Actualités Sociales

toute mes condoleances yak allah yarhamou:(

merci les gars  

9 conseils pour se protéger de la foudre


Ne pas circuler en groupe compact ou s'abriter sous un arbre, les gestes à adopter à la maison... Quels sont les bons réflexes lors d'un orage violent ?

Citation :

Voici les principales recommandations des experts pour se protéger de la foudre en cas d'orage, les mois de juillet et août étant particulièrement propices à ces accidents.

- ÉVITER LES ACTIVITÉS À RISQUE. D'une façon générale, il faut éviter les activités extérieures (sports, loisirs, etc.) particulièrement dangereuses par temps orageux : pêche, baignade, bateau, cyclisme, golf, alpinisme, ainsi que les travaux électriques ou de réparation de toiture. Avant d'entreprendre ce genre d'activités, il est souhaitable de se renseigner sur les prévisions météo.
- NE PAS S'ABRITER SOUS UN ARBRE ISOLÉ OU UN PARAPLUIE. Il est impératif de ne jamais s'abriter d'un orage sous un arbre, surtout s'il est isolé ou ne fait partie que d'un petit bosquet. Le risque de foudroiement d'un arbre isolé en espace ouvert est environ 50 fois supérieur à celui d'un homme debout !
Si l'on est surpris en pleine forêt, il faut s'efforcer de s'écarter le plus possible des troncs et branches basses. Les parapluies ouverts sont à proscrire. Plus globalement, en espace ouvert (champs, pré, etc.), ne porter aucun objet, en particulier métallique, au-dessus de la tête : fourche, faux, club de golf, canne à pêche, etc.
- NE PAS CIRCULER EN GROUPE COMPACT. Des personnes se trouvant en groupe doivent s'écarter les unes des autres d'au moins trois mètres, pour éviter le risque d'un éclair latéral se propageant d'une personne à une autre.
- S'ABSTENIR DE TÉLÉPHONER. Il convient d'éviter de s'abriter dans une cabine téléphonique extérieure et de téléphoner par temps d'orage, sauf avec un mobile.
- POSITION DE SÉCURITÉ. Selon les spécialistes, la meilleure position consiste à se pelotonner au sol, après avoir étendu sous soi un ciré ou toute autre pièce en matière isolante (par exemple en plastique). Même sans pièce isolante, la position couchée, jambes repliées sous soi, reste la position de moindre risque.
- LES ABRIS SÛRS. Les huttes de pierre, églises ou chapelles sont de bons abris contre la foudre. Il faut toutefois éviter de s'appuyer contre un mur ou un pilier. Une automobile, portes et vitres fermées, est une excellente protection à condition qu'elle ne soit pas décapotable ou avec un toit en matière plastique. Il faut penser à rabattre l'antenne radio.
- À LA MAISON. Dans une habitation, même équipée d'un paratonnerre, éviter de toucher des pièces métalliques (conduites et robinet d'eau), de prendre un bain ou une douche, de manipuler des appareils électroménagers. En l'absence de dispositifs de protection spécifiques (parafoudres par exemple), il est recommandé de débrancher le cordon d'alimentation secteur et le câble d'antenne d'un téléviseur et de les éloigner d'au moins un mètre du poste.
- EN MONTAGNE. Les alpinistes évoluant sur des sommets ou des arêtes sont particulièrement exposés à la foudre. La première précaution à prendre est de s'éloigner de ces points culminants dès les premiers signes d'orage. La meilleure façon de se protéger est de se réfugier sous un ressaut qui doit dominer d'au moins cinq à dix fois la hauteur de l'alpiniste. Il faut en outre éviter de se plaquer contre une paroi, notamment si elle est humide.
- SUR L'EAU. Sur une grande surface d'eau, un bateau, et notamment un voilier, constitue un point d'impact privilégié pour la foudre. Dans une barque ou un bateau sans mât, la meilleure précaution, si le temps le permet, est de rejoindre d'urgence la rive et de quitter l'embarcation.
Toutes ces recommandations, ainsi que des "fiches conseils" spécifiques (mer, camping, montagne...) sont disponibles sur le site de l'Association protection foudre (www.apfoudre.com).

http://www.lepoint.fr/societe/9-conseils-pour-se-proteger-de-la-foudre-07-08-2013-1712089_23.php

ORAN
Crèmes solaires : attention danger !

Citation :

“Les rayons solaires à forte dose peuvent faire muter l’ADN, et donc générer des cancers. Utiliser des crèmes contrefaites, c’est faire augmenter
le risque de maladie de la peau.”

À Oran, de plus en plus de cosmétiques contrefaits et dangereux envahissent le marché. Ces contrefaçons, qui touchent le plus souvent des grandes marques, représentent de très grands bénéfices pour les vendeurs illicites.
La consommation des crèmes pour l’entretien de la peau expose les utilisateurs à des maladies dermiques. “Les crèmes solaires sont constituées de filtres chimiques et/ou de filtres minéraux. Les filtres chimiques sont des substances absorbant les ultraviolets (UV), alors que les filtres minéraux sont constitués de poudre fine de dioxyde de titane et de zinc réfléchissant les UV”, explique un jeune biologiste. Le risque d’eczéma après exposition au soleil pour les personnes allergiques aux crèmes est réel. L’abus du soleil est associé à des taux élevés de cancer de la peau. “Les rayons solaires à forte dose peuvent faire muter l’ADN, et donc générer des cancers. Utiliser des crèmes contrefaites, c’est faire augmenter le risque de maladie de la peau”, souligne un médecin généraliste. Une tournée dans quelques magasins de cosmétiques du centre-ville d’Oran a permis de constater l’inondation du marché par des crèmes douteuses. “Pour la crème solaire, le tube est taxé à 1110 DA. Celui du visage seulement, 950 DA. C’est un produit de marque d’origine”, vante un vendeur de produits cosmétiques, intrigué par notre demande de vérifier les tubes de crèmes et l’emballage.  Y a-t-il des alternatives ? “Bien sûr. Il faut éviter de s’exposer trop longtemps au soleil, surtout aux heures les plus chaudes. Se protéger par des tee-shirts contre les UV et n’oublier pas de mettre des casquettes ou chapeaux régulièrement”, souligne notre interlocuteur médecin. 
Cependant, la recette traditionnelle pour un joli bronzage fait sensation. “Prenez de l’huile d’olive et ajoutez quelques gouttes de citron. Le bronzage sera parfait”, martèle un groupe de vacanciers. à noter que la DCP trouve d’énormes difficultés pour faire face à la contrefaçon des crèmes solaires et de la peau. Le marché qui génère des profits hallucinants, à en croire les revendeurs de l’informel, échappe aux contrôleurs de la qualité. “Il est conseillé une prescription médicale. Les crèmes sont des produits de consommation à risque, surtout si le produit est contrefait ou mal adapté à la personne utilisatrice”, conclut notre source.

Neuf morts dans les affrontements entre Arabes et Targuis à Bordj Badji Mokhtar

Citation :

Le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, Dahou Ould Kablia, a affirmé, ce jeudi 22 août à M’sila, que la situation à Bordj Badji Mokhtar était en train de retrouver « son cours normal », après les incidents qu’a vécus récemment cette région de l’extrême sud du pays.

« La situation à Bordj Badji Mokhtar est maîtrisée et elle est en train de retrouver son cours normal », a-t-il déclaré à l’APS, en marge de la visite qu’effectue le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, à M’sila.

M. Ould Kablia a précisé que le bilan de ces affrontements entre Arabes et Targuis déclenchés le 13 août dernier s’élève à 9 morts, écartant ainsi l’implication de mains étrangères dans ces incidents. Un précédent bilan officiel faisait état de huit morts. Les affrontements ont fait d’importants dégâts matériels. Une quarantaine de personnes impliquées dans ces évènements ont été interpellées par les forces de sécurité et remises aux mains de la justice.

Un contrat de paix a été signé entre les deux parties en conflit, mais la situation demeure tendue. Plusieurs versions existent sur l’origine des violences intervenues à Bordj Badji Mokhtar. Parmi elles, celle d’un jeune Targui ayant volé un objet d’un magasin tenu par un Arabe. Une autre version évoque l’histoire d’un Targui écrasé par un véhicule conduit par des Arabes.

http://www.tsa-algerie.com/actualite/item/1634-selon-dahou-ould-kablia-neuf-morts-dans-les-affrontements-entre-arabes-et-targuis-a-bordj-badji-mokhtar

en 2013 on est toujours la p...j'ai honte pour nous a quand la fin du racisme chez nous  

Je crois que dans le monde entier c'est pareille !!!  

En France  les marseillais n'aime pas les parisiens ..
les lyonnais aussi ..
Enfin les corse n'aime personne du continent sauf leur pognons  

le problème c'est les morts c'est pas une petite pugilat mais bien une guerre entre deux tribus qui non rien dans la tête sauf le sang et destruction  
pour moi les coupables doivent payer tres cher leur actions en badigeonner pas comme ca avec la vie

Citation :

Je crois que dans le monde entier c'est pareille !!!  

En France  les marseillais n'aime pas les parisiens ..
les lyonnais aussi ..
Enfin les corse n'aime personne du continent sauf leur pognons  

ça c'est pas pareil   


Même si il y a des discordes sur le Foot,ils n'iront pas jusqu'à s'entretuer .. (quoi que .. )
Il ne  faut pas généraliser non plus.


Bref,


La question qu'il faut se poser,c'est que font vos autorités ?  

ils content les points (les morts)

Je suis d'accort avec toi mais ils ont riens compris   long est le chemins de la sagesse  

yak a écrit:

ils content les points (les morts)

Tu rigole j'espère ?  

Berhoum a écrit:

Je suis d'accort avec toi mais ils ont riens compris 

Mais c'est quoi le problème avec les Touareg ? Ils ont l'air pourtant calme 

pas vraiment l’état a peur  d'une rebellion donc il fait rien comme personne n'est au commande depuis 3 mois rien ne va 
pour faire court l’état négocie avec les sages des deux tribus

C'est comme ca que commencent les conflits éthniques. La guerre au Mali a exacerbé les tensions entre les arabes et les twareg.
C'est bien le probleme de notre état: démisionnaire à tous les niveaux. Sauf que là ça risque de déclencher une guerre... et que ça rendra heureux beauuuucoup d'autres pays.  
Il faut que l'Etat réagisse et s'interpose clairement entre les deux camps. Tout manque d'intervention sera perçu par les Twareg comme une connivence du gouvernement avec les arabes (majoritaires).

Vive la jeunesse  


Rentrée scolaire 2013-2014 : Plus de 8 millions d’élèves attendus dimanche

Citation :

Les établissements scolaires sont fin prêts à accueillir à l’occasion de la rentrée, prévue pour dimanche prochain, 8.470.007 élèves, soit 321.978 nouveaux élèves (+3,95 %) par rapport à l’année 2012/2013.
Ce nombre englobe 170.758 élèves pour le primaire, 41.754 pour le moyen, 106.905 pour le secondaire. Le préscolaire enregistre, cette année, une légère hausse avec 50.020 classes contre 45.685 l’année dernière, soit 424.794 nouveaux élèves.
S’agissant des infrastructures à mettre en service à l’occasion de ce coup d’envoi de l’année scolaire 2013/2014, pas moins de 25.640 nouveaux établissements ont été réceptionnés par le secteur de l’éducation, dont 254 primaires, 99 CEM et 109 lycées. 
Ces établissements seront encadrés par 20.850 enseignants diplômés des écoles normales supérieures dont 797 pour le primaire, 732 pour le moyen et 1.321 pour le secondaire.
Ainsi, le nombre total du personnel du secteur de l’éducation nationale est de 664.864 employés. Dans le cadre des efforts déployés pour l’équipement des établissements éducatifs, ces derniers ont bénéficié de 2.251 laboratoires d’informatique pour les trois cycles de l’enseignement, outre des laboratoires scientifiques au profit de 770 lycées.
Un nouveau manuel de français pour la 4eme année moyenne et la révision de l’emploi du temps du cycle moyen constituent l’essentiel des nouveautés de la nouvelle rentrée scolaire au plan pédagogique
en plus de l’application par de nouvelles mesures en vue d’alléger le poids du cartable notamment en fixant une nouvelle liste des affaires scolaires et l’introduction de l’enseignement de la langue italienne comme troisième choix pour la filière des langues étrangères du cycle secondaire général et technique.
Pour venir à la rescousse des catégories démunies, le ministère de l’Education nationale accordera la prime de scolarité dont le montant global s’élève cette année à 9 milliards de dinars, au profit de trois millions d’élèves.
Alors que plus de 4 millions d’élèves démunis obtiendront gratuitement leurs manuels scolaires. Une enveloppe de 6,5 milliards de dinars a été consacrée à cette opération.
Par ailleurs, une enveloppe de 5,4 milliards de dinars a été destinée à la maintenance et à l’acquisition d’appareils de chauffage au profit de 709 écoles primaires, 324 CEM et 155 lycées, outre l’acquisition et l’installation de 3.900 climatiseurs dans 145 établissements éducatifs du sud du pays. Quant aux cantines scolaires, leur nombre atteindra cette année 14.739 cantines, au profit de plus de 3 millions d’élèves.

http://www.algerie1.com/actualite/rentree-scolaire-2013-2014-plus-de-8-millions-deleves-attendus-dimanche/

Le nouveau code pénal consacre la peine de mort contre les auteurs d’enlèvements d’enfants

Citation :

Les algériens ne sont pas prêts d’oublier la mort tragique des deux enfants enlevés l’année passé à Constantine et découvert coupés en morceaux et jetés dans des sachets noirs à proximité de la cité où ils avaient été enlevés. Ce drame qui a soulevé une vague d’émotion et un sursaut de révolte avait aussitôt relancé le débat sur l’exécution de la peine de mort en Algérie. Juristes, exégètes, associations d’enfants avaient réclamé la peine capitale contre les auteurs des rapts d’enfants.
Le ministère de la justice vient d’accéder à cette demande à travers le projet de loi modifiant et complétant l’ordonnance portant code pénal. Ce projet examiné actuellement en commission parlementaire propose un durcissement des peines allant jusqu’à la peine capitale pour les cas d’enlèvement de mineurs, outre des peines d’emprisonnement pour les cas de vente d’enfants ou de mendicité avec des mineurs.
Le projet propose “des peines dissuasives” allant jusqu’à la peine capitale en cas de décès de la victime d’enlèvement et des peines d’emprisonnement allant jusqu’à deux ans pour les cas de mendicité avec mineurs. L’article 293 bis du code pénal stipule que “quiconque, par violences, menaces ou fraude, enlève ou tente d’enlever une personne, est puni de la réclusion criminelle de dix ans à vingt ans et d’une amende de 1.000.000 à 2.000.000 DA”.
Si la personne enlevée a été soumise à des tortures corporelles ou si l’enlèvement avait pour but le paiement d’une rançon, le coupable est puni de la réclusion criminelle à perpétuité et ne bénéficie pas des circonstances atténuantes. Si la personne enlevée décède, la peine peut aller jusqu’à la peine capitale. Ce projet aborde aussi un autre problème : celui de l’utilisation des enfants pour des motifs de mendicité.
Qui des algériens, empruntant l’autoroute Est/Ouest n’est pas révulsé, scandalisé par ces femmes, « postées » au bord de la route, faisant la manche en utilisant des bébés innocents pour jouer sur la fibre sensible de l’Algérien. Cette forme de mendicité constitue un véritable business lucratif et les enfants utilisés comme appât sont en fait loués à leurs familles à l’heure. Et cela sans le moindre égard aux risques qui pèsent sur leur santé, comme les émanations de gaz des véhicules, l’exposition au soleil ou la pluie.
Sur cet aspect le législateur donne aussi l’impression d’avoir entendue les cris d’alerte des associations. En effet, l’article 195 de ce projet stipule: “est puni d’un emprisonnement de six mois à deux ans, quiconque qui mendie avec un mineur de moins de 18 ans ou l’expose à la mendicité”. La peine est portée au double lorsque l’auteur de l’infraction est un ascendant du mineur ou toute personne ayant une autorité sur celui-ci.
Les peines prévues par le présent article ne sont pas applicables si l’auteur de l’infraction est la mère du mineur dont la situation de détresse est prouvée”. Le projet propose le durcissement des procédures pénales relatives à l’exposition, le délaissement des enfants et la vente d’enfants. L’article 319 bis stipule: “est puni d’un emprisonnement d’un an à cinq ans et d’une amende de 100.000 DA à 500.000 DA, quiconque vend ou achète un enfant de moins de 18 ans à quelque fin que ce soit et sous quelque forme que ce soit”. “Est puni des mêmes peines, l’instigateur ou l’intermédiaire dans la conclusion de la vente d’enfant”, selon le même texte.
“Lorsque l’infraction est commise par un groupe criminel organisé ou lorsqu’elle a un caractère transnational, la peine encourue est l’emprisonnement de cinq ans à quinze ans et l’amende de 500.000 à 1.500.000 DA” relève-t-on dans le projet de code pénal. La tentative est punie des mêmes peines prévues pour l’infraction consommée. Des peines d’emprisonnement sont aussi prévues à l’encontre des producteurs et des distributeurs de matériels pornographiques mettant en scène des mineurs.

http://www.algerie1.com/actualite/le-nouveau-code-penal-consacre-la-peine-de-mort-contre-les-auteurs-denlevements-denfants/

enfin une bonne réaction face a se nouveau fléaut,la peine de mort doit etre le minimum!!!!

Une bonne initiative. Comment avec la caméra voir nos problèmes sociaux et les résoudre...

Les caméras de jeunes réalisateurs dépeignent l'angoisse des lendemains algériens
Rester ou partir ? Comment être heureux en Algérie ? Comment s'en sortir quand on a 30 ans et plein d'ambitions ? Comment éduquer son premier enfant dans les meilleures conditions ? Comment être libre à Alger sans frustration ? Telles sont quelques-unes des interrogations qui apparaissent dans les sept documentaires projetés, jeudi, en avant-première à la Cinémathèque d'Alger, fruit d'une année de formation au métier de l'image dans le cadre de l'atelier de création documentaire «Béjaïa Doc», initié en 2007 par la réalisatrice Habiba Djahnine.
Le documentaire de Razik Benallal, « El Havs Amokrane » (La grande prison), met en scène quatre jeunes hommes discutant de leurs projets, dans un garage de la petite ville de Seddouk, dans la vallée de la Soumam. Le propriétaire du garage attend depuis deux ans la validation de son projet d'entreprise par l'Agence nationale de soutien à l'emploi des jeunes (ANSEJ). Le professeur de sport et les deux compères sont en attente d’un recrutement dans le cadre du « pré-emploi », un dispositif d'aide à l'embauche mis en place par l'Agence nationale de l'emploi (Anem).
Ils racontent avec leurs mots et expressions fleuries, leurs conditions de travail, le malaise, la pression familiale, l'absence de perspectives. Ils écorchent les dispositifs d'aide publique, pointent ses contradictions et relèvent ses absurdités. Le tout avec humour et philosophie. « Tout ce que l'on a en Algérie, c'est le stade pour se défouler, la mosquée pour se faire pardonner, le bar pour oublier et le cyber pour s'évader », résume l'un des protagonistes. A travers cette spontanéité, se dessine une réalité de la société algérienne contemporaine.
L'étape de la famille
C'est une autre réalité de la vie en Algérie que dépeignent Nabil Boubekeur et Amel Blidi dans leur documentaire « Amek ara degrine wussan » (Demain sera un autre jour) : celle d'un jeune couple confronté à l'éducation de leur premier enfant. Sans chercher à apporter de réponses, les deux réalisateurs, qui mettent en scène leur propre histoire, livrent dans une balade poétique et artistique leurs espoirs, leurs craintes et leurs idéaux face aux réalités du pays.
Nabil et Amel habitent dans un petit appartement à Alger-centre, qu’ils louent à prix fort à cause de la crise du logement. Ils mettent en scène leurs problèmes quotidiens à savoir l’absence d’espaces publics gratuits pour sortir en famille et surtout comment transmettre à leur enfant unique les valeurs de liberté, de libre-pensée et d’autonomie auxquelles ils croient. « Après avoir longtemps réfléchi, nous avons finalement choisi de faire jouer notre enfant, car ce film est avant tout pour lui, mais en le filmant tel qu’il est sans lui donner aucune indication », précise Nabil Boubekeur. Quant à la question de « la solution » pour élever au mieux son enfant sans quitter le pays, Amel Blidi répond que « ce serait vraiment prétentieux » de vouloir fournir une telle réponse.
L’avenir dans un bidonville
Quel futur possible dans un bidonville à Oran interroge Amine Boukraa dans « Kouchet El Djir ». Quel devenir pour la ville d'Alger où se ressent un malaise grandissant, explore Fatima Dridi, dans « Habit Engoulek » (Je voudrais te dire). Quel destin réserve l'Algérie aux enfants abandonnés et aux dépressifs, soulignent Asma Guergour dans « Yatim » (Orphelin) et Aicha Messadia dans « Menthol ». Quel héritage est transmis à la nouvelle génération relate Nassim Aït Ahmed dans « Toujours présent ». Chacun avec son style, les huit réalisateurs de la promotion 2013 de « Béjaïa Doc », nous projettent vers l'avenir de manière individuelle ou collective.
La projection des films se poursuivra au sein des associations et ciné-clubs, a précisé Habiba Djahnine à la fin de la projection. « Souhaitons leur bonne chance dans les festivals », a-t-elle ajouté.

Citation :

Réghaïa : Un train de marchandise saccagé par des manifestants


Un train de transport de marchandises a été saccagé, dimanche vers 18h, par des manifestants de la cité Mohamed El Bey de Réghaia, à 20 à l’est d’Alger, a-t-on appris auprès de sources locales. 
 
Les protestataires ont tenté, dans un premier temps, d’incendier les engins de l’entreprise chargée de réaliser le Centre d’enfouissement technique (CET), un projet qu’ils réclament de transférer vers un autre endroit loin des cités d’habitation pour préserver leur santé et leur environnement.
L’intervention musclée des éléments antiémeute n’a pas manqué d’attiser la colère des manifestants, dont certains n’ont trouvé mieux que de s’attaquer au train de transport de marchandise.
Les protestataires ont, par ailleurs, bloqué la RN 05 et paralysé le trafic routier durant plusieurs heures pour exiger l’annulation dudit projet. Il est à rappeler que ces incidents ne sont pas les premiers du genre dans la localité.
Samedi dernier, pas moins de neuf personnes ont été arrêtés au cours des heurts ayant opposé les gendarmes et des habitants des cités de la sortie Est de la ville. 
Z.Youcef

http://www.elwatan.com/actualite/reghaia-un-train-de-marchandise-saccage-par-des-manifestants-03-03-2014-247830_109.php

Effectivement, ce problème persiste depuis un moment.

François Bracci, l’entraîneur français de football de Laghouat se convertit à l’islam  

Citation :

Sur les pelouses et dans les vestiaires, la planète foot algérienne bruissait de son aspiration à Dieu, s’attendant à tout moment à ce qu’il officialise sa renaissance spirituelle en tant que musulman, François Bracci, 62 ans, cet ancien footballeur français de l’Olympique de Marseille qui traversa la méditerranée il y a quelques années de cela pour faire une belle carrière d’entraîneur au Maroc, puis en Tunisie, avant de planter ses crampons en Algérie, a prononcé la Shahada, vendredi 25 avril, dans l’enceinte de la Grande mosquée d’Alger.
Des dirigeants de son club aux jeunes joueurs qu’il coache avec une passion pour le ballon rond restée intacte, dont le point d’orgue fut sa sélection dans le onze Tricolore pour le Mondial 1978 en Argentine, tous ont explosé de joie à l’annonce d’une conversion qui était sur toutes les lèvres, alors qu’elle mûrissait dans l’esprit de François Bracci, s’imposant à lui comme une évidence au fil de ses lectures et de son approfondissement des préceptes coraniques.
Délaissant momentanément sa casquette d’entraîneur pour franchir le seuil de la mosquée Hussein en tant que fidèle, François Bracci a accompli sa première salat joumou’a entouré de sa nouvelle communauté de foi, pour le plus grand bonheur de son club, à Laghouat, et de ses joueurs, l’équipe chère à son cœur où il ne compte que des frères en Allah.
Effectivement, le  mouvement associatif à Laghouat, en particulier les gestionnaires du club de football de Laghouat ont vécu une grande joie indescriptible après que l’entraineur Français, « Bracci » a embrassé l’Islam, en accomplissant la prière du vendredi à la  mosquée « Hussein », et où  il a annoncé officiellement la nouvelle à la Grande Mosquée d’Alger.
C’est une grande nouvelle qui  avait fait la joie de nombreux de jeunes, qui se préparent à organiser la cérémonie en l’honneur du  nouveau venu à l’Islam, et ainsi, l’entraineur de l’équipe de Laghouat rejoindra son  compagnon camerounais  « Gombe », l’entraineur du Chabat « kasr el Hiran ». Il y a lieu de rappeler que la population de Laghouat avait toujours eu l’honneur d’édifier ces magnifiques moments indélébiles envers toute une constellation d’autres ressortissants étrangers et des personnalités qui avaient exercé dans la ville de Laghouat.

http://www.algerie1.com/magazine/francois-bracci-lentraineur-francais-de-football-de-lghouat-se-convertit-a-lislam/

http://www.algerie1.com/actualite/mme-benghebrit-declare-illegale-la-greve-du-cnapest/

Je suis sincerement convaincu que ce syndicat abuse d'une position dominante pour chahuter l'enseignement et cherche  par accointance politique à semer la zizanie dans le bled !!?? 

Je crois que le President de la Republique devrait abuser à son tour de sa position pour legeferer en urgence une loi permettant de freiner cette derive !!!

Dire à un enseignant: dans le cas du suivi masssif de la greve ,vous aurez 42 000 000 de centimes de rappel , ne peut que faire bondir le plus sceptique des mecs?


Par contre le niveau ne cesse de se degringoler et personne ne s'en preoccupe ;Ainsi dans une classe de 2° ,80% des eleves n'ont pas eu la moyenne en math et 60% ont eu moins de 6/20 ?

Alors une question ;ou bien ces eleves sont demunis de cerveau ou bien il n'y a pas de pedagogie pour reanimer leurs cognitif ?

En Algérie ils les ont habitués des qu ils font grèves augmentations de salaires,il y a quelque année les profs travaillés par passions donc transmettait au mieux aux élèves mais aujourd'hui ces tous pour le fric mais on va dire ces la faute de Boutef etc etc

Citation :

La Fédération des parents d’élèves dénonce les syndicats et en appelle au président Bouteflika



La Fédération des parents d’élèves présidée par Khaled Ahmed a tenu mercredi une réunion à Alger pour examiner la situation dans le secteur de l’éducation, aujourd’hui pris en otage par les grèves, au moment où les examens de fin de trimestre risquent carrément d’être sacrifiés.

C’est un communiqué au vitriol contre les syndicats qui est rendu public, à l’issue de cette réunion. Pour la Fédération, cette grève qui met en péril l’année scolaire tourne à la « démonstration de force des syndicats engagés dans une guerre de leadership ».

Face au risque de pourrissement, la Fédération demande aux syndicats de « prendre leurs responsabilités » tout en s’en remettant au président Bouteflika pour intervenir.

Commentant les grèves à répétition qui émaillent depuis des années le déroulement de l’année scolaire, elle estime que les syndicats « se concurrencent autour d’un cadavre », en l’occurrence l’Ecole négativement impactée par ces grèves à n’en plus finir.

Le bureau de l’association se demande aussi pourquoi les syndicats refusent les offres de dialogue tout en abusant de recours à la grève, censée être selon eux l’ultime moyen quand tous les autres sont épuisés. Et d’appeler encore dans son communiqué « à préserver l’école algérienne des luttes politiques et idéologiques ».

La fédération des parents d’élèves rend hommage à la ministre de l’Education et apporte son soutien à sa proposition portant mise en place d’une charte d’éthique et de stabilité.

Les syndicats ne devraient-ils pas preter les eleves aux retraités , eux ,qui n'ont aucun moyen de pression ?!

Citation :

Citation :

Les Algériens pauvres semblent de plus en plus nombreux conséquence de la détérioration des conditions socio-économiques du pays enregistrée ces dernières années.

Citation :

Selon la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme ( LADDH ), au moins 14 millions d’Algériens vivent sous le seuil de la pauvreté à se conformer aux standards internationaux en la matière.

Selon une enquête menée par la LADDH, les Algériens pauvres représentent 35 % de la population en se conformant aux critères définissant  la pauvreté dans  le monde.

Et à en croire les conclusions de l’enquête de la LADDH ayant touché 4.500 ménages, 80 % Des richesses de l’Algérie sont aux mains de seulement de 10% d’Algériens.

La même organisation de défense des droits de l’homme en Algérie avait estimé, en 2014, à plus de 9 millions d’Algériens vivant en dessous du seuil de pauvreté soit près de 1.932.000 familles algériennes déclarées démunies en 2014, en augmentation de 304.000 familles par rapport à 2013.

http://www.algerie1.com/actualite/14-millions-dalgeriens-vivent-sous-le-seuil-de-la-pauvrete-en-2015/

Citation :

A propos de l’enquête de la LADDH sur la pauvreté en Algérie !

Citation :

On souhaite bien qu’un spécialiste nous explique cette enquête de la LADDH sur la pauvreté en Algérie – rapportée par « Algérie1 » sous le titre « 14 millions d’Algériens vivent sous le seuil de la pauvreté en 2015 » – car on trouve les chiffres illogiques voire déraisonnables.
Résumons l’article :

Selon la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme (LADDH), au moins 14 millions d’Algériens (1.932.000 familles) vivent sous le seuil de la pauvreté [soit] 35 % de la population (enquête ayant touché 4.500 ménages). Selon aussi cette ligue, 80 % des richesses de l’Algérie sont aux mains de seulement de 10% d’Algériens.
En 2014, la LADDH avait recensée 9 millions vivant en dessous du seuil de pauvreté soit une augmentation de 304.000 familles par rapport à 2013.

Récapitulons :

« enquête ayant touché 4.500 ménages »
« 14 millions d’Algériens (1.932.000 familles) »
« En 2014, la LADDH avait recensée 9 millions d’algériens pauvres»
« soit une augmentation de 304.000 familles par rapport à 2013 »

REMARQUES :

– « Famille » et « ménage », dans les recensements ou enquêtes, n’ont pas du tout la même signification !
En 1998, le nombre des ménages ordinaires est passé à 4.4 millions, regroupant 5.1 millions de familles (AARDES). (Il peut y avoir plusieurs familles dans un seul ménage)

– 14 millions d’Algériens (1.932.000 familles) cela fait une «famille» de 7,25 personnes (en moyenne) . Or la taille moyenne du «ménage» en 1998 est de 7 personnes (AARDES). La taille donc du ménage (qui peut regrouper 1 ou plusieurs familles) ne peut être inférieure à la taille de la famille.

– En 2014, la LADDH avait recensé 9 millions d’algériens pauvres soit une augmentation de 304.000 familles par rapport à 2013.

On a donc : 8 696 000 en 2013 ; 9 000 000 000 en 2014 et 14 000 000 en 2015.
* Soit 304 000 en plus entre 2013/2014
* 5 000 000 (oui 5 millions !) en plus entre 2014/2015

(Qui trouve logique cette augmentation exponentielle de 304 mille à 5 millions en 01 année ?)
* Cela veut dire que dans la seule année 2015, il y a 14 fois plus de pauvres que la moyenne annuelle de 25 ans allant de la « décennie noire » (1988/1998) à la période 1999/2013 !!

. (869 6000 :25) = 347840 par an ;

. 5000 000 : 347840= 14 fois ! (Qui trouve cela logique ?)

Ne poussons pas plus loin les questions :

– Sur la méthode de sondage utilisée

– Sur les gros moyens que doit utiliser la LADDH (moyens matériels et financiers, le niveau et stage des enquêteurs) surtout pour ce gros « échantillon » de 4500 ménage ! (l’ONS et l’AARDES, qui sont des organismes spécialisés en savent beaucoup de choses)

– Sur la légalité de l’enquête

La LADDH a fait ceci :

– Sur les 4500 ménages enquêtés elle déduit, selon les critères, que 1575 ménages sont au seuil de la pauvreté d’où elle tire le taux de 35% calculé comme suit : [(1575 / 4500) x100]=35%

– Avec les 35%, elle fait une « projection » sur la population totale de l’Algérie qui est de 40 millions.

– Elle procède donc ainsi : 40 000 000 X 35% = 14 millions !

Quant à son affirmation que « 80 % Des richesses de l’Algérie sont aux mains de seulement de 10% d’Algériens» on se demande comment elle a fait, car il y a , à notre sens, dans cette enquête comme de la propagande et de la subversion !

Nasser

Apparement A1 ne semble plus en mesure de balançer quelque chose de verifiée mais se contente de relayer les ecrits d'une Ligue en perte d'argument !??

http://www.algerie1.com/actualite/a-propos-de-lenquete-de-la-laddh-sur-la-pauvrete-en-algerie/