Actualités Economiques

le soutien des us contre les haloufes est venu après le 11 11 2001
pour les bons du trésor ca doit etre un coup de la bande a chekibe

oui tout a fait le 11.09.01 a joué un role majeur la visite de boutef aussi et par l intermédiaire de Chekibe aussi(c'est a la meme période)

en faites nous avons 50 milliards bon du tresor US par contre le calendrier pour les revendre a terme je ne sais pas quand nous les avons acheté disons 2001 alors le terme c est 5-10-15ans?

et 75 milliards bon du trésor europeen jusqu a quand ?


peut etre le fmi combien ?



125 milliards de dollars c est vraiment énorme quand on connait les besoins et les sacrifices des citoyens espérons qu il ne soit pas perdu!!!

Une nouvelle économique qui peut être différemment lue. D'un côté, c'est une bonne nouvelle dans la mesure où un groupe spécialisé dans les matériaux de construction renforce sa présence en Algérie et va contribuer par son investissement à l'augmentation de la production de ciment. Comme il va le faire en partenariat avec un privé algérien, on peut espérer un transfert de savoir-faire intéressant. D'un autre côté, il s'agit d'un groupe français qui va de fait renforcer la présence économique et politique française en Algérie, ce qui pourrait poser problème.

Citation :

Il réalisera deux nouvelles cimenteries avec le groupe privé algérien


Investissements étrangers : Ahmed Ouyahia réhabilite le français Lafarge


Après avoir été malmené pendant plusieurs années à cause du dossier Orascom Cement, le français Lafarge semble revenir dans les bonnes grâces du gouvernement algérien. Le groupe privé algérien de matériaux de construction Sagremac vient de défaire son accord avec le saoudien Swicorp pour s’associer avec le cimentier dans un grand projet : la réalisation de deux cimenteries à Biskra et Oum El Bouaghi, d’une capacité totale de quatre millions de tonnes par an.

Selon des documents officiels obtenus par TSA (voir image), le premier ministre Ahmed Ouyahia a donné, le 5 avril, une suite favorable à la requête présentée par Sagremac pour la conclusion d’un avenant à la convention conclue avec l’Agence nationale de développement de l’investissement (Andi) pour modifier l’actionnariat de la cimenterie de Biskra, en raison de « l’évolution négative de ses relations avec Swicorp ».


« S’agissant d’un changement de partenariat extérieur, qui est du ressort du promoteur du projet, et dans la mesure où cette nouvelle association respectera les clauses législatives pertinentes en vigueur, j’ai l’honneur de vous charger d’indiquer à M. Le directeur général de l’Andi que cette agence est autorisée à conclure l’avenant sollicité par la société Sagremac », écrit Ouyahia dans une correspondance adressée à Mohamed Benmeradi, ministre de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’investissement. Le Premier ministre a expliqué dans sa lettre qu’il a été saisi par Sogremac d’un recours « en sa capacité de Président du Conseil national de l’investissement (CNI) ».

Sagremac a saisi Ahmed Ouyahia le 31 mars. Dans sa lettre, le groupe privé justifie son divorce d’avec Swicorp « par les propos injurieux tenus par le groupe envers notre pays ». Aucun autre détail sur ces propos n’a été mentionné dans la correspondance signée par le gérant de la société. Contacté par TSA, le gérant de Sagremac a refusé de donner des explications.



Sogremac prend 51 % du capital de la cimenterie Lafarge d’Oum El Bouaghi


En échange de son entrée dans le capital de la cimenterie de Biskra, Lafarge a accepté de céder à son partenaire algérien 51 % de la cimenterie qu’il devait réaliser en partenariat avec le groupe public GICA à Sigus, près d’Oum El Bouaghi. « Dans notre stratégie de partenariat avec Lafarge, nous avons exigé que leur participation dans notre société soit conditionnée par notre introduction dans leur projet de réalisation de la cimenterie localisée à Sigus en détenant 51 % du capital de cette dernière », écrit le gérant de Sagremac. Ce dernier précise dans sa correspondance que le nouveau partenaire est bien le groupe Lafarge de droit français et non ACC, la filiale algérienne du géant mondial des matériaux de construction.


Dans sa lettre à Ouyahia, le gérant de Sagremac ne tarit pas d’éloges envers son nouveau partenaire, « leader mondial dans le domaine des matériaux de construction qui dispose d’une capacité technique, humaine et financière à même de contribuer à la réussite de ce projet ». « Nous constatons, par ailleurs et en toute objectivité, que le groupe Lafarge a démontré sa volonté à poursuivre l’investissement, à "algérianniser" la main‑d’œuvre et l’encadrement, au développement de la filière des matériaux de construction et à la promotion de coopérations dans le secteur avec des secteurs privés et publics algériens », écrit‑il.


La démarche de Sagremac lui a permis de gagner une participation majoritaire dans la cimenterie de Sigus et de se retrouver avec deux projets de cimenterie à réaliser. Lafarge a lui aussi conclu une bonne affaire en obtenant une participation dans la cimenterie de Biskra qui lui permettra de renforcer sa position sur le marché algérien. Avec la bénédiction du Premier ministre Ahmed Ouyahia.

http://www.tsa-algerie.com/economie-et-business/investissements-etrangers-ahmed-ouyahia-rehabilite-le-francais-lafarge_20487.html

Pour avoir une idée sur l'opinion de nos compatriotes vis-à-vis du renforcement du groupe LAFARGE en Algérie, je me suis permis de choisir deux avis intéressants sur le forum de TSA. Le premier est cleui d'un certain Senatus Consult (Ath Yanni) qui, sous prétexte d'encourager tout investissement même venant d'Israël, applaudit des deux mains le fait que Ouyahia donne son accord au partenariat Sogremac/Lafarge. Le second avis émanant d'un autre forumiste (Scalp) est intéressant pour nous dans notre forum dédié à l'ANP puisqu'il rappelle une dimension MILITAIRE qui est souvent passée sous silence quand on parle des projets relatifs aux matériaux de construction. Bonne lecture.

Citation :

Par Senatus Consult (Ath Yanni) le 26/04/2012 | 22:29

Les investissements pour le bien de tous et surtout pour resorber le chômage est comme l'argent: Il n'a point d'odeurs.Les négoçiations peuvent faire l'objet d'aval y négoçier avec les israeliens,les amerlocs, les fafas et les makhzeniens...Au diables, cette cause palestinienne et sahraoui qui au fond, ce ne sont que des conflits sans queues et sans têtes.

Citation :

Par Scalp le 27/04/2012 | 01:14
Dans le domaine du béton, l'aspect militaire n'est pas à négliger. Que fait l'Iran dans ce domaine ? Sur la base des nouvelles techniques du béton apparues dans les années 80, avec les ultra-high performance concrètes (UHPC), l'Iran a développé un béton à ultra-haute performance. Pour le rendre plus résistant à la compression, les iraniens ont réduit au maximum les vides qu'il contient en y mélangeant des micro-particules (nano-particules) et divers adjuvants chimiques. Ce sont des technologies très complexes... que les scientifiques et ingénieurs iraniens semblent très bien maîtriser. Ce pays, soumis à un climat difficile -grands écarts thermiques - et aux tremblements de terre (tout comme l'Algérie), a développé des savoirs-faire indiscutables dans le BTP... mais les implications militaires ne sont pas négligeables. Ce béton protegerait ainsi les sites sensibles dans lesquels les recherches sur le programme nucléaire et balistique sont conduites. Comment peut-on faire confiance aussi facilement à des tiers dans un domaine aussi sensible qui pourraient fragiliser nos installations...en douce et à notre insu ??? Certes, l'Algérie ne développe pas de programme nucléaire militaire mais nous avons d'autres installations aussi importantes que stratégiques à protéger par tous les moyens.

@Boussouf.
Nos ingénieurs font pas mal de recherche dans les universités algériennes.
http://www.memoireonline.com/05/09/2050/Amelioration-de-la-Ductilite-du-Beton--Haute-Performences-par-lajout-de-Fibres-dAcier.html

Espérons que les services spécialisés de l'ANP sauront en tirer parti.

Question ciment le témoignage d'un cadre compétent qui remet en marche une cimenterie. Bravo à ces cadres et ouvriers qui ne ménagent pas leurs efforts au service de l'économie nationale.

Protestation devant la Société des ciments de Sour El Ghozlane



30.03.12 El Watan

Une dizaine de transporteurs privés ont protesté, durant trois jours,
samedi, dimanche et lundi derniers, devant la Société des ciments de
Sour El Ghozlane (SCSEG), au sud de Bouira.



Les propriétaires de camions et autres travaillant pour le compte
d’entreprises privés du secteur du bâtiment ont bloqué, à l’aide de
pneus brûlés, de troncs d’arbres et autres objets hétéroclites, la RN18,
empêchant ainsi tout accès à l’usine. Ils contestent la nouvelle
gestion du directeur général, fraîchement installé à la tête de cette
cimenterie, la plus importante en matière de production de ciment dans
le centre du pays. L’activité commerciale a été quasiment perturbée
durant plusieurs jours. Aucun camion n’a été autorisé par les
manifestants d’accéder au service commercial. A. Moussa, transporteur, a
indiqué : «Avant, l’usine produisait une moyenne de 5000 tonnes par
jour et depuis l’arrivée du nouveau directeur, la production a baissé à
3000 tonnes par jour.» Des protestataires motivent leur action en
expliquant qu’avec la réduction de la production de ciment à la SGSEG,
c’est la spéculation qui va s’installer encore plus. Il est utile de
souligner que le prix du sac de ciment s’envole ces derniers jours, pour
atteindre la barre des 800 DA.

Selon les protestataires, auparavant les entreprises étaient alimentées
régulièrement en matière de ciment, mais le DG leur a imposé un nouveau
système de programmation. «Le nouveau directeur a donné des
instructions fermes à ce que tous les dossiers passent par la direction
du commerce.» Or, ils refusent catégoriquement cette directive. Mais il
faut préciser, et de l’avis même des cadres et des fonctionnaires de la
cimenterie, le DG a apporté un plus à cette usine, en mettant en place
une stratégie afin de faire barrage aux barons du ciment. Interrogé à
propos de cette affaire, le directeur général de la cimenterie, Ahcene
Rezzagui a répondu qu’il dérange les intérêts des barons du ciment et
que sa mission première est de combattre ce fléau qui mine l’usine et
également de mettre fin aux agissements des spéculateurs, qui font main
basse sur le marché des matériaux de construction. Notons, par ailleurs,
que le directeur commercial et plusieurs fonctionnaires de ce service,
miné par le trafic où, selon des sources proches de la direction,
plusieurs anomalies ont été découvertes, ont été mis en congé d’office,
en attendant d’autres instructions, précise-t-on.





Rezzagui Ahcene. Directeur général de la Société des ciments de Sour El Ghozlane :


J’ai touché aux privilèges et aux intérêts de certaines personnes


- Quelle est la situation actuelle à la cimenterie de Sour El Ghozlane ?

Cela fait à peine deux mois que je suis à la tête de cette cimenterie,
j’ai pris mes fonctions le 1er février dernier. J’ai trouvé l’usine à
l’arrêt non programmé, sans pièces de rechange, elle était dans une
situation lamentable. Grâce aux efforts de l’encadrement et de tout le
personnel, nous avons quand même réussi à faire redémarrer l’usine et à
relever le défi. Aujourd’hui, est produit un quota de 4000 tonnes par
jour et nous livrons presque la même quantité à nos clients. Et je
rappelle que notre production répond aux normes internationales et
algériennes. Au début, j’ai commencé par mettre un peu d’ordre et
procédé à quelques actions de maintenance pendant cet arrêt qui a duré
plus de 15 jours.



- La cimenterie est actuellement paralysée par un mouvement
de contestation initié par des transporteurs. Qu’en est-il
exactement ?

Sous prétexte qu’il y a un changement de programmation, il y a des
objections. J’en profite pour rappeler à nos clients qu’il n’y a aucun
changement concernant la procédure commerciale. Je tiens à souligner que
nous n’avons aucun rapport direct avec ces transporteurs. Notre
relation est avec nos clients, c’est-à-dire les entreprises et les
promoteurs. Ce mouvement est une pure manipulation, parce que tout
simplement j’ai touché à des intérêts et j’ai placé des «projecteurs»
sur le service commercial pour détecter les anomalies. Ces dernières
années, on a instauré un réseau mafieux, de passe-droits et autre.



- Au niveau de la cimenterie de Sour El Ghozlane, le trafic
de bons de ciment est un fait courant. N’avez-vous pas trouvé des
dossiers fictifs et autres anomalies ?

Non, je n’ai pas trouvé de dossiers fictifs et pas d’audit pendant
cette période. Cependant, je ne cache pas que j’ai pu constater pas mal
d’anomalies. J’ai trouvé des dossiers de clients qui bénéficient d’un
quota quotidien de 2000 tonnes. Ce qui est inadmissible. Certaines
entreprises sont favorisées par rapport à d’autres. Cette affaire a
attiré mon attention et j’ai demandé à ce que je vérifie ces dossiers
personnellement, mais apparemment cela semble déranger énormément. J’ai
demandé à ce que la réglementation soit appliquée au niveau du service
commercial. Apparemment, j’ai touché à certains privilèges et aux
intérêts de certaines personnes.



- Il y a des entreprises qui n’arrêtent pas de remettre en cause la qualité de votre produit. Qu’en pensez-vous ?

Je tiens à préciser que la production de notre ciment mise sur le
marché est conforme aux normes internationales et algériennes, à savoir
NA-442 CPJ 42.5 et notre usine dispose d’un laboratoire équipé d’un
matériel d’analyse dernière technologie, qui contrôle et est responsable
de la qualité du produit. Nous tenons à faire savoir que notre usine
livre chaque jour près de 4000 tonnes de ciment de haute qualité
répondant aux normes requises. Le problème de la qualité du ciment et
de la programmation soulevé par ces individus est faux. Certains
entrepreneurs, par le biais de ces transporteurs, s’érigent en
revendeurs. Au lieu de prendre leur quota pour leurs chantiers, ils
l’écoulent dans le marché parallèle à des prix très élevés, c’est ce qui
a créé la spéculation sur le
produit.


Amar Fedjkhi

Un exemple à suivre chez nous...

Italie : le fisc démasque 2 000 fraudeurs

Le Monde.fr avec AFP | 27.04.2012

Photo Les policiers du fisc contrôlaient l'émission de reçus par les commerces et restaurants et les particuliers circulant en luxueuses limousines. | Flickr / Andrea Marutti

Des revenus cachés au fisc pour plus de 6 milliards d'euros ont été découverts entre janvier et avril et 2 000 fraudeurs démasqués en Italie, a annoncé vendredi un communiqué de la garde des finances. Dans la même période, lors des contrôles effectués par les policiers du fisc, des fraudes à l'IVA (taxe à la valeur ajoutée) ont été relevées pour 650 millions d'euros.

Le gouvernement de Mario Monti a placé au premier rang de ses priorités la lutte contre l'évasion fiscale et le fisc a procédé au recouvrement de 12,7 milliards d'euros en 2011, enregistrant une hausse de 15,5 % sur un an.

ÉVASION FISCALE SUPÉRIEURE À LA MOYENNE EUROPÉENNE

Des contrôles fiscaux surprise ont été organisés ces derniers mois dans des localités touristiques ou dans les centres-ville très fréquentés de Rome et Milan. Les policiers contrôlaient l'émission de reçus par les commerces et restaurants et les particuliers circulant en luxueuses limousines.

Contrairement aux idées préconçues, les Italiens déclarent de plus en plus leurs revenus réels au fisc, même si l'évasion reste toujours très élevée, très au-dessus de la moyenne européenne, selon Attilio Befera, directeur général du fisc italien.

Citation :

Dans son dernier rapport, publié samedi, le FMI a estimé que l'Algérie clôturerait l'année 2012 avec des réserves de change officielles de 205,2 milliards de dollars, selon l'APS.

http://www.lemonde.fr/economie/article/2012/04/23/le-fmi-sollicite-l-algerie-pour-renforcer-ses-capacites-financieres_1689905_3234.html

Citation :

L’Algérie est un pays primo-émergent évoluant vers la semi-émergence a déclaré le professeur Abdellatif Benachenhou, ancien ministre des Finances, devant un aréopage composé de responsables de l’exécutif de wilaya, d’enseignants et d’étudiants de l’université Yahia-Farès de Médéa.

http://www.liberte-algerie.com/algerie-profonde/l-algerie-est-un-pays-en-voie-de-semi-emergence-professeur-abdellatif-benachenhou-a-l-universite-yahia-fares-de-medea-177076

Une info devenue malheureusement banale dans l'océan de corruption et de trafics en tous genres qui défigure notre pays. Mais l'info illustre le fait que le mal est profond et contrairement à une certaine propagande distillée par certains médias, ce n'est pas toujours l'Etat qui en est responsable. Les services de sécurité concernés font ce qu'ils peuvent mais les gens impliqués dans la fraude sont tellement nombreux

Citation :

Spéculation sur le ciment : 68 personnes arrêtées à Aïn Temouchent


Dimanche 29 Avril 2012

Soixante huit (68) personnes impliquées dans une grande opération de spéculation sur le ciment ont été arrêtées à Aïn Témouchent au terme d'une enquête qui a duré deux années, apprend-on samedi de source policière.

L'enquête, menée par la brigade économique et financière de la Police Judiciaire (PJ) a permis de découvrir que 146.193 tonnes de ciment provenant de la cimenterie de Beni Saf, a fait l’objet de spéculation, entre 2008 et novembre 2011, précise un communiqué de la Sûreté de Wilaya d’Aïn Témouchent, soulignant que ce trafic a représenté un montant global de près de 761 millions de dinars.

L'enquête a révélé que certains clients de la cimenterie «bénéficiaient de facilités pour l'obtention de bons de livraison de la part de certains fonctionnaires du service commercial de l’usine », soutient-on.

Le communiqué précise, en outre, que «des dossiers administratifs étaient déposés auprès du service commercial sans que les clients ne disposent de sièges et locaux réglementaires pour la pratique dune telle fonction, ni même les équipements et matériels nécessaires ». « Ces quantités étaient destinées à la revente sur le marché parallèle à des prix prohibitifs », souligne-t-on de même source.

Parmi les personnes mises en cause figurent, entre autres, le Directeur général par intérim de la cimenterie, le chef de service commercial et neuf (9) fonctionnaires, neuf (9) notaires des wilayas d’Oran et de Sidi Bel Abbes et 48 opérateurs (transformateurs et industriels), ajoute-t-on.

Présentés le 24 avril dernier devant le parquet de Beni-Saf, qui a transmis le dossier au juge d’instruction, sept (7) opérateurs et industriels ont été placés sous mandat de dépôt et 12 personnes ont fait l’objet de mandat d’arrêt. Les autres mis en cause ont été placées sous contrôle judiciaire, précise-t-on de même source.

http://www.lexpressiondz.com/linformation_en_continue/152830-speculation-sur-le-ciment-68-personnes-arretees-a-ain-temouchent.html

Je suis d'accord avec toi boussouf mais à qui la faute ? où est l'origine du mal pourquoi cette banalisation de la fraude (tous les crimes économiques)
Pour moi avant de s'attaquer aux fraudeurs il faut nettoyer l'administration de tous les corrompus et incapables qui la polluent.
Que les lois en vigueur soient vraiment durcies et appliquées.
Mais bon avec des candidats qui achètent leur place à coup de 400 millions et plus cela ne va pas changer dans un futur proche.

Une vidéo sur la fabrication de tracteurs et de moteurs diesel en Algérie.
Combien les choix industriels de Houari Boumediène dans les années 70 se sont révélés judicieux. C'est grâce à cette politique audacieuse que nous avons ce complexe si important pour notre agriculture.

Salut Zoubir
Pour insérer une vidéo, tu cliques le bouton Répondre en bas de page.
(là où tu as tapé ton texte c'est seulement pour les réponses rapides)

Ensuite, tu cliques sur l'Icone qui ressemble à une pédicule de cinéma.
Tu insères ton lien vidéo dedans..et c'est parti

Une info économique et sociale de premier ordre: plus de 100 000 voitures neuves vendues en Algérie durant le premier trimestre 2012. Si cela continue ainsi, l'année 2012 sera clôturée avec 400 000 voitures vendues. Pour un pays du sud, c'est énorme! Deux remarques importantes: les deux marques françaises Renault et Peugeot continuent à se classer premières en Algérie avec un total de 32 000 voitures vendues durant le premier trismestre 2012 pour une valeur de 250 millions d'Euro. C'est dommage quand on sait le peu d'empressement de ces groupes à investir en Algérie. Mais c'est cela le marché. Le gouvernement algérien ne peut choisir à la place des Algériens. Seconde remarque: avec ce chiffre de voitures vendues, il est difficile de nier les progrès en termes de pouvoir d'achat des cadres et de la classe moyenne chez nous. Et dire que certains politiciens et certains médias n'hésitent pas à nous brosser un tableau de l'Algérie des plus noirs

Citation :

Hausse de près de 17% des importations de véhicules en Algérie au 1er trimestre 2012 (Douanes)


ALGER - L’Algérie a importé 102.720 véhicules durant le 1er trimestre 2012, contre 87.962 unités à la même période en 2011, en hausse de 16,78%, a-t-on appris lundi auprès des Douanes algériennes.


La valeur des importations des véhicules a également augmenté de 21,55%, passant de 80,40 milliards DA durant les trois premiers mois 2011 à 97,73 milliards DA durant la même période en 2012 (1,32 milliard de dollars) , selon les chiffres provisoires du Centre national de l’informatique et des statistiques (Cnis) des Douanes algériennes.

La quarantaine de concessionnaires présents en Algérie ont importé 98.681 véhicules durant les trois premiers mois 2012, en hausse de près 17,93%, pour une valeur de 92,144 milliards de DA, en hausse également de 23,40%, contre 83.681 unités et une valeur de 74,67 milliards de DA à la même période 2011, note le Cnis.

Les importations des véhicules par les particuliers, par contre, ont baissé de 5,65% passant de 4.281 à 4.039 unités, durant la même période de référence.

En terme de valeur la baisse des importations des particuliers est de 2,47%, le montant étant passé de 5,733 milliards de DA à 5,591 milliards de DA, précise le Cnis.

La majorité des grands concessionnaires activant sur le marché national ont enregistré une hausse de leurs importations de véhicules durant ce 1er trimestre, à l’exception des concessionnaires des marques sud-coréennes "Hyundai Algérie" et "KIA motors Algérie".

Hyundai Algérie a connu une baisse des importations de 15,26%, passant de 9.155 à 7.758 unités avec un recul du montant de près de 20% passant de 5,94 milliards DA à 4,78 milliards DA. Pour "Kia motors Algérie" la baisse est de 58,82%, passant de 5.337 à 2.198 unités, alors que le montant est passé de 3,77 milliards DA à 1,72 milliard DA, soit une baisse de 54,4%.

Les importations de l’Algérie durant le premier trimestre de l’année en cours restent dominées par les marques françaises, toutefois les importations de Sovac (concessionnaire de Volkswagen, Audi, Seat et Skoda) ont connu un boom avec +87,51%, passant de 4.347 à 8.151 unités. En valeur, le montant de Sovac, classé 3ème importateur de véhicules en Algérie après les Français Renault et Peugeot, est passé de 6,11 milliards DA à 11,69 milliards DA, en évolution de 91,3%, relève-t-on de même source.

Les groupes Renault et Peugeot, qui ont connu des reculs de leurs ventes au premier trimestre en France et en Europe, réalisent toujours de bonnes performances en Algérie, occupant respectivement la 1ère et la 2ème place. Les importations du concessionnaire Renault Algérie ont augmenté de 10,88% avec 23.181 véhicules au 1er trimestre pour 16,90 milliards DA, suivi de Peugeot Algérie, avec 9.669 unités (+21,98%) pour une valeur de 9,03 milliards DA.

Le concessionnaire de la marque japonaise Toyota occupe la 4ème place avec 7.980 unités importées, en hausse de 19,10%, pour un montant de 10,94 milliards DA.

L’Algérie a importé 390.140 véhicules en 2011 contre 285.337 véhicules en 2010, en hausse de 36,73% due essentiellement à l’augmentation de plus de 37% des importations des concessionnaires.

La facture des importations des véhicules a ainsi augmenté de 30,85%, passant de 270,66 milliards de DA en 2010 à 354,17 milliards de DA en 2011. En dépit des effets de la crise économique internationale, l’arrêt du crédit automobile et les taxes introduites depuis 2008 afin de réguler le marché de l’automobile, les importations d’automobiles en Algérie ont repris leur tendance haussière dès 2010.

Ce rebond des ventes de véhicules neufs s’explique, selon des experts, par la hausse du pouvoir d’achat en 2011 suite aux augmentations des salaires dont ont bénéficié les travailleurs des différents secteurs ces dernières années.

http://www.aps.dz/Hausse-de-pres-de-17-des.html

Citation :

Seconde remarque: avec ce chiffre de voitures vendues, il est difficile de nier les progrès en termes de pouvoir d'achat des cadres et de la classe moyenne chez nous. Et dire que certains politiciens et certains médias n'hésitent pas à nous brosser un tableau de l'Algérie des plus noirs

Remarques très pertinente , cher Boussouf , d'autant plus de 95% des voitures vendus en Algérie sont dans le bas et moyen de gamme , voitures dont les privilégiés de tous bords ne sont pas vraiment amateur...

Un élément additionnel , ces chiffres là , sont réalisés en l'absence de crédit à la consommation. A mon sens , avec crédit à la consommation, la marché de l'automobile peut potentiellement atteindre le million de véhicule vendus par an , dans les prochaines années.

C'est pour cela qu'il faudrait envoyer paître Renault et leur usine à deux balle une fois pour toute et faire un bon deal avec les allemands qui ont tout a gagné avec nous , comme nous avons tout a gagné avec eux , d'autant plus qu'il sera très facile de trouver des synergies avec les projet d’industrie mécanique déjà lancés avec les allemands , dont les industriels sont très connus pour leur capacité à développés en Allemagne même des synergies au sein d'un même secteur entre les différents intervenants.

Pour ce qui est des médias et des politiciens dont tu parle , le problème avec eux , c'est leur mauvaise foi et leur malhonnêteté intellectuelle, très rare ceux qui sont dans la critique constructive qui seule peut être utile pour que le pays avance , la grande majorité est dans la polémique stérile ,dans la boulitique bouliticienne , et dans l'"opositionîte".

Citation :

C'est pour cela qu'il faudrait envoyer paître Renault et leur usine à deux balle une fois pour toute et faire un bon deal avec les allemands qui ont tout a gagné avec nous , comme nous avons tout a gagné avec eux , d'autant plus qu'il sera très facile de trouver des synergies avec les projet d’industrie mécanique déjà lancés avec les allemands , dont les industriels sont très connus pour leur capacité à développés en Allemagne même des synergies au sein d'un même secteur entre les différents intervenants.

je crois que beaucoup de monde sur ce forum ont le même souhait

yak a écrit:

je crois que beaucoup de monde sur ce forum on le même souhait

Permet-moi Yak de ne pas observer le même souhait
Le marché de l'automobile est très complexe..et les consommateurs sont souvent capricieux.
Je préfère qu'un partenariat (éventuel) avec les allemands voit la production de véhicules utilitaires.
Nos agriculteurs, artisans, commerçants, entrepreneurs, etc, en ont grand besoin.
La plupart ne peuvent se permettre de rouler en neuf...

Philipides a dit:

Citation :

C'est pour cela qu'il faudrait envoyer paître Renault et leur usine à deux balle une fois pour toute et faire un bon deal avec les allemands qui ont tout a gagné avec nous , comme nous avons tout a gagné avec eux , d'autant plus qu'il sera très facile de trouver des synergies avec les projet d’industrie mécanique déjà lancés avec les allemands , dont les industriels sont très connus pour leur capacité à développés en Allemagne même des synergies au sein d'un même secteur entre les différents intervenants.

Heureux de te relire, cher Philipides

C'est le bon sens même qui devrait dicter un partenariat avec les Allemands dans le secteur de l'industrie automobile dans la mesure où on a déjà des projets avec eux dans les secteurs mécanique et électronique qui pourraient servir d'assise à cette industrie et constituer l'ossature autour de laquelle pourrait se développer un tissu national de sous-traitance industrielle. Mais rien que les chiffres de vente des groupes Renault et Peugeot constituent hélas un argument de poids pour le lobby pro-français chez nous qui met en avant l'argument de la préférence des consommateurs et des mécaniciens algériens pour la voiture made in France. Renault le sait bien sinon il ne ferait pas preuve d'une telle arrogance.

Mais malgré cela, je pense que les projets avec les Allemands vont progressivement créer une situation de non-retour même si cela va prendre du temps. Comme l'Administration et une partie de la bourgeoisie privée est gangrenée par les intérêts français, le MDN va jouer un rôle moteur dans le processus de réindustrialisation nationale dans la mesure où les enjeux économiques et les enjeux de défense et de souveraineté se trouvent mêlés et dans la mesure où face aux lenteurs bureaucratiques et au sabotage de certains lobbies de l'import-import, il faut toute la discipline et l'organsiation de l'ANP pour relever le défis.

L'industrie automobile en Algérie en partenariat avec les Allemands commencera par les camions et les utilitaires et touchera progressivement les véhicules touristiques. Dans ce dernier segment, il y a de la place pour plusieurs constructeurs. Renault finira peut-être par installer une usine pour le montage de 75 000 véhicules mais ce sera juste pour ne pas perdre ses parts de marché. Il ne faut pas compter dessus pour faire émerger une véritable industrie automobile nationale.

Tout le plaisir est pour moi cher Boussouf.

J'avais écris une assez longue réponse qui a sauté , je tacherais de m'y remettre plus tard, là tout de suite je n'ai pas le courage

@philipides7, cela m'est arrivé aussi de voir mes posts sautés par inadvertance A ton aise, je lirai avec plaisir ta réponse plus tard

On savait que de soi-disant entrepreneurs ont fait de la surfacturation de leurs intrants et de leurs marchandises importées une pratique courante pour frauder la douane et le fisc et se faire un matelas de devises à l'étranger. Mais qu'un grand groupe pharmaceutique français joue à cela, c'est vraiment minable et dénote le peu de considération que ces groupes ont pour notre pays.Et dire que ces gens n'arrêtent pas de nous donner de leçons sur la corruption et la bonne gouvernance à longueur de journaux! Au-delà du délit économique avéré, il y a offense à l'Etat algérien. J'espère que la sanction sera à la hauteur du forfait

[quote]

Citation :

Affaire Sanofi Aventis : pas de transaction avec le groupe français (Djoudi)

ALGER - Le ministre des Finances, Karim Djoudi, a écarté, lundi à Alger, tout recours à la transaction dans le règlement de l’affaire du groupe français Sanofi Aventis, poursuivi en Algérie par la justice pour majoration des matières premières importées.


"Il faut attendre la décision de justice. C’est le verdict qui va décider de la suite", a déclaré à l’APS M. Djoudi qui a écarté un règlement du litige par transaction.

Le ministre qui s’exprimait en marge de la commission mixte algéro-émiratie n’a pas précisé cependant si le groupe français avait ou non introduit une demande de transaction et quel sort lui a été réservé.

Sanofi Aventis, épinglée par les douanes algériennes dans deux affaires de majoration de valeur, a la possibilité en vertu de la loi sur les infractions de changes de demander une transaction pour mettre fin à l’action publique, a-t-on expliqué de sources douanières. La loi sur les infractions de change 96/22 du 9 juillet 96, modifiée et complétée en 2003 et 2010, stipule qu’un accusé dans des affaires liées aux changes, doit présenter une demande de transaction dans un délai d’un mois après l’élaboration du PV du constat de l’infraction.

La demande doit être présentée au comité national des transactions, présidé par le ministre des Finances, qui peut consentir une transaction et imposer à Sanofi une amende équivalente à quatre fois, au minimum, la valeur des importations, objet de majoration, a-t-on ajouté.

Dans tous les cas, la transaction ne fait pas obstacle à la mise en mouvement de l’action publique lorsque l’infraction se rapporte à une opération de commerce extérieur, dont le montant est équivalent ou plus de 500.000 DA ou lorsqu’il est question d’investigations susceptibles de faire découvrir des faits ayant une qualification pénale.

L’affaire Sanofi Aventis, dont le verdict sera connu le 2 mai, a révélé au grand jour, l’ampleur des infractions de majoration de valeur dans le commerce extérieur qui ont provoqué un transfert de sommes importantes de devises vers l’étranger.

La surfacturation des médicaments a été estimée en 2011 à 94 millions de dollars, selon des chiffres fournis à l’Assemblée nationale par le ministre de la Santé Djamel Ould Abbès.

[quote]
http://www.aps.dz/Affaire-Sanofi-Aventis-pas-de.html

D'où l'empressement de Sanofi à annoncer un investissement à Sidi Abdellah , il y a quelques mois de cela , ils voulaient que l’État passe l'éponge... De toute façon il ne faut pas se faire d'illusion et surtout pas avec les groupes pharmaceutiques étrangers , c'est des rapaces , il faut les surveiller comme du lait sur le feu.

La dernière fois je regardais un docu dans lequel un expert français du secteur affirmait qu'il avait calculé que le différentiel de prix du médicament en France ( par rapport à d'autres pays comme l'Italie et l'Allemagne par exemple) représentait en cumul l'équivalent du déficit de l'assurance maladie en France. Je n'ai aucun moyen de vérifier ce chiffre, mais en tous cas ils ont donné des exemples de prix de médicament de marque identique qui allait du simple au triple entre l'Italie et la France.

En fait c'est une fraude et un détournement des deniers publiques français qui se fait en grand jour , et en toute impunité. Et c'est valable pour plein d'autres secteurs.
La pourriture est la même , sinon pire , la différence est que les méthodes de détournements sont beaucoup plus sophistiquées et moins grossières que chez nous. et souvent même elles sont tout à fait "légales".

Pour revenir au médicament et à la santé en général, il y a un pays ,qui a toujours été à nos côté, et qui est très avancé dans le domaine avec lequel on pourrait faire des merveilles , et que beaucoup de morveux complexés méprisent : Cuba.

Malheureusement l'Etat est trop faible face aux lobbies du médicament, qui sont introduits à tout les niveaux des rouages de l’administration.

Citation :

Malheureusement l'Etat est trop faible en face des lobbies du
médicaments, qui sont introduits à tout les niveaux des rouages de
l’administration.

franchement c est là ou il faut frapper trés fort quitte a passer pour des dictateurs

philipides7 a dit:

Citation :

Pour revenir au médicament et à la santé en général, il y a un pays ,qui a toujours été à nos côté, et qui est très avancé dans le domaine avec lequel on pourrait faire des merveilles , et que beaucoup de morveux complexés méprisent : Cuba.

Entièrement d'accord avec toi philipides. Il y a un résevoir de productivité immense dans la coopération pharmaceutique avec Cuba mais qui n'est pas exploité pour causes économiques (difficulté à avoir les mêmes commissions) et culturelles (complexe du colonisé de beaucoup de nos bureaucrates). Mais malgré cela, il y a quelques avancées à saluer et à développer. Il y a eu notamment un accord algéro-cubain pour la fabrication de vaccins en Algérie. Mais c'est là où la lutte contre les lobbies de l'import liés aux labos français doit être intensifiée, y compris sur le terrain médiatique.

philipides7 a dit:

Citation :

De toute façon il ne faut pas se faire d'illusion et surtout pas avec les groupes pharmaceutiques étrangers , c'est des rapaces , il faut les surveiller comme du lait sur le feu.

Pour être réaliste, l'Algérie ne peut pas se passer du jour au lendemain des groupes pharmaceutiques internationaux. Pour cela, 1. il faut les surveiller comme du lait sur le feu comme tu le dis et 2. faire une selection: il y a des groupes qui peuvent offrir mieux si on les serre de notre côté. Le mégaprojet avec les Américains à Sidi Abdallah dans le domaine des biotechnologies n'aurait jamais vu le jour avec des groupes français. Idem pour le projet de fabrication de matières premières destinées au médicament avec les Chinois. C'est pourquoi les lobbies de l'import pro-français cherchent à tout prix à casser Ould Abbès via les grèves de certains syndicats. Et je suis sûr que s'il fait jouer la concurrence entre les groupes internationaux, l'Etat algérien en tirera de meilleurs résultats pour la mise en place d'une industrie pharmaceutique nationale.