La liste des terroristes que Rached Ghannouchi a envoyés en Syrie
Lundi 26 Novembre 2012
Tunisie : Rached Ghannouchi, en étroite collaboration avec les
Services britanniques et israéliens, enrôle de jeunes tunisiens pour les
envoyer tuer et se faire tuer en Syrie. En contrepartie de ce Djihad,
la promesse anglo-américaine de maintenir Ennahda au pouvoir.
C’est Bachar Jaafari, l’ambassadeur de la République arabe
syrienne auprès de l’ONU, qui a communiqué, en mai dernier, cette liste
de 26 terroristes étrangers au Secrétaire général des Nations Unies
ainsi qu’au président du Conseil de sécurité. Sur les 26 criminels, 20
appartiennent à Al-Qaïda dont 19 sont de nationalité tunisienne. Aux 17
Tunisiens cités à la fin de cet article, il manque deux, qui ont pris
les précautions de faire disparaitre leurs passeports.
La Tunisie, premier exportateur de terroristes Tunisie-Secret a déjà révélé qu’à la bourse du terrorisme
international, les Tunisiens étaient bien cotés, et pas seulement depuis
la « révolution du jasmin » (voir l’article de Nebil B.Y, « Les
Tunisiens classés en tête des peuples qui menaceraient la France »).
Mais c’est après le coup d’Etat americano-qatari du 14 janvier 2011 que
la Tunisie est devenue premier exportateur, non point d’huile d’olive,
de dattes ou de matière grise, mais de djihadistes tout aussi fanatisés
que les Talibans d’Afghanistan. La plupart de ces « guerriers de
l’islam » sont des criminels successivement libérés par Farhat Rajhi, à
la demande expresse de Sihem Ben Sédrine et Radhia Nasraoui, et par
Moncef Marzouki, sous l’injonction de Rached Ghannouchi. Certains ont
été enrôlés dans l’armée des mercenaires et les autres ont disparu dans
la nature pour reprendre en toute impunité leurs activités criminelles.
Depuis ces amnisties au nom des droits de l’homme, il y a en Tunisie
entre 2 et 8 meurtres commis par semaine dont aucun media local ne
parle. Le dernier en date (20 novembre) étant celui d’un père de famille
dans la ville du Kram, trouvé égorgé et jeté sur les rails du TGM au
niveau de la station L’aéroport. Le plus grand nombre de ces criminels
ont été envoyés d’abord en Libye, ensuite en Syrie par les frontières
turques et libanaises. En août 2012, sur les 107 mercenaires tués par
l’armée nationale syrienne à Alep, 48 étaient de nationalité tunisienne.
Selon Al-Manar infos du 31 août 2012, les autres nationalités sont
libyenne, libanaise, palestinienne, saoudienne et yéménite. http://www.almanar.com.lb/french/adetails.php?eid=77041&cid=18&fromval=1
Et sur les 63 terroristes éliminés par l’armée nationale syrienne en
juillet 2012, 34 étaient des Tunisiens âgés entre 23 et 42 ans, dont
Marwane le « chahid » (martyr) dont la mère est fière (vidéo
ci-dessous). Une mère tunisienne fière de son fils de 25 ans, envoyé en
terre arabe pour égorger des femmes et des enfants syriens au nom de
l’islam !
Saïd Ferjani et Abdelhakim Belhadj, stratèges de l’islamo-sionisme Après un mois d’endoctrinement idéologique et d’entrainement
paramilitaire assurés par des cadres d’Ennahda et des émirs du « Groupe
islamique combattant » libyen, ces criminels sont envoyés par avion en
Turquie, où ils reçoivent le détail de leur mission djihadiste avant de
pénétrer les territoires syriens par les frontières turques. Deux
« guides » sont chargés du recrutement, de l’endoctrinement et de
l’entrainement de ses terroristes : le tunisien Saïd Ferjani, ancien
sous-officier de l’armée tunisienne impliqué dans le coup d’Etat raté du
9 novembre 1987, et ex-bras droit de Rached Ghannouchi à Londres, et le
libyen Abdelhakim Belhadj, membre actif d’Al-Qaïda, impliqué dans
l’attentat du 11 mars 2004 à Madrid et « libérateur » de Tripoli sous le
commandement « philosophique » de Bernard-Henri Lévy ! Selon les
interrogatoires de ces terroristes par la police syrienne, l’opération
est financée par des fonds qataris et saoudiens en étroite collaboration
avec les services anglais et américains. Le but de l’opération, semer
la terreur parmi les populations civiles avec des crimes d’une extrême
barbarie, que la chaîne de propagande Al-Jazeera attribue bien
évidemment à l’armée nationale syrienne, et commettre des attentats
contre les institutions étatiques syriennes pour impressionner le
gouvernement et déprimer le peuple.
Mohammad Walid
Al-Assadi, un réfugié palestinien au Liban, arrêté en Syrie pour y avoir
commis des actes terroristes a avoué avoir subi un entrainement dans
des camps du courant salafistes takfiris à Saida, financé par l’Arabie
saoudite et le Qatar : « le financement venait de l’Arabie saoudite et
du Qatar et il était assez suffisant pour que n’ayons pas besoin de
travailler et pour être à leur disposition quand ils nous le demandent
». Il signale avoir dans un premier moment combattu à Tripoli, contre le
quartier alaouite de Bab Mohsen, avoir séjourné à Tozeur, avant d’être
envoyé en Syrie, en compagnie de 15 autres jeunes hommes libanais et
palestiniens et où on l’a sommé d’effectuer un attentat suicide dans la
ville de Lattaquié.
Rached Ghannouchi, serviteur d’Allah…et de la British Armed Forces Comme en Tunisie, en Libye, en Egypte et au Yémen, les événements en
Syrie ont commencé par une offensive virtuelle sur le Web à laquelle les
cyber-collabos tunisiens avaient activement pris part. Les mêmes
techniques de désinformation et d’amplification acquises dans les
multiples stages de formation américaines ont été utilisées avec
l’assistance technique et médiatique d’Al-Jazeera.
Comme
la Syrie n’a pas été déstabilisée, grâce à la résistance de son peuple
et à la maturité de sa jeunesse, les impérialo-sionistes ont décidé de
confier la sous-traitance de cette conspiration à leurs valets
islamistes. Le deal, on vous maintient au pouvoir et en contrepartie
vous nous aidez à « libérer » la Syrie. Le premier à avoir répondu à cet
appel du « devoir » est Rached Ghannouchi. Avec le Qatar, la Tunisie a
été en effet le premier pays arabe à expulser l’ambassadeur de Syrie en
Tunisie. Toujours avec le Qatar, elle a été le premier pays arabe à
accueillir le fameux « Conseil national syrien » avec à sa tête Burhan
Ghalioun. Mais le plus important n’est pas dans ce genre d’initiatives
assumées et publiquement affichées, mais dans les missions secrètes que
les services britanniques ont confiées au chef d’Ennahda, notamment la
fusion entre l’ASL (Armée libre syrienne) et le MOL (Mouvement des
officiers libres), le 23 septembre 2011, quelques jours après le
kidnapping du lieutenant-colonel Hussein Harmouch, qui avait d’ailleurs
refusé toute collaboration avec les Frères musulmans syriens.
Liste des mercenaires du Qatar, d’Arabie Saoudite et d’Israël en Syrie Souhaïl Sakasli, né en 1986 à Bizerte, électricien, entôlé dans Al-Qaïda
Majdi Ayar, né en 1985 à Mateur, chauffeur de camion, enrôlé dans Al-Qaïda
Mohamed Trabelsi, né en 1984 à Bizerte, boutiquier, condamné en Tunisie en 2006
Oussama Hedhili, né en 1986 à Menzel Bourguiba, étudiant, université Zaytouna
Walid Daffar, né en 1985 à Kairouan, étudiant ENIT
Sami Kamil, né en 1990 à Sousse, étudiant Beaux Arts
Bilel Ayari, né en 1989 à Tunis, sans diplômes et chômeur
Ridha Bey, né en 1988 à La Marsa, étudiant en communication
Mohamed Dhifallah, né en 1986 à Ben Guerdane, ouvrier
Wissem Hlima, né en 1992, profession libérale
Romdane Soltani, né en 1973 à Tunis, vendeur d’habits
Messaoud Ghouma, né en 1988 ( ?), profession libérale, condamné en Tunisie en 2007
Walid Fadhl, né en 1987, commercial, condamné en Tunisie en 2007-2009
Bilel Marzouki, né en 1980 à Tunis, ouvrier, condamné en Tunisie à trois ans
Haykel Touiti, né en 1986 à La Marsa, ouvrier, condamné en 2008
Okba Gasri, né en 1984 à Tunis, étudiant en technologie, condamné à 4 ans
Amine Necibi, né en 1983 à Sidi Bouzid, électronicien, condamné en 2008
Le gouvernement syrien estime le nombre de djihadistes-terroristes
tunisiens présents sur les territoires syriens à plus 800 personnes. Le
nombre de terroristes faits prisonniers à 164. Le nombre de terroristes
tués par l’armée nationale syrienne à 98 personnes. Aucun média tunisien
n’a jusqu’à présent parlé de ces « martyrs » du « printemps arabe » !
http://www.tunisie-secret.com Karim Zemerli et Nabil B.Y