Actualités Politiques

le méme gouvernement avec plus de 13 ministres remplaçés  ???? trouver l'erreure, et surtout que 3 ministres FLN aidezzzzzz moiiiiiii

tout bêtement c'est pas une démocratie

yak a écrit:

tout bêtement  c'est pas une démocratie  

ah bon , je voyais ca d'un autre angle moi , je ne suis pas du bled  

quand un parlement a une majorité FLN et que le premier ministre ni le ministres ne sont du FLN alors oui c'est que chez nous que ça arrive merci chef suprême
NB avoir le tabele comme premier ministre ca fait peur tout de même

@ Yak (et tout le monde en fait :p )

MAIS POURQUOI VOULEZ VOUS QUE NOUS SOYONS UNE DÉMOCRATIE ??? (moi je n'en veut pas, j'ai le droit?)   

Dans la vie politique, il n’y a pas que la démocratie ou la dictature, ça c'est un plan, justement, de "l'idéologie démocratique" (si j'ose dire..) de faire croire en cet odieux mensonge qui consiste à dire et à faire croire que si c'est pas une démocratie c'est une dictature, or il n'y a rien de plus faux, de détourné et de bassement démagogique.

Dans tout cela, l’essentiel est oublié, à savoir la responsabilité authentique des gouvernants et de l’État. 

Le grave problème de l'Algérie , c'est que depuis octobre 1988, nous sommes restés dans ce schéma éculé et pour ma part totalement aberrant du développement démocratique, de la liberté d'expression, du "tout économique".

Or le simple bon sens (inutile d'argumenter à ce sujet) nous montre que là où la démocratie à été instaurée , nous n'avions jamais vu autant d'injustices et d'inégalités , et ce à tous les niveaux de lecture. 

Pour finir, je vous invite à méditer une citation de l'excellentissime écrivain et penseur colombien Nicolàs Gomaz Dàvila :
" Dans une démocratie, le seul qui sourit aux autres c'est le politique en quête de voix. Les autres ne peuvent s'offrir le luxe d'un sourire mutuel: tous sont rivaux de tous. "

Sur ces belles paroles, bonne nuit. 

Citation :

Le grave problème de l'Algérie , c'est que depuis octobre 1988, nous sommes restés dans ce schéma éculé et pour ma part totalement aberrant du développement démocratique, de la liberté d'expression, du "tout économique".

c'est du a quoi?
quand une partie de ta population vie dans la misère alors que les fils et filles de la clique vivent comme des pachas derniers exemples en date c'est la fille de tabal lui même
je te redit un truc du 2eme calife Quand donc avez-vous décrété que les hommes sont esclaves, alors que leurs mères les ont mis au monde libres ?
une démocratie (c'est un état qui garantie a ces habitants le droit de donner leurs opinons et d'exprimer leurs revendication légitimes sans avoir peur de répercussions)
dans la religion il est dit que les musulmans si ils voient une erreure ils doivent la changer soit par l'acte si ils peuvent pas ils doivent la changer par la parole et si ils le peuvent pas c'est par la coeur r

Salam à tous me revoilà de retour lol

personnellement je vois aucune différence entre la démocratie et la dictature la seule différence c est:

en démocratie te dis cause toujours tu m intéresse
dictature te dis ferme ta gueule 
a méditer lol

y'a une difference entre un pouvoir parlementaire et un pouvoir presidentielle , méme si tu as la majorité le premier ministre est choisit par le president , et puis quoi je ne comprends pas si on designe un premier ministre de la majorité on est pas satisfait et si c'est le contraire qui se fait c'est kif kif on est pas assouvie , faudrait savoir ce qu'on veut a la fin ,  les parti d'oppositions ont appelé a un gouvernement de coalition chose faite mais personne ne veut se presenter et méme ont refusé de faire partie de cet houkouma , alors dite moi ce que veulent ces gens la , si ils veulent destabiliser le president et le mettre devant le fait acompli pour se retirer ils peuvent attendre longtemps , la machine est en route , pas de retour en arriere

ha nous les algériens on est des insatisfait éternelle  n'es ce pas cher ami su30mka

Personnellement, je trouve qu'il y a de quoi être insatisfait, nous sommes coincés entre, d'une part, les partisans du médiocre, de l'intégrisme religieux et de la stagnation intellectuelle et d'autre part, des partisans du progrès, du libéralisme, des démocrates libéraux à la sauce bien occidentale.

Avant de soigner la corruption des compte en banques, soignons la corruption des esprits.

pour quoi il y'a une opposition en Algerie ???
du RCD au Hamas ils ont tous soutenu ou soutiennent le régime paradoxalement meme les trotskistes du PT
que reste a oui le FFS il est tellement dans l'opposition a trop boycotté la vie politique qu'il c'est exclu tout seul
les gars arrêtons de nous voiler la face le système est merdique et il doit être corriger si non c'est droit au mur que on ce dirige
ps
même dans un système présidentiel le président désigne le PM du partie victorieux pas de c'est suivent oops de technocrate que collabore avec lui.
dans un régime présidentiel c'est au président d'élaborer une politique qui doit être appliquer par la gouvernement avec l'avaler du parlement ( le pouvoir législative et exécutif sont sous la coupe du président)
dans un régime parlementaire c'est le gouvernement qui dicte la politique du pays avec l'avale du du parlement et du président (le pouvoir et dans les mains du parlement )

Citation :

Ciel ! Une ministre algérienne de souche juive !

http://blogs.mediapart.fr/blog/salah-guemriche/080514/ciel-une-ministre-algerienne-de-souche-juive

 c'est une algerienne wallah 3aib , si elle apporte un + a l'education marhaba c'est une musulmane benbouzid aussi a eté traité de la sorte ,pourquoi ces attaques ne visent que l'education , une question reste posé


"بن غبريط أندلسيون وليسوا يهودا"

http://www.presse-algerie.fr/echorouk.php

De toute manière , qu'elle soit juive ou pas... en réalité peu importe, car bien avant l'indépendance, les juifs convoitent l'Algérie. Et ça n'est un secret pour personne. Chaim Weizmann premier président d’Israël en 1948 , avait ouvertement fait part de ses vue stratégiques sur l'Algérie.

J'ai un livre qui en parle clairement.

La 5eme colonne juive est présente dans les hautes sphères de l'Algérie depuis fort longtemps; comme partout ailleurs dans le monde, sauf qu'en Algérie, il y a aussi, dans ces mêmes hautes-sphères , des gens qui les empêchent de mener leur plans, tant bien que mal d'ailleurs.

Et de toute les façons, si elle est vraiment juive, soit elle va sauter, soit elle va avoir droit au suspicions de convenances...c'est la moindre des choses.  On est en Algérie quand même!

Citation :

Drones, DRS, réélection de Bouteflika : entretien avec Henry S. Ensher, ambassadeur des USA en Algérie

http://www.tsa-algerie.com/2014/05/08/drones-drs-reelection-de-bouteflika-entretien-avec-henry-s-ensher-ambassadeur-des-usa-en-algerie/

@kaci

Sa aide a ne plus se focaliser sur nos imposteurs hautes sphères dans nos propres rangs, bravo

Quand les compétences académiques de Mme Beghebrit dérangent les partisans d’une école algérienne rétrograde



L’une des marques du nouveau gouvernement est incontestablement la promotion des compétences universitaires. Mme Nouria Benghebrit, qui va désormais diriger le Ministère de l’Education, est la figure emblématique par excellence de ce choix du président Bouteflika qui entend ainsi impliquer dans la gestion des affaires de la Nation les intellectuels et académiciens.
Mme Nouria Benghebrit, épouse Remaoun est une référence avec un long parcours universitaire au service de la recherche scientifique. Ses publications dans des revues spécialisées et de haut niveau en matière d’anthropologie, sa spécialité, font autorité. Elle, tout comme son mari Hassan Remoud, sociologue de formation, font partie de ces chercheurs algériens qui s’emploient à tirer vers le haut le niveau de l’université algérienne.
Nouria Benghebrit, est une femme qui a occupé tout au long de sa carrière professionnelle, plusieurs postes de responsabilité dans les domaines de la recherche scientifique, le développement technologique et la connaissance outre la coordination de projets de recherches sur l’école et l’éducation.
Le dernier poste qu’elle occupait avant sa nomination, lundi, par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, ministre de l’Education nationale dans le nouveau gouvernement à la place d’Abdelatif Baba Ahmed, était directrice du Centre national de recherche en anthropologie sociale et culturelle (Crasc).
Mme Benghebrit était membre du conseil supérieur de l’éducation de la commission nationale des programmes de l’éducation, présidente du conseil d’administration de l’Agence nationale de valorisation des résultats de la recherche et du développement technologique (Anvredet) et vice-présidente du conseil d’administration de l’Institut africain de la gouvernance dont le siège est à Dakar (Sénégal).
Elle a été aussi membre élue représentant l’Algérie au conseil associatif de l’Agence universitaire de la francophonie (2005-2009), présidente du comité scientifique arabe du Forum de l’Unesco pour l’enseignement supérieur, la recherche et la connaissance et membre élue pour l’Afrique du Nord (Maghreb+Egypte) du comité exécutif du conseil pour le développement de la recherche en sciences sociales en Afrique (Codesria) pour deux mandats électifs.
Mme Benghebrit était, également, membre de plusieurs commissions aux ministères de la Justice, de la Famille et de la Condition féminine et de la Santé et de la Réforme hospitalière, outre la responsable de plusieurs projets de recherche au sein du Crasc dont « Processus de construction du couple et problématique du mariage », « Ecole-Famille, complémentarité, ignorance et divergence » et « Femmes et projet de vie ».
Elle a assuré, par ailleurs, la coordination de plusieurs numéros de la revue « Insaniyat » du Crasc avec publication d’articles même dans des revues internationales sur les thèmes de l’enseignement supérieur, le préscolaire, la recherche, l’école et l’éducation.
Un tel CV fait de Mme Benghébrit la personne idoine pour diriger le turbulent ministère de l’Education.

Citation :

Mohamed Zitout, un ex diplomate algérien en Libye, qui vit en exil doré en Grande Bretagne, membre du parti islamiste dissous, le Front Islamique du Salut (FIS), a dans son blog arabophone écrit un article intitulé  » la nomination d’un ministre juif pourra sauver la famille Bouteflika ? ». Ce revanchard unilingue, a au moins réussi à faire déchainer une haine indescriptible d’internautes à la courte vue,  des esprits grincheux, visiblement déçus de la voir aux commandes de ce département, sont passés à l’offensive sur les réseaux sociaux en se livrant à des attaques sournoises contre cette universitaire qui fait honneur à l’Algérie. Les auteurs de ces attaques minables, qui sont au demeurant les seuls et véritables responsables de la faillite de l’école algérienne, comme ils n’ont rien trouvé à redire sur les compétences de la ministre, sont allés puiser dans des registres pour le moins douteux.

Mme Benghebrit est une algérienne authentique aussi par ses origines que par la qualité des ses travaux académiques qui font la fiéreté de l’Algérie. Les partisans de « l’école authentique » qui trouvent à redire sur le fait quelle soit une francophone, n’ont véritablement rien compris, car le problème de l’école algérienne n’est pas d’ordre linguistique, à l’ère des nouvelles technologies de l’’informations et de la communication.
Aujourd’hui les performances des écoles et des universités s’étalonnent à la performance, à la compétitivité. Et sur ce plan, la nouvelle ministre de l’Education a de quoi en remontrer à ses contradicteurs déçus de ne pas voir succéder à Baba Ahmed un profil qui donnerait le coup de grâce à l’école algérienne au nom d’une pseudo authenticité.
Bon courage madame la ministre.    


http://www.algerie1.com/actualite/quand-les-competences-academiques-de-mme-beghebrit-derangent-les-partisans-dune-ecole-algerienne-retrograde/

berhoum a écrit:

Quand les compétences académiques de Mme Beghebrit dérangent les partisans d’une école algérienne rétrograde



L’une des marques du nouveau gouvernement est incontestablement la promotion des compétences universitaires. Mme Nouria Benghebrit, qui va désormais diriger le Ministère de l’Education, est la figure emblématique par excellence de ce choix du président Bouteflika qui entend ainsi impliquer dans la gestion des affaires de la Nation les intellectuels et académiciens.
Mme Nouria Benghebrit, épouse Remaoun est une référence avec un long parcours universitaire au service de la recherche scientifique. Ses publications dans des revues spécialisées et de haut niveau en matière d’anthropologie, sa spécialité, font autorité. Elle, tout comme son mari Hassan Remoud, sociologue de formation, font partie de ces chercheurs algériens qui s’emploient à tirer vers le haut le niveau de l’université algérienne.
Nouria Benghebrit, est une femme qui a occupé tout au long de sa carrière professionnelle, plusieurs postes de responsabilité dans les domaines de la recherche scientifique, le développement technologique et la connaissance outre la coordination de projets de recherches sur l’école et l’éducation.
Le dernier poste qu’elle occupait avant sa nomination, lundi, par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, ministre de l’Education nationale dans le nouveau gouvernement à la place d’Abdelatif Baba Ahmed, était directrice du Centre national de recherche en anthropologie sociale et culturelle (Crasc).
Mme Benghebrit était membre du conseil supérieur de l’éducation de la commission nationale des programmes de l’éducation, présidente du conseil d’administration de l’Agence nationale de valorisation des résultats de la recherche et du développement technologique (Anvredet) et vice-présidente du conseil d’administration de l’Institut africain de la gouvernance dont le siège est à Dakar (Sénégal).
Elle a été aussi membre élue représentant l’Algérie au conseil associatif de l’Agence universitaire de la francophonie (2005-2009), présidente du comité scientifique arabe du Forum de l’Unesco pour l’enseignement supérieur, la recherche et la connaissance et membre élue pour l’Afrique du Nord (Maghreb+Egypte) du comité exécutif du conseil pour le développement de la recherche en sciences sociales en Afrique (Codesria) pour deux mandats électifs.
Mme Benghebrit était, également, membre de plusieurs commissions aux ministères de la Justice, de la Famille et de la Condition féminine et de la Santé et de la Réforme hospitalière, outre la responsable de plusieurs projets de recherche au sein du Crasc dont « Processus de construction du couple et problématique du mariage », « Ecole-Famille, complémentarité, ignorance et divergence » et « Femmes et projet de vie ».
Elle a assuré, par ailleurs, la coordination de plusieurs numéros de la revue « Insaniyat » du Crasc avec publication d’articles même dans des revues internationales sur les thèmes de l’enseignement supérieur, le préscolaire, la recherche, l’école et l’éducation.
Un tel CV fait de Mme Benghébrit la personne idoine pour diriger le turbulent ministère de l’Education.

Citation :

Mohamed Zitout, un ex diplomate algérien en Libye, qui vit en exil doré en Grande Bretagne, membre du parti islamiste dissous, le Front Islamique du Salut (FIS), a dans son blog arabophone écrit un article intitulé  » la nomination d’un ministre juif pourra sauver la famille Bouteflika ? ». Ce revanchard unilingue, a au moins réussi à faire déchainer une haine indescriptible d’internautes à la courte vue,  des esprits grincheux, visiblement déçus de la voir aux commandes de ce département, sont passés à l’offensive sur les réseaux sociaux en se livrant à des attaques sournoises contre cette universitaire qui fait honneur à l’Algérie. Les auteurs de ces attaques minables, qui sont au demeurant les seuls et véritables responsables de la faillite de l’école algérienne, comme ils n’ont rien trouvé à redire sur les compétences de la ministre, sont allés puiser dans des registres pour le moins douteux.

Mme Benghebrit est une algérienne authentique aussi par ses origines que par la qualité des ses travaux académiques qui font la fiéreté de l’Algérie. Les partisans de « l’école authentique » qui trouvent à redire sur le fait quelle soit une francophone, n’ont véritablement rien compris, car le problème de l’école algérienne n’est pas d’ordre linguistique, à l’ère des nouvelles technologies de l’’informations et de la communication.
Aujourd’hui les performances des écoles et des universités s’étalonnent à la performance, à la compétitivité. Et sur ce plan, la nouvelle ministre de l’Education a de quoi en remontrer à ses contradicteurs déçus de ne pas voir succéder à Baba Ahmed un profil qui donnerait le coup de grâce à l’école algérienne au nom d’une pseudo authenticité.
Bon courage madame la ministre.    


http://www.algerie1.com/actualite/quand-les-competences-academiques-de-mme-beghebrit-derangent-les-partisans-dune-ecole-algerienne-retrograde/

mon cher berhoum    

DR LECTER a écrit:

Citation :

Drones, DRS, réélection de Bouteflika : entretien avec Henry S. Ensher, ambassadeur des USA en Algérie

http://www.tsa-algerie.com/2014/05/08/drones-drs-reelection-de-bouteflika-entretien-avec-henry-s-ensher-ambassadeur-des-usa-en-algerie/

@kaci

Sa aide a ne plus se focaliser sur nos imposteurs hautes sphères dans nos propres rangs, bravo

Ouais...bien sur, fais dans le sarcasme si tu veux, il n'empêche que les faits sont là. En quoi une interview publiée par TSA va changer quelque chose?

Si ce que je dit ne te plait pas, tu sais parfaitement que tu n'es pas obligé de lire ,hein?   . A ce que je sache, mes messages sont en rien insultants. Alors bon.  

Alors bon quoi. ..ni mes propos non plus, il faut s' habituer à la mécanique de la diversité et la contradiction des idées ici kaci ni a personnaliser mes posts,rien de plus
 Rien de moins.
@berhoum

Intéressant article qui met en évidence des lacunes de manière précise sur notre système d'éducation,  dommage que nos medias tv ne soit pas journaliste au sens investigation du terme.

DR LECTER a écrit:

Alors bon quoi. ..ni mes propos non plus, il faut s' habituer à la mécanique de la diversité et la contradiction des idées ici kaci ni a personnaliser mes posts,rien de plus
 Rien de moins.

Je m'y habitue à la diversité, la preuve je lis ce qu'il y a à lire. Et la contradiction des idées aussi, a condition que ces idées ne soient pas importées évidemment, et que le débat reste algérien.

par contre quand tu dis "ni a personnaliser mes posts,rien de plus Rien de moins."je ne comprends pas très bien... d'ailleurs , je suis désolé de vous le dire, mais toi comme Yak , parfois vous faites des fautes de frappes ou des sens dans vos messages, ce qui en rends parfois des messages difficilement compréhensible, voire incompréhensibles.

tout le monde demande le revalorisation de la constitution , et tout le monde est convié a cet evenement sans exception soit les opposants politique ou la societé civile , et les associations , tout le monde a eu gains de cause et tout le monde est heureux pour ce pas qui n'etait autrefois infranchissable , et tout le monde refuse l'invitation avant méme qu'ils soient envoyé a leurs destinataire , et tout le monde ne sait ou se donner la téte , apres que le president les a devancé sur le champ et les a mis dans le fait accomplit , alors messieurs donner vous la peine de donner un alibi qui ferra de vous des politiciens de vrais ou l'essentiel pour mieux vous donner la credibilité au peuple qui lui est la , et sera la , et ne bougera pas d'un iota de sa ligne qui est la securité du pays et a sa stabilité , alors les oui dire d'outre mer et les medias d'internet ne ferra pas changé l'opinion national ,et  que vive l'algerie , et que vivent ceux qui travaillent dans l'ombre pour la sauvegarde de la patrie , sans detour et sans demagogie que cette derniere alternative est devenu le moyen de se retrograder sans le savoir , les dits opposants veulent reincarner le FIS sans demander l'aval du peuple allez savoir .......................................

@kaci

Nous acceptons et recevons tes critiques cela va sans dire et poursuivons cet effort conjointement pour un but commun, je te demande d'en faire de même nous concernant,  pour ce qui est des fautes d'orthographe,  effectivement... pour ma part il s'agit plutôt de sujétions de saisi semi automatique sur ma tablette, je n'est pas l'entièreté de l'écran a chaque fois pour voir ces erreurs mais a l'avenir je tacherais d'y veiller...
Par contre nous t'accordons certainement pas le droit de censure ou de définir ce qui est algérien ou pas ni ce qui est importer d'une poche de jean ou d'un autre continent, les idées n'ont pas frontières, il appartient a chacun simplement d'émettre son avis et de se faire son opinion voila tout kaci, il n'y a rien de mal dans nos échanges pour jouer a une sorte de jeu du dernier mot que je trouve puéril et non constructif, je te laisse ton droit de réponse si tu le désir pour CLORE ce pseudo sujet

Le DRS en voie de dissolution


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Info Algérie1 : Le projet de révision constitutionnelle annoncé par le président Bouteflika lors de son discours d’investiture, passera bientôt de la promesse à sa mise en acte. Comme annoncé à l’issue du dernier Conseil des ministres, les partis politiques seront destinataires cette semaine des propositions d’amendements faites par la commission présidée par le Pr Azouz Kerdoun, histoire de s’en imprégner en prévision de l’ouverture des consultations début juin.
Mais cette révision constitutionnelle, loin de ressembler à toutes celles qui l’ont précédée jusque-là, s’annonce comme une véritable rupture épistémologique. Ce sera en fait la grande affaire de ce quatrième mandat du président Bouteflika qui entend, nous explique t-on de sources dignes de foi, faire accomplir à l’Algérie « un saut qualitatif » dans le sens d’une plus grande démocratisation du système.
Ce sera vraisemblablement le passage vers la deuxième république, même si au niveau du pouvoir on n’aime pas cette appellation qui est un mimétisme des traditions politiques françaises. Outre le rééquilibrage des pouvoirs avec plus de compétences au parlement et une plus grande autonomie de la justice, nos sources parlent aussi de « la détermination irréversible du président Bouteflika à +civil-iser+ le système en instaurant un Etat civil». Entendre par là, la fin de la toute puissance des services de sécurité.
Le Département du renseignement et de la sécurité (DRS) dans sa traditionnelle configuration de police politique avec des antennes à tous les niveaux institutionnels « sera dissous ». Le DRS version Toufik c’en est fini et « l’opération de restructuration des services, entamée en septembre dernier par le président Bouteflika ira jusqu’au bout, les militaires retournant dans leurs casernes » ajoutent nos sources..
Un nouveau schéma organisationnel sera mis en place avec une fragmentation des différentes directions. Selon nos sources, la Direction de la documentation et de la sécurité extérieure (DDSE), sera rattachée au ministère de la Défense nationale. La Direction de la Sécurité intérieure (DSI) sera redéployée au sein d’une structure de sécurité nationale (peut être un ministère) qui sera dirigée obligatoirement par une personnalité civile.
Un projet que l’ex ministre de l’Intérieur Yazid Nouredine Zerhouni avait à cœur de mettre en place mais qui n’a pu aboutir en raison de résistances.
Déjà le service de la police judicaire, a été dissous et ses missions sont désormais dévolues à la police et à la gendarmerie. La presse, quant à elle assurent encore nos sources, « elle est désormais débarrassée de toute tutelle politique si ce n’est celle légale du ministère de la communication au niveau purement administratif ». La Direction centrale de la sécurité de l’armée (DCSA) est déjà retournée dans son giron naturel au sein du MDN. Les autres services du DRS seront pour certains d’entre eux intégrés dans cette nouvelle structure alors que d’autres seront répartis à travers d’autres structures de sécurité précisent les mêmes sources.
La dissolution du DRS et la restructuration de ses différentes directions, dans le cadre de la nouvelle Constitution permettra ainsi d’en finir avec « le pouvoir de l’ombre » qui a souvent valu à l’Algérie des critiques de la part de ses partenaires internationaux. « Il ne s’agit pas pour autant de casser les services algériens, mais simplement de les redéployer selon les standards en usage dans les pays démocratiques » confient encore nos sources. Et c’est bien cette révolution que se propose de réaliser le président Bouteflika insistent nos interlocuteurs.
En attendant cette restructuration, le président Abdelaziz Bouteflika, lors sa dernière entrevue le 25 mars dernier avec la chef d’état major, Ahmed Gaid Salah, avait lancé une petite phrase d’une très grande importance, qu’aucun organe de la presse nationale n’avait relevé, alors que c’étaient les seuls mots diffusés par la télévision nationale. Le président avait donné publiquement au général de corps d’armées et vice ministre de la défense autorité et primauté sur les services de renseignements et en particulier le DRS (voir vidéo ci-dessous à 1.16).
« je voudrais que les problèmes de sécurité soient supervisés par le CEMO. » avait ordonné le président de la république en tant que chef des armées et ministre de la défense nationale.
Le CEMO, pour les non avertis, désigne le chef d’état-major opérationnel c’est à dire Ahmed Gaïd Salah.



http://www.algerie1.com/actualite/le-drs-en-voie-de-dissolution/

qui est l'auteur de cet article ,  

L’Algérie refuse d’abriter une base aérienne de drones américains

Par Lila Ghali | 10/05/2014 | 17:12
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L’Algérie a refusé la demande américaine portant sur l’installation d’une base aérienne de drones dans l’extrême Sud du pays et les Etats-Unis ont riposté par le refus de vendre des drones aux forces de sécurité algériennes.
L’information a été révélé, hier, par le site arabe d’information « raialyoum » basé à Londres citant des sources américaines qui précise que la demande US a été formulée à l’occasion de la dernière visite du secrétaire d’Etat, John Kerry qui avait tenté de convaincre les autorités algériennes en faisant état d’une forte activité terroriste dans la région frontalière à l’Algérie notamment au Sahel œuvre d’AQMI.

http://www.algerie1.com/actualite/lalgerie-refuse-dabriter-une-base-aerienne-aux-drones-us/