Actualités Economiques

bonne nouvelle

Algérie: Sonatrach augmente son capital dans Gas Natural Fenosa

Citation :

Sonatrach avait acheté, en 2011, des actions dans le capital du groupe espagnol Gas Natural Fenosa (GNF) pour un montant de 2 millions d´euros.
Selon le dernier rapport que la Commission nationale espagnole du marché des valeurs (CNMV) a adressé au gouvernement du président Mariano Rajoy, la compagnie pétrolière algérienne a porté, en 2012, son capital dans GNF, qui est son partenaire dans Medgaz, à 40,09 millions d´euros. Avec plus de 4% d´actions, Sonatrach est devenue ainsi le troisième actionnaire de ce groupe catalan, après la banque Caixa et la compagnie pétrolière Repsol.
Pourtant, il y a moins de deux ans, Sonatrach et GNF avaient eu un sérieux contentieux sur le réajustement des prix du gaz naturel algérien vendu à l´Espagne de 2006 à 2008. La compagnie algérienne avait exigé une révision des prix pratiqués à l´Espagne qui étaient en dessous de ceux pratiqués sur le marché international, comme c’est prévu dans le contrat liant les deux parties. Devant les tergiversations de son partenaire, les services juridiques de la compagnie algérienne ont saisi alors la Chambre de commerce de Paris qui joue le rôle de Tribunal d´Arbitrage International.
Le verdict rendu en août 2011 est totalement favorable à l´entreprise algérienne. GNF doit lui verser 1,31 milliard d´euros au titre des indemnités. Une somme trop lourde pour le groupe catalan qui va alors entreprendre des démarches à Alger en vue d´un accord sur les modalités de paiement de cette dette.
Les Algériens se sont montrés assez souples dans les négociations. Un accord est intervenu quelques mois avec Gas Natural qui doit honorer sa dette selon un échéancier favorable. Une partie de cette dette, environ 500 millions d´euros, devrait être versée cash.
Les deux parties se sont mises d´accord, en outre, pour lancer en partenariat des projets d´investissements communs. Sonatrach acceptera enfin de convertir la troisième tranche de la dette en actions dans GNF. Depuis, les dirigeants de Gas Natural ne tarissent pas d´éloges sur la nouvelle équipe de Sonatrach avec laquelle «le courant passe parfaitement», selon le président de GNF.

http://french.irib.ir/info/afrique2/item/245383-alg%C3%A9rie-sonatrach-augmente-son-capital-dans-gas-natural-fenosa

sa appartiens a qui?

Rebell a écris...


sa appartiens a qui?

Citation :

Sonatrach avait acheté, en 2011, des actions dans le capital du groupe espagnol Gas Natural Fenosa (GNF) pour un montant de 2 millions d´euros.

Avec plus de 4% d´actions, Sonatrach est devenue ainsi le troisième actionnaire de ce groupe catalan, après la banque Caixa et la compagnie pétrolière Repsol.

merci berhoum c’est une bonne nouvelle sa

Algérie: des lanceurs d'alerte veulent préparer l'après-pétrole

De notre correspondant Anis Allik, publié le 03/03/2013 à 13:31

De nouveaux centres d'analyse s'efforcent d'appeler les autorités à
changer de cap et à préparer l'après-pétrole en Algérie. Pour
l'instant, la rente énergétique tue dans l'oeuf tout projet de réforme.





http://www.lexpress.fr/actualite/monde/afrique/algerie-des-lanceurs-d-alerte-veulent-preparer-l-apres-petrole_1223834.html

Le chiffre avancé pour la souscription de Sonatrach dans le capital de Gas Natural (2 millions d'euros) n'est pas juste, il est même ridicule. Le chiffre exact s'élève à plus de 514 millions d'euros!

Citation :

Sonatrach actionnaire dans Gas Natural

Le Quotidien d'Oran, 18 juin 2011

La compagnie nationale d'hydrocarbures Sonatrach est désormais actionnaire dans le groupe pétrolier espagnol Gas Natural Fenosa. Un accord d'acquisition de Sonatrach de parts du capital de Gas Natural a été signé hier vendredi. Une opération qui a été validée par le conseil d'administration de la compagnie espagnole. Après une bataille arbitrale déclenchée en 2007 entre les deux parties, cette affaire a trouvé son épilogue en août 2010 suite à la sentence du tribunal arbitral. Sonatrach est actionnaire à hauteur de 3,8504 % dans la société espagnole. Cette dernière devra également payer 1,897 milliard à Sonatrach conformément à l'accord signé avec une révision des prix entre 2007 et mai 2011.Selon le communiqué rendu public par Sonatrach, le montant de la souscription est de l'ordre de 514.737.838,16 euros alors que le prix d'achat de l'action est de 13,4806 euros. Quant au nombre d'actions achetées par Sonatrach,
il est de 38.183.600

Merci pour les infos boussouf

merci pour les précisions

De rien les amis

Le commerce en ligne en Algérie : d’énormes potentialités en perdition









le 04.03.13 | 10h00


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Le e-commerce semble avoir du vent en poupe en Algérie. Plus d’un tiers
des internautes algériens ont tendance à favoriser les achats en ligne
si l’on se réfère aux résultats d’une enquête réalisée par Webdialna,
pour sa 4e édition, portant sur les usages, les perceptions des
internautes algériens et l’intérêt des Algériens pour le e-commerce.







L’étude en question fait ressortir que, sur les 13 600 internautes
interrogés, 36% d’entre eux souhaiteraient avoir une carte de paiement
électronique afin de pouvoir commander des biens et services sur la
toile. Cependant, les statistiques communiquées par Internet World
Stats pour l’année 2012 révèlent que l’Algérie compte 5,2 millions
d’internautes et le taux de pénétration d’Internet est estimé à 14%.
Il est clair que le pays détient un des taux de pénétration les plus
bas au Maghreb. En effet, l’Algérie se place derrière ses voisins
directs qui sont la Libye, la Tunisie et le Maroc. Ces derniers
détiennent respectivement des taux de pénétration de 17%, 39,1% et 51%.
De là, deux questions se posent : nombreux soient-ils, les internautes
algériens qui semblent rêver de pouvoir commander des biens ou des
services sur Internet sont-ils réellement prêts à le faire ? Le citoyen
est-il prêt à développer cette culture d’aller faire ses courses sur
Internet ? Pour de nombreux spécialistes en la matière, les conditions
d’enseignement actuelles ne favorisent pas le développement du
e-commerce.

http://www.elwatan.com/economie/le-commerce-en-ligne-en-algerie-d-enormes-potentialites-en-perdition-04-03-2013-205404_111.php

En Algérie, on ne peut pas faire d’affaires sans graisser la patte»









le 04.03.13 | 10h00


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Claudio Gatti, 57 ans, est l’un des rares véritables journalistes
d’investigation italiens. Bien avant que les juges milanais ne parlent
avec les chroniqueurs judiciaires italiens, Gatti en savait long sur
l’affaire Saipem-Sonatrach.

A partir de son bureau de New York, il a publié les dessous de ce
scandale. Correspondant aux USA du très influent quotidien économique
italien, Il Sole 24 Ore, il écrit également pour plusieurs journaux
américains, comme le New York Times. Il a été le premier journaliste à
faire éclater sur le Financial Times le scandale de «Oil for Food», en
Irak. En 2003, il a reçu le prestigieux prix journalistique italien
Saint Vincent et en 2005 la distinction Premiolino.








- Vous n’avez pas attendu les divulgations de la
magistrature italienne pour enquêter sur l’affaire ENI-Saipem-Sonatrach.
A partir de quels éléments êtes-vous parti ?




suite...


http://www.elwatan.com/actualite/en-algerie-on-ne-peut-pas-faire-d-affaires-sans-graisser-la-patte-04-03-2013-205436_109.php

«L’Algérie est impactée par les fluctuations de change»









le 05.03.13 | 10h00


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© D. R.











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-Comment expliquez-vous cette résurgence de la guerre des monnaies en Occident en ces temps de crise ?

Je pense que l’expression «guerre des monnaies» utilisée par les médias
internationaux est quelque peu un abus de langage. En effet, ce que la
Réserve fédérale aux Etats-Unis tente de faire via ses différents plans
de «Quantitative easing» est ni plus ni moins qu’une politique
d’expansion monétaire. Cela a naturellement affaibli le dollar, mais
cela est nécessaire pour créer de la croissance. Le Japon est, quant à
lui, confronté à une double problématique, le vieillissement de sa
population et une déflation qui persiste et plombe son économie. De
plus, le Japon qui est connu pour être un grand pays exportateur connaît
aujourd’hui un déficit de sa balance commerciale. On peut donc
comprendre que ce pays n’a d’autre choix que de dévaluer sa monnaie pour
pouvoir atteindre les 2% d’inflation nécessaires pour créer de la
croissance. Enfin, pour ces pays très endettés, il n’y a pas de recette
miracle pour absorber leurs dettes colossales. Ils doivent créer de la
croissance en devenant plus compétitifs et la dévaluation de leur
monnaie peut y aider sans pour autant être l’unique solution à long
terme.

-Quels sont les grands perdants et quels sont les gagnants ?

Vous faites très certainement référence à ce qui s’est passé en 1930
lorsque la guerre des monnaies avait été suivie par la mise en place de
barrières douanières protectionnistes qui ont ralenti le commerce
mondial et enfoncé encore un peu plus les économies dans la crise. Si
aujourd’hui tous les pays se mettaient à dévaluer leur monnaie, les taux
de change resteraient pratiquement inchangés. Cependant, au moment où
nous parlons, nous pouvons dire que le grand gagnant est le yen et que
l’euro est, quant à lui, le grand perdant. L’Europe vit aujourd’hui une
crise multidimensionnelle, politique et structurelle. Sans compétitivité
et sans croissance, elle aura du mal à réduire le poids de sa dette. Ce
qui menace aujourd’hui son unité.

-Les pays à faible compétitivité extérieure, à l’image de l’Algérie, sont-ils touchés par cette guerre des monnaies ?


L’Algérie souffre avant tout d’un problème structurel. Une industrie
anémique, un milieu des affaires sclérosé qui fait fuir l’investissement
local et étranger. Si le taux de change dinar algérien-dollar était
fluctuant, notre monnaie subirait une dévaluation beaucoup plus
importante que celle que nous avons connue en 2012. Un risque pays
important, un environnement des affaires difficiles et un manque de
visibilité dans la réglementation fiscale sont autant d’éléments qui
font fuir les investisseurs étrangers. La valeur d’une monnaie mesure
avant tout la confiance que l’on a vis-à-vis de son économie et de la
croissance du pays. Comme vous le rappelez, l’Algérie exporte peu hors
hydrocarbures et importe beaucoup. Cela s’explique par son
sous-développement économique, conséquence directe des problématiques
citées ci-dessus. Les recettes et dépenses du pays, libellées en devises
étrangères, sont donc inévitablement impactées par les fluctuations de
ces devises.


http://www.elwatan.com/economie/l-algerie-est-impactee-par-les-fluctuations-de-change-05-03-2013-205503_111.php

mise en accusation de l'ancien ministre des hydraucarbures CHAKIB KHELLIL par les instances judiciaires algerienne

ah enfin

sukhoi 30mka a écrit:

mise en accusation de l'ancien ministre des hydraucarbures CHAKIB KHELLIL par les instances judiciaires algerienne

il s'est toujours considéré comme intouchable. première prise de l'office central de lutte contre la corruption.

pourquoi il et intouchable?

IL ( c'est cru... Rebell [b] mais on lui a coupé les ailes ...

hain?? mafhamtech

IL se croyait intouchable ...

oui mais on lui a rien fait il faut le punir sévèrement ce traitre

Lutte contre le blanchiment d’argent


Le règlement de la Banque d’Algérie entre en vigueur


Par : Rédaction Nationale











Le nouveau règlement de la Banque
d’Algérie (BA) relatif à la prévention et à la lutte contre le
blanchiment d’argent est entré en vigueur après sa publication au
Journal officiel. Ce règlement 12-03 du 28 novembre 2012 précise que les
banques, les établissements financiers et les services financiers
d’Algérie Poste doivent se doter d’un programme écrit de prévention, de
détection et de lutte contre le blanchiment de capitaux et le
financement du terrorisme. Il doit comprendre, notamment, des
procédures, des contrôles, une méthodologie de diligence en ce qui
concerne la connaissance de la clientèle, des formations appropriées à
l’attention de leur personnel, un dispositif de relations
(correspondants et déclarations de soupçon) avec la Cellule de
traitement du renseignement financier (CTRF). Afin d’éviter de s’exposer
à des risques liés à leur clientèle et à leurs contreparties,
l'ensemble des établissements financiers doivent veiller à l'existence
de “normes internes” en matière de “connaissance de la clientèle”,
stipule le règlement qui abroge et remplace le règlement du 15 décembre
2005.
La BA, dans son nouveau règlement, désigne comme client toute
personne ou entité titulaire d'un compte bancaire ou postal, les clients
occasionnels, les mandataires et les agents agissant pour le compte
d'autrui ainsi que toute personne associée à une transaction financière
effectuée par l'intermédiaire d'une banque ou d'autre établissement
financier.


http://www.liberte-algerie.com/actualite/le-reglement-de-la-banque-d-algerie-entre-en-vigueur-lutte-contre-le-blanchiment-d-argent-195845

Un bel exemple de partenariat maghrébin, à suivre et à multiplier.

Citation :

Elle portera le nom de Mediatel Algérie
Une nouvelle filiale pour Hb Technologie

Le leader algérien de production et personnalisation des cartes à puce Hb Technologie et Mediatel Tunisie vont créer très prochainement un joint-venture spécialisée dans la pose de la fibre optique et sécurisation des transmissions, a indiqué à Léconews.com Nabil Bouaoudia, délégué commercial de Hb Technologie.

S’exprimant en marge du Salon international Hassi Messaoud : Fournisseurs de produits et services, Nabil Bouaoudia a expliqué que cette société mixe dont le capital sera partagé conformément à la règle 51/49 régissant le partenariat avec des opérateurs étrangers, sera enregistrée sous le nom de Mediatel Algérie et se chargera essentiellement de la mise en place des réseaux en fibre optique et la pose des systèmes de sécurité des transmissions. « Nous n’attendons que les autorisations nécessaires pour que le projet prenne forme », a toutefois précisé le délégué commercial sans vouloir tops focalisé sur le détail.

Il est opportun de rappeler que Hb Technologie est une startup algérienne créée en 2004. Elle est spécialisée dans la production, et la personnalisation de toute la gamme de cartes intelligentes, smartcards telles que les cartes de fidélité, les cartes de recharge, les cartes de téléphonie fixe, les cartes à puce GSM, les cartes bancaires et les cartes d’identification. Il est aussi un producteur de documents d’identification biométrique hautement sécurisés.

http://www.leconews.com/fr/actualites/nationale/telecoms/une-nouvelle-filiale-pour-hb-technologie-08-03-2013-162455_293.php

Bonne nouvelle: la production des véhicules et des moteurs en partenariat avec Mercedes-Daimler commencera cette année.

Citation :

Coopération algéro-allemande
Discussions entre Guenaïzia et Peter Alexander Trettin

M. Abdelmalek Guenaizia, ministre délégué auprès du ministre de la Défense nationale (MDN) s'est entretenu jeudi avec le président et chef exécutif du constructeur allemand Daimler pour l'Europe, l'Afrique et l'Asie, M. Peter Alexander Trettin.
Selon un communiqué du ministère de la défense nationale, M. Guenaizia a évoqué avec son hôte les projets industriels initiés par le (MDN) en partenariat international.
M. Trettin qui conduit une importante délégation composée de directeurs sectoriels (véhicules et moteurs) et de chefs de projets Algérie, a inspecté lors de son séjour les sites de Oued Hamimine (Constantine) de production de moteurs, de Rouïba pour le montage de véhicules industriels et de Tiaret, spécialisé dans les véhicules légers tout terrain (VLTT), ajoute la même source.
Ces trois projets de partenariat entreront en production cette année, précise le communiqué du MDN, qui ajoute qu'il s'agira de concrétiser des projets "selon des formules de partenariat industriel et commercial entre des opérateurs économiques du ministère de la Défense nationale et du ministère de l'Industrie, de la PME et de la promotion de l'investissement ainsi que des fonds d'investissements émiratis et du partenaire technologique allemand détenant la marque Mercedes Benz".

http://www.leconews.com/fr/depeches/discussions-entre-guenaizia-et-peter-alexander-trettin-07-03-2013-162439_312.php

Un beau projet en perspective: une société qui importe des filtres industriels projette de passer au montage. Espérons que la banque suivra et ne tardera à libérer lec rédit nécessaire au démarrage de l'usine.

Citation :

Elle est importatrice de filtres industriels
La Sarl Mag France se prépare au montage

L’entreprise algérienne importatrice de filtres toute gamme Sarl Mag France, se prépare à ouvrir une usine de montage dans la wilaya d'El Oued sous peu qu’elle trouve les financements nécessaires pour son démarrage.

"Nous attendons juste de réunir les documents exigés pour ce genre d’investissement et trouver des financements pour assurer la première étape qui est celle du démarrage de l’usine", a affirmé à Leconews.com Abderzak Bedadi, représentant de la Sarl Mag France au Salon international des fournisseurs de produits et services pétroliers, à Hassi Messaoud.
Cette usine de montage, explique-t-il, permettra de créer dans une première phase pas moins de 100 postes d’emploi, ce qui va réduire, tant soit peu, le taux de chômage du moins au niveau de la commune d’El Oued. Elle contribuera grandement, ajoute Abderzak Bedadi, à réduire le volume des importations de filtres destinés aux engins industriels, les compresseurs, climatiseurs, les véhicules légers et lourds ainsi qu’aux véhicules industriels.

« Dans la perspective de lancer cette unité de montage, il nous a fallu acheter du matériel de l’étranger et se procurer une assiette foncière. Nous souhaitons seulement que la banque acceptera notre demande de crédit devant nous apporter les financements manquants qui seront consacrés à l’acquisition de la matière première à l’étranger », précisera dans la foulée le même responsable.
La Sarl Mag France importe les marques de filtres les plus répandues dans le monde entier, tels que Fleetguard, Filtram, Sampiyon, Skyfil, Sun Field, Vivax et Ufi Filtre.

http://www.leconews.com/fr/actualites/nationale/industries/la-sarl-mag-france-se-prepare-au-montage-08-03-2013-162442_340.php