A.N.P DZ Défense Forum Militaire |
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| Communauté algérienne à l'étranger. | |
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+8houaridz faty Rebell berhoum philipides7 Kaci M boussouf Zoubir8 12 participants | |
Auteur | Message |
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berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
| Sujet: Re: Communauté algérienne à l'étranger. Mar 1 Jan - 15:40 | |
| Les premiers passeports biométriques seront émis dans 15 jours Par Lila Ghali | 31/12/2012 - Citation :
- Les premiers passeports biométriques seront émis dans quinze jours. L’émission qui débutera le 15 janvier prochain touchera dans une première étape neuf consulats pilotes, selon le secrétaire d’Etat chargé de la communauté nationale à l’étranger, Belkacem Sahli qui s’exprimait lors d’une visite à la Direction des titres et documents sécurisés (DSTS) en charge de l’établissement de ce document de voyage.
Cette première étape concernera neufs consulats pilotes dont sept en France, un à Montréal et un à Tunis, ce qui représente plus de la moitié des ressortissants algériens à l’étranger, selon Sahli qui annonce que cette première étape expérimentale devrait se généraliser à partir du mois de février, notamment au niveaux des autres représentations consulaires algériennes à travers le monde.
“Nous pouvons dire, après avoir visité ce centre, que toutes les conditions techniques sont réunies pour la réussite de cette opération, et en ce qui concerne les conditions procédurales, nous avons donné des instructions aux chefs de centres consulaires pour alléger les procédures et améliorer les conditions d’accueil de nos ressortissants” a ajouté le secrétaire d’Etat qui s’est dit satisfait du travail fait par les jeunes ingénieurs algériens de la DSTS, en charge de la confection des passeports biométriques. http://www.algerie1.com/actualite/les-premiers-passeports-biometriques-seront-emis-dans-15-jours/ | |
| | | berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
| Sujet: Re: Communauté algérienne à l'étranger. Mer 2 Jan - 21:40 | |
| [b]France: cinq Algériens, dont trois adolescents, périssent dans un incendie[b] - Citation :
- PARIS - Cinq personnes d'origine algérienne, dont trois adolescents de 12, 15 et 18 ans, ont péri dans l'incendie d'un immeuble à Gennevilliers, en région parisienne, mercredi matin, qui a également fait 18 blessés légers.
Le feu aurait débuté dans un appartement au 4e étage d'un immeuble de six étages et se serait propagé par l'extérieur au 5e étage, dans l'appartement où se trouvaient les cinq victimes, selon les pompiers.
Les causes de l'incendie ne sont pas connues à ce stade, mais a priori la piste criminelle est écartée, a confié une source policière dans la soirée.
Les victimes, d'origine algérienne, sont le père âgé de 49 ans, la mère, 44 ans et les enfants de 12, 15 et 18 ans, a indiqué le consul d'Algérie Abdelkader Dehendi, qui s'est rendu sur les lieux.
Il a précisé que les corps seront rapatriés lundi en Algérie pour être inhumés à El Oued (60 km au sud-est d'Alger), près de la frontière tunisienne, d'où la famille est originaire.
Les défunts se trouvaient dans le même appartement, au 5e étage d'un immeuble.
Leurs dépouilles ont été transférées à l'institut médico-légal de Paris pour une autopsie dont les résultats devraient être connus jeudi soir, a indiqué une source policière.
La police a été saisie de l'enquête.
Les pompiers ont été prévenus par une dame de 80 ans, habitante de l'appartement dans lequel l'incendie s'est déclenché dans la nuit. Sur place, 120 pompiers, 30 engins et 40 secouristes sont intervenus pour venir à bout du sinistre.
Alors que les flammes menaçaient d'embraser le 6e étage, les pompiers ont déployé une grande échelle, sauvant sept personnes dont un nourrisson, qui a été légèrement blessé. Deux pompiers ont également été légèrement blessés.
Aucune piste n'est pour l'instant privilégiée concernant l'origine de l'incendie. L'immeuble datant des années 1970, situé dans un quartier sensible de la commune populaire de Gennevilliers, au nord-ouest de Paris, était bien entretenu et avait été rénové il y a dix ans.
(©AFP / 02 janvier 2013 Mes condoléances au famille http://www.romandie.com/news/n/_France_cinq_Algeriens_dont_trois_adolescents_perissent_dans_un_incendie_RP_020120132131-25-301368.asp | |
| | | Rebell banni
Messages : 7649 Date d'inscription : 21/09/2012
| Sujet: Re: Communauté algérienne à l'étranger. Mer 2 Jan - 21:54 | |
| ah allah yarhamhoum | |
| | | berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
| Sujet: Re: Communauté algérienne à l'étranger. Sam 16 Fév - 16:47 | |
| Un chômeur algérien s’est immolé à Nantes (France) Par Mourad Arbani | 16/02/2013Allah ilahmou - Citation :
- Un algérien chômeur de 43 ans, Djamal Chaab, s’est immolé mercredi dernier devant une agence pôle emploi de Nantes(France) avant de succomber à ses graves brulures.
Cet algérien avec des papiers français était rentré de l’Algérie comme il le faisait tous les ans pour toucher ses diverses allocations avant de découvrir qu’il avait été sanctionné par l’organisme pour travail au noir.
Il avait appelé mardi l’organisme pour prévenir de ses intentions, mais ni les pompiers, ni la police, qui avaient été alertés, n’ont pu l’empêcher de passer à l’acte.
Selon le pôle emploi de Nantes, l’homme avait déposé fin décembre une demande d’allocation suite à une fin de mission en intérim. Mais “les conditions d’ouverture de droits à l’assurance chômage n’étant pas réunies, une demande d’allocation spécifique de solidarité (ASS) lui a été remise” selon le même organisme.
Il aurait travaillé sans le déclarer aux services du pôle emploi Nantes percevant ainsi des allocations en même temps que son salaire d’où l’application de la double peine dans pareil cas.
Le même organisme lui réclame ainsi le trop-perçu en plus il ne vas bénéficier de nouveau droits au chômage, selon les explications fournies aux médias français par un délégué CGT de pôle emploi Nantes.
Néanmoins une enquête judiciaire a été ouverte le ministère français du travail pour déterminer “ce qui a conduit à un tel geste de désespoir”.
http://www.algerie1.com/actualite/un-chomeur-algerien-sest-immole-a-nantes-france/ | |
| | | Rebell banni
Messages : 7649 Date d'inscription : 21/09/2012
| Sujet: Re: Communauté algérienne à l'étranger. Sam 16 Fév - 16:51 | |
| vraiment n'importe quoi ya que nous qui font sa --' comme si les french v'on pleuré sur lui il s'en foutent c hram on plus.. | |
| | | Zoubir8 Commandant
Messages : 1597 Date d'inscription : 11/04/2012 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Communauté algérienne à l'étranger. Mer 27 Fév - 18:49 | |
| Livre "La couleur du bistouri" de Redha Souilamas médecin algérien qui essaye de s'installer en France et qui finalement va aller s'installer aux USA. Paru le : 13/10/2012 Rédha Souilamas nous présente l'itinéraire d'un jeune médecin algérien venu à Paris à la fin des années 80 pour se spécialiser en chirurgie. Avec humour et sans concession, il raconte l'aventure des médecins étrangers dans le milieu médical français : la manière dont ils sont perçus par l'administration et leurs collègues du cru, les péripéties qu'ils vivent pour se former et enfin les barrières qui leur sont imposées pour exercer. Aperçu: « Je ne souhaite pas m’attarder sur les circonstances qui m’ont amené à quitter l’Algérie (où je suis né et ai vécu) pour la France. Je désirais simplement (je crois) rejoindre ma femme installée à Paris. Je débarque muni d’une valise dans laquelle se trouve un doctorat de médecine délivré par la faculté d’Alger, après de longues et fastidieuses années d’études, et l’idée de me spécialiser en chirurgie. Quelques jours après mon arrivée, je prends rendez-vous pour une éventuelle embauche comme stagiaire, dans le service de chirurgie d’un hôpital de la banlieue chic. Hôpital, où j’ai été opéré quelques années auparavant. »
Rédha Souilamas nous présente l’itinéraire d’un jeune médecin algérien venu à Paris à la fin des années 80 pour se spécialiser en chirurgie. Avec humour et sans concession, il raconte l’aventure des médecins étrangers dans le milieu médical français : la manière dont ils sont perçus par l’administration et leurs collègues du cru, les péripéties qu’ils vivent pour se former et enfin les barrières qui leur sont imposées pour exercer. | |
| | | Zoubir8 Commandant
Messages : 1597 Date d'inscription : 11/04/2012 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Communauté algérienne à l'étranger. Jeu 28 Fév - 13:07 | |
| Mais qu’ont-ils tous à se déchaîner contre ce pauvre imam Chalghoumi ?Modifié le 27-02-2013 Le Nouvel Obs Par Saad KhiariChercheur associé à l'IRIS LE PLUS. L'imam Chalghoumi déchaîne les passions depuis la sortie de son livre. Quand d'aucuns l'accusent d'être trop opportuniste et proche des puissants, d'autres l'encensent pour ses positions à l'égard d'Israël et du Crif. L'imam de Drancy fait grincer des dents. Qui est-il ? Que penser de lui ? On en parle avec Saad Khiari, chercheur associé à l'IRIS.Édité par Henri Rouillier Auteur parrainé par Pascal Boniface inSh Hassen Chalghoumi, imam de la mosquée de Drancy, photographié en 2010 (BALTEL/SIPA). Mais qu’ont-ils donc tous à se déchaîner contre ce pauvre Chalghoumi. L’imam auto-proclamé officie quoi qu’on dise, dans une mosquée à Drancy. Il peut y aligner quelques dizaines d’ouailles, dont probablement un grand nombre en service commandé. Alors où est le problème ? C’est vrai que pour être imam, il faut connaître le Coran, la pratique de la religion, bénéficier de l’estime et du respect de tous et être coopté par les fidèles. Des télés au dîner du Crif C’est vrai que Chalghoumi n’est pas tout à fait dans les clous. Il réfléchit en arabe s’exprime en sabir, ne fréquente pas les musulmans, mélange chéchia et cravate et préfère la compagnie des gens importants. Comme il vaut mieux faire envie que pitié, il fait ce qu’il faut pour, et il en a le droit. C’est vrai qu’il est sorti de nulle part. On dit qu’il est adoré par les juifs, détesté par les musulmans, invité à la télé et au dîner du Crif, gêné aux entournures, mais il plait, c’est l’essentiel et c’est son affaire. C’est vrai que c’est compliqué de faire ses ablutions quand on est en permanence chaperonné par deux policiers. Il faut savoir que les barbus ne l’aiment pas et qu’il le leur rend bien. Comme il se rase tous les matins et qu’il sait que ça les énerve, ces fous, alors il prend des précautions et c’est son problème. C’est vrai que ça fait désordre de ne pas être encore couché chez Ruquier. Le saltimbanque lui a fait monter le rouge aux joues en lui montrant un sexe de femme, la dame Natacha était perplexe et l’assistance a ri. Il a ri lui aussi. Peut lui chaut de ne pas traîner dans les mosquées à une heure aussi tardive. Il veut convertir là où il veut, quand il veut, et c’est son choix. Du voile intégral à la popularité rêvée S’il ne va pas dans d’autres mosquées c’est parce que ça sent les chaussettes, la misère et le chômage. La sienne à Drancy sent bon. Elle attire la presse, la télévision et le gratin. Alors il préfère être là et ça le regarde. C’est vrai qu’il aimait bien Ben Ali de Tunis. Sarkozy et MAM l’aimaient aussi. Comme les gens importants, il est fidèle en amitié et il a bien raison. C’est vrai qu’il était pour le voile intégral, mais c’était avant de découvrir en arrivant en France, que les filles sans voile c’est mieux ; pour l’œil en tout cas. Il a donc changé d’avis. Même les hommes politiques changent d’avis. Alors pourquoi pas un imam ? C’est un homme avant tout et c’est naturel. C’est vrai qu’il n’a pas demandé à être imposé aux musulmans de France comme leur seul représentant. Si on est venu le chercher c’est parce qu’il est le meilleur, pardi ! Et comme ça ne se refuse pas, il accepte et il est bien content. C’est vrai qu’il ne parle pas comme Tariq Ramadan, qu’il ne comprend pas ce que raconte Gilles Keppel, et qu’il n’est pas docteur comme Dalil Boubaker, mais il sait que c’est lui qui est dans le vrai puisqu’il est invité plus souvent qu’eux à la télé. C’est bon pour la notoriété ; alors il en profite et c’est ce qu’il cherche. C’est vrai que les siens ne l’aiment pas. Il pense que c’est à cause de la jalousie et que tôt ou tard il se fera aimer. Il rêve de détrôner Yannick Noah dans le cœur des Français. Il est sûr d’y arriver et il a le droit de rêver. L'imam de tous, tous, vraiment tous C’est vrai qu’il n’est pas un intellectuel puisqu’il se balade en gandoura jetable et qu’on lui pose toujours des questions faciles. D’ailleurs il n’aime pas les intellectuels parce qu’ils compliquent tout, alors que tout le monde dit que tout ça c’est la faute aux barbus. Lui, il aime les choses simples et il n’a pas le choix. C’est vrai qu’il plait à Marek Halter, à BHL et à Caroline Fourest, comme d’autres plaisent au Mollah Omar, à Mokhtar Belmokhtar et à l’AQMI. Il a le droit de choisir ses amis, comme tout le monde, n’est-ce pas ? C’est vrai qu’il ne parle jamais des Palestiniens, ni des colonies, ni de Gaza. Certes, il n’a jamais été là-bas, tout comme Kouchner et BHL. Il n’aime pas la guerre. Alors, il ira voir les Palestiniens quand il y aura la paix et quand il le décidera. C’est vrai qu’on l’appelle l’imam des juifs. Il est l’imam des musulmans d’abord, des juifs ensuite et bientôt des chrétiens. Et tant qu’à faire, autant viser le package abrahamique quand on en a la stature, et pourquoi pas ? C’est vrai qu’il n’est pas aussi beau que Le Père Di Falco. Il a un air de chien battu et le verbe boiteux. Il dit que la beauté est intérieure, c’est ce qui le rassure, et c’est bien trouvé. L'imam des exceptions C’est vrai que les musulmans ne l’aiment pas beaucoup parce qu’ils pensent que c’est l’imam de service. Il dit que c’est faux, que s’il ne les fréquente pas c’est parce qu’il n’aime pas les blédards, que leurs imams parlent mal le français et que tout compte fait, il vaut mieux se tirer par le haut. C’est son analyse. C’est vrai que cet imam c’est l’exception, que l’exception est nécessaire à la règle, que la règle c’est respecter la démocratie et que la démocratie c’est la voix du peuple. Et comme le peuple n’aime pas Chalghoumi, il ne pourra le prendre comme imam. C’est comme ça les religions ; on n’y peut rien : il faut rassurer les fidèles et mériter leur confiance. Il n’y arrive pas. Et s’il refuse de laisser sa place il priera tout seul à la mosquée de Drançy, avec ses garde-corps, et ça fera loufoque. | |
| | | Rebell banni
Messages : 7649 Date d'inscription : 21/09/2012
| Sujet: Re: Communauté algérienne à l'étranger. Jeu 28 Fév - 13:14 | |
| j'ai vu une emision sur lui c'est vraiment un traitre et rien de plus u_u | |
| | | Zoubir8 Commandant
Messages : 1597 Date d'inscription : 11/04/2012 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Communauté algérienne à l'étranger. Dim 31 Mar - 16:09 | |
| Il a inventé une nouvelle technologie médicale
Abdenour Abbas, un chercheur algérien, dans le Top 10 des innovateurs de moins de 35 ans en France
Lilia Oufella TSA L’élite algérienne à l’étranger continue de se distinguer. L’Algérien Abdennour Abbas, 33 ans, chercheur à l’université de Washington à Saint Louis, figure dans le Top 10 des lauréats de la première édition française du concours conduit par la Technology review, pour l’Institut américain de technologie de Massachusetts (MIT). Ce concours, dont les résultats ont été publiés le 21 mars dernier, permet de distinguer chaque année de jeunes talents de moins de 35 ans, dans les nouvelles technologies. Il est à l’origine de la célébrité de plusieurs génies comme : Mark Zuckerberg, fondateur de Facebook, Serguei Brin, co‑fondateur de Google, Max Levchin, co‑fondateur de Paypal, Linus Torvalds, développeur de Linux, Jack Dorsey, co‑fondateur de Twitter.
Une invention révolutionnaire au service des malades Originaire de Makouda dans la wilaya de Tizi Ouzou, Abdebour Abbas est l’inventeur de biocapteurs ultrasensibles à base d’anticorps artificiels pour le diagnostic médical. Sa technologie déjà brevetée consiste à faire des tests à domicile pour diagnostiquer des maladies comme la grippe, le cancer, le sida… en utilisant de la sueur, de l’urine ou du sang. Les malades n’auront plus besoin de se déplacer dans des cabinets médicaux et les hôpitaux pour diagnostiquer ce genre de maladies. « L’étape suivante est la création d’une start-up qui va mettre le produit sur le marché dans les prochaines années. L’objectif est de permettre aux individus de faire leur propre diagnostic médical à domicile en utilisant un test sur papier, d’une manière aussi simple qu’un test de grossesse », explique M. Abbas. Les tests en question seront sur le marché dans les très prochaines années, ajoute le chercheur qui imagine que « dans 10 ans, on aura moins besoin de médecins pour le diagnostic, mais on aura toujours besoin de leur suivi quand c’est nécessaire. Ces tests vont également permettre aux individus de connaître les risques qu’ils ont pour certaines maladies afin de se pendre en charge avant même que la maladie ne se déclenche. », a‑t‑il ajouté. Les Américains misent sur les talents
Abdenour Abbas explique à TSA le principe de ce concours qui donne toute l’importance aux jeunes talents : « contrairement à une certaine philosophie qui veut qu’on récompense les carrières et l’expérience, et donc l’âge, le MIT préfère récompenser le potentiel, c’est-à-dire des jeunes personnes qui commencent à faire des choses intéressantes et qui ont le potentiel d’avoir un grand impact sur la société ». En misant sur les jeunes talents, les Américains cherchent à asseoir leur domination sur le monde. « C’est une démarche orientée vers l’avenir. Les Américains savent que celui qui détient ces jeunes talents détient les futures multinationales ». Un étudiant algérien passionné par la recherche Abdennour Abbas est un produit de l’université de Tizi Ouzou, où il a obtenu un DES en biochimie en 2003. Passionné par la recherche, il décide d’aller continuer ses études en France, où il obtient un master puis un doctorat dans le domaine des nanotechnologies appliquées à la médecine à l’université de Lille 1 en 2009. Après le doctorat, Abdennour Abbas décide de quitter la France pour rejoindre l’Université de Californie aux USA puis l’Université de Washington comme chercheur associé. Pourquoi il a quitté l’Algérie
M. Abbas explique les raisons qui l’ont poussé à quitter l’Algérie : « si on quitte un endroit c’est parce qu’on n’est plus satisfait ni de l’environnement ni de notre propre rendement. C’est aussi pour une question de moyens ». Dans un premier temps, la France a offert à ce chercheur les moyens nécessaires pour faire ses recherches mais le manque de liberté en matière de recherche a poussé le jeune à aller aux États-Unis. « C’est une question de modèle et de philosophie du travail. D’ailleurs, il a fallu que le MIT américain vienne en France pour sélectionner les 10 meilleurs innovateurs de l’année. En France, on a un bon environnement de recherche, mais on aime bien tout encadrer, ce qui fait qu’il y a moins de liberté et moins de prise de risques, deux choses que j’aime beaucoup », ajoute M. Abbas. Au restaurant de l’université de Tizi Ouzou, la cuillère dans la poche Content de figurer parmi les 10 meilleurs jeunes talents du MIT, Abdennour Abbas rend hommage à sa famille. « J’ai pensé à mes parents, à ma famille qui a financé mon premier voyage en France. J’avoue que je me suis aussi fait repasser quelques bons souvenirs, comme la longue…très longue file d’attente que je faisais au restaurant universitaire de Hasnaoua à Tizi Ouzou, avec une cuillère dans la poche, il y a à peine 10 ans. J’ai un frère qui me dit que c’est toujours le cas aujourd’hui », raconte-t-il. Contre le retour des élites algériennes au pays M. Abbas ne prévoit pas de revenir travailler en Algérie. « On entend beaucoup parler du retour des élites algériennes établies à l’étranger. Je crois qu’on pose les mauvaises questions. La meilleure façon de bénéficier de ces compétences algériennes, ce n’est pas de leur demander de revenir, mais de favoriser et de financer des collaborations et des échanges entre ces chercheurs et les laboratoires dans les universités algériennes. Un transfert efficace et continu du savoir nécessite que ces gens-là restent à leur place, c’est à dire à la pointe des technologies. Il faut commencer à regarder les compétences algériennes à l’étranger comme une richesse à utiliser et non pas à rapatrier. » Abbas écœuré par le sort réservé aux génies en Algérie Dans un univers où la technologie avance de jour en jour, Abdennour Abbas pense que les jeunes de moins de 25 ans sont le seul espoir dans cette course folle aux nouvelles technologies. « Les jeunes de moins de 25 ans sont les seuls à pouvoir tenir dans cette course folle des nouvelles technologies. Je vous dis ça et j’ai 33 ans. Et puis, il n’y a pas plus triste qu’un talent gâché », dit-t-il. « Quand j’ai su que l’Algérie avait créé un lycée spécialisé pour les petits génies en mathématiques, je me suis dit qu’il y a des gens qui ont compris les vrais enjeux et qui essayent de tirer le pays vers le haut. Mais, quand je lis plus tard que ces petits génies se plaignent des conditions d’études, ça me fait vraiment mal au cœur », regrette‑t‑il.
30/03/2013 à 17:11 | 26 commentairesRéagir | |
| | | boussouf Admin
Messages : 2099 Date d'inscription : 20/11/2011
| Sujet: Re: Communauté algérienne à l'étranger. Dim 31 Mar - 18:57 | |
| @zoubir, merci pour le partage de l'info Nous ne pouvons qu'être fiers de ce jeune inventeur algérien expatrié. Je suis d'accord avec lui quand il dénonce les conditions de travail en Algérie. Je suis également d'accord avec lui quand il dit qu'il ne faut pas chercher à rapatrier les compétences algériennes à l'étranger mais les utiliser pour faire avancer des projets de recherche et d'innovation en Algérie. Mais je tiens à rappeler que cet inventeur a d'abord été formé dans une université algérienne et cela n'est rappelé ni par lui ni par la rédaction de TSA et c'est dommage. Cela ne m'étonne guère de la part de ce site qui fait plus dans la propagande antialgérienne qu'autre chose. Pour revenir au sujet, le potentiel existe en Algérie, il y a des gens qui travaillent dans l'ombre en dehors de toute publicité, il y a des compétences algériennes à l'étranger qui collaborent avec des laboratoires dans leur pays d'origine, sans attendre que les conditions deviennent idéales. Notre devise doit être: " Il ne faut pas se demander ce que notre pays peut faire pour nous mais se demander ce que nous pouvons faire pour lui" | |
| | | faty Colonel
Messages : 3229 Date d'inscription : 08/04/2012
| Sujet: Re: Communauté algérienne à l'étranger. Jeu 11 Avr - 14:48 | |
| Perquisition de la police belge au domicile d’un journaliste algérien en raison de ses écrits antisionistes - Citation :
- Le domicile du journaliste algérien installé à Bruxelles, Mohsen Abdelmoumen, correspondant du quotidien La Nouvelle République,
a été étrangement perquisitionné par la police belge. Aucune raison n’a été avancée pour justifier cette intrusion dans la maison de ce journaliste connu pour ses positions clairement affichées contre l’intégrisme islamiste, le sionisme et l’impérialisme. Trois courants qui ont le vent en poupe dans ce pays au bord de l’implosion, de plus en plus attiré par les pétrodollars des monarchies du Golfe. Choqué et surpris notamment par l’illégalité de la démarche policière, ce journaliste, qui se sent persécuté et menacé, interpelle vivement l’Etat algérien pour un sursaut d’orgueil afin de protéger ses patriotes qui vivent à l’étranger. «Je viens de subir une perquisition de la police judiciaire belge diligentée par le Parquet du procureur du roi, à mon domicile (...). Je pense que mes écrits dans le journal La Nouvelle République en sont la cause car la perquisition policière n’a pas lieu d’être et ne correspond à aucune procédure, puisque je ne relève d’aucun délit pénal auquel s’associent les perquisitions.» Un Etat fascisant Le journaliste dit avoir été menacé d’être emmené au commissariat en cas de refus de laisser les policiers visiter son appartement. «Mon seul délit, c’est mon patriotisme, je le revendique et je l’assume, ma plume s’aiguisant contre les mercenaires de l’Otan et les responsables pourris qui alimentent la contestation interne téléguidée par les forces impérialistes. Les sionistes, le Qatar et le royaume de l’émir des débauchés du Maroc, le vendeur de croissants Zitout et ses clients sont-ils derrière cette perquisition ? Qui a intérêt à me faire taire en me mettant la pression ? S’agit-il des criminels sionistes ainsi que leurs valets saoudiens et qataris ?» s’interroge-t-il. Et d’ajouter : «Est-ce que quand je défends l’intérêt de mon pays contre les charognards qui veulent le voir à feu et à sang, je dois subir une perquisition dans le pays des Schtroumpfs ?» Mohsen Abdelmoumen exprime vivement sa colère quant à ce grave précédent. «A ceux qui ouvrent souvent leurs gueules en Algérie en parlant de dictature, je les invite à visiter les centres fermés abominables du royaume de Belgique, cela va calmer les ardeurs des faux prophètes du Canvas et de Freedom House au sud comme au nord de ma patrie», assène-t-il, affirmant que ce petit pays européen «est devenu un Etat fascisant». Il fait état, dans ce contexte inquiétant, du «mauvais traitement que subissent les étrangers en Belgique. Témoignant de la terrible persécution des Algériens dans ce royaume, il appelle le gouvernement algérien à revoir ses relations notamment économiques avec ce pays. Sursaut patriotique «J’attends un sursaut des autorités algériennes. J’interpelle le président de la République, le ministre des Affaires étrangères ainsi que le secrétaire d’Etat à l’Emigration en lançant cet appel sans concession, car je n’ai commis aucun meurtre ni délit !» clame-t-il. Ce journaliste algérien, aux convictions démocratiques avérées, n’a jamais manqué d’audace dans ses écrits pour faire éclore la vérité, notamment sur les rapports troublants des pays du Golfe, le Qatar en tête, avec l’Occident. «L’Algérie et son peuple doivent savoir que les Occidentaux et les traîtres qui ont vendu leur patrie pour un titre de séjour ont commandité une perquisition contre moi, Mohsen Abdelmoumen, militant pour les droits des sans-papiers en Belgique où j’ai encadré l’une des plus grandes mobilisations en Europe et dans le monde», soutient-il. Cette attaque contre un journaliste dont le seul tort est d’avoir refusé de servir la cause déjà perdue en Algérie des salafo-sionistes du FIS en dit long sur la situation des droits de l’Homme dans ce pays censé être le cœur palpitant de l’Europe. Sonia B. algeriepatriotique.com | |
| | | houaridz Lieutenant Colonel
Messages : 3009 Date d'inscription : 05/10/2012 Localisation : tous près
| Sujet: Re: Communauté algérienne à l'étranger. Sam 13 Avr - 16:07 | |
| cela sent la compensation suite à l'incarcération du jeune algérien suite à sa tentative de viol,et cet idiot d'épicier n'a pas trouver mieux à faire que de tenté de violé un jeune de 14ans en plus fils d'un ambassadeur,je trouve cela vraiment louche | |
| | | houaridz Lieutenant Colonel
Messages : 3009 Date d'inscription : 05/10/2012 Localisation : tous près
| Sujet: Re: Communauté algérienne à l'étranger. Sam 13 Avr - 16:08 | |
| excusez moi j'ai oublié de mettre le lien: http://www.tsa-algerie.com/actualite/item/73-maroc-un-epicier-condamne-pour-tentative-de-viol-sur-le-fils-d-un-diplomate-algerien Maroc : un épicier condamné pour tentative de viol sur le fils d’un diplomate algérien Rafik Tadjer FacebookTweetGoogle +envoyer à un ami Un épicier marocain a été condamné, mercredi dernier, à une année de prison dont deux mois fermes par le tribunal criminel de Rabat, rapporte ce samedi le journal marocain Essabah. Il était poursuivi pour attouchements sexuels sur un mineur algérien, fils du vice-ambassadeur d’Algérie à Rabat, selon la même source. Les faits remontent au 23 mars dernier. Le fils du diplomate algérien était à l’intérieur de l’épicerie lorsque l’accusé s’est mis à le toucher à plusieurs endroits de son corps. Il a ensuite tenté de l’entraîner vers un endroit sombre de l’épicerie pour le violer. L’enfant, âgé de 14 ans, a alors pris la fuite et alerté ses parents qui ont porté plainte contre l’épicier. Selon le journal, l’épicier a rapidement été placé en garde en vue. Il a reconnu les faits devant le tribunal. | |
| | | berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
| Sujet: Re: Communauté algérienne à l'étranger. Dim 21 Avr - 9:31 | |
| Les universitaires algériens de Londres veulent contribuer au développement de l’Algérie - Citation :
- Algérie a la chance de compter une importante diaspora dans le monde. Particulièrement en France, au Canada, aux USA, en Angleterre. Cette diaspora est constituée de compétences détentrices d’un savoir et d’un savoir faire qu’elle ne demande qu’à mettre au service du pays. C’est dans cet esprit que les compétences algériennes vivant au pays de Sa Majesté ont tenu samedi une rencontre pour, justement, réfléchir aux voies qui leur permettraient de contribuer au développement du pays. La rencontre, selon la dépêche APS, datée de Londres, s’est tenue au siège de l’ambassade d’Algérie au Royaume.
Une cinquantaine de cadres de haut niveau, représentant plusieurs secteurs, y ont pris part. De multiples exposés ont été présentés, au cours de cette journée d’étude, sur des thèmes socio-économiques d’actualité comme le développement de l’énergie, les énergies renouvelables, les PME, la santé et l’enseignement de la langue anglaise en Algérie. Tous les intervenants ont exprimé et de façon enthousiaste leur désir d’être partie prenante dans la dynamique de développement national et sans contrepartie, “pour peu que des projets soient identifiés”.
L’ambassadeur d’Algérie au Royaume-Uni, Amar Abba a, pour sa part, affirmé la disponibilité du gouvernement à soutenir et encadrer la contribution des universitaires algériens établis à l’étranger au développement national. “La rencontre d’aujourd’hui a pour but d’organiser la contribution des universitaires membres de la communauté nationale du Royaume-Uni aux universités algériennes, notre objectif est que cette contribution soit encadrée par les autorités locales. Je crois beaucoup a l’apport que vous pouvez apporter en Algérie où le défi de la qualité a commencé”, a affirmé l’ambassadeur à l’ouverture des travaux de cette journée d’étude.
Les participants à la rencontre, dont certains ont déjà partagé leur expérience avec les universités algériennes au cours de dernières années, notamment à travers les universités d’été, ont montré une large disponibilité à aider les étudiants en Algérie dans leurs domaines respectifs. “Nous organisons des séances de formation en Algérie depuis un certain temps, il y a un énorme feed-back de la part des jeunes entrepreneurs en Algérie, dont certains ont des qualités extrêmement encourageantes qui peuvent faire d’eux des capitaines de l’industrie plus tard.
Notre rôle en tant qu’expert est de déceler ces jeunes et les soutenir”, a déclaré a l’APS M. Mustapha Kouriba, universitaire algérien installé à Manchester, qui a présenté un exposé intitulé “Business Education”. Cet expert, a l’instar des autres participants à la rencontre, a mis en exergue les efforts déployés par le gouvernement pour faciliter les échanges d’expériences entre les compétences de l’étranger et celles locales avec un objectif commun, la contribution au développement du pays.
Cette rencontre au Royaume Uni se situe dans le prolongement de celles tenues dans d’autre pays où cette diaspora à une présence. Mais force est de reconnaitre que c’est du côté des autorités nationales que l’on a du mal à donner un prolongement concret à ces manifestations d’intérêts pour servir le pays. http://www.algerie1.com/actualite/les-universitaires-algeriens-de-londres-veulent-contribuer-au-developpement-de-lalgerie/ | |
| | | Zoubir8 Commandant
Messages : 1597 Date d'inscription : 11/04/2012 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Communauté algérienne à l'étranger. Lun 13 Mai - 21:14 | |
| PORTAIL DES COMPETENCES NATIONALES http://www.algeriecompetences.gov.dz/fr/ COMMUNIQUÉ Il est porté à la connaissance des ressortissants immatriculés au Consulat Général d'Algérie à Paris qu'un portail web dédié aux compétences nationales établies à l'étranger a été mis en service le 15 avril 2013 à l'adresse suivante : http://www.algeriecompetences.gov.dz/fr/ Doté de trois banques de données (compétences - bourse des projets et entités), le Portail constitue une plateforme d'échanges interactifs permettant aux organismes algériens de rechercher les profils souhaités parmi les compétences nationales établies à l'étranger, susceptibles d'apporter leur contribution aux projets de recherche ou de développement. De même, les compétences nationales peuvent soumettre leurs projets personnels aux entités algériennes pour l'établissement de partenariats. La mise en place de ce portail a pour finalité l'établissement de liens étroits et interactifs entre l'élite algérienne expatriée avec son pays d'origine et la création de synergies entre les organismes nationaux demandeurs de ressources humaines de haute qualité et les compétences nationales établies à l'étranger. Dans ce cadre, une importance particulière est accordée à l'intégration des compétences nationales vivant à l'étranger, dans les projets de recherche scientifique et de développement engagés en Algérie. Les compétences nationales immatriculées au Consulat Général d’Algérie à Paris, sont donc invitées à s'inscrire sur la rubrique « Compétences » du Portail et à insérer leurs projets personnels dans la rubrique « Bourses des Projets ». Il est à préciser que l’inscription à ce portail dans la rubrique «Compétences», est un acte volontaire . | |
| | | Zoubir8 Commandant
Messages : 1597 Date d'inscription : 11/04/2012 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Communauté algérienne à l'étranger. Mar 4 Juin - 16:56 | |
| Nous avons demandé le gel des avoirs bancaires de Chakib KhelilOmar Aït Mokhtar à Algeriepatriotique : «Nous avons demandé le gel des avoirs bancaires de Chakib Khelil» Article 4. juin 2013 - 13:31 Omar Aït Mokhtar (à gauche), au tribunal de Paris. D. R. Algeriepatriotique : Le Mouvement citoyen algérien de France et le Conseil national de l’immigration ont déposé une plainte le 15 mai 2013 contre Chakib Khelil pour blanchiment de capitaux. Peut-on savoir ce qui a motivé cette initiative ? Omar Aït Mokhtar : Qui d’autre le fera à notre place ? Les affaires algériennes doivent se régler entre Algériens. Ce n’est pas aux voisins de nettoyer devant nos portes. Donc, là, nous ne faisons que notre devoir et rien d’autre. Malheureusement, c’est la justice italienne qui révèle ce scandale et pas la nôtre. Le MCAF s’est constitué partie civile à Milan et nous avons déposé une plainte à Paris pour blanchiment. Que les choses soient claires : à Paris, nous poursuivons les personnes citées à Milan pour les biens mal acquis – biens immobiliers et comptes bancaires bien garnis. Concernant les personnes physiques, surtout celles qui ont occupé des responsabilités importantes au sein de l’Etat, comme Chakib Khelil, c’est à la justice algérienne de s’en occuper ; cela relève de notre souveraineté. Vous savez que nos compatriotes installés à l’étranger subissent une sorte d’humiliation quand les médias évoquent tous ces scandales de corruption, surtout de la part de nos voisins marocains. Mais, aujourd’hui, leur regard a changé car eux ne pourront jamais imaginer agir de la sorte. Depuis le dépôt de la plainte vous avez été entendu par les gendarmes français chargés de l’enquête. Quelles sont les explications que vous leur avez fournies ? Vous savez, la justice est comme une machine. C’est nous qui avons sollicité le procureur de la République à Paris pour vérifier la provenance des fonds de ce clan cité à Milan (Chakib Khelil, Bedjaoui, etc.) et nous utilisons une loi simple et connue en France, celle contre le blanchiment. La section financière dépendant du procureur de Paris enquête, les gendarmes de la finance savent tout et nous menons aussi nos propres investigations. Toutefois, le procès de Milan conditionnera celui de Paris. Pour l’instant, nous avons demandé le gel des avoirs bancaires et la mise des biens immobiliers dans l’impossibilité de transaction. Le PDG d’Eni a tout avoué, avec précision. Il n’y a pas de souci à se faire, la vérité éclatera et nous allons récupérer les biens volés. La plainte a-t-elle concerné uniquement Chakib Khelil ou est-elle étendue à d’autres parties ? Encore une fois – et j’insiste sur ce point au risque de me répéter : partie civile à Milan, plainte à Paris pour blanchiment pour ce qui concerne les personnes citées dans le scandale de Milan. Le reste, c’est à la justice algérienne de faire son travail. Vous avez également intenté un procès à l’avocat du consulat d’Algérie en France et un journal arabophone algérien. Peut-on savoir pourquoi ? Je vous remercie infiniment de me poser cette question. J’ai vraiment besoin de mettre les points sur les «i». Beaucoup de nos compatriotes nous appellent parfois pour nous demander de l’aide ou pour se plaindre. Cela va du prix du billet d’avion au tracas au niveau des consulats. Un exemple : savez-vous qu’un Algérien installé à l’étranger peut effectuer un déménagement une fois tous les 5 ans avec sa carte consulaire, tout en étant exonéré des droits de douane à hauteur de 20 000 euros ? Une personne nous a appelés pour nous faire part de sa mésaventure survenue au consulat d’Algérie à Paris. Cette personne est allée renouveler ses documents et on lui a signifié qu’elle ne pouvait pas renouveler cette fameuse carte parce qu’elle a effectué un déménagement, alors que c’est faux. Avec la corruption généralisée de cette dernière décennie, il n’y a rien d’étonnant à cela. Surtout que ce n’est pas la première fois qu’on parle de ce scandale dans la presse. Le MCAF a rendu public un communiqué dans lequel nous avons appelé la communauté algérienne à être vigilante. Nous avons dit clairement qu’il se pouvait que des déménagements aient été effectués clandestinement au nom de tierces personnes et à leur insu. Le consul d’Algérie à Paris m’a attaqué en justice pour diffamation. Bref, un consul qui fait entrer un huissier étranger (français) dans cet espace diplomatique. Le fait que cet avocat soit le conseil exclusif de notre ambassade, de notre consulat, de Cheb Mami, d’Enrico Macias et j’en passe, est à mes yeux une forme de corruption, quand on connaît le nombre d’avocats algériens inscrits au barreau de Paris et en France en général. Le comble, c’est qu’il a publié une interview dans un journal arabophone où il s’est livré à une sorte de fatwa contre ma personne. Il a fait de moi un traître à la nation. Le titre était : «Omar Aït Mokhtar porte atteinte à l’Algérie». Malgré mon insistance à user de mon droit de réponse en faxant ma réponse dans les délais – moins de 10 jours –, le journal qui a publié l’interview a fait la sourde oreille. Alors, j’ai déposé une plainte contre cet avocat au bâtonnat des Hauts-de-Seine (Nanterre), pour menaces – j’en reçois depuis cette publication. J’ai aussi engagé un avocat pour faire de même contre le quotidien en question en Algérie. Voyez-vous, c’est l’avocat de l’ambassade, du consul d’Algérie à Paris, de Cheb Mami et d’Enrico Macias qui distribue les bons et les mauvais points. C’est lui qui décide qui est bon et qui est mauvais. Et dès qu’on s’attaque aux injustices, à la médiocrité, on lâche la meute. Je ne veux salir personne, par voie de conséquence, je refuse cette manière de salir les hommes propres. Vous avez révélé, et cela a été confirmé, que le consulat d’Algérie à Paris a versé la coquette somme de 200 000 euros, argent du contribuable, pour faire libérer le chanteur Mohamed Khelifati, dit Cheb Mami. Qui en a donné l’ordre ? Cette somme a-t-elle été remboursée ? Vous avez tout compris. Voilà pourquoi cet avocat a voulu faire de moi un mauvais Algérien. Il se croit tout permis. Franchement, je suis sidéré qu’un consul attaque un compatriote en justice à l’étranger, et quand j’ai vu cet avocat tristement connu, j’avais une envie folle de lui dire les quatre vérités. La question qui brûle les lèvres de tous les Algériens, c’est justement cette affaire des 200 000 euros que notre cher ambassadeur lui a confié dans le procès de Cheb Mami. Je vous donne le lien d’une vidéo, je vous prie de la mettre à la portée de tous les Algériens. C’est scandaleux. Cette somme doit être remboursée par Cheb Mami ou l’avocat, M. Lasbeur, ou alors Son Excellence l’ambassadeur, M. Sbih. Il s’agit bien de l’argent du peuple algérien. Le MCAF fait montre d’une grande détermination à défendre les intérêts de l’Algérie dans l’Hexagone. D’où tirez-vous la force pour rester mobilisés dans ce combat ? C’est un état d’esprit. Je crois fort en nos capacités à relever tous les défis. Je suis convaincu que l’Algérie se surpassera. Nous avons les moyens pour réussir. La première richesse d’un pays est son peuple. Malgré les problèmes de gestion et d’organisation, nous avons à chaque fois étonné le monde, la toute dernière, c’est la manière dont notre armée a géré l’attaque terroriste de Tiguentourine, à In Amenas. J’ai pleuré. J’avais une sensation que je ne peux décrire. Si notre pays est jalousé, c’est parce qu’il est beau, sauf que nous ne nous en rendons pas compte. Nous sommes à un virage, nous devons bien le négocier. Je souhaite qu’il y ait des élections présidentielles avant la fin de l’année pour élire un homme qui donnera un nouvel élan à notre pays, puis qu’il y ait des élections générales dans le respect et le calme. Nous avons plus que besoin de cette légitimité indispensable. Toutefois, je souhaite un prompt rétablissement à M. Abdelaziz Bouteflika qui doit prendre sa retraite et se reposer. Il a fait ce qu’il a pu. Ce n’est pas la peine de s’attarder sur le passé ; parlons de l’avenir. Les hommes passent, l’Algérie restera. En Algérie, il devra y avoir désormais une seule catégorie d’Algériens, tous égaux avec les mêmes devoirs et les mêmes droits. Y a-t-il une forte mobilisation de notre communauté établie à l'étranger autour de votre action ? Vous savez, j’ai l’impression qu’on est plus au courant quand on se trouve à l’étranger. Cela se remarque à chaque événement heureux dans notre pays. Pendant la décennie noire, la communauté algérienne, comme pendant la guerre de Libération, était d’un soutien extraordinaire. Ici à Paris, autour de journalistes, je me rappelle qu’il y avait des manifestations de soutien, des galas… Et pendant le match contre l’Egypte pour la qualification en Coupe du monde également. Aujourd’hui, concernant cette affaire de corruption Eni-Sonatrach, je suis fier de vous annoncer que des intellectuels, des artistes, etc., me contactent pour en savoir un peu plus et, surtout, me conseiller et me mettre en garde contre d’éventuelles manipulations – cette fameuse main de l’étranger. A chaque rencontre, je déduis une chose : l’amour unanime qui est porté à notre pays. Nous exprimons une réelle envie de nous rassembler et de réussir ce passage vers l’après-Bouteflika dans l’humilité. C’est dans l’intérêt de tous. Interview réalisée par Amine Sadek | |
| | | Rebell banni
Messages : 7649 Date d'inscription : 21/09/2012
| Sujet: Re: Communauté algérienne à l'étranger. Mar 4 Juin - 21:03 | |
| normalement ce traître devrait etre exécuté sur la place des martyre devant tout le monde que sa servent d'exemple a tout ceux qui veulent trahir la mémoire des chouhada pour leur propre compte | |
| | | berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
| | | | berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
| Sujet: Re: Communauté algérienne à l'étranger. Ven 26 Juil - 17:32 | |
| Accident de train en Espagne: Un Immigré Algérien parmi les victimesL´Espagne est endeuillée par un tragique accident de train sans précédent. Au moins 78 personnes ont perdu la vie et 178 autres ont été blessées dont 94 étaient toujours hospitalisés ce vendredi, 35 dans un état critique et Parmi les corps identifiés, figurent ceux de trois étrangers, un Algérien, un Mexicain et un Américain, a déclaré à la presse Antonio del Amo, responsable de la coordination de la police scientifique.De valence (Espagne) De Notre correspondant
- Citation :
- Le défunt, Chiad Mohamed qui vivait à Gandia, une localité de Valence, a laissé derrière lui 5 enfants, 4 garçons et une fille. Tous des mineurs, l´ainé a juste 9 ans, les plus petits, des jumeaux ne dépassent pas les 18 mois. Âgé de 45 ans, Mohamed est originaire de la ville d´Alger.
Au chômage depuis longtemps, le malheureux se rendait à la ville de la Corogne pour travailler avec son ami à la foire médiévale. Mais cette fois ci, le destin l´a amené à prendre le mauvais train. « Mohamed a l´habitude de travailler avec moi de temps en temps dans les foires médiévales» nous a expliqué son ami Nabil C, contacté par el watan « je l´ai eu au téléphone avant son départ de Madrid, évidement juste après que l´information est tombée, je me suis rendu sur place, c´est un moment très difficile et délicat » a poursuivi Nabil, très attristé par ce malheureux événement. L´épouse du défunt accompagnée de deux de leurs amis, sont arrivés ce vendredi matin, à l´hôpital pour identifier le cadavre. Le corps du défunt sera rapatrié au milieu de la semaine prochaine pour être inhumé à Alger, dans sa ville natale. Aussitôt, informé le consulat d´Algérie à Alicante a mis en place une cellule de crise, et une délégation a été dépêchée au domicile du défunt à Gandia. Par ailleurs, l´ambassade d´Algérie à Madrid, a envoyé un représentant sur le lieu du drame pour s´en occupé des procédures nécessaires. L’accident, survenu mercredi soir, faut- il le rappeler, s’est produit à trois kilomètres de Saint-Jacques-de-Compostelle, au niveau de la localité d’Angrois, dans un virage où la vitesse est limitée à 80 km/h. Le train, un ALVIA 730, qui transportait 220 passagers, aurait roulé deux fois plus vite au moment de l’accident.Cette catastrophe ferroviaire est l'une des plus graves jamais survenues en Espagne. En 1944, une collision entre un train qui effectuait lui aussi la liaison entre Madrid et la Galice et une locomotive avait fait des centaines de morts. En 1972, 77 personnes avaient été tuées dans le déraillement d'un train qui reliait Cadix à Séville, en Andalousie.Un deuil national de trois jours a été décrété à la suite de cette tragédie. Ali Ait Mouhoudhttp://www.elwatan.com/une/accident-de-train-en-espagne-un-immigre-algerien-parmi-les-victimes-26-07-2013-222479_108.php | |
| | | berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
| Sujet: Re: Communauté algérienne à l'étranger. Dim 28 Juil - 11:36 | |
| Italie : Un algérien violement battu par des racistes italiensUn algérien établi en Italie depuis 20 ans, a été violemment battu, la semaine écoulée, par ces voisins italiens. Cet incident n’est pas –en effet-, le premier de son genre, où les algériens font face quotidiennement à des comportements haineux et racistes. - Citation :
Echorouk a appris du frère de la victime répondant aux initiales de « Messaoudi Abbas », issu de la wilaya de Batna, que ce dernier était sur le chemin du retour vers son domicile familial sis à « Carpi », lorsque sa voisine qui était en état d’ivresse avancé s’en est prise à l’immigré algérien, en usant des propos racistes et haineux. Selon le frère de la victime, les voisins de ce dernier avaient pris l’habitude de tenir des propos racistes et « maladroits » à l’encontre de tout ce qui est algérien et maghrébin. Ces derniers ont violement battu le ressortissant algérien, les accusant d’avoir agressé une femme qui était en d’état d’ivresse. La victime algérienne a subi plusieurs fractures au niveau du visage, et des plaies dans les différentes parties de son corps. Ce dernier a intenté un procès contre ces voisins mais l’un des policiers italiens lui avait répondu « si la vie ne te plait pas ici retournes chez toi ».Etant si choqué, la victime avait contacté le consulat algérien à Rome, pour mettre terme à ce calvaire, subis quotidiennement par les algériens. http://www.echoroukonline.com/ara/articles/173090.html | |
| | | berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
| Sujet: Re: Communauté algérienne à l'étranger. Ven 28 Fév - 17:15 | |
| [size=30] Il est temps de penser à développer nos propres technologies[/size] NOUREDDINE MELIKECHI. Physicien algérien à la NASANoureddine Melikechi est physicien spécialisé en lasers. Il préside actuellement l’Algerian American Foundation For Culture, Education, Science And Technology (AAFEST), une fondation basée à Washington, aux Etats-Unis. Il a pris part aux conférences Fikra à Alger début février. - Citation :
- Vous avez assisté aux conférences Fikra (les 8 et 9 février 2014) à l’hôtel El Aurassi à Alger. Vous plaidez pour des débats fructueux, passer à la phase concrète. Comment y arriver dans un pays qui semble s’habituer aux occasions ratées ?
Ces conférences Fikra sont bien organisées. C’est un débat d’idées. Et tout ce qui est débat est à prendre. Il faudrait qu’on passe à des actions concrètes. Quelque chose doit sortir des idées débattues de façon à ce que la société puisse en profiter aussi. Il faut faire confiance aux jeunes Algériens, ici ou ailleurs, et qui ont des compétences avérées dans plusieurs domaines. Le pays doit profiter de ces compétences pour avancer. Il est temps de penser à développer notre propre technologie. Mais, il est nécessaire d’avoir un environnement propice pour réaliser ces projets Justement, que manque-t-il à cet environnement ? Beaucoup de choses ! Il est nécessaire de mener des études pour aller dans les détails, savoir ce qui manque. On ne peut pas aujourd’hui gérer des centres de recherches, développer les technologies avec des lois qui ont montré leurs limites. Il faut avoir le courage de changer ce qui ne marche pas, prendre exemple sur des pays comme les Etats-Unis, le Canada, le Brésil ou l’Inde. J’ai eu l’occasion de travailler en Inde et je peux dire que dans ce pays des choses merveilleuses ont été réalisées. Nous avons en Algérie la ressource humaine. Il faut lui faire confiance de sorte à ce qu’elle puisse contribuer au développement du pays. Actuellement, ce n’est pas le cas. Pourquoi ne fait-on pas confiance aux jeunes Algériens ? Faut-il croire à un conflit de générations ? Je pense que cela est lié à la volonté de tout contrôler. C’est devenu asphyxiant. Il faut laisser passer l’oxygène, désamorcer les choses, laisser les gens travailler ici ou ailleurs et avancer ! Avoir de la liberté d’entreprendre. Il existe des obstacles devant les jeunes qui veulent lancer des entreprises ou devant ceux déjà sur le terrain. Le monde avance. Il faut qu’on bouge, si l’on ne veut pas être à la traîne. Nous n’avons plus le choix ! L’Algérie, sur le plan scientifique, est en retard. Quel est le moyen le plus efficace pour rejoindre la marche du monde ? D’abord, il faut avoir une stratégie. Qu’on donne les moyens aux chercheurs et aux enseignants. Tout commence au niveau de l’école primaire. L’innovation nese fait pas dans un petit cadre ou dans un laboratoire, mais partout. La société doit comprendre que les scientifiques peuvent contribuer au développement du pays. Il faudrait qu’on fasse confiance à nous-mêmes. Pour cela, il est nécessaire d’adopter une stratégie, une vision globale pour sortir du sous-développement. Le pays doit se doter d’une vision globale pour les sciences et les technologies Le budget pour la recherche scientifique en Algérie est très faible, insignifiant. Ce n’est pas uniquement une question d’argent, mais de stratégie. Une fois les objectifs précisés, il sera facile d’élaborer le budget nécessaire, mais il faut supprimer les obstacles administratifs. Avoir de l’argent sans pouvoir le dépenser, cela ne sert à rien. Les blocages doivent disparaître, car la technologie avance vite. Bill Gates disait bien que la technologie a la durée de vie d’une banane ! Dans le domaine de l’innovation et de la recherche, y a-t-il de la place pour tous les pays dans le monde d’aujourd’hui ? L’Algérie a et devrait avoir sa place ! L’Algérie a des ressources humaines, un territoire immense, des problèmes qu’elle peut résoudre grâce à la science. La technologie joue un rôle de plus en plus important dans la vie contemporaine. Un rôle davantage plus important dans le futur. Il est temps de prendre cette question au sérieux ! Au lieu d’importer les savoir-faire, il est préférable de développer nos propres technologies. L’importation est une solution trop facile. Elle n’est pas durable. Chaque puissance a ses propres intérêts, c’est à nous de prendre en charge nos problèmes et de trouver des solutions basées sur la science, que ce soit pour la santé, pour l’environnement, l’eau, la sécurité, l’industrie… Croyez-vous à l’idée de transfert de technologies ? Je crois à l’idée de faire confiance aux générations algériennes. Même si elles font des erreurs pendant un certain temps, il faut compter sur elles. Cela aura un impact sur l’économie, sur la vie quotidienne des citoyens et sur le niveau intellectuel global Que peuvent faire les Algériens établis à l’étranger ? La plupart des Algériens qui sont à l’étranger veulent contribuer au développement technologique de l’Algérie et font tout pour y parvenir. Mais, il faut qu’on s’organise d’abord à l’étranger, ensuite avoir des interlocuteurs en Algérie. Des interlocuteurs qui veulent du concret, travailler en partenariat. Nous avons un espace aux Etats-Unis dans lequel nous discutons sérieusement. Il s’agit de l’Algerian American Foundation For Culture, Education, Science And Technoloy (AAFEST, créé en 2010 à Washington par Elias Zerhouni). Nous avons un board de douze personnes et nous voulons relancer cette fondation pour réaliser des projets concrets en Algérie avec les Algériens. Sans cela, on perdra notre temps. Est-il possible d’avoir une Silicon Valley en Algérie ? Nous ne sommes pas obligés de réaliser une Silicon Valley. On peut faire une vallée d’autres choses. Une vallée solaire, par exemple. Qu’est-ce qu’on fait avec le gaz naturel ? On peut créer une vallée pour faire des recherches sur l’utilisation du gaz naturel. On peut voir nos propres richesses et savoir comment les utiliser, les exploiter au mieux. Avec le gaz et le soleil, l’Algérie pourrait devenir un leader mondial dans le domaine de l’application de ces deux énergies. Nous ne devons pas attendre pour que certains viennent nous dire : «Vous avez le gaz de schiste !» Tout cela dépend de notre capacité, notre volonté de croire en nos richesses, en particulier humaines. Faut-il parler d’absence de volonté politique ? Je ne sais pas qui bloque tout cela, mais je sais qu’il existe une immense bureaucratie en Algérie. Il est évident que le politique joue un rôle important… Qu’en est-il de votre expérience à la NASA (National Aeronautics and Space Administration, agence spatiale américaine) ? Je suis à l’université de l’Etat de Delaware (située à Newark, nord-est des Etats-Unis, 20 000 étudiants) et je suis membre de l’équipe scientifique de la NASA (Mars Science Laboratory). La NASA a dix instruments qui sont sur la planète Mars. Je fais partie de l’équipe Curiosity. Nos recherches sont axées sur l’idée de savoir si la planète Mars est habitable ou a été habitée à un certain moment. Mon domaine particulier est la physique atomique, la physique des lasers. Je suis le physicien du groupe. Avez-vous obtenu des résultats avec le Curiosity rover (lancé en août 2012) ? De très bons résultats ! Nous essayons de comprendre ce qui se passe sur Mars en utilisant mon propre domaine : les lasers. Je contribue donc en étudiant les données qui nous parviennent de Mars chaque jour. Nous élaborons les conclusions en équipe à partir de ces données. J’analyse le résultat des lasers que nous avons sur Mars. A partir de là, nous essayons de comprendre. Il s’agit de problèmes complexes, mais nous sommes nombreux à intervenir pour les étudier. Pourquoi la NASA s’intéresse-t-elle à Mars justement ? Il y a de nombreuses raisons. Nos ancêtres regardaient depuis la nuit des temps vers d’autres planètes pour savoir s’il existait une vie ailleurs. Mars suscite l’intérêt technologique et intellectuel, parce qu’elle est potentiellement habitable. Il faut le prouver pour le dire. Pour «se poser» sur Mars, il y a toute une technologie à développer. Nous venons d’obtenir ce qu’on appelle les empreintes digitales de Mars par le biais du laser. C’est la première fois qu’on obtient ce genre de résultat d’une autre planète. Des avancées importantes ont été réalisées grâce à cette mission Curiosity. Les retombées technologiques sont immenses… Le projet Curiosity vous a-t-il pris beaucoup de temps ? Presque dix ans ! Dix ans pour élaborer le design de Curiosity. Curiosity est le robot le plus sophistiqué au monde. Il fonctionne parfaitement bien. Il est sur Mars depuis presque deux ans. C’est un projet qui a mobilisé deux milliards dedollars, 1000 ingénieurs et 400 scientifiques. A un moment donné, les gens ont pensé qu’il était impossible d’aller sur Mars avec un instrument dont le poids est presque d’une tonne (899 kg). Quand on veut, on peut. L’équipe scientifique a résolu pas mal de problèmes. Par conséquent, l’homme, grâce à la NASA, a un laboratoire sur Mars. Un autre Curiosity est-il possible ? La NASA prépare effectivement un autre Curiosity pour 2020. La NASA va probablement annoncer ce projet en avril prochain. L’Agence a lancé un concours pour sélectionner les meilleurs designers. La prochaine mission s’appellera «Mars twenty twenty» (Mars 20 20). La mission Curiosity devait répondre à la question : «Mars est-elle habitable ?» La réponse est oui ! La deuxième mission devra répondre à la question : «Existe-t-il une vie ?» Mars 20 20 devra retrouver les traces de vie sur Mars. Bio express :Né en 1958 à Thénia, Noureddine Melikechi, physicien atomique, chercheur à la NASA, a fait ses études en Algérie et en Angleterre. Il se retrouve actuellement aux Etats-Unis. Il compte parmi les physiciens les plus en vue et faisait partie du groupe de travail qui a lancé Curiosity sur Mars. http://www.elwatan.com/culture/il-est-temps-de-penser-a-developper-nos-propres-technologies-28-02-2014-247362_113.php | |
| | | berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
| Sujet: Re: Communauté algérienne à l'étranger. Lun 21 Avr - 17:40 | |
| [size=31] Soudan : Enlèvement d’un citoyen algérien[/size] Une pensé aux familles pour ces deux Algériens au Soudan un otage et bon rétablissement au blessé - Citation :
- Un citoyen algérien a été enlevé au Soudan lors d’une attaque armée qui a ciblé, vendredi dernier, un champ pétrolier dans la province de Kordofan-Ouest, a indiqué hier le ministère des Affaires étrangères.
« L’enlèvement a eu lieu le 18 avril courant lors d’une attaque par un groupe armé d’un champ pétrolier dans la province de Kordofan-Ouest où notre ressortissant travaille pour le compte d’une société soudanaise », a précisé le porte-parole du ministère des Affaires étrangères (MAE), Abdelaziz Benali Cherif, dans une déclaration à l’APS. « Un deuxième ressortissant a été blessé dans la même attaque, mais ses jours ne sont pas en danger. Il se trouve actuellement en sécurité dans un hôpital de Khartoum où il a bénéficié d’une prise en charge médicale adéquate », a-t-il souligné. L’ambassade d’Algérie au Soudan « qui s’est mobilisée pour assister et soutenir le citoyen algérien blessé, est en contact permanent avec les autorités soudanaises qu’elle a appelées à prendre toutes les mesures nécessaires pour la libération rapide de notre concitoyen enlevé », a-t-il ajouté. http://www.elmoudjahid.com/fr/flash-actu/13629 | |
| | | berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
| Sujet: Re: Communauté algérienne à l'étranger. Jeu 1 Mai - 19:42 | |
| Attaque armée au Soudan : L’Algérien blessé regagne Alger - Citation :
- L’Algérien blessé lors d’une attaque armée qui a ciblé, le 18 avril dernier, un champ pétrolier dans la province de Kordofan-Ouest (Soudan), a regagné jeudi Alger, a annoncé le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Abdelaziz Cherif-Benali.
Lamraoui Nacer-Eddine, qui avait bénéficié d’une prise en charge médicale « adéquate » dans un hôpital à Khartoum, a été accueilli par les membres de sa famille, a-t-on indiqué. L’ambassade d’Algérie au Soudan s’est mobilisée pour assister et soutenir le citoyen algérien blessé, avant qu’il ne soit rapatrié, a-t-on ajouté. Un autre citoyen, rappelle-t-on, a été enlevé lors de l’attaque, par un groupe armé, du champ pétrolier où il travaillait pour le compte d’une société soudanaise. Le porte-parole du MAE a indiqué que l’ambassade d’Algérie est en contact « permanent » avec les autorités soudanaises qu’elle a appelées à prendre « toutes les mesures nécessaires » pour la libération « rapide » du citoyen enlevé.(Aps) http://www.algerie1.com/flash-dactu/attaque-armee-au-soudan-lalgerien-blesse-regagne-alger/ | |
| | | berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
| Sujet: Re: Communauté algérienne à l'étranger. Sam 3 Mai - 18:20 | |
| Billets d’avions, Ansej, accès au logement…Bouteflika tiendra-t-il ses promesses à l’égard des Algériens de l’étranger ? - Citation :
Djamel Bouras est député de la communauté algérienne pour le Nord de la France. Il a également dirigé la campagne électorale du président Abdelaziz Bouteflika en Europe. Il répond aux questions concernant les promesses de Bouteflika pour les Algériens de l’étranger. Différentes promesses ont été faites durant la campagne présidentielle par Abdelaziz Bouteflika pour la communauté algérienne établie à l’étranger comme l’accès au logement, au dispositif l’Ansej…. Comment concrètement ces mesures vont-elles être mises en place ? Il y a effectivement eu des propositions autour de la garantie obsèques, du logement et d’autres points encore. On attend que le nouveau gouvernement soit mis en place pour voir concrètement comment ces projets vont être développés et appliqués. Donc on attend. Mais les problèmes sont réels. Exemple : si on parle du transport par avion, on peut dire que la communauté algérienne est entrain de souffrir. Le billet d’avion Paris Alger avec Air France fait 780 euros durant la période estivale. Le billet d’avion avec Aigle Azur est à 750 euros, avec Air Algérie c’est à 680 euros. La communauté algérienne en France, n’a pas les moyens pour de tels tarifs. C’est trop cher. Par rapport à d’autres pays comme la Tunisie et le Maroc qui ont des vols charters et qui proposent des billets à 150 euros ou 200 euros, ça nous fait des billets quatre fois plus chers pour les Algériens. C’est énorme. Amar Ghoul, ancien ministre des Transports avait promis durant la campagne électorale, au profit de M. Bouteflika, des billets d’avion moins chers et des vols charters. Cela sera-t-il mis en place cet été ? Justement c’est ce qu’on souhaite. Je souhaite que ce soit appliqué cette année. Ça traine depuis des années. J’espère que ça sera appliqué pour l’été prochain. Mais je n’ai pas de dates. Quelles seront les premières étapes dans la concrétisation de ces projets ? Si on parle du logement, il faut d’abord mettre en place des banques algériennes en France pour permettre des prêts bancaires et ouvrir ainsi accès au logement en Algérie. Nous ne visons pas le logement social, on sait qu’il est destiné à ceux qui n’ont pas les moyens, en Algérie. La communauté algérienne souhaiterait pouvoir souscrire aux logements de l’état qui ont des prix raisonnables. La communauté algérienne a le droit d’accès à ces logements, parce que ce sont des Algériens comme tous les autres. Concernant l’accès au dispositif de l’Ansej. Il est question de permettre aux Algériens établis à l’étranger de pouvoir obtenir jusqu’à 10 millions de dinars pour la création d’entreprise… On attend que le nouveau gouvernement se mette en place. On attend de voir ce que le ministre va proposer devant l’Assemblée nationale et ce qui est prévu dans ce sens-là. Je pense que ce sera avant la fin de l’année. Et concernant les entreprises localisées à l’étranger détenues par des Algériens qui devraient pouvoir répondre à des appels d’offre publics nationaux ? Les sociétés détenues à l’étranger par des Algériens d’origine vont avoir le droit de participer aux appels d’offre. Mais là c’est pareil on attend ce qui va être proposé. Il y a aussi un autre dossier important : les Algériens résidents à l’étranger ne peuvent pas être actionnaires à plus de 49 %, ils sont considérés comme des étrangers. L’argument entendu jusque-là est que les Algériens de l’étranger ont droit qu’à 49 % du capital car ils peuvent en réalité être associés à des étrangers sans le déclarer. Mais ça n’a aucun sens car les Algériens en Algérie peuvent également être associés avec un étranger, sans le dire. Sur les papiers, il met qu’il est actionnaire à 51 % mais ça peut être moins. Qu’est-ce qui prouve qu’il est réellement détenteur de 51 % du capital ? Qu’en est-il de l’ouverture de banques algériennes à l’étranger ? C’est un point important. Des banques françaises sont déjà en Algérie. Il faut des banques algériennes en France. Il y a déjà des banques marocaines, tunisiennes, turques en France. Mais ce point, à mon avis, sera développé. J’ai parlé moi-même avec le Premier ministre Abdelmalek Sellal, il y a deux ou trois mois, il a confirmé que la Banque Extérieure d’Algérie (BEA) qui est présente à Paris aura des agences en France dans les grandes villes. Qui sera chargé de mettre tout cela en œuvre ? Je ne sais pas encore. Notre souhait est qu’il soit placé un secrétaire d’état chargé de la communauté algérienne à l’étranger qui soit d’origine d’algérienne et qui réside à l’étranger. On ne peut pas nous mettre quelqu’un d’Algérie qui ne connait pas les problèmes qu’on rencontre à l’étranger. http://www.tsa-algerie.com/2014/05/03/billets-davions-ansej-acces-au-logementbouteflika-tiendra-t-il-ses-promesses-a-legard-des-algeriens-de-letranger/ | |
| | | DR LECTER Admin
Messages : 792 Date d'inscription : 15/05/2011
| Sujet: Re: Communauté algérienne à l'étranger. Lun 12 Mai - 13:03 | |
| - Citation :
- Le blues des maîtres des sciences de l’ingénieur de la diaspora algérienne
http://lecercle.lesechos.fr/economie-societe/international/afrique/221197482/blues-maitres-sciences-ingenieur-diaspora-algerienn Soit maudites toutes ces immondices au pouvoir qui vident l'espoir et l'amour au coeur pour la nation et son bien de notre propre sang a l'étranger. ..en plus ces pourritures vident les poches des algeriens pour les leurs sans vergogne, je répète qu'ils soient maudits jusqu'à ce que leur descendance disparaissent puisqu'ils baignent allègrement dans ce niveau de vie qu'ils échangeaient pour rien au monde, ne perdons pas lespoir VOUS etes notre meilleur transfert de technologie, et nos meilleurs alliés | |
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| Sujet: Re: Communauté algérienne à l'étranger. | |
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| | | | Communauté algérienne à l'étranger. | |
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