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| Actualités Economiques | |
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Auteur | Message |
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boussouf Admin
Messages : 2099 Date d'inscription : 20/11/2011
| Sujet: Re: Actualités Economiques Dim 1 Déc - 15:51 | |
| - Citation :
65% de la production pharmaceutique sera locale en 2015
(APS) dimanche 1er décembre 2013
ALGER - La production locale de médicaments atteindra 65% du marché national des médicaments en 2015, a indiqué samedi le PDG de Profarmal, Malik Ait Saïd. La production locale qui représente actuellement 36% du marché national devrait atteindre 65% en 2015, a affirmé M. Ait Saïd lors du 12e forum d’"Emergy" consacrée à l’analyse du système sanitaire.
M. Ait Saïd, qui est également membre de l’Union nationale des opérateurs de pharmacie (UNOP) a estimé que le potentiel pharmaceutique national actuel permet d’atteindre 65% du marché national, sans compter les nouveaux investissements dans le secteur.
Le taux de production nationale de médicaments atteint par le secteur privé est de 30% et celui réalisé par le groupe Saidal, relevant du secteur public est de 6%.
Les autorités publiques se sont engagées durant les dernières années à atteindre un taux de production locale de 70% durant les quelques prochaines années afin de réduire la facture des médicaments importés d’une part et garantir une couverture sanitaire globale à moindre coûts, d’autre part.
Pour M. Ait Saïd, la réalisation de 65% de la production pharmaceutique locale doit être accompagnée par l’installation de l’Agence nationale du médicament, l’actualisation des lois régissant le secteur et la dotation de la direction pharmaceutique au niveau du ministère des moyens matériels et humains nécessaires.
Ce qui contribuera, a-t-il dit, à la réduction des délais d’enregistrement des médicaments au ministère, appelant à l’enregistrement de ce produit vital à la caisse nationale de sécurité sociale d’autant que l’Etat encourage la production du médicament générique qui représente 35% du marché algérien.
L’industrie pharmaceutique qui compte actuellement 62 opérateurs et 100 projets prévus, figure parmi les plus importants secteurs économiques. | |
| | | boussouf Admin
Messages : 2099 Date d'inscription : 20/11/2011
| Sujet: Re: Actualités Economiques Dim 1 Déc - 15:56 | |
| - Citation :
- Complexe sidérurgique de Bellara : le pacte d’actionnariat en cours de finalisation
(APS) dimanche 1er décembre 2013
ALGER - Le pacte d’actionnariat pour la réalisation d’un complexe sidérurgique à Bellara (Jijel), un partenariat algéro-qatari, est en cours de finalisation, a indiqué dimanche à Alger le ministre du Développement industriel et de la promotion de l’investissement, Amara Benyounes.
Le pacte d’actionnariat entre l’entreprise algérienne Sider et Qatar international pour la réalisation d’un complexe sidérurgique à Bellara (Jijel) avec une capacité de production à terme de 5 millions de tonnes/an "est en phase finale de signature. A l’heure actuelle, il n’y a pas de problème majeur pour la signature de ce pacte", a précisé le ministre en marge d’un forum algéro-brésilien.
Interrogé sur l’impact sur le projet d’une éventuelle révision à la baisse par le Qatar de ses investissements à l’étranger, comme rapportée récemment par la presse, M. Benyounes a affirmé que "le complexe de Bellara se fera avec ou sans les Qataris". Selon le ministre, le complexe sidérurgique est " un projet stratégique pour l’Algérie".
"Nous sommes en voie de finalisation avec les Qataris. Je ne vois pas pourquoi on le ferait pas avec eux, mais si un problème se pose, nous pouvons le faire et nous devons le faire avec d’autres partenaires", a-t-il avancé.
Cet investissement va coûter deux milliards de dollars dans une première phase et permettra de produire deux millions de tonnes d’acier par an à partir de 2017, une production qui va s’élever progressivement à cinq millions de tonnes, selon les termes du contrat signé par les partenaires de ce projet, regroupés en société mixte.
Le capital du complexe sera détenu à 51% par l’entreprise Sider et le Fonds national de l’investissement (FNI) et à 49% par Qatar International, une joint-venture entre Qatar Steel et Qatar Mining.
Le futur complexe de Bellara, qui devrait générer quelque 2.000 emplois, devrait augmenter la production nationale de produits sidérurgiques, d’autant que les importations de ce produit stratégique pour l’économie algérienne sont annuellement d’environ 10 milliards de dollars, soit 20% du montant global des achats à l’international de l’Algérie. | |
| | | Algerian fighter one Capitaine
Messages : 1256 Date d'inscription : 05/08/2013
| Sujet: Re: Actualités Economiques Dim 1 Déc - 20:03 | |
| Y'aura une ville économique qui s'appelle Boughezoul en pleine construction, apparemment depuis Boumediene Allah irahhmou cela ce décidait , et sa à commence à être construit que très recamment. | |
| | | samir_reghaia Sous lieutenant
Messages : 849 Date d'inscription : 05/12/2012
| Sujet: Re: Actualités Economiques Lun 2 Déc - 23:15 | |
| - Algerian fighter one a écrit:
- Y'aura une ville économique qui s'appelle Boughezoul en pleine construction, apparemment depuis Boumediene Allah irahhmou cela ce décidait , et sa à commence à être construit que très recamment.
Effectivement, elle était censée devenir la nouvelle capitale de l'Algérie. Une très bonne idée, surtout vu son emplacement. Ceci étant je pense que cette idée de changer de capitale est abandonnée. Mais la ville se construit petit à petit... on vera bien. Les plans initiaux que j'ai vu semblent bien fait, mais tout est joli sur plan en Algérie... on vera bien ce que ça donnera. | |
| | | Algerian fighter one Capitaine
Messages : 1256 Date d'inscription : 05/08/2013
| Sujet: Re: Actualités Economiques Mar 3 Déc - 17:00 | |
| - samir_reghaia a écrit:
- Algerian fighter one a écrit:
- Y'aura une ville économique qui s'appelle Boughezoul en pleine construction, apparemment depuis Boumediene Allah irahhmou cela ce décidait , et sa à commence à être construit que très recamment.
Effectivement, elle était censée devenir la nouvelle capitale de l'Algérie. Une très bonne idée, surtout vu son emplacement. Ceci étant je pense que cette idée de changer de capitale est abandonnée. Mais la ville se construit petit à petit... on vera bien. Les plans initiaux que j'ai vu semblent bien fait, mais tout est joli sur plan en Algérie... on vera bien ce que ça donnera. Alger est une honte pour l'algérie , Boughezoul j'espere qu'il le finiront a temps et que sa soit une vrai ville , car fi dzair on est champion du monde des maquette , parceque apres derriere...... | |
| | | Algerian fighter one Capitaine
Messages : 1256 Date d'inscription : 05/08/2013
| Sujet: Re: Actualités Economiques Mar 3 Déc - 17:08 | |
| - samir_reghaia a écrit:
- Algerian fighter one a écrit:
- Y'aura une ville économique qui s'appelle Boughezoul en pleine construction, apparemment depuis Boumediene Allah irahhmou cela ce décidait , et sa à commence à être construit que très recamment.
Effectivement, elle était censée devenir la nouvelle capitale de l'Algérie. Une très bonne idée, surtout vu son emplacement. Ceci étant je pense que cette idée de changer de capitale est abandonnée. Mais la ville se construit petit à petit... on vera bien. Les plans initiaux que j'ai vu semblent bien fait, mais tout est joli sur plan en Algérie... on vera bien ce que ça donnera. Capital pour l'algérie je signe tout de suite , meme si c'est irréaliste. Car Alger pendant la période coloniale elle était bien entretenu jusqu'a 90 ou c'est devenu une poubelle , d'ailleur la guerre civile a bloqué l'algérie , l'algérie était en plein dévellopement et la paf on les chyatine terro gache le reve algérien. Si on avait pas les année noire , l'algérie en 2018 ferait partis du G20. | |
| | | Zoubir8 Commandant
Messages : 1597 Date d'inscription : 11/04/2012 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Actualités Economiques Mer 4 Déc - 6:07 | |
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| | | boussouf Admin
Messages : 2099 Date d'inscription : 20/11/2011
| Sujet: Re: Actualités Economiques Dim 8 Déc - 11:15 | |
| Un article intéressant qui note l'augmentation de la demande de produits industriels fabriqués localement et pointe les contraintes qui freinent le développement des entreprises industrielles tant publiques que privées en Algérie. - Citation :
- Produits industriels
La demande en hausse
La production industrielle semble reprendre du poil de la bête au deuxième trimestre de l’année en cours. En témoigne l’augmentation sans cesse grandissante en produits industriels, selon ce qu’a établi une enquête de l’Office national des statistiques (ONS) qui a interrogé les chefs d’entreprises. Une hausse qui se poursuit malgré l’augmentation des prix. «Plus de 35% des chefs d’entreprises publiques et 75% des patrons d’entreprises privées ont assuré à l’Office leur incapacité de satisfaire la demande» durant la période sus-citée.
L’ONS estime cependant que le rebond de la production industrielle est plus prononcée dans le secteur privé que dans le public. Les deux catégories d’entreprises (60% pour le public et 75% pour le privé)ont affirmé avoir usé de leurs capacités de production à plus de 75%. L’enquête de l’ONS a touché 400 entités économiques privées et 340 publiques, et note que cette amélioration se poursuivra dans les prochains mois.
Mais les deux secteurs d’activités butent sur l’approvisionnement en matières premières qui demeure inférieur aux besoins exprimés, d’où justement l’incapacité à satisfaire la multitude de demandes du marché. Les entreprises publiques ont fait part de rupture de stocks qui ont engendré des arrêts de l’activité de moins de 10 jours, mais somme toute préjudiciable. Pas seulement, les coupures récurrentes de l’énergie électrique ont grandement contribué à des arrêts de travail. Les enquêtés ont déploré, par ailleurs, un déficit flagrant dans la ressource humaine. 50% des chefs d’entreprises publiques et 85% de ceux du privé ont estimé que le niveau de qualification du personnel est insuffisant et n’ont pas caché leurs difficultés à recruter des employés dans l’encadrement et la maîtrise.
Les conflits sociaux n’ont pas été en reste dans la paralysie de l’activité industrielle, particulièrement chez le public, même s’ils sont inférieurs à 12 jours.
Les autres problèmes que rencontrent les entreprises sont inhérents au recouvrement des créances, les charges élevées, le remboursement des emprunts et les prix élevés. Tous ces éléments influent négativement, selon les enquêtés sur la trésorerie.
L’ONS note que 44% du potentiel de production du secteur public et plus de 68% de celui du privé ont eu recours à des crédits bancaires, et près de 20% des concernés ont trouvé des difficultés à les contracter.
De plus, la vétusté des équipements n’arrange pas les affaires. 80% du potentiel de production du secteur public et plus de 70% de celui du privé ont connu des pannes engendrant des arrêts de travail inférieurs à 13 jours pour l'ensemble des responsables qui ont été touchés par l'enquête. Alors que si ces entreprises avaient la possibilité de renouveler leurs équipements, ils pourraient produire davantage.
http://www.leconews.com/fr/actualites/nationale/industries/la-demande-en-hausse-07-12-2013-166489_340.php | |
| | | boussouf Admin
Messages : 2099 Date d'inscription : 20/11/2011
| Sujet: Re: Actualités Economiques Dim 8 Déc - 22:02 | |
| - Citation :
- Innovation : Benyounes souligne la disponibilité de l’Etat à soutenir les inventeurs
(APS) dimanche 8 décembre 2013
ALGER - Le ministre du Développement industriel et de la promotion de l’investissement, Amara Benyounes a souligné dimanche à Alger la disponibilité de l’Etat à "soutenir les inventeurs". "Les pouvoirs publics soutiendront ces inventeurs et PME innovantes à réaliser les premiers prototypes de leur inventions", a-t-il déclaré lors de la cérémonie d’inauguration du salon national de l’innovation, qui se tient au palais des expositions du 8 au 10 décembre.
M. Benyounes a exhorté les inventeurs à trouver des partenaires pour traduire leurs idées en projets "économiquement rentables", invitant les entreprises nationales à visiter ce salon dans le but de nouer des partenariats industriels avec ces inventeurs, qui trouvent souvent des difficultés à concrétiser leurs projets sur le terrain, faute de moyens.
Au moins 40 inventeurs et 16 petites entreprises participent à ce salon placé sous le thème de " l’innovation clef de la compétitivité". Des prix récompensant les meilleurs travaux de recherche et d’innovation seront remis aux meilleurs inventeurs à la clôture du salon, prévue mardi. Il s’agit du prix national de l’innovation pour les PME dans sa 5éme édition et du prix national de l’invention dans sa 17éme édition.
Le salon, organisé à l’occasion de la journée nationale de l’Innovation célébrée chaque année le 7 décembre, regroupe les PME innovantes ayant participé aux différentes éditions du prix national de l’innovation, les inventeurs détenant des brevets d’inventions et des institutions soutenant les entreprises, comme l’Institut national de la propriété industrielle (INAPI) et l’Agence nationale de développement de la PME (ANDPME).
M. Bentahar Mohamed, patron d’une société privée, a inventé une machine de crépissage de murs de ciment et de plâtre, permettant d’atteindre 500 m2 de surface par jour, alors qu’un ouvrier ne peut réaliser que 20 à 30 m2 en moyenne par jour.
Ce professionnel souhaite trouver un partenaire pour financer son projet et monter une chaîne de production en usine. Mohamed Rejdal a inventé, quant à lui, un équipement automatique de protection et d’intervention contre les fuites de gaz. Il s’agit, a-t-il expliqué à l’APS, d’un instrument permettant de détecter une fuite de gaz et de déclencher un système permettant de couper l’électricité et le gaz en cas de fuite pour éviter les accidents même en l’absence des locataires.
De son côté, Bendaikha Wahiba, lauréate du Prix national de la meilleure invention en 2012 et du prix de la meilleure présentation de projet, décroché à Madrid a appelé au soutien des inventeurs pour la réalisation de leurs idées.
Cette chercheuse avait réussi à inventer un collecteur solaire hybride destiné à la production d’eau chaude d’hydrogène pour les centrales d’énergie électrique et d’oxygène destiné aux hôpitaux et aux besoins du secteur de la pisciculture dans le sud du pays. | |
| | | Zoubir8 Commandant
Messages : 1597 Date d'inscription : 11/04/2012 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Actualités Economiques Mar 10 Déc - 17:59 | |
| Renforcer les capacités économiques du pays pour: - créer des emplois pour les jeunes, - satisfaire les besoins du citoyen,
voilà les tâches de l'heure. | |
| | | samir_reghaia Sous lieutenant
Messages : 849 Date d'inscription : 05/12/2012
| Sujet: Re: Actualités Economiques Mer 11 Déc - 11:46 | |
| J'espère que ça ne restera pas lettre morte. Vu que ça vient du ministère du commerce, on peut esperer que certaines choses soient mises en oeuvre. Par contre, les propositions de l'UGTA me font marrer. On est dans le ridicule. On reste toujours dans un socialisme réactionnaire: "d’interdire l’importation des produits fabriqués localement, d’interdire la publicité à la Télévision algérienne aux produits fabriqués à l’étranger". Ok... ça veut dire tout bonnement casser toute possibilité de concurence et surtout de concurence qualitative... Il ne faut pas se leurer. Les gens ne se bougent pas s'ils n'ont pas BESOIN de le faire. On a vu le résultat des Sonacome, Algérie Telecom... etc. Il faut que le citoyen puisse choisir le meilleur produit et SANCTIONNER ceux qui proposent moins bien. Ce n'est que comme ça qu'on devient compétitif. Après, il faut effectivement avantager raisonablement les entreprises locales et les aider à se développer, mais tout en permettant l'entrée sur le marché de produits étrangers (souvent de meilleure qualité), afin que les entreprises nationales AIENT ENVIE de faire mieux. Interdire les produits étrangers c'est tout simplement SPONSORISER LA MEDIOCRITE. - Citation :
- Renforcer les exportations hors hydrocarbures : un rapport officiel explore plusieurs pistes
Hadjer Guenanfa
Comment réduire la dépendance de l’économie nationale vis-à-vis des hydrocarbures ? Dans son rapport final, dont TSA a obtenu une copie, le ministère du Commerce, via le sous-groupe de travail chargé de la promotion des exportations hors hydrocarbures, installé lors de la dernière Tripartie, apporte quelques réponses en revenant sur ce qui a été fait et ce qui reste à faire.
Sur le plan stratégique, il recommande d’abord la mise en place d’un Conseil national consultatif pour la promotion des exportations. Sa création a déjà fait l’objet d’une ordonnance en 2003. Il préconise ensuite la « mise en œuvre de politiques sectorielles ». Dans le secteur de l’industrie par exemple, cette action se traduit notamment par la modernisation de l’outil de production et l’amélioration de l’environnement de l’entreprise. Renforcer la présence à l’étranger et un guichet unique
Le document prône également le renforcement des représentations commerciales algériennes dans les pays étrangers « ciblés ». L’action doit se traduire par la mise en place « de services commerciaux spécialisés au sein de certaines ambassades ». Des services qui seront chargés de « l’information », de la « prospection », de « la facilitation des contacts avec les clients potentiels » et de « l’organisation de rencontres d’affaires, en collaboration avec Algex et la Caci ». Il préconise aussi la mise en place d’un « guichet unique » au niveau des principaux ports pour faciliter les transactions à l’international. Encourager les pays africains à consommer algérien Sur le plan opérationnel, le sous-groupe de travail encourage les pouvoirs publics à inciter les pays africains à acheter des produits algériens. Pour ce faire, il préconise le « développement de lignes de crédits intergouvernementales » au profit de ces pays. Une mesure qui « encourage les acheteurs étrangers à consommer les produits algériens ». Le sous-groupe de travail revient sur un certain nombre de mesures d’ordre douanier ou fiscal pour encourager les exportations hors hydrocarbures. Il cite, entre autres, la mise en place de « brigades de douanes spécialisées à l’exportation et traitement prioritaire pour les produits périssables destinés à l’exportation ». Il évoque également la « simplification des procédures de remboursement de la TVA ». Cette mesure devrait être traduite par l’exigence de seulement quatre documents à l’exportateur : « facture d’achat en TTC, facture domiciliée, déclaration douanière (D11) et attestation de rapatriement ». Amélioration des infrastructures et développement d’aires de stockage et d’emmagasinage En matière de transport et de logistique, les auteurs de ce document soulignent l’importance du « développement et l’amélioration des infrastructures portuaires et aéroportuaires » et de la « mise en place de mesures simplifiées et efficientes pour les accès aux ports et aéroports ». Ils préconisent le développement « d’aires de stockage et d’emmagasinage suffisantes, appropriées et sécurisées ». Aider les entreprises exportatrices en difficultés financières
Le rapport recommande aussi certaines actions en direction des entreprises exportatrices ou à fort potentiel export et qui rencontrent des difficultés financières. Celles-ci « doivent bénéficier d’un traitement pour les réhabiliter et leur permettre de reconquérir les marchés internationaux et s’y maintenir », précise le document. Autres recommandations
Le rapport appelle les ministères du Commerce, des Finances et des Affaires étrangères à « prévoir la prise en charge partielle des visiteurs professionnels officiels étrangers qui viennent pour prospecter le produit algérien lors des manifestations tenues en Algérie ». « Le MAE est d’avis à ce que cette recommandation soit orientée dans le sens de l’encouragement d’éventuels importateurs de pays africains », précise la même source. Enfin, celle-ci préconise aussi la prise en charge « des frais relatifs aux études de marché, à la labellisation, au marquage et à la protection des indications géographiques des produits agricoles destinés à l’export » par le ministère de l’Agriculture. Les recommandations de l’UGTA
L’UGTA a, pour sa part, fait des recommandations qui seront introduites dans la version finale du rapport, car celles-ci ont été envoyées tardivement. Le syndicat préconise un retour au tarif douanier d’avant les accords commerciaux, d’interdire l’importation des produits fabriqués localement, d’interdire la publicité à la Télévision algérienne aux produits fabriqués à l’étranger et de renforcer le système de barrières non tarifaires.
http://www.tsa-algerie.com/actualite/item/3152-economie-renforcer-les-exportations-hors-hydrocarbures-un-rapport-officiel-explore-plusieurs-pistes | |
| | | Zoubir8 Commandant
Messages : 1597 Date d'inscription : 11/04/2012 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Actualités Economiques Ven 13 Déc - 6:45 | |
| Bravo au secteur d'état qui réalise cette rénovation. Relizane ,rénovation gazoduc sur 291 km.Algerie. - YouTube► 2:10► 2:10 www. youtube.com/watch?v= sGk1ipLKIwM26 sept. 2013 - Ajouté par chooooooof | |
| | | Zoubir8 Commandant
Messages : 1597 Date d'inscription : 11/04/2012 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Actualités Economiques Sam 14 Déc - 22:59 | |
| POLITIQUE ECONOMIQUE: H. BOUMEDIENE AVAIT RAISON.Reda Amrani. Consultant en économie industrielle «L’industrialisation a été combattue au sein du sérail» le 12.12.13 | 10h00 zoom | © D. R. Imprimer Envoyer à un ami Flux RSS Partager [url=http://twitter.com/timeline/home?status=Lu sur %40elwatan %C2%ABL%E2%80%99industrialisation+a+%C3%A9t%C3%A9+combattue+au+sein+du+s%C3%A9rail%C2%BB http%3A%2F%2Fwww.elwatan.com%2Feconomie%2Fl-industrialisation-a-ete-combattue-au-sein-du-serail-12-12-2013-238224_111.php] [/url] -L’Algérie réussit, au cours des années 1970, à construire de nombreux complexes industriels. Aujourd’hui, l’industrie est sinistrée. Quelles en sont, selon vous, les raisons ?L’industrialisation de notre pays a été pensée et réfléchie sur des bases rationnelles et structurées. Les premières usines étaient issues des études de développement agricole et industriel qui ont donné naissance à l’industrie du machinisme agricole et au développement des complexes d’engrais d’Arzew et de Annaba, par exemple. Les premiers grands complexes ont été aussi ceux de l’industrie textile et manufacturière à forte intensité de main-d’œuvre pour répondre à la demande d’emplois. La création de Sonatrach dès 1963 et le lancement du premier oléoduc algérien a conforté la nécessité de développer non pas une usine de production de fonte tel que prévu par le plan de Constantine, mais une sidérurgie intégrée, basée sur les produits à forte valeur ajoutée et sur une longue chaîne de transformation en aval. Des études d’aménagement du territoire étaient menées pour réaliser les pôles de développement régionaux qui permettaient des localisations cohérentes avec le potentiel des régions et les objectifs de développement. En quelques années une infrastructure industrielle et économique à même d’assurer le développement du pays était érigée et pouvait servir de base de lancement d’une réelle maturité économique. De nos jours, l’industrie nationale est sinistrée par le fait que l’industrialisation de notre pays était combattue sournoisement par un ensemble d’opposants au président Boumediène, de l’intérieur du sérail. Dès l’été 1976, ces opposants de l’intérieur du sérail obtinrent la division du secteur industriel en trois ministères : industrie lourde, industrie légère et énergie-hydrocarbure. La mort du président Boumediène fin 1978 sonna le glas du développement industriel. En 1986 la crise de l’endettement était portée naturellement par le pouvoir en place sur les mauvais résultats de l’industrialisation qui, en fait, avait été bloquée et abandonnée ; plus de 70 projets du secteur des hydrocarbures et de leur première transformation étaient abandonnés ainsi que ceux de la chimie de base ; la sidérurgie des produits longs était ajournée, entraînant un recours massif à l’importation du rond à béton ; l’industrie mécanique et électrotechnique était privée d’investissements de renouvellement et d’innovation ; les industries manufacturières étaient totalement déstabilisées par les restructurations organiques outrancières.Le secteur privé, peu enclin aux investissements massifs et à longue durée de retour sur investissement, ne prenait pas le relais des entreprises publiques. L’ajustement structurel de 1994, qui avait rompu le processus d’investissement productif du secteur privé, le décourageait pour de longues années. -Les privatisations pourraient-elles justifier cet état de fait ?Absolument pas car elles étaient annoncées et envisagées de manière dogmatique pour masquer une volonté de participer à la curée entreprise vingt ans plus tôt par le fameux ministre du Plan sous le président Chadli, lui aussi fervent adversaire du président Boumediène. Alors qu’en 1996, face aux effets dévastateurs de l’ajustement structurel mal négocié avec le FMI et la Banque mondiale, une politique de relance basée sur des contrats banques-entreprises supervisés en permanence par les holdings avait permis une reprise vigoureuse de la croissance de la production industrielle en 1998, le nouveau ministre en charge des Réformes déclarait que tout doit être stoppé et que seule la privatisation des entreprises industrielles publiques le préoccupait ; il s’alignait en fait sur le FMI et la Banque mondiale. Pendant plusieurs années, cette politique de privatisation allait faire appel à de nombreux cabinets de conseil étrangers pour procéder à l’évaluation des entreprises publiques. L’absence d’investissements de renouvellement des équipements et de formation des entraînait cessation de paiement, fermeture d’usines et effondrement de la production industrielle. Les réformes, qui avaient été apportées par la concertation avec les cadres des entreprises, tant par les réformateurs de 1988 que par ceux de 1995, et qui avaient abouti a la création de fonds de participation puis de holdings, avec la séparation claire et juridiquement établie entre l’Etat-puissance publique et l’Etat-actionnaire. Encouragée à nouveau par la formidable hausse de la rente hydrocarbures, la légendaire méprise du gestionnaire technocrate algérien par les dirigeants politiques, doublée des craintes de perdre une part importante du pouvoir économique, reprenait ses droits. La privatisation, accaparée par un seul membre du gouvernement, permettait ainsi de brader au profit d’investisseurs étrangers les entreprises publiques les plus rentables. -Que pensez-vous des opérations de renationalisation opérées aujourd’hui ?Je crois savoir qu’une seule opération a abouti, celle de la reprise de la majorité dans le capital de Sider. J’aurais souhaité que l’on se comporte en financiers avec le groupe ArcelorMittal et laisser les banques algériennes qui lui avaient avancé d’énormes crédits récupérer la totalité de Sider au dinar symbolique, car le partenaire étranger n’était plus en mesure de rembourser ses dettes bancaires. Toujours est-il que cette reprise en main du complexe d’El Hadjar est salutaire pour notre sidérurgie pour autant que cette prise de contrôle soit utilisée à bon escient. Je considère anormal que Sider, majoritaire, ne remette pas en cause le programme d’investissement préparé par ArcelorMittal qui est une véritable bombe à retardement car basé sur un investissement à faible taux de rentabilité interne et surtout concurrencé par des produits italiens et espagnols dont les installations de production sont amortis depuis de longues années et entrant en Algérie sans taxes douanières. Une autre urgence dans la renationalisation devrait concerner l’ammoniac et les engrais en vue de récupérer la rente hydrocarbures attribuée sans contreparties véritables à des investisseurs étrangers, alors que les usines déjà en place étaient parfaitement maîtrisées par les gestionnaires locaux. Le transport maritime devrait être récupéré et accompagné aussi par son ouverture aux investisseurs privés algériens. Le transport maritime et la réparation navale devraient être des secteurs économiques prioritaires tant pour leurs retombées économiques que pour la sécurité des échanges commerciaux de notre pays. Les meilleures politiques à mener seraient d’accompagner la relance réelle de l’investissement productif par la réduction et l’élimination de toutes les entraves bureaucratiques. -Des assainissements financiers ont été menés, sans résultat. Ne croyez-vous pas que c’est le management des entreprises publiques qu’il faudrait revoir ?Il est injuste de parler d’assainissement financier pour l’édification de toute une infrastructure économique publique sans fonds de roulement et sans dotation en capital. Comme rappelé, la création et le fonctionnement des entreprises publiques ont été faits totalement sur la base de l’endettement auprès des banques publiques qui se refinancaient auprès de la Banque centrale en dégageant une confortable marge au passage ; même le Trésor, propriétaire légal de ces entreprises publiques, tirait profit de ce système de financement et de l’accumulation créée de toutes pièces par ces entreprises. Les autorités centrales comme les autorités locales en ont largement bénéficié, à travers les prix administrés en dessous des prix de revient ainsi qu’à travers l’acquisition des produits et services à crédit et sans intérêt lorsqu’elles remboursaient leurs créances auprès des entreprises publiques qui ne pouvaient s’opposer aux injonctions des ministres et des walis. L’Etat n’a pas remboursé les investissements et travaux d’infrastructures publiques réalisés sur les budgets de construction des usines. La restructuration financière des entreprises et non l’assainissement financier, expression impropre, est en fait un remboursement partiel des frais encourus par les entreprises publiques pour leur substitution et aide à la puissance publique. Par ailleurs, cela ne devrait pas masquer certaines insuffisances en matière de management et d’innovation et les effets néfastes du système partisan de désignation de certains managers des entreprises publiques. Roumadi Melissa | |
| | | Zoubir8 Commandant
Messages : 1597 Date d'inscription : 11/04/2012 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Actualités Economiques Sam 21 Déc - 22:13 | |
| Création d’une société algéro-française de réparation navaleArticle | 21. décembre 2013 - Algérie Patriotique La société Ecorep-Piriou prend ses quartiers au port de Bouharoun. Mohamed Ali/New Press. Le constructeur naval français Piriou vient d’établir un partenariat avec l’entreprise publique de réparation navale Ecorep sur la base de la formule 51%/49% de l’actionnariat en faveur de la société algérienne, comme l’édicte la législation des investissements algérienne. C’est ce que rapporte le journal électronique économique français Les Echos. De ce partenariat algéro-français est donc née la société Ecorep-Piriou qui prend ses quartiers au port de Bouharoun, dans la wilaya de Tipasa. D’après la joint-venture, le marché visé par ce partenariat est celui des bateaux de pêche algériens, un secteur «inaccessible depuis la France», affirme Pascal Piriou, le PDG du groupe éponyme. Des investissements sont prévus chez Ecorep-Piriou pour étoffer les compétences du chantier – 85 salariés à ce jour – afin qu’il puisse entretenir, promet-on, des navires jusqu’à 500 tonnes. Si la société française Piriou s’engage en Algérie auprès d’Ecorep dans l’entretien et la réparation des bateaux de pêche, il est à relever que cette entreprise a aussi pour vocation la construction navale et compte déjà plusieurs chantiers à travers le monde, notamment au Vietnam et en Inde. Elle réalise, en effet, des navires de tous types, y compris les bâtiments militaires. Elle doit d’ailleurs signer dans quelques jours un contrat visant à construire pour le compte de l’armée française trois navires militaires de 65 mètres de long de type BMM (bâtiment multimissions). Pour son partenaire algérien, l’Ecorep, on peut dire qu’il s’agit d’une entreprise rescapée de la restructuration des sociétés publiques qui s’est retrouvée, par la suite, livrée à elle-même faute d’un carnet de commande. Le partenariat en question lui offre l’opportunité de se relancer dans son métier de base, celui de la réparation navale. A. Sadek | |
| | | houaridz Lieutenant Colonel
Messages : 3009 Date d'inscription : 05/10/2012 Localisation : tous près
| Sujet: Re: Actualités Economiques Lun 30 Déc - 16:41 | |
| Le budget de la défense est encore en hausse : http://www.elwatan.com/actualite/le-budget-de-l-etat-militarise-30-12-2013-240364_109.php A la une Actualité 20 milliards de dollars pour la défense et l’intérieur Le budget de l’Etat «militarisé» le 30.12.13 | 10h00 zoom | Photo montage Imprimer Envoyer à un ami Flux RSS Partager [url=http://twitter.com/timeline/home?status=Lu sur %40elwatan Le+budget+de+l%E2%80%99Etat+%C2%ABmilitaris%C3%A9%C2%BB http%3A%2F%2Fwww.elwatan.com%2Factualite%2Fle-budget-de-l-etat-militarise-30-12-2013-240364_109.php] [/url] Le jackpot ! Le gros lot de fin d’année : 19,9 milliards de dollars en espèces sonnantes et trébuchantes. Fabuleuse cagnotte — équivalent à 9,6% du produit intérieur brut — que devront payer en cette année 2014 les Algériens à leur défense et sécurité. La rançon de la paranoïa d’Etat. Qu’importe le déficit «retrouvé», le premier depuis plusieurs années, de la balance des paiements (rapport du gouverneur de la Banque d’Algérie) où les besoins sociaux sont énormes, les départements régaliens de la Défense et de l’Intérieur voient exploser leurs budgets de fonctionnement : 12,7 milliards de dollars pour la Défense nationale, 7,2 milliards de dollars pour l’Intérieur. A eux seuls, ces deux budgets cumulés captent plus de 36% des fonds alloués au fonctionnement des ministères de la République. Quid du contrôle de cette manne fabuleuse ? Cache-t-elle une course à l’armement ou est-ce le budget extensible de la professionnalisation de l’armée, «rattrapage» pour les années d’«embargo» ? Tentative d’éclairage. Ce que l’armée veut… Bal des offusqués à l’APN. Mercredi, 30 octobre. Débats à quelques années-lumière des derniers Parlements démocratiques de part le monde, tatillons sur le petit sous dépensé par l’armée. Répliques d’anthologies entendues ce jour-là à l’Assemblée nationale : «Personne n’a le droit d’émettre une quelconque critique sur les dépenses de l’armée. Car quel que soit le volume de ses dépenses, celles-ci ne seront pas vaines.» «L’armée a le droit de prendre l’argent qu’elle veut (…) parce que l’armée rend d’énormes services à la nation», etc. La paire Miloud Chorfi-Tahar Khaoua, chefs des groupes parlementaires du Rassemblent national démocratique et du Front de libération nationale, sait d’instinct se mettre au garde-à-vous, sonner la charge violente contre tous ceux qui osent chatouiller la «grande muette» ou évoquer son budget exponentiel. Mercredi 30 octobre. Crime de lèse-majesté dans l’hémicycle Zighout Younès, siège de l’Assemblée nationale. Dans un silence de cathédrale, de gêne perceptible, le chef du groupe parlementaire du Front des forces socialistes, Chafaâ Bouaïche, égraine son long chapelet de griefs contre le projet de loi de finances 2014 appelé a étre adopté par un «Parlement qui ne dispose pas des moyens pour exécuter sa mission de contrôle de l’Exécutif». «Que dire d’une loi de finances dont le budget de la Défense a triplé depuis 2009 ? Et sans qu’aucune raison ou justification ne soient avancées.» «Cette course à l’armement prendra-t-elle fin ?» s’interroge Bouaïche. «12,7 milliards de dollars de budget de fonctionnement, qu’en est-il du budget d’équipement ?» Malaise dans les travées. Les visages crispent à l’évocation du sujet «tabou». Car, ici, au temple portant le nom du héros Zighout Youcef, gît le contrôle parlementaire : tout ou presque est sujet à débat sauf les corps constitués et leurs budgets. «20 milliards de dollars pour la Défense et l’Intérieur, c’est le budget de la moitié des Etats du continents africain», observe Abdelghani Boudebouz pour qui la sécurité et stabilité des pays ne se construisent pas avec des «dépenses excessives». Défense et sécurité, un duo «incontrôlable»Mardi 3 décembre. Maintenant que la loi de finances 2014 est entérinée par l’Assemblée croupion, la Cour des comptes peut rendre public son rapport d’appréciation sur l’exécution du budget 2011. Un rapport noir, illustrant comme les précédents le degré d’incurie, la déliquescence de l’Etat mais dont les 170 pages rageuses de ce rapport ne pipent mot sur les budgets XXL de la Défense et de l’intérieur. Les comptes et dépenses des deux ministères prétoriens échappent aussi bien au contrôle parlementaire qu’à la Cour des comptes (CC). Haute juridiction constitutionnelle, chargée du «contrôle a posteriori des finances de l’État, des collectivités territoriales et des services publics», la Cour des comptes est pieds et poings liés, sans attribution quant il s’agit de contrôler deux des plus gros budgets de l’Etat. Dans le hall de l’APN, Lakhdar Benkhelef, député islamiste de El Adala (justice) enchaîne les interviews. Ses charges homériques à l’hémicycle contre la corruption et l’impunité, et ses «initiatives parlementaires» pour juger les Khelil and Coe font de lui un bon client des médias. Nuées de caméramans et de journalistes attendant chacun l’occasion de l’interviewer. Contrôler le budget de la Défense ou de l’Intérieur ? «Impensable», juge le parlementaire. «Les députés ne contrôlent même pas le budget de leur propre Assemblée, dit-t-il en rires. «Et s’il y a bien des ministres qui ne descendent jamais à l’Assemblée et à qui il est interdit de poser des questions, orales et écrites, ce sont bien les ministres de la Défense et celui des Affaires étrangères.» Lakhdar Benkhelef présume l’existence de répliques de Chakib Khelil dans tous les secteurs. «Or, l’armée, que nous plaçons, ajoute-t-il au-dessus de nos têtes, n’est pas faite d’anges mais d’humains.» Le général Gaïd Salah chez les «amis» russesMoscou. Mardi 22 octobre. Le patron de l’armé en guest star chez les «amis» russes, dont le pays trône depuis un demi-siècle sur nos marchés d’armes. La Russie est de loin le fournisseur historique de l’Algérie. Une «coopération-business» cinquantenaire –dont le volume ne cesse de s’accroître – avec le grand fabricant et exportateur d’armes de la planète. Une visite de… quatre jours (la deuxième du chef d’état-major de l’ANP en Russie après celle de mai 2005 qui, elle, a duré six jours !) qui n’a rien d’une balade de santé pour les membres de la délégation de l’armée algérienne qui, en plus du vice-ministre de la Défense, chef d’état-major, le général de corps d’armée, Ahmed Gaïd Salah, comportait les commandants de forces concernées par les achats, et le général-major Akroum, directeur central du matériel. C’est qu’il s’agit, d’après Akram Kharief, journaliste spécialiste des questions de défense, d’un contrat qui sera «probablement de l’ordre des précédents accords signés en 2007 avec la Russie évalué à 7 milliards de dollars, ou celui signé en 2010 avec l’Allemagne : 10 milliards de dollars». Passionné, Akram Karief traque, suit à la trace les dernières acquisitions de l’ANP. Trois jours après la visite, il donne le «carnet de commandes» de l’ANP : «Des S400 et des Tor pour la défense aérienne du territoire, sachant que l’Algérie, unique pays arabe possédant les S300PMU2, avait exprimé sa volonté d’augmenter le nombre de ses brigades Tor qui serviront à protéger à la fois les sites sensibles et les systèmes de DCA.» Les forces aériennes connaîtront aussi une «petite révolution avec la probable commande de deux à quatre escadrons de bombardiers tactiques à long rayon d’action Su32 (version export du Su34) et l’introduction de trois escadrons d’hélicoptères d’attaque lourds Mi 28. Véritable char volant, il permettra de renforcer la flotte vieillissante de Mi24MKII et s’occupera de la chasse aux terroristes dans le grand Sud algérien» (Le Soir d’Algérie du 28 octobre). La conclusion présumée de ce nouveau «gros» contrat, et son montant astronomique (entre 7 et 10 milliards de dollars) n’ont fait l’objet d’aucun commentaire ou communication de la part du ministère de la Défense nationale. Au 3e jour de sa visite, le général Gaïd Salah dira, en s’adressant au nouveau ministre de la Défense, Sergueï Choigou, (successeur d’Anatoli Serdioukov, limogé par le président Poutine en novembre 2012 suite à un scandale de corruption), toute sa «satisfaction que les programmes d’équipement, modernisation et maintenance de notre potentiel de combat conclus avec les firmes du complexe militaro-industriel s’exécute avec une cadence régulière hormis quelques difficultés ponctuelles que nous avons pu dépasser (…)». Allusion sans doute faite aux 34 avions de chasse MIG-29 défectueux et low-coast refourgués à l’Algérie avant leur renvoi à l’expéditeur pour leur remplacement par des Soukhoï SU-30 MKA. Un contrat de 1,3 milliard de dollars. « Bonne volonté, disponibilité et engagement. Ce sont les maîtres-mots qui guident notre relation avec nos amis russes», soulignait le général Gaïd Salah. Un quart de siècle après la chute du bloc de l’Est, Moscou, capitale de l’ex-empire soviétique, garde intact son potentiel de fascination sur les dirigeants de l’armée algérienne formés pour nombre d’entre eux dans les académies de guerre de l’ex-URSS travaillés par le mythe de l’Armée rouge. A 74 ans, le plus vieux soldat de l’ANP en exercice, vétéran de la guerre d’indépendance et de la guerre arabo-israélienne (1973), le général Gaïd Salah ne déroge pas à la règle. Diplômé de l’académie d’artillerie de l’Armée rouge de Vystrel dans l’Oral où il a séjourné entre 1969 à 1971, les penchants «russes» de Gaïd Salah irritent les capitales et chancelleries occidentales car «exclues» des gros marchés de l’ANP. Comme l’illustre ce câble diplomatique révélé par WikiLeaks (In El Pais, 16 décembre 2010) dont l’auteur n’est autre que l’ancien ambassadeur américain à Alger, Robert Ford. Rapportant les confidences de «cheikh Djabellah et d’autres sources», Ford le présente dans ce télégramme envoyé à sa hiérarchie le 19 décembre 2007) : «(…) As perhaps the most corrupt official in the military apparatus», autrement «l’officier le plus corrompu de l’institution militaire». | |
| | | Tayeb HDT
Messages : 8 Date d'inscription : 30/12/2013
| Sujet: Re: Actualités Economiques Mar 31 Déc - 20:14 | |
| Ces derniers jours, plusieurs articles de presse se sont lancés dans une posture de comptable boutonneux, l'armée Algérienne garante de l'indépendance et de la sécurité nationale serait selon ces auteurs trop dépensière sans que cela soit pleinement justifié, le tout mêlé à une pointe de suspicion.
J'aimerais rappeler à mes compatriotes qui pourraient trouver matière au questionnement que notre armée sortant vainqueur d'une guerre où les puissances étrangères avaient isolé notre pays, en nous infligeant un embargo militaire destiné à l'affaiblir, l'ANP a fait sa révolution et sa mutation professionnelle afin de pouvoir perfectionner le matériel on peut le dire plus que vieillissant et doter ses soldats des moyens de continuer la mission qui est la leur.
Certes les investissements sont colossaux mais le rattrapage était indispensable, vital. C'est à ce prix que l'Algérie vaincra ses ennemis de l'intérieur et insufflera la crainte à nos ennemis de l'extérieur, bailleurs de fond et idéologues des néo-Harkis. Nous sommes un pays entourés d'ennemis ne nous leurrons pas, tous ceux qui nous entourent ont dansé sur la tragédie qui nous à frappés, nous devons rester unis à l'ANP et ne pas se laisser instrumentaliser par ceux qui s'étonnent non innocemment du budget de la défense mais restent sans voix devant des scandales financiers de corruption avérés qui touchent l'exécutif Algérien.
On cherche à ternir l'image des valeureux soldats qui défendent le pays et qui meurent pour la nation mais les patriotes qui ne sont pas aveugles ne laisseront pas le mensonge insulter les martyrs. | |
| | | rimonidz Admin
Messages : 3054 Date d'inscription : 09/02/2012
| Sujet: Re: Actualités Economiques Mar 31 Déc - 20:39 | |
| - Tayeb a écrit:
- Ces derniers jours plusieurs articles de presse se lance dans une posture de comptable boutonneux, l'armée Algérienne garante de l'indépendance et de la sécurité nationale serait selon ces auteurs trop dépensière sans que cela soit pleinement justifié mêlé à une pointe de suspicion. J'aimerais rappelé à mes compatriotes qui pourraient trouver matière au questionnement que notre armée sortant vainqueur d'une guerre ou les puissances étrangères avaient isoler notre pays, en nous infligeant un embargo militaire destiné à l'affaiblir, l'ANP à fais sa révolution et sa mutation professionnelle afin de pouvoir continuer et perfectionné le matériel on peux le dire plus que vieillissant et doté ses soldats des moyens de continué la mission qui est la leur. Certes les investissements sont colossaux mais le rattrapage était indispensable, vital. C'est à ce prix que l'Algérie vaincra ses ennemis de l'intérieur et insufflera la crainte à nos ennemis de l'extérieur, bailleurs de fond et idéologue des néo-Harki. Nous sommes un pays entourés d'ennemis ne nous leurrons pas, tout ceux qui nous entourent ont dansés sur la tragédie qui nous à frappés, nous devons rester unis a l'ANP et ne pas se laissé instrumentalisé par ceux qui s'étonnent non innocemment du budget de la défense mais reste sans voix devant des scandales financiers de corruption avéré qui touchent l'exécutif Algérien, on cherche à ternir l'image des valeureux qui défendent et qui meurent pour la nation et ça les patriotes qui ne sont pas aveugles ne laisseront pas le mensonge insulté les martyrs.
j'ai lu le dossier du journaliste qui concerne les achats d'armements. plein d'approximations, de sous-entendus, une mauvaise connaissance des pourquoi et comment des contrats conclus. avec une forces aérienne algérienne réduite dans les années 90 en peau de chagrin, et un besoin urgent de la moderniser, il a fallut également anticiper les sauts technologiques radicaux que connait le domaine aéronautique : les nouveaux radars actif AESA qui diffèrent radicalement des radars mécaniques traditionnels, les LINK 16 de transmissions de données entre avions et centres de commandement, les nouveaux réacteurs, la furtivité croissante des nouvelles structures d'avions. idem pour la marine, des navires petits, obsolètes, il a fallut en urgence se doter de navires garantissant furtivité avec des lignes courbes, et matériaux absorbant, de nouvelles torpilles (les MU90), de nouveaux radars 3D, des missiles de nouvelle génération impossible à adapter sur les anciens navires. la défense aérienne ne reste pas en rade ; des S300 qui sont des missiles d'interception de théâtre conjoint de 150 à 200 kilomètres de portée. des systèmes de brouillage, de cryptage, des radars longue portée à saut de fréquences (plus de 04 modes). le journaliste en question a fait l'impasse absolut la dessus, avec une ignorance, une volonté de dénigrement, et une intention des plus obscure, ne prenant en compte ni le contexte actuel ; pays arabes déstabilisés, ni les saut technologique en armement "dit de rupture", ni la dimension du territoire national à défende (je n'ai même pas parlé des avions ravitailleurs, ni des drones). tout CES EFFORT ET SACRIFICES de l'ANP , pour permettre à notre journaliste d'être en paix et en sécurité, loin des dangers qui guettent notre pays (je reprend ici l'expression d'un forumiste algérien. ). moi j'appelle cela de l'ingratitude journalistique quant aux efforts de l'ANP et des services de sécurité pour garantir la paix et la stabilité de notre pays. moi je réitére ma confiance à l'ANP, en ses efforts méritoires et hautement patriotique pour défendre nos biens, nos familles, nos acquis, et surtout notre indépendance. | |
| | | boussouf Admin
Messages : 2099 Date d'inscription : 20/11/2011
| Sujet: Re: Actualités Economiques Jeu 2 Jan - 17:11 | |
| - Tayeb a écrit:
- Ces derniers jours, plusieurs articles de presse se sont lancés dans une posture de comptable boutonneux, l'armée Algérienne garante de l'indépendance et de la sécurité nationale serait selon ces auteurs trop dépensière sans que cela soit pleinement justifié, le tout mêlé à une pointe de suspicion.
J'aimerais rappeler à mes compatriotes qui pourraient trouver matière au questionnement que notre armée sortant vainqueur d'une guerre où les puissances étrangères avaient isolé notre pays, en nous infligeant un embargo militaire destiné à l'affaiblir, l'ANP a fait sa révolution et sa mutation professionnelle afin de pouvoir perfectionner le matériel on peut le dire plus que vieillissant et doter ses soldats des moyens de continuer la mission qui est la leur.
Certes les investissements sont colossaux mais le rattrapage était indispensable, vital. C'est à ce prix que l'Algérie vaincra ses ennemis de l'intérieur et insufflera la crainte à nos ennemis de l'extérieur, bailleurs de fond et idéologues des néo-Harkis. Nous sommes un pays entourés d'ennemis ne nous leurrons pas, tous ceux qui nous entourent ont dansé sur la tragédie qui nous à frappés, nous devons rester unis à l'ANP et ne pas se laisser instrumentaliser par ceux qui s'étonnent non innocemment du budget de la défense mais restent sans voix devant des scandales financiers de corruption avérés qui touchent l'exécutif Algérien.
On cherche à ternir l'image des valeureux soldats qui défendent le pays et qui meurent pour la nation mais les patriotes qui ne sont pas aveugles ne laisseront pas le mensonge insulter les martyrs. Bien dit cher compatriote tayeb Les chiens aboient et la caravane passe. Ils ont beau dénigrer l'ANP, ces journaleux ne tromperont pas grand monde. Notre peuple sait très bien que le problème n'est pas l'argent dépensé dans le cadre de la modernisation des forces armées et de sécurité. Pour un pays comme le nôtre avec 2 400 000 km2 et 6000 km à surveiller et à protéger, que représentent 12 milliards de dollars comparés à notre PIB qui est de 200 milliards de dollars ? Non, le vrai problème ce sont les 50 milliards de dollars d'importations de tout et de rien et le pourcentage de cette somme colossale (10 ou peut-être 20%) qui va dans les circuits de la corruption. Si on commençait déjà à produire ne serait que 20 % du volume de biens importés (c'est-à-dire environ 10 milliards de dollars), on économisera l'équivalent du budget de la Défense nationale ! La vérité qu'il ne faut pas cesser de clamer haut et fort est que notre ANP reste sous-armée en comparaison avec ses BESOINS de rééquipement et de modernisation et les DEFIS sécuritaires induits par la nouvelle conjoncture géostratégique régionale. | |
| | | boussouf Admin
Messages : 2099 Date d'inscription : 20/11/2011
| Sujet: Re: Actualités Economiques Jeu 2 Jan - 19:06 | |
| - Citation :
- La loi de finances 2014 par les chiffres
(APS) lundi 30 décembre 2013
ALGER- La loi de finances (LF) pour 2014, signé lundi par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, permettra la mise en œuvre de la dernière tranche des dépenses d’équipement inscrites dans le programme quinquennal 2010-2014.
Voici les chiffres clés de cette loi :
1- Le cadrage macroéconomique : La LF 2014 est basée sur :
- - Un prix de référence de pétrole de 37 dollars et d’un prix du marché à 90 dollars.
- - Un taux de change de 80 DA/dollar
- - Des exportations d’hydrocarbures de 57,4 milliards (mds) de dollars.
- - Des importations de 50 mds de dollars.
- - Une croissance économique de 4,5% et de 5,4% hors hydrocarbures.
- - Une inflation de 3,5%
2- Les dépenses :
- - Les dépenses projetées par la LF 2014 sont de 7.656,16 mds de DA, contre des dépenses de 6.879,8 mds DA dans la loi de finances (LF) pour 2013, soit une hausse de 11,28%.
- - Plus de 4.714,45 mds de DA de ces dépenses sont consacrés au fonctionnement, contre 4.335,6 mds DA en 2013, et 2.941,71 mds de DA, contre 2.544,2 mds DA en 2013, à l’équipement.
- - Les dépenses de fonctionnement projetées pour 2014 s’affichent ainsi en hausse de 8,7 % par rapport à 2013 alors que celles d’équipement sont en hausse de 15,6%. Les dépenses d’équipements sont réparties à raison de 2.050,34 mds de DA pour l’investissement et 891,36 mds de DA pour les opérations en capital.
Pour ce qui est de l’investissement, les crédits sont répartis comme suit :
- 781,6 mds de DA pour les infrastructures économiques et administratives 243,8 mds de DA pour l’éducation et la formation. 236,6 mds de Da pour la réalisation d’infrastructures socio-culturelles. 203,5 mds de DA pour l’agriculture et l’hydraulique. 127,5 mds de DA pour le soutien de l’accès à l’habitat 29,3 mds de DA pour le soutien aux services productifs. 2,8 mds de DA à l’Industrie. 65 mds de DA pour les PCD (Plans communaux de développement) 360 mds de DA pour des dépenses diverses.
Quant aux opérations en capital, elles portent sur :
- - Le soutien à l’activité économique (dotation des comptes d’affectation spéciale et bonification des taux d’intérêt) : 661,3 mds de DA
- - Programme complémentaire au profit des wilayas : 70 mds de DA
- - Provision pour dépenses imprévues : 160 mds de DA.
Les autorisations de programme ont été plafonnées à 2.744,3 mds de DA contre un plafond de 2.240,2 mds DA en 2013. Ces autorisations couvrent le coût des réévaluations du programme en cours et celui des programmes neufs susceptibles d’être inscrits au cours de 2014.
3- Les ressources :
- - Les ressources attendues sont par ailleurs de 4.218,18 mds de DA contre 3.820 mds de DA en 2013, soit une hausse de 10,4%.
Les ressources ordinaires sont de 2.640,45 mds de DA, contre 2.204,1 mds DA en 2013. La fiscalité pétrolière budgétisée pour 2014 s’élève à 1.577,7 mds de DA (1.615,9 mds DA en 2013). Le déficit budgétaire prévu pour 2014 est de 3.438 mds de DA (45 milliards de dollars), contre un déficit de 3.059,8 mds DA en 2013. Le texte prévoit une croissance de 4,5% (contre 5% en 2013) et une inflation de 3,5% (4% en 2013).
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| | | Zoubir8 Commandant
Messages : 1597 Date d'inscription : 11/04/2012 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Actualités Economiques Lun 20 Jan - 0:40 | |
| DJOUDI METAL SUR LE JOURNAL TÉLÉVISÉ CANAL ... - YouTube► 1:38► 1:38 Bravo à ces investisseurs privés qui investissent dans la production nationale et embauchent des jeunes. www. youtube.com/watch?v= P- aGzFxaNNY3 déc. 2013 - Ajouté par djoudimetal | |
| | | samir_reghaia Sous lieutenant
Messages : 849 Date d'inscription : 05/12/2012
| Sujet: Re: Actualités Economiques Mar 21 Jan - 14:30 | |
| Espérons que ça se concrétise et que ça marche bien sur le long terme. - Citation :
- JIJEL : Signature des statuts de la nouvelle société de sidérurgie algéro-qatarie
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le 20.01.14 | 16h15 1 réaction
Une cérémonie de signature des statuts de la nouvelle société mixte algéro-qatarie, qui réalisera le complexe sidérurgique de Bellara dans la commune d’El Milia (wilaya de Jijel), a été organisée ce lundi au siège de la wilaya en présence des autorités locales.
Cette signature des statuts intervient un mois après la signature du contrat de manière officielle à Alger. Le président du conseil d’administration du groupe Sider, Chihoub Hasnaoui, le président de Qatar Steel, Ali Hassan Jomaa Mohamed El Merikhi et le directeur général du fonds national de l’investissement, Ahcène Haddad, ont donc paraphé la naissance de cette nouvelle société.
Le qatari Abdellah Ali Abdellah Shaâr Al Bouainine a été désigné premier président-directeur général de la nouvelle société détenue à 51% par des capitaux publics nationaux et 49% pour la partie qatarie.
Le futur complexe devrait produire à partir de 2017, 2 millions de tonnes d’acier par an, une capacité qui devrait se hisser pour atteindre 4 millions t/an et enfin 5 millions t/an, en phase finale.
http://www.elwatan.com/economie/jijel-signature-des-statuts-de-la-nouvelle-societe-de-siderurgie-algero-qatarie-20-01-2014-242784_111.php | |
| | | berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
| Sujet: Re: Actualités Economiques Sam 25 Jan - 14:06 | |
| Le secteur automobile dans l’embarras Une très bonne initiative .. La loi de finances 2014 contraint les concessionnaires et les importateurs de véhicules à investir dans une activité industrielle ou de service en lien direct ou indirect avec l’industrie automobile. - Citation :
- Par quelques mesures contenues dans la loi de finances 2014, le gouvernement compte se lancer dans l’aventure de l’industrie automobile. La loi de finances 2014 contraint les concessionnaires et les importateurs de véhicules à investir dans une activité industrielle ou de service en lien direct ou indirect avec l’industrie de l’automobile. Ces derniers ne disposent que d’un court délai de trois années. Dans sa quête pour soutenir l’investissement productif, promouvoir la production nationale et favoriser la création d’emplois, ladite loi budgétaire prévoit l’exonération des véhicules et des remorques produits localement de la taxe sur les transactions de véhicules neufs.
Pour l’Exécutif, c’est aussi un moyen de faire pousser une pépinière de sous-traitants à l’usine Renault Algérie, dont l’implantation est à Oued Tlélat (Oran). Les dispositions en question de la loi de finances 2014 devraient faire émerger une industrie automobile — ou du moins ses prémices — dans un délai de trois années. Cela en ferait l’énième tentative du gouvernement à même de réguler les importations de véhicules. L’autre objectif étant de réorienter par là même les gains des concessionnaires vers l’investissement productif. D’une pierre trois coups : la loi de finances 2014 cible l’investissement privé dans la carrosserie, tisse une toile de sous-traitants et tente à nouveau de réguler le métier de l’importation de véhicules. Cependant, les délais sont très serrés. Les concessionnaires affichent une adhésion prudente au projet du gouvernement. Pour Abderrazzak Lachachi, président de l’Association des concessionnaires algériens de l’automobile (AC2A), «dire qu’on verra les prémices d’une industrie automobile dans un laps de temps de trois années c’est aller trop vite en besogne». D’après lui, bien que le secteur de l’industrie automobile manque d’une vision claire et d’une stratégie globale, il est nécessaire que le ministère de l’Industrie fixe le cap à travers des textes d’application complétant les dispositions de la loi de finances 2014. «Nous nous attendons à ce que le ministère de l’Industrie établisse les cahiers des charges qui comprendront et clarifieront toutes ces questions abordées par la loi de finances 2014», plaide le porte-parole des concessionnaires automobiles algériens. Certes, les mesures comprises dans la loi de finances 2014 sont en soi un appel à manifestation d’intérêt mais les gros projets dans le domaine de l’automobile «nécessitent un engagement si important, des investissements de taille et des avantages fiscaux et financiers au profit des investisseurs», estime le président de l’AC2A, précisant, sans vouloir se désintéresser, que l’industrie de la carrosserie «est un nouveau métier» pour les concessionnaires, voire une activité «complexe». Si le message de la loi budgétaire fondamentale est sans doute positif, il gagnerait à accompagner son écrit par des mécanismes concrets. Il est aussi temps qu’il passe aux travaux pratiques. http://www.elwatan.com/economie/le-secteur-automobile-dans-l-embarras-25-01-2014-243319_111.php | |
| | | berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
| Sujet: Re: Actualités Economiques Sam 25 Jan - 14:11 | |
| Rachat du français fagor-brandt : Cevital dispose des fonds nécessaires La prospection de nouveaux investissements à l’étranger semble réussir à Cevital qui est sur le point de racheter le groupe Fagor-Brandt en faillite en France, après la reprise en juin 2013 du groupe Oxxo spécialisé dans les fenêtres en PVC.Issad Rebrab, PDG du groupe Cevital, a également clarifié la question du transfert de fonds et celle de l’aval de la - Citation :
- Banque d’Algérie. En effet, s’il subsistait des doutes sur la possibilité de transfert de devises pour effectuer la transaction, M. Rebrab les a levés en affirmant qu’il n’avait pas besoin du quitus de la Banque d’Algérie pour cette affaire. Dans une déclaration au site d’information Algériepatriotique, M. Rebrab affirme que «le groupe Cevital dispose de fonds nécessaires pour le rachat de l’entreprise Fagor-Brandt en difficulté en France» et «n’a pas besoin de faire appel à la Banque d’Algérie pour cette transaction». Une précision de taille qui a été immédiatement répercutée par la presse en France, permettant de tranquilliser les vis-à-vis de Rebrab et notamment les syndicats français quant à la solidité de la seule offre susceptible de sauver plusieurs usines et des centaines d’emplois menacés et pour laquelle Cevital aurait proposé quelque 100 millions d’euros.
Selon d’autres déclarations rapportées par la presse, M. Rebrab aurait affirmé disposer plus globalement de 1,5 milliard d’euros de fonds propres pour racheter des entreprises en difficulté. Pour l’affaire en cours, l’AFP rapporte que les rumeurs sur les difficultés que pourrait rencontrer Cevital à transférer des fonds en France ont été abordées par des élus des régions concernées, mais souligne qu’ils ont été rassurés après une réunion avec le ministre français du Redressement productif, Arnaud Montbourg, qui soutient l’offre de Cevital et qu’il a qualifié de «groupe sérieux». Ayant présenté une offre supérieure à celles de ses concurrents pour reprendre 1200 salariés, sur les 1800 que compte le groupe Fagor-Brandt, et plusieurs sites de production en France et à l’étranger, M. Rebrab se fait une place en France mais aussi en Europe et gagne d’ores et déjà en notoriété. En plus de la majorité des sites en France, Cevital veut reprendre aussi les filiales de Fagor-Brandt au Royaume-Uni, en Suisse et à Singapour, ainsi que des actifs de Fagor à l’étranger. L’AFP précise que les postulants à la reprise de Fagor-Brandt, dont Cevital, «doivent présenter leurs projets la semaine prochaine aux représentants des salariés et organisations syndicales, au siège de Fagor-Brandt à Rueil-Malmaison, près de Paris». Les syndicats de deux sites français non retenus dans l’offre de rachat présentée par M. Rebrab espèrent toujours une prise en considération de leurs cas. Le 13 février prochain un tribunal doit statuer sur l’offre présentée par Cevital et de ses concurrents et décider des suites à donner au projet de reprise. http://www.elwatan.com/economie/rachat-du-francais-fagor-brandt-cevital-dispose-des-fonds-necessaires-25-01-2014-243322_111.php | |
| | | samir_reghaia Sous lieutenant
Messages : 849 Date d'inscription : 05/12/2012
| Sujet: Re: Actualités Economiques Lun 27 Jan - 8:59 | |
| - Citation :
- Les investissements déclarés en Algérie ont atteint 22.5 milliards de dollars en 2013
Le montant des projets d'investissements déclarés en partenariat avec des étrangers est estimé à 4,5 mds de dollars, selon l’ANDI. Les investissements déclarés en 2013 auprès de l'Agence nationale de développement de l'investissement (ANDI) ont atteint 1.716 milliards de DA (plus de 22,5 milliards de dollars), contre 816 milliards de DA en 2012, en hausse de 110%, a-t-on appris dimanche auprès de cette agence. Les investissements déclarés durant l'année dernière ont connu des hausses "sensibles" en termes de valeur, de projets et d'emplois créés, comparativement à 2012, selon l'ANDI. Le nombre de projets est passé de 7.715 à 8.895, en hausse de 15%, a souligné l'ANDI qui table sur la création de 149.000 nouveaux postes d'emplois, en augmentation de 63%. S'agissant des projets d'investissements déclarés en partenariat avec des étrangers, leur nombre a presque quadruplé passant de 17 à 65 projets en 2013, en hausse de 282% par rapport à 2012 pour un montant de 331,8 mds DA (4,5 mds de dollars) et devraient créer 17.082 nouveaux postes de travail. http://www.elwatan.com/une/les-investissements-declares-en-algerie-ont-atteint-22-5-milliards-de-dollars-en-2013-26-01-2014-243520_108.php | |
| | | samir_reghaia Sous lieutenant
Messages : 849 Date d'inscription : 05/12/2012
| Sujet: Re: Actualités Economiques Ven 31 Jan - 13:47 | |
| - Citation :
- L’Algérie compte investir plus de 5 milliards de dollars pour produire du plastique à Skikda
Les contrats relatifs à la réalisation du nouveau complexe seront conclus prochainement.
Un méga complexe pétrochimique d'une capacité de production annuelle de 3 millions de tonnes sera construit à Skikda pour remplacer le complexe des matières plastiques, a annoncé jeudi le ministre de l’Energie et des Mines, Youcef Yousfi.
Ce futur complexe, dont les travaux de construction devraient être entamés d’ici début 2015 au plus tard, "sera l'un des plus grands en Algérie avec un investissement de 5 à 10 milliards de dollars", a-t-il déclaré à la presse au terme d’une visite d’inspection dans la wilaya de Skikda. Il produira notamment du plastique et du caoutchouc, a précisé le ministre, soulignant que les contrats relatifs à sa réalisation seront conclus prochainement.
Selon le ministre, l’usine de matières plastiques de Skikda a été fermée car "elle représentait des risques". M. Yousfi avait également affirmé que le groupe Sonatrach a décidé de fermer le complexe des matières plastiques de Skikda pour absence de rentabilité.
Le ministre qui s'exprimait au cours d'une séance de questions orales au Conseil de la Nation avait assuré, en novembre dernier, que les travailleurs de cette usine seront répartis sur les autres sites de production du groupe.
M. Yousfi a, par ailleurs, indiqué que la remise en production du méga train de GNL de Skikda après 10 ans d’arrêt suite à un incident permettra de "renforcer les capacités d’exportation du groupe Sonatrach". Le groupe Sonatrach, a-t-il poursuivi, procédera prochainement à la construction d’une nouvelle jetée au niveau du port de Skikda pour pouvoir recevoir les navires de transport de très grande taille. http://www.elwatan.com/une/l-algerie-compte-investir-plus-de-5-milliards-de-dollars-pour-produire-du-plastique-a-skikda-30-01-2014-244022_108.php 5 ou 10 milliards??? | |
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