus jeudi aux urnes pour élire leurs députés, lors de la première élection organisée dans la foulée du Printemps arabe, avec un taux de participation qui promettait en fin d'après-midi d'être supérieur à celui du dernier scrutin de 2007.

Le taux de participation aux élections législatives en Algérie atteignait 34,95% à 17H30 (16h30 GMT), a annoncé le ministre de l'Intérieur Daho Ould Kablia. Le taux rapporté par l'AFP en 2007, citant des sources officielles, atteignait à 17H00 locales 28,39%.

Le président Abdelaziz Bouteflika avait pressé à plusieurs reprises, dont mardi après-midi, la population et en particulier les jeunes à voter massivement. La presse officielle lui avait emboîté le pas et toute la journée des appels retransmis à la radio et à la télévision exhortaient les 21,6 millions d'électeurs à accomplir leur devoir électoral.

Pari apparemment tenu, le ministre de l'Intérieur a indiqué en fin d'après-midi que dans au moins 18 départements, le taux de participation avait dépassé les 40% et dans d'autres ce taux avait même été supérieur à 50%, surtout dans le sud du pays.

Dans le tiers des communes - 543 sur 1.541 - le vote a été prolongé d'une heure à 20h00 locales, a annoncé le ministre, après leur ouverture à 08hO0 pour ce scrutin à la proportionnelle à un tour destiné à élire 462 députés.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/05/10/97001-20120510FILWWW00786-algerie-participation-en-hausse.php

Donc on s'achemine malgré tout vers les 40% prevu par le sondage publié recement ,cette boite de sondage pointe ainsi vers la notorieté et par consequent les specialistes algeriens sont à la hauteur pour rivaliser avec les europeens,c'est une premiere dans le monde arabe à ma connaissance ?
La desafection etait prevu et à mon avis les electeurs qui se sont abstenus n'ont pas totalement tord de considerer le parlement comme un MACHIN inutile ,juste bon à assurer une renemurération ....extravagante pour une bande d'opportunistes ! Un parlement devant lequel le gouvernement ne vient que juste pour deverser un bavardage inverifiable sur le terrain et dont la cloture des debats ne se terminent jamais par un motion ..en faveur ou contre le gouv? donc les electeurs n' ont pas tenu à se deplacer pour une simple chambre d'enregistrement !Enfin il vaut mieux une election transparente d'ou sortira un parlement dont la legitimité est amoindrie qu'un parlement dont la legitimité est gonflée frauduleusement ?

Effectivement, mieux vaut un taux de 40% honnête qu'un taux de 80% frauduleux. Par ailleurs, si le taux de participation s'avère plus élevé que celui enregistré en 2007, c'est toujours cela de gagné. Maintenant, si on devait en tirer des enseignements politiques, il est important de préciser que dans un régime présidentiel, la désaffection pour les législatives prouve qu'une partie des électeurs inscrits a l'intime conviction que ce vote n'est pas si important puisque le parlement n'est pas LE centre où s'élabore réellement le politique de la nation comme c'est le cas d'un régime parlementaire. Pour un pays qui fait son apprentissage démocratique, ce n'est pas la fin du monde. De vieilles nations démocratiques élisent leurs institutions avec 50% de participation et d'autres nations comme la Belgique n'échappent à ce phénomène qu'en instituant le vote obligatoire à toutes les élections.

Bonsoir! Je pense qu'on dépassera largement les 40%, ce qui est sûr c'est que la participation a été supérieure à celle des élections précédentes! Il reste néanmoins qu'un taux inférieur à 70% dénote une profonde méfiance envers le personnel politique algérien et tout particulièrement envers les députés considérés comme des parasites, bons à rien béni oui oui, qui ne se présentent que pour les multiples avantages de la fonction, qui ne reviennent jamais vers les populations qui les ont élus; la faute évidemment en revient en premier lieu au pouvoir qui justement se satisfait de cette situation!

Le ministre de l'intérieur aurait annoncé un taux de participation de 42,90% selon le quotidien Echorouk. C'est un taux qui laisse la porte ouverte à toutes sortes d'interprétations. On verra maintenant les réactions des différents partis après la publication des résultats définitifs et les gains de chaque parti en termes de sièges dans la future Assemblée.

42,90 c est vraiment peu en plus là ou j ai été voter il y avait 27 listes ça m a paru un peu beaucoup par contre il y avait de l influence pas mal de votant

surAPS 44.38

donc avec 60% des voix le partie des abstentionniste remporte les législatives 2012 (humour noire)
mais bon faire du neuve avec l’ancien ne marche pas les promesses non pas convaincu c'est dommage mais les personnes en haut doivent change de politique (plus de pouvoir a l’exécutive sera pas du luxe)