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| Actualités Economiques | |
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+19su30mka chega habiban Tayeb Algerian fighter one DR LECTER raptordz ammari kamel philipides7 samir_reghaia rimonidz yak Zoubir8 raptor13 berhoum faty boussouf houaridz Rebell 23 participants | |
Auteur | Message |
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raptor13 Capitaine
Messages : 1257 Date d'inscription : 31/05/2012
| Sujet: Re: Actualités Economiques Dim 17 Mar - 21:49 | |
| je sais pas metre les video ou autre vous mexcuser je suis pas tres fort en infomatique | |
| | | Rebell banni
Messages : 7649 Date d'inscription : 21/09/2012
| Sujet: Re: Actualités Economiques Dim 17 Mar - 22:03 | |
| mais comment il peuvent manger draham hram franchement je comprend pas kan tu sais que tu va mourir et que tu va rendre des compte au seigneur comment tu peut manger quelque chose de voler et qui tapartiens pas il faut comencer une grande éducation des jeune et profonde pour évité ce genre de grave erreur plus tard | |
| | | ammari kamel Caporal chef
Messages : 156 Date d'inscription : 29/11/2012
| Sujet: Re: Actualités Economiques Lun 18 Mar - 1:33 | |
| - Rebell a écrit:
- mais comment il peuvent manger draham hram franchement je comprend pas kan tu sais que tu va mourir et que tu va rendre des compte au seigneur comment tu peut manger quelque chose de voler et qui tapartiens pas il faut comencer une grande éducation des jeune et profonde pour évité ce genre de grave erreur plus tard
sincerement ses gean la mange les bien du peuple ,laissant les toi des vieille maison tomber sur leurs tete , le sud a l'abandon c'est pour sa ils ont pas le temp , ils ont mieux a faire , heureusement pas tous, moi je dit que ce fléau releve de la plus haute trahison qui met le pays a genou , est plonge la population dans la pauvrete qui menent a la delinquance drog prostitution terorisme, je dirais que les coupable soi condamne a mort leurs punition est a la hauteure de la ruin causer au pays , pour que sa servira de lecon au autre , on ne permet pas le pillage du pays au profil de quelqu'un au détriment de toute la population , prendre le pouvoire c'est un devoire de respensabilite est non les clef du pillage . | |
| | | Rebell banni
Messages : 7649 Date d'inscription : 21/09/2012
| Sujet: Re: Actualités Economiques Lun 18 Mar - 2:02 | |
| oui condamné a mort sur la place public mais le problème c que on sais pas c qui..même les plus haut sont corrompue..je sai pas quoi faire | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités Economiques Lun 18 Mar - 16:45 | |
| Réserves d’or L’Algérie à la 24e place mondiale - Citation :
L’Algérie détenait 173,6 tonnes d’or à la fin du mois de septembre 2012. Les Etats-Unis sont à la première place avec 8133,5 t, suivis de l’Allemagne avec 3395,5 t et du FMI avec 2914 t. Viennent ensuite dans ce classement l’Italie avec 2451,8 t, la France avec 2435,4 t et la Chine avec 1054,1 t. L’Arabie Saoudite est 16e avec 322,9 t, le Liban 19e avec 296,8 t, l’Afrique du Sud 29e avec 125 t, la Libye 30e avec 116,6 t,le Koweït 37e avec79 t et l’Egypte 39e avec 75,6 t.
La quantité d’or que détient l’Algérie n’est pas différente de celle comptabilisée au mois d’août 2011, qui était déjà de 173,6 t et représentait 4,5% par rapport aux réserves du Foreign Exchange (Forex) ou le marché des changes. En septembre 2012, le volume de l’or algérien représentait 5% du Forex. Les réserves d’or représentent un bon fonds de garantie pour leur détenteur en cas de crise. Le Conseil mondial de l’or est une association de 23 membres considérés comme leaders dans l’industrie. Ils représenteraient environ 60% de la production mondiale d’or. www.elwatan.com/actualite/l-algerie-a-la-24e-place-mondiale-18-03-2013-207058_109.php |
| | | faty Colonel
Messages : 3229 Date d'inscription : 08/04/2012
| Sujet: Re: Actualités Economiques Lun 18 Mar - 18:15 | |
| Dette : les lingot d'or du FMI - Citation :
- Le Fonds monétaire international (FMI) va casser sa tirelire. Les
pays du G7 ont annoncé fin juin qu'ils allaient procéder à de nouvelles annulations de dette des pays les plus pauvres. Elles seront partiellement financées par la vente d'une partie du stock d'or du Fonds. Celui-ci disposerait-il d'un trésor caché, sous la forme d'un magot d'or, dont il viendrait d'accepter de lâcher une part?Pour savoir d'où vient cet or, il faut faire un peu d'histoire. Le FMI a été créé en 1944, dans un système monétaire international où l'or jouait encore un rôle important. Pour devenir membre de l'institution, chaque pays devait payer sa quote-part à 75% dans sa propre devise et à 25% en or. Mais les Etats-Unis ont décidé, au début des années 70, de cesser de rattacher le dollar à l'or. Le recul du rôle international du métal doré a alors été rapide et officialisé en 1976 par les accords de la Jamaïque. A partir de 1978, l'obligation de verser une partie de la quote-part en or a disparu.Le FMI s'est alors retrouvé à la tête d'un stock d'or d'une valeur, estimée au prix du marché, de 28 milliards de dollars en mai 1999, qui contribue à garantir sa solidité financière. Il a fallu que 85% des actionnaires du FMI s'accordent pour qu'il puisse procéder à la vente de son or. 2,6 milliards de dollars seront utilisés pour alléger la dette des plus pauvres. Ce qui laisse encore des marges de manoeuvre pour d'autres opérations. | |
| | | faty Colonel
Messages : 3229 Date d'inscription : 08/04/2012
| Sujet: Re: Actualités Economiques Lun 18 Mar - 18:22 | |
| Elles permettent d’avoir une position honorable dans le concert des nations Où sont stockées les réserves d’or de l’Algérie ? - Citation :
- Selon le dernier rapport du Conseil mondial de l’or,
l’Algérie dispose de 4,4% des réserves mondiales de l’or. Ce rapport a classé l’Algérie à la 22e place au niveau international et en troisième position dans la région arabe, après l’Arabie Saoudite et le Liban. L’Algérie garde ainsi intactes ses réserves aurifères depuis 20 ans, contrairement à d’autres pays arabes, tels que l’Arabie Saoudite (14s place mondiale) et le Liban (16e place mondiale), disposant respectivement de 339,6 tonnes et 286,8 tonnes, qui ont dû vendre une partie de cette richesse.
Le rapport du Conseil mondial de l’or souligne également que les Etats-Unis maintiennent leur plus grande réserve d’or au monde avec plus de 8133,5 tonnes d’or.
Les stocks présents en l’Algérie vont être appelés à augmenter suite à une recrudescence des opérations d’exploration engagées dans le sud du pays. Avant la publication de ce rapport, le ministre algérien de l’Energie et des Mines, Youcef Yousfi, avait déclaré que l’Algérie a une exploitation de cinq tonnes par an pendant 20 ans. Il a souligné que ce chiffre concerne les réserves prouvées et que les vrais chiffres pourraient être beaucoup plus impressionnants.
De l’avis des experts à la Banque d’Algérie, ces réserves d’or permettront à l’Algérie d’avoir une position honorable dans le concert des institutions d’émissions de la planète, notamment au regard des incertitudes qui pèsent sur les principales devises et de la tendance haussière qui caractérise l’or depuis le début de la crise financière mondiale. L’once d’or se négocie actuellement à 1 610 dollars sur les places boursières. Les stocks de l’Algérie en or sont appelés à augmenter à la faveur de la multiplication des opérations d’exploration engagées dans le sud du pays.
Mais est-ce que cette richesse est toute conservée en Algérie ou bien serait-elle hébergée totalement ou en partie dans des pays tiers comme c’est le cas de la plupart des 200 milliards de réserves de change qui sont convertis en bons de Trésor américain et dans certaines places banquières européennes. A défaut d’informations fiables à ce sujet, des analyses recoupées considèrent que les réserves algériennes en or sont déposées pour la plupart au niveau des institutions de Bretton Woods (Le FMI et la Banque mondiale). L’Algérie finance ainsi le capitalisme mondial, l’économie mondiale alors que son économie est limitée à l’exploration de la ressource fossile que sont les hydrocarbures.
Dans un contexte de crise économique, les réserves d’or détenues par les banques centrales des pays prennent une dimension particulière. Ce sont ces réserves d’or qui vont garantir et légitimer la richesse et la puissance économique d’un pays et «l’assurer» en cas d’effondrement du système.
Tendance au rapatriement des réserves
En théorie, si un pays conserve son or dans ses propres réserves, il est totalement indépendant vis-à-vis de ses réserves, il en garantit lui-même l’authenticité et la sécurité. C’est justement cette question de sécurité qui peut représenter un risque selon le contexte. Ainsi, «héberger» ses réserves d’or dans un pays tiers peut-être une façon de mettre à l’abri l’or du pays en cas de conflit. L’Allemagne (la RFA à l’époque) durant la guerre froide a envoyé son or dans des pays tiers (à l’abri de la Banque centrale américaine notamment) de peur que les Russes s’en emparent. Mais 60 ans plus tard, la question se pose actuellement sur l’état des réserves d’or du pays.
L’Allemagne souhaite refaire auditer ses réserves d’or pour savoir précisément à combien elles s’évaluent, et pourquoi pas, les faire rapatrier à la maison, comme l’a fait récemment le Venezuela. Le pays d’Hugo Chavez a décidé de se désamarrer de tout ce qui symbolise l’hégémonisme du capitalisme international, à savoir les institutions de Bretton Woods et l’OMC, pour se redéployer en direction des pays du Sud qui militent contre l’hégémonisme du capitalisme mondial et ses instruments financiers.
L’Algérie qui a d’énormes capacités minières et financières, outre la superficie et une main-d’œuvre peine à exploiter ses atouts en raison des obstacles qu’elle a contribué à se créer. L’exemple le plus édifiant est sans contexte l’arsenal juridique qui ligote les pouvoirs publics et qui a été légué par Chakib Khalil. Un héritage qui prend du temps à se réformer pour des raisons qui demeurent obscures.
Kamel Aït Bessaï http://www.algerienews.info/ou-sont-stockees-les-reserves-dor-de-lalgerie/
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| | | Rebell banni
Messages : 7649 Date d'inscription : 21/09/2012
| Sujet: Re: Actualités Economiques Lun 18 Mar - 19:08 | |
| hmiiirrrrrrr!!!!!!!! quel richesse?? on a plus de richesse... | |
| | | Rebell banni
Messages : 7649 Date d'inscription : 21/09/2012
| Sujet: Re: Actualités Economiques Mar 19 Mar - 1:48 | |
| A la une Actualité Réserves d’or L’Algérie à la 24e place mondiale le 18.03.13 | 10h00 2 réactions Imprimer Envoyer à un ami Flux RSS Partager L ’Algérie occupe la 24e place dans le classement mondial des pays détenteurs de réserves en or, selon des statistiques du Conseil mondial de l’or. L’Algérie détenait 173,6 tonnes d’or à la fin du mois de septembre 2012. Les Etats-Unis sont à la première place avec 8133,5 t, suivis de l’Allemagne avec 3395,5 t et du FMI avec 2914 t. Viennent ensuite dans ce classement l’Italie avec 2451,8 t, la France avec 2435,4 t et la Chine avec 1054,1 t. L’Arabie Saoudite est 16e avec 322,9 t, le Liban 19e avec 296,8 t, l’Afrique du Sud 29e avec 125 t, la Libye 30e avec 116,6 t,le Koweït 37e avec79 t et l’Egypte 39e avec 75,6 t. La quantité d’or que détient l’Algérie n’est pas différente de celle comptabilisée au mois d’août 2011, qui était déjà de 173,6 t et représentait 4,5% par rapport aux réserves du Foreign Exchange (Forex) ou le marché des changes. En septembre 2012, le volume de l’or algérien représentait 5% du Forex. Les réserves d’or représentent un bon fonds de garantie pour leur détenteur en cas de crise. Le Conseil mondial de l’or est une association de 23 membres considérés comme leaders dans l’industrie. Ils représenteraient environ 60% de la production mondiale d’or. http://www.elwatan.com/actualite/l-algerie-a-la-24e-place-mondiale-18-03-2013-207058_109.php | |
| | | Rebell banni
Messages : 7649 Date d'inscription : 21/09/2012
| Sujet: Re: Actualités Economiques Mar 19 Mar - 1:59 | |
| voila une excellente nouvelle et franchement il était temp Production du maïs pour réduire les importations l’Algérie défie le marché mondial, mais à quel prix? Lancée en 2011 à titre expérimental dans des régions du sud et des hauts-plateaux, la culture du maïs est en phase de domestication en Algérie. Sur la base des études d’impact qui ont été menées ces dernières années, l’Institut technique des grandes cultures (ITGC) soutient énergiquement l’option d’aller vers l’intensification de la culture du maïs, qui semble jouir de potentialités pour être une filière économiquement viable en Algérie. A présent, la superficie mobilisée pour cette culture céréalière est sur le point d’être élargie, font savoir des cadres de l’ONAB (office national des aliments de bétail). De 500 hectares en 2011, elle passera à 1200 ha en 2012, avant d’atteindre 10000 ha cette année (2013). Comme cela a toujours été le cas lorsque les pouvoirs publics affichent la volonté de booster une production agricole de large consommation, des mesures attractives viennent d’être arrêtées dont la finalité est d’inciter les agriculteurs à s’orienter vers la culture du maïs. A cet égard, l’ONAB, qui joue le rôle de régulateur de la filière de l’approvisionnement et production des aliments de bétail, propose un prix de 4500 DA/quintal pour l’achat de la production en maïs auprès des agriculteurs. En outre, d’autres mesures d’appui et d’accompagnement à l’amont sont envisagées (crédits d’exploitation, facilité d’accès à l’acquisition du matériel agricole, entre autres). Matière première largement utilisée dans la production d’aliment de bétail et de volaille, le maïs occupe une part importante dans la structure des importations céréalières de l’Algérie depuis des années. Les besoins exprimés sont estimés à 30 millions de quintaux par année. Les objectifs tracés en la matière, c’est d’aller vers l’intensification de la production du maïs au niveau local à moyen terme. Interrogé sur cette question, Omar Zeghouane, directeur général de l’ITGC et vice-président du comité interprofessionnel des céréales, estime que «les résultats obtenus des premières expériences menées depuis 2011 dans les régions du sud sont très encourageants.» Besoins excessifs en eau Parmi les régions ayant un fort potentiel pour la production de maïs, Naâma, Biskra, Ouargla et Ghardaïa avec des rendements qui sont estimés entre 80 et 100 quintaux/ha. Pour M. Zeghouane, «c’est vrai que le maïs est très demandeur en eau, avec une consommation moyenne de 6000m3/ha, mais les disponibilités en ressources hydriques dans les régions du sud sont suffisantes pour développer la culture du maïs.» Avec les subventions que prévoit l’Etat pour le développement de la production intensive du maïs au niveau national, le même responsable fait appel aux agriculteurs qui, estime-t-il, «ont tout à gagner à s’investir dans ce créneau qui peut être largement rentabilisé parce que l’Etat garantit un prix d’acquisition de même niveau que le blé dur, à savoir 4500 DA/quintal.» A moyen terme, cette superficie sera élargie afin de contribuer activement à la réduction de la facture des importations. Pour une couverture totale des besoins exprimés en maïs, la superficie à emblaver doit atteindre les 300 000 hectares, soit 10% de la SAU (surface agricole utile) réservée annuellement aux cultures céréalières dans leur ensemble. Annuellement, les céréales destinées à l’alimentation animale, principalement le maïs, représentent plus de 30% de la facture alimentaire. Il est utile de noter que, dans le passé, le maïs comptait parmi les cultures les plus adaptées aux territoires algériens. Des archives de la colonisation qui datent de 1950 en témoignent : «Au cours de la période 1894-1916, la culture du maïs se maintient entre 11 000 hectares et 16 000 ha, correspondant à une production variant de 76 000 à 242 000 quintaux. Le maïs est, depuis longtemps, surtout cultivé dans les départements d’Oran et de Constantine, le département d’Alger venant loin derrière ses voisins et les territoires du Sud ne lui consacrant que des superficies réduites.» En revanche, les mêmes documents font état d’une régression de la production et une tendance à l’abandon de cette culture. Il y est noté : «Quelles peuvent être les raisons d’une telle désaffection de l’agriculture algérienne vis-à-vis de la culture d’une plante bien adaptée à nombre de régions de ce pays (le maïs, ndlr) et par ailleurs très cultivée au Maroc (plus de 400 000 ha) ? Désaffection qui depuis 50 ans a réduit l’importance des plantations de plus de moitié.» http://www.elwatan.com/economie/l-algerie-defie-le-marche-mondial-mais-a-quel-prix-18-03-2013-207017_111.php | |
| | | Rebell banni
Messages : 7649 Date d'inscription : 21/09/2012
| Sujet: Re: Actualités Economiques Mer 20 Mar - 2:47 | |
| mais je comprend pas cette sale mani a travailler pour les français laissons les couléééééé mais sérieux u_u ah maintenant on et devenue un marché important travaillons avec les allemand et laissons les french a leur problème les voiture allemande serons très bien adapté pour notre pays vu leur résistance incroyable Peugeot : l'Algérie, un marché qui compte de plus en plus... Hier à 17h29 (Boursier.com) -- Au salon automobile d'Alger du 19 au 29 mars, Peugeot exposera ses dernières nouveautés, la 301, le crossover urbain 2008 et dans un autre style la 208 GTI qui sera lancée en Algérie vers la fin de l'année. La berline tri-corps 301, lancée en Algérie en décembre lors du Salon d'Oran, a d'ailleurs déjà séduit plus de 11.000 clients dans le pays. Peugeot rappelle avoir a connu en 2012 une année d'exception sur le marché algérien avec un doublement de ses ventes, à 66.000 véhicules particuliers et utilitaires légers dont 35.000 exemplaires de 207. Peugeot a enregistré une progression deux fois supérieure à celle du marché et une part de marché de 15%, contre 11% un an plus tôt. Les volumes de Peugeot restent quand même significativement inférieurs à ceux de Renault qui a écoulé l'an dernier un record de 113.664 véhicules en Algérie, soit plus d'un quart du marché. Il n'empêche que l'Algérie est un marché qui compte pour la marque au lion car il constituait le troisième débouché géographique en volume au mois de janvier 2013, derrière la Chine et la France. Cette année, Peugeot mise beaucoup sur la 208 pour animer ses ventes en Algérie. Citroën vise de son côté une croissance de plus de 40% en Algérie pour atteindre les 15.000 véhicules cette année. http://www.boursier.com/actions/actualites/news/peugeot-l-algerie-un-marche-qui-compte-de-plus-en-plus-523028.html?rss | |
| | | houaridz Lieutenant Colonel
Messages : 3009 Date d'inscription : 05/10/2012 Localisation : tous près
| Sujet: Re: Actualités Economiques Mer 20 Mar - 10:28 | |
| C'est comme les rats,il vont la ou ils peuvent prospéré!! | |
| | | Rebell banni
Messages : 7649 Date d'inscription : 21/09/2012
| Sujet: Re: Actualités Economiques Mer 20 Mar - 14:33 | |
| toute a fai et il faut pas kan sois un lieux de repot pour eux il doivent regretté l'embargo des année 90 et de pas avoir chercher a investir chez nous alors qu’il v'on voire le Maroc on et pas des bouche trou ahh lemaroc et en crise aussi?? eh ben tomber tout les 2!!!!! mais khtounaaaa!!!!ya mieux a faire avec les allemand on peut avoir un partenariat sur pour l'avenir et laissons les french a leur bricolage | |
| | | Rebell banni
Messages : 7649 Date d'inscription : 21/09/2012
| Sujet: Re: Actualités Economiques Jeu 21 Mar - 9:20 | |
| Algérie : l’Etat en ordre de bataille contre la corruption mercredi 20 mars 2013 / par Kaci Racelma L’Etat algérien est passé à la vitesse supérieure dans sa lutte contre la corruption. La célébration du 51ème anniversaire de la fête de la Victoire a été l’occasion pour le chef d’Etat de réitérer la ferme résolution des autorités de réclamer des comptes à ceux qui s’y adonne. (De notre correspondant, à Alger )Le dossier « corruption » refait surface en Algérie à l’occasion d’une autre date symbole. En marge du 19 Mars, jour de la Victoire, le chef d’Etat algérien, Abdelaziz Bouteflika, persiste et signe que l’Etat « n’hésitera pas à demander des comptes à toute personne coupable aux yeux de la loi, tout en veillant à recouvrer les droits spoliés ». Déjà le 24 février, date de la nationalisation des hydrocarbures et de la création de l’union générale des travailleurs algériens (UGTA), le président de la République s’est exprimé sur le dossier de la corruption. Mais la commémoration du 19 Mars, date de signature des Accords historiques d’Évian, semble symboliser la guerre contre la corruption qui ronge l’économie du pays. « La justice jouit aujourd’hui de la compétence qui la conforte dans son action ». Ce message lu, au nom de Bouteflika, par Mohamed Ali Boughazi, conseiller à la Présidence de la République, en marge du séminaire national sur « l’évolution de l’Armée de libération nationale (ALN) durant la Révolution du 1er Novembre 1954 », organisé à Tébessa , est clair et sans ambages. Bouteflika qui s’est voulu rassurant quant à ses aptitudes d’assurer la protection de l’économie et les sources de revenu du pays contre ce mal rongeur, durcit le ton. Ceux qui s’enrichissent, donc, illégalement sur le dos de leur concitoyens et au préjudice des deniers publics, auront à faire à la force de la loi qui « s’appliquera dans toute sa rigueur car l’État est déterminé à imposer le sérieux et l’intégrité dans le travail et n’hésitera pas à demander des comptes à toute personne coupable aux yeux de la loi, tout en veillant à recouvrer les droits spoliés ». Malversations devenues banalesEn Algérie les malversations sont devenues par la force des choses banales au point où il n’y a aucun projet réalisé sans saignée et sans trou béant dans le budget de l’Etat. Il n’est aussi étranger pour personne que les projets inscrits dans la dynamique de reconstruction nationale entamée il y a dix ans dans le pays ont tous nécessité des budgets additifs. Ce que même le premier magistrat du pays semble reconnaître. « Des erreurs et des lacunes ont émaillé la réalisation de certains projets : nombre de ces défaillances peuvent être expliquées par diverses raisons alors que pour d’autres un examen minutieux s’impose à l’effet de demander des comptes à ceux qui ont failli à leur mission, quels que soient leurs postes ». Beaucoup de hauts cadres de la nation ont tiré des dividendes du pays, devenu depuis l’embellissement financier, une vraie vache à traire. Ils ont acquis des biens immobiliers se chiffrant à des millions d’Euros dans des quartiers chics des principales villes européennes. Aussi, les représentants du peuple ont fini par courber l’échine et s’emploient à défendre leurs intérêts. L’assemblée de gloutons qui leur sert de tribune d’expression par excellence est devenue une simple chambre d’enregistrement alors que le pays est au bord de la faillite. Ce réveil tardif de la machine judiciaire suscite quand même de l’espoir parmi les Algériens qui veulent voir les hauts responsables du pays traîner devant les tribunaux. « La victoire mémorable dont nous célébrons aujourd’hui l’anniversaire n’était autre que le prélude d’un nouveau processus historique, en l’occurrence le combat pour la construction du pays qui puisera l’intégralité de son essence dans cet esprit qui a marqué le processus de recouvrement de la souveraineté nationale pour soustraire le pays de l’occupation étrangère », a laissé entendre le chef de l’Etat. Cette volonté qui l’anime de mettre l’intérêt de la nation au-dessus de toute autre considération ne semble pas s’user puisque même la société civile commence à en prendre conscience. http://www.afrik.com/algerie-l-etat-en-ordre-de-battaille-contre-la-corruption | |
| | | Rebell banni
Messages : 7649 Date d'inscription : 21/09/2012
| Sujet: Re: Actualités Economiques Jeu 21 Mar - 9:21 | |
| Algérie : l’économie ruinée par la corruption jeudi 7 mars 2013 / par Kaci Racelma Le Ministère algérien des Finances, à Alger L’affaire Sonatrach a levé le voile sur la corruption qui ronge l’économie algérienne. Pourtant, le pays déploie, depuis des années, d’importants efforts pour lutter contre la corruption, mais les Algériens restent sceptiques aux résultats obtenus sur le terrain. (De notre correspondant)Des masques seront ils tombés ? L’Algérie fait face à un torrent ininterrompu de scandales liés à la corruption et son gouvernement fait montre d’une forte volonté politique pour en venir à bout. Mais à quel prix ? Des interrogations multiples entourent cet engagement dans le sens de mettre le holà sur ce crime qui porte atteinte aux deniers publics et à l’économie nationale. L’élaboration des mécanismes nouveaux pour en assurer le succès est à l’étude mais leur application constituera un vrai point d’achoppement pour les « justiciers ». C’est ce que pensent les observateurs, très au fait de l’actualité judiciaire, en mettant en avant l’ « impuissance des magistrats pour faire tomber les vrais barrons inamovibles qui font la pluie et le beau temps sur la scène économique du pays ». C’est, d’ailleurs, là où le bât blesse. Les lois ne manquent, pourtant, pas. L’Etat en a promulgués un arsenal dont celle de 2006 devant permettre le démantèlement des réseaux et des personnes responsables de pratiques nuisibles à l’économie nationale. Des pôles judiciaires spécialisés ont également été lancés, à l’instar de l’Office central de répression de la corruption (OCRC) dont le siège a été inauguré récemment. A force que la corruption se généralise, les institutions en charge de ce combat perdent en intensité et en rigueur. Le scandale Sonatrach, scandale de trop ?Mais le dernier scandale ayant éclaboussé la société nationale des hydrocarbures Sonatrach a fait réagir même le chef de l’état. Celui-ci a déclaré que ces affaires ne doivent pas « passer sous silence ». D’autres hauts responsables de l’état ont décidé, également, de sortir de leurs gonds pour en définir l’ampleur. Même le président du Conseil de la nation, M. Abdelkader Bensalah a décidé d’y réagir. Il n’a pas manqué de souligner l’importance d’investir la justice de toute la confiance afin de lui permettre d’accomplir son rôle dans le calme pour ce qui est des affaires liées à la lutte contre la corruption. En appelant à « éviter de tomber dans la surenchère politicienne qui n’apporte rien de nouveau, qui ternit l’image de l’Algérie et passe sous silence le travail colossal du pays dans les différents domaines », Bensalah ne perd pas espoir quant au démantèlement des réseaux impliqués dans des scandales financiers. La diaspora algérienne se mobiliseLa communauté algérienne à l’étranger n’est pas en reste. Des associations ont décidé de saisir les institutions européennes afin que soient gelés les avoirs de certaines personnalités impliquées directement dans les affaires scabreuses. « Je sais que le salut de l’Algérie vient d’Europe et notre communauté établie à l’étranger doit agir. Je prie le Dieu le tout puissant pour que ces dinosaures qui jonglent avec l’économie du pays soient démasqués, punis et jeté dans un univers carcéral pour une longue période de temps. Une sanction à la hauteur des méfaits causés à notre pays », confie à Afrik.com un administrateur sous couvert de l’anonymat. Le ministre des Finances, M. Karim Djoudi dénonce également ces crimes qui rongent l’économie du pays non sans conséquences directes sur la société algérienne. Il a affirmé que la corruption « est un crime préjudiciable à l’argent public et à l’économie nationale ». L’ouverture d’une information judiciaire dans le cadre de l’affaire « Sonatrach 2 », largement relayée par les médias nationaux et étrangers, suscite quand même un brin d’espoir parmi la société civile qui reste muette. Depuis la destruction de la classe politique et l’effacement quasi total de l’opposition, des scandales se sont multipliés et des pratiques népotiques se sont généralisées à un tel point que le pays est devenu la « risée » de la scène internationale. http://www.afrik.com/algerie-l-economie-ruinee-par-la-corruption | |
| | | Rebell banni
Messages : 7649 Date d'inscription : 21/09/2012
| Sujet: Re: Actualités Economiques Jeu 21 Mar - 13:55 | |
| ALGÉRIE • Le chômage, une bombe à retardement pour Bouteflika Touchés de plein fouet par le chômage, les jeunes du Sud algérien manifestent leur colère et leurs revendications trouvent un écho dans le reste du pays. Le pouvoir place le pays sur un volcan, s'alarme El-Watan. La police algérienne arrête un homme ayant tenté de s'immoler par le feu au cours d'une manifestation contre le chomage à Alger en 2011. AFP "Vous aurez du sable dans les yeux." Une phrase lancée à Abdelmalek Sellal à Béchar [dans le sud-ouest du pays, où le Premier ministre était en visite le 16 mars pour calmer les esprits après une manifestation qui a eu lieu le 14 mars] pour le prévenir que la colère des jeunes du Sud n’est pas un vent sans effets et qu’il ne faut pas laisser les appels des populations de cette région sans réponses. C’est une image qui sied on ne peut mieux à l’attitude des pouvoirs publics face à tous les maux qui risquent de faire sauter le couvercle de la marmite nationale. Le marasme est réel, l’ébullition est à son comble et les réponses du pouvoir sont loin de satisfaire les attentes. Le gouvernement a déjà du sable dans les yeux et semble tâtonner pour retrouver ses repères dans cette grande colère due au mal-être ambiant. Qu’ils soient du Sud, du Nord, de l’Est ou de l’Ouest, les Algériens sont rattrapés par une réalité que le régime semble feindre ne pas voir ou qu’il tente de calmer avec des pilules indigestes. Les périodes de crise se suiventLa colère qui émane des Algériens du Sud et de l’Ouest, provoquée par le chômage, est la même que celle exprimée par les Algériens de l’Est, provoquée par le sentiment d’insécurité [à Constantine, une manifestation de solidarité avec deux enfants kidnappés et assassinés a tourné à l'émeute dimanche 17 mars]. Le ras-le-bol est le même et s’exprime par le rejet d’une politique dont le seul responsable est un pouvoir incapable de penser à autre chose qu’à sa survie. Les Algériens renvoient à la face de ce régime l’échec de sa non-politique de résorption du chômage. Bouteflika avait annoncé, en avril 2011, dans la foulée du paquet de non-réformes politiques, la décision d’ouvrir les caisses de l’Ansej [Agence de soutien à l'emploi des jeunes] pour acheter la paix sociale, faute d’une stratégie réelle de création d’emplois et de diversification des offres sur le marché du travail. L’Etat en est réduit à être une grosse caisse d’argent dans laquelle on puise des billets pour passer les périodes de crise. Cependant, les périodes de crise se suivent de près, les billets ont montré leur inefficacité et les demandeurs d’emploi, dont le nombre augmente sans cesse, le font savoir tous les jours et sans tiédeur. Des revenus mal gérésAlors que des scandales financiers mettent au grand jour l’indécente et criminelle utilisation des deniers publics par des personnes chargées des destinées du pays, de Laghouat à Ouargla, d’Arzew à Tindouf, les jeunes réclament pour leur part le droit à un travail digne. Des millions de dollars sont dilapidés dans les salons feutrés du pouvoir, à l’heure où plusieurs milliers de jeunes n’arrivent même pas à avoir un salaire régulier pour subsister. Le décalage entre l’Algérie d’en haut et celle d’en bas est affaire de dignité. Telle est l’image du cinquantième anniversaire de l’indépendance. La féodalité a juste changé de promoteurs et ce ne sont pas les chiffres maquillés du taux officiel du chômage qui vont contredire cet état de fait. Le taux de chômage trouve sa réelle valeur dans ce séisme dont l’épicentre est au Sud, avec des répliques dans tout le pays. La gestion chaotique et approximative des affaires publiques montre aujourd’hui ses funestes résultats. Faute de rassurer les Algériens et de gérer à bon escient les deniers publics, le pouvoir place le pays sur un volcan. http://www.courrierinternational.com/article/2013/03/21/le-chomage-une-bombe-a-retardement-pour-bouteflika | |
| | | faty Colonel
Messages : 3229 Date d'inscription : 08/04/2012
| Sujet: Re: Actualités Economiques Jeu 21 Mar - 14:07 | |
| Le professeur Antal Fekete à Algeriepatriotique : «Les réserves d'or et d'argent de l'Algérie sont en danger» Article | 21. mars 2013 - 5:02 Le professeur Antal E. Fekete. D. R. Algeriepatriotique : Avec des réserves de change avoisinant les 200 milliards de dollars, l’Algérie est-elle à l’abri de la crise ou, au contraire, risque-t-elle de faire les frais du dépôt de ses avoirs dans les banques étrangères ? - Citation :
- Très vulnérable, en effet, et à plusieurs égards. En plus du risque qui
pèse sur ses réserves de change, au regard notamment de la politique déclarée des Etats-Unis visant à abaisser la valeur internationale du dollar, il y aussi le risque lié au taux d’intérêt dans la mesure où les réserves algériennes sont investies dans le papier (fiduciaire) du Trésor américain. Quand les taux d’intérêt augmentent, la valeur des bons du Trésor américain s’effondreront. Ces pertes s’ajoutent à celles déjà liées à la valeur du dollar elle-même. L’Algérie, comme tout autre pays, assumera les conséquences de la folie qui consiste à déposer son argent dans des comptes en dollar dans des banques relevant de la juridiction de gouvernements étrangers. L’Algérie court-elle plus de risques à garder ses réserves en or à l’étranger ou à les rapatrier ? Il y a toujours un risque à garder les réserves en or d’un pays à l’étranger. Les gouvernements étrangers pourraient faire prévaloir un cas de force majeure et refuser de restituer l’or, comme cela s’est passé pour l’or que la République d’Espagne avait déposé en Union soviétique dans les années 1930. Les Etats-Unis ont eux aussi refusé à plusieurs occasions de restituer l’or appartenant à des gouvernements étrangers. Les vols étaient justifiés en invoquant la loi sur le commerce avec l’ennemi. Le rapatriement (de l’or) est la meilleure décision à prendre. Comment les Etats - dont l’Algérie - pourraient-ils revenir au standard-or, sachant que ce sont les Américains qui détiennent la «clé» de la finance mondiale à travers ce que vous avez appelé «l’impérialisme du dollar» ? Le mécanisme d’institution du standard-or est assez simple. L’Algérie devra déclarer une pièce d’or (disons la pièce d’or de 20 francs de la défunte Union monétaire latine) comme monnaie du pays. Elle devra commencer à frapper et estampiller cette pièce avec son propre blason et à la date courante. Enfin, et cela est encore plus important, l’Algérie devra prendre un engagement international solennel de convertir tous les lingots d’or de poids et de finesse appropriés utilisés pour frapper la monnaie du pays, libre de toute taxe de seigneuriage, à des quantités illimitées. Dans les annales de l’histoire monétaire, cet engagement est connu sous l’appellation suivante : ouverture de l’or à la libre frappe de la monnaie. Il serait sage de rapatrier les réserves d’or algériennes d’abord. De même qu’il serait sage de convertir les 200 milliards de dollars de réserves de change du pays en lingots d’or avant d’ouvrir l’or à la frappe libre de la monnaie. Si l’or n’est pas disponible en quantité suffisante, les réserves minières d’or et d’argent peuvent servir comme proxy (intermédiaire). Qu’adviendrait-il si les Américains, en guise de représailles, expulsaient l’Algérie du système de compensation du dollar ? L’Algérie, en tant que pays important en matière d’échanges commerciaux, ne devrait pas trop se soucier de cela. Mieux encore, l’Algérie peut tirer un profit supplémentaire de telles représailles si elles venaient à exister. Elle pourrait mettre en place le premier système de compensation des dispositifs d’or du XXIe siècle (c’est-à-dire de vrais billets venant à échéance en monnaie d'or en 91 jours ou moins). Les dispositifs d’or sont de loin supérieurs aux crédits en dollars et le monde les traitera en tant que tels. D’autres pays commerçants commenceront à payer leurs importations en établissant des factures en monnaie algérienne comme cela se faisait au XIXe siècle lorsque les fractures étaient établies en monnaie londonienne. Pourquoi les puissances financières mondiales, qui imposent à l’humanité le dollar et l’euro comme monnaies principales dans les échanges commerciaux, s’échinent-elles sinon à interdire du moins à empêcher tout retour au standard-or ? Le vieil adage dit : «Celui qui détient l’or mène la barque.» Les puissances financières mondiales veulent mener la barque elles-mêmes tout en épargnant leur propre or. Ouvrir l’or algérien à la libre frappe de la monnaie éloignera les prédateurs. Le seul moyen pour ceux qui gèrent le dollar de faire échouer cette démarche serait d’ouvrir l’or américain à la frappe libre de la monnaie également. En d’autres termes, le dollar devra être ramené au standard-or aussi. Les «impérialistes du dollar» seraient impuissants face à une telle démarche de la part de l’Algérie. Ouvrir l’or à la libre frappe de la monnaie serait «une heure de gloire pour l’Algérie». Qui pourrait tenir tête à ceux que vous qualifiez de «chrysophobes», sachant que, comme vous le dites, l’étalon-or pourrait démasquer les «mauvaises banques» et mettre en péril les gros intérêts mercantiles de ceux qui profitent du système financier actuel ? L’Algérie peut le faire. Elle peut adopter une législation qui exige des banques de tenir leurs comptes sur la base de la monnaie en or en vigueur dans le pays, faute de quoi elles (les banques) perdraient leur agrément et ne seraient plus autorisées à activer en Algérie. Les banques algériennes seraient pratiquement les seules banques solvables dans le monde. Les banques, ailleurs, avec l’autorisation du gouvernement, ont permis que des crédits bancaires sans limite soient bâtis sur une dette publique illiquide. Le système bancaire mondial est un château de cartes et la tempête guette. Les commissaires aux comptes et les experts comptables ont trahi la confiance en établissant à des banques malades des certificats attestant de leur bonne santé sous la pression du gouvernement. L’Algérie devrait aussi mettre un terme à la protection légale des billets de banque émis par la Banque (centrale) d’Algérie. Cela aussi serait une première au XXIe siècle. Il faut laisser les billets de banque émis par les banques centrales être en compétition sur le marché avec les pièces d’or. C’est une question de «survie du plus fort», comme cela devrait se dérouler. Il faut laisser les gens qui travaillent décider s’ils veulent que leurs salaires leur soient versés en monnaie fiduciaire qui, historiquement, est toujours retournée à sa valeur intrinsèque, c’est-à-dire zéro, selon Voltaire, ou en pièces d’or ou d’argent qui ont résisté à l’épreuve du temps depuis des millénaires. Vous dites qu’en déclarant la guerre à l’Irak, les Etats-Unis ont voulu amener ce pays à refuser les paiements en or. Votre approche est inédite car on a tendance à croire que la raison essentielle de cette invasion est le pétrole… Dire que «l’action policière» des Etats-Unis pour punir l’Irak est due au fait que ce pays soit sorti des rangs est, bien entendu, une hypothèse. Mais une hypothèse plausible. L’idée que les pays soient libres de choisir quelle monnaie ils doivent accepter ou refuser en échange de biens ou de services réels est trop dangereuse et trop contagieuse, et représente donc une menace pour le confort des Américains. Ces derniers ont beaucoup à perdre si la communauté mondiale se passait du dollar. Cependant, «l’action policière» contre l’Irak a été un échec lamentable. Même si l’Amérique est autosuffisante en pétrole, l’idée d’une action punitive contre ces pays qui abandonnent le «navire dollar» serait de plus en plus effective. Le financement du commerce mondial par l’établissement des factures à échéance en or au lieu et place du dollar avec la mention «je ne vous dois rien» est une idée qu’il est temps de mettre en pratique. Victor Hugo dit : «Rien n’est plus fort qu’une idée dont l'heure est venue.» Le dollar est une monnaie contrefaite qui a conféré un pouvoir réel au contrefacteur. La Réserve fédérale a été autorisée à fouler aux pieds la Constitution américaine depuis près d'un siècle, tout en laminant à 99% le pouvoir d'achat du dollar. Pourquoi le monde accepte-t-il ce système fraudeur sans hésitation ? C’est en partie dû à l’inertie. On préfère le diable qu’on connaît à l’ange qu’on ne connaît pas. L’autre raison est la crainte de représailles comme cela a été démontré avec la destruction de l’Irak. Cependant, l’Amérique est en train de se transformer en un colosse aux pieds d’argile ou, si vous préférez, en un tigre en papier. Quoi qu’elle fasse, elle en train de creuser la tombe du tout-puissant dollar. Mais il y a une troisième réponse, également, et qui est quelque peu technique : tant que les marchés futurs de l’or existent, les bons du Trésor américain peuvent être convertis en or physique. Mais comme le montre la tendance à la disparition de la base d’or (définie comme la différence entre le prix approximatif à terme et le prix au comptant de l’or), le marché de l’or à terme est moribond. Il partira dans un nuage de fumée quand le déport de l’or sera permanent. Il s’en suivra un défaut de paiement à terme en or et par contrat d’option. Beaucoup de gens sont conscients de cela. Mais ce que personne – pratiquement – ne réalise, c’est qu’au même moment, la demande des bons du Trésor américain s’évaporeront. Le dollar, même aujourd’hui, ne sert que comme un proxy (intermédiaire) de l’or. Certes, il est plus pratique de payer à travers des virements en dollars que par l’expédition d’or. Mais lorsque le marché à terme de l’or succombera aux inexorables forces de la loi économique et qu’il ne sera plus possible d’obtenir de l’or physique en échange d’un dollar déshonoré, alors, le commerce mondial sera réduit au troc. Les sociétés mettront la clé sous le paillasson et les travailleurs seront licenciés. Aucune université et aucun think tank au monde ne sont en train d’étudier les retombées de la disparition de la base d’or, ni les problèmes liés au fait qu’elle devient négative. La menace d’un déport permanent de l’or est ignorée. Cependant, cette politique de l’autruche ne changera rien au fait que la base d’or est réelle et que l’heure d’un déport permanent de l’or est proche. Une des raisons qui m’ont poussé à intégrer la New Australian School of Economics (NASOE), c’est la légitimation de l’étude de la base or et argent et la circulation de billets réels dont la valeur est basée sur l’or en tant qu’effort académique. Le prochain séminaire de la NASOE se tiendra à Madrid fin mars courant. Il est destiné aux débutants qui pourront en savoir plus sur ces questions. L’Allemagne a demandé à connaître l’état de ses réserves d’or au FMI et elle a reçu un refus catégorique. Le FMI serait-il plus puissant qu’un Etat de l’envergure de l’Allemagne ? De mon point de vue, l’Allemagne n’est pas un pays occidental puissant. Comme le Japon, c’est un territoire occupé grêlé par les bases militaires américaines qui ont perdu leur raison d’être après l’effondrement de l’Union soviétique en 1991. Toutes les décisions du gouvernement allemand peuvent être considérées comme étant tributaires du veto américain, tant que les troupes américaines seront stationnées dans ce pays. Même la puissance économique de l’Allemagne est subordonnée à des facteurs externes. Par exemple, les réserves d’or allemandes sont entre les mains des Américains et leur restitution peut être refusée sous n’importe quel prétexte. Le FMI est une marionnette américaine et aurait dû être dissous en 1973, quand le système de taux de change fixe – que le FMI était censé sauvegarder – a été abandonné. Il est ridicule de garder la fonction de bourreau alors que la peine capitale a été abolie. Vous affirmez que le fait de ne pas retourner au standard-or «peut signifier le commencement d’un nouveau Moyen-Âge». Est-ce à dire que nous vivons au Moyen-Âge depuis 1971, année de ce que vous appelez la «conspiration de Nixon et Friedman» ? 1971 fut l’année durant laquelle le génie de la dette a été libéré de son flacon doré. Depuis cette date, il est libre d’errer à travers le monde, donnant frisson et fièvre et causant des dommages irréparables là où il passe, quadruplant les prix du pétrole et explosant la structure des taux d’intérêt, par-ci, et faisant de même avec la bulle immobilière jusqu’à l’effondrement de la structure des taux d’intérêt, par-là. Mais le nouvel âge sombre du monde commencera sérieusement lorsque l’or passera au déport (*) permanent. Ce sera un âge marqué par les dépressions, les fermetures d’entreprises et les pertes d’emplois, ainsi que par l’effondrement du marché mondial, le remplacement du commerce multilatéral par le troc, la disparition de la loi de l’ordre, la propagation de la famine et de la peste, et j’en passe. La seule manière de prévenir cet âge sombre, c’est de retourner immédiatement au standard-or et au financement du commerce mondial sur la base de la valeur de l’or. Tout ce dont le monde a besoin pour ce faire, c’est qu’un pays – ou un ensemble de pays – ouvre l’or à la libre frappe de la monnaie et autorise la circulation de billets réels payables en pièces d’or. L’Algérie se trouve dans une position idéale pour faire un pas dans cette direction, ce qui lui permettrait d’éviter au peuple une souffrance économique atroce. Il faut garder en tête l’exemple de Byzance qui a réussi à épargner à son peuple, qui vivait dans la moitié est de l’empire romain, le sort de ceux qui étaient établis dans sa moitié ouest, en continuant à frapper sa monnaie d’or, le besant. L’effondrement économique que vous avez prédit a-t-il eu lieu ou n’en est-il qu’à ces premiers balbutiements ? La réponse à votre question est la suivante : vous n’avez encore rien vu ! Interview réalisée par Hounaïda Acil et M. Aït Amara (*) On parle de déport lorsque le change à terme est inférieur au change comptant. Le déport provient d'un différentiel négatif de taux entre la monnaie de référence et la monnaie étrangère. http://www.algeriepatriotique.com/article/le-professeur-antal-fekete-algeriepatriotique-les-reserves-dor-et-dargent-de-lalgerie-sont-e | |
| | | Rebell banni
Messages : 7649 Date d'inscription : 21/09/2012
| Sujet: Re: Actualités Economiques Jeu 21 Mar - 14:30 | |
| on va encore me reprocher d’avoir raison mais j'ai encore raisonnn j'avais bien dit qu’il vaudra mieux pour nous qu'on convertie ses 200 milliard de $$ en or et de récupère la majeur partie de notre or maintenant si on perd tout sa notre pays ne fera aucun progrès et chehhh on le meriteeeeee on le mérite vraiment car une nation qui prend au serieux sa securité et sa survie sort les croc et fait tout pour sont pays nous nonnnnn les notre s’amuse dorme etc.. mais a part sa tout sa bien on me dit que notre pays c'est ce qu'il fait....pour moi un pays qui produit pas sa propre pomme de terre c'est un pays qui sais pas ce qu’il fait la viande on l’achète le blé et toute sorte d'aliment on l’achète...on a a tat de mine mais on achète a coup de milliard des métaux on on rachette meme notre propre carburant qu’il et rafiner dans les rafinerie etrangére breff.. tout sa pour dire bli rana bled miki et je répéte encore on joue vraiment avec le feu et un jour il va prendre sur nous et cette foi sa sera vraiment très brulant.. | |
| | | Rebell banni
Messages : 7649 Date d'inscription : 21/09/2012
| Sujet: Re: Actualités Economiques Jeu 21 Mar - 18:27 | |
| ÉNERGIES RENOUVELABLES 2000 mégawatts à produire L'ALGÉRIE COMPTE DOUBLER SA PRODUCTION EN ÉLECTRICITÉ ET SE TOURNER DAVANTAGE VERS LES ÉNERGIES RENOUVELABLES.En marge des activités parlementaires consacrées aujourd’hui aux questions des députés et des réponses des membres de l’Exécutif concernés, le ministre de l’Energie et des Mines, Youcef Yousfi, a rappelé que l’Algérie produira environ 12.000 mégawatts supplémentaires d’électricité à l’horizon 2017. A la lecture de ce chiffre, il semble être anodin. Mais ce n’est pas le cas pour la simple raison que la production d’électricité en Algérie depuis l’indépendance avoisine exactement ce débit.La capacité de production électrique algérienne, depuis l’indépendance, ne dépassent donc pas cette quantité en dépit des sommes colossale investies depuis 1962. «En cinq ans, nous allons doubler la production électrice pour atteindre 12.000 mégawatts», souligne le ministre de l’Energie et des Mines. Interrogé par l’Econews sur la part de l’énergie renouvelable dans cette production, le ministre dévoile un chiffre devant être réalisé vers 2020. «Nous devons produire 2000 mégawatts vers 2020. Certains travaux de réalisation des infrastructures liées au développement des énergies renouvelables sont déjà lancés», explique Youcef Yousfi. | |
| | | boussouf Admin
Messages : 2099 Date d'inscription : 20/11/2011
| Sujet: Re: Actualités Economiques Mar 26 Mar - 11:05 | |
| - Citation :
Partenariat Andpme/Nedjma Premiers essais du portail «Made in Algeria»
L’Agence nationale de développement de la PME (Andpme) et l’opérateur téléphonique Nedjma ont présenté, aujourd’hui, la feuille de route du partenariat qui a été signé entre les deux parties le 11 mars en cours et qui concerne la généralisation des TIC au sein des entreprises.
«Dans cette feuille de route, il y a plusieurs étapes. Une de ces étapes concerne la création du portail Made in Algeria, un portail de E-commerce en Algérie où toutes les sociétés publiques et privées à travers l’Andpme peuvent présenter leurs produits (avoir un catalogue avec les spécifications techniques de leurs produits)», a indiqué, au siège de l’Andpme, le directeur général de Nedjma, M. Joseph Ged, lors d’une réunion de travail entre cette agence et Nedjma en présence de laSociété de gestion des participations ( SGP) et quelques entreprises. A cette occasion, Nedjma a fait les premières démonstrations sur le fonctionnement de ce portail Internet qui sera lancé dans les prochaines semaines.
Selon le patron de Nedjma, ce site va permettre un échange d’informations entre les entreprises sur leurs produits et services. Ce site va être également le point où les Algériens et les gens de l’extérieurs peuvent rentrer pour faire une recherche sur un produit par catégorie d’industrie ou de service et comparer les différents produits, notamment en matière de prix et de qualité. «Cela va être la fenêtre Internet de l’industrie algérienne en générale», a-t-il souligné.
http://www.leconews.com/fr/actualites/nationale/telecoms/premiers-essais-du-portail-made-in-algeria-25-03-2013-162717_293.php | |
| | | boussouf Admin
Messages : 2099 Date d'inscription : 20/11/2011
| Sujet: Re: Actualités Economiques Mar 26 Mar - 11:10 | |
| - Citation :
- APS lundi 25 mars 2013
Production pharmaceutique : signature jeudi de contrats de réalisation de 3 nouvelles unités
ALGER- Des contrats de réalisation de trois nouvelles unités de production pharmaceutiques seront signés jeudi prochain à Alger, a indiqué lundi le ministère de l’Industrie, de la Petite et Moyenne entreprise et de la Promotion de l’investissement dans un communiqué. Il s’agit des unités de Cherchell en partenariat avec un Groupement italien, de Constantine en partenariat avec une Société espagnole et de Zmirli avec une société algérienne, précise la même source. http://www.aps.dz/Production-pharmaceutique.html | |
| | | boussouf Admin
Messages : 2099 Date d'inscription : 20/11/2011
| Sujet: Re: Actualités Economiques Mar 26 Mar - 15:24 | |
| - Citation :
- APS) lundi 25 mars 2013
Visite de Sellal à Doha : l’Algérie et le Qatar renforcent leur coopération économique
DOHA - La coopération économique et particulièrement dans le domaine de l’industrie, de l’énergie et des mines a été renforcée dimanche à Doha (Qatar) lors de la visite de travail officielle du Premier ministre Abdelmalek Sellal, ponctuée par plusieurs accords. Cette visite de travail de M. Sellal au Qatar été ainsi ponctuée par la signature de plusieurs accords de nature à renforcer la coopération économique entre les deux pays, estime-t-on dans l’entourage de la délégation algérienne.
Il s’agit notamment de l’accord portant réalisation d’un complexe sidérurgique à Bellara, dans la wilaya de Jijel avec une capacité de production à terme de 5 millions de tonnes/an. L’investissement va coûter deux milliards de dollars dans une première phase et permettra de produire deux millions de tonnes d’acier par an à partir de 2017, une production qui va s’élever progressivement à cinq millions de tonnes, selon les termes du contrat signé par les partenaires de ce projet, regroupés en société mixte.
Le capital du complexe sera détenu à 51% par l’entreprise Sider et le Fonds national de l’investissement (FNI) et à 49% par Qatar International, une joint-venture entre Qatar Steel et Qatar Mining. Le futur complexe de Bellara, qui devrait générer quelque 2.000 emplois, devrait augmenter la production nationale de produits sidérurgiques, d’autant que les importations de ce produit stratégique pour l’économie algérienne sont annuellement d’environ 10 milliards de dollars, soit 20% du montant global des achats à l’international de l’Algérie.
Dans le domaine de l’énergie, Alger et Doha confirment leurs intentions de créer des projets de partenariat durables et des sociétés mixtes dans plusieurs filières, dont le transport maritime de gaz, la production d’engrais et produits chimiques et pétrochimiques. A Doha, les deux pays ont ainsi signé trois accords : l’un porte sur l’acquisition de deux méthaniers de transport de GNL d’une capacité de 117.000 M3 chacun avec un coût global de 450 millions de dollars. En novembre dernier, quelques jours avant la tenue de la commission mixte algéro-qatarie, le ministre de l’énergie et des mines, Youcef Yousfi, avait déclaré à l’APS que ’’nous discutons (aussi) de possibilités de partenariat dans le transport maritime des hydrocarbures. Nous sommes en train de voir s’il y a possibilité de travailler ensemble". La SNTM-Hyproc, filiale de Sonatrach représente la partie algérienne, alors que le Qatar est représenté par les sociétés Qatar petroleum et Qatar gaz. En vertu de cet accord, l’Algérie exploitera le premier méthanier pour une durée de vingt ans. Le second navire fait encore l’objet de concertations entre les deux parties.
L’Algérie et le Qatar, grands pays gaziers, veulent aussi asseoir un partenariat dans la pétrochimie. C’est dans cet objectif commun aux deux pays que le second accord signé dans ce domaine concerne la réalisation de deux usines d’engrais, la première pour la fabrication d’acide phosphorique à Oued Kebrit (Souk Ahras), la seconde à Hadjar Essed pour la production d’Ammonium. Le projet algéro-qatari de Oued Kebrit, dans la wilaya de Souk Ahras porte sur la réalisation d’un complexe d’engrais phosphatés et azotés. L’Algérie est représentée dans cet accord par les filiales Menal et Asmidal relevant du groupe Sonatrach. Le Qatar et la Norvège représentent le partenaire étranger. Les usines dont le coût de réalisation s’élève à 3,5 milliards de dollars fourniront dès leur entrée en service (prévue en 2017) plus de 1200 emplois directs.
Le troisième et dernier accord porte sur la réalisation d’une unité d’ammoniaque pour la production d’acide nitrique, de nitrate d’ammonium et d’engrais azoté d’un coût global de deux milliards de dollars. L’accord a été signé par la filiale Asmidal (pour l’Algérie) et le groupe norvégien Yara.
L’Algérie est l’un des principaux producteurs d’engrais dans le pourtour méditerranéen, et ambitionne de devenir un pôle mondial d’exportation de fertilisants, notamment avec la levée en 2012 de la taxe anti-dumping imposée par l’Union européenne sur les exportations de Fertial, une joint-venture entre le groupe algérien Asmidal et le leader espagnol en la matière Villar Mir.
http://www.aps.dz/Visite-de-Sellal-a-Doha-l-Algerie.html | |
| | | boussouf Admin
Messages : 2099 Date d'inscription : 20/11/2011
| Sujet: Re: Actualités Economiques Ven 29 Mar - 10:28 | |
| Bonne nouvelle pour le secteur pharmaceutique. Saidal investit 100 millions d'Euro dans trois nouvelles usines qui vont permettre une augmentation de 75% de sa production de médicaments. C'est encore insuffisant pour rattraper le grand retard du secteur mais ce sera déjà un progrès non négligeable qui permettra de réduire la facture des importations et de créer des emplois qualifiés. Bravo aux dirigeants du groupe SAIDAL et aux pouvoirs publics qui ont autorisé cet investissement - Citation :
- SAIDAL signe trois contrats pour la réalisation de trois nouvelles usines
100 millions d’euros mobilisés
Le groupe SAIDAL a signé, aujourd’hui, trois contrats pour la réalisation de trois usines de production de médicaments génériques avec deux entreprises étrangères et une autre algérienne
Il s’agit d’un contrat avec l’entreprise espagnole EMETE pour la réalisation d’une usine à Constantine. Le deuxième a été signé avec l’entreprise italienne BONATTI pour la mise en place d’une usine à Cherchel (Tipaza) et le troisième avec une entreprise algérienne du secteur privé SOFTAL pour créer une unité de production à El Harrach (Alger), a indiqué, à l’hôtel Aurassi, le directeur général du Groupe SAIDAL, lors de la signature de ces contrats en présence du ministre de l’Industrie et de la PME, Cherif Rahmani et le ministre de la Santé,de la Population et de la Réforme Hospitalière, Abdelaziz Ziari. Selon lui, ces unités seront réalisées dans des délais de 17 mois, 21 mois, et 24 mois, respectivement, et pour un coût total de près de 100 millions d’euros. La mise en œuvre de ces contrats de réalisation intervient dans le prolongement des contrats de partenariat internationaux portant sur l’insuline (Constantine) et l’oncologie (Sid Abdallah) conclus en 2012. Pour sa part, le ministre de l’Industrie, a estimé que dans le cadre de la nouvelle ambition industrielle, le groupe publique pharmaceutique SAIDAL confirme avec la réalisation de ces trois nouvelles usines de médicaments génériques, sa volonté de participer activement au développement de la filière pharmaceutique et à la préservation de la santé du citoyen. Il a souligné qu’avec ces nouvelles réalisations, les capacités de production du groupe augmenteront de 75% et permettront de réduire les tensions enregistrées sur le marché du fait d’une demande croissante dans ses gammes de produits. Il a, par ailleurs, affiché la volonté de son ministère de ne négliger aucune possibilité pour redynamiser les filières industrielles et de soutenir la substitution aux importations pour en faire un axe essentiel du processus de diversification de l’économie nationale et de création d’emplois. De son côté, Frédéric Pascual, directeur des projets internationaux à EMTE (Espagnole), a souligné que dans le projet clé en main de réalisation de l’usine de Constantine «nous pensons faire intervenir beaucoup de partenaires locaux et assurer un transfert du savoir-faire». Cela, «pour que, petit à petit, l’entreprise algérienne puisse acquérir ce savoir-faire dans l’industrie pharmaceutique qui a un avenir et qui est fondamentale», a-t-il ajouté, estimant que cette production est aujourd’hui en retard par rapport à ce qu’elle devrait être. Il a, en outre, noté que l’attribution du projet a été faite pour 19,2 millions d’euros. http://www.leconews.com/fr/actualites/nationale/industries/100-millions-d-euros-mobilises-28-03-2013-162765_340.php | |
| | | faty Colonel
Messages : 3229 Date d'inscription : 08/04/2012
| Sujet: Re: Actualités Economiques Ven 29 Mar - 14:47 | |
| ils devraient aussi favoriser une medecine et une médicamentation basé sur des produits naturels . nous savons les dérives de ces grands groupes de pharmacologies pharmabourse argenpharmaco aux détriment des patients qui en deviennent accroc de ces petites pilules dailleurs j avais vue un papier dans la presse disant que dorénavant les médecins Algériens seraient former par ces groupes cité ci dessus . la boucle est boucler le medecin former par le pharmatune fini la vraie medecine independante des lobbys il va falloir surveiller tout ça et avoir une hygiène de vie stricte malgrés que alimentations(légumes viandes farines et ses dérivées) eaux sont des problemes puisque pollué ogm traitement chimique et meme médicament pour les animaux vivants . bon un peu de gym footing pour se remplir les poumons d air impur puisque aussi problematique la solution | |
| | | boussouf Admin
Messages : 2099 Date d'inscription : 20/11/2011
| Sujet: Re: Actualités Economiques Dim 31 Mar - 11:07 | |
| Une bonne initiative d'autant plus qu'elle va être généralisée à plusieurs aéroports du sud du pays. Espérons qu'elle sera généralisée progressivement aux autres aéroports et à d'autres secteurs. Si les pouvoirs publics pouvaient généraliser le photovoltaique à l'éclairage public dans l'ensemble des communes du pays, ce serait déjà un grand progrès écologique et générateur d'emplois. - Citation :
-
Énergies renouvelables : l’aéroport de Chlef se mettra au solaire
L’utilisation des énergies renouvelables contribuera sans doute à réduire la facture de consommation, d’autant que le réseau électrique s’étend sur une dizaine de kilomètres.
Une première dans la wilaya en matière d’énergies renouvelables, l’éclairage extérieur de la zone entourant l’aéroport international Aboubakr Belkaïd de Chlef sera essentiellement alimenté en énergie solaire. C’est ce qui ressort de l’avis d’appel d’offres national restreint lancé récemment par l’Établissement de Gestion de Services Aéroportuaires pour la réalisation des travaux de l’éclairage en énergie solaire photovoltaïque. L’opération concerne également les aéroports relevant de l’EGSA d’Alger, à savoir Tamanrasset, In Amenas, Illizi, Djanet, El-Goléa, Ghardaïa, El Oued et In Salah). Il est précisé, par ailleurs, que le présent appel est destiné aux seules entreprises spécialisées dans les systèmes d’éclairage en énergie solaire (panneaux photovoltaïques).
http://www.elwatan.com/regions/ouest/chlef/energies-renouvelables-l-aeroport-se-mettra-au-solaire-27-03-2013-208052_137.php | |
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