Actualités Economiques

boussouf a écrit:

Une bonne initiative d'autant plus qu'elle va être généralisée à plusieurs aéroports du sud du pays. Espérons qu'elle sera généralisée progressivement aux autres aéroports et à d'autres secteurs. Si les pouvoirs publics pouvaient généraliser le photovoltaique à l'éclairage public dans l'ensemble des communes du pays, ce serait déjà un grand progrès écologique et générateur d'emplois.

Citation :

Énergies renouvelables : l’aéroport de Chlef se mettra au solaire

L’utilisation des énergies renouvelables contribuera sans doute à réduire la facture de consommation, d’autant que le réseau électrique s’étend sur une dizaine de kilomètres.

Une première dans la wilaya en matière d’énergies renouvelables, l’éclairage extérieur de la zone entourant l’aéroport international Aboubakr Belkaïd de Chlef sera essentiellement alimenté en énergie solaire. C’est ce qui ressort de l’avis d’appel d’offres national restreint lancé récemment par l’Établissement de Gestion de Services Aéroportuaires pour la réalisation des travaux de l’éclairage en énergie solaire photovoltaïque. L’opération concerne également les aéroports relevant de l’EGSA d’Alger, à savoir Tamanrasset, In Amenas, Illizi, Djanet, El-Goléa, Ghardaïa, El Oued et In Salah). Il est précisé, par ailleurs, que le présent appel est destiné aux seules entreprises spécialisées dans les systèmes d’éclairage en énergie solaire (panneaux photovoltaïques).

http://www.elwatan.com/regions/ouest/chlef/energies-renouvelables-l-aeroport-se-mettra-au-solaire-27-03-2013-208052_137.php

@Boussouf, merci pour cette bonne nouvelle.
Wallah je pense que c'est 3ib que le solaire soit si peu utiliser chez nous et dans le Sud.
Il faut ancrer des applications dans la tête des gens pour qu'enfin de jeunes se lancent dans l'importation de panneaux chinois (pas chers du tout - en attendant la production nationale) et l'installation de panneaux chez les particuliers.

@zoubir, je suis d'accord avec toi, c'est triste que dans un pays aussi ensoleillé que le nôtre, on reste à la traine dans le domaine de l'énergie solaire, d'autant plus que c'est un secteur qui peut être créateur d'un grand nombre d'emplois. Mais à mon humble avis, tant que les pouvoirs publics ne donnent pas l'exemple, il sera difficile de renverser la tendance. La majorité de nos compatriotes sont trop conservateurs et trop paresseux pour se lancer tout seuls dans l'aventure.Je salue les rares compatriotes qui se sont lancés dans le photovoltaique. Je pense que pour les encourager, nous devrions les inventorier et en faire la publicité sur la toile, pour donner l'exemple et encourager les citoyens à adopter le solaire.

Une bonne nouvelle. Un privé algérien qui investit dans le domaine de la production pharmaceutique avec un partenaire allemand. Espérons qu'il fera des émules.

Citation :

Partenariat entre Novapharm et l'Allemand Merck
Une usine de médicaments en vue

Le laboratoire algérien Novapharm a signé hier soir un accord de partenariat avec le groupe pharmaceutique allemand Merck pour la réalisation d’une unité de fabrication de médicaments prescrits dans le traitement du diabète et de l’hypertension.

Lors d’une conférence de presse consacrée à cet événement, Karim Bendhou, président de Merck a révélé que cette usine qui entrera en service à partir du 4eme trimètre 2013, disposera d’une capacité de production et de distribution de 600 millions de comprimés par an. « La signature de cette déclaration commune avec notre partenaire algérien symbolise de manière concrète notre engagement en Algérie depuis 15 ans. A travers ce projet nous souhaitons répondre aux besoins du marché algérien en matière de traitement du diabète et de l’hypertension artérielle et ce, grâce à la production de nombreux médicaments au niveau local », a-t -il souligné.

Il a fait savoir qu’une fois ce genre de médicaments fabriqués localement, les prix vont baisser. Devant être installée au sein de l’usine de Novapharm à Bousmail, cette unité devrait générer plus de 150 emplois directs, a souligné pour sa part, Yassin Benamara, directeur général de Novapharm.

Un projet qui permet également de substituer 10 millions d’euros d’importations au profit de la production nationale et ainsi réduire les dépenses en devise de 12,5 millions d’euros, estime le même responsable, en poursuivant que « nous sommes très fiers de pouvoir mener ce projet avec nos équipes locales, pharmaciens, ingénieurs et techniciens.

A travers cette joint-venture, nous espérons aider au développement du secteur pharmaceutique, et répondre ainsi aux orientations gouvernementales d’accroitre de 70% la production locale dans le secteur pharmaceutique à l’échéance 2016 ».

http://www.leconews.com/fr/actualites/nationale/industries/une-usine-de-medicaments-en-vue-04-04-2013-162877_340.php

c est bien de fabriquer localement le medoc mais il serait encore mieux de s"alimenter correctement avec des produits saints non pollués avec une hygiène de vie saine .

le medoc la medicalisation les labos sont sources de beaucoup de dérapage contoler vers une aggravation de personnes dépendantes aux medoc

exemple malgrés que je n ai pas les chiffres le diabète de type 2 pratiquement inexistant il y a de cela 2 a 3 dizaines années qui est lié a la mal bouffe et a une depense physique amoindrie a cause d un changement de comportement de vie(mal bouffe pizza mcdo voiture plus de marche a pied ordi télé etc)
les gouvernants pas que le notre a travers le monde facilitent la production de medoc au detriment dune politique plus global qui doit tenir compte d un changement radical d alimentation et plus deffort physique dans different spot tele ecole et une obligation a industie alimentaire et aux fellah de ne pas empoisonner les personnes avec leurs produits

si cela était réellement fait nous aurions moin besoin de medoc ou beaucoup beaucoup plus tard 80 ans par exemple

sans compter les derapages de industrie pharmacetique qui avec ses milliards d euros fait la pluie et le beau temps .

@faty, je suis entièrement d'accord avec toi. Si on investissait dans une bonne alimentation et une bonne hygiène de vie pour la population dès l'enfance, je pense que la collectivité économiserait beaucoup en dépenses de santé et surtout en médicaments qui ont des effets secondaires problématiques. Mais bon, si on pouvait déjà diminuer les importations, on économiserait des devises et on créerait des emplois. Mais l'encouragement de l'investissement productif dans ce secteur stratégique ne doit pas empêcher de travailler en aval en vue d'améliorer les conditions d'alimentation et de vie de la population. Cela passe par une révolution culturelle. Il faut qu'on consomme plus de légumes frais, légumes secs, fruits et produits laitiers. Il est malheureux de constater par exemple que 50 ans après l'indépendance, notre société n'arrive pas à se réapproprier ses bonnes traditions culinaires comme par exemple de faire du fromage de brebis ou de chèvre. Cela ne demande pas un grand investissement financier, cela peut créer de l'emploi et cela a des effets très bénéfiques pour la santé. Et il faut surtout revenir à la pratique généralisée du sport à l'école et dans les quartiers.

il y a d autre problématique avec les industries pharmaceutiques

la corruption a grande echelle pour la prise de marcher cela existe partout beaucoup en france il va falloir etre vigilants mais bon je doute c est des milliards de dollars et beaucoup de cmmissions distribuer les principals victimes sont les malades la sécu et le trésor algerien qui financeront les labos.

Corruption : le DRS va s’impliquer dans le processus d’attribution de grands contrats publics

Citation :

Le DRS s’implique davantage dans la gestion des grands
contrats internationaux. Selon nos informations, le Département donnera
son avis sur tous les contrats publics avant leur attribution
définitive, afin de prévenir de nouveaux scandales de corruption.
« Jusqu’à présent le DRS contrôlait de loin l’attribution des
marchés. Désormais, il va s’impliquer directement, en vérifiant les
conditions du lancement des appels d’offres, la rédaction des cahiers de
charges qui parfois sont rédigés pour favoriser certains fournisseurs
et fausser la concurrence, le choix des entreprises de réalisation et
des fournisseurs seront contrôlés par le DRS », expliquent nos sources.

Autre décision prise dans le cadre des investigations sur la
corruption : les grands contrats attribués par Sonatrach durant ces
vingt dernières années feront l’objet de vérifications. « Des
enquêteurs du DRS appuyés par des spécialistes civils dans l’économie et
les marchés publics vont éplucher tous les grands contrats pétroliers
et gaziers passés par Sonatrach depuis 20 ans », affirment nos sources.
L’objectif de ces enquêtes est de déterminer les conditions
d’attribution parfois douteuses de certains marchés dans l’amont et
l’aval pétrolier, selon les mêmes sources.

Le DRS cherche aussi à savoir si les sociétés étrangères ont
surfacturé leurs prestations à Sonatrach pour obtenir d’importantes
marges leur permettant de verser des centaines de millions d’euros de
pots‑de‑vin à des intermédiaires algériens et étrangers. Saipem est
soupçonnée par la justice algérienne d’avoir surfacturé ses contrats à
Sonatrach, avec la complicité de responsables algériens.

Le secteur des hydrocarbures n’est pas le seul concerné par les
enquêtes du DRS. « Tous les gros contrats publics seront traités par les
enquêteurs du DRS, notamment ceux conclus pour la réalisation de
l’autoroute Est‑Ouest, des logements, les chemins de fer, les barrages
et les transferts d’eau, etc », affirment nos sources.

http://www.tsa-algerie.com/divers/corruption-le-drs-va-s-impliquer-dans-le-processus-d-attribution-de-grands-contrats-publics_24248.html


Je sens qu'une guerre de clans est en cours. Le DRS est de plus en plus présent et médiatisé. J'ai même vu un article qui donnait le Général Tewfik candidat aux éléctions de 2014.
Tout ceci ne laisse présager rien de bon pour l'économie nationale, à mon avis...

Samir il est tout a fait normal que nos service surveille ils sont payés pour ça ils sont dans leurs roles.


c est pas une exception Algérienne je dirais qu elle est mondiale pour tout service qui se respecte .


le reste n est que ragot les elections approchent et il aura des affaires qui vont sortir chacun va se positionner des attaques en dessous de la ceinture entre candidat vont apparaitre.

nos services aussi vont participer sous plusieurs formes c est "normal aussi"des fuites controler ou pas feront leurs apparitions en temps voulu.

quoi dire d autre tsa fait aussi partie d un service mais celui ci est diriger depuis la piscine boulevard mortier

[quote] Le premier modèle sort de l’usine demain
Un engin de marque Liebherr produit en Algérie



L’entreprise algérienne de fabrication de matériels de travaux publics, ENMPT, via sa filiale Somatel, attend un heureux événement pour demain, à l’usine d’Ain Smara de Constantine.
La naissance d’un rétro-chargeur (engin des travaux public) algérien sous le label du constructeur allemand, Liebherr. Cette annonce a été faite aujourd’hui par le ministre de l’Industrie, Cherif Rahmani, en compagnie de Phillipe Liebherr, le P-DG du groupe du même nom.
Cette réalisation a été le fruit d’un partenariat entériné entre Momatel, filiale de l’ENMPT, et le groupe Liebehrr. Leibherr est l’un des leaders mondiaux dans la fabrication des engins dédiés au secteur des travaux publics. L’investissement issu de ce partenariat a été évalué à un milliard DA, comme montant initial.
La société mixte algéro-allemande, dénommé Somatel-Liebherr, vise à produire toute une gamme d’engins sous le label Liebherr. Il s’agit notamment de Bulldozer 250 Cv et 250 CV, de chargeurs 2 M3 et 4M3, des pelles sur chenille de 26 tonnes et de 50 tonnes ainsi qu’une pelle sur pneus de 18 tonnes.
La production devra augmenter au fil des ans, selon les prévisions. A cet effet, selon le plan établi par les responsables de cette société, la production s’effectuera sur 4 ans pour passer de 166 engins en 213 à 400 engins minimum par an à partir de 4 eme année, avec possibilité de passer à 540 engins à la 6^e année.
Par ailleurs, Somatel-Liebherr prévoit de réaliser des investissements supplémentaires et élever progressivement le taux d’intégration des produits qui devra atteindre 35% à 50% à la 5eme année de production avec notamment l’intégration de nouveau moteurs refroidis à eau devant être fabriqués, en Algérie, par l’entreprise de fabrication de moteur EMO de Oued Hamimine de Constantine.
Le produit Liebherr fabriqué en Algérie a-t-il les mêmes caractéristiques que celui fabriqué en Allemagne ? « La gamme qui sera produite en Algérie possède les mêmes caractéristiques que les engins produits en Allemagne », a expliqué Phillipe Liebherr, visiblement ravi de l’implantation de son entreprise en Algérie.
Chérif Rahmani a indiqué que d’autres projets sont en cours de discussion avec le partenaire allemand. On assistera peut être, dans un avenir proche, à de nouveaux partenariats dans le domaine de l’aéronautique, de l’électroménager de l’outillage, etc. Autant de domaine où le groupe Liebherr possède une renommé universelle et une présence indiscutable sur le marché mondiale.
http://www.leconews.com/fr/actualites/nationale/industries/un-engin-de-marque-liebherr-produit-en-algerie-06-04-2013-162899_340.php

boussouf c'est une très bonne nouvelle

[quote="boussouf"]

Citation :

Le premier modèle sort de l’usine demain
Un engin de marque Liebherr produit en Algérie



L’entreprise algérienne de fabrication de matériels de travaux publics, ENMPT, via sa filiale Somatel, attend un heureux événement pour demain, à l’usine d’Ain Smara de Constantine.
La naissance d’un rétro-chargeur (engin des travaux public) algérien sous le label du constructeur allemand, Liebherr. Cette annonce a été faite aujourd’hui par le ministre de l’Industrie, Cherif Rahmani, en compagnie de Phillipe Liebherr, le P-DG du groupe du même nom.
Cette réalisation a été le fruit d’un partenariat entériné entre Momatel, filiale de l’ENMPT, et le groupe Liebehrr. Leibherr est l’un des leaders mondiaux dans la fabrication des engins dédiés au secteur des travaux publics. L’investissement issu de ce partenariat a été évalué à un milliard DA, comme montant initial.
La société mixte algéro-allemande, dénommé Somatel-Liebherr, vise à produire toute une gamme d’engins sous le label Liebherr. Il s’agit notamment de Bulldozer 250 Cv et 250 CV, de chargeurs 2 M3 et 4M3, des pelles sur chenille de 26 tonnes et de 50 tonnes ainsi qu’une pelle sur pneus de 18 tonnes.
La production devra augmenter au fil des ans, selon les prévisions. A cet effet, selon le plan établi par les responsables de cette société, la production s’effectuera sur 4 ans pour passer de 166 engins en 213 à 400 engins minimum par an à partir de 4 eme année, avec possibilité de passer à 540 engins à la 6^e année.
Par ailleurs, Somatel-Liebherr prévoit de réaliser des investissements supplémentaires et élever progressivement le taux d’intégration des produits qui devra atteindre 35% à 50% à la 5eme année de production avec notamment l’intégration de nouveau moteurs refroidis à eau devant être fabriqués, en Algérie, par l’entreprise de fabrication de moteur EMO de Oued Hamimine de Constantine.
Le produit Liebherr fabriqué en Algérie a-t-il les mêmes caractéristiques que celui fabriqué en Allemagne ? « La gamme qui sera produite en Algérie possède les mêmes caractéristiques que les engins produits en Allemagne », a expliqué Phillipe Liebherr, visiblement ravi de l’implantation de son entreprise en Algérie.
Chérif Rahmani a indiqué que d’autres projets sont en cours de discussion avec le partenaire allemand. On assistera peut être, dans un avenir proche, à de nouveaux partenariats dans le domaine de l’aéronautique, de l’électroménager de l’outillage, etc. Autant de domaine où le groupe Liebherr possède une renommé universelle et une présence indiscutable sur le marché mondiale.
http://www.leconews.com/fr/actualites/nationale/industries/un-engin-de-marque-liebherr-produit-en-algerie-06-04-2013-162899_340.php

Que dire.. C'est une bonne nouvelle!!

Une bonne nouvelle...si elle pouvait être sérieuse mais je n'y crois guère. Qu'ils reviennent d'abord à la production d'1 million de tonnes qui était celle d'El Hadjar dans le temps et après on avisera. En plus, ce qui m'inquiète c'est l'investissement d'1 milliard de dollars. Qui va le sortir? Sûrement pas ArceloMital vu la crise qu'il traverse. Je crains que ce groupe vorace nous joue le même tour qu'il a joué en Belgique et ailleurs: prendre l'argent public, jouer la comédie quelques années et puis se déclarer une nouvelle fois en difficultés pour avoir encore de l'argent. Si l'Algérie doit débourser l'argent pour augmenter la production et l'emploi, qu'elle négocie une plus grande participation (51% des parts par ex). Si ArcelorMital refuse, c'est que ses intentions ne sont pas nettes.
[quote] Hausse de la capacité de production d'El Hadjar

10 avr 2013

Algérie-Espagne : Signature de 5 accords de partenariat

Citation :

L’Algérie et l’Espagne ont signé ce lundi à Alger cinq protocoles d’accord de partenariat industriel à travers des entreprises algériennes et espagnoles, lors d’un forum d’hommes d’affaires algéro-espagnol.

La cérémonie de signature de ces accords a été présidée par le algérien de l’Industrie Cherif Rahmani et de son homologue espagnol José Manuel Soria Lopez. Ils portent sur plusieurs secteurs notamment le bâtiment et les travaux publics, la chimie, la mécanique et l’ingénierie.

Un pacte d’actionnaires déterminant l’organisation et la gestion de la future société mixte algéro-espagnole qui devrait produire 200 à 300 engins routiers de 5 à 25 tonnes à l’usine de Ain Smara de Constantine (430 km à l’est d’Alger) a également été signé.
Rahmani n’a pas manqué de souligner que l’Algérie ambitionne de développer une industrie de production notamment dans les filières de la métallurgie, la sidérurgie, les matériaux de construction, la manufacture et l’agro-alimentaire.

Le ministre algérien a également précisé que le partenariat algéro-espagnol s’appuie sur le transfert du savoir-faire, pour que l’Algérie acquiert la technologie nécessaire pour la fabrication des équipements industriels tels les engins de travaux routiers notamment avec le lancement de grands chantiers comme les autoroutes, le rail et les barrages.

Il est à rappeler que l’Algérie et l’Espagne sont liées depuis 2002 par un traité d’amitié et entretiennent des liens économiques étroits notamment en matière énergétique.

http://www.algerie1.com/actualite/algerie-espagne-signature-de-5-accords-de-partenariat/

JIJEL
Bientôt la réalisation du complexe sidérurgique de Bellara
Par : Mouloud Saou





La première phase du complexe, qui entrera en activité en 2017, produira deux millions de tonnes d’acier par an, pour atteindre quatre millions de tonnes en 2019.

Citation :

Lors de leur visite la semaine écoulée à Jijel, le président du conseil d’administration et le directeur général du groupe Sider ont présenté tous les aspects liés au complexe sidérurgique de Bellara (commune d’El-Milia). Selon nos informations, le projet, prévu en partenariat entre Sider et Qatar Steel International, sera réalisé dans un délai de 30 mois à compter du mois de décembre prochain, et ce, selon la règle des 51/49% régissant l’investissement étranger en Algérie. Après une étude de marché et de faisabilité réalisée par le bureau d’études Atkins, et après quatre réunions du Conseil des participations de l'Etat (CPE) consacrées au projet, un protocole d’accord et de partenariat a été signé au début de l’année en cours, suivi d’un pacte d’actionnaires signé en mars passé. Le coût global du projet est estimé à 134 milliards de dinars, soit près de 1,7 milliard de dollars.
La première phase du complexe, qui entrera en activité en 2017, produira deux millions de tonnes d’acier par an, pour atteindre quatre millions de tonnes en 2019. Concernant l’emploi, la première phase du projet permettra la création de près de 2 000 emplois directs. Le projet du complexe sera accompagné par l’installation d’une usine de production de gaz industriels et d’une usine de production de chaux vive. Il fera également l’objet d’une étude d’impact sur l’environnement. Le wali de Jijel a, de son côté, rappelé aux dirigeants du groupe Sider les projets structurants décidés par l’Etat autour des pôles stratégiques que constituent le port de Djendjen et le complexe sidérurgique de Bellara, à l’instar de la réalisation d’une amenée d’eau vers la zone de Bellara du barrage de Bousiaba (El-Milia) à raison de 20 millions de m3 par an, la réalisation par le groupe Sonelgaz d’une méga-centrale électrique de 1 600 mégawatts à l’intérieur de la zone, le doublement de la voie ferrée entre le port de Djendjen et la zone de Bellara ainsi que la réhabilitation de la route d’accès à la zone de Bellara, le doublement de la RN27 et la réalisation d’une pénétrante autoroutière pour relier le port de Djendjen à l’autoroute Est-Ouest.
En ce qui concerne le développement du port de Djendjen, le wali a insisté sur la modernisation de cette infrastructure portuaire avec la réalisation d’un terminal à conteneurs dans les plus brefs délais, et la réalisation d’une voie ferrée entre le port en question et la commune d’El-Eulma, wilaya de Sétif.
Par ailleurs, et en raison de l’importance du suivi et de la coordination du projet du complexe sidérurgique, le wali a décidé de mettre en place un comité d’accompagnement qui regroupera les directeurs dont les secteurs ont un lien avec le projet.
Enfin, considérant que la société algéro-qatarie sera domiciliée dans la wilaya de Jijel, il a été convenu de confier la rédaction des statuts à la direction des domaines de la wilaya ainsi que la finalisation des procédures de concession du terrain de la zone industrielle de Bellara.
Tous ces projets garantiront une croissance économique à la wilaya de Jijel, notamment avec la création d’emplois.

http://www.liberte-algerie.com/algerie-profonde/bientot-la-realisation-du-complexe-siderurgique-de-bellara-jijel-198203

Séquence vidéo de l'inauguration de l'usine d'engins de chantier en partenariat avec LIEBHERR:


https://youtu.be/ISOXPOtquk4

Fabrication de pipe à Ghardaïa:

https://youtu.be/IAb9a8VwGB0

Usine de véhicules en partenariat avec Mercedes.

https://youtu.be/NroPCY_RenA

Algérie: nouvelles découvertes d'hydrocarbures

Citation :

Le groupe public algérien Sonatrach et ses partenaires thaïlandais
(PTTEP) et chinois (CNOOC) ont annoncé jeudi avoir mis en évidence de
nouvelles accumulations d'huile dans trois puits à 800 km au sud
d'Alger.
Sonatrach et ses deux partenaires "ont honoré les
obligations contractuelles de la première phase de recherche, consistant
en le forage de neuf puits d'exploration", indique le communiqué de
Sonatrach cité par l'agence algérienne APS.
Durant cette campagne de
forage de la première phase de recherche du périmètre Hassi Bir Rekaiz
(bassin de Berkine) qui a commencé en décembre 2011, sept puits ont été
testés donnant lieu à des débits d'huile et de gaz associé très
satisfaisants, et un puits positif par diagraphies qui sera testé
incessamment, a indiqué Sonatrach.
Le puits SAB-1 (Sahane Bagas-1) a
produit 15,3 m3/h d'huile à partir du réservoir Trias Argileux Gréseux
Inférieur (TAGI) et 2,34 m3/h d'huile à partir du réservoir Grès de
Ouargla (Ordovicien).
Le puits RDA-1 (Rhourde Abadje-1) a produit 3,2 m3/h d'huile à partir du réservoir TAGI.
Le puits RHF-1 (Rhourd Rhorfat-1) a, quant à lui, produit 3,16 m3/h d'huile à partir du réservoir Ordovicien.
La
compagnie nationale algérienne et ses partenaires ont convenu
d'entreprendre des travaux complémentaires sur ces découvertes pour en
apprécier l'étendue en vue de les développer dans la suite des projets
inscrits dans le bassin de Berkine.
Dans ce contrat, Sonatrach possède 51% tandis que CNOOC et PTTEP détiennent chacune 24,5% .
Sonatrach a réalisé un chiffre d'affaires à l'exportation de 72 milliards de dollars en 2011 contre 56 milliards en 2010.

Vidéo de la chaîne de montage de tracteurs agricoles sous licence Massey-Fergusson:

https://youtu.be/g5Xg3N9eFd0

Une heureuse initiative d'une jeune diplômée algérienne qui n'a pas attendu qu'on lui offre un emploi et qui a décidé de créer sa propre entreprise grâce au dispositif de la Caisse nationale de chômage (CNAC). Bravo à cette jeune compatriote, bravo aux cadres de la CNAC de Tizi Ouzou qui l'ont aidée Que cette expérience serve d'exemple aux milliers de diplômés au chômage !

Citation :

Tassadit Betrouni, jeune entrepreneur
Objectif: passer à l'exportation


19 avr 2013
Le Salon national de l'emploi Salem-2013 se déroule jusqu’au 21 avril en cours à la Safex. 300 micro-entreprises créées dans le cadre de différents dispositifs (Cnac, Angem et l'Ansej) sont présentes. Des jeunes entrepreneurs de différentes régions du pays sont venu pour se faire connaître, s’échanger leurs expériences, nouer des contactes avec des clients et également chercher des partenaires dont le but d’étendre l’activité de leur entreprise. Parmi eux, Tassadit Betrouni, une jeune entrepreneure qui a fait part à L’Econews de l’activité de son micro-entreprise et des conditions lesquelles elle été créée.



L’Éconews : Peut-on savoir dans quel cadre a été créée votre micro-entreprise et qu’elle est son activité ?
Tassadit Betrouni : mon entreprise a été créée dans le cadre du dispositif de la Caisse nationale de chômage CNAC (agence de Tizi Ouzou). Elle est spécialisée dans l’Industrie de transformation et de fabrication d’objets de sparterie et vannerie. Je produis des petits coffres pour les bijoux (ovales, ronds), du moulage sur les vases, bouteilles, miroirs, des paniers à pain, des veilleuses, des sacs couverts et surtout le panier gondole en osier, est très demandé.
Comment avez-vous créé cette micro-entreprise ?
Je suis licenciée en sciences économiques, option finances. Et comme j’ai une passion pour l’artisanat, j’ai monté un projet dans ce sens. J’ai pu créer mon entreprise avec l’aide de la CNAC. Ce qui m’a permis de décrocher un crédit au niveau de la Banque nationale d’Alger.
Est-ce qu’on vous a facilité les procédures administratives pour la création de votre micro-entreprise ?
En ce qui me concerne, je n’ai pas trouvé beaucoup de difficultés. Ce qui n’est pas toujours le cas pour les autres.
Quel est le coût de vos investissements dans cette micro-entreprise?
Le coût total est de 2.167.611 DA. L’apport personnel est de 1% et pour le reste du montant, c’est le crédit qui m’a été accordé par la BNA versé en plusieurs tranches. J’ai investie environ de 29 millions de centimes dans l’achat de machines notamment la scie circulaire, la scie sauteuse, la raboteuse à bois, des chignoles et autre matériel. J’ai acheté également de la matière première pour 25 millions de centimes et un véhicule qui m’a couté 153 millions de centimes pour me déplacer ou pour livrer la marchandise.
Qu’en est-t-il de la matière première ? Vous l’achetez ici en Algérie ou vous l’importez ?
Je l’achète chez des importateurs qui sont des artisans comme moi et qui ont des autorisations pour l’importation de cette matière première. Elle est généralement importée de d’Espagne, de Chine et de d’Indonésie.
Avez-vous créé des emplois ?
Actuellement, je travaille avec mon mari. Mais je compte créer plusieurs emplois prochainement. De toutes les façons, cela s’impose vu que le nombre de commandes ne cesse d’augmenter. Donc cela va nécessiter de la main-d’œuvre d’autant plus que c’est un travail qui demande de la précision et beaucoup de temps. J’ai des clients un peu part tout. Mes produits sont très demandés. Un de mes clients me fait des commandes illimitées.
Quels sont les problèmes que vous rencontrez dans votre activité ?
Je rencontre des problèmes notamment au niveau de l’achat de la matière première qui est l’osier (l’éclisse, le rotin, le rosier naturel et bambou). Cette matière est non seulement coûteuse, mais pas toujours disponible. D’ailleurs, j’aimerais bien avoir une autorisation pour l’importer moi-même en attendant qu’elle soit produite en Algérie. Il faut savoir que nous avons de l’osier mais il est mal traité. Pour avoir de la matière de qualité, cela nécessite beaucoup de technicité. Nous avons tous les moyens pour faire des pépinières de d’osier. Nous avons des zones humides et également la main-d’œuvre. Tout ce qui manque c’est la technicité. Aussi, une formation dans ce sens est indispensable, si on veut diminuer l’importation de cette matière.
Comptez-vous entrer en partenariat avec d’autres entreprises?
Oui. C’est le but de ma participation à ce salon. J’aimerai savoir des partenaires notamment étrangers pour pouvoir satisfaire le marché local et exporter éventuellement.
Peut-on avoir une idée sur le prix de vos produits?
Le prix diffère d’un produit à un autre. Le panier gondole, par exemple, est cédé à 1.000 DA au prix de détail. Au détail, il est vendu entre 500 à 600 DA.

http://www.leconews.com/fr/actualites/nationale/investissement/objectif-passer-a-l-exportation-19-04-2013-163099_360.php

Nul doute que la station de dessalement de l'eau de mer d'El Hamma a contribué à l'approvisionnement en eau de la capitale mais j'imagine que cette station doit être tellement énergivore. Vous me direz que c'est mieux d'utiliser notre gaz à cette fin plutôt que de l'exporter en l'état. Mais que faire le jour où nous n'aurons plus de gaz? Ne serait-il pas temps de commencer à penser à l'énergie solaire pour alimenter ce genre de centrales ?

Citation :

AEC et General Electric fêtent cinq années d'approvisionnement en eau potable de la ville d'Alger : La station de dessalement d'eau de mer El Hamma...

Mise à jour : 21-04-2013

Les entreprises Algerian Energy Company (AEC) et GeneralElectric (GE) marquent la cinquième année depuis l'inauguration de la station de dessalement d'eau de mer d'El Hamma, l'une des principales sources en eau potable de la ville d'Alger. La plus grande station de dessalement d'eau de mer d'Afrique, El Hamma fut inaugurée en 2008 et fournit aujourd'hui de l'eau potable quotidiennement à presque un million et demi d'Algérois. Grâce à l'utilisation d'une membrane à osmose inverse certifiée " GE ecomagination ", l'usine d'El Hamma purifie près de 200 000 m3 d'eau de mer par jour, fournissant ainsi au quotidien une eau propre et potable à plus de 25% de la population de la ville. La station a jusqu'ici traité près de 300 millions de m3 d'eau potable, soulignant par là son importance stratégique pour répondre aux besoins quotidiens de la ville d'Alger, selon un communiqué transmis à notre rédaction. " La station de dessalement d'eau de mer d'El Hamma est une réalisation dont nous sommes très fiers : c'est l'un des projets les plus importants de GE, non seulement en termes d'investissement, mais aussi en termes de dimension et dans la façon dont elle a changé la vie des gens, " a déclaré le directeur général de GE Power & Water et responsable de l'opération de l'usine d'El Hamma. " Nous nous engageons à renforcer nos partenariats dans le pays et, alors que l'Algérie se concentre aujourd'hui sur l'amélioration de son système de gestion des eaux usées, nous voyons de nouvelles opportunités de croissance capables d'améliorer la vie des gens. Nous avons construit des partenariats solides dans le pays et la station d'El Hamma est un témoignage réel de la façon dont nos technologies apportent des améliorations concrètes à la communauté. " Il y a lieu de noter que la station de Hamma appartient à Hamma Water Desalination Spa (HWD), une joint-venture (JV) entre GE - qui possède 70% de la JV - et l'Algerian Energy Company (AEC) qui possède les 30% restants. GE est responsable des opérations de la station sur 25 ans d'après un accord de maintenance et d'opération. HWD a signé un agrément " take or pay " de vente et d'achat d'eau avec l'Algérienne des Eaux (ADE), l'autorité algérienne de l'eau et Sonatrach. Il y a lieu de rappeler que l'usine est exploitée par 70 employés algériens, soit une croissance de 27 % depuis 2008,preuve des efforts continus de GE quant au renforcement du capital humain algérien et l'enrichissement du talent des professionnels locaux.

http://www.lemaghrebdz.com/?page=detail_actualite&rubrique=Entreprises&id=55166

mais ils ont déjà commencé, je crois y a une partie de l’énergie qui est est assurée par les énergies renouvelables...

Citation :

(APS) dimanche 21 avril 2013
Filières mécanique et construction métallique : signature de contrats de performances



ALGER - Deux contrats de performance ont été signés, dimanche à Alger, entre le ministère de l’Industrie, de la PME et de la promotion de l’investissement et les Sociétés de gestion de participation de l’Etat (Sgp) Equipements industriels et agricoles (Equipag), et Constructions métalliques (Construmet).

Ces contrats ont pour objectifs d’augmenter les capacités de production, de créer de nouveaux emplois permanents, d’améliorer la qualité des produits des entreprises relevant de ces deux SGP, qui seront dotées des nouvelles technologies pour gagner des parts de marchés à l’exportation.

Il s’agit aussi de promouvoir le partenariat dans le cadre de la sous-traitance pour la fabrication de composants mécaniques mais aussi de créer à l’avenir des milliers de postes d’emploi, a souligné le ministre de l’Industrie, de la PME et de la promotion de l’investissement, Cherif Rahmani, lors de la cérémonie de signature.’’Ces contrats de performance visent à fixer les modalités de concrétisation des partenariats entre les entreprises publiques (relevant des SGP Equipag et Construmet) et privées, à substituer à l’importation et développer la sous-traitance", a précisé M. Rahmani.

Soulignant la nécessité d’attirer à l’avenir davantage de partenaires étrangers pour les filières de la mécanique et des constructions métalliques, le ministre a affirmé que ces plans de développement permettront de mettre en place des projets ’’rentables’’. Ainsi, les entreprises relevant des deux SGP s’engagent à mettre en œuvre des plans de développement pour augmenter le chiffre d’affaires de deux fois et demi pour la filière mécanique et de trois fois pour la filière des constructions métalliques d’ici 2022, a-t-on indiqué.

Le programme d’investissement des entreprises de la SGP Equipag sera réalisé à 55% à fin 2013, de 85% à fin 2014, à 92% à fin 2014, et sera achevé au trimestre 2016. Ce programme est consacré à 48% pour la modernisation des capacités existantes et de 45% pour le développement de nouveaux projets d’unités industrielles, 7% sont affectés pour la formation au profit du personnel.

Par ailleurs, 16 nouveaux projets de partenariat sont programmés avec des groupes industriels internationaux dans le domaine du machinisme agricole, d’engins de travaux publics, de pompes hydrauliques, de vannes hydrocarbures et d’équipements de stations d’épuration.

Les nouveaux projets qui seront lancés dans le cadre de ces contrats de performances permettront d’augmenter la valeur ajoutée de la filière mécanique entre 2013 et 2022 de deux fois et demi, à raison d’un taux de croissance moyen annuel de 10%. En outre, la filière sera dotée à fin 2022 d’une capacité de remboursement et d’autofinancement suffisante pour assurer l’expansion des entreprises relevant du portefeuille de la SGP Equipag. Ces entreprises prévoient également de créer de 3.000 nouveaux postes d’emplois.

Pour la filière métallique, le taux de réalisation du programme d’investissement sera de 58% à fin 2013, de 87% à fin 2014 et sera achevé à fin 2015, selon les projections du ministère. Ce programme est consacré à 80% pour la modernisation, alors que 18% seront destinés au développement de nouveaux projets d’unités industrielles. 2% du programme seront affectés à la formation des ressources humaines. La valeur ajoutée de cette filière croîtra, quant à elle, durant la période 2013-2022 de deux fois et demie, à raison d’un taux de croissance moyen annuel de 11%.

Les entreprises de la SGP Construmet prévoient par ailleurs la création de 2.800 nouveaux emplois. Ces contrats ont été signés par les présidents des directoires des SGP Equipag, et Construmet, respectivement, Bachir Dehimi et Youcef Lehlou, et le Directeur général de la gestion du secteur public marchand au sein du ministère en présence du ministre de l’Industrie et du Secrétaire général de l’Union générale des travailleurs algériens (UGTA), Abdelmadjid Sidi-Saïd.

http://www.aps.dz/Signature-de-contrats-de.html

boussouf a écrit:

Une heureuse initiative d'une jeune diplômée algérienne qui n'a pas attendu qu'on lui offre un emploi et qui a décidé de créer sa propre entreprise grâce au dispositif de la Caisse nationale de chômage (CNAC). Bravo à cette jeune compatriote, bravo aux cadres de la CNAC de Tizi Ouzou qui l'ont aidée Que cette expérience serve d'exemple aux milliers de diplômés au chômage !

Citation :

Tassadit Betrouni, jeune entrepreneur
Objectif: passer à l'exportation


19 avr 2013
Le Salon national de l'emploi Salem-2013 se déroule jusqu’au 21 avril en cours à la Safex. 300 micro-entreprises créées dans le cadre de différents dispositifs (Cnac, Angem et l'Ansej) sont présentes. Des jeunes entrepreneurs de différentes régions du pays sont venu pour se faire connaître, s’échanger leurs expériences, nouer des contactes avec des clients et également chercher des partenaires dont le but d’étendre l’activité de leur entreprise. Parmi eux, Tassadit Betrouni, une jeune entrepreneure qui a fait part à L’Econews de l’activité de son micro-entreprise et des conditions lesquelles elle été créée.



L’Éconews : Peut-on savoir dans quel cadre a été créée votre micro-entreprise et qu’elle est son activité ?
Tassadit Betrouni : mon entreprise a été créée dans le cadre du dispositif de la Caisse nationale de chômage CNAC (agence de Tizi Ouzou). Elle est spécialisée dans l’Industrie de transformation et de fabrication d’objets de sparterie et vannerie. Je produis des petits coffres pour les bijoux (ovales, ronds), du moulage sur les vases, bouteilles, miroirs, des paniers à pain, des veilleuses, des sacs couverts et surtout le panier gondole en osier, est très demandé.
Comment avez-vous créé cette micro-entreprise ?
Je suis licenciée en sciences économiques, option finances. Et comme j’ai une passion pour l’artisanat, j’ai monté un projet dans ce sens. J’ai pu créer mon entreprise avec l’aide de la CNAC. Ce qui m’a permis de décrocher un crédit au niveau de la Banque nationale d’Alger.
Est-ce qu’on vous a facilité les procédures administratives pour la création de votre micro-entreprise ?
En ce qui me concerne, je n’ai pas trouvé beaucoup de difficultés. Ce qui n’est pas toujours le cas pour les autres.
Quel est le coût de vos investissements dans cette micro-entreprise?
Le coût total est de 2.167.611 DA. L’apport personnel est de 1% et pour le reste du montant, c’est le crédit qui m’a été accordé par la BNA versé en plusieurs tranches. J’ai investie environ de 29 millions de centimes dans l’achat de machines notamment la scie circulaire, la scie sauteuse, la raboteuse à bois, des chignoles et autre matériel. J’ai acheté également de la matière première pour 25 millions de centimes et un véhicule qui m’a couté 153 millions de centimes pour me déplacer ou pour livrer la marchandise.
Qu’en est-t-il de la matière première ? Vous l’achetez ici en Algérie ou vous l’importez ?
Je l’achète chez des importateurs qui sont des artisans comme moi et qui ont des autorisations pour l’importation de cette matière première. Elle est généralement importée de d’Espagne, de Chine et de d’Indonésie.
Avez-vous créé des emplois ?
Actuellement, je travaille avec mon mari. Mais je compte créer plusieurs emplois prochainement. De toutes les façons, cela s’impose vu que le nombre de commandes ne cesse d’augmenter. Donc cela va nécessiter de la main-d’œuvre d’autant plus que c’est un travail qui demande de la précision et beaucoup de temps. J’ai des clients un peu part tout. Mes produits sont très demandés. Un de mes clients me fait des commandes illimitées.
Quels sont les problèmes que vous rencontrez dans votre activité ?
Je rencontre des problèmes notamment au niveau de l’achat de la matière première qui est l’osier (l’éclisse, le rotin, le rosier naturel et bambou). Cette matière est non seulement coûteuse, mais pas toujours disponible. D’ailleurs, j’aimerais bien avoir une autorisation pour l’importer moi-même en attendant qu’elle soit produite en Algérie. Il faut savoir que nous avons de l’osier mais il est mal traité. Pour avoir de la matière de qualité, cela nécessite beaucoup de technicité. Nous avons tous les moyens pour faire des pépinières de d’osier. Nous avons des zones humides et également la main-d’œuvre. Tout ce qui manque c’est la technicité. Aussi, une formation dans ce sens est indispensable, si on veut diminuer l’importation de cette matière.
Comptez-vous entrer en partenariat avec d’autres entreprises?
Oui. C’est le but de ma participation à ce salon. J’aimerai savoir des partenaires notamment étrangers pour pouvoir satisfaire le marché local et exporter éventuellement.
Peut-on avoir une idée sur le prix de vos produits?
Le prix diffère d’un produit à un autre. Le panier gondole, par exemple, est cédé à 1.000 DA au prix de détail. Au détail, il est vendu entre 500 à 600 DA.

http://www.leconews.com/fr/actualites/nationale/investissement/objectif-passer-a-l-exportation-19-04-2013-163099_360.php

Une vidéo montrant ce métier à sauvegarder: https://youtu.be/oL2UVeLoFwg

Une bonne nouvelle. Des entreprises algériennes répondent à l'appel d'offres du tramway de Mostaganem. Même si elles font souvent das le adre d'un groupement ax côtés d'etreprises étrangères plmus expériementées, cette participation leur permettra à coup sûr d'enganger une expérience et un savoir-faire bénéfiques pour leur développement futur et pour le développement du pays.

Citation :

Offres financières du tramway de Mostaganem
Les entreprises algériennes en force

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L'Entreprise du métro d'Alger a procédé, aujourd’hui, à l'ouverture des offres financières relatives à la réalisation du projet du tramway de Mostaganem.



Sept groupements d’entreprises ont soumissionné pour la réalisation de ce projet. Les soumissionnaires sont sept entreprises algériennes, qui participent en force, (ETRHB, INFRARAIL, SOFTAL, SEROR, KOUGC, ROTAHAM et SAPTA), quatre entreprises espagnoles (SACYR, SICE, CORSAN CORVIAM et ISOLUX), trois entreprises françaises (COLAS RAIL, BOUYIGUE et ALSTOM), une entreprise chinoise (CCECC), une entreprise portugaise (EIXUIERA), une entreprise italienne (ASTAL DI), une entreprise turque (YOPI MERKEZI) et une entreprise égyptienne (ORASCOM Construction).

Le premier groupement est constitué de l’entreprise algérienne (ETRHB) et l’entreprise espagnole (SACYR). Ce groupe a soumissionné pour un montant de 29693177738,92 DA (TTC), réparti à hauteur 49% pour ETRHB et 51% pour SACYR, avec un rabais de 1,5. L’entreprise algérienne INFRARAIL et l’entreprise chinoise CCECC qui constituent le deuxième groupement ont soumissionné pour un montant de 24352505425,28 DA(TTC) avec un taux de participation, respectivement, de 23,67% pour INFRARAIL et 76,33% pour CCECC.

Le troisième groupement a soumissionné pour un montant de 28770490438,60 DA. Ce groupement est constitué de quatre entreprises, EIXIERA avec un taux de participation de 45%, ORASCOM construction (43%), SICE (9%) et SOFTAL (3%). L’ETRHB soumissionne cette fois-ci avec une entreprise italienne ASTRAL et une autre entreprise algérienne SESOR, dans le quatrième groupement, pour un montant de 25390480557,27 DA. L’entreprise italienne participe avec un taux de 70% et les deux entreprises algériennes partagent à égalité les 30% qui restent. Ces quatre groupements précédents ont soumissionné pour un délai de réalisation de 44 mois.

Deux autres entreprises algériennes (RITAHEM et SAPTA) soumissionnent, dans le cinquième groupement, avec une entreprise turque (YOPI MERKEZI), pour un montant de 24328842224,39 DA(TTC), avec des taux de participation respectifs de 17,4% pour RITAHEM, 10,6% pour SAPTA et 72% pour l’entreprise turque. KOUGC est une autre entreprise algérienne qui soumissionne, dans le sixième groupement, avec deux entreprises françaises COLAS RAIL et BOUYGUE pour un montant de 36626405997,11 DA(TTC) DA et avec un rabais de 7% sur le montant hors taxe, se partageant respectivement 37%,89% pour KOUGC, 52,34% pour COLAS RAIL et 9,77% pour BOUYGUE.

Pour ce qui est du dernier groupement, qui est constitué de deux entreprises espagnoles, appartenant à un même groupe espagnol CORSAN CORVIAM, CORSAN CORVIAM Construction et ISOLUX engineering, et une entreprise française ALSTOM, soumissionne pour un montant de 25341041237,50 DA, se partageant, elles aussi, respectivement 67,63% pour CORSAL CORVIAM, 28,47% pour ALSTON et 3,90% pour ISOLUX engineering et avec un délai de réalisation de 43 mois.

Il est à souligner que la séance d’ouverture des plis s’est déroulée dans le calme total et dans la transparence avec la présence des entreprises de chaque groupement et un huissier de justice. Certains groupements ont été appelé à refaire certains documents dans un délai de 10 jours. Dépassant ce délai, l’offre sera annulée, selon la commission qui a procédé à l’ouverture de plis. Il reste maintenant le travail de la commission qui va évaluer les offres proposées pour désigner le bénéficiaire du projet, ont-ils ajouté à la fin de la séance. Pour rappel, le projet du tramway de Mostaganem porte sur notamment la réalisation de deux lignes sur une distance globale dépassant 14 km, avec un total de 24 stations ainsi que quatre ouvrages d’art. Le projet réserve également une superficie de 12 hectares, dans la localité de Salamandre pour la construction d’un parc et un atelier de maintenance. Devant être mis en service en 2016, le tramway de Mostaganem est censé transporter environ 500.000 passagers chaque jour.

http://www.leconews.com/fr/actualites/nationale/transport/les-entreprises-algeriennes-en-force-25-04-2013-163203_294.php

Alfatron, filiale de l'entreprise publique ENIE passe à une nouvelle étape de son développement. Chargée jusqu'ici de livrer des équipements informatiques pour les sociétés et les administrations ,elle compte dorénavant cibler aussi le grand public. Pour rappel, Alfatron est partie prenante dans la société mixte algéro-allemande SCAFSE basée à Sidi Bel Abb§s et chargée de fabriquer des systèmes électroniques principalement pour le compte du MDN. Alors, souhaitons à ALFATRON tout le succès qu'elle mérite !

Citation :

Soufi Adnane, chargé de marketing à Alfatron
«Nous visons le grand public»

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L’entreprise publique Alfatron ambitionne de faire l’assemblage et la commercialisation de 10 000 à 15 000 PC par an, tous types confondus, avec une nouvelle stratégie, visant ainsi le grand public. C’est ce qu’a indiqué à L’Econews le chargé de marketing d’Alfatron, Soufi Adnane, lors du Salon International de la Bureautique, de l’Informatique et de la Communication, SICOM 2013, qui se déroule jusqu’au 27 avril en cours à la Safex.



L’Econews :Alfatron est une entreprise publique économique. Quelle est son activité?
Soufi Adnane :Effectivement, Alfatron est devenue une entreprise étatique. Elle existe depuis 1988. Auparavant, c’était une entreprise algéro-palestinienne. Par la suite, elle est devenue une filiale de l’entreprise nationale des industries électroniques. Elle est spécialisée dans l’assemblage et la commercialisation des produits informatiques, à savoir les stations de travail, les réseaux informatiques, les PC de bureaux, les micro-ordinateurs portables, les tablettes. Elle a toute une gamme de produits informatiques.
Peut-on connaitre les produits que vous proposez ?
Nous proposons plusieurs modèles de PC. Nous avons la série DN qui sont des PC destinés aux professionnels, la série DV (PC de bureau) et la série M (NoteBook). Nous avons également une nouvelle mini-unité centrale qui a les mêmes capacités que l’ancienne unité centrale. Nous avons un autre nouveau produit qui est le Nunc. Il a les mêmes caractéristique que le Net up, mais beaucoup plus performant avec un processeur I 3 et le Windows 8. Nous avons aussi un autre nouveau produit qui est le «ONLY ONE». Ce dernier a son unité centrale et son écran dans le même chassé. Il sera commercialisé prochainement. On va commercialiser également les tablettes.
Et pour ce qui des logiciels ?
Pour ce qui est des logiciels, on fait la conception, production et la commercialisation des systèmes informatiques performants et évolutifs, développement des applications Client-serveur spécifiques. On fait également la commercialisation des services Cloud Computing en Privé, Hybrid et Publique, (Clod-Backup, VPS, Google, Microsoft, et autres). A cela s’ajoute l’infogérance, déploiement, maintenance et gestion des parcs informatiques et aussi la maintenance curative et préventive, une solution de télémaintenance et assistance technique.
Quels sont vos partenaires ?
On travaille avec des partenaires reconnus mondialement notamment Intel et Microsoft. Tous nos produits sont certifiés. Nous avons un labo-informatique où tous nos produits sont certifiés à l’échelle internationale.
Est-ce que vos produits sont exportés ?
Non. Pour l’instant notre production est commercialisée au niveau local.
Peut-on connaitre vos perspectives pour l’année 2013?
Nous avons un projet avec le ministère de l’Education pour ce qui concerne l’école numérique. On prévoit également la production de 10 000 à 15 000 PC par an. Pour ce qui est des entreprises privées, nous avons un projet avec Nedjma pour une vente de 15 à 20 milles tablettes.
Alfatron fait travailler combien d’employés ?
Nous avons plus de 110 employés. Ce sont des ingénieurs, des techniciens, des commerciaux, des manutentionnaires et autres. Nous avons trois points de ventes, un à Alger, un autre à Annaba et le troisième à Oran. Et on prévoit d’ouvrir un autre point de vente à Hassi messaoud (Ouargla) pour toucher la région du sud du pays.
Quel est l’objectif de votre participation à ce salon ?
L’objectif principal est de trouver d’autres partenaires et également faire connaitre au grand public les produits d’Alfatron. Auparavant, nos produits étaient destinés uniquement aux professionnels. Maintenant, nous avons une nouvelle stratégie visant le grand public.Et pour augmenter d’avantage notre gamme de produit, nous avons besoin du soutien de l’Etat.

http://www.leconews.com/fr/actualites/nationale/technologies/nous-visons-le-grand-public-26-04-2013-163206_358.php