Actualités Economiques

Difficile arbitrage. Si on continue ainsi, les importations de lait en poudre vont continuer à coûter de l'argent au trésor pubic. Si l'Etat veut encourager les cultures fourragères, il doit dépenser dans le développement des ressources hydriques et dans le soutien aux agriculteurs étant donné que le soutien actuel de 6000 DA à l'hectare s'avère insuffisant. Sortez vos calculettes !

Citation :

Le président du CIL a propos de la production du lait
« Il faut améliorer l’alimentation des vaches laitières »


Intervenant lors de la conférence débat organisé ce matin à Constantine par la Fondation FILAHA-INNOVE et EXPOVET avec les professionnels de l’agriculture et de l’agro-industrie dans le cadre de la valorisation des produits algériens dans le secteur agricole avec la synergie de l’industrie agroalimentaire, M.Benchekor, président du Comité interprofessionnel de la filière lait a soutenu que « produire du lait à hauteur de la demande du marché nécessite des moyens financiers car les autres ressources existent ».


L’Algérie compte actuellement un cheptel d’environ un million de bovins laitiers modernes lesquels bien nourris et bien logés pourraient facilement produire 4500 litres au lieu de 3500litres actuels par an et par individu. Le président du Cil a rappelé les besoins nationaux en matière de lait s’élève à 3,5 milliards de litres par an alors que la production actuelle ne dépasse pas les 800 millions de litres par an. Selon lui « Il faudra développer et produire suffisamment de fourrage pour permettre aux cheptels d’être rentables et produire la même quantité que dans son pays d’origine ».

Améliorer l’alimentation des vaches laitières serait le seul moyen d’accroitre leur rendement. « Si la filière lait est actuellement en situation de redressement, il n’en demeure pas moins qu’il reste beaucoup à faire pour améliorer la production » selon toujours M. Benchekor qui insistera sur la mobilisation des capacités hydriques en vue d’arriver à irriguer entre 150 000 et 250 000 hectares.

L’option des eaux souterraines qui se trouvent au sud a été développée avec la demande formulée de subventionner le transport notamment pour tous les produits de grandes nécessités. M. Benchekor a encore ajouté que «L’Algérie a besoin d’une superficie agricole fourragère de 200.000 hectares et quelque 600.000 vaches laitières pour parvenir à réduire la facture d’importation du lait en poudre». Le coût à l'hectare irrigué au goutte-à-goutte est estimé à 60.000 DA, ce qui grèverait le coût à la production du kilogramme d'ensilage, alors que l'Etat donne 6.000 DA/ha de soutien aux cultures fourragères « ce qui n'est pas suffisant » a-t-il soutenu.

http://www.leconews.com/fr/actualites/nationale/agriculture/il-faut-ameliorer-l-alimentation-des-vaches-laitieres-24-04-2013-163184_291.php

L'agriculture et l’élevage doivent être un de nos atouts normalement à l'epoque la France etait le grenier de l'europe grâce à l’Algérie et avant la colonisation la France achetait du blé à l’Algérie...et maintenant on lui achète tout

Une bonne somme d'argent doit être dépensée pour déveopper l'agriculture et l’élevage afin de nous permettre d’être autosuffisant mais surtout conquérir d'autre marchés et diversifier notre économie surtout qu'on on sait le prix du blé et autres produits alimentaires et surtout la viande.

Une bonne nouvelle pour les jeunes de Djelfa. L'usine locale appartenant à l'entreprise publique ENIE fermée depuis 16 ans va rouvrir ses portes et ce, dans le cadre d'un vaste plan de redéploiement de ce fleuron de l'industrie électronique nationale qu'est l'ENIE, plan qui bénéfcie d'une enveloppe de plus de 200 millions de dollars.

Citation :

Après une fermeture de plus de 16 ans
L’usine de Ain Oussera renaît de ses cendres

Fermée depuis plus de 16 ans, cette filiale de l’ENIE qui était spécialisée dans la production des équipements médicaux sera appelée désormais à assurer la fabrication des supports et éléments métalliques de large gamme de produits électroniques prévus par le cahier de charge de l’entreprise-mère et des sociétés relevant du groupe Indelec.

Selon le PDG de l’ENIE, Bekkara Djamel, il s’agit en somme de toute la composante métallique entrant dans l’assemblage des téléviseurs, panneaux solaires, caméras de surveillance, affichage LED…
Dans sa première phase de redémarrage, cette usine sera appelée à recruter une vingtaine de personnes au total dont 5 ingénieurs, 5 techniciens et 10 ouvriers qualifiés issus de la formation professionnelle.
Il faut rappeler que dans le cadre de son plan de développement de 15 milliards de dinars de financement, lui assignant un rôle moteur dans le cadre de la nouvelle stratégie industrielle du gouvernement, l’entreprise leader de l’électronique grand public en Algérie, se propose de déployer une large gamme d’activités incluant la fabrication et l’assemblage de produits répartis entre les sous-ensembles destinés à l’industrie (cartes électroniques, faisceaux de câbles, compteurs de consommation de l’énergie électrique, panneaux solaires…) et les appareils électroniques finis (téléviseurs LCD et LED , systèmes audio, lecteurs DVD, PC, modem ADSL, lecteurs de cartes magnétiques et à puces, terminaux de paiement …) ainsi que tous les services de développement électronique se rapportant à la réalisation de schémas de principe et la conception de prototypes.
S’agissant du renouvellement des équipements de son complexe électronique devenus pratiquement obsolètes malgré le capital savoir-faire de son collectif, l’ENIE annonce la création prochaine d’une nouvelle usine de circuits imprimés multicouches ainsi que la modernisation totale des chaînes de fabrication et de montage des produits prévus par le plan de production de l’entreprise. Fait notable à mettre à l’actif de son staff dirigeant, les domaines d’activités appelés à être déployés dans ce cadre seront accompagnés d’un programme de recherche-développement offrant de nouvelles perspectives de coopération et d’échanges avec les différents établissements universitaires et organismes de recherche nationaux.

http://www.leconews.com/fr/actualites/nationale/industries/l-usine-de-ain-oussera-renait-de-ses-cendres-26-04-2013-163210_340.php

J'espére que les algeriens vont consommer plus de produits made in dz ils connaissent pas l'importance de leurs propres produits et ça encore c un travail de comunication il doit y avoir des conferences pour parler et expliquer aux citoyens à propos du developpement de la consomation des produits nationaux etc...pour pas qu’ils soient perdus...

Hausse des salaires de 9% en Algérie en 2011, selon l'ONS









le 27.04.13 | 12h24


Réagissez










Les augmentations salariales intervenues à la fin des années 2000 en
Algérie ont permis une évolution moyenne des salaires nets mensuels
hors Agriculture et Administration de 9,1% en 2011 par rapport à 2010, a
appris samedi l'APS auprès de l'office national des statistiques (ONS).







Globalement, l'évolution du salaire net mensuel est de 9,1% en 2011
contre 7,4% en 2010, selon les résultats d'une enquête réalisée par
l'Office, qui relève que la revalorisation qu'a connue le salaire
national minimum garanti (SNMG) et les augmentations salariales
intervenues en 2010 et 2011 ont contribué à la hausse du salaire moyen
de toutes les catégories.

Les augmentations qui n'ont pu être appliquées par certaines
entreprises en 2010 n'ont été effectives qu'en 2011, rappelle
l'ONS. Les hausses les plus forte sont enregistrées par les
secteurs de la santé (16,2%), les finances (13,6%), et les industries
manufacturières (13,2%). A l'inverse, l'évolution reste faible dans les
secteurs de la production et distribution d'électricité, gaz et eau
(3,3%) et dans celui de l'immobilier et services aux entreprises
(4,9%).

Par qualification, cette hausse est légèrement au profit des moins
qualifiés, à savoir le personnel d'exécution (+10,4%), par rapport aux
agents de maîtrise (+9,2%) et les cadres (+6,9%). Le niveau des
salaires nets mensuels du mois de mai 2011 (hors Agriculture et
Administration) en Algérie se situe à environ 29.400 DA. Il est de
41.200 DA dans le public et de 23 900 DA dans le privé national,
confirme l'enquête. Ce salaire correspond au montant effectivement
perçu par le salarié. Il prend en compte le salaire de base, les primes
et indemnités ainsi que les différentes retenus (impôts sur le revenu
global -IRG-, sécurité sociale et retraite).

Le salaire de base reste la principale composante avec 62% de la
rémunération brute totale et les primes et indemnités 38%, relève
l'enquête réalisée auprès de 969 entreprises dont 670 publiques et 299
privées de 20 salariés, représentant toutes les activités hormis
l'agriculture et l'administration. Cette tendance est maintenue par
activité pour la majorité des sections, sauf pour l'activité "hôtels et
restaurants" ou les proportions du salaire de base et des primes et
indemnités sont presque égales, soit 50% dans le secteur public et
privé.

Pétrole et finances, les plus rémunérateurs.

Les résultats de l'enquête ont confirmé une fois encore que les
secteurs les mieux rémunérateurs sont les activités pétrolières
(production et services d'hydrocarbures) et financières (banques et
assurances), avec respectivement des niveaux de salaires relativement
élevés avec 74.800 DA et 44.900 DA, soit 2,6 et 1,5 fois plus que le
salaire net moyen global. Par contre, les secteurs de la construction,
de l'immobilier et services aux entreprises se distinguent avec des
salaires inférieurs à la moyenne, avec respectivement 22.500 DA et
24.400 DA, soit 77% et 83% du salaire net moyen global, précise encore
l'enquête.

Ces écarts de salaire s'expliquent principalement par la particularité
des entreprises appartenant à ces secteurs d'activité. Il y a d'une
part , les secteurs qui se caractérisent par l'emploi d'un grand nombre
de salariés très qualifiés (hydrocarbures et banques) et un système de
rémunération spécifique. D'autre part, il y a les secteurs qui
affichent une faiblesse relative des salaires due essentiellement à la
prédominance du personnel d'exécution important et peu qualifié, note
encore l'enquête.

Par qualification, les écarts des salaires sont dans certains cas
assez élevés. Globalement, un cadre perçoit un salaire net moyen de
55.200 DA contre 34.000 DA pour le personnel de maîtrise et 21.600 DA
pour un salarié d'exécution, selon les mêmes résultats.
Cette disparité des salaires par qualification est plus marquée dans
certaines sections. Ainsi le salaire des cadres est plus élevé dans les
industries extractives et la santé, avec respectivement 94.400 DA et
56.800 DA. Par contre, dans les secteurs "production, distribution
électricité, gaz et eau" et "services collectifs sociaux personnels",
les cadres ne perçoivent respectivement que 41.400 DA et 41.700DA.

L'objectif de la reprise de la publication de cette enquête dès 2010,
qui n'a pas été publiée depuis 1997, après avoir constaté un faible taux
de réponses, est de déterminer le niveau des salaires nets mensuels
par qualification, activité et secteurs, ainsi que la structure du
salaire brut de l'ensemble des personnels.


http://www.elwatan.com/actualite/hausse-des-salaires-de-9-en-algerie-en-2011-selon-l-ons-27-04-2013-211787_109.php

j'avais bien dit que d'ici 10 a 15 ans notre pays pourra se hisser très haut ou bien s’écrouler



Kamel Benkoussa. Financier pour un fonds d’investissement américain



«L’Algérie n’a nul besoin des Qataris pour créer de la richesse»

le 28.04.13

L’offensive des fonds souverains qataris fait jaser dans de nombreux pays européens, mais elle inquiète aussi et surtout en Algérie. Le sens d’une telle offensive laisse perplexe.

C’est à ce titre justement que le financier algérien Kamel Benkoussa, qui animait hier une conférence à l’université d’Alger, a estimé que l’Algérie n’a nul besoin des fonds souverains de l’émirat du Golfe pour faire fructifier ses avoirs financiers. Loin de mettre en doute les capacités et les compétences des Qataris en la matière, le financier et consultant auprès d’un fonds
d’investissement américain, basé à la City de Londres, affirme que confier de la sorte ses avoirs aux fonds d’investissement qataris, c’est faire comme s’il n’y avait pas de compétences en Algérie capables de gérer un fonds souverain algérien. Il se demande d’ailleurs si un seul investissement qatari opéré à ce jour en Algérie a été créateur de richesse. La réponse par la négative conforte ainsi dans son propos le trader, partenaire au sein de GH Trading LLP.

http://www.elwatan.com/economie/l-algerie-n-a-nul-besoin-des-qataris-pour-creer-de-la-richesse-28-04-2013-211877_111.php

Celui-ci estime ainsi que la création de richesse et de valeur ajoutée ne peut être que le fait des Algériens. Aussi, la création d’un fonds souverain algérien permettrait aux nationaux d’améliorer leurs capacités en matière de gestion des risques, de maîtriser les outils, en plus d’ouvrir à l’Algérie l’accès aux marchés. Une nécessité pour le financier qui croit qu’actuellement, le pays est loin de réaliser les performances qu’il devrait atteindre. Mettant en avant la dépendance chronique au produit de l’exportation des hydrocarbures, M. Benkoussa estime que les avoirs financiers dont dispose l’Algérie sont loin d’être la panacée. Des réserves de change d’un peu plus de 183 milliards de dollars, lesquels ne représentent que quatre années d’importations, et un PIB à 190 milliards de dollars pourraient sembler comme une goutte d’eau dans l’océan des flux financiers en circulation quotidiennement. Il estime ainsi que le PIB de l’Algérie devrait être 10 fois supérieur à ce qu’il est aujourd’hui et atteindre un minimum d’un trillion (1000 milliards) de dollars. Le financier pense aussi que l’Algérie est capable d’atteindre un taux de croissance de 10% à l’horizon 2025. Selon lui, l’Algérie est condamnée à devenir performante dans la mesure où dans le contexte actuel, le pays risquerait de pâtir des effets de la crise de la dette souveraine. Elle serait ainsi impactée, dans un premier temps, par un recul des cours du baril, mais surtout par une hyperinflation à venir que les économies occidentales alimenteront dans le seul objectif de réduire le poids de leurs dettes souveraines. Une inflation que l’Algérie introduira via ses importations. Ce qui alimentera à son tour les pressions inflationnistes et finira par se traduire par une grogne sociale grandissante.
Le trader estime également qu’il ne faut surtout pas compter sur l’apport des puissances occidentales pour s’en sortir, car ces dernières sont prêtes à dilapider les avoirs de 100 pays comme l’Algérie pour servir les intérêts de leurs populations.

Or, des solutions existent, selon le financier, pour peu que l’on mette un terme à la navigation à vue qui a caractérisé l’Algérie depuis 2000 et qui s’est soldée par une croissance médiocre (2,6% de croissance du PIB), malgré un programme d’investissements publics de 286 milliards de dollars. Investir dans l’infrastructure et l’éducation, mais aussi associer des industriels visionnaires à la croissance. La création d’un fonds souverain de 20 à 50 milliards de dollars serait aussi, selon M.
Benkoussa, une solution parmi tant d’autres qui aurait le mérite de rentabiliser des avoirs financiers placés aujourd’hui en bons du Trésor avec un rendement réel actuellement négatif à -1%.

dite vous croyer que c'est possible de faire monté notre PIB a 1000milliard comme sur l'article au dessus ver 2025???j'ai un ptit doute mais si on lance tout nos projet d'ici la je suis sur kan pourra augmenté notre PIB assez fortement et le doubler sans probleme

ben rien que certaine projet auquel on et déjà dedans si d'ici la on pourra l'exporté sa va déjà nous faire une grande rentré d'argent

je m'explique:
par exemple on a lancer des grand projet d'agriculture et dieu sais comment sais cher maintenant si on arrive a être autossufisant dans les année qui vienne prochainement on va essayer de conquérir des marcher (surtout africain et arabe)donc sa nous fera déjà beaucoup d'argent vu le prix des import

ensuite avec le projet sidérurgique qui produira d'ici 2017 dans les 2.5 tonne et d'ici 2019 4 a 5 tonne (5 tonne c'est ce que notre pays a besoin) et sa sur une seul usine donc si on arrive a produire plus les année qui suivre 2019 alors on pourra exporté et sa nous fera enormement d'argent vu kan va suprimer la facture de 10 milliard d'importation et plus l'export qui va nous doubler cette somme

et bien sur le domaine militaire bien kan et a nos début dans cette industrie je pense que notre pays pourra tout de même exporté ver l'Afrique on construit tout de même nos propre véhicule blinder de transport de troupe BCL M5 on construit aussi nos propre patrouilleur et corvette et d'ici la bien sur on produira pas mâle de chose donc je pense kan pourra tout de meme exporté certaine chose ver les pays africain qui va aider non seulement nos entreprise militaire mais on plus de sa notre économie

aussi pour consommer moin il ya déjà des raffinerie et des usine de dessalement d'eau qui marche au énergie renouvelable donc on consomme presque rien du tout pour extraire du petrole et du gaz et en ayant de l'eau potable (car le dessalement d'eau coute trop cher)
il et possible que avec le projet des allemand ou des japonais et comme on a prie une bonne avancer dans ce domaine il se pourrait bien kan sera un des leader mondial dans les énergie renouvelable dans les prochaine décennie nous avons de bon projet et de bonne ambition

l'objectif et d’être autosuffisant pour notre peuple afin de réduire la facture d'importation et ensuite de produire plus pour augmentez notre PIB et ansi nous aurons une double économie celle des hydrocarbure et celle de nos marcher

aussi ne pas oublier les grand projet que notre pays va lancer comme par exemple l'entreprise condor qui a déjà sortie des tablette biento inchallah un telephon et il on fait part de leur projet pour fabriqué une voiture électrique mad in dz et je les encourage fortement
et j'encourage aussi le peuple algerien a consommer du produit DZ ce qui va aider beaucoup leur pays et sa va les aider eux même vu que les produit dz sont aussi de qualité mais en plus de sa moin cher que ceux de l'export

1,2,3 viva l’Algérie

Citation :

(APS) mardi 30 avril 2013
Sonatrach se positionne dans l’exploitation du gaz au Mozambique



ALGER - Le groupe Sonatrach a signé mardi un mémorandum d’entente avec la Société mozambicaine (ENH) qui devrait le placer au cœur des projets de développement d’hydrocarbures au Mozambique, riche pays gazier de l’Afrique de l’Est.

L’accord signé à Alger en présence des ministres de l’Energie des deux pays, Youcef Yousfi et Esperanca Laurinda Francisco Nhiuane Bias, prévoit l’association du groupe algérien dans des projets d’exploration et de production d’hydrocarbures au Mozambique.

Sonatrach devrait intervenir dans l’exploration de nouveaux blocs d’hydrocarbures. Des accords dans ce sens seront signés prochainement, a indiqué le PDG de Sonatrach, Abdelhamid Zerguine qui a paraphé les documents de l’accord avec son homologue mozambicain, Nelson Omane, PDG de la société ENH.

Le groupe algérien mise sur une forte présence dans le secteur des hydrocarbures du Mozambique qui a multiplié ces dernières années les découvertes d’hydrocarbures, devant le positionner comme l’un des futurs leaders de gaz et de pétrole sur le continent africain. Le premier groupe énergétique africain veut en outre racheter une part des participations du mozambicain ENH dans les riches blocs gaziers offshore du Mozambique, découverts par l’américain Anadarko et l’Italien ENI.

ENH détient 10% de participations dans ces blocs. Une prise de participation de 5% coûtera quelques milliards de dollars à la Sonatrach qui veut augmenter, ses réserves d’hydrocarbures même à l’international. ENI et Anadarko ont déjà joint leurs efforts en signant décembre 2012 un accord de coopération pour développer ces blocs considérés comme l’un des plus importants projets gaziers dans le monde.

Des cinq plus importantes découvertes mondiales de gaz et de pétrole annoncées en 2012, quatre ont été réalisées au Mozambique. "L’accord vise à identifier les opportunités économiques de coopération entre Sonatrach et ENH d’une façon soutenue et au bénéfice des deux compagnies", a déclaré de son côté Nelson Omane."Sonatrach cherche des opportunités d’investissement au Mozambique. Nous allons travailler ensemble et examiner comment parvenir à un accord" dans ce sens, a-t-il ajouté en marge de la signature.

Sonatrach et ENH devraient se rencontrer dans un mois à Maputo pour examiner l’exécution du mémorandum d’entente, a indiqué le ministre de l’Energie et des Mines, Youcef Yousfi. L’entrée de Sonatrach au Mozambique vient en application d’une stratégie d’internationalisation du groupe qui vise à augmenter les réserves de l’Algérie en hydrocarbures.

Le groupe est déjà présent au Pérou dans les gisements de Camisea où il détient 10% dans la partie développement et production et 20% dans le transport par gazoduc. Sa production dans ce pays a atteint 29,5 millions barils de liquides et 12,1 milliards de m3 de gaz naturel en 2010.

Sonatrach a poursuivi ces dernières années sa dynamique d’exploration en Libye et en Tunisie en dépit de son désengagement des projets offshore en Egypte pour manque de résultats.

http://www.aps.dz/Sonatrach-se-positionne-dans-l.html

Citation :

Partenariat algéro-turc
Deux usines de textile en septembre

Deux joint-ventures ont été signées, aujourd’hui, entre le groupe confection et habillement(C &H) et la société Turque RINGELSAN dans le but de redynamiser le secteur du textile en Algérie. Il s’agit du lancement de deux unités industrielles en partenariat avec les turques. Une à Béjaia, pour la production des vêtements de ville et vêtement techniques et l’autre à Relizane pour les produits et articles de bonneterie.

La première sera installée sur le site de la société, L’Algérienne du Costume (ALCOST) et produira plus précisément des costumes, vestes, pantalons, manteaux et autres effets d’habillement et la second sur le site de la société de bonneterie d’Oued Mina, par abréviation «BOOM» et produira, quant à elle, des vêtements de sport, des sous-vêtements, chaussettes, polos et d’autres produits.

S’exprimant lors de la signature de ces deux joint-ventures, par les responsables des deux parties au siège de ministère, le ministre de l’Industrie, de la PME et de la promotion de l’investissement, Cherif Rahmani, a souligné que ces deux usines vont permettre de redynamiser «l’industrie du textile en crise depuis des années». Il a ajouté qu’elles vont permettre également la création de 3000 emplois. Selon lui, 50% de leur production sera destinée à l’exportation. Pour leur part, les responsables des deux partenaires, (C&H, Algérie) et (RINGELSAN, Turquie), ont fait savoir que le démarrage de la production est prévu pour le mois de septembre de l’année en cours.

Les objectifs visés par ce partenariat, selon eux, consistent à substituer la production à l’importation, définir et permettre la mise en œuvre de programmes de production «Made In Algérie» dans une optique de qualité, en mesure de répondre aux exigences du consommateur, améliorer la qualité des produits et articles fabriqués selon les standards internationaux en vue de satisfaire le marché local et de conquérir des marchés extérieurs, stimuler l’activité pour l’ensemble des filiales de la filière textile et enfin, assurer le manière progressive le transfert du savoir-faire propre à l’activité de la confection et la formation du personnel.

Signalons que le capital de chacune de ces deux nouvelles sociétés est fixé à un milliard de dinars, 70% pour le groupe algérien et 30% pour la société turque. Il est prévu un chiffre d’affaires pour ces deux sociétés de 6 milliards de dinars pour la première année et 10,2 milliards de dinars à partir de la troisième année.

http://www.leconews.com/fr/actualites/nationale/industries/deux-usines-de-textile-en-septembre-30-04-2013-163253_340.php

@contente de te revoir boussouf

ouiii bonne nouvelle ils ont déjà parlé de ça ya quelques mois et avec ces projets on sera autosufisant dans ce domaine et on n'importera plus (ou presque) mais le but est de conquérir les marchés africains depuis l’Algérie.

Lu sur le Net le 4/5/2013.

Allégement du Dossier de création micro entreprise ANSEJ

---

Dossier de création
01 demande d’octroi d’avantages adressée au DG de l’ANSEJ (ce document est remis par l’ANSEJ le jour du dépôt du dossier)
01 Extrait de naissance n°12
01 Copie légalisée de la carte d’identité ou permis de conduire
01 Certificat de résidence
01 Copie légalisée du Diplôme ou attestation de travail
01 Extrait de rôle
01 Déclaration sur l’honneur sur FORMULAIRE qui est remis le jour du dépôt du dossier
Engagement de créer 2 emplois permanents si l’âge du gérant est entre 35 et 40 ans
Pour la qualité de chômeur.
01 Extrait de naissance n°12
01 Extrait de rôle
Dossier financier
Facture pro forma des équipements
Devis aménagement du local (facultatif) son prêt est de 500.000 DA
Promesse de location du local (facultative) son prêt est de 1.000.000 DA
Devis assurance multirisques des équipements

il ne faut pas être affilié à la CNAS ou CASNOS

L’apport personnel est de 1% pour un montant de 5.000.000 DA, 2% si c’est plus.
Le taux d’intérêt de 1% va être annulé.
Vous ouvrez droit à un véhicule utilitaire
Vous ouvrez droit à l’importation des équipements.
Une fois le dossier déposé, on vous fixe un rendez-vous dans 45 jours
pour passer devant la commission ANSEJ-BANQUE un examen concernant vos
connaissances du projet, (de vos réponses et de vos connaissances sur le
projet, dépendra l’approbation ou le refus)

A Alger, et particulièrement la daïra de Dar el Baida, les dossiers sont
déposés dans un bureau situé dans le stade, tellement des centaines de
jeunes affluent, ils passent même la nuit jusqu’à l’ouverture du bureau à
8h du matin, en présence d’un policier, ce bureau n’accepte que 100
dossiers par jour.
Dans les autres wilayas c’est plus souple et plus rapide.










__________________

Un consortium minier australien menace le gouvernement Algérien

Citation :

Le mineur australien Terramin, actionnaire majoritaire de la JV Western Méditerranéen Zinc (WMC) et propriétaire du gisement de zinc-plomb de Tala Hamza à Béjaia, a lancé une procédure d’arbitrage international contre son partenaire algérien, l’Entreprise nationale des produits miniers non ferreux et des substances utiles (Enof).

Terramin a adressé une plainte à la Chambre internationale du commerce de Paris pour dénoncer le rejet, par la partie algérienne, de l’étude de faisabilité définitive du projet de la mine, réalisée en 2010, a rapporté, hier vendredi, le site spécialisé Mining weekly.

Il est reproché à l’Enof d’avoir engagé un consultant international indépendant chargé d'examiner l’étude alors que, estime la compagnie australienne, l’accord de partenariat a prévu juste une période d'examen d'un mois.

La même source a expliqué que l’Enof a exprimé des réserves portant sur la méthode d’extraction par foudroyage en masse, recommandée dans la DFS présentée par Terramin en 2010. Une méthode considérée par le mineur australien comme étant « la plus sûre et la plus économiquement viable ».

Le directeur exécutif de Terramin, Nic Clift, a déclaré que sa compagnie ne compte pas rester les bras croisés au cas où le gouvernement algérien déciderait de dissoudre la JV de manière unilatérale. « Nous allons réclamer un montant "très important" de dommages et intérêts si le gouvernement algérien décide de résilier le contrat de partenariat », a menacé ce responsable de Terramin, cité par Mining week.

Terramin détient 65% des actions de WMZ contre 32,5% pour l'Enof et 2,5% pour l'Office de recherche géologique et minière (ORGM). Le gisement de Tala Hamza, sis à 15 kilomètres de la ville de Bejaia, s’étend sur une concession de 125 km2. L'étude de faisabilité définitive, achevée en 2010, a déterminé des réserves probables de 68,6 millions de tonnes de zinc et de plomb qui le placent parmi les plus importants dans le monde.

http://www.tsa-algerie.com/actualite/item/311-exploitation-d-un-gisement-de-zinc-a-bejaia-l-australien-terramin-entame-une-procedure-d-arbitrage-international-contre-l-enof-et-menace-le-gouvernement-algerien

faut areté de travailler avec ce genre de pays qui sert a rien u_u nos entreprise sont pas capable d’exploiter seul?

Citation :

Recyclage de déchets et de protection de l'environnement
L’Ansej valide et accompagne une vingtaine de micro-entreprises

Dans le cadre du dispositif Ansej de création de micro-entreprises dans le domaine du recyclage de déchets et de protection de l'environnement, prés d’une centaine de jeunes du secteur de la formation professionnelle de la wilaya de Constantine bénéficieront d'une intégration au marché du travail.

Selon le responsable du service accompagnement à la direction de l'Ansej de la wilaya, M. Benloucif, il s’agit de la mise en application des directives du wali de Constantine, qui ont trait à la préservation de l'environnement et dont le programme a démarré depuis près d'un mois.

A noter que l’agence a reçu les listes de 100 jeunes ayant terminé leur stage de formation de deux ans au niveau de l'Institut de formation professionnelle spécialisé de Daksi. Il s'agit de jeunes titulaires de diplômes de techniciens supérieurs dans la protection de l'environnement, avec des spécialités concernant le traitement des eaux, l'écologie, la collecte de déchets, le recyclage de matières en plastique, en fer, en verre, etc.

« Nous avons commencé à les convoquer depuis près d'un mois», indique M. Benloucif. Et d'ajouter que «le programme est toujours en cours et jusqu'à maintenant, 28 jeunes hommes et jeunes filles se sont présentés à l'agence et sont aux dernières retouches de constitution des dossiers et de mûrissement de projets».

Précisons que l’accompagnement de l’agence pour ces jeunes concerne les aides dans les démarches notamment administratives et l’octroi de cahiers des charges. le responsable du service accompagnement à la direction de l'Ansej fera savoir : « Nous allons les faire passer en «priorité» à la commission de validation de la wilaya avec un accompagnement particulier auprès des banques, pour l'obtention de crédits, et auprès d'autres partenaires pour bénéficier des équipements et matériels nécessaires à la mise sur pied de leurs micro-entreprises ».

http://www.leconews.com/fr/actualites/nationale/industries/l-ansej-valide-et-accompagne-une-vingtaine-de-micro-entreprises-04-05-2013-163305_340.php

C'est à se demander parfois s'il existe un Etat dans ce pays:no: Pourtant la dépendance alimentaire doit être la première dépendance avec laquelle nous devons et pouvons rompre si on veut garantir un minimum d'indépendance et de souveraineté nationales. Espérons que cette déclaration grave va réveiller les autorités concernées. Sinon, les jeunes de Jijel devraient se mobiliser contre ce CRIME ECONOMIQUE qui qui frappe leur wilaya.

Citation :

Selon le président de la Caisse régionale de mutualité agricole
Jijel a perdu 90% de ses terres agricoles

« En comparaison avec ce qu’elle avait au cours des années 1980, la Wilaya de Jijel a perdu, entre 2012 et 2013, 90% de ses terres agricoles ».
Cette déclaration nous a été faite par M. Zaïmeche Mohamed Rafik, président de la Caisse régionale de mutualité agricole au niveau de la Wilaya.

L’orientation du port de Djendejn vers l’importation massive de véhicules est décrite, par notre interlocuteur, comme étant la raison principale à l’origine de ce phénomène. « Le port de Djendjen par lequel transite la majorité des véhicules introduits en Algérie a poussé certaines personnes à détourner les terres agricoles de leurs vocation pour y installer des hangars réservés aux véhicules importés », explique le président de la CRMA.

Selon lui, des gens e sont rendu comptes que l’abandon de l’activité agricole pour créer ce genre de hangars est beaucoup plus rentable. « Ces personnes sont bien évidemment dans l’illégalité puisque les terres détournées sont des terres fertiles», précise-t-il.

Bien avant le dynamisme connu par le port de DjenDjen, des terres agricoles avaient été envahies par le béton. « Ce phénomène a particulièrement progressé durant les années 1990, période lors de laquelle le pays a connu de nombreuses difficultés. Actuellement, il y a aussi beaucoup de fabriques de produits de construction sur des terrains agricoles », explique M. Zaïmeche.

Jijel, Wilaya agricole par excellence, a perdu une grande partie de ses terres. « Sur le marché de Jijel, on trouve des produits agricoles venus de Wilayas telles que Biskra, ce qui était inimaginable avant », conclut le responsable.

http://www.leconews.com/fr/actualites/nationale/agriculture/jijel-a-perdu-90-de-ses-terres-agricoles-04-05-2013-163299_291.php

Citation :

Selon lui, des gens e sont rendu comptes que l’abandon de l’activité agricole pour créer ce genre de hangars est beaucoup plus rentable. « Ces personnes sont bien évidemment dans l’illégalité puisque les terres détournées sont des terres fertiles», précise-t-il.

Bien avant le dynamisme connu par le port de DjenDjen, des terres agricoles avaient été envahies par le béton. « Ce phénomène a particulièrement progressé durant les années 1990, période lors de laquelle le pays a connu de nombreuses difficultés. Actuellement, il y a aussi beaucoup de fabriques de produits de construction sur des terrains agricoles », explique M. Zaïmeche.

Jijel, Wilaya agricole par excellence, a perdu une grande partie de ses terres. « Sur le marché de Jijel, on trouve des produits agricoles venus de Wilayas telles que Biskra, ce qui était inimaginable avant », conclut le responsable.

Cette histoire .... c'est ( bonnet blanc !! blanc bonnet ) de 1990 à 2013 personne na Rien dit !!! et maintenant ont découvre soit disant le "business"!!!!! je suis écoeuré de se qui arrive à mon PAYS il faut tout rasé !!!! et rendre les terre agricole

vraiment n'importe quoi et comment vous pouvez me dire qu’il faut faire confiance a notre etat dans des domaine sensible alors qui sot meme pas capable d'evaluer ce qui et vital et stratégique pour nous?? vraiment quel et cette incompétence??? d'un coté on nous annonce kan va bientôt être autossufisant et d'un autre on abandonne nos terre agricole...la terre agricole doit être une priorité

manifesté ses dernier temps peut être dangereux...mais ce genre de chose doit pas être toléré il faut que les gent de la wilaya se bouge sa va réveiller l’état endormi!!!!!

vraiment j'ai l'impression qui on en rien a foutre du pays... y profite de l'argent et le reste il prenne pas assez de mesure rien que de voir les déclaration du Maroc et que eux il essai d’étouffer l'affaire je trouve sa hallucinant

https://youtu.be/Rvm87IY9dYo

Usine de recyclage des métaux ferreux avec un partenariat turc.

C'est autant d'emplois créés et d'importations en moins.

Bonne nouvelle/ au lieu d'importer seulement, c'est bien de produire localement.


L’entreprise privée Socope veut se lancer dans la fabrication mécanique
Samia Amine TSA

Socope, concessionnaire algérien d’engins de travaux publics de
plusieurs marques chinoises (Sany, Liugong, Soosan et Shantui), va se
lancer, dans trois ans, dans la fabrication mécanique, a déclaré à TSA,
ce lundi 6 mai, son PDG, Abdelhamid Dennouni.

« Nous avons un très grand centre de maintenance de 40.000 m² à Oran
qui sera complètement opérationnel dans trois ans. Nous comptons y
fabriquer des pièces mécaniques que nous importons aujourd’hui »,
explique-t-il, en marge de l’inauguration d’un nouveau showroom à Alger.

Le centre d’Oran sera opérationnel à 30% vers la fin de l’année en
cours, a précisé M. Dennouni. « Nous commencerons par développer la
maintenance », dit-il, avant d’ajouter : « C’est un investissement qui
est fait de manière graduelle. »

Socope détient actuellement 9 à 10% de parts du marché national,
selon M. Dennouni. Avec l’inauguration du nouveau showroom, ce
concessionnaire ambitionne « d’attirer le maximum de clients » et de «
proposer un service après-vente relativement intéressant ».

Socope dispose de plusieurs centres à travers le territoire national,
notamment à Jijel, Constantine et Hassi Messaoud. L’objectif est de «
rendre la pièce de rechange disponible à travers le territoire national
et être ainsi le plus près de nos clients, même au Sud ».

Enfin des citoyens qui réagissent contre le détournement des terres agricoles. Chapeau à ces compatriotes qui méritent tout notre soutien

Citation :

Des terres agricoles menacées par le béton à Jijel
Une association affronte les APC

Jijel a été classée première Wilaya productrice de fraise cette année. L’épanouissement de cette culture est cependant menacé par la progression destructrice du béton.

Une association locale a décidé de mener une véritable guerre au phénomène d’urbanisation sauvage qui progresse de façon inquiétante. L’association El Amel pour les producteurs de la fraise est aujourd’hui en première ligne face à cette menace.

Le président de cette association, Ladraa Mahieddine a lui-même entamée une action en justice contre la municipalité de Sidi Abdelaziz pour avoir autorisé des travaux de construction sur un terrain qui lui appartient. « La justice m’a donné gain de cause mais il n’est pas exclu que la commune fasse appel », indique M. Ladraa. « L’association El Amel compte mener des actions similaires pour empêcher cette APC ainsi que toutes celles autorisant le lancement de chantiers de construction sur des terres agricoles », affirme le président de l’association.

La commune de Sidi Abdelaziz est pourtant celle qui connaît la plus grande production de fraise non seulement à Jijel mais aussi dans tout l’est du pays. « Sidi Abdelaziz qui produit de grandes quantités de fraise depuis l’année 2001 est aujourd’hui considérée comme la principale productrice de fraise dans l’est du pays. Nos produits sont présents dans différentes Wilayas du pays et nous avons même intéressé les Tunisiens », explique M. Ladraa.

L’association qui ne compte épargner aucun effort pour protéger les terres agricoles pointe du doigt, tout particulièrement, les projets de réalisation de logements qui « en plus d’empiéter sur des terres fertiles ne sont même pas en harmonie avec l’environnement local », déplore l’agriculteur.

De manière plus générale, c’est toute la Wilaya de Jijel qui fait face à la destruction des terres agricoles au profit de projets de construction de différentes natures.

http://www.leconews.com/fr/actualites/nationale/agriculture/une-association-affronte-les-apc-07-05-2013-163338_291.php

Une petite entreprise qui veut se lancer dans la production au lieu de continuer à importer. Bravo aux employés de LORN Chemical et bravo à Monsieur Abdelkader Osmani auquel nous souhaitons plein succès

Citation :

Abdelkader Osmani, responsable à LORN Chimical, à L’Econews
«Nous allons créer une usine de production de résines alkyde et polyester»


Abdelkader Osmani.

Le développement des activités des secteurs du bâtiment, de l’industrie et de l’artisanat, principaux utilisateurs de la résine a impulsé la croissance des importations de cette matière. Pour la résine alkyde, il n’y a que le Groupe public de fabrication de peinture ENAP qui en produit. Quant à la résine polyester, elle n’est pas produite en Algérie. Cela a motivé LORN Chimicals pour créer une usine de production de ces deux matières, selon un responsable de l’entreprise qui a répondu aux questions de L’Econews



L’Econews : Voulez-vous nous faire connaitre votre activité?
Abdelkader Osmani: Notre entreprise s’appelle LORN Chimicals. Elle est située à côté de la gare routière Aomar dans la wilaya de Bouira. L’entreprise est spécialisée dans la production, le conditionnement des résines et additifs, à savoir les «gels coat», revêtement des sols, polyuréthane, système époxy. Elle fait également la projection de revêtement d’étanchéité et l’isolation thermique. L’entreprise est dotée d’un laboratoire de contrôle, de six machines industrielles et elle fait travailler six employés
Quelles sont les perspectives de LORN Chimicals à moyens terme ?
L’entreprise compte investir 1.000.000 d’euros pour la chaîne de production de mousse continue (automatique). Elle prévoit également l’acquisition d’équipements pour la fabrication de produits de revêtement de sol, la formation du personnel chez les fournisseurs. Nous avons aussi un projet d’installation d’une usine de blending de polyol et surtout la création d’une usine de production de résines alkyde et polyster en 2014.
Pouvez-nous donner plus de détails sur ce projet ?
L’usine est en construction. Les travaux ont atteint les 70 à 80%. Sa surface est d’environ de 40 000 m². Tout ce qui est bâtiment est déjà fait. Il reste l’acheminement de l’équipement dont le premier arrivage aura lieu le 20 mai en cours. Le démarrage de l’usine est prévu pour le premier trimestre 2014. Mais cela va dépendre de l’approvisionnement en matière d’équipement qui peut prendre un peu plus de temps.
Qu’est ce qui vous a motivé pour la création de cette usine ?
Ce qui nous a beaucoup motivés, c’est la croissance sensible et constante des importations depuis 2005 de ces produits. Cela est dû au développement des activités des secteurs du bâtiment, de l’industrie et de l’artisanat, qui sont les principaux utilisateurs de la résine. Concernant les résines alkydes, il n’y a que le Groupe ENAP qui les produit et ce groupe n’envisage pas de commercialiser cette résine sur le marché national. Pour ce qui est de la résine polyester, il n’y a pas de production nationale. En plus de cela, on ne signale aucun projet d’usine nouvelle dans la fabrication de ce produit.
Quels sont les objectifs visés par cette future usine?
Concernant les résines polyesters, nous visons une production de 1000 tonnes pour la première année pour atteindre par la suite une production de 3000 tonnes par an. Pour ce qui est des résines alkids, nous envisageons une production de 3000 tonnes pour la première année, puis 8 000 tonnes par an. Avec cette production, nous souhaitons satisfaire le marché national et les pays limitrophes.

http://www.leconews.com/fr/actualites/nationale/industries/nous-allons-creer-une-usine-de-production-de-resines-alkyde-et-polyester-07-05-2013-163336_340.php

Pas mal ce projet de production de résines. Ces produits peuvent irriguer tout un tissu de PME. C'est un produit stratégique créateur d'emplois.