Actualités Sociales

Cette année, la célébration du 1er mai aura un goût d'amertume pour les travailleurs de CEVITAL de Béjaia qui luttent pour leurs droits élémentaires. Plusieurs de leurs camarades sont en grève de la faim et certains parmi eux ont été transportés à l'hôpital dans un état grave. Deux remarques me viennent à l'esprit: 1. Dans une conjoncture sociale explosive où certains cercles internationaux n'hésitent pas à utiliser les mouvements sociaux pour déstabiliser notre pays, il est de la responsabilité de l'Etat de veiller à l'application du DROIT dans notre pays. 2. Une grève de la faim de travailleurs complètement ignorée par la plupart de nos quotidiens nationaux, c'est honteux. La raison? Les responsables de la plupart de ces quotidiens sont "sucrés" par Monsieur Rebrab, le patron de CEVITAL. C'est dire la grave dépendance de notre presse dite "indépendante" à l'égard des lobbies de l'Argent. On comprend mieux les postions anti-nationales de certains quotidiens en vogue...

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ALORS QU'UNE GRÈVE GÉNÉRALE EST ANNONCÉE AUJOURD'HUI


La situation s'enlise au groupe Cevital


Par Boualem CHOUALI - Lundi 30 Avril 2012


Le siège du groupe Cevital
Plusieurs appels sont lancés pour tenir un rassemblement le 1er Mai devant l'entrée principale du complexe Cevital.

La grève de la faim entamée par les travailleurs licenciés est-elle annonciatrice d'un printemps social au sein du plus grand groupe agroalimentaire d'Algérie, Cevital? Au septième jour de grève des 16 employés de ce groupe, la situation ne fait qu'empirer.
La solidarité s'organise et une grève générale est annoncée pour aujourd'hui qui risque de paralyser le Groupe de Isaad Rebrab. Ainsi, la célébration de la journée internationale des travailleurs, appelée communément «Fête du travail» dans la wilaya de Béjaïa, se tient désormais dans un climat de tension sociale qui règne depuis ces derniers jours au sein du groupe Cevital. Ce dernier offre, ainsi, une opportunité sans pareille aux travailleurs pour célébrer cette symbolique date, chère à la classe ouvrière.
A Béjaia, cette date prendra donc une tout autre coloration, et aura un tout autre goût. Le 1er Mai sera célébré en signe de solidarité avec les travailleurs grévistes de la faim de Cévital qui entament aujourd'hui leur 7e jour de grève de la faim illimitée sans réaction du patron de Cevital, Isaad Rebrab. La majorité des syndicats qui activent sur le territoire de la wilaya de Béjaia ont exprimé leur soutien indéfectible à ces travailleurs. Ainsi, plusieurs appels sont lancés pour tenir un rassemblement le 1er Mai devant l'entrée principale du complexe Cevital pour exiger la réintégration sans conditions des travailleurs grévistes de la faim. L'Ugta, le Snapap, la Snte, le Cnapest, l'Unpef ont exprimé leur solidarité avec les grévistes. Chaque syndicat essaie de son côté d'initier des actions pour faire aboutir leur cause. Mais il n'y a pas que les syndicats. Les partis politiques se sont aussi mis de la partie et ont exigé que cesse cette situation à la veille de la fête internationale des travailleurs. Le parti majoritaire, le FLN, a eu à exprimer son soutien lors d'un meeting de campagne organisé avant-hier dans la ville des Hammadites. Idem pour le parti de Louisa Hanoune, connu pour ses positions tranchées et qui ne fait pas dans le compromis quand il s'agit des droits des travailleurs. Sur la même longueur d'onde, le PST très implanté dans le milieu syndical, a alerté l'opinion publique sur les dangers de cette grève. En effet, le PST a été le premier parti politique à avoir dénoncé publiquement la situation et exprimé son soutien. Pas seulement, le parti compte organiser une marche ce 1er mai, de la wilaya vers le complexe Cevital. C'est dire que la riposte est organisée. La cause de ces travailleurs s'est répandue comme une traînée de poudre. Jamais une grève de la faim, ou plutôt une grève tout court, n'a fait autant de bruit. Une action qu'on n'oubliera pas de sitôt, quelle que soit son issue. «Quand de simples travailleurs déchirent la camisole de la peur, brisent le mur du silence et disent les quatre vérités à une puissance financière, à la veille de la fête du 1er Mai, il faut inscrire cette victoire en lettres d'or dans la lutte syndicale», jubile un syndicaliste de Béjaïa. Cevital défraie la chronique au point de devenir le sujet de discussion à chaque coin de rue, dans chaque foyer, dans les cafés et marchés de la capitale des Hammadites. Le conflit s'invite chaque jour dans les débats des candidats à la députation. Sinon, quelle explication donner à cet élan de solidarité qui se concrétise et s'amplifie de jour en jour? Le coin du piquet de grève est devenu un lieu de pèlerinage au nom de la solidarité syndicale. Ils sont nombreux à s'y rendre chaque jour pour manifester leur solidarité et s'enquérir de l'état de santé des grévistes de la faim. «M.Rebrab ferait mieux de revenir sur sa décision avant qu'il ne soit trop tard. Car il sera seul responsable des conséquences négatives qui découleraient de l'action des grévistes et de l'élan de solidarité qui se concrétise davantage», déclare un groupe de syndicalistes solidaires rencontrés sur le lieu du piquet de grève. «Le patron de Cevital risque de voir une simple revendication concernant la réintégration des travailleurs se propager pour gagner d'autres domaines, notamment ceux relatifs à l'environnement», ajoute le même groupe. De leur côté, malgré la fatigue, la faiblesse qui les gagne, les grévistes se déclarent plus que jamais déterminés à aller jusqu'au bout de leur action. «Nous sommes les producteurs de la richesse de Cevital. Aujourd'hui, nous ne lâcherons pas prise jusqu'au dernier souffle de notre vie», déclarent-ils, déterminés. Seule la lutte paie désormais! Les travailleurs grévistes sont à un doigt de la victoire. L'élan de solidarité pour leur cause se concrétise davantage. Les soutiens sont nombreux pour mettre fin à l'arbitraire. Les travailleurs de Cevital, clandestinement organisés, comptent paralyser le complexe aujourd'hui par une grève générale spontanée. Affaire à suivre.

http://www.lexpressiondz.com/actualite/152878-la-situation-s-enlise-au-groupe-cevital.html

Citation :

LA SOLIDARITÉ S'ORGANISE AUTOUR DES GRÉVISTES DE LA FAIM À BÉJAÏA


Cevital dans de sales draps


Par Boualem CHOUALI - Dimanche 29 Avril 2012

Les grévistes ne baissent pas les bras
Ils entament leur sixième jour de grève de la faim aujourd'hui sans que le patron du plus grand groupe industriel privé, Cevital, réagisse.

Un grand mouvement de protestation s'apprête à se déclencher dans la maison de Cevital dans les tout prochains jours si le patron de cette entreprise ne réintègre pas dans l'immédiat les travailleurs licenciés.
Alors que deux d'entre eux ont été évacués hier en extrême urgence à l'hôpital pour leur prise en charge médicale, la solidarité autour des grévistes de la faim s'organise et prend de l'ampleur. Elle a gagné les réseaux sociaux sur la Toile (Facebook, Twitter...), les associations locales de la société civile, les partis politiques, les candidats à la députation, les organisations syndicales, les deux Ligues des droits de l'homme, les travailleurs de Cevital qui n'attendent qu'un sursaut d'orgueil pour riposter de la plus belle manière... Le groupe Cevital défraie sérieusement la chronique non seulement dans la capitale des Hammadites, mais au-delà. «Silence c'est la liquidation des travailleurs à ciel ouvert, halte à l'esclavagisme des temps modernes, Rabrab Issad, un richissime patron sans état d'âme, résistez chers grévistes, la victoire est plus proche que jamais...» sont, entre autres, quelques expressions postées sur la Toile. Cevital est désormais dans de sales draps. Le patron de Cevital peut-il encore rester insensible et inflexible? Ira-t-il jusqu'au bout de sa logique de liquidation devant cet élan de solidarité sans précédent? Quelles que soient sa position et l'issue de ce bras de fer, le groupe Cevital n'en sortira avec une image que plus ternie. Au total, ils sont sept à avoir été évacués en extrême urgence à l'hôpital depuis l'entame de la grève de la faim. L'un des grévistes n'a pas assisté à l'accouchement de sa femme à la clinique Targa Ouzemour. Supplié et forcé par ses camarades grévistes, il s'est rendu enfin au chevet de sa femme pour prénommer sa fille «Houria (liberté)». Ils entament leur sixième jour de grève de la faim aujourd'hui sans que le patron du plus grand groupe industriel privé, Cevital, réagisse à leur unique revendication, à savoir leur réintégration dans leurs postes de travail, pure et simple. Leur tort est de revendiquer le droit d'avoir des droits. Ils ont été identifiés comme meneurs de grève, puis licenciés. Malgré la pression qui s'abat sur le reste des travailleurs pour éviter toute solidarité avec les grévistes de la faim, la pétition interne pour la réintégration de leurs camarades a atteint 1300 signataires, hier samedi en milieu de journée.
Un grand mouvement de protestation s'active et s'apprête à se déclencher dans la maison Cevital dans les prochains jours si le patron ne répond pas favorablement et surtout rapidement à la revendication des travailleurs. «Il est désormais interdit de toucher à la dignité des travailleurs. Nous avons assisté à des licenciements auparavant sans réaction malheureusement, mais ce n'est plus le cas aujourd'hui. Le monde est petit. On peut entendre notre cause à l'échelle planétaire. L'ère de l'esclavagisme est désormais révolue» nous déclarent quelques travailleurs venus en masse soutenir leurs camarades grévistes de la faim. De leur côté, les grévistes se déclarent désorientés par les agissements de l'administration: «Ils nous ont demandé d'introduire des recours auprès de la direction générale au niveau d'Alger, une fois réalisés, ils refusent d'accuser réception pour les transmettre par voie administrative.
Nous les avons alors envoyés en recommandé par voie postale. Pour dire que tous les moyens sont bons pour nous débouter.» De son côté, l'un des avocats des 16 grévistes de la faim du groupe Cevital, un militant acharné des droits de l'homme, s'est déclaré consterné par la manière dont ils ont été licenciés. Ainsi va le secteur privé en Algérie! A la veille de la célébration de la Journée internationale de lutte pour les droits des travailleurs, une date symbole arrachée après un rude combat par la classe ouvrière contre la bourgeoisie, la question des droits des travailleurs en général, et ceux du secteur privé en particulier, se pose désormais avec acuité. Jusqu'à quand les pouvoirs publics fermeront-ils les yeux sur des dépassements d'un autre âge?

http://www.lexpressiondz.com/actualite/152810-cevital-dans-de-sales-draps.html

Citation :

La raison? Les responsables de la plupart de ces quotidiens sont
"sucrés" par Monsieur Rebrab, le patron de CEVITAL. C'est dire la grave
dépendance de notre presse dite "indépendante" à l'égard des lobbies de
l'Argent. On comprend mieux les postions anti-nationales de certains
quotidiens en vogue...

c est le meme processus que des grands groupes ue et us ou autres c est la finance le capital qui controle et dicte aux etats la marche a suivre .

&tat Algerien devrai controler ces groupes en prenant des parts pour ne pas se faire déborder.

d'ailleurs c est déja le cas plein de lobbys qui pourrissent la bonne tenu de état

La finance, le financialisme, le capital, sera toujours l'ennemi juré de la nation et des principes nationaux et patriotes, les deux sont inconciliables.

L’Économie ; le commerce et l'industrie devraient être toujours liés au intérêts nationaux, avant des intérêts anonymes et internationaux .

C'est loin d'être le cas...

Tentative d'immolation d'un jeune vendeur à la sauvette à JijeL
Quel drame que ces jeunes qui s'immolent pour des questions sociales.
Comment expliquer que dans un pays qui dispose de cadres de haut niveau (chercheurs universitaires), on n'arrive pas à créer les conditions d'une meilleure politique de l'emploi?
Il semble qu'une politique de valorisation de l'emploi productif est plus que jamais nécessaire.
- L'Ansej est une bonne initiative, comment l'amplifier?
- Comment obtenir des décideurs nationaux signant des contrats qu'ils imposent du montage et assemblage sur le territoire national.
Il s'agit de questions stratégiques et ... morales.

Merci Zoubir d'avoir rappelé le drame de R.Hamza, ce jeune revendeur à la sauvette dont la tentaitve d'immolation a déclenché des émeutes dans la ville de Jijel. C'est un drame social en soi surtout quand on sait que notre pays a les moyens de faire face à la situation sociale engendrée par le chômage des jeunes à défaut d'éradiquer complètement ce fléau social. La chasse policière contre ces revendeurs, même si elle peut s'expliquer par la lutte contre l'informel, est malvenue dans la période actuelle où la moindre étincelle peut être utilisée par des forces occultes dans le cadre d'un plan de déstabilisation du pays. J'ai du mal à croire qu'il s'agit seulement d'incompétence bureaucratique. Je pense qu'il y a des clans au sein de l'Administration qui sont complices avec les groupes qui veulent mettre le feu aux poudres. Sinon comment expliquer qu'à une dizaine de jours d'une élection importante, des policiers vont importuner un pauvre revendeur au lieu de s'occuper des autres fléaux sociaux: vols, criminalité, drogue, spéculation, etc

Citation :

Algérie : graves émeutes après la tentative d'immolation d'un jeune vendeur ambulant







Les scènes d'émeutes entre la jeunesse et la police sont fréquentes en Algérie. AFP
À une dizaine de jours d'élections législatives qui pourraient tout changer en Algérie, une nouvelle tentative d'immolation par le feu d'un jeune vendeur ambulant a provoqué de sérieuses émeutes à Jijel, à 360 km à l'est d'Alger. Un drame qui rappelle celui du Tunisien Mohamed Bouazizi, en décembre 2010.

Le drame qui s'est déroulé dimanche en Algérie, est très similaire à celui du Tunisien Mohamed Bouazizi en décembre 2010, dont le suicide avait déclenché la révolution tunisienne et le Printemps arabe. À Jijel, à 360 km à l'est d'Alger, un jeune vendeur ambulant s'est en effet aspergé d'essence avant de se mettre le feu pour protester contre la démolition de son local de fortune par la police, a indiqué l'agence de presse algérienne APS.

Le jeune homme a ensuite été évacué à l'hôpital de Jijel, puis vers le centre des brûlés de Constantine, à 430 km à l'est d'Alger, selon un de ses proches. Son geste a déclenché des scènes d'émeute, des manifestants en colère prenant d'assaut la wilaya (préfecture) et obligeant les forces de l'ordre à se déployer devant plusieurs bâtiments publics. Le siège départemental du Front de libération nationale (FLN, au pouvoir) et les bureaux du Touring Voyage Algérie (TVA), un voyagiste public, ont également été incendiés, selon l'APS.

De colère, des jeunes s'en sont pris à des voitures stationnées dans la rue, les saccageant et conduisant la quasi-totalité des commerçants des quartiers des alentours à abaisser leur rideau. En Algérie, les tentatives d'immolation se multiplient depuis janvier 2011 - la presse algérienne en a comptabilisé plusieurs dizaines -, touchant notamment des lycéens. Signe du malaise social évident qui ronge l'Algérie, à une dizaine de jours d'un scrutin législatif très attendu.

Source: Jeune Afrique

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jeudi, 24 Mars 2011 22:11

Le réquisitoire du patronat contre la politique de l’emploi en Algérie

Au forum du think tank «Défense de
l’entreprise» du journal Liberté, les chefs d’entreprise algériens ont
passé au crible de leurs critiques les politiques publiques de création
d’emplois et remis en cause la véracité des chiffres avancés à ce propos
officiellement.

Les dispositifs de création d’emplois créés
par le gouvernement algérien sont en «inadéquation avec les besoins» de
l’économie. C’est en substance ce qui ressort des interventions des
chefs d’entreprise et des experts qui ont pris part aujourd’hui au forum
du think thank «Défense de l’entreprise» du journal Liberté, tenu au
Sheraton d’Alger.


Les mesures prises dans le sillage des
émeutes de janvier dernier ont un caractère «purement social», a estimé
Reda Hamiani, président du Forum des chefs d’entreprise. Selon lui,
l’ANSEJ et la CNAC ont montré leurs limites à travers le taux élevé de
la mortalité des entreprises créées grâce aux aides que ces deux agences
apportent aux jeunes. Ce phénomène (de mortalité rapide) d’ailleurs,
a-t-il dit, «fait peur aux banques ».


Il a estimé, en ce sens, que le montant de
10 millions de dinars accordé comme crédit pour la création des PME
suffit à peine au jeune promoteur à louer un local. Reda Hamiani a
ensuite également remis en cause les chiffres avancés par les pouvoirs
publics concernant la création d’emplois et de PME. Les données
contenues dans le rapport 2009 du CNES (Conseil national économique et
social) et qui font état de la création de 500 000 postes de travail
sont totalement fausses, a-t-il soutenu.


De son côté, Zaim Bensaci, président du
Conseil national de la PME, a déploré le fait que l’Etat cherche à créer
de nouvelles PME alors qu’il ne fait rien pour aider les entreprises
privées déjà existantes et qui sont en difficulté. A ses yeux, l’Etat
doit supprimer le passif des entreprises privées performantes au lieu de
gaspiller l’argent du Trésor pour aider des entreprises publiques
complètement déstructurées qui constituent de véritables «gouffres
financiers».


Quant au président de l’Association
algérienne des producteurs de boissons, M. Himani, il a, lui, critiqué
sévèrement le fonctionnement «rigide» de l’ANEM (Agence nationale de
l’emploi) qui «ne répond pas aux besoins» des entreprises. «Ils nous
imposent de recruter au niveau local alors qu’il n’est pas évident de
trouver le profil que nous recherchons quand l’entreprise est implantée
dans une région où il n y a pas assez de diplômés», a-t-il insisté.


«L’accès au foncier renforce les potentats locaux»

Autre sujet abordé lors des discussions animées
par Défense de l’entreprise et qui a suscité un débat intense est celui
de l’accès au foncier industriel. La nouvelle réglementation adoptée
par le gouvernement qui porte cession des terrains relevant du domaine
privé par voie de gré à gré au profit des investisseurs n’a pas trouvé
grâce aux yeux des intervenants.


«Le gré à gré est une correction qui
renforce les potentats locaux», a estimé Reda Amarni, consultant en
économie qui fait référence au fait que la décision d’octroi du foncier
est déléguée aux walis. Le wali est également le commis de l’Etat qui
préside le Comité d’assistance à la localisation et à la promotion des
investissements et à la régulation du foncier (Calpiref). Reda Amarni a
suggéré de confier plutôt la mission de distribution du foncier par voie
de gré à gré aux assemblées élues.


L’ancien procédé appliqué dans ce domaine, à
savoir la vente aux enchères, n’a pas échappé aux critiques non plus.
Le PDG de Modern Ceramics, Omar Ramdane, a estimé pour sa part, à cet
effet, que «l’Algérie n’est pas Monaco pour qu’on procède à la vente aux
enchères du foncier industriel». La vente aux enchères, a-t-il dit,
encourage les pratiques spéculatives. Enfin, Hassiba Mokraoui,
directrice générale de l’ANIREF, (Agence nationale d'intermédiation et
de régulation foncières) a répondu à ces critiques en indiquant que le
problème de l’accès au foncier sera réglé en augmentant l’offre. Les
pouvoirs publics, a-t-elle précisé, envisagent de créer 30 nouvelles
zones industrielles. L’ouverture de l’autoroute est-ouest, a-t-elle
encore ajouté, permettra de libérer plus de terrains exploitables pour
les investisseurs."

Plusieurs problèmes semblent se poser:
- taux de mortalité des jeunes entreprises Ansej,
- accession au foncier industriel: espérons que la mise en place de zones industrielles aidera à résorber cette question,
- quant à effacer les dettes du privé, les patrons exagèrent...

A quelques jours des émeutes qui ont éclaté à Jijel suite à l'immolation du jeune Hamza R. qui vient de décéder et à la mémoire duquel il faut toujours se rappeler que la question du chômage des jeunes est un plaie dans notre pays, voici une intiative sociale qu'on aimerait voir se multipilier dans toutes les régions du pays et notamment dans les zones isolées du sud et des hauts plateaux. Le micro-crédit peut être une alternative à l'absence des grandes sociétés et du peu d'empressement du privé à investir dans des régions pauvres en infrastructures.

Citation :

Un millier de micro-crédits pour les daïras de Djamaâ, El-Meghaier et Touggourt


EL-OUED - Le ministre de la Solidarité nationale et de la Famille, Said Barkat, a annoncé lundi l’octroi de 1.000 micro-crédits, sans intérêts, en faveur des daïras de Djamaâ et El-Meghaier (wilaya d’El-Oued) et Touggourt (wilaya d’Ouargla).


S’exprimant lors d’une visite de travail qui l’a conduit à ces trois daïras, M. Barkat a précisé que 500 de ces microcrédits iront à Touggourt et les 500 autres à répartir équitablement entre Djamaâ et El-Meghaier.

Ces trois collectivités ont également bénéficié d’équipements divers destinés aux domaines de la jeunesse, des loisirs, des sports, de l’électrification rurale, et de l’assainissement, en plus de véhicules utilitaires destinés aux établissements relevant du secteur de la Solidarité nationale et de la famille, a ajouté le ministre.

Concernant les projets du secteur, M. Barkat a mis l’accent sur la nécessité d’exploiter les moyens de réalisation locaux dans leur exécution, excepté pour les volets techniques dépassant les capacités disponibles localement.

Le ministre a, en outre, annoncé la réalisation prochaine de stades de proximité de qualité, dotée de pelouses artificielles, par l’agence de développement social, avec le concours des communes et des directions de wilaya du secteur, à titre d’accompagnement.

Il a fait état de l’existence de 200 projets du genre inscrits à l’échelle nationale, en plus d’autres projets dont l’annonce interviendra ultérieurement, avant de préciser que ce type de projets profiteront au citoyen, notamment dans les zones précaires, permettront la pratique de différents sports, et seront mis à la disposition du mouvement associatif.

Le ministre a entamé sa visite de travail dans la daira de Touggourt ou il a inspecté le centre médico-pédagogique (CMP) pour enfants déficients mentaux, implanté au quartier Emir Abdelkader, et invité ses responsables à élaborer une étude de faisabilité pour sa dotation d’un internat.

M. Barkat a, ensuite, inspecté le CMP pour enfants déficients mentaux "Chahid Remili Mohamed Ben Ahmed", dans la daira de Djamaâ, puis celui d’El-Meghaier, et évoqué avec leurs responsables la possibilité de les doter en groupes électrogènes et en climatiseurs, et d’étendre leur éclairage.

Les trois CMP pour enfants déficients mentaux, qui ont l’objet d’une visite du ministre, ont bénéficié d’une série d’équipements susceptibles de permettre l’amélioration des prestations fournies pour la prise en charge de ces personnes aux besoins spécifiques, ont affirmé leurs gestionnaires.

http://www.aps.dz/Un-millier-de-micro-credits-pour.html

C'est la désillusion totale au niveau de nos jeunes chômeurs. Ils ne rêvent que de locaux et d'informel.
C'est pratiquement la seule chose qu'on leur agite de loin. A croire que toute cette jeunesse abimée se convertira au commerce.
Où sont les formations professionnelles ?
Où sont les les programmes de wilaya ?
Où sont les allocations chômages qui relèvent du droit ?
Où sont les pédagogues, les maires, les députés, les assistants sociaux et les investisseurs privés ?
Jusqu'à quand nos jeune se nourriront-ils en vendant des bananes en plein soleil ?
Jusqu'à quand devra-t-on faire semblant de ne pas voir leurs regards vides et leurs désarrois ?
Ça ne mérite même pas un débat public tellement les réponses sont évidentes !

Les ONG en Algérie, est-ce un plus ou est-ce un moins? Bien-sûr, il y a ONG et ONG. Certaines font du bon travail, d'autres sont des "couvertures" à des activités plus louches. Comme notre pays ne peut s'enfermer, il doit faire avec. Pour ne pas laisser ces ONG entre les mains des éléments louches, les patriotes doivent occuper aussi ce terrain. Ils doivent être partout! Pour mener des activités sociales et pour défendre l'indépendance et les intérêts du pays.

Citation :

Les ONG en Algérie appelées à intensifier leur rôle mobilisateur au sein de la société


ALGER - Les organisations non gouvernementales (ONG) doivent intensifier leurs activités en Algérie pour pouvoir assumer pleinement leur rôle mobilisateur au sein de la société, a estimé jeudi à Alger le Docteur Hanifa Mezoui, coordinatrice spéciale de la société civile auprès de l’Assemblée générale des Nations-Unies, soulignant que l’Etat algérien encourage la création de ces ONG.


Selon le Docteur Mezoui, "les ONG doivent faire d’avantage d’efforts en Algérie pour pouvoir assumer le rôle qui leur est dévolu, à savoir participer autant à mobiliser l’opinion publique qu’au règlement des problèmes".

Elle a souligné, lors d’une conférence à la faculté des sciences politiques et de l’information d’Alger, que ’’tous les moyens humains et matériels sont disponibles pour que ces organisations voient le jour en Algérie", avançant le chiffre de 13 ONG présentes en Algérie et reconnues au sein de Nations Unies.

Le SG de l’ONU M. Ban Ki Moon avait lancé un appel pour la création d’ONG ’’académiques’’, animées par des universitaires, des chercheurs et des académiciens, rappelle-t-on.

Cette initiative, à laquelle participent 90 pays, à pour objectif principal d’inclure le monde universitaire dans les activités des Nations-Unies. Le Docteur Mezoui espère la création prochaine de la première ONG académique en Algérie, pour devenir le premier pays maghrébin participant à cette initiative.

Par ailleurs, elle a en mis relief le rôle important joué par les ONG, estimant qu’elles sont "les yeux des Nations Unies dans les pays en crise".

"Dans certains pays du monde dont l’accès est parfois très difficile en raison des conflits, les ONG restent le seul moyen pour savoir ce qui se passe sur le terrain, elles deviennent donc la seule source d’information", pour l’ONU, a-t-elle précisé.

De son coté, le professeur Mohamed Reda Mezoui, directeur du laboratoire d’études et d’analyse des politiques publiques en Algérie (LEAPPA), a appelé les ONG activant en Algérie à accentuer leurs efforts en vue de s’impliquer dans l’environnement socio-économique en Algérie, qualifiant leur présence sur le terrain ’’d’occasionnelle".

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http://www.aps.dz/Les-ONG-en-Algerie-appelees-a.html

benevole a écrit:

C'est la désillusion totale au niveau de nos jeunes chômeurs. Ils ne rêvent que de locaux et d'informel.
C'est pratiquement la seule chose qu'on leur agite de loin. A croire que toute cette jeunesse abimée se convertira au commerce.
Où sont les formations professionnelles ?
Où sont les les programmes de wilaya ?
Où sont les allocations chômages qui relèvent du droit ?
Où sont les pédagogues, les maires, les députés, les assistants sociaux et les investisseurs privés ?
Jusqu'à quand nos jeune se nourriront-ils en vendant des bananes en plein soleil ?
Jusqu'à quand devra-t-on faire semblant de ne pas voir leurs regards vides et leurs désarrois ?
Ça ne mérite même pas un débat public tellement les réponses sont évidentes !

Cela fait mal de savoir tous ces jeunes sans emplois. Il me semble qu'il faut réduire l'économie de bazar et aller vers des contrats prévoyant des retombées locales en matière d'emplois.

benevole a écrit:

C'est la désillusion totale au niveau de nos jeunes chômeurs. Ils ne rêvent que de locaux et d'informel.
C'est pratiquement la seule chose qu'on leur agite de loin. A croire que toute cette jeunesse abimée se convertira au commerce.
Où sont les formations professionnelles ?
Où sont les les programmes de wilaya ?
Où sont les allocations chômages qui relèvent du droit ?
Où sont les pédagogues, les maires, les députés, les assistants sociaux et les investisseurs privés ?
Jusqu'à quand nos jeune se nourriront-ils en vendant des bananes en plein soleil ?
Jusqu'à quand devra-t-on faire semblant de ne pas voir leurs regards vides et leurs désarrois ?
Ça ne mérite même pas un débat public tellement les réponses sont évidentes !

Boussouf a très bien cerné le front social et les risques de déstabilisation potentiels.
Depuis belle lurette, je ne crois plus aux coups de baguettes magiques venant du sommet.
Notre riche histoire de la guerre d'indépendance nous montre qu'alors que l'ALN était mis en difficulté par des opérations de large ampleur, ce sont les populations des grandes villes qui, en descendant dans les rues ont aidé à mettre en échec les forces coloniales.
De même, toute avancée sociale ne viendra pas d'en haut. Elle viendra de la base.
Comme noté plus haut dans l'édito, les Algériens expriment un haut niveau de conscience social en refusant la captation de la rente pétrolière et du fruit de l'économie nationale par une frange de la population: la bourgeoisie affairiste liée aux contrats avec l'étranger.
Certes, on ne voit pas de mouvement social assez fort et organisé?
- mais, serait-il opportun quand on pense aux risques de dérapages, de provocation? A ce propos, on peut faire confiance au mouvement populaire lorsqu'il atteint un haut degré de conscience et que les manifestations sont encadrées par un service d'ordre.
- mais, sans attendre un tel niveau de mobilisation populaire qui s'est manifesté lors des hausses de prix et s'est fait entendre (mais sans que les vrais spéculateurs soient punis), il faut tenir compte du sacrifice de ces jeunes immolés.
- ce sont les nouveaux martyrs de la Nation, comme ces djounouds et officiers de l'ANP tombés dans la lutte pour protéger les populations civiles (il faut noter le fort mouvement de solidarité qui s'est manifesté lors du récent enterrement de membres de forces de l'ordre).
- ces immolations sont autant de composantes d'un large mouvement de révolte contre ceux qui essayent de capter les richesses du pays.
- aussi, fort de ce sentiment puissant de la population algérienne qui souffre, les patriotes doivent faire entendre leur voix pour une inflexion de la politique économique algérienne: barka mane l'économie de bazar!
- ces patriotes devront s'associer aux syndicats et associations .

Campagne de nettoyage à Tamanrasset
Les jeunes de Facefook s’y mettent
13.05.12 El Watan



Le groupe de volontaires compte plus de 500 personnes et a été créé,
explique Benmessaoud Rekaya, dans le but de préserver l’environnement
et le cadre de vie du citoyen.

Al’initiative d’un groupe de jeunes «facebookeurs», une vaste
opération de sensibilisation a été lancée hier pour sonner le tocsin
face à la dégradation avancée de l’environnement dans la ville de
Tamanrasset.
L’opération, initiée en collaboration avec l’Association de la
protection de l’environnement et de lutte contre la pollution (APELP),
a touché, en premier lieu, les quartiers populeux de Guetta El Oued,
Elchoumaa et Tahaggart, lesquels évoluent dans une insalubrité
inquiétante. «Cela fait mal au cœur de voir l’image de la capitale de
l’Ahaggar ternie par des monticules d’ordures qui donnent des hauts-le
cœur», regrette Benmessaoud Halima, membre du groupe initiateur de
cette opération.

«La ville de l’Ahaggar n’était pas comme ça. Sa vocation touristique
est en jeu eu égard aux détritus et déchets qui s’amoncellent un peu
partout dans la ville. Le problème s’est accentué par l’incivisme des
habitants et l’indifférence des services de la voierie. Les sites
historiques que renferme la ville se sont dégradés et enlaidis par les
immondices», relève-t-il, tout en lançant un appel pressant aux
autorités concernées aux de habitants de Tam pour s’impliquer dans cette
opération, appelée à être renouvelée tous les week-ends. Et de
préconiser : «Il est temps d’agir, car on ne peut plus vivre dans cet
environnement insalubre.» Le groupe de volontaires mis sur pied et qui
compte plus de 500 personnes a été créé, explique Benmessaoud
Rekaya, dans le but d’«instaurer une culture environnementale
en invitant les habitants à s’investir dans des campagnes de nettoyage
et des rencontres-débats axées sur la préservation de l’environnement et
du cadre de vie du citoyen».

Placée sous le slogan «Tamanrasset, comment elle était et comment elle
est devenue», l’initiative a regroupé une centaine de
volontaires, pleins d’entrain, qui se sont fixés comme objectif de
réhabiliter la ville de Tamanrasset, joyau de grande valeur
patrimoniale. «Nous avons mis en place un plan d’action minutieusement
élaboré afin de rendre à Tamanrasset sa vocation d’antan. Avec
l’implication des responsables des comités de quartiers et des
responsables locaux, nous ferons de notre mieux pour éradiquer les
décharges sauvages qui constituent non seulement une atteinte grave à
l’environnement, mais aussi une menace sérieuse sur la santé publique»,
indique M. Benmessaoud.

Le président de l’APELP, Laafou Omar, affirme, de son côté qu’après la réussite de la campagne de nettoyage menée un mois durant dans la cité El Choumoua, l’association a décidé d’étendre son action à toutes les cités de la ville. «L’APELP, qui compte plus de 30 adhérents, compte étendre son action à toutes les cités de la ville», dira-t-il. Pour mener à bien cette opération, l’APC de Tamanrasset a déployé les moyens nécessaires.
Des rétrochargeurs et des camions poubelles ont été mis à la disposition des volontaires, en sus du personnel de la voierie qui est
venu en renfort.

Ravah Igh

@zoubir, merci pour le partage. C'est une excellente initiaitive citoyenne pour la propreté, la santé publique, l'environnement et le vivre-ensemble La seule chose sur laquelle j'aimerais que les patriotes se penchent sérieusement c'est le fait qu'elle soit organisée à l'initiative de "facebookers". Tant mieux si facebook peut servir de bonnes initiative citoyennes comme celle-là. Mais attention. Des malins peuvent utiliser ce genre d'initiatives pour s'entraîner et pour constituer des réseaux qu'ils peuvent activer à d'autres fins le moment venu! La vigilance doit être de mise. Les patriotes doivent être présents sur ces réseaux pour surveiller tout échange suspect.

Facebook, est un ennemi mortel en soi. c'est la pire des choses qui existent, je n'en ai pas et n'en ai JAMAIS eu, que Dieu m'en préserve de cette ignoble machine qui a happé plus de 500 millions d'âme, mais pas moi. De nos jours, c'est presque une fierté de ne pas être sur le système du sioniste Zuckerberg.

Au fait, voici le véritable logo de Facebook, de qui faire peur :


PS; je connais la chanson: Facebook, c'est super utile, on rencontre des gens, blablabla blablabla ...

boussouf a écrit:

@zoubir, merci pour le partage. C'est une excellente initiaitive citoyenne pour la propreté, la santé publique, l'environnement et le vivre-ensemble La seule chose sur laquelle j'aimerais que les patriotes se penchent sérieusement c'est le fait qu'elle soit organisée à l'initiative de "facebookers". Tant mieux si facebook peut servir de bonnes initiative citoyennes comme celle-là. Mais attention. Des malins peuvent utiliser ce genre d'initiatives pour s'entraîner et pour constituer des réseaux qu'ils peuvent activer à d'autres fins le moment venu! La vigilance doit être de mise. Les patriotes doivent être présents sur ces réseaux pour surveiller tout échange suspect.

- effectivement Facebook peut aussi servir à des appels provocateurs pour des manifestations aux buts inavoués,
- concernant, ce nettoyage en milieu urbain, quelques remarques,
- d'abord, bravo à cette initiative citoyenne,
- en attendant la mise en place de filières de recyclage (verre, plastique, papier-carton), il en est une facile à mettre en place: le compostage des déchets organiques,
- il s'agit de mettre dans un trou au fond du jardin épluchures de pomme de terre, de pastèques, serviettes en papier...
- cela se décompose naturellemement, on obtient ensuite du terreau pour ses rosiers ou son potager,
- cela est faisable "en pied d'immeuble", il y a ça pas loin de chez moi et sa fonctionne,
- des cantines scolaires s'y mettent (en France),
- le compost est à essayer (individuellement ou collectivement).
Intérêts:
- désengorgement des Centre Techniques d'Enfouissement qui coûtent une fortune et que les riverains ne supportent pas,
- production de terreau pour nos sols pauvres en matière organique,
- réduction de la facture des organismes de ramassage,
- bonne direction pour nos poubelles si riches en humidité et difficilement incinérables (l'humidité est classique des poubelles d'un pays en voire de développement).

Bravo encore une fois à ces jeunes. Il suffit de faire confiance au mouwateen pour que des solutions apparaissent.

Dommage que les jeunes n'aient pas ces "maisons de jeunes" avec des animateurs.


Aït R’zine : réalisation prochaine d’une maison de jeunes

le 15.05.12 El Watan

Citation :

Une maison de jeunes sera réalisée prochainement à Guendouze, chef lieu de la commune d’Aït R’zine.
C’est du moins, ce qu’a indiqué une information émanant de la direction de la jeunesse et des sports (DJS), le maître de l’ouvrage.
Confié pour une réalisation en tous corps d’états, le projet est doté d’une autorisation de programme de 36,11 millions de dinars.
Il sera livré dans 15 mois. Toutefois, tient à préciser un responsable de la DJS, «l’ouverture du chantier n’interviendra qu’après examen par la commission de wilaya des marchés publics, des recours éventuels
formulés par les soumissionnaires».

Par ailleurs, M. Amghar, le P/APC d’Aït R’zine nous apprend que quatre salle d’activités construites il y a des années à travers les villages
de la circonscription, demeurent fermées à ce jour. «La mise en service de ces infrastructures dédiés à la jeunesse est subordonnée à leur
dotation en équipement et à l’affectation d’un personnel, ce que la collectivité locale ne peut prendre en charge sur ces ressources
propres», dira le P/APC.


Amazigh. M

Quelle analyse du mouvement des gardes-communaux faîtes-vous?. Forte mobilisation observable.

A mon humble avis, si on ne peut pas "fonctionnariser" tout agent agissant pour l'Etat:
- cette catégorie mérite toute l'attention nécessaire. Elle est stratégique. Face à de futurs dangers, est ce que les gens s'engageront s'ils savent que l'Etat de les aide pas. Ps: durant la décennie noire, j'ai l'impression que les vrais patriotes ne se sont pas engagés por de l'argent.
- outre des reclassements (points, indice, statut), est ce qu'il n'est pas possible d'accorder des avantages: crédit de reconversion dans des activités économiques, attribution de concessions de terres à vocation agricole, ...

Entièrement d'accord avec toi Zoubir ! Effectivement, si l'Etat ne peut pas assurer un statut de fonctionnaire à tous les gardes communaux, en revanche, il n'a pas le droit de les léser de leurs droits sociaux légitimes. Ce sont des patriotes qui ont risqué leur vie durant la décennie noire pour la sauvegarde de la République. La nation leur doit reconnaissance. On n'a pas le droit de les récompenser par des coups de matraque et des jets d'eau !

Avez vous remarqué les coupures d'électricité dans différentes régions?
La presse fait part de nombreuses émeutes dont Biskra.

Effectivement, la presse évoque plusieurs mouvements de protestation contre les coupures de courant dans plusieurs localités du pays (Biskra, Ouargla, Jijel...) Avec la canicule ambiante, on peut comprendre la colère des citoyens. Mais d'un autre côté, on ne peut pas toujours blamer les pouvoirs publics et notamment la Sonelgaz. Une augmentation de 20% de la consommation électrique dans cette période de l'année, c'est énorme. Il est temps de lancer un mouvement de sensibilisation nationale en vue de diminuer la surconsommation. Par ailleurs, je me demande jusqu'à quand peut-on continuer dans cette politique des prix administrés de l'électricité qui favorise le gaspillage et empêche le développement de l'energie solaire?

boussouf a écrit:

Effectivement, la presse évoque plusieurs mouvements de protestation contre les coupures de courant dans plusieurs localités du pays (Biskra, Ouargla, Jijel...) Avec la canicule ambiante, on peut comprendre la colère des citoyens. Mais d'un autre côté, on ne peut pas toujours blamer les pouvoirs publics et notamment la Sonelgaz. Une augmentation de 20% de la consommation électrique dans cette période de l'année, c'est énorme. Il est temps de lancer un mouvement de sensibilisation nationale en vue de diminuer la surconsommation. Par ailleurs, je me demande jusqu'à quand peut-on continuer dans cette politique des prix administrés de l'électricité qui favorise le gaspillage et empêche le développement de l'energie solaire?

Exact.
- il serait tant que les services spécialisés fassent le nécessaire.
- augmentation des tarifs,
- lutte contre les impayés,
- lutte contre les branchements sauvages,
- développement d'équipement solaires individuels (en plein Sud avec des durées d'ensoleillement à faire pâlir les Européens), il est quand même étonnant de ne pas avoir plus de panneaux solaires individuels.
- on peut penser aussi à des horaires spéciaux de travail,
- des constructions mieux adaptées et mieux isolées.

tu à raison boussouf tout commence par une campagne de grande sensibilisation du citoyen !
chaque foyer dois apprendre à être responsable tout de suite et pour les années à venir .en France quant vient l'hiver tout les jour au journal télévisé un spot rappelle les conduites à tenir

Citation :

- augmentation des tarifs,

jusqu’à ou pour info les personnes au sud pays 50% de la facture électrique le reste c 'est l’état qui le payer
autre chose de puis 5 ans en parle de pique de consommation donc le problème n 'est pas nouveau
il faut pour moi passer au solaire le plus tôt possible et a une sensibilisation '(responsabilisé les citoyens )
autre chose encourager l'isolation dans les nouvelles constructions

yak a écrit:

Citation :

- augmentation des tarifs,

jusqu’à ou pour info les personnes au sud pays 50% de la facture électrique le reste c 'est l’état qui le payer
autre chose de puis 5 ans en parle de pique de consommation donc le problème n 'est pas nouveau
il faut pour moi passer au solaire le plus tôt possible et a une sensibilisation '(responsabilisé les citoyens )
autre chose encourager l'isolation dans les nouvelles constructions

Vous soulevez un problème juste.
Suggestion: proposer aux familles du Sud des chauffe eau solaires afin de réduire leur facture de gaz. Alors on pourra alors augmenter un peu l'électricité.