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samir_reghaia a écrit:

sukhoi 30mka a écrit:

samir_reghaia a écrit:

sukhoi 30mka a écrit:: allah yahfad l'algerie , pour la premiere fois je sens une peur terrible , je ne sais pas qui sont ces gens qui se disent du mouvement barakat , mais ca me donne une idée franche une manipulation qui en dis long

Il est possible qu'ils soient manipulés, c'est toujours le risque, mais franchement le gouvernement leur donne tout le carburant nécessaire pour rassembler le peuple. Franchement... un Président qui n'est même pas capable de dire une phrase à la télé. C'est la goutte qui fait déborder le vase. Ce sont eux qui créent l'instabilité avec leur gestion calamiteuse du pays.

donc tu es pour la destabilisation ?, au moin le FFS et le RCD ont compris le message et parlent de manipulation , eux au moin ils sont contre l'anarchie

Arrêtez avec votre propagande, y'en a marre. Ca EDIT RIMONIDZ. "Si tu veux un changement, donc tu est pour la destabilisation. Sinon, EDIT RIMONIDZ". C'est ça le message du gouvernement et tu sembles y adhérer. Je te dis que la plus grande destabilisation pour ce pays c'est son propre gouvenerment car il se mets le peuple à dos et il joue avec les institutions de l'Etat pour protéger les interêts de certains clans. Il faudra bien passer à autre chose un jour car de toute évidence ça ne marche pas.
Deux solutions:
- Soit on laisse pourir la situation et dans moins de 10 ans on aura une révolution à l'égyptienne, avec tout ce que cela implique comme "déstabilisation".
- Soit le peuple se mobilise et commence à faire pression de manière constante pour que ce système se réforme.
Il n'y a pas de troisième choix!
Ceux qui pensent qu'un prophète va descendre et réformer le système sans qu'il y ait un support notable du peuple sont de doux rêveurs. Personne ne va se mettre tous les clans et lobbys à dos, afin de donner plus de pouvoir aux institutions pour qu'elles le contrôlent et le jugent lui même par la suite. Very Happy

Ca s'appel se tirer une balle dans le pieds.

Ca me gonfle cette réthorique à deux balles où ceux qui se contentent d'un système pourri accusent les autres de vouloir "déstabiliser" le pays, comme s'ils n'étaient pas patriotes. Le meilleur moyen de faire couler ce pays est de ne rien demander, de ne rien réclamer et de laisser les choses se passer sans demander de comptes.
Pour reprendre une phrase célèbre... "y Khawfou fina"... Very Happy

EDIT RIMONIDZ : également pour toi, avertissement, pas d'écart de language, respect et dialogue sont de mise.

donc pour toi celui qui pour un changement , il est pour la destabilisation ?
c'est ton point de vue , que je respecte , et j'aimerai que tu fasses de méme , je n'ai rien contre le changement , mais j'ai le droit de dire que personne n'a le droit de fermer la gueule de personne , si tu appeles ca de la democratie alors la faut arreter tout de suite de demander le changement , bon pour ceux qui appelent a manifester et faire une revolution eux mémes etaient dans le pouvoir depuis 10 ans , et la derniere c'est celui de benflis qui reclame haut et fort le droit de marcher sur alger alors que c'est lui seul qui a signé cette non autorisation quand il etait premier ministre , la propagande dont tu parles n'est autre ce que je pense , et tu as le droit de dire le contraire sans juger les autres , mnt benflis demande aux sympatisant du FIS et ces cadres de le soutenir , et qu'il est pret si il sera president de le reintegrer dans la scene politique , la j'ai le droit de dire que j'ai vraiment peuuuuuuuuuur; si tu t'acharnes sur une personne qui est le president , moi c'est le pays qui en entier et son peuple qui sont dans ma téte ,l'avenir de son statut et l'apres bouteflika voila mon point de vue ,
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Sous lieutenant Messages : 849 Date d'inscription : 05/12/2012

sukhoi 30mka a écrit:: c'est ton point de vue , que je respecte , et j'aimerai que tu fasses de méme , je n'ai rien contre le changement , mais j'ai le droit de dire EDIT RIMONIDZ
_________________

... Relis attentivement mon post STP, je ne ferme la gueule de personne...

Je dis clairement qu'il faut en finir avec cette réthorique du gouvernement (que ceux qui veulent le changement veulent la déstabilisation du pays). C'est une mesure de discréditation de tous les opposants et pour ma part, je le comprends même comme une menace à peine déguisée de nos gouvernants (Soit c'est nous, Soit N'Khaltouha). Voilà ce que je comprends.

Concernant Bouteflika, tout le monde sait que l'opposition au 4eme mandat ne s'arrete pas à lui, mais que tout le système doit changer.
Pour les Benflis et autres politiciens, je n'en ai même pas parlé. Je dis que le changement doit venir du peuple.
Le peuple doit commencer à se montrer. Je l'ai dis il y a 2 solutions pas une de plus. Si personne ne bouge, c'est là que ça risque de devenir explosif à terme.
La mobilisation constante du peuple est la seule chose qui peut pousser le système à se réformer en douceur.

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no comment

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je ressent tjr cette peur avec un degré de plus

Admin Messages : 3054 Date d'inscription : 09/02/2012

pas de dérapage verbaux, respect et dialogue

Rimonidz, Administrateur du forum ANPDZ.COM

je vous comprend les amis, vos nerfs sont à bout durant cette période, avec un futur incertain, sur ce forum vous avez la chance de vous exprimer, mais dans le respect.

tentez d'analyser et de comprendre la scène politique algérienne. apportez des solutions, en ajoutant des apports qui sauvegarde nos acquis, toujours dans l'esprit de la Révolution en Novembre 1954.

Invité

rimonidz je n'ai pas fais d'ecart de language , et j'ai fais allusion a ca , j'aimerai bien qu'on respecte les avis d'autruis, ce qui importe mnt c'est le pays et sa sauvegarde , et comme tu l'as dis dans l'esprit de la revolution de novembre , le tout c'est d'eviter un chao et revenir en arriere , c'est pas facile et prions dieu le tout puissant puisse preserver notre pays amen, le forum n'est ni facebook ou twitter ,ou une tribune de propagande electorale ou destabilisatrice , et que vive l'algerie

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le retour du FIS ?

dernieres nouvelles - Page 10 P110914-16

initiative de l'Alliance islamique pour soutenir le candidat libre Ali Benflis, une réponse des dirigeants de l'ex FIS, après Ali Gedi et Abdelkader Boukhamkham, est venu pour une entente par Abdul Qader Omar et Noureddine Chigarha, et l'ancien ministre Ahmad Marani, tandis que Ali belhadj declare que c'est des consultation politique

Selon des sources, "echourouk", que le désir des dirigeants de l'ancien parti FIS pour revenir sur la scène politique, en cas de victoire, le candidat Ali Benflis, la position du premier juge dans le pays, les a amenés à exprimer «consentement pour son soutien de principe" dans le cadre des efforts menés par les chiffres, comme c'est le cas avec l'ancien vice-president ennahda Ezzedine djerafa de rallier une partie du mouvement islamique.

de son coté ali belhadj a confirmé les tractation avec le condidats libre si on peut dire ALI BENFLIS avec les cadres du fis ( ali djedi , kamel guemazi , et boukhamkhem

http://www.echoroukonline.com/ara/

Sous lieutenant Messages : 849 Date d'inscription : 05/12/2012

rimonidz a écrit:: pas de dérapage verbaux, respect et dialogue

Rimonidz, Administrateur du forum ANPDZ.COM

je vous comprend les amis, vos nerfs sont à bout durant cette période, avec un futur incertain, sur ce forum vous avez la chance de vous exprimer, mais dans le respect.

tentez d'analyser et de comprendre la scène politique algérienne. apportez des solutions, en ajoutant des apports qui sauvegarde nos acquis, toujours dans l'esprit de la Révolution en Novembre 1954.

Je n'ai pas souhaité faire de "dérapage".
Sans repartir dans la polémique, effectivement, il est important de respecter les avis des autres, sans s'adonner à des remarques accusatoires.
Ceux qui veulent un changement ne sont pas forcément des gens qui prônent la destabilisation, et ceux qui préfèrent un statu-quo ne sont pas non plus des corrompus ou des profiteurs comme certains le disent. Il faut garder ça à l'esprit. Les gens ont de bonnes raisons d'avoir des opinions contradictoires car la situation elle même est difficile à cerner... et les risques sont grands.
Effectivement cette période met les nerfs à rude épreuve. Il faut dialoguer sereinement car le pays court un grand risque.

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la lettre de zeroual
Le jeudi 17 avril 2014, le corps électoral est convoqué en vue de l’élection à la présidence de la république. Une élection à travers laquelle le peuple souverain donnera mandat au prochain président de la république d’agir en son nom, pour une période de cinq ans. L’élection présidentielle a toujours constitué un moment fort dans la vie de la nation et un évènement majeur pour le devenir national. C’est là un insigne honneur pour le prétendant à la magistrature suprême mais également une lourde et délicate charge, autant morale que physique. Une charge qui, pour être honorablement assumée, exige d’être entourée d’un certain nombre de conditions dont essentiellement celles qu’édicte formellement la constitution d’une part et celles qu’impose l’éthique des règles protocolaires liées à l’exercice de la fonction d’autre part.
C’est à l’aune d’une aussi importante consultation électorale, et des conditions objectives de transparence et de liberté qui doivent entourer son déroulement, que s’apprécie le degré d’enracinement social de l’Etat et que s’acquiert le respect mérité dans le concert des nations. C’est pourquoi l’adhésion participative des citoyens aux grandes décisions nationales confère une inestimable source de légitimité aux institutions de la république et constitue de ce fait l’immunité la plus élaborée dont pourra se prévaloir l’Algérie pour relever les grands défis d’édification et affronter la menace des enjeux qui la guettent.
En ma qualité d’ancien président de la république, je me suis, jusqu’à maintenant, interdit d’investir intempestivement le champ politique par obligation de réserve et abstenu d’interférer dans l’espace institutionnel par éthique républicaine. Toutefois, cette attitude de réserve ne m’a jamais empêché d’être toujours sensible aux pulsations de la société algérienne et d’observer avec une attention régulière et un intérêt particulier l’évolution de l’actualité nationale. Aujourd’hui, la survenance d’une série d’évènements et de déclarations, autant multiples qu’inhabituels, notamment à la veille d’une importante échéance électorale, m’a mis dans l’obligation morale de m’exprimer et de partager mes sentiments et mes craintes avec mes concitoyens algériens.
Ce qui se passe aujourd’hui sur la scène nationale ne peut laisser indifférent et interpelle la conscience de tout citoyen algérien jaloux de l’indépendance de son pays et mesurant à sa juste valeur le coût exorbitant des sacrifices consentis pour la recouvrer. Il faudra se souvenir également qu’hier encore et à ce même titre, l’Algérie a du payer de nouveau un lourd tribut pour avoir vécu l’une des phases les plus éprouvantes de son histoire contemporaine ; elle s’en est miraculeusement sortie grâce à Dieu et à toutes les forces vives de la nation qui se sont courageusement et dignement mobilisées à ses côtés. Aujourd’hui plus que jamais, le devoir de mémoire doit constituer la source intarissable qui doit invariablement inspirer le peuple algérien dans sa quête nationale à construire le chemin de l’avenir.
Au titre de ce devoir de mémoire, je voudrai, ici et de nouveau, rendre hommage à toutes ces forces vives de la nation et saluer le rôle éminemment salutaire qu’elles ont joué, notamment celui assumé par l’Armée Nationale Populaire et les Forces de Sécurité dans le dénouement de la grave tragédie nationale qu’a vécu l’Algérie. En dépit de la farouche hostilité manifestée à l’endroit de l’Algérie dans sa lutte contre le terrorisme, l’Armée Nationale Populaire et les services de sécurité ont su et pu déjouer toutes les tentatives de déstabilisation du pays et ont réussi le pari inespéré de mettre l’Algérie à l’abri du grand péril qui la menaçait dans ses fondements-même.
Malheureusement et tout récemment, l’institution militaire s’est vue exposée à une regrettable diatribe dont la finalité n’est autre que celle de fragiliser de nouveau l’appareil national de défense et sécurité nationales et d’ouvrir ainsi la porte aux multiples dangers qui guettent l’Algérie. Mais en cette matière, l’Armée Nationale Populaire est parfaitement compétente pour faire face à de tels dangers, compte tenu de la qualité des hommes qui y exercent et qui disposent des capacités patriotiques leur permettant de remplir leur mission et d’accomplir leur devoir au service exclusif de la nation.
L’Armée Nationale Populaire, avec toutes ses composantes, reste avant tout au service de la patrie. Tous les responsables, ayant eu, depuis l’indépendance nationale, à agir en son nom, restent guidés, avant toute autre considération, par le devoir de préserver la cohésion de ses rangs, dans le respect de la loi et de renforcer ses capacités opérationnelles pour assurer la protection de la patrie. La cohésion interne de l’Armée Nationale Populaire, et son essence populaire demeurent, à elles deux, les véritables facteurs de sa puissance.
L’Armée Nationale Populaire a contribué à consolider la stabilité et la sécurité, avec le concours des services de sécurité et le soutien décisif des forces patriotiques. Elle reste engagée dans ce combat vital car elle est consciente qu’elle représente le bouclier armé en mesure de s’opposer à toutes les tentatives cherchant à porter atteinte à l’Algérie, ressuscitée par la glorieuse Armée de Libération Nationale, à sa souveraineté et à l’intégrité de son territoire national.
En effet, ce qui se passe aujourd’hui sur la scène nationale, à la veille d’une aussi importante échéance électorale, mérite bien de retenir l’attention de tous les acteurs de la vie nationale et ne saurait être grossièrement éludé au profit de certaines approches dont les intentions cachées ne servent pas nécessairement les intérêts vitaux de l’Algérie. Il faut se garder de sous-estimer la situation actuelle et de penser que la manne financière peut, à elle seule, venir à bout d’une crise de confiance structurelle. Même fondés, l’étalage des statistiques et des bilans chiffrés à l’adresse d’une opinion nationale exsangue n’est pas pour convaincre son scepticisme exacerbé, ni de nature à contenir l’effervescence citoyenne que connait actuellement la scène politique nationale. Une effervescence citoyenne qui n’a d’autre ambition légitime que celle d’apporter sa propre contribution à l’édification d’un nouvel ordre politique dans la fidélité à l’esprit de la déclaration du 1er novembre 1954 et en harmonie avec les normes universellement consacrées, tout en préservant nos valeurs et nos spécificités.
La révision de la constitution algérienne en 2008, notamment l’amendement de son article 74, relatif à la limitation des mandats présidentiels à deux, a profondément altéré le saut qualitatif qu’exigeait l’alternance au pouvoir et a privé le processus de redressement national de conquérir de nouveaux acquis sur le chemin de la démocratie. Il est éminemment important de rappeler que l’alternance au pouvoir a pour vocation de consolider la solidarité intergénérationnelle, de conforter la cohésion nationale et d’instituer les bases structurantes d’une stabilité durable. L’alternance au pouvoir a également pour vocation de fortifier la démocratie et de crédibiliser les institutions de la république qui en sont la plus précieuse émanation. Enfin, l’alternance au pouvoir a pour finalité d’assurer les meilleures conditions d’avènement, sans grands heurts, d’un Etat moderne.
L’histoire des grandes démocraties dans le monde nous enseigne qu’un Etat fort est toujours consubstantiel de contre-pouvoirs tout autant forts. Cette même histoire nous enseigne également que le principe de transparence dans l’administration des affaires publiques, dans la gestion des ressources du pays et dans l’exercice des libertés individuelles/collectives constitue un puissant gage de bonne gouvernance et permet de lutter efficacement contre toutes les formes d’abus et de corruption, sous l’autorité irréfragable de la primauté du droit et de l’équité de la justice.
A ce titre, il faut souligner avec force à l’adresse de tous ceux qui doutent encore du génie national que le peuple algérien sait distinguer l’essentiel de l’accessoire et sait également offrir gracieusement sa patience légendaire dès lors qu’il s’agit de la mettre au service d’une grande cause nationale. Une cause qui emporte l’adhésion participative du peuple est une cause entendue et déjà acquise.
C’est pourquoi, le prochain mandat présidentiel doit s’inscrire dans le cadre d’un grand dessein national et offrir l’opportunité historique d’œuvrer à réunir les conditions favorables à un consensus national autour d’une vision partagée sur l’avenir de l’Algérie ; une vision partagée par les principaux acteurs de la vie nationale et que doit nécessairement couronner, en dernière instance, l’assentiment souverain de l’ensemble du peuple algérien. Ce mandat-transition constituera la première étape sérieuse d’un saut qualitatif vers un renouveau algérien, plus conforme aux aspirations légitimes des générations post-indépendance et en harmonie avec les grandes mutations que connait le monde. Il est temps d’offrir à l’Algérie la république qu’elle est en droit d’exiger de son peuple et de son élite éclairée.
Dans ce cadre et à ce titre, il faut rappeler en toute objectivité que le droit de vote constitue le moyen constitutionnel le plus pacifique que le citoyen utilise pour exprimer ses choix. C’est également un devoir national que d’exprimer ses choix et de participer ainsi, à travers des élus représentatifs, au processus d’élaboration de la décision nationale. C’est pourquoi la voix exprimée du citoyen doit constituer une précieuse valeur dans la construction démocratique du système politique algérien et dont il faudra se garder d’en amoindrir l’inestimable portée. C’est par l’effet de la voix exprimée du citoyen que se construit l’Algérie de demain. Si le citoyen algérien a le devoir d’exprimer sa voix dans les grandes haltes nationales, il incombe à l’Etat d’offrir les meilleures conditions de transparence et de liberté afin que ce choix soit rigoureusement respecté et pris en considération. C’est de cette manière que s’enracine la confiance et que se perpétue la pratique démocratique.
C’est dans cet esprit qu’il faut considérer que la constitution, la cohésion nationale et l’unité des forces armées de la république constituent les piliers qui portent l’Algérie et le précieux patrimoine commun que les algériens sont en devoir de préserver et de défendre quelque soit le niveau et la nature des sacrifices à consentir.
Indépendamment de ce qui va résulter du scrutin du 17 avril prochain, il faudra surtout retenir que le prochain mandat présidentiel est le mandat de l’ultime chance à saisir pour engager l’Algérie sur la voie de la transition véritable. Tous les indicateurs objectifs militent pour entamer, sous le sceau de l’urgence, dans la sérénité et de manière pacifique, les grands travaux de cette œuvre nationale salutaire à la réalisation de laquelle tous les algériens doivent être associés. En effet, il faut se garder de croire que la grandeur du dessein national peut relever de la seule volonté d’un homme serait-il providentiel ou de l’unique force d’un parti politique serait-il majoritaire. La grandeur du dessein national est intimement liée à la grandeur du peuple et à sa capacité d’œuvrer constamment à conquérir de nouveaux espaces démocratiques. Dans cette perspective, notre pays est indéniablement riche des potentialités et des capacités à même de lui permettre d’aller vers ces nouvelles conquêtes. A travers son histoire, le peuple algérien a de tout temps démontré qu’il est, fort de son unité, capable de relever les plus grands défis.
Vive l’Algérie.
Gloire et Eternité à nos Valeureux Chouhadas.
Liamine Zeroual, ancien président de la république

Modérateurs Messages : 1806 Date d'inscription : 13/03/2014

article sur Zeroual

http://www.tsa-algerie.com/actualite/item/7581-zeroual-hamrouche-deux-visions-contradictoires-sur-la-crise

Modérateurs Messages : 1806 Date d'inscription : 13/03/2014

non serieux ca deviens chaud au bled les chaouis qui se battent a batna,ghardaia, constantine etc... en plus avec ce fameux mouvement barakat serieux ca craint et peur d un soit disant printemps arabe qui va permettre aux occidentaux de venir chez nous au moins si j etais sur que ces mouvement assure un changement sans toucher a la souveraineté national c bien mais ma crainte c est qu on deviens comme en syrie ou irak lybie ou pire encore qu on devienne des marionnettes occidental

Admin Messages : 13552 Date d'inscription : 24/04/2011 Localisation : SUR TERRE

une énième gaffe de Sellal

Modérateurs Messages : 1806 Date d'inscription : 13/03/2014

certes mais ca craint quand meme ca sent printemps arabe a plein nez quand meme

Admin Messages : 13552 Date d'inscription : 24/04/2011 Localisation : SUR TERRE

yak a écrit:: une énième gaffe de Sellal

Yousfi à Batna pour rattraper la bourde de Sellal

ARTICLE | 17. MARS 2014 - 14:21
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Youcef Yousfi, Premier ministre par intérim. Anis/New Press
Le Premier ministre par intérim, Youcef Yousfi, s’est rendu, aujourd’hui samedi, à Batna pour tenter de calmer les esprits et rattraper un tant soit peu la bourde de son prédécesseur qui a irrité les Chaouis. Maquillé en «visite de travail», son déplacement en compagnie du ministre de l’Intérieur, Tayeb Belaïz, est destiné à apaiser une situation marquée ces deux derniers jours par des rassemblements dénonçant les propos pour le moins inélégants d’Abdelmalek Sellal, directeur de campagne du président-candidat. Ce dernier a fait, en privé, une plaisanterie qui a provoqué un véritable tollé médiatique suivi d’une vague d’indignations de citoyens de Batna. Fidèle à ses facéties, Sellal avait dit à l’un de ses amis de Batna, qui fait partie de son staff de campagne, que les Constantinois disaient des Chaouis «hacha rezk rebi». Repris par les médias, cette boutade a suscité des réactions de nombreux Chaouis, y compris celle du candidat Ali Benflis qui a qualifié la «blague» de Sellal d’«irresponsable». La protestation a fait tache d’huile, avec des actions de protestation parfois violentes comme à Aïn Fakroun. Ce qui explique la visite «surprise» d’Youcef Yousfi. Hormis cette histoire de Boutade de Sellal, rien ne justifie une telle visite, surtout qu’avant de quitter son poste, Abdelmalek Sellal s’est rendu à Batna où il a tout fait (inauguration de nouvelles infrastructures, lancements de projets, examens des besoins en matière de développement, réunions avec les représentants de la société civile…). Autrement dit, il n’y a pas grand-chose à faire en ce moment. D’ailleurs, le programme de sa visite se limite à une sortie sur le terrain sur le site du barrage de Koudiat-Medouar, dans la commune de Timgad, afin de procéder à la mise en service du système de transfert des eaux depuis le grand ouvrage hydraulique de Beni Haroun, dans la wilaya de Mila. Sinon, il a pris part ce matin à l’ouverture de la session du printemps de l’Assemblée populaire de wilaya. Comme à Ghardaïa, Yousfi est donc parti à Batna pour rassurer la population et limiter les dégâts du point de vue politique. Car il ne faut pas oublier qu’on est à quelques jours du lancement officiel de la campagne électorale. Et le directeur de campagne de Bouteflika, Abdelmalek Sellal, passera inéluctablement par Batna. Une étape qui risque d'être difficile pour celui qui a réussi à s'attirer les foudres des Chaouis. Il faut donc lui «déblayer» le terrain dès maintenant.
Sonia B.
http://www.algeriepatriotique.com/article/yousfi-batna-pour-rattraper-la-bourde-de-sellal

c'est a cause de de ca que ca chauffe a l'est

Modérateurs Messages : 1806 Date d'inscription : 13/03/2014

Sahel: l'armée algérienne abat un drone au Nord-Mali

Selon des indications recueillies et des informations rapportées par le quotidien arabophone algérien Ennahar, une unité de l’armée algérienne stationnée dans l’extrême Sud de l’Algérie a abattu dans la nuit du vendredi 28 juin 2013 un drone non identifié au dessus du territoire malien.

D’après les mêmes sources, le drone abattu par la DCA algérienne se serait trop rapproché des frontières algériennes en "émettant des signaux électromagnétiques qualifiées d’hostiles, visant selon toute vraisemblance à sonder le dispositif de guerre électronique de l’armée algérienne" à la frontière avec le Mali.

http://www.alterinfo.net/Sahel-l-armee-algerienne-abat-un-drone-au-Nord-Mali_a92074.html

Capitaine Messages : 1256 Date d'inscription : 05/08/2013

chega a écrit:: non serieux ca deviens chaud au bled les chaouis qui se battent a batna,ghardaia, constantine etc... en plus avec ce fameux mouvement barakat serieux ca craint et peur d un soit disant printemps arabe qui va permettre aux occidentaux de venir chez nous au moins si j etais sur que ces mouvement assure un changement sans toucher a la souveraineté national c bien mais ma crainte c est qu on deviens comme en syrie ou irak lybie ou pire encore qu on devienne des marionnettes occidental

On l'a déjà vecu ce printemps de khoroto en 90 , le peuple algérien n'a pas envie de revivre ce chaos.

L'algérie devance tout les pays arabe en ce qui concerne terrorisme ect... On a été les 1er touché.

T'inquiete pas , l DRS veille au grain sur le pays ainsi que l'ANP.

Le peuple algérien est différent des autre peuple arabe , pour certains arabe ou berbere avoir une armée etrangere dans son bled sa les dérenge pas , tandis que nous les algérien sa nous dérenge , si les USA viennent chez nous , le peuple vas les botter le c**

Capitaine Messages : 1256 Date d'inscription : 05/08/2013

chega a écrit:: Sahel: l'armée algérienne abat un drone au Nord-Mali

Selon des indications recueillies et des informations rapportées par le quotidien arabophone algérien Ennahar, une unité de l’armée algérienne stationnée dans l’extrême Sud de l’Algérie a abattu dans la nuit du vendredi 28 juin 2013 un drone non identifié au dessus du territoire malien.

D’après les mêmes sources, le drone abattu par la DCA algérienne se serait trop rapproché des frontières algériennes en "émettant des signaux électromagnétiques qualifiées d’hostiles, visant selon toute vraisemblance à sonder le dispositif de guerre électronique de l’armée algérienne" à la frontière avec le Mali.

http://www.alterinfo.net/Sahel-l-armee-algerienne-abat-un-drone-au-Nord-Mali_a92074.html

Mais elle date cette info .

Modérateurs Messages : 1806 Date d'inscription : 13/03/2014

ha oui en effet ca date de 2013 mais sur le magazine c est la date du 24 mars ben dsl alors

Sous lieutenant Messages : 849 Date d'inscription : 05/12/2012

Algerian fighter one a écrit:

chega a écrit:: non serieux ca deviens chaud au bled les chaouis qui se battent a batna,ghardaia, constantine etc... en plus avec ce fameux mouvement barakat serieux ca craint et peur d un soit disant printemps arabe qui va permettre aux occidentaux de venir chez nous au moins si j etais sur que ces mouvement assure un changement sans toucher a la souveraineté national c bien mais ma crainte c est qu on deviens comme en syrie ou irak lybie ou pire encore qu on devienne des marionnettes occidental

On l'a déjà vecu ce printemps de khoroto en 90 , le peuple algérien n'a pas envie de revivre ce chaos.

L'algérie devance tout les pays arabe en ce qui concerne terrorisme ect... On a été les 1er touché.

T'inquiete pas , l DRS veille au grain sur le pays ainsi que l'ANP.

Le peuple algérien est différent des autre peuple arabe , pour certains arabe ou berbere avoir une armée etrangere dans son bled sa les dérenge pas , tandis que nous les algérien sa nous dérenge , si les USA viennent chez nous , le peuple vas les botter le c**

Je ne suis pas si sûr de ça. Les algériens sont pérméables aux ingérances étrangères. Tout le monde n'est pas "ultra fier" ou nationaliste. Je me souviens que certains algériens que je connais soutenaient la guerre occidentale contre la Libye...
Les algériens ne sont pas un "super peuple". Ils sont humains et ont des faiblesses...
Au fait, il fallait tout simplement que le gouvernement n'ouvre pas la porte à toutes les dérives et ingérances, qui trouvent un terrain favorable dans le mécontentement grandissant du peuple. Le système n'a pas réussi à reproduire les schémas du passé en "ramenant" un Président déjà tout élu. Du coup, toutes les façades sont tobées. Le statu-quo est plus visible que jamais, alors que le peuple avait grand besoin de changement. Du coup ça bouillonne.

Invité

jamais parler et dire le peuple , personne n'a le droit de parler au nom du peuple , on peut dire une partie du peuple , y'a ceux qui vivent bien et qui sont avec ce courant politique et ceux qui sont marginalisé et qui sont contre le pouvoir donc l'equation et faite ainsi

Sous lieutenant Messages : 849 Date d'inscription : 05/12/2012

sukhoi 30mka a écrit:: jamais parler et dire le peuple , personne n'a le droit de parler au nom du peuple , on peut dire une partie du peuple , y'a ceux qui vivent bien et qui sont avec ce courant politique et ceux qui sont marginalisé et qui sont contre le pouvoir donc l'equation et faite ainsi

Ok... bien sûr jamais un peuple n'obéit à une seule vision... mais il est clair que la grande majorité des algériens ne sont pas satisfaits de ce pouvoir et qu'ils veulent un changement. Prétendre le contraire est tout simplement non-objectif.
La question est comment, à quel prix et pour quel résultat. Voilà les questions que les algériens se posent (ou une partie des algériens... si tu préfère)...

Modérateurs Messages : 1806 Date d'inscription : 13/03/2014

moi ce que j aimerai savoir en vrai

en realite on veux quelle genre de changement, certes " liberté égalité " ont toujours étaient cité mais en veux quoi dans le fond car sans vouloir être inculte mais la liberte on l as quand meme comparer a nos voisin ou même en occident

Capitaine Messages : 1256 Date d'inscription : 05/08/2013

chega a écrit:: moi ce que j aimerai savoir en vrai

en realite on veux quelle genre de changement, certes " liberté égalité " ont toujours étaient cité mais en veux quoi dans le fond car sans vouloir être inculte mais la liberte on l as quand meme comparer a nos voisin ou même en occident

Changement par exemple dans le devellopement , trop de retard.
Ont veut des stade de foot digne de ce nom , on veut des vrai hôpitaux et medecin.
Le probleme en algérie c'est qu'on fait mais on ne entretient pas , tu verra l'autoroute , elle sera en miette dans les prochaine année a venir car elle sera pas entretenu

Capitaine Messages : 1256 Date d'inscription : 05/08/2013

chega a écrit:: moi ce que j aimerai savoir en vrai

en realite on veux quelle genre de changement, certes " liberté égalité " ont toujours étaient cité mais en veux quoi dans le fond car sans vouloir être inculte mais la liberte on l as quand meme comparer a nos voisin ou même en occident

Moi je veut pas que l'algérie prennent exemple sur l'occident , que l'exemple sur le devellopement OK.
Mais pas au niveau société , car moi j'envisagerait dans le futur de faire hijra en algérie , et je veut pas d'une France bis laughing

Modérateurs Messages : 1806 Date d'inscription : 13/03/2014

Algerian fighter one a écrit:

chega a écrit:: moi ce que j aimerai savoir en vrai

en realite on veux quelle genre de changement, certes " liberté égalité " ont toujours étaient cité mais en veux quoi dans le fond car sans vouloir être inculte mais la liberte on l as quand meme comparer a nos voisin ou même en occident

Moi je veut pas que l'algérie prennent exemple sur l'occident , que l'exemple sur le devellopement OK.
Mais pas au niveau société , car moi j'envisagerait dans le futur de faire hijra en algérie , et je veut pas d'une France bis laughing

je suis d accord avec toi
pour moi aussi avoir carte blanche sur la créativité du développement économique, sans avoir des bâtons dans les roues de la part de ceux qui ont le monopole import /export mais pas de changement de doctrine et rester fidel a ses principes mais aussi évoluer la mentalité dans le bon sens je sais c est bcp demander perso l occident c est pas un exemple pour moi ils sont pire que nous au niveau des droit de l homme

vous savez un proverbe qui dis
quelle est la difference entre une dictature et une democratie
c est juste une dictature te dis ferme ta gueule et une démocratie te dis cause toujours tu m intéresse

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