Actualités Economiques

Finalement c'est une bonne chose cette usine renault elle coutera pas 1 milliard comme certaines sources l'on indiqué et elle produira bien 25 000 voitures, ensuite 75 000 et 150 000 véhicules après

Citation :

Renault : l'usine en Algérie coûtera plusieurs centaines de millions d'euros


Renault fabriquera à Oran en 2014 des Symbol, qui sont des Dacia Logan rebadgées. Une première pour l'Algérie qui détiendra 51% du capital.






La future usine du constructeur français Renault en Algérie nécessitera un investissement de plusieurs centaines de millions d'euros, a déclaré mercredi à Alger le directeur adjoint du programme de la gamme Entry chez Renault, Arnaud Jaeger, cité par l'agence de presse
APS. "On a étalé l'investissement en fonction des différentes étapes du projet. La première étape tourne autour de 50 millions d'euros
d'investissement, les étapes suivantes tournent autour de plusieurs centaines de millions d'euros", a-t-il dit lors d'une conférence de
presse conjointe avec les actionnaires algériens du projet.


25 000 véhicules en 2014

L'Algérie - via la Société nationale des véhicules industriels (SNVI) et le Fonds national d'investissement - détiendra 51% du capital de cette société et le groupe français les 49% restants. La future usine Renault produira dans un premier temps 25.000 véhicules pour atteindre ensuite 75.000 unités par an avant d'arriver à 150.000 véhicules annuels, dix ans aprèsle début de la production, selon cette source. Le pacte d'actionnaires a été signé en le 19 décembre à Alger, à l'occasion d'une visite visite du président François Hollande.
L'usine sera implantée dans la zone industrielle de Oued Tlélat, près d'Oran (430 km à l'ouest d'Alger). Le premier véhicule en sortira "18 à
24 mois" après le lancement de la réalisation du complexe industriel comme nous l'expliquions lors de la signature de l'accord le 19 décembre dernier

http://www.lepoint.fr/auto-addict/strategie/algerie-l-usine-renault-coutera-plusieurs-centaines-de-millions-d-euros-responsable-francais-09-01-2013-1611479_659.php

Citation :

Une compagnie espagnole achète 10% de Medgaz:

Commodesk - Gas Natural Fenosa, fournisseur espagnol de gaz, a signé le 8 janvier un contrat avec Sonatrach, entreprise algérienne de transport des hydrocarbures, lui permettant d'acheter 10% du capital de Medgaz. Les termes de l'accord avaient été définis en 2011, Fenosa remplit désormais toutes les conditions.

Medgaz est un gazoduc sous-marin, reliant l'Algérie et l'Europe, inauguré en mars 2011. D'une capacité de 8 milliards de mètres cubes par
an, il permet de transporter le gaz naturel de Beni Saf, en Algérie, à la côte d'Almeria en Andalousie.

Pour 61,9 millions d'euros, Fenosa a acheté les parts de Medgaz ainsi qu'une capacité de transport supplémentaire de 800 millions de mètres cubes par an. De quoi remplir son nouveau contrat d'approvisionnement de gaz vers l'Europe qui démarrera en février prochain pour 18 ans.

Fenosa rejoint donc le belge Fluxys qui avait acheté 32% des parts de Medgaz fin décembre à Endesa et Iberdrola, respectivement spécialistes de l'électricité et de l'énergie éolienne.

http://www.boursorama.com/actualites/une-compagnie-espagnole-achete-10-de-medgaz-d66bdf1ceb2bc87f3325186ec650c9b2

@Houaridz, merci du partage. Avec toutes ces compagnies qui se retiraient du projet, je commençais à craindre le pire. Medgaz est ainsi sauvé. Reste à sauver maintenant Galsi avec les Italiens

boussouf a écrit:

@Houaridz, merci du partage. Avec toutes ces compagnies qui se retiraient du projet, je commençais à craindre le pire. Medgaz est ainsi sauvé. Reste à sauver maintenant Galsi avec les Italiens

Il parait que les Italiens se sont tournés vers les pays du golfe.

Non les italiens se sont tournés vers les Russes.

houaridz a écrit:

Non les italiens se sont tournés vers les Russes.

beh, on n'a qu'à retirer certains contrats avec eux comme ça il comprendront, nous avons pas mal de partenaires et d'autres postulants

Rebell a écrit:

houaridz a écrit:

Non les italiens se sont tournés vers les Russes.

beh, on n'a qu'à retirer certains contrats avec eux comme ça il comprendront, nous avons pas mal de partenaires et d'autres postulants

L'Italie cherche le plus avantageux pour ses intérêts et sa sécurité énergétique qui passe par une certaine diversification. C'est normal. Outre le projet Galsi qui étaiit en étude avec l'Algérie, l'Italie a l'oeil sur deux autres projets le NABUCCO irano-caucasien passant par la Turquie et le South Stream russe. Mais cela ne compromet pas la position de fournisseur priviliégié de notre pays sur le marché italien. Il n'y a pas lieu de s'inquiéter ni de santionner l'Italie. Et ce n'est pas ainsi qu'on règle les problèmes avec un partenaire important comme l'Italie. De nombreux projets bénéfiques pour les deux parties nous attendent dans les années qui viennent. Patience

Tu te doutes bien que ceci est un jeu, il ne pourront jamais dépendre que d'un client, c'est trop risqué pour eux ils seraient à sa merci. J'imagine qu'en faisant cela il cherchent quelques concessions de la part de l'Algérie, peut etre un tarif plus bas, une plus grande participation dans GALSI etc etc. En ce qui nous concerne, on doit se tourner vers l'Asie, notre avenir est là bas.

houaridz a écrit:

Tu te doutes bien que ceci est un jeu, il ne pourront jamais dépendre que d'un client, c'est trop risqué pour eux ils seraient à sa merci. J'imagine qu'en faisant cela il cherchent quelques concessions de la part de l'Algérie, peut etre un tarif plus bas, une plus grande participation dans GALSI etc etc. En ce qui nous concerne, on doit se tourner vers l'Asie, notre avenir est là bas.

D'accord avec ton analyse. Pour ce qui est des marchés asiatiques, effectivement notre pays a commencé à se tourner vers eux. Mais à mon avis, c'est pour diversifier les clients, pas pour remplacer nos marchés européens. Nous devons garder un certain équilibre. C'est important économiquement et diplomatiquement.

Je suis entiérement d'accord mais j'aimerais juste que notre pays limite un peu avec les européens et se tourne plus vers les asiatiques, en Europe on devrait plus travailler avec l’Italie et l’Allemagne voire l’Espagne et l'angletertre c'est pas un probleme mais pas trop avec la France. Je comprend que l’Italie veut diversifier mais si ça menace notre marché faudra faire quelque chose mais je suis pour le renforcement des relations et j'espére voir leur drone bientot chez nous, j'imagine bien leur drone avec des modifications sud-africaines ou autre, il serait très bien.

@Rebell, tu veux ignorer un marché de 65 millions de personnes. Nous ne devons ne rien négliger, nous vendons là ou cela peut nous rapporter en devises ou en diplomatie ou bien encore vers des transferts de techno ou autre, pas de sentiment qui compte.

Citation :

Croissance économique au Maghreb
Le FMI encourage l’investissement privé

Dans le but de créer une économie forte et soutenue et d’instaurer une croissance solidaire, la directrice du Fonds monétaire international (FMI), Mme Christine Lagarde a recommandé, pour le Maghreb, la relance de son secteur privé. Mme Lagarde s’exprimait, hier, lors d’une conférence sur le potentiel économique du Maghreb tenue à Nouakchott en
Mauritanie.

Evoquant le potentiel économique du Maghreb, elle a estimé que « le modèle de développement économique en place n’était pas à la hauteur. Il n’a pas réussi à créer un environnement propice fondé sur la justice et la transparence susceptibles de favoriser la promotion du secteur privé ». Elle a également ajouté qu’il existait un manque de diversification en matière d’investissements, 30% de ces derniers étant destinés uniquement au secteur énergétique et aux industries
extractives.

A cet égard, la directrice du FMI a préconisé l’ouverture de ces pays aux investissements directs étrangers (IDE), qui représentent un élément essentiel du « réveil » du secteur privé. Notons qu’une chute de 6.5 milliards de dollars d’IDE a été enregistrée par le FMI en 2011, contre 12.3 milliards de dollars de 2008 malgré le potentiel dont dispose les pays du Maghreb leur permettant d’attirer les investisseurs étrangers. Néanmoins, ces chiffres sont inferieurs à ceux de certains pays d’Asie, d’Amérique latine et d’Europe « vu l’instabilité récente dans ces pays » a expliqué Mme Lagarde.

Signalons que le FMI table, en ce qui concerne l’Algérie, sur une croissance de 3.5% pour l’année 2013, portée par le dynamisme du secteur des hydrocarbures alors qu’elle avait prévu une croissance de 2.5% en 2012.

http://www.leconews.com/fr/actualites/internationale/le-fmi-encourage-l-investissement-prive-10-01-2013-161673_268.php

On tourne en rond. Nous savons trés bien où ces privés fmisteoligarchiquo comptent investir dans les secteurs où cela rapporte un max avec des aides étatiques pour spolier, dominer, asservir et transférer les capitaux d'un continent à l'autre puisque apatride mettre la main sur tout ce qui est strategique névralgique tel que la finance, la banque, les transports, energie et bien entendu les pouvoirs pour dominer, soumettre et nous rendre plus pauvre que l'on est.

En effet faty ces sales escrocc veulent juste nous depouiller...

La visite du président du gouvernement espagnol a donné lieu à trois accords dans le domaine industriel pour trois nouvelles usines: une usine pour compacteurs, une usine de chaussures et une usine pour la récupération du vieux papier. Une bonne tendance à continuer. Les partenaires qui nous vendent d'habitude sont invités à s'installer en Algérie dans le cadre de la règle 51/49 et à produire chez nous avec transfert du savoir-faire. Moins d'importations, économies de devises, création d'emplois.

Citation :

APS) jeudi 10 janvier 2013

Industrie : signature de trois accords algéro-espagnols de coopération dans la mécanique, le cuir et la papeterie

ALGER - L’Algérie et l’Espagne ont signé jeudi trois accords de partenariat industriel dans les domaines de la mécanique, du cuir et du papier, avec comme objectif le transfert de savoir-faire, indiquent jeudi des responsables de SGP.


Dans le domaine de la mécanique, la SGP-Equipag a conclu un accord avec la firme espagnole Europactor pour la fabrication de compacteurs de capacités de 5 à 25 tonnes, selon la règle 51/49%. Une société mixte sera créée entre l’Entreprise nationale des travaux publics (ENTP) et Europactor pour la fabrication de ces engins de travaux routiers au niveau de l’usine d’Ain Smara à Constantine pour un volume annuel de 200 à 300 appareils. La finalisation du pacte des actionnaires et du ’’business plan’’ pour la création de cette entreprise est prévue en mars à l’occasion du prochain Forum d’affaires algéro-espagnol, a indiqué lors d’une conférence de presse le président du directoire de la SGP-Equipag, Bachir Dehimi.Ce partenariat industriel permettra le développement d’un réseau national de sous-traitance favorisant la création de nouveaux postes d’emplois et le transfert du savoir-faire, précise M. Dehimi.

Un autre accord a été signé par le groupe Leather Industry, relevant de la SGP-IM, et la société espagnole Celma spécialisée dans l’industrie du cuir.Ce partenariat porte sur la réouverture de l’usine de chaussures de Chéraga (ex Bata). A cet effet, CELMA prendra une participation initiale à hauteur de 25% dans le capital social de l’usine de Chéraga avant de porter cette participation à 49% dans une prochaine étape, a précisé de son côté le président du directoire de la SGP-IM, Abdelhak Saidani.A l’horizon 2014, cette usine produira 55.000 paires de chaussures par an pour atteindre un million d’unité à partir de 2015 et deux millions à moyen terme, avec un chiffre d’affaires de près de deux milliards de dinars.En outre, 460 nouveaux postes d’emplois seront créés au niveau de cette usine à la faveur de cette joint-venture avec le leader espagnol de l’industrie du cuir.

Le dernier accord, conclu entre la SGP-Gephac et Saica Papers, porte sur la récupération de vieux papiers à travers un partenariat entre Tonic industrie et Gipec du côté algérien et le partenaire espagnol, leader mondial dans l’activité de récupération.

Cette joint-venture permettra d’optimiser l’activité de récupération de vieux papiers en portant sa capacité à 300.000 tonnes par an dans trois ans sur un gisement de 450.000 tonnes et surtout de réduire la facture d’importation du papier, a, par ailleurs, expliqué le président du directoire de la SGP-Gephac, Cherif Bounab.

http://www.aps.dz/Industrie-signature-de-trois.html

Après les accords signés avec les Italiens, l'Algérie vient de signer trois accords de partenariat avec les Espagnols pour la construction de 50 000 logements. Les sociétés mixtes algéro-espagnoles qui vont réaliser ces projets vont permettre l'acquisition du savoir-faire par lees entreprises algériennes concernées.

Citation :

APS) jeudi 10 janvier 2013

Accords de partenariat algéro-espagnols pour la réalisation de plus de 50.000 logements en Algérie

ALGER - Trois accords de partenariat ont été signés jeudi à Alger par des entreprises algériennes et espagnoles pour la réalisation de plus de 50.000 logements en Algérie.

Les trois accords ont été signés à l’occasion de la tenue de la 5ème session de la réunion de haut niveau algéro-espagnole, co-présidée par le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, et le président du gouvernement espagnol, M. Mariano Rajoy, en visite officielle en Algérie.

Dix entreprises mixtes sont concernées par la réalisation de ces logements

http://www.aps.dz/Accords-de-partenariat-algero.html

48 millions d'oliviers en 2012 contre 16 millions en 2000, c'est un progrès énorme! Bravo aux oleiculteurs algériens et à tous ceux qui les ont aidés (Ministère, wilayas, banques...). Il existe encore une grande marge de progrès que le Ministère de l'Agriculture compte réaliser puisqu'on s'attend à d'autres progrès à l'horizon 2014.

Citation :

(APS) vendredi 11 janvier 2013
Oléiculture : les plantations d’oliviers ont triplé entre 2000 et 2012


ALGER - Les plantations d’oliviers ont triplé durant les dix dernières années à 48 millions de plants grâce à l’extension de l’oléiculture sur tout le territoire national, selon le mode de production intensive.


"En termes d’équivalents plants, entre 2000 et 2012, le chiffre a triplé, passant ainsi de 16,8 millions de plants en 2000 à 48 millions de plants à fin 2012", indiquent des données présentées jeudi lors du 1er Salon international de l’oléiculture.

Plus de 240.200 ha ont été plantés durant la période 2000-2012, alors que 37% des plantations, c’est-à dire 89.064 ha, ont été plantés entre 2009 et 2012 avec plus de 14,14 millions de plants, soit presque le même potentiel existant entre 1970 et 2000 (+16 millions de plants).

Aujourd’hui et en termes de superficie, la filière oléicole occupe 389.000 ha. Elle est de ce fait, la filière arboricole la plus importante en couvrant 38,7% des superficies arboricoles.

L’intégration de l’oléiculture dans le renouveau agricole et rural a permis de relancer cette filière avec une extension sur l’ensemble du territoire et une amélioration notable des systèmes de production, qui sont passé du mode de production extensif au mode intensif.

La production d’olives de table a plus que quadruplé, passant de 346.730 quintaux (qx) en 2000 à plus de 1,4 million de qx en 2012, alors que celle de l’huile d’olive est passée de 333.200 hl à 728.000hl en 2011.

Le plan de développement national de l’oléiculture a comme objectif d’atteindre un potentiel d’un million d’ha à l’horizon 2014 pour une production annuelle de 100.000 tonnes d’huile d’olive.

Pour ce faire, le programme d’action mis en place à cet effet, vise l’extension du verger oléicole, à travers notamment l’identification de nouveaux sites, l’utilisation de systèmes d’irrigation économiseur d’eau et de maîtrise des techniques de plantation et d’entretien, l’intervention sur le potentiel existant (maîtrise des différentes techniques liées à la filière et des bonnes pratiques), l’amélioration des conditions de récolte par l’acquisition d’équipements spécialisés ainsi que la modernisation de l’industrie oléicole.

La transformation est assurée par 1953 huileries dont 408 huileries modernes. 248 nouvelles huileries ont été créées entre 2000 et 2011. Pour le conditionnement de l’olive de table, 153 confiseries ont été mises en place dont 113 entre 2000 et 2011.

http://www.aps.dz/Oleiculture-les-plantations-d.html

Litige entre l’Algérie et la France sur les prix du gaz vendredi, 11 janvier 2013

Citation :

Malgré les apparences d’apaisement, des litiges existent entre la France et l’Algérie. C’est le cas du conflit qui oppose la société algérienne Sonatrach à la compagnie française Total autour des prix du gaz.

Total, qui compte l’Algérie parmi ses principaux fournisseurs, veut pousser Sonatrach à réduire ses prix de gaz. Total justifie cette attitude par le fait qu’elle achète le gaz à des prix beaucoup plus bas chez des vendeurs « indépendants ». Il s’agit notamment de fournisseurs non membre de l’OPEP.
Il faut dire que cette pression de la société française ne concerne pas uniquement Sonatrach. Des compagnies relavant de deux autres grands fournisseurs, que sont la Norvège et la Russie ont subi la même chose. Mais apparemment, les réponses sont toutes négatives. D’autant plus que la compagnie française se voit obligée de répercuter le prix, souvent élevé, sur le marché local. Chose qui ne plait pas forcément au gouvernement français.
Il semblerait que c’est également à cause de cette affaire de prix que des sociétés italiennes ont gelé leur participation dans le projet Galsi. Ce dernier devait relier l’Algérie à l’Europe via l’Italie.

http://french.irib.ir/info/afrique2/item/236126-litige-entre-l%E2%80%99alg%C3%A9rie-et-la-france-sur-les-prix-du-gaz

lol eux ils jettent leur argent à faire la guerre et en cas de crise ils pleurent pour qu'on baise le prix. Hors de question, ils n'ont qu'a continuer à acheter ailleurs moins cher dans ce cas là, s'ils se mêlaient de leurs affaires ils seraient pas en crise...

Sonatrach va financer les comptes exponentiels de Total car détrompez-vous le consommateur où qu'il soit sera toujours le dindon de la farce. De toute les maniéres sonatrach suit les cours du marché indexés sur le baril quand c'était le contraire les prix au plus bas nous avons dû faire appel au diabolique FMI, il nous laissait crever la bouche ouverte. Qu'ils demandent une aide au FMI.

[b]L'Afrique à papa c'est fini ..[b]

faty a écrit:

Sonatrach va financer les comptes exponentiels de Total car détrompez-vous le consommateur où qu'il soit sera toujours le dindon de la farce. De toute les maniéres sonatrach suit les cours du marché indexés sur le baril quand c'était le contraire les prix au plus bas nous avons dû faire appel au diabolique FMI, il nous laissait crever la bouche ouverte. Qu'ils demandent une aide au FMI.

je comprend pas trop sonatrach va faire quoi exactement?

En tout cas, moi, j'ai compris que Total veut surtout faire pression sur le gouvernement algérien pour avoir le contrat du projet du complexe de vapocraquage d'Arzew estimé à 6 Milliards de dollars. Malgré tous les efforts de Raffarin et le voyage de Hollande, ce dossier n'a toujours pas connu son épilogue en raison nptamment d'un désaccord sur le prix du gaz fourni au complexe. En gros, les Français le beurre et l'arent du beurre. Depuis 2007, Total use de tous les moyens pour avoir ce projet, dernière trouvaille, le groupe français a accepté de prospecter le sous-sol du Sahara occidental pour le compte de l'occupant marocain en violation du droit international. Franchement, comment peut-on travailler avec des ripoux pareils?

Ils rêvent, ils achetent ou ils vont voir ailleurs...

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Algérie - Espagne : plusieurs accords de coopération signés

Tenue d’un forum d’affaires durant le 1er trimestre 2013 à Alger suite à la visite du président du gouvernement espagnol. Plusieurs accords ont été signés jeudi, notamment dans les domaines de la coopération industrielle et énergétique et de la facilitation d’attribution de visas.

La visite à Alger du président du gouvernement espagnol, Mariano Rajoy, a été sanctionnée, jeudi, par une déclaration commune dans laquelle les deux parties ont annoncé avoir décidé de la tenue d’un forum d’affaires, durant le 1er trimestre 2013 à Alger, pour impulser la coopération économique algéro-espagnole et donner l’opportunité aux chefs d’entreprise des deux pays de se rencontrer et de nouer des partenariats «gagnant-gagnant». L’Algérie et l’Espagne se sont félicitées également de l’initiative prise par les opérateurs économiques des deux pays visant à instaurer un cercle d’affaires et la mise en place d’une coopération dans le domaine des énergies renouvelables, à travers l’entrée en service de la centrale électrique à
cycle hybride à Hassi R’mel en juillet 2011. Les deux pays ont souligné, à ce propos, que l’adoption du Plan national algérien pour les énergies renouvelables «offre de vastes opportunités de coopération entre les entreprises du secteur des deux pays, d’autant que l’industrie espagnole dispose d’un savoir-faire et d’une expertise avérés».

L’accroissement des investissements espagnols en Algérie en 2011 a été également salué par les deux pays qui ont convenu de tout mettre en œuvre afin d’encourager cette tendance et la rendre structurelle dans les relations d’affaires et de partenariat. Les deux parties, souligne la déclaration commune, ont noté avec satisfaction une augmentation, en 2012, du volume global des échanges commerciaux entre les deux pays et convenu d’œuvrer progressivement à leur équilibre. A cet effet, la partie espagnole salue les efforts de l’Algérie pour améliorer le climat des affaires.

L’Algérie et l’Espagne ont considéré, par ailleurs, que le plan algérien d’augmentation significative de la capacité de génération électrique au cours de la période 2012-2017 met en exergue des opportunités sérieuses de partenariat et de coopération entre les entreprises des deux pays et encourage les entreprises concernées à prospecter toutes les possibilités de partenariat et d’affaires. Il a été convenu, en outre, de promouvoir la coopération dans les domaines du bâtiment et des travaux publics, de l’agriculture, de la pêche et de l’hydraulique. Ils invitent les deux entreprises gestionnaires des
chemins de fer, SNTF (Algérie) et Renfe-Operadora (Espagne), à approfondir leur coopération afin de contribuer efficacement au développement du secteur des transports dans les deux pays.

Il convient de signaler que les deux parties ont signé, jeudi, plusieurs accords qui concernent la coopération industrielle et la promotion du partenariat, trois mémorandums d’entente dans les domaines de la coopération énergétique, la facilitation d’attribution de visas et de coopération culturelle ainsi qu’un accord administratif relatif à la coopération dans les domaines scientifique, technologique et de la protection civile. Il a été également procédé à la signature d’accords de coopération liés notamment aux domaines de la construction de contacteurs, de la papeterie, de la fabrication de chaussures et la création d’un centre de développement du textile, selon l’agence APS. Parallèlement, les entreprises espagnoles et algériennes ont ratifié trois accords portant sur la réalisation de plus de 50 000 logements en Algérie.

http://www.elwatan.com/economie/algerie-espagne-plusieurs-accords-de-cooperation-signes-12-01-2013-199176_111.php

Citation :

Coopération algéro-autrichienne
Un intérêt particulier pour l’agriculture

Un diplomate autrichien a indiqué, dimanche à l’APS, que plusieurs opérateurs économiques de son pays sont intéressés par l’investissement dans le secteur agricole en Algérie.

Ils comptent établir, en 2013, des partenariats avec des professionnels algériens de ce secteur. D’après M. Markus Haas, chef de la mission économique à l'ambassade d'Autriche à Alger, « l'Autriche compte investir plus durant cette année dans le secteur de l'agriculture, notamment dans les volets relatifs à la formation, au développement de la filière lait et à la modernisation des bâtiments d'élevage ».

Il a également ajouté que « conformément aux objectifs du mémorandum d'entente signé entre le ministère de l'Agriculture et du développement rural algérien et le ministère fédéral autrichien de l'agriculture, de l'environnement, des eaux et des forêts, les deux parties ont procédé, fin 2012 à Alger, à l'installation d'un groupe de travail sectoriel austro-algérien ».

Ce groupe de travail devrait examiner la coopération bilatérale et la modalité de son développement. Il aura également à examiner le partenariat institutionnel et technique, les volets relatifs à la formation, la recherche, la normalisation et la valorisation des produits agricoles ainsi que le développement rural et l'élevage bovin.

Par ailleurs, un accord de coopération a été signé auparavant entre l'Algérie et l'Autriche en vertu duquel l’Autriche est censée fournir des machines agricoles,des génisses pleines ainsi que des services d'insémination artificielle du cheptel bovin. Dans le même sillage, un accord bilatéral a été signé au mois d’août dernier, portant sur la coopération en matière d'élevage, de reboisement et de gestion de parcs nationaux algériens.

http://www.leconews.com/fr/actualites/nationale/agriculture/un-interet-particulier-pour-l-agriculture-13-01-2013-161702_291.php