Actualités Economiques

et la production va augmenté

“Renault Algérie Production” est née
Par Abbès Zineb | 31/01/2013

Citation :

“Renault Algérie Production”, la nouvelle société qui va fabriquer des voitures Renault à Oued Tlélat (Oran), est née. Cette société est un conglomérat de trois entreprises ( la SNVI, le Fonds national d’investissement (FNI) et le constructeur français Renault) ont indiqué jeudi à Alger les trois partenaires dans un communiqué.

Les trois actionnaires de cette joint-venture, ont détaillé au cours de la cérémonie de signature de l’acte de naissance de la nouvelle entité industrielle les actions à entreprendre pour réaliser ce projet.

Renault Algérie production est détenue à hauteur de 34% par la Société nationale des véhicules industriels (SNVI) et le FNI (17%), et à 49% pour le constructeur français. L’usine Renault produira, dans une première phase, 25.000 véhicules/an, puis 75.000/an avant de passer à 150.000 véhicules/an dix ans après le début de la production.

Le premier véhicule sortira des chaînes de montage en novembre 2014. Le projet coûtera au total plusieurs centaines de millions d’euros, dont 50 millions d’euros pour la première phase qui est celle du montage des véhicules, avec un seul modèle “Symbol”. Mais à terme, dix modèles de véhicules seront produits dans cette usine, avait indiqué récemment un représentant du constructeur français.

http://www.algerie1.com/actualite/renault-algerie-production-est-nee/

vraiment cool 150 000 véhicule même si j'aurai aimer que sa soie avec les allemand ne nous a pas couté trop cher et sa sera des véhicule produit chez nous on importera plus et en plus de sa on pourra revendre dans toute l’Afrique

Citation :

Les Britanniques misent sur le secteur de l’énergie :

Le ministre de l’Energie et des Mines, Youcef Yousfi, a reçu, hier à Alger, le représentant spécial du Premier ministre britannique pour le partenariat économique avec l’Algérie, Lord Richard Risby. Les entretiens ont porté sur le renforcement de la coopération et du partenariat entre l’Algérie et la Grande-Bretagne dans le domaine énergétique, indique un communiqué du ministère.

A cet effet, la partie britannique a manifesté sa volonté «d’élargir ses activités en Algérie aux domaines de la formation, du transfert de savoir-faire et de la technologie». De son côté, Youcef Yousfi a présenté les potentialités énergétiques que recèle l’Algérie en insistant sur «la fabrication localement des équipements entrant dans l’industrie des hydrocarbures et des énergies renouvelables».

Par ailleurs, le représentant spécial du Premier ministre britannique pour le partenariat économique avec l’Algérie, Lord Risby, a affirmé que la Grande-Bretagne comptait réaliser «un nombre important» de projets d’investissement en Algérie pour renfoncer davantage les relations économiques entre les deux pays.

http://www.elwatan.com/actualite/david-cameron-a-alger-vers-un-partenariat-securitaire-renforce-01-02-2013-201677_109.php

16 nouveaux appareils pour Air Algérie et 20 bateaux pour la CNAN
Par Mourad Arbani | 04/02/2013

Citation :

A l’effet de renforcer les flottes d’Air Algérie, la compagnie algérienne de transport aérien va acquérir 16 nouveaux appareils. Alors que la compagnie nationale algérienne de navigation (CNAN) verra sa flotte augmentée par environ une vingtaine de bateaux de transport de marchandises. Le but est de répondre à la demande dans ce secteur qui connaît une croissance très dynamique.

C’est ce qu le ministre des Transports, Amar Tou a annoncé ce lundi sur les ondes de radio nationale.

I l a indiqué, à ce propos, que “le Conseil des participations de l’Etat (CPE) étudiera dimanche deux dossiers importants: il s’agit de l’extension du pavillon national de l’aviation civile et de celui du transport maritime” tout en précisant que “la flotte d’Air Algérie sera renforcée par l’acquisition de 16 avions” et exprimant son souhait d’obtenir l’aval du CPE pour l’acquisition de “20 ou 25 bateaux de transport de marchandises”.

Tou a exclu, par ailleurs, l’ouverture du transport aérien au privé pour le moment tout en soulignant que les autorités algériennes “n’écartent pas définitivement la possibilité d’octroyer de nouvelles autorisations au privé, lorsque les conditions économiques le permettront”.

Le ministre des transport a, en revanche, écarté toute adhésion prochaine de l’Algérie à l’Open sky car une telle démarche mettra, a-t-il dit, “la compagnie nationale, Air Algérie, en difficulté”.

http://www.algerie1.com/actualite/16-nouveaux-appareils-pour-air-algerie-et-20-bateaux-pour-la-cnan/

très bonne nouvelle boussouf contente que le savoir faire et une nécessité pour nos dirigent j’espère que sa sera toujours comme sa

ce normale qu il veule asservire tout les pays qu il peuve c a nous de nous defendre ne pas subire mes le frein et c pays monarche tous les pays ou il y a un roi arabe sont asservie et nous empeche davance

Un intérêt pour l’industrie et le transport


Le vice-Premier ministre allemand des finances et de l’économie du
Bade-Wurtemberg M. Nils Schmid, en visite hier en Algérie, a étudié avec
des ministres algériens les possibilités d’un partenariat durable entre
l’Allemagne et l’Algérie.

Citation :

La coopération dans les domaines précis de l’industrie et de la PME et
celui des transports a été évoquée par le vice-Premier ministre allemand
et MM. Chérif Rahmani et Amar Tou, respectivement ministres de
l’Industrie et des transports. « Avec
nos amis allemands, nous avons décidé, au regard des capacités reconnues
mondialement de l’Allemagne dans le domaine de l’industrie, de nouer un
partenariat durable, notamment en ce qui concerne la petite et moyenne
entreprise, fondé sur le principe du gagnant-gagnant », a déclaré, à
cette occasion, M. Chérif Rahmani.

Dans le même sillage M. Rahmani a évoqué la décision prise par les deux
parties pour « mettre côte à côte l’entreprise algérienne et
l’entreprise allemande » afin d’assurer un partenariat fondé sur le
transfert du savoir-faire et sur la confiance, principalement dans le
domaine de la mécanique et des machines industrielles.

Le vice-Premier ministre allemand a estimé que le climat des affaires,
en Algérie, était stable et agréable, ajoutant que « les bonnes
conditions d’investissement qu’offre l’Algérie à ses partenaires
économiques est une opportunité que veut saisir l’Allemagne pour lancer
autant de projets possibles, dans le domaine de la mécanique».

Lors de sa rencontre avec M. Schmid, M. Amar Tou a parlé des grands
axes du programme quinquennal 2010-2014, mettant en exergue les projets
qui pourraient faire l’objet d’un partenariat, à savoir essentiellement
le transport ferroviaire et les tramways. Il a ajouté que des appels
d’offres devraient être lancés prochainement. Des appels d’offres
relatifs à l’acquisition de wagons-couchettes, de locomotives et de 17
autorails de grandes distances, en plus de la réalisation de trois
lignes de tramways.

Le ministre a exprimé, par ailleurs, la volonté de l’Algérie de
dépasser, dans ses rapports avec l’Allemagne, les simples échanges
commerciaux pour atteindre un partenariat plus durable dans le domaine
de la maintenance, du montage et même dans celui de la fabrication.

http://www.leconews.com/fr/cooperation/partenariat/un-interet-pour-l-industrie-et-le-transport-05-02-2013-162008_271.php

Lydia Yahia

il on mime parlez de transfert de technologie

La facture alimentaire de l’Algérie a baissé de 9 % en 2012
Par Kaci Haider | 05/02/2013

Citation :

Durant l’année 2012, la facture alimentaire de l’Algérie a reculé de près de 9% en passant à 8,98 milliards de dollars (mds usd) contre 9,85 mds usd en 2011.

Ainsi selon le Centre national de l’informatique et des statistiques des Douanes (CNIS), la facture des produits alimentaires importés par l’Algérie a enregistré une baisse de cette facture de 867 millions usd (-8,8%) par rapport à l’année 2011 durant laquelle une forte hausse avait été relevée par les douanes algériennes. Cela a contribué, selon la même source, à un recul de près de 1% des importations globales du pays.

Selon les explications fournies par le CNIS,à l’origine de ce recul la baisse des différents produits importés notamment les céréales, semoules et farines (-19,2%). et le montant des importations de ce groupe de produits est passé de 4,06 mds usd à 3,27 mds usd, durant la même période de référence.

Les importations de blés (tendre et dur) ont connu une “remarquable baisse” en terme de valeur de près de 26%, passant ainsi de 2,85 milliards mds usd à 2,10 mds usd, toujours selon les douanes.

Même les importations des “laits et produits laitiers” ont reculé de 18,23%, passant de 1,54 md usd en 2011 à 1,26 md usd comme d’ailleurs la facture de sucre qui a également enregistré une baisse de 13,09%, l’année dernière pour atteindre 1,01 md usd contre 1,16 md usd une année auparavant.

La baisse des importations des légumes secs( 9%) passant à 356,3 millions contre 359 millions usd ont également contribué à ce recul de la facture alimentaire algérienne en 2012.

En revanche, le CNIS relève une hausse de près de 54,6% des importations de viandes dont la valeur est passée de 164 millions usd en 2011 à 254,46 millions usd durant la même période de référence. Selon les Douanes, c’est le seul groupe des principaux produits alimentaires qui a connu cette “importante hausse”.

Les importations du groupe “café et thé” ont également augmenté de 9,22% pour totaliser 389 millions usd en 2012.

La facture des importations de l’Algérie en blés (dur et tendre) est passée de 2,85 milliards de dollars en 2011 à près de 2,11 milliards de dollars en 2012, alors que les quantités importées ont atteint 6,29 millions de tonnes en 2012 contre 7,45 millions de tonnes une année auparavant (-15,5%).

Les achats de blé tendre, qui représentent une part importante des importations de céréales de l’Algérie, sont passés de 1,96 milliard de dollars pour une quantité de 5,55 millions de tonnes en 2011 à 1,45 milliard de dollars pour 4,71 millions de tonnes en 2012, en baisse de 15,03 % en valeur et de plus de 25,9% en volume.

Pour le blé dur, l’Algérie a importé durant l’année écoulée pour 655 millions de dollars (1,5 million de tonnes) contre 884,53 millions de dollars (1,9 million de tonnes en 2011).

Les importations alimentaires de l’Algérie représentent 19% des importations globales de l’Algérie qui ont atteint 46,80 mds usd en 2012, contre 47,24 mds usd en 2011, en légère baisse de 0,94%.

L’Algérie a réalisé un excédent commercial de 27,18 mds usd en 2012, contre 26,24 mds usd en 2011, soit une légère hausse de près de 3,6%.

http://www.algerie1.com/actualite/la-facture-alimentaire-de-lalgerie-a-baisse-de-9-en-2012/

j'espére quel reculera encore plus.. il faut que nos importation ne soie vraiment rien du tout

L’e-commerce en Algérie est "un terrain généreux semé d'embûches"

Mme Daouadji, directrice des projets à Algérie Cyber Market, lors du lancement du site Nechrifenet.com Djamel Bendjaber connaît bien le commerce. Le PDG d’Algérie Cyber Market a grandi dans une boutique, et il est devenu importateur avant de se lancer dans la distribution. Depuis deux ans, il se consacre aussi au e-commerce et tente, tant bien, que mal de se positionner sur un marché "vierge", "généreux", mais "semé d'embûches" car encore "inconnu". L'entreprise vient de lancer son premier site de vente en ligne Nechrifenet.com. Le projet d’Algérie Cyber Market est ambitieux : lancer plusieurs sites d’e-commerce en Algérie dans les prochaines années. Après dix-huit mois de travail, le premier, baptisé Nechrifenet.com est en ligne depuis le 16 janvier. Cinq cent produits y sont pour l’instant disponibles à la vente dans les secteurs de l'équipement maison, l’électroménager, la téléphonie, l’informatique, la puériculture, etc. Le second, kitabi.dz, spécialisé dans la vente de livres, sera opérationnel début février, nous apprend la directrice des projets, Fatima Zohra Daouadji. "La mise en place a été longue car nous avons tout appris à faire", explique-t-elle. D'abord, la prise en photo des articles, appelé shooting. Le site propose ainsi au moins cinq vues différentes en qualité HD de chaque produit. Pour cela, Algérie Cyber Market a embauché ses propres photographes qu'il a fallu former, précise la directrice des projets. De même pour la réalisation des fiches produits comportant chacune un descriptif, les caractéristiques et les avis des internautes. "Nous avons appris à tout faire nous-mêmes car nous avons eu du mal à récupérer les catalogues auprès des fournisseurs", témoigne Fatima Zohra Daouadji qui souligne l'attention particulière accordée au français au moment de la rédaction des notices. Autre métier nouveau : celui d'opérateur de centre d'appel. Nechrifenet.com dispose en effet d'une assistance téléphonique opérationnelle 5 jours sur 7, destinée à répondre aux demandes des clients. "Le contact permanent avec les clients potentiels est indispensable pour qu'ils soient sérieusement rassurés et nous fassent confiance", confie Djamel Bendjaber. "La confiance est la base de tout. C'est elle qui fait fonctionner le bouche-à-oreille qui construit notre réputation. Et une bonne réputation, ça ne s'acquiert pas si facilement", poursuit ce commerçant aguerri de 48 ans. Bien conscient de la vigilance à apporter aux dires des internautes, Algérie Cyber Market observe attentivement les réseaux sociaux, forums et commentaires. Un salarié est ainsi chargé de veiller à ce qui s'écrit sur la Toile au sujet de l'entreprise afin de réagir immédiatement et ne pas laisser pourrir une situation, détaille Fatima Zohra Daouadji. Au total, l'entreprise emploie actuellement 25 personnes. Une plateforme complexe de système intégré Une fois convaincu par les services et le sérieux du site, l'internaute désireux de commander parmi le catalogue un appareil photo, un aspirateur ou encore un jouet pour enfant, doit passer par cinq étapes pour acheter et recevoir le produit souhaité. Après avoir ajouté l'article au panier, il s'identifie pour confirmer sa commande. Il choisit ensuite le lieu de livraison parmi la soixantaine de points relais existants pour l'instant sur 24 wilayas, grâce à des accords avec des magasins. Puis il sélectionne le mode de paiement : virement et mandat cash pour un paiement à distance, chèque et carte de crédit électronique pour un paiement en point relais. Dernière étape, la confirmation, qui une fois réalisée fait partir la commande à bord d'un des véhicules du transporteur partenaire, MBCC VSI. Tout au long du trajet, l'internaute est informé de l'avancée de son colis par téléphone, email, chat ou sms grâce à un système informatique de traçabilité du produit, explique l'élégante directrice de projet. Quarante-huit heures plus tard, pour les wilayas à proximité d'Alger, soixante-douze heures pour les wilayas plus éloignées, les articles du panier virtuel deviennent réalité ! Voilà pour le front office, autrement dit la partie visible pour les internautes. Mais pour que Nechrifenet.com tienne ses promesses contenues dans les conditions générales de vente et que les clients soient satisfaits, une plateforme logistique performante s'impose. C'est le back office. Il comprend les transactions avec les fournisseurs, l'organisation des stocks, le traitement des commandes, la préparation des colis, etc. Ce système intégré comprenant le site e-commerce et la gestion commerciale a été développé par l'entreprise française Octave.biz, pour un coût estimé entre 30 et 70.000 euros, selon son PDG Michel Perrinet. "Notre mission est d'accompagner les distributeurs algériens à aller vers le e-commerce en leur apportant des solutions techniques et du conseil pour les aider à réussir", indiquait-il, le 23 janvier dernier à Alger au cours d'une conférence de presse organisée à l'occasion du lancement de Nechrifenet.com. Grâce au partenariat avec Algérie Cyber Market, Octave.biz, présent dans le e-commerce depuis 1996, s'est installé à Alger en septembre 2012 afin de se déployer le plus efficacement possible sur un marché algérien "généreux mais semé d'embûches", selon Djamel Bendjaber. A l'heure actuelle, les conditions du marché du e-commerce en Algérie ne sont guère incitatives : pas de réglementation en vigueur, vide juridique, absence de l’e-paiement, manque de professionnels, etc. Sans compter que les lourds investissements consentis demeurent pour l'instant peu rentables. "Il s’agit d’un pari sur l’avenir", affirme le PDG d’Octave.biz, chiffres à l'appui. Selon une étude élaborée par l’entreprise sur "la perspective du e-commerce en Algérie", "à l’horizon 2016/2017, l’Algérie aura entre 4.000 et 5.000 sites de e-commerce, avec une activité significative et entre 400 et 500 sites de forte activité". Pour le dynamique dirigeant d'Algérie Cyber Market, il s'agit avant tout d'"être présent" modestement sur un "marché vierge" afin de remplir le plus sérieusement possible "le vide existant". Lire aussi : Premiers pas du e-commerce en Algérie

normale les européen refuse nos produit on devrait refuser les leur et travailler avec les asiat

berhoum a écrit:

La facture alimentaire de l’Algérie a baissé de 9 % en 2012
Par Kaci Haider | 05/02/2013

Citation :

Durant l’année 2012, la facture alimentaire de l’Algérie a reculé de près de 9% en passant à 8,98 milliards de dollars (mds usd) contre 9,85 mds usd en 2011.

Ainsi selon le Centre national de l’informatique et des statistiques des Douanes (CNIS), la facture des produits alimentaires importés par l’Algérie a enregistré une baisse de cette facture de 867 millions usd (-8,8%) par rapport à l’année 2011 durant laquelle une forte hausse avait été relevée par les douanes algériennes. Cela a contribué, selon la même source, à un recul de près de 1% des importations globales du pays.

Selon les explications fournies par le CNIS,à l’origine de ce recul la baisse des différents produits importés notamment les céréales, semoules et farines (-19,2%). et le montant des importations de ce groupe de produits est passé de 4,06 mds usd à 3,27 mds usd, durant la même période de référence.

Les importations de blés (tendre et dur) ont connu une “remarquable baisse” en terme de valeur de près de 26%, passant ainsi de 2,85 milliards mds usd à 2,10 mds usd, toujours selon les douanes.

Même les importations des “laits et produits laitiers” ont reculé de 18,23%, passant de 1,54 md usd en 2011 à 1,26 md usd comme d’ailleurs la facture de sucre qui a également enregistré une baisse de 13,09%, l’année dernière pour atteindre 1,01 md usd contre 1,16 md usd une année auparavant.

La baisse des importations des légumes secs( 9%) passant à 356,3 millions contre 359 millions usd ont également contribué à ce recul de la facture alimentaire algérienne en 2012.

En revanche, le CNIS relève une hausse de près de 54,6% des importations de viandes dont la valeur est passée de 164 millions usd en 2011 à 254,46 millions usd durant la même période de référence. Selon les Douanes, c’est le seul groupe des principaux produits alimentaires qui a connu cette “importante hausse”.

Les importations du groupe “café et thé” ont également augmenté de 9,22% pour totaliser 389 millions usd en 2012.

La facture des importations de l’Algérie en blés (dur et tendre) est passée de 2,85 milliards de dollars en 2011 à près de 2,11 milliards de dollars en 2012, alors que les quantités importées ont atteint 6,29 millions de tonnes en 2012 contre 7,45 millions de tonnes une année auparavant (-15,5%).

Les achats de blé tendre, qui représentent une part importante des importations de céréales de l’Algérie, sont passés de 1,96 milliard de dollars pour une quantité de 5,55 millions de tonnes en 2011 à 1,45 milliard de dollars pour 4,71 millions de tonnes en 2012, en baisse de 15,03 % en valeur et de plus de 25,9% en volume.

Pour le blé dur, l’Algérie a importé durant l’année écoulée pour 655 millions de dollars (1,5 million de tonnes) contre 884,53 millions de dollars (1,9 million de tonnes en 2011).

Les importations alimentaires de l’Algérie représentent 19% des importations globales de l’Algérie qui ont atteint 46,80 mds usd en 2012, contre 47,24 mds usd en 2011, en légère baisse de 0,94%.

L’Algérie a réalisé un excédent commercial de 27,18 mds usd en 2012, contre 26,24 mds usd en 2011, soit une légère hausse de près de 3,6%.

http://www.algerie1.com/actualite/la-facture-alimentaire-de-lalgerie-a-baisse-de-9-en-2012/

Très bonne nouvelle car il y a quelque année on importait 100%

L’Algérie est le pays ayant enregistré la plus forte baisse du chômage dans le monde arabe









le 06.02.13 | 14h42


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L’Algérie est le pays arabe ayant enregistré la plus forte baisse du
chômage en deux décennies mais avec une augmentation, toutefois, de
l’emploi informel, ont indiqué mercredi le PNUD et l’Organisation
internationale du travail (OIT).







Dans un rapport conjoint consacré aux tendances de l’emploi et de la
croissance économique dans le monde arabe, ces deux organisations de
l’ONU relèvent que depuis 1990, le taux de chômage a diminué dans la
région arabe, mais pas de manière uniforme dans les trois sous-régions
que sont l’Afrique du Nord (Algérie, Tunisie, Maroc, Libye, Egypte et
Soudan), le Moyen-Orient (Irak, Jordanie, Liban, Syrie, Yémen et les
territoires palestiniens occupés) et les pays du Conseil de coopération
du golfe (CCG: Arabie saoudite, Bahreïn, Koweït, Emirats arabes unis,
Oman et Qatar).

A ce propos, ce rapport de 152 pages précise que "si l’Afrique du Nord a
fait mieux que les deux autres sous-régions en terme de réduction du
chômage, cela est principalement attribuable à la baisse du chômage en
Algérie".

Ainsi, le taux de chômage a diminué en Afrique du Nord de 24% entre
1990 et 2010 contre un recul de 4,6% dans le pays du CCG mais a il
augmenté de 2,6% dans la région du Moyen-Orient.

Citant spécifiquement l’Algérie, le PNUD et l’OIT observent que le
taux de chômage est passé de 20,6% en 1991 à 29,6% en 2000 avant de
tomber à 11,4% en 2010 (le taux de chômage des jeunes étant de 20,5%),
entraînant une baisse de la moyenne du taux de chômage en Afrique du
Nord qui passe de 12,6% en 1991 à 10,1% en 2010.

Néanmoins, observe le rapport, "la baisse impressionnante du taux de
chômage en Algérie a été accompagnée par une augmentation de l'emploi
informel, à un taux de près de un à un


http://www.elwatan.com/economie/l-algerie-est-le-pays-ayant-enregistre-la-plus-forte-baisse-du-chomage-dans-le-monde-arabe-06-02-2013-202348_111.php

Une bonne nouvelle si elle se confirme. Ces gens d'ArcelorMittal prennent l'Algérie pour une vache à lait. Puisqu'il s'agit de jouer avec nos billes, mieux vaut reprendre le contrôle du jeu

Citation :

Pour sauver le complexe : l’Etat prend le contrôle d’ArcelorMittal

le 10.02.13

Le groupe algérien Sider deviendra bientôt l’actionnaire majoritaire du complexe sidérurgique d’El Hadjar.

La situation financière critique à laquelle fait face la filiale algérienne du géant mondial de l’acier ArcelorMittal l’aurait poussé à accepter, sinon proposer l’idée de céder une partie de son capital de 70% à son partenaire minoritaire à 30%, le groupe public Sider.
Une réunion s’est tenue mercredi, au ministère de l’Industrie, à Alger, à laquelle ont pris part, outre le ministre Chérif Rahmani, Vincent Legouic (CEO BU Afrique du Nord), Serge Dubois (Corporate Affairs Manager en Algérie), Arnaud Poupart-Lafarge (Executive Vice President of Long Carbon Europe LCE et membre du Management Committee), ainsi que Chiboub Hasnaoui (PDG du groupe Sider), où la décision a été prise.
Cette opération obéira au principe de préemption tel que mentionné dans le pacte signé entre les deux parties en octobre 2001. L’annonce de cette transaction sera vraisemblablement rendue publique prochainement, selon des cadres du groupe Sider. L’information a été confirmée, hier, par une source sûre proche du ministère de l’Industrie. «Les négociations du ministère de l’Industrie avec le groupe mondial ArcelorMittal ont été entamées pour aboutir à la cession d’une partie des actions de sa filière algérienne au profit de l’Etat algérien à travers le groupe public Sider.
Une fois la transaction effectuée, ce dernier deviendra majoritaire à 51%. En contrepartie, l’Etat algérien déboursera quelque 200 millions de dollars qui seront nécessaires pour l’augmentation du capital du complexe sidérurgique. Cette augmentation du capital permettra l’acquisition d’un important crédit bancaire pour enclencher le plan de redressement afin de sauver le complexe sidérurgique», explique la même source. Contactée, la direction générale d’ArcelorMittal Annaba (AMA) n’a pas voulu s’exprimer sur la question. Un délai de trois semaines a été accordé par le ministère de l’Industrie aux deux parties pour étudier tous les aspects économiques et juridiques de cette transaction, à la faveur d’une expertise, avant sa concrétisation en mai 2013.

http://www.elwatan.com/une/pour-sauver-le-complexe-l-etat-prend-le-controle-d-arcelormittal-10-02-2013-202752_108.php

donc en gros en renatiolise El Hadjar

boussouf a dit:

Citation :

Une fois la transaction effectuée, ce dernier deviendra majoritaire à 51%. En contrepartie, l’Etat algérien déboursera quelque 200 millions de dollars qui seront nécessaires pour l’augmentation du capital du complexe sidérurgique. Cette augmentation du capital permettra l’acquisition d’un important crédit bancaire pour enclencher le plan de redressement afin de sauver le complexe sidérurgique», explique la même source. Contactée, la direction générale d’ArcelorMittal Annaba (AMA) n’a pas voulu s’exprimer sur la question. Un délai de trois semaines a été accordé par le ministère de l’Industrie aux deux parties pour étudier tous les aspects économiques et juridiques de cette transaction, à la faveur d’une expertise, avant sa concrétisation en mai 2013.

[/b]Très bonne initiative de la part du gouvernement[b]

Les salariés vont être content ...

yak a écrit:

donc en gros en renatiolise El Hadjar

Oui, avec ce petit plus, c'est que ArcelorMittal lui-même nous le demande, svp, puisqu'ils sont dans la merde financièrement

Bravo aux dirigeants et travailleurs du groupe CONDOR. Que des exemples pareils se multiplient en Algérie!

Citation :

Technologie informatique

Condor lance la tablette 9.7’’


le 30.01.13




Après le lancement réussi des tablettes 7’’ et 10’’, la filiale informatique du groupe Condor lancera, la semaine prochaine, la tablette 9.7’’avec GPS et deux caméras (avant et arrière) de 5 méga pixel, contre la modique somme de 25 000 DA.

Comparativement aux premières tablettes, la nouvelle (tablette) se présentera sous une forme carrée. En mars prochain, Condor mettra sur le marché la tablette 8’’, dotée du GPS et de la 3G (puce téléphonique avec Internet). Pour Lahcène Boukejar, directeur des systèmes d’information du groupe, la tablette Condor n’a rien à envier aux produits des grandes marques : «Nous sommes fiers de mettre sur le marché un produit fabriqué non seulement avec des matériaux de qualité, mais aussi selon des standards internationaux.
Produite suivant le panel technologique IPS, notre tablette qui dispose d’un dual-core 1.5 GHZ est souple au toucher, et à 10 doigts en sus, notre tablette est plus que concurrentielle», dira l’informaticien, qui a bien voulu nous parler de cette bibliothèque en ligne : «Grâce à notre partenariat avec la maison d’édition Noon-books, l’utilisateur de la tablette 10’’ dispose de 80 livres, (toutes disciplines confondues). Ce lot sera prochainement consolidé par 30 publications d’auteurs algériens. Cela n’empêche pas le téléchargement gratuit d’autres livres», précise notre interlocuteur, tout en développant : «Les applications du bureau de notre tablette sont identiques à celles des grands fabricants.
Pour aider nos clients, nous avons opté pour le système Android de Google où le Play-store donne plus de choix et gratuitement. En plus de 5 nouvelles applications développées par notre département de recherche, nous travaillons pour offrir dans un futur proche des tablettes riches en données scientifiques.» Puis, il laisse le soin à Abdelmalek Benhamadi, le P-DG du groupe, pour parler de la future stratégie de l’entreprise et de la tarification défiant toute concurrence : «En proposant des tablettes de très bonne qualité pour 9000 et 20 000 DA, Condor démontre qu’elle est réellement une entreprise citoyenne. L’engouement affiché par notre clientèle fidèle à un label nous motive. A travers une telle approche visant le long terme, nous voulons populariser un tel produit, n’étant pas un luxe outre-mer.» Condor projette de produire, cette année, pas moins de 30 000 tablettes

http://www.elwatan.com/hebdo/multimedia/condor-lance-la-tablette-9-7-30-01-2013-201431_157.php

boussouf a dit :

Citation :

Après le lancement réussi des tablettes 7’’ et 10’’, la filiale informatique du groupe Condor lancera, la semaine prochaine, la tablette 9.7’’avec GPS et deux caméras (avant et arrière) de 5 méga pixel, contre la modique somme de 25 000 DA.

c'est vraiment mad in dz la tablette???

j’ai pas bien compris sur la sidérurgique boussouf tu m'avais bien dit que on aura une meilleur production d'ici 2017 on sera autosifisant et on pourra même devenir exportateur d'ici 2020
queceque arcelormital viens faire ici?

boussouf a écrit:

yak a écrit:

donc en gros en renatiolise El Hadjar

Oui, avec ce petit plus, c'est que ArcelorMittal lui-même nous le demande, svp, puisqu'ils sont dans la merde financièrement

Oui, mais il faudrait une équipe directoriale qui sache manager le complexe.
Il faut voir comment Fertial (ex-Asmidal) à Annaba est devenue rentable maintenant que le directeur est espagnol (voir le journal d'entreprise en ligne).

Il faudrait que El - Hadjar tourne et produise à 100% de ses capacités. Fertial est à 115% de ses capacités.
En tout cas cela est une bonne nouvelle.

boussouf a écrit:

yak a écrit:

donc en gros en renatiolise El Hadjar

Oui, avec ce petit plus, c'est que ArcelorMittal lui-même nous le demande, svp, puisqu'ils sont dans la merde financièrement

trés bonne nouvelle en effet

par contre la technique de ces multinationales apatride est connu ils demandent toujours une aide de état dans un premier temps pour renflouer les caisses qu ils ont aidé a vider eux mème une fois que cela est fait je ne sais pas par qu elle procédée ils arrivent a reprendre le controle de ces mème sociétés renflouer les caisses pleines surement des corruptions s" opèrent.Cela se passe en europe cette technique machiavélique peux traversé la méditerranée
les travailleurs doivent etre trés vigilant et alerter au moindre bradage de notre bien a tous puisque nationalisé

et qu'en est-il de ce méga projet sidérurgique?