Les Futurs Drones

Algérie : l'armée veut fabriquer ses propres drones

L'armée nationale populaire (ANP) engagée depuis quelques années dans un processus de modernisation entend fabriquer à terme ses propres drones. C'est du moins ce qu'il a été dévoilé à des journalistes conviés, lundi 12 mai, à une visite au sein de la prestigieuse Ecole militaire polytechnique de Bordj El Bahri, à l'est de la capitale.

Destinés à la lutte contre les feux de forets et à l'usage contre les catastrophes naturelles (tremblements de terre, inondations...), selon les explications d'un officier, ces drones, des quadri-rotors, font l'objet d'une finalisation au sein du laboratoire de robotique de l'école. Les étudiants chercheurs en charge du projet sont actuellement à un stade avancé de l'analyse des réactions en vol et de l'efficacité des caméras embarquées à bord, selon la même source.
Inaugurée en 1947 par les Français, l'Ecole militaire polytechnique formait dans un premier temps des mécaniciens de l'aviation. Depuis 1967, époque ou elle passe sous la tutelle de l'ANP, elle est devenue le vivier de l'armée. Elle forme notamment des ingénieurs dans la mécanique, l'informatique, l'ingénierie électrique et la chimie. Mais au-delà de son rôle de pôle scientifique d'excellence, l'école est réputé pour avoir abrité de grandes réunions d'officiers supérieurs de l'armée et au cours desquelles de grandes décisions pour l'avenir du pays ont été prises. En 1992, c'est là que la décision fut prise de « faire démissionner » l'ex président Chadli Bendjedid après l'éclatante victoire de l'Ex Fis au premier tour.
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Un premier drone algérien (avion sans pilote) a vu le jour dans le laboratoire d’aéronautique et des systèmes propulsifs de la faculté de génie mécanique relevant de l’université des sciences et des technologies d’Oran (USTO).

Cinq équipes de chercheurs spécialisées en aérodynamique, turbulences, motorisation, matériaux et en calcul des structures ont conjugué leurs compétences pour concrétiser ce projet, a-t-on appris en marge du 1er Congrès national de l’aéronautique dont les travaux se sont ouverts hier à l’USTO, en présence d’experts algériens venus du Canada et de la France, en plus de chercheurs et d’universitaires.

Selon le docteur Imine Bachir, responsable du laboratoire, ce drone est le fruit d’un premier projet sur trois programmés, qui a été réalisé dans toutes ses étapes, conception, études et essais aéronautiques. C’est un drone de type HALE (Haute Altitude-Longue Endurance) qui peut voler jusqu’à 7.000 m d’altitude avec une autonomie de 36 heures. Il a une envergure de 2,3 m de long et peut supporter une charge utile de 70 kg, grâce à une puissance de 32 Horse Power.

Ses caractéristiques le rendent idéal pour des fonctions de surveillance, notamment des autoroutes où il peut servir pour la régulation des flux automobiles et la prévention des accidents de la route, entre autres, par l’envoi de photos prises du ciel.

L’utilisation de ce type d’appareils sans pilote peut s’étendre à d’autres domaines, comme la surveillance du littoral ou encore des frontières terrestres, ce qui peut renforcer davantage les dispositifs existants de lutte contre la contrebande ou l’émigration clandestine. La première journée du congrès national de l’aéronautique a été marquée par deux importantes conférences. La première, intitulée «Les drones, un défi scientifique», a été produite par le professeur Benallegue Abdelaziz du laboratoire ingénierie des systèmes de l’université de Versailles (France). La deuxième conférence, intitulée «Certification des structures aéronautiques de la conception préliminaire au service après-vente», a été présentée par Kherrat Abdelkader de Bombardier Aéronautique (Canada).

http://oranmetropole.blogvie.com/2010/11/25/

Naissance du premier Drone Algérien à Oran

Citation :

Un premier drone algérien (avion sans pilote) a vu le jour dans le laboratoire d’aéronautique et des systèmes propulsifs de la faculté de génie mécanique relevant de l’université des sciences et des technologies d’Oran (USTO).

Cinq équipes de chercheurs spécialisées en aérodynamique, turbulences, motorisation, matériaux et en calcul des structures ont conjugué leurs compétences pour concrétiser ce projet, a-t-on appris en marge du 1er Congrès national de l’aéronautique dont les travaux se sont ouverts hier à l’USTO, en présence d’experts algériens venus du Canada et de la France, en plus de chercheurs et d’universitaires.

Selon le docteur Imine Bachir, responsable du laboratoire, ce drone est le fruit d’un premier projet sur trois programmés, qui a été réalisé dans toutes ses étapes, conception, études et essais aéronautiques. C’est un drone de type HALE (Haute Altitude-Longue Endurance) qui peut voler jusqu’à 7.000 m d’altitude avec une autonomie de 36 heures. Il a une envergure de 2,3 m de long et peut supporter une charge utile de 70 kg, grâce à une puissance de 32 Horse Power.

Ses caractéristiques le rendent idéal pour des fonctions de surveillance, notamment des autoroutes où il peut servir pour la régulation des flux automobiles et la prévention des accidents de la route, entre autres, par l’envoi de photos prises du ciel.

L’utilisation de ce type d’appareils sans pilote peut s’étendre à d’autres domaines, comme la surveillance du littoral ou encore des frontières terrestres, ce qui peut renforcer davantage les dispositifs existants de lutte contre la contrebande ou l’émigration clandestine. La première journée du congrès national de l’aéronautique a été marquée par deux importantes conférences. La première, intitulée «Les drones, un défi scientifique», a été produite par le professeur Benallegue Abdelaziz du laboratoire ingénierie des systèmes de l’université de Versailles (France). La deuxième conférence, intitulée «Certification des structures aéronautiques de la conception préliminaire au service après-vente», a été présentée par Kherrat Abdelkader de Bombardier Aéronautique (Canada).

http://oranmetropole.blogvie.com/2010/11/25/naissance-du-premier-drone-algerien-a-oran

yak a écrit:

Naissance du premier Drone Algérien à Oran

Citation :

Un premier drone algérien (avion sans pilote) a vu le jour dans le laboratoire d’aéronautique et des systèmes propulsifs de la faculté de génie mécanique relevant de l’université des sciences et des technologies d’Oran (USTO).

Cinq équipes de chercheurs spécialisées en aérodynamique, turbulences, motorisation, matériaux et en calcul des structures ont conjugué leurs compétences pour concrétiser ce projet, a-t-on appris en marge du 1er Congrès national de l’aéronautique dont les travaux se sont ouverts hier à l’USTO, en présence d’experts algériens venus du Canada et de la France, en plus de chercheurs et d’universitaires.

Selon le docteur Imine Bachir, responsable du laboratoire, ce drone est le fruit d’un premier projet sur trois programmés, qui a été réalisé dans toutes ses étapes, conception, études et essais aéronautiques. C’est un drone de type HALE (Haute Altitude-Longue Endurance) qui peut voler jusqu’à 7.000 m d’altitude avec une autonomie de 36 heures. Il a une envergure de 2,3 m de long et peut supporter une charge utile de 70 kg, grâce à une puissance de 32 Horse Power.

Ses caractéristiques le rendent idéal pour des fonctions de surveillance, notamment des autoroutes où il peut servir pour la régulation des flux automobiles et la prévention des accidents de la route, entre autres, par l’envoi de photos prises du ciel.

L’utilisation de ce type d’appareils sans pilote peut s’étendre à d’autres domaines, comme la surveillance du littoral ou encore des frontières terrestres, ce qui peut renforcer davantage les dispositifs existants de lutte contre la contrebande ou l’émigration clandestine. La première journée du congrès national de l’aéronautique a été marquée par deux importantes conférences. La première, intitulée «Les drones, un défi scientifique», a été produite par le professeur Benallegue Abdelaziz du laboratoire ingénierie des systèmes de l’université de Versailles (France). La deuxième conférence, intitulée «Certification des structures aéronautiques de la conception préliminaire au service après-vente», a été présentée par Kherrat Abdelkader de Bombardier Aéronautique (Canada).

http://oranmetropole.blogvie.com/2010/11/25/naissance-du-premier-drone-algerien-a-oran

ça date de 2010

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la version UAV
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et la version ESP

Seeker UAV develops radar ESP

Citation :

Denel's Kentron UAV division has unveiled a Seeker II unmanned air vehicle (UAV) fitted with the Avitronics developed Electronic Surveillance Payload (ESP). Kentron UAV marketing manager Hein van Tonder says the ESP is capable of identifying emitters in the 0.5-18GHz range, typical frequencies for search, track and fire control radars. The nose-mounted system weighs 16kg (35lb), has a 240° azimuth and 70° elevation field of view. Avitronics is separately marketing the system as the Electronic Locator System.

Van Tonder says ESP will enter service by the end of this year with an export customer, which he declines to name but is thought to be Algeria. The Seeker II platform - due to enter service next year with an unnamed Gulf customer - can carry either the ESP or an optical sensor. Kentron plans to develop the UAV to carry the systems simultaneously.

www.flightglobal.com/articles/2000/09/26/1205...

Le premier avion sans pilote dans le monde arabe (Al Fajer L-10) أول طائرة بدون طيار

alors DOC en ouvre le HAMOUDE ou non

excellent, le voila ce drone made in algeria, felicitations aux concepteurs et techniciens c'est une grande reussite pour notre nation et un bon début, par contre sa manque de serieux, le presenter avec une roue crevé , les perf annoncés ont de quoi faire pallir l'us air force et mettre au rebus le global hawk, c'est un peu risible mais bon, moi j'aimerais maintenant le voir voler et connaitre ses perf reelles et savoir ou le classer (HALE,MALE...)

sa fait enormement plaisir de le voir enfin, il est bien profilé je trouve

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celui la est armée ??

yak a écrit:

Algérie : l'armée veut fabriquer ses propres drones


Destinés à la lutte contre les feux de forets et à l'usage contre les catastrophes naturelles (tremblements de terre, inondations...), [...]
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Non messieurs,

Pour ces missions de lutte, il y'a les hilicoptères et autre canadairs, pour la surveillance des feux de forêts et autres catastrophes naturelles, il y'a les "coucous et autres peepers".

Ce qu'on veut nous,

c'est qu'on nous fabrique des drones armés de missiles qui font mal et même trés mal pour surveiller et assurer la sécurité de nos frontières.

et si nécessaire,

aller loin au delà de ces frontières pour des missions salutaires de ... "barbouzards" [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

yak a écrit:

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celui la est armée ??

Là,

C'est mieux!!![Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

je souris "sous la moustache" de satisfaction...

Comme l'aurait fait Si ... El houari Allah yar7mou ...[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

@Capo, si on arrive à fabriquer un drone de reconnaissance pour un usage civil (feux de forêt et autres catastrophes naturelles) ce serait déjà un progrès technologique intéressant. Un drone de reconniassance et de surveillance pourra toujours servir pour un usage sécuritaire et militaire.

Quant aux drones d'attaque, je pense que ce sera pour une seconde étape et je pense que ce sera en coopération avec un partenaire étranger. Et dans ce domaine, cela m'étonnerait que les Occidentaux accèptent de nous aider à acquérir cette technologie sensible. Les Russes ont un retard dans ce domaine et il ne faut pas trop compter dessus. Il nous reste la piste chinoise qu'il faudrait creuser plus sérieusement.

Très bonne analyse ameell[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Effectivement, la politique de défense doit être élargie à tous les domaines susceptibles d'être utilisés pour affaiblir notre capacité de riposte et de résistance. Un des nouveaux champs de bataille que nous devons maîtriser est celui des de la communication et des médias. On l'a vu avec les évènements du "Printemps arabe" comment Al Jazeera est arrivée à influencer les opinions publiques arabes.

Par ailleurs, pour surveiller de longues frontières comme les nôtres, plus de 6000 km au total, et notre vaste territoire , les drones sont devenus nécessaires. Une brigade spécialisée de l'ANP est en train de maîtriser l'emploi de cette nouvelle arme et j'espère que bientôt nous allons en avoir un plus grand nombre et que nous allons passer à l'étape des drones armés.

effectivement Ameell,

vous avez raison sur ce point en réussisant à joindre les deux constats flagrant en matière de recherche scientifique au service de la Nation; le Politique et sa relation avec et la Science.

des prototypes de drones sont à l'études depuis près de Dix ans que ce soit au niveau Civil ou militaire, tout les ingénieurs et chercheurs en Aéronautique que j'ai rencontré sont unanimes ; les pouvoirs politiques sont absent de la scène des défis technologiques, que ce soit en aéronautique, en nouvelles technologie de l'information et de la communication (NTIC), ou dans la recherche fondamentale.

trop absorbés qu'ils sont dans les chamaillerie politiques, ils "oublient" la fonction de leurs mandats politique, anticipé, manager, subventionner financiérement des "programmes stratégiques".

hélas....... !!!!!!! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Une vidéo sur le premier drone made in Algeria, le CCS-01

Yilong, c'est le dernier drone chinois. Il a été développé par
l'Institut de conception en aéronautique de Chengdu pour un usage civil
et militaire à basse altitude, avec une totale autonomie au décollage, à
l'atterrissage et en vol. Il est très efficace pour des cibles de
petites et moyennes tailles. Yilong a récemment effectué un total de
huit démonstrations de vol à l'étranger, qui furent toutes un réel
succès.

sinon vous en pensez quoi de ce drone? A mon avis, il doit avoir des composants israëliens [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] S'il y en a pas ça peut être un bon coup à jouer.