Actualités Economiques

comme si que les notre jette les ordure dans la poubelle

HHHHHHHoooooooooooo Rebell

c la vérité :p il on des poubelle publique mais la majorité jette dehors ou plus facile par la fenêtre et c'est pas bon ce qu’il font

Tous ça est une question d'éducation on va leur installé des poubelle !! les grandes bouche ne pourront pas dire que l'état ne fais (RIEN)

il y avais des poubelle installer par l’état mais il jettent toujours par terre

En espérant que cela se réalise enfin que l'on puisse démarré une nouvel étape:
http://www.elwatan.com/economie/implantation-de-renault-l-accord-sera-signe-la-semaine-prochaine-13-12-2012-195736_111.php

en espérant que cela se réalise?? tu espère sa houaridz??? moi j’espère que les notre iron relancer les négociation avec les allemand que d'attendre quelque chose des français

Rebell a écrit:

comme si que les notre jette les ordure dans la poubelle

Quand on a un jardin, on peut mettre la fraction organique des déchets dans un trou, ça fait de l'engrais biologique.

A côté de chez moi, les habitants d'un immeuble font ça avec l'aide des services des HLM. Ils ont installés des bacs à compost au pied de l'immeuble. Cela se fait aussi à Paris.
Cause: le ramassage des poubelles se fait au poids...

(APS) vendredi 14 décembre 2012 11 : 18


Des entrepreneurs algériens établis aux Etats-Unis veulent investir en Algérie






ALGER - Des hommes d’affaires
algériens établis aux Etats-Unis ont exprimé leur "forte" volonté de
créer des entreprises industrielles et d’investissement dans les
activités productives en Algérie, notamment dans les technologies de
pointe et les énergies renouvelables.

Vingt (20) opérateurs économiques sont
venus en Algérie pour examiner les moyens de transfert de leur
expérience acquise aux Etats-Unis à travers la création d’entreprises et
le renforcement de la production industrielle dans plusieurs domaines, a
précisé Kamel Ounedjla, représentant de la délégation d’hommes
d’affaires, après avoir été reçu par le ministre de l’Industrie, de la
petite et moyenne entreprises et de la promotion de l’investissement,
Chérif Rahmani.


La rencontre a permis d’aborder les facilitations à même d’accélérer les investissements des hommes d’affaires en Algérie.


"Nous menons actuellement des discussions avec le ministère de
l’Industrie en vue d’obtenir des facilitations", a dit le représentant
de la délégation.


"Nous avons les moyens et la volonté de travailler ici mais nous
rencontrons certaines entraves. C’est pourquoi nous voulons travailler
avec les responsables du secteur à l’aplanissement de ces difficultés",
a-t-il ajouté.


Sans préciser la nature des difficultés rencontrées par les
entreprises de la délégation, M. Ounedjla a indiqué que "les entretiens
avec le ministre de l’Industrie et les cadres du ministère avancent très
bien". "Pour l’heure, tous les voyants sont au vert", a-t-il dit.


Le représentant de la délégation d’hommes d’affaires algériens
établis aux Etats-Unis a affirmé que les entrepreneurs l’accompagnant
étaient en mesure de mener les mêmes activités qu’aux Etats-Unis et avec
la même qualité en vue de couvrir le marché local et exporter vers
l’étranger.


"Nous ambitionnons de faire de l’Algérie une base d’exportation de
produits de qualité supérieure vers l’étranger. L’intérêt que nous
accordons à la qualité dans la production renforcera notre compétitivité
sur les marchés internationaux", a déclaré M. Ounedjla.


La plupart des entreprises présentes dans la délégation son
implantées dans la Silicon Valley, un des plus importants pôles
technologiques dans le monde.


Ces entreprises activent dans des domaines tels que les énergies renouvelables et les industries à base de silicium.


"Mon entreprise exporte vers la Chine et vers plusieurs autres pays
d’Asie. Pourquoi ne pas le faire à partir de l’Algérie si les conditions
s’y prêtent", a conclu M. Ounedjla, dont l’entreprise spécialisée dans
l’énergie solaire emploie plus de 2500 travailleurs.

« Africafé », l’autre nom des cafés Gaouar



Présente dans toute l’Algérie et N°1
du café dans l’Oranie, Africafé est l’entreprise de torréfaction et de
commercialisation créée en 1975 par Fouad Hamdani, fils de Kamila, la
fille aînée de Djelloul Gaouar, et neveu de Mustapha Gaouar, cousin de
Mounir Gaouar et père de Lotfi Gaouar Hamdani… Autant dire que Africafé
est une marque et entreprise enracinée pleinement dans la lignée des
torréfacteurs tlemcéniens, tous descendants de Hammou Gaouar, le
patriarche qui, le premier, devint broyeur de café, en 1860. Rencontre
avec l’un des ses descendants, et actuel Directeur général de Africafé,
Lotfi Gaouar Hamdani.



Lotfi Gaouar Hamdani, DG d’Africafé, entreprise fondée par son père Fouad en 1975. © leJmed.fr - avril 2010



Ingénieur en chimie industrielle, Lotfi Gaouar Hamdani n’a pourtant jamais travaillé dans cette branche : « J’étais
à peine diplômé lorsque mon père m’a proposé de rejoindre l’entreprise
familiale… C’était naturel, j’ai grandi dans ce milieu du café, j’ai
appris le métier sur le terrain. L’idée de refuser la proposition de mon
père ne m’a même pas effleuré l’esprit ! »


Lotfi Gaouar Hamadani et son cousin Mounir Gaouar, dans les ateliers d’Africafé,à Tlemcen, en avril 2010© leJmed.fr - avril 2010

Aujourd’hui, alors que son père Fouad s’apprête à prendre sa retraite
– « en tout cas sur le papier », précise Lotfi, qui semble ne pas
croire tout à fait que son père soit vraiment décidé à décrocher – Lotfi
exerce les fonctions de Directeur général de Africafé, que son père a
fondée en 1975.


« Mon père, raconte Lotfi, a été élevé dès son plus jeune
âge, comme un fils, par Djelloul Gouar, mon arrière-grand père maternel,
et grand-père paternel de mon cousin Mounir Gaouar. C’est ainsi, au
contact de Djelloul, puis de son fils Mustapha – le père de Mounir – que
mon père a grandi dans l’univers Gaouar du café, jusqu’à en faire
« naturellement » son métier, travaillant aux Cafés Gaouar pendant dix
ans, de 1962 à 1972. Ensuite, mon tour est venu d’entrer dans la
profession, tout aussi naturellement… »


Une belle entreprise familiale…


Le siège d’Africafé, à Tlemcen. © leJmed.fr - avril 2010

Aujourd’hui, Africafé est une belle entreprise familiale, qui
dispose d’un immeuble de 2 000 mètres carrés de locaux de production
dans la zone industrielle de Tlemcen, immeuble inauguré en 2001, et
auquel s’ajoutent 2 000 autres mètres carrés d’entrepôts, tout près.
Trente salariés, plus six commerciaux et deux chauffeurs font tourner
l’équipement moderne d’Africafé : deux torréfacteurs de la marque
italienne Brambati, silos de stockage et de dégazage, chaîne ICA
d’emballage sous vide…


Un « trophée »
retrouvé par Lotfi Gaouar Hamdani dans le bureau de son père Fouad, et
qu’il montre à son cousin Mounir Gaouar : un sachet de café Gouar
emballé sous vide, intact après plusieurs années de conservation…© leJmed.fr - avril 2010

« Nous sommes présents sur tout le marché algérien, et N°1 dans l’Oranie, la région d’Oran, précise Lotfi Gaouar Hamdani. Malgré
les difficultés que le pays a traversées, nous avons réussi à maintenir
un niveau de production stable, mais aujourd’hui notre corporation
souffre d’une concurrence informelle, avec des cafés de mauvaise qualité
et à prix cassés. Peut-être envisagerons-nous de nous développer à
l’exportation. Ce n’est pas décidé, mais nous y pensons, avec mon père,
et en tout cas notre entreprise est déjà au niveau qui lui permettrait
d’obtenir les certifications européennes… ».


Mais, si le DG d’Africafé s’interroge, en concertation avec son père
PDG, sur la bonne décision stratégique à prendre, Lofti Gaouar Hamdani
ne cache pas sa joie de constater que son cousin Mounir a décidé de
revenir à Tlemcen pour y créer « L’Institut Mustapha Gaouar –
L’excellence du café » : « L’autre jour, lorsque j’ai assisté à
la conférence que Mounir a donnée à la Chambre de Commerce de Tlemcen,
je me suis fait la réflexion suivante : quel dommage que Mounir ne soit
pas revenu plus tôt, dix ou quinze ans en arrière ! Et puis, aussitôt :
quel bonheur qu’il soit de retour ! Alors, je ne sais pas encore
comment, et je n’ai pas pu me concerter avec mon père actuellement en
voyage en Chine, mais je puis vous dire qu’une chose est sûre : Africafé
apportera son concours à l’Institut Mustapha Gaouar, auquel nous
portons toujours une grande affection. D’ailleurs, voyez, son portrait
figure en bonne place dans le bureau de mon père ! »


Et lui, Lofti Gaouar Hamdani, est en train de construire sa maison
sur les hauteurs de Tlemcen, sur le terrain même où s’érigeait, naguère
encore, la maison de Djelloul Gaouar, le fameux « Zizi » dont les
anciens de Tlemcen gardent aujourd’hui encore un grand souvenir, empli
d’affection et de respect.



AFRICAFÉ - L’Ecellence du Café
Adresse : Zone industrielle, Desserte n° 9
Route de Chetouane - TLEMCEN, (Algérie)
Tél. : ( +213 ) 43.28.56.56 - 57
Fax : ( +213 ) 43.28.66.90
Courriel : contact@africafe-dz.com
Site Internet : www.africafe-dz.com










Un article d’Alfred Mignot,
envoyé spécial à Tlemcen et Casablanca,
pour leJmed.fr

Franchement tres bonne nouvelle,en plus d'ici quelque temps il pourront exporter :
http://www.tsa-algerie.com/economie-et-business/le-premier-tracteur-algerien-massey-ferguson-sortira-de-l-usine-lundi-actualise_23082.html

houaridz a écrit:

Franchement tres bonne nouvelle,en plus d'ici quelque temps il pourront exporter :
http://www.tsa-algerie.com/economie-et-business/le-premier-tracteur-algerien-massey-ferguson-sortira-de-l-usine-lundi-actualise_23082.html

Bravo aux ingénieurs, techniciens et ouvriers de l'usine.

On est sur la bonne voie,il faut encore investir afin d'industrialiser notre pays car on est vraiment à la traine dans ce domaine,inchallah on va etre le pillier de l'afrique économiquement si cela continue sur cette route.

oui l'objectif et d’être le pilier de l’Afrique voir du monde arabe

SYSTÈME ÉNERGÉTIQUE

L'Algérie 2e en Afrique et dans le Monde arabe


Par Salim BENALIA - Lundi 17 Decembre 2012 - Lu 327 fois
Taille du texte : En
adoptant une politique avisée en matière de production et de gestion
énergétiques, l'Algérie parvient à glaner une place plus qu'honorable.
Le
système de production et de gestion énergétiques mis en place par
l'Algérie a été classé deuxième meilleur système énergétique en Afrique
et dans le Monde arabe, selon l'index de performance de l'architecture
énergétique mondiale 2013, publié par le Forum économique mondial (WEF).
Selon le dernier rapport de cet index qui classe les systèmes
énergétiques de 105 pays selon des critères économiques,
environnementaux et de sécurité énergétique, l'Algérie occupe la 58e
position dans le monde, la 2e en Afrique et dans le Monde arabe après la
Tunisie (50e position), et la 1re au sein de l'Organisation des pays
exportateurs de pétrole (Opep). Cet index mesure les forces et les
faiblesses des système énergétiques afin d'aider les pays à «gérer les
défis que soulève cette période de changement» qui exige de nouveaux
investissements pour répondre à la demande mondiale croissante, selon un
communiqué du WEF. Signalons ici que quelques experts prévoient que
l'Algérie, économie rentière avec une population importante, sera
touchée de plein fouet par ces mutations énergétiques autant que l'Iran
et le Venezuela. «Les pays à revenu élevé mènent la transition vers une
nouvelle architecture énergétique, mais il reste beaucoup à faire en
matière de durabilité environnementale», a estimé le WEF. La Norvège, la
Suède, la France, la Suisse et la Nouvelle-Zélande sont à la tête du
classement, alors que les Etats-Unis sont à la 55e place. Parmi les
Brics, le Brésil est à la 21e place, suivi de la Russie (27e), l'Afrique
du Sud (59e), l'Inde (62e) et la Chine (74e). Autant d'Etats qui sont
énergivores. Ce classement a été élaboré à partir des notations des
experts du WEF sur la base de trois critères. Il s'agit du développement
et croissance économiques d'où l'Algérie est classée 64e, l'accès à
l'énergie et la sécurité énergétique où l'Algérie se trouve à la 30e
position, ainsi que la durabilité environnementale (64e place pour
l'Algérie). Le rapport indique, que beaucoup de pays en développement
peinent encore à satisfaire les besoins énergétiques élémentaires de
leurs habitants. Il estime également, que les subventions aux
combustibles fossiles, l'utilisation de l'eau pour la production
d'énergie et la gestion efficace du patrimoine de ressources doivent
être l'objet d'une approche mondiale. «Les prises de décision sur
l'énergie
pourraient se voir simplifiées par une compréhension commune des
compensations qu'elles impliquent», a, par ailleurs, expliqué le
directeur principal chargé des industries énergétiques au WEF, Roberto
Bocca, selon le communiqué. «Avec des objectifs clairs visant à mettre
en place un système énergétique équilibré sur le plan environnemental
durable, qui soit le moteur de l'économie et qui soit sûr, les décideurs
devraient pouvoir faciliter des transitions plus rapides et plus
rentables. L'index est un outil pour aider au déroulement de ce
processus», a-t-il ajouté. Notons que le classement plus qu'honorable
que glane l'Algérie, notamment en Afrique et dans le Monde arabe est
certainement le fruit d'une politique avisée de la gestion et de la
consommation d'énergie. Elle recourt particulièrement à une exploitation
raisonnée des ressources, tout en misant sur le changement des
comportements, en invoquant une responsabilisation des habitants et des
usagers dans l'utilisation des ressources, particulièrement par le
truchement de l'Aprue (Agence nationale pour la promotion et la
rationalisation de l'utilisation de l'énergie). Pour le membre du
Conseil de l'agenda mondial sur la nouvelle architecture énergétique du
WEF, Arthur Hanna, «l'échelle et la complexité de l'industrie
énergétique mondiale exigent, pour gérer le changement, une approche
pays par pays». Cet index «aide les nations à faire le point sur les
défis de leur architecture énergétique et à identifier, à la fois des
domaines focaux spécifiques, et les meilleurs exemples à suivre dans ces
domaines, pour gérer leurs transitions», a-t-il conclu. Notons enfin
que l'Algérie et l'Union européenne (UE) sont parvenues à un accord
stratégique sur l'énergie. Les deux parties parapherons à ce propos, à
l'occasion de la visite, en Algérie, du commissaire européen à
l'énergie, Gunther Oettinger, prévue en janvier 2013.


http://www.lexpressiondz.com/actualite/165757-l-algerie-2e-en-afrique-et-dans-le-monde-arabe.html

L’UE exclut l’Algérie à partir de janvier 2014


C’est par la voix de son commissaire au Commerce que l’Union européenne
a annoncé que plusieurs pays seront exclut du Système européen de
préférences généralisées.

Citation :

L’Algérie en fait partie. Désormais, plusieurs produits ne seront plus
admis dans l’espace européen sans taxes. Cette décision est mue selon
Karel De Gucht par le fait que l’Algérie est un pays émergent et ses
entreprises sont devenues compétitives. Aussi, il n’a plus besoin, à
l’instar des autres pays concernés que ses exportations soient
avantagées. Ou qu’elles bénéficient e réduction de droit de douanes ou
encore de franchise pour certains produits. Sans contrepartie aucune.

Autre motif de l’exclusion de notre pays du système européen de
préférence généralisée (SPG), le volume du Produit intérieur brut par
habitant. En 2011, il a été évalué par la Banque mondiale à 4.798
dollars. Or, le système européen de préférence généralisée est destiné
aux pays dont le PIB par habitant ne dépasse pas les 2.000 dollars.

Pour rappel, ce système a été instauré, par l’Union européenne, sur
recommandation de la CNUCED pour venir en aide aux pays les plus pauvres
afin de leur permettre de placer leurs produits sur le marché européen,
l’exportation des armes étant exclus du système. Les pays bénéficiaires
sont ceux qui ont déjà conclu des accords avec l’Union européenne, sont
membres de l’OMC ou ayant engagé le processus d’adhésion à
l’Organisation mondiale du commerce.

http://www.leconews.com/fr/actualites/internationale/l-ue-exclut-l-algerie-a-partir-de-janvier-2014-17-12-2012-161289_268.php

et bien il faut que se soit réciproque et developpons en plus un marché sud sud

C'est tout ( benef ) pour nous on pourra parler business sans

Redéploiement français en Afrique du Nord ? par Badis Guettaf
lundi, 17 décembre 2012

Citation :

-La prochaine visite de François Hollande en Algérie aurait la particularité ...
...de rompre avec une tradition bien établie de l’ordre des visites des présidents français en Afrique du Nord. La chose aurait même une importance vitale. A telle enseigne qu’ils sont très rares les articles de presse qui ne traitent pas de la crispation du Makhzen du fait que le Maroc n’ait pas été le premier pays d’accueil ou du jeu d’équilibre que jouerait l’Elysée entre les «deux frères ennemis». Comme si les relations entre Etats pouvaient se résumer à ce type de considérations et que le sort de l’Algérie devait impérativement être lié aux humeurs du Makhzen. Ceci dit, la signification du protocole contient, sans nul doute, des messages assez importants, pour une monarchie très attentive aux comportements de ses parrains. Mis à part le caractère sordide de cette attitude, qui renvoie à cette allégeance dégoulinante d’obséquiosité dont dépend la sollicitude des puissants, il y a lieu peut-être d’en comprendre les tenants. Le roi a eu, en compensation, une forte délégation conduite par le Premier ministre chargée d’atténuer l’affront fait à sa majesté. Pour lui expliquer, c’est probable, que désormais les priorités ont changé eu égard aux déplacements des centres d’intérêts. Le Makhzen aurait donc à craindre pour son statut de «colonisateur», qu’il doit entièrement à sa vassalité et à sa place dans l’échiquier d’une Françafrique qui prend l’eau. Sachant qu’il ne compte qu’en tant que couloir stratégique vers le Sahel et que ce rôle est de moins en moins utile, devant les bouleversements que connaît la région et devant les nécessaires redéploiements de forces qui sont en train de se produire. La crise du Mali a démontré ce phénomène. C’est l’Algérie qui est le verrou incontournable et dont la diplomatie a prévalu, jusqu’ici, contre les velléités d’intervention militaire. Ajouté à cette situation, comparativement au royaume, l’Algérie a des atouts bien plus intéressants pour une économie française en mal d’oxygène. Et puis la France n’est plus seule sur le coup et a, de surcroît, affaire avec des concurrents aux arguments très convaincants, dont les Etats-Unis, qui n’ont pas d’états d’âme quand il s’agit de dessiner la cartographie qui colle à leurs objectifs. De quoi jeter une bonne dose d’incertitude dans les plans royaux. En ce sens on peut saisir la lecture qui est faite de la préséance décidée par l’Etat français. Non seulement l’Algérie n’est plus une cible de l’offensive «printanière», comme elle le fut, du temps de Nicolas Sarkozy, mais le Maroc risque de perdre son utilité de «contrepoids régional», en plus du fait que le soutien à l’occupation du Sahara occidental peut devenir inutile, voire jugé contre-productif. A la base ce seront les insoutenables pressions des entreprises et des opérateurs en mal de débouchés ou d’investissements juteux qui pourront déterminer le sens à donner aux relations. Reste à l’Algérie d’exploiter ses atouts et de ne rien céder qui n’ait des retombées positives sur ses besoins en développement et en consolidation de ses capacités économiques.

http://french.irib.ir/analyses/articles/item/231251-red%C3%A9ploiement-fran%C3%A7ais-en-afrique-du-nord-par-badis-guettaf

faty a écrit:

L’UE exclut l’Algérie à partir de janvier 2014


C’est par la voix de son commissaire au Commerce que l’Union européenne
a annoncé que plusieurs pays seront exclut du Système européen de
préférences généralisées.

Citation :

L’Algérie en fait partie. Désormais, plusieurs produits ne seront plus
admis dans l’espace européen sans taxes. Cette décision est mue selon
Karel De Gucht par le fait que l’Algérie est un pays émergent et ses
entreprises sont devenues compétitives. Aussi, il n’a plus besoin, à
l’instar des autres pays concernés que ses exportations soient
avantagées. Ou qu’elles bénéficient e réduction de droit de douanes ou
encore de franchise pour certains produits. Sans contrepartie aucune.

Autre motif de l’exclusion de notre pays du système européen de
préférence généralisée (SPG), le volume du Produit intérieur brut par
habitant. En 2011, il a été évalué par la Banque mondiale à 4.798
dollars. Or, le système européen de préférence généralisée est destiné
aux pays dont le PIB par habitant ne dépasse pas les 2.000 dollars.

Pour rappel, ce système a été instauré, par l’Union européenne, sur
recommandation de la CNUCED pour venir en aide aux pays les plus pauvres
afin de leur permettre de placer leurs produits sur le marché européen,
l’exportation des armes étant exclus du système. Les pays bénéficiaires
sont ceux qui ont déjà conclu des accords avec l’Union européenne, sont
membres de l’OMC ou ayant engagé le processus d’adhésion à
l’Organisation mondiale du commerce.

http://www.leconews.com/fr/actualites/internationale/l-ue-exclut-l-algerie-a-partir-de-janvier-2014-17-12-2012-161289_268.php

et bien il faut que se soit réciproque et developpons en plus un marché sud sud

ohh ouii faty il faut que sa deviens réciproque nous aussi on mettra des taxe -_- et si il sont pas content on doit importé le moin possible de leur produit les asiat et les sud américain peuvent produire ce qu’il produisent on a qu'a travailler avec eu et comme tu l'a dit développer un marché sud sud entre nous ainsi on pourra être un grenier pour l’Afrique ou autre a des prie que les européen seront déçue par leur produit

Berhoum il est bien ce
Badis Guettaf

j aime bien son papier

berhoum a écrit:

Redéploiement français en Afrique du Nord ? par Badis Guettaf
lundi, 17 décembre 2012

Citation :

-La prochaine visite de François Hollande en Algérie aurait la particularité ...
...de rompre avec une tradition bien établie de l’ordre des visites des présidents français en Afrique du Nord. La chose aurait même une importance vitale. A telle enseigne qu’ils sont très rares les articles de presse qui ne traitent pas de la crispation du Makhzen du fait que le Maroc n’ait pas été le premier pays d’accueil ou du jeu d’équilibre que jouerait l’Elysée entre les «deux frères ennemis». Comme si les relations entre Etats pouvaient se résumer à ce type de considérations et que le sort de l’Algérie devait impérativement être lié aux humeurs du Makhzen. Ceci dit, la signification du protocole contient, sans nul doute, des messages assez importants, pour une monarchie très attentive aux comportements de ses parrains. Mis à part le caractère sordide de cette attitude, qui renvoie à cette allégeance dégoulinante d’obséquiosité dont dépend la sollicitude des puissants, il y a lieu peut-être d’en comprendre les tenants. Le roi a eu, en compensation, une forte délégation conduite par le Premier ministre chargée d’atténuer l’affront fait à sa majesté. Pour lui expliquer, c’est probable, que désormais les priorités ont changé eu égard aux déplacements des centres d’intérêts. Le Makhzen aurait donc à craindre pour son statut de «colonisateur», qu’il doit entièrement à sa vassalité et à sa place dans l’échiquier d’une Françafrique qui prend l’eau. Sachant qu’il ne compte qu’en tant que couloir stratégique vers le Sahel et que ce rôle est de moins en moins utile, devant les bouleversements que connaît la région et devant les nécessaires redéploiements de forces qui sont en train de se produire. La crise du Mali a démontré ce phénomène. C’est l’Algérie qui est le verrou incontournable et dont la diplomatie a prévalu, jusqu’ici, contre les velléités d’intervention militaire. Ajouté à cette situation, comparativement au royaume, l’Algérie a des atouts bien plus intéressants pour une économie française en mal d’oxygène. Et puis la France n’est plus seule sur le coup et a, de surcroît, affaire avec des concurrents aux arguments très convaincants, dont les Etats-Unis, qui n’ont pas d’états d’âme quand il s’agit de dessiner la cartographie qui colle à leurs objectifs. De quoi jeter une bonne dose d’incertitude dans les plans royaux. En ce sens on peut saisir la lecture qui est faite de la préséance décidée par l’Etat français. Non seulement l’Algérie n’est plus une cible de l’offensive «printanière», comme elle le fut, du temps de Nicolas Sarkozy, mais le Maroc risque de perdre son utilité de «contrepoids régional», en plus du fait que le soutien à l’occupation du Sahara occidental peut devenir inutile, voire jugé contre-productif. A la base ce seront les insoutenables pressions des entreprises et des opérateurs en mal de débouchés ou d’investissements juteux qui pourront déterminer le sens à donner aux relations. Reste à l’Algérie d’exploiter ses atouts et de ne rien céder qui n’ait des retombées positives sur ses besoins en développement et en consolidation de ses capacités économiques.

http://french.irib.ir/analyses/articles/item/231251-red%C3%A9ploiement-fran%C3%A7ais-en-afrique-du-nord-par-badis-guettaf

connerie j'y crois pas du tout la preuve que la France soutien toujours la colonisation donc elle tombera avec sont makhzen

Oui on peut les comptés sur les doigts

compté quoi? faty?

@Rebell j'ai posté pas écris