Actualités Politiques

LE RÔLE DE LA DIPLOMATIE ALGÉRIENNE SALUÉ À BRUXELLES

Après trois ans d’affrontements fratricides

Résolution des conflits: l’UE doit profiter de l’expérience algérienne

Citation :

Louisa Hanoune se déchaine contre Amar Saâdani et Ali Haddad


Par Abbès Zineb | 11/03/2015 | 16:13


C’est une Louisa Hanoune extrêmement remontée qui a rencontré ce matin les journalistes au siège de son parti. Elle n’a pas pris les gants pour dire ses vérités. Ses cibles sont multiples. D’abord Amar Saâdani à qui elle n’a visiblement pas pardonné l’estocade d’ Annaba.
Pour elle, le chef du FLN n’est qu’une sorte de tête de pont de l’oligarchie financière qui est dans les sphères du pouvoir et qui pèse dans la décision politique. Louisa Hanoune en veut aussi à Saâdani pour ses attaques l’année dernière contre le patron du DRS le général Mohamed Mediène dit Toufik.
Les critiques dont avait fait l’objet le patron du DRS ont déstabilisé l’institution militaire puis offert des angles d’attaques aux organisation des droits de l’homme pour s’attaquer à l’Algérie, accuse encore Louisa Hanoune.
Une autre salve de Louisa Hanoune est destinée au patron du FCE Ali Haddad qui, à ses yeux, a pris trop de poids dans les sphères du pouvoir en ayant ses propres ministres. A ce propos, elle promet d’interpeller le président Bouteflika. Pour ce qui est du gaz de schiste, elle persiste et signe : c’est une ressource nécessaire pour l’économie du pays.
Quant à l’intervention de l’armée à Ain Salah, elle défend la décision, considérant qu’elle n’avait aucun sens politique, mais c’était juste pour assurer la sécurité des citoyens et des infrastructures. A ce propos, elle fait référence aux pays qui font appel, à tire exceptionnel, à l’armée pour des missions de sécurisation des infrastructures sensibles.
Pour ce qui est du code de la famille, elle considère que le texte récemment adopté par l’APN est une concession du président de la république aux islamistes. Et de se demander, en l’occurrence, « si le président Bouteflika est bien conseillé ».

http://www.algerie1.com/actualite/louisa-hanoune-se-dechaine-contre-amar-saadani-et-ali-haddad/

Curieuse et suspecte irruption d’Abdelhak Layada sur la scène politique

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Marine Le Pen : » Si Zlatan considère que la France est un pays de merde, qu’il dégage en Algérie »
Par Mourad Arbani | 18/03/2015 | 7:33

La présidente du parti français le Front National(FN), Marine Le Pen vient à nouveau de se rendre coupable d’un dérapage de trop à l’égard de l’Algérie.
Intervenant sur la chaine de radio Eurpe 1 au au lendemain des propos d’après-match du joueur du club français PSG, Zlatan Ibrahimovic, qui avait qualifié la France de « pays de merde », la probable présidente française s’empare de cette polémique en déclarant que « les propos de Zlatan sont inacceptables, s’il considère que la France est un pays de merde, eh bien qu’il dégage en Algérie ! ».

http://www.algerie1.com/actualite/marine-le-pen-si-zlatan-considere-que-la-france-est-un-pays-de-merde-quil-degage-en-algerie/

Avec la décision du président Bouteflika prise en 2013 de dissoudre le statut de police judiciaire aux officiers des renseignements (DRS), les ministères de la Défense et de la Justice se retrouvent en complication juridique «dangereuse». Autrement dit, cette décision rend la lutte antiterroriste, mission principale des Renseignements, comme étant une activité hors-la-loi ou illégale.
suite de l article:
http://www.presse-algerie.fr/elwatan.php

Plusieurs ministres écartés

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Nouveau gouvernement : les enjeux du remaniement

Il l’a remanié. Enfin. Envisagé dès la fin de l’été 2014, reporté à plusieurs reprises, le remaniement ministériel a finalement eu lieu ce jeudi 14 mai.  Au moment où personne ne l’attendait presque plus.

Mais au-delà de la composition du nouveau gouvernement avec son lot de partants et de nouveaux arrivants, ce remaniement suscite aux moins trois interrogations.

Quel avenir pour la révision de la Constitution ?

La Première, sans doute la plus importante sur le plan politique, concerne l’avenir du projet de révision de la Constitution. Ces derniers mois, le remaniement ministériel et la révision constitutionnelle semblaient étroitement liés. Le premier devait intervenir après la seconde. Plusieurs responsables politiques l’ont clairement laissé entendre. Pourtant, le chef de l’État a fini par remanier le gouvernement sans avancer sur la nouvelle Constitution.

Le projet est-il renvoyé aux calendes grecques ? Sans aller jusqu’à confirmer cette thèse, le patron du FLN reconnait dans une déclaration à TSA, après l’annonce du remaniement, que l’adoption de la nouvelle constitution pourrait effectivement « être renvoyée à la prochaine rentrée sociale ». Reste à savoir si cette nouvelle échéance sera respectée. Ce énième report ouvre la voie à toutes les possibilités.

Pourquoi de tels changements ?

Deuxième question importante : pourquoi le Président a-t-il  opéré un changement maintenant ?  Certes, plusieurs ministres ont été, ces dernières semaines, les cibles de critiques et d’accusations de corruption, de mauvaise gestion. Ils sont devenus trop encombrants pour le gouvernement. C’est le cas de Nadia Chirrabi Labidi,  Mohamed Tahmi et  Mohamed Djellab. Ils ont été sacrifiés.

Mais il se trouve qu’ils ne sont pas les seules visés par les attaques ou les soupçons. Amar Ghoul, dont le nom est étroitement lié au scandale de l’autoroute Est-Ouest et dont le passage au ministère des Transports est catastrophique de l’avis même de ses proches, reste au gouvernement où il siège depuis 1999, année de l’arrivée au pouvoir de Bouteflika.

Amara Benyounes, désavoué publiquement par Abdelmalek Sellal qui a annulé son instruction sur l’alcool, conserve son portefeuille du Commerce.  Abdesselam Bouchouareb, qui n’entretient pas les meilleurs rapports avec  son Premier ministre,  est toujours ministre de l’Industrie. Abdelmadjid Tebboune,  donné  comme partant, reste aussi. Avec le maintien de ces ministres, on peut difficilement dire que Bouteflika a suivi l’avis de son Premier ministre. Sellal hérite d’un nouveau gouvernement aussi difficile à gérer que l’ancien.

Autre cas qui suscite des interrogations : Yousf Yousfi. Très critiqué pour sa gestion du secteur de l’Énergie et du dossier du gaz de schiste, le ministre de l’Énergie a été défendu publiquement par le président de la République lors d’un conseil  interministériel restreint. Le ministre a également été défendu par Louisa Hanoune qui l’a présenté comme un homme intègre dans un gouvernement composé à « 30% de corrompus ». Mais l’homme entretenait des relations compliquées avec Abdelmalek Sellal. Aujourd’hui, son départ reste une énigme.

Quelles missions pour le nouveau gouvernement ?

Trois et dernière question : que faut-il attendre de ce nouveau gouvernement ? Ce changement ne semble pas obéir à des enjeux politiques ou même économiques importants. Comme la précédente, la nouvelle équipe gouvernementale sera appelée à gérer les affaires courantes sauf que la conjoncture n’est plus la même.

L’absence prolongée du Président, les doutes sur la révision constitutionnelle, la baisse des revenus de l’État avec la chute du prix du baril va compliquer la mission des ministres, surtout ceux qui seront en première ligne : Finances, Commerce, Industrie… Mais pour le Président et son entourage, les enjeux se situent ailleurs.

Citation :

Nouveau gouvernement : les enjeux du remaniement

Il l’a remanié. Enfin. Envisagé dès la fin de l’été 2014, reporté à plusieurs reprises, le remaniement ministériel a finalement eu lieu ce jeudi 14 mai.  Au moment où personne ne l’attendait presque plus.

Mais au-delà de la composition du nouveau gouvernement avec son lot de partants et de nouveaux arrivants, ce remaniement suscite aux moins trois interrogations.

Quel avenir pour la révision de la Constitution ?

La Première, sans doute la plus importante sur le plan politique, concerne l’avenir du projet de révision de la Constitution. Ces derniers mois, le remaniement ministériel et la révision constitutionnelle semblaient étroitement liés. Le premier devait intervenir après la seconde. Plusieurs responsables politiques l’ont clairement laissé entendre. Pourtant, le chef de l’État a fini par remanier le gouvernement sans avancer sur la nouvelle Constitution.

Le projet est-il renvoyé aux calendes grecques ? Sans aller jusqu’à confirmer cette thèse, le patron du FLN reconnait dans une déclaration à TSA, après l’annonce du remaniement, que l’adoption de la nouvelle constitution pourrait effectivement « être renvoyée à la prochaine rentrée sociale ». Reste à savoir si cette nouvelle échéance sera respectée. Ce énième report ouvre la voie à toutes les possibilités.

Pourquoi de tels changements ?

Deuxième question importante : pourquoi le Président a-t-il  opéré un changement maintenant ?  Certes, plusieurs ministres ont été, ces dernières semaines, les cibles de critiques et d’accusations de corruption, de mauvaise gestion. Ils sont devenus trop encombrants pour le gouvernement. C’est le cas de Nadia Chirrabi Labidi,  Mohamed Tahmi et  Mohamed Djellab. Ils ont été sacrifiés.

Mais il se trouve qu’ils ne sont pas les seules visés par les attaques ou les soupçons. Amar Ghoul, dont le nom est étroitement lié au scandale de l’autoroute Est-Ouest et dont le passage au ministère des Transports est catastrophique de l’avis même de ses proches, reste au gouvernement où il siège depuis 1999, année de l’arrivée au pouvoir de Bouteflika.

Amara Benyounes, désavoué publiquement par Abdelmalek Sellal qui a annulé son instruction sur l’alcool, conserve son portefeuille du Commerce.  Abdesselam Bouchouareb, qui n’entretient pas les meilleurs rapports avec  son Premier ministre,  est toujours ministre de l’Industrie. Abdelmadjid Tebboune,  donné  comme partant, reste aussi. Avec le maintien de ces ministres, on peut difficilement dire que Bouteflika a suivi l’avis de son Premier ministre. Sellal hérite d’un nouveau gouvernement aussi difficile à gérer que l’ancien.

Autre cas qui suscite des interrogations : Yousef Yousfi. Très critiqué pour sa gestion du secteur de l’Énergie et du dossier du gaz de schiste, le ministre de l’Énergie a été défendu publiquement par le président de la République lors d’un conseil  interministériel restreint. Le ministre a également été défendu par Louisa Hanoune qui l’a présenté comme un homme intègre dans un gouvernement composé à « 30% de corrompus ». Mais l’homme entretenait des relations compliquées avec Abdelmalek Sellal. Aujourd’hui, son départ reste une énigme.

Quelles missions pour le nouveau gouvernement ?

Trois et dernière question : que faut-il attendre de ce nouveau gouvernement ? Ce changement ne semble pas obéir à des enjeux politiques ou même économiques importants. Comme la précédente, la nouvelle équipe gouvernementale sera appelée à gérer les affaires courantes sauf que la conjoncture n’est plus la même.

L’absence prolongée du Président, les doutes sur la révision constitutionnelle, la baisse des revenus de l’État avec la chute du prix du baril va compliquer la mission des ministres, surtout ceux qui seront en première ligne : Finances, Commerce, Industrie… Mais pour le Président et son entourage, les enjeux se situent ailleurs.

Pourquoi de tels changements ?

su30mka a écrit:

Pourquoi de tels changements ?

(pour changer les pansements )

Algerian fighter one a écrit:

Ce qui est sur c'est que ce n'est pas Abdelaziz Bouteflika qui dirige notre pays , et fort heureusement d'ailleurs , par exemple si vous faite un stage avec un président , on vas dire toute une journée avec un président , vous verrez qu'un homme de 77 ans avec un gros handicap physique et mental est totalement incapable de faire ne serait ce une journée ordinaire de président , déjà le stress est énorme , les effort a fournir aussi.

Je pense que c'est un conseil ANP / DRS qui dirige notre pays , ils veillent a la stabilité de la nation.

Les ministre eux , sont juste des pions .

Citation :

Lamamra nommé ministre d’Etat, des Affaires étrangères et de la Coopération internationale