Armée Française

moué yé pas mâle comme comme c'est Renault il doit pas être puissant

Rebell a écrit:

moué yé pas mâle comme comme c'est Renault il doit pas être puissant

Renault truck défense rien à voir avec une twingo

c'est trop risqué de faire confiance

Rebell a écrit:

c'est trop risqué de faire confiance

Non mais c'est Renault truck defense,rien à voir avec les voitures,le Vab est de Renault truck défense..

il a pas exploser tout seul?

Rebell a écrit:

il a pas exploser tout seul?

De quoi

le véhicule :p

Rebell a écrit:

le véhicule :p

Non Mais t'inquiète c'est de qualité Mais moi je pense et je crois que c'est le Nexer xp2 qui va être choisis



Non sérieux il est pas beau?

J'ai oublié de rajouter que l'état major a exigée que le remplacent du Vab doit avoir Obligatoirement une tourelle télé opérée..

le XP2 est plus esthétique que le AMC de renault

rimonidz a écrit:

le XP2 est plus esthétique que le AMC de renault

En effet mais le Renault Amc est quand même beau il a un "design futurif"



Mais je trouve plus beau le nexter xp2,il ressemble vachement au VBCI

Mais on verras bien qui seras choisi En tout cas c'est un contrat de plus de 2500 blindés qui est en jeux alors les industriels vont mettre le paquet.. mais il faut voir leur capacités pas seulement leur esthétique


Mais je le redit on verras bien

rien que le mot Renault me fait peur

Bon bah le nexter xp9 alors? Nexter te fait peur aussi?

je préfère tout ce qui et allemand ^^

Rebell a écrit:

je préfère tout ce qui et allemand ^^

La France n'achèteras jamais de blindés allemand..

oui je sais mais je parle d'un point de vue personnelle je préfère le matériel allemand

Chacun son avis.

Je préfère ça à du Made In china,je préfère le Made In france!! Nexter xp2

mdrr pour les français oui mais a la vente je memefie du matos français

Citation :

Le
général Guillaume Gelée, commandant les forces aériennes, a rendu
visite à son homologue allemand, le général Peter Schelzig, à l’occasion
des 50 ans du Traité de l’Elysée.

Les deux hommes se sont retrouvés à Nörvenich, siège du 31ème escadron de chasseurs-bombardiers « Boelcke », qui a d’ailleurs réceptionné la semaine dernière le 100ème Eurofighter de la Luftwaffe.

Le point d’orgue de cette visite de deux jours : Le vol en place arrière
sur Rafale du général Schelzig, pendant que le général Gelée prenait
place à l’arrière d’un Eurofighter.

Coup de massue en vue pour le budget de la défense française

Citation :

La défense française doit s'attendre à de nouvelles coupes budgétaires, soulevant la crainte, pour une armée qui s'illustre au Mali, de ne plus pouvoir accomplir certaines de ses missions.
Tous les groupes politiques du Sénat, à l'exception des écologistes, menacent de ne pas voter le prochain budget de la défense s'il passait sous la barre des 1,5% de PIB, soit environ le budget actuel, de l'ordre de 30 milliards d'euros.
"Le seuil en deçà duquel il ne faut pas descendre est de 1,5% du PIB", a déclaré mercredi le président socialiste de la commission des affaires étrangères et de la défense du Sénat, Jean-Louis Carrère.
Le nouveau "Livre blanc" qui définit la stratégie de la France en matière de défense et de sécurité nationale sera publié avant la fin du mois, peut-être même dès la semaine prochaine. Si le document lui-même ne donne pas d'indications en termes d'enveloppe et de trajectoire budgétaires, il servira de base à la loi de programmation militaire que François Hollande doit présenter avant l'été.
Si cette loi prévoyait pour l'armée un budget inférieur à 1,5% du PIB, hypothèse probable en ces temps de restriction tous azimuts, "il n'est pas sûr que nous la voterions", a dit Jean-Louis Carrère, en précisant que le groupe écologiste ne s'associait pas à cette démarche commune des sénateurs.
La contribution du ministère de la Défense aux cinq milliards d'économies supplémentaires réclamées la semaine dernière à son gouvernement par Jean-Marc Ayrault pour 2014 devrait être d'un milliard d'euros, a dit le sénateur des Landes lors d'une conférence de presse.
SOUS LA NORME DE L'OTAN
Traditionnelle variable d'ajustement en temps de crise, le budget de la défense a l'habitude de souffrir. Il est passé depuis longtemps sous le seuil des 2% de PIB, considéré par l'Otan comme la norme minimale pour permettre à un pays d'assurer sa souveraineté.
"Non seulement la défense n'est pas une priorité mais, à l'heure où des économies sont recherchées partout, elle est clairement dans le collimateur parce que c'est facile de tailler dans le budget militaire", résume un ancien haut responsable militaire français.
Le précédent Livre blanc, paru en 2008 sous Nicolas Sarkozy, a débouché sur la loi de programmation militaire 2009-2014, de laquelle la Cour des comptes a dressé en juillet dernier un bilan à mi-parcours fort inquiétant.
La Cour a constaté un écart négatif d'1,89 milliard d'euros à la fin 2011 par rapport aux économies drastiques réclamées par le texte et prédit que cet écart dépasserait les quatre milliards fin 2013.
L'actuelle loi de programmation exige notamment la suppression de 54.000 emplois entre 2008 et 2015 mais de nouvelles économies seront demandées à l'armée et affecteront nécessairement des programmes d'armement, dont certains devront étalés dans le temps et d'autres supprimés.
Or la Cour, qui a suggéré à l'armée de commencer par réduire une masse salariale ayant augmenté malgré la diminution des effectifs, a prévenu que des économies affectant le fonctionnement opérationnel des armées pourraient les empêcher de remplir correctement certaines de leurs missions.
LACUNES
Pour Jean-Louis Carrère, le point de rupture est proche.
"Je suis convaincu que notre sécurité serait compromise si les mesures de réduction de l'effort de défense qui sont envisagées étaient adoptées", a-t-il dit.
En attendant les arbitrages de François Hollande, le ministère des Finances travaille sur plusieurs scénarios, dont le plus pessimiste verrait l'effort de défense passer de 1,56% du PIB en 2011 à 1,1% en 2025, disent les sénateurs.
"Si on laisse faire Bercy, dans 20 ans, il n'y a plus de défense en France", s'inquiète un sénateur UMP.
Si les trois armes sont concernées, c'est bien dans l'armée de terre que les craintes sont les plus profondes, parce qu'elle est la plus touchée par les réductions de personnels et la disparition de sites mais aussi parce que le type de guerre pour laquelle elle est conçue n'a plus la cote auprès des politiques et de l'opinion.
De réels succès en Libye et en Côte d'Ivoire mais surtout l'opération au Mali ont quelque peu changé la donne, écornant le cliché de la "guerre à zéro mort" et montrant que la France pouvait encore pénétrer en premier, par une intervention terrestre, sur un théâtre d'opérations.
L'opération Serval a aussi révélé les lacunes de l'outil militaire français, notamment en termes de transport aérien, de ravitaillement en vol, d'avions de surveillance sans pilote (drones) et de renseignement.
Tout cela ne suffira pas, cependant, à éviter à l'armée de devoir se serrer encore la ceinture. Comme il n'est pas question de toucher à la dissuasion nucléaire, dont le coût annuel est de l'ordre de 3,5 milliards d'euros, il faudra bien trancher dans le vif.
Edité par Yves Clarisse

http://fr.news.yahoo.com/coup-massue-en-vue-pour-le-budget-la-174019823.html

Une centre vital pour la défense aérienne française, à découvrir en images () malgré que cela date de l'année passée.

Citation :

Mise à jour : 09/03/2012 17:59



Le 8 mars 2012, l’amiral Édouard Guillaud, chef d’état-major des armées (CEMA), a visité pour la première fois la base aérienne de Lyon Mont-Verdun, en compagnie du général Jean-Paul Paloméros, chef d’état-major de l’armée de l’air (CEMAA).

Au cours de cette journée, le CEMA et le CEMAA se sont rendus au sein de la brigade des opérations aériennes (BAO), pilier lyonnais du commandement de la défense aérienne et des opérations aériennes (CDAOA).

La BAO se compose de trois grandes unités :

• le centre national des opérations aériennes,
  le centre d’analyse et de simulation pour la préparation aux opérations aériennes
  le Joint Force Air Component Command (JFACC, commandement de la composante aérienne des forces interarmées).
  
  

D’ici deux ans, l’effectif de ce commandement passera d’environ 250 personnes à près de 500 », a annoncé le général Rameau.

L’année 2014 marquera également une étape cruciale pour la base aérienne de Lyon avec la mise en service du système Otan ACCS (Air Command and Control System – système de commandement et de contrôle aérien) transformant les centres de détection et de contrôle en Air Control Center (centre de contrôle aérien). À cette fin, la future salle de conduite des opérations aériennes en cours d’aménagement a été présentée à l’amiral Guillaud et au général Paloméros.

source : http://www.defense.gouv.fr/ema/actualite/cema-visite-a-la-brigade-aerienne-des-operations

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tres belles photos

yak a écrit:

tres belles photos