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| Actualités Economiques | |
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+19su30mka chega habiban Tayeb Algerian fighter one DR LECTER raptordz ammari kamel philipides7 samir_reghaia rimonidz yak Zoubir8 raptor13 berhoum faty boussouf houaridz Rebell 23 participants | |
Auteur | Message |
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chega Modérateurs
Messages : 1806 Date d'inscription : 13/03/2014
| Sujet: Re: Actualités Economiques Mar 22 Avr - 18:53 | |
| Le PDG de Schneider Electric Algérie : «La règle 49/51 nous satisfait» Article | 14. avril 2014 - 11:45 Christophe Begat, PDG de Schneider Electric Algérie. D. R. Algeriepatriotique : Vous avez réussi à décrocher plusieurs marchés en Algérie. Où en êtes-vous ? Christophe Begat : Nous avons deux façons de nous positionner sur le marché algérien. La première, c’est que nous fabriquons localement nos équipements que nous distribuons sur le marché algérien ; la deuxième, c’est qu’à travers nos équipes et nos services, nous sommes amenés à soumissionner pour des projets. Aujourd’hui, nous avons beaucoup investi pour fabriquer localement des équipements qui vont être mis à disposition des acteurs du marché de l’énergie : les clients de Sonelgaz, Sonelgaz ou Sonatrach, ou les clients énergivores comme peuvent l’être les cimenteries. Nous avons signé, récemment, des accords de licence pour faire du transfert technologique auprès de PME algériennes qui vont fabriquer également des équipements pour le marché algérien, et cela c’est important. Nous organisons des séances de formation pour nos collaborateurs, mais également pour les partenaires algériens afin qu’ils soient à la pointe de la compétence technologique pour assembler ces équipements. Nous sommes aussi amenés à prendre en charge des projets, souvent clé en main, surtout pour Sonelgaz ou ses filiales, ou, comme nous l’avons fait récemment, pour l’Agence nationale des autoroutes, notamment le gros projet de tunnels pour l’activité transport et travaux publics. Nous devions fournir – et nous l’avons fait – et installer tous les équipements de sécurité du tunnel de Lakhdaria-Larbatache sur l’autoroute Est-Ouest, qui permet d’assurer à l’ensemble des usagers une sécurité optimale. Schneider Electric Algérie est dans une nouvelle phase de redéploiement et de renforcement de ses activités axées sur le secteur du transport. Pourquoi ce choix ? C’est vrai que, traditionnellement, nous sommes sur les métiers de la distribution électrique, du contrôle industriel et de l’automatisme et sur des secteurs d’activité comme l’infrastructure, le bâtiment et l’énergie. Et la conjonction de ces deux paramètres importants a conduit vers la réalisation du projet du tunnel. Schneider a fait l’acquisition, il y a deux ans et demi, d’une société qui s’appelle Telvent, d’origine espagnole, spécialisée dans le domaine de la signalisation pour le transport. Cette société a eu la référence du système de signalisation pour le tramway d’Oran. Donc, ceci a fait qu’aujourd’hui, nous avons la légitimité pour nous positionner sur les projets transports, que ce soit des projets de tramway ou ferroviaires. Allez-vous orienter votre activité vers d’autres secteurs que le transport et les travaux publics ? Le transport et les travaux publics sont pour nous une nouvelle activité que nous développons. Nous avons l’avantage de fabriquer en Algérie des équipements qui peuvent servir dans ces deux secteurs. Nous pouvons fournir toute la gestion de l’énergie ; avec la société Telvent, pour la partie système, nous pouvons faire beaucoup sur ces segments. Nous gardons tout de même nos activités traditionnelles qui sont l’énergie, le pétrole, l’industrie, le bâtiment et l’infrastructure. Allez-vous assurer un transfert de technologie vers l’Algérie ? Nous avons démarré ce principe en 2010, l’année où nous avions signé le premier accord de transfert technologique pour permettre à l’un de nos partenaires historiques, Salgepem en l’occurrence, de fabriquer des kiosques qui sont, en fait, des postes béton : ces enveloppes dans lesquelles on trouve des disjoncteurs, transformateurs et des parties basse tension. Notre partenaire les fabrique sous licence Schneider Electric. Cela, nous l’avons démarré 2010 ; en 2013, nous avons signé deux accords de licence : l’un avec la même société, mais cette fois-ci pour fabriquer des cellules, les mêmes qu’on fabrique chez nous à l’usine, l’autre avec la société Remelec qui va fabriquer à la fois des transformateurs de distribution et également des cellules SM6, que nous fabriquons aussi dans notre usine. Pour ce qui concerne la formation, il y a trois choses à prendre en compte : premièrement, le transfert technologique doit s’accompagner d’un engagement de formation auprès de nos partenaires, chose que nous faisons. Deuxièmement, chez Schneider Electric, il existe un centre de formation agréé par le ministère de la Formation professionnelle. Et ce qui est bien, c’est que nous pouvons recevoir des clients au sein du centre, pour suivre des formations, ou bien d’aller le faire sur leur propre site. Troisièmement, c’est le centre d’excellence, dont l’accord a été signé en décembre dernier avec le ministère de l’Education nationale français et le ministère de la Formation professionnelle, qui sera en charge de former des formateurs. Le ministère de l’Education français va mettre à disposition un enseignant pendant trois ans, le ministère de la Formation va mettre à disposition des locaux et des formateurs qui vont venir se former, et Schneider Electric va mettre en œuvre toute la plate-forme didactique qui va être utilisée par ce centre de formation. Les investisseurs étrangers voient dans la règle 49/51 un frein à leurs investissements en Algérie. Etes-vous du même avis ? C’est vrai que lorsqu’elle a été mise en place en 2009, dans le cadre de loi de finances complémentaire, elle a été vue comme un frein par certains investisseurs étrangers. On peut dire aussi que les acteurs industriels français qui étaient déjà présents connaissent bien l’Algérie et travaillent avec des partenaires algériens, donc, pour eux, cela a été plus une opportunité de se développer qu’une crainte. Concrètement, les accords 49/51 concernent surtout les entreprises françaises, car nous avons l’avantage de connaître l’Algérie par rapport à d’autres investisseurs européens qui n’ont pas forcément l’habitude de travailler dans ce pays, mais nous, ce qu’on peut dire c’est qu’aujourd’hui, les entrepreneurs sont satisfaits, donc ça marche. La conclusion aujourd’hui est de dire que ce système peut-être une opportunité pour ceux qui sont prêts à prendre le risque. Un exemple… Je prends l’exemple de nos confrères d’Alstom qui ont démarré la fabrication des cabines de tramway. Ils le font avec un partenaire algérien qui s’appelle Cital. Ils sont en train de monter une usine à Annaba pour construire le matériel roulant pour les tramways. Cela se fait en conformité avec la règle 49/51et jusqu’à aujourd’hui, ça marche très bien. Entretien réalisé par Houneida Acilhttp://www.algeriepatriotique.com/article/le-pdg-de-schneider-electric-algerie-la-regle-4951-nous-satisfait | |
| | | DR LECTER Admin
Messages : 792 Date d'inscription : 15/05/2011
| Sujet: Re: Actualités Economiques Lun 28 Avr - 14:22 | |
| - Citation :
- Favoriser la fuite des capitaux et brider l’investissement algérien à l’étranger
http://www.tsa-algerie.com/2014/04/27/favoriser-la-fuite-des-capitaux-et-brider-linvestissement-algerien-a-letranger/ Que cela n'augure rien de bbon pour l'avenir des enfants algériens... | |
| | | Zoubir8 Commandant
Messages : 1597 Date d'inscription : 11/04/2012 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Actualités Economiques Mar 29 Avr - 21:34 | |
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- El Hamdoullah, il y a dans ce pays des cadres et des ouvriers qui ont la rage de réduire les hémorragies de devises dues aux retards de déchargement des bateaux.
- 29 avril 2014
Algérie:baisse de 75% du nombre des navires en rade au port d'Alger Le nombre de navires en rade au port d'Alger a été réduit d'une moyenne de 75% depuis la mise en service en 2014 de nouveaux équipements de manutention, indique l'Entreprise portuaire d'Alger (EPAL). "Opérationnels au début de l'année 2014, les stackers, équipements de manutention nouvellement réceptionnés par l'EPAL, ont contribué à "réduire considérablement le nombre de navires en rade", explique l'entreprise portuaire dans son mensuel d'information. A titre indicatif, durant les deux premiers mois de la mise en service des équipements, une baisse de la rade d'une moyenne de 75% a été enregistrée, le nombre de navires en rade a été réduit de 25 à 6 navires quotidiennement, précise l'EPAL. Aussi, depuis ces deux dernières semaines, "la rade a encore baissé à moins de 3 navires", ajoute l'entreprise. Les travailleurs manutentionnaires ainsi que les responsables chargés de la logistique ont également joué un rôle important pour réduire le nombre des navires en rade, souligne l'entreprise portuaire. APS | |
| | | houaridz Lieutenant Colonel
Messages : 3009 Date d'inscription : 05/10/2012 Localisation : tous près
| Sujet: Re: Actualités Economiques Mar 29 Avr - 22:29 | |
| enfin..... on aurait cru un parking pour bateau pres du port d'alger,maintenant les autres ports | |
| | | chega Modérateurs
Messages : 1806 Date d'inscription : 13/03/2014
| Sujet: Re: Actualités Economiques Mar 29 Avr - 22:52 | |
| La société américaine Varian ouvre une représentation en Algérie Par Mourad Arbani | 29/04/2014 | 19:22 Share on facebookShare on twitterShare on emailShare on pinterest_shareMore Sharing Services2 La société américaine Varian, spécialisée dans la fabrication d’équipements de radiothérapie, vient d’ouvrir à Alger une représentation dans le but de couvrir toute la région de l’Afrique du Nord. L’annonce a été faite, mardi, par le ministre de la Santé, de la population et de la réforme hospitalière, Abdelmalek Boudiaf. L’ouverture d’un bureau de la société Varian à Alger qui couvrira toute la région d’Afrique du Nord est à même de régler « définitivement » les problèmes liés à la maintenance, à la garantie de pièces de rechange et au suivi des équipements de radiothérapie pour une meilleure prise en charge des malades atteints de cancer, a affirmé le ministre, lors d’une audience accordée à la délégation américaine, présidée par le président de la société Varian, M. Burt Lang. L’engagement de la société américaine ne se limite pas uniquement à doter l’Algérie d’accélérateurs, mais aussi à garantir leur montage selon les normes internationales, a précisé M. Boudiaf, exhortant la délégation américaine à visiter les centres anticancer, en vue d’inspecter les espaces consacrés au montage des équipements de radiothérapie. Le président de la société Varian s’est félicité du partenariat algéro-américain dans le domaine de la santé, affirmant que sa présence à Alger à la tête d’une délégation d’experts s’inscrivait dans le cadre de la mise en œuvre des clauses du mémorandum d’entente signé entre les deux parties, pour une meilleure prise en charge des malades. Le responsable américain s’est dit prêt à accompagner l’Algérie dans la mise en œuvre du plan national de lutte contre le cancer, soulignant que son pays poursuivra le transfert de technologies et de techniques de pointe vers l’Algérie. S’adressant à la délégation américaine, le ministre de la santé a assuré que les pouvoirs publics réuniront toutes les conditions nécessaires aux Etats Unis d’Amérique, intéressés par l’ouverture d’un hôpital américain à Alger. Seules 8000 personnes atteintes de cancer bénéficient chaque année de la radiothérapie sur un total de 28.000 patients nécessitant ce traitement, en raison du grand déficit enregistré dans ce domaine. http://www.algerie1.com/actualite/la-societe-americaine-varian-se-dote-dune-representation-en-algerie/ | |
| | | DR LECTER Admin
Messages : 792 Date d'inscription : 15/05/2011
| Sujet: Re: Actualités Economiques Mer 30 Avr - 21:08 | |
| - Citation :
- Signature d'un pacte d'associés algéro-américain pour la fabrication d'accumulateurs au lithium
http://www.maghrebemergent.com/economie/algerie/item/36950-signature-d-un-pacte-d-associes-algero-americain-pour-la-fabrication-d-accumulateurs-au-lithium.html | |
| | | su30mka Admin
Messages : 4630 Age : 63 Date d'inscription : 21/04/2014 Localisation : pays des martyrs
| Sujet: Re: Actualités Economiques Jeu 1 Mai - 3:37 | |
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- Algérie Presse Service
- mercredi 30 avril 2014 16:41
[size=30] Algérie - Sortie de l'usine de Rouiba du premier camion sous le label Mercedes Benz[/size] Ce véhicule de type Actros, est l'un des cinq (5) modèles de camions devant être assemblés sur le même site industriel dont la capacité annuelle est de 550 véhicules en 2014 avant d'atteindre 2000 camions en 2015 selon le P-DG de la SNVI Hamoud Tazrouti. Le premier camion assemblé en Algérie sous le label Mercedes Benz est sorti mercredi des chaînes d'assemblage de l'usine de la Société nationale des véhicules industriels (SNVI) de Rouïba (Est d'Alger) dans la cadre d'un projet d'investissement algéro-germano-émirati. Ce véhicule de type Actros, est l'un des cinq (5) modèles de camions devant être assemblés sur le même site industriel dont la capacité annuelle est de 550 véhicules en 2014 avant d'atteindre 2000 camions en 2015, a précisé le P-DG de la SNVI Hamoud Tazrouti. "Dans une première phase, nous n'assemblerons que les camions de type Actros avant de procéder dans une seconde étape à l'intégration des autres modèles à savoir ATEGO, AXOR, UNIMOG et deux autres modèles de bus", a-t-il indiqué, soulignant que la commercialisation des premiers Actros est prévu d'ici 15 à 20 jours. La moyenne d'assemblage est de 4 camions par jour, a-t-il affirmé, lors de cette cérémonie qui s'est déroulée en présence notamment de représentants du groupe allemand, du directeur des industries militaires au niveau du ministère de la Défense nationale (MDN), le Général major Rachid Chouaki et du Secrétaire général au ministère du Développement industriel et de la Promotion de l'Investissement, El Hadi Makboul. 3.300 employés en 2018 Selon M. Tazrouti, la cadence de production de la Société algérienne de production de poids lourdsMercedes Benz (SAPPL-MB), créée en 2012 avec un capital de 103 millions d'euros, atteindra en 2018 et 2019 quelque 15.000 camions et 1.500 bus, annonçant l'augmentation du nombre d'employés qui passera de 60 employés actuellement à 3.300. M.Tazrouti a souligné également qu'une attention particulière sera accordée à la formation des employés et de formateurs en collaboration avec le partenaire technologique allemand. "La formation concernera les aspects techniques mais aussi managériales ainsi que les process du leader allemand Daimler", a-t-il expliqué. Le défi, a-t-il poursuivi, est d'arriver à une intégration verticale qui va permettre le transfert technologique notamment de moteurs, de châssis et d' essieux avec une sous-traitance totale des PME algériennes qui doivent fournir les composants de véhicules aux standards de Daimler, seules ou avec des partenaires étrangers. La production sera destinée pour satisfaire les besoins du marché national notamment les instituions militaires, le entreprises publiques ainsi que le secteur privé, a fait savoir le premier responsable de la SNVI, n'écartant pas la possibilité de s'ouvrir à l'exportation, s'il y a un surplus, en obtenant l'accord préalable du partenaire technologique. Présent à la cérémonie, M.Yaris Puersuen, responsable de la production camions de Mercedes Benz au monde, s'est félicité de la concrétisation de ce projet. Une joint-venture SNVI-MDN-Mercdès-Aabar La réalisation de grands projets dans l'industrie mécanique offre des opportunités d'investissementdans notre pays, le développement de l'activité de sous-traitance et la création d'emplois, a estimé le directeur des industries militaires au MDN, le Général major Rachid Chouaki. Cette joint-venture est détenue à hauteur de 51% par la partie algérienne via la SNVI (34%) et le MDN (17%) et à 49% par l'émirati Aabar. L'allemand Daimler/Mercedes-Benz en est le partenaire technologique. La société produira environ 15.000 camions, cars et bus par an, comme stipulé dans la licence de production de marque et label de qualité Daimler. Trois sociétés à capitaux mixtes avaient été créées en juillet 2012 dans le cadre de la mise en œuvre de protocoles d'accords algéro-émirati-allemands pour le développement de l'industrie mécanique nationale. Il s'agit de la Société algérienne de production de poids lourds de marque Mercedes-Benz/SPA Rouïba, de la Société algérienne pour la fabrication de véhicules de marque Mercedes-Benz/SPA/Tiaret et d'une autre Société algérienne de fabrication de moteurs de marque allemande (Mercedes-Benz, Deutz et MTU) SPA/Oued Hamimime (Constantine). | |
| | | su30mka Admin
Messages : 4630 Age : 63 Date d'inscription : 21/04/2014 Localisation : pays des martyrs
| Sujet: Re: Actualités Economiques Jeu 1 Mai - 3:40 | |
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| | | dz.dz Adjudant
Messages : 470 Date d'inscription : 30/03/2014
| Sujet: Re: Actualités Economiques Jeu 1 Mai - 20:01 | |
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| | | yak Admin
Messages : 13552 Date d'inscription : 24/04/2011 Localisation : SUR TERRE
| Sujet: Re: Actualités Economiques Sam 3 Mai - 10:58 | |
| - Citation :
- IL EST ASSEMBLÉ DANS L’USINE DE LA SNVI DE ROUIBA
Sortie du 1er camion sous le label Mercedes Benz Par : Farid Belgacem Très attendu sur le marché algérien de l’automobile, le premier camion assemblé en Algérie sous le label de Mercedes Benz est enfin sorti, mercredi dernier, des chaînes d’assemblage de la Société nationale des véhicules industriels (SNVI) de Rouiba (Alger). Inscrit dans la cadre d’un projet d’investissement algéro-germano-émirati, ce véhicule de type Actros est l’un des cinq modèles de camions devant être assemblés sur le même site industriel, dont la capacité annuelle est de 550 unités en 2014, et ce, avant d’atteindre 2 000 camions en 2015. Le P-DG de la SNVI, Hamoud Tazrouti, précisera que “dans une première phase, nous n’assemblerons que les camions de type Actros avant de procéder dans une seconde étape à l’intégration des autres modèles, à savoir Atego, Axor, Unimog et deux autres modèles de bus (…). La commercialisation des premiers Actros est prévu d’ici 15 à 20 jours”. Aussi, la moyenne d’assemblage est de 4 camions par jour. La cérémonie s’est déroulée en présence de représentants du groupe allemand, du directeur des industries militaires au ministère de la Défense nationale, le général-major Rachid Chouaki, et du SG du ministère du Développement industriel et de la Promotion de l’investissement, El-Hadi Makboul. La Société algérienne de production de poids lourds Mercedes Benz (SAPPL-MB), créée en 2012 avec un capital de 103 millions d’euros, atteindra en 2019 quelque 15 000 camions et 1 500 bus, alors que le nombre d’employés passera de 60, actuellement, à 3 300. L’objectif étant d’arriver à une intégration verticale pour fournir les composants de véhicules aux standards de Daimler, la production est destinée pour répondre aux besoins du marché national, notamment les institutions militaires, les entreprises publiques, ainsi que le secteur privé.
SYNTHESE F. B. http://www.liberte-algerie.com/actualite/sortie-du-1er-camion-sous-le-label-mercedes-benz-il-est-assemble-dans-l-usine-de-la-snvi-de-rouiba-220602 | |
| | | su30mka Admin
Messages : 4630 Age : 63 Date d'inscription : 21/04/2014 Localisation : pays des martyrs
| Sujet: Re: Actualités Economiques Sam 3 Mai - 21:44 | |
| Annulation de l'article 87 bis du code du travail prévue dans la prochaine loi de finances http://www.aps.dz/fr/economie/5323-annulation-de-l-article-87-bis-du-code-du-travail-pr%C3%A9vue-dans-la-prochaine-loi-de-finances
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| | | berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
| Sujet: Re: Actualités Economiques Dim 4 Mai - 19:25 | |
| L’Algérie va importer des usines clés en main En espérant que sais du concret Le gouvernement a adopté une nouvelle stratégie afin de répondre à la forte demande en logements. Il compte combler le déficit en la matière par le préfabriqué. - Citation :
Un avis d’appel d’offres est lancé depuis hier à l’adresse des promoteurs algériens ou étrangers capables d’importer des usines clés en main pour la réalisation des logements préfabriqués. Cet appel d'offres vient pour répondre à la forte demande que connaît le marché algérien en termes de logement, c’est du moins ce qu’a affirmé le ministre de l’Habitat et de l’urbanisme, en marge de l’inauguration du salon international du bâtiment, des matériaux de construction et des travaux publics (BATIMATEC). Abdelmadjid Tebboune a assuré à ce propos que l’état est prêt à achater toute la production de ces usines jusqu'à l'amortissement de ces investissements. Le ministre a par ailleurs indiqué que le cahier des charges concernant les promoteurs immobiliers moyens qui n’ont pas accès au marché de la construction sera prêt à partir de la semaine prochaine. Ils pourront ainsi soumissionner aux avis d’appel d’offres qui seront lancés par l’Etat. « Les promoteurs immobiliers moyens qui sont classés en catégorie 4 ou 5 et qui ont l’habitude de réaliser entre 400 et 600 logements auront leurs charte et cahier des charges à partir de la semaine prochaine », a-t-il affirmé avant d’insister sur la nécessité de fournir des efforts conséquents dans la réalisation et la formation. Évoquant la pénurie de ciment que connaît le marché du BTP en Algérie, le ministre a lié celle-ci à la spéculation des distributeurs et non au manque de quantités dispensables. Le ministre de l’habitat a rappelé que la production nationale est de 18 millions de tonnes, alors que la demande est de 21 millions de tonnes. « L’écart est couvert par les importations qui avoisinent 3.2 millions de tonnes par an », a-t-il ajouté. http://www.leconews.com/fr/actualites/nationale/habitat/l-algerie-va-importer-des-usines-cles-en-main-04-05-2014-169274_361.php | |
| | | berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
| Sujet: Re: Actualités Economiques Mar 6 Mai - 17:47 | |
| Ascométal intéresse RebrabPlacé en redressement judiciaire depuis le 7 mars dernier, le sidérurgiste français, spécialisé en aciers spéciaux Ascométal, attend des repreneurs. - Citation :
Ayant commencé son parcours d’industriel dans la sidérurgie, le patron du groupe Cevital, s’est invité dans les négociations pour le rachat des actifs de l’entreprise. Ainsi, après avoir acquis FagorBrandt et la société Oxoo, spécialisée dans la menuiserie industrielle, voilà que Issaad Rebrab veut jeter son dévolu sur une partie de l’aciérie française. L’information a été rapportée aujourd’hui par le quotidien français Le Républicain Florrain. Selon le journal M. Rebrab devrait être auditionné ce matin par le syndicat de l’entreprise pour étudier son offre mais aussi négocier le maintien des emplois, sachant que Ascométal, située en Moselle, région que connaîtrait très bien le patron de Ceviltal, compte 680 salariés. Cependant, Issaâd Rebrab devra faire face à une rude concurrence, même s’il bénéficie quelque part du soutien du ministre français de l’économie Montenbourg. En effet, les industriels MA Steel (Chine) et Gerdau (Brésil), le fonds américain Anchorage, soutenu par les créanciers d'Ascométal, et Franck Supplisson sont autant intéressés que lui par la reprise de l’entreprise. De plus Supplisson a déjà promis de maintenir la totalité des emplois et 135 millions d'euros d'investissements sur 4 ans. Il a déjà formulé une offre d'au moins 40 millions d'euros sur les actifs. En tout état de cause, les industriels intéressés, y compris le patron du groupe Cevital, devront présenter leur offre au tribunal de Nanterre vendredi avant minuit. http://www.leconews.com/fr/actualites/nationale/investissement/ascometal-interesse-rebrab-06-05-2014-169322_360.php | |
| | | chega Modérateurs
Messages : 1806 Date d'inscription : 13/03/2014
| Sujet: Re: Actualités Economiques Mer 7 Mai - 11:29 | |
| Un contrat de 13 milliards de dollars pour CRCC en Algérie Abonnez-vous au flux RSS des articles 07 mai 2014 09:57 0 commentaire Il s’agit de la construction d'une ligne de 1 385 km
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La China Railway Construction Corporation (CRCC) à travers sa filiale China Civil Engineering Construction Corporation (CCECC) aurait signé un méga contrat de 13 milliards de dollars avec l’Algérie dans le secteur des chemins de fer. Le contrat dont l’annonce a été faite par le groupe chinois prévoit la construction d'une ligne de chemin de fer de 1 385 km le long de la côte, sur laquelle les trains devraient circuler à 120 km/h. « La valeur provisoire du contrat est estimée à 13,12 milliards de dollars, soit 13,77% du chiffre d'affaires enregistré par la société en 2013 ». Pour l’instant, plusieurs clauses du contrat restent toujours en négociation, selon cette entreprise citée par French.china.org.cn.Mais tout porte à croire que le contrat porte principalement sur la réalisation du chemin de fer du train à grande vitesse (TGV) dans la rocade nord et dont les études préliminaires pour sa mise en place ont été lancées récemment. Il est à rappeler que le secteur des chemins de fer en Algérie a bénéficié 2500 milliards de dinars, soit 32 milliards de dollars ont été mis sur la table par le gouvernement pour moderniser tout le réseau national, et cela, à travers les deux plans quinquennaux (2004-2009 et 2010-2014). L’Algérie vise en effet à atteindre à moyen terme 12.500 km de lignes de chemin de fer, contre près de 4.500 km actuellement, dont 6.000 km sont en cours de réalisation. China Railway Construction Corporation (CRCC) est un groupe d'entreprises de grande ampleur qui possède plus de 30 filiales. En 2013, le groupe a enregistré un chiffre d'affaires de 108,143 milliards de yuans au premier trimestre de cette année, soit une augmentation de 21,15 % en glissement annuel, avec un bénéfice distribuable de 2,002 milliards de yuans, soit 22,99 % de plus qu'une année auparavant. La société a déclaré que, en quête de plus nombreuses opportunités de coopération, elle allait accélérer son développement en Afrique. Pour rappel, CRCC figure parmi les entreprises chinoises ayant pris en charge la réalisation des lots centre et ouest de l’autoroute Est-Ouest. http://www.leconews.com/fr/actualites/nationale/investissement/un-contrat-de-13-milliards-de-dollars-pour-crcc-en-algerie-07-05-2014-169337_360.php | |
| | | Zoubir8 Commandant
Messages : 1597 Date d'inscription : 11/04/2012 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Actualités Economiques Mer 7 Mai - 23:10 | |
| Pourquoi l'Algérie ne laissera pas tomber la Tunisie Article | 7. mai 2014 - Algérie Patriotique Mehdi Jomaa lors de sa dernière visite à Alger. Sid-Ali/New Press Le Premier ministre tunisien, Mehdi Jomaa, venu pour une visite de deux jours dans notre pays, a eu toutes les raisons de repartir satisfait et même comblé. On ne sait pas ce qu’il a demandé comme aide financière, mais ce qu’il a reçu est plus qu’honorable : 250 millions de dollars, une somme qui permet à nos voisins de sortir la tête de l’eau comme l’ont fait remarquer, avec reconnaissance, les responsables tunisiens, eux-mêmes. Certaines voix se sont élevées pour critiquer cette aide accordée à la Tunisie. Une telle attitude relève à la fois du manque d’intelligence par rapport à ce qui se passe dans ce pays voisin, et de l’ingratitude, oubliant la solidarité active manifestée avec un grand courage par les Tunisiens, «gouvernement et peuple», à l’égard de notre pays qui combattait pour son indépendance, et aussi durant la décennie noire du terrorisme quand toutes les portes extérieures étaient fermées aux Algériens. Mais, surtout, il faut être dépourvu du moindre grain d’intelligence pour ne pas comprendre, d’abord, que l'Algérie a besoin d'une Tunisie stable et prospère à sa frontière et, ensuite, que ce pays est sur la voie d’un processus démocratique exemplaire qui a besoin d’être soutenu d’autant plus que la société tunisienne, dynamique et ouverte, le mérite. Le terrorisme islamiste qui tente de déstabiliser ce pays frère se nourrit, l’expérience l’a démontré, de la démagogie exprimée en termes religieux et appuyée sur les difficultés sociales que rencontrent les couches défavorisées, c'est-à-dire là où se fait le recrutement des terroristes. L’Algérie, naturellement très attentive ce qui se déroule ses frontières, est engagée dans une coopération antiterroriste avec la Tunisie. Cette coopération ne se limite sans doute pas aux aspects sécuritaires. On sait que la stratégie, dans ce domaine, mise en application en Algérie, a reposé sur l’éradication des groupes terroristes et sur le tarissement de leur source sociale de recrutement. C’est ce qui explique la volonté de l’Algérie de ne pas laisser tomber la Tunisie en l’abandonnant seule dans sa confrontation avec les difficultés économiques et sociales. L’aide financière est renforcée par la porte ouverte aux entreprises tunisiennes pour participer aux chantiers lancés par les investissements publics en Algérie, et par, quasiment, l’encouragement des Algériens à aller dépenser leur budget touristique en devises en Tunisie. Enfin, il faut toujours garder en mémoire ce que les responsables algériens ont, à maintes reprises, rappelé : le rôle de la Tunisie qui a constitué une importante base logistique pour l’Algérie qui combattait le colonialisme français. La solidarité fraternelle entre la Tunisie et l’Algérie a été scellée dans le sang des victimes, pour la plupart enfants tunisiens, du bombardement du village frontalier de Sakiet Sidi Youssef, mené par l’armée française le 8 février 1958. Kamel Moulfi | |
| | | su30mka Admin
Messages : 4630 Age : 63 Date d'inscription : 21/04/2014 Localisation : pays des martyrs
| | | | DR LECTER Admin
Messages : 792 Date d'inscription : 15/05/2011
| Sujet: Re: Actualités Economiques Jeu 8 Mai - 17:30 | |
| Et quand on aura plus de pétrole, on fanfaronnera devant les tunisiens comment? nan pqrce que je rappelle que c'est un fait historique qui génialement rappeller quand sa arrange depuis des décennies, nor, des rapports intelligents entrz nations matures ne nécessite pas ce genre de chantage emotionnel, ensuite l'intérêt pour nous est de soutenir un pays cher pour ke pas avoir un front supplémentaire cela va sans dire, ensuite le budget des touristes algeriens rendraient bien heureux nos compatriotes dont vous n'hésiter pas a rappeller l'immensité de notre territoire et la diversité dont les citoyens ne connaissent pas l'étendu, attention rien n'empêche de voir au dela de ces frontières il n'y a pas de contradiction simplement une cohérence a avoir, le marché algerien n'est pas une vache a lait, il a ou plutôt il devrait y avoir des regles clairs et appliqués a tous y compris les sociétés algériennes qui sont systématiquement écartés, charité bien ordonné commence par soit même. ..alors non a cette love story et du chantage sentimental, et surtout au pseudo rôle de grand frère, c'est du flan tout sa | |
| | | DR LECTER Admin
Messages : 792 Date d'inscription : 15/05/2011
| Sujet: Re: Actualités Economiques Sam 10 Mai - 11:12 | |
| - Citation :
- Société civile, réformes économiques, rente pétrolière… Sur tous ces sujets sensibles, Slim Othmani, le grand patron algérien apporte son éclairage.
http://economie.jeuneafrique.com/regions/maghreb-a-moyen-orient/22031-slim-othmani-qissad-rebrab-devrait-etre-encenseq.html
D'ailleurs, j'invite tous les memebres a s'intéresser au smartphone de condor, une vrai réussite, audace, fierté algérienne du produit industriel made in | |
| | | berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
| Sujet: Re: Actualités Economiques Sam 10 Mai - 11:50 | |
| Quand l’Algérie s’éveillera, l’Afrique se portera mieuxMalgré la perspective d'une élection présidentielle particulièrement délicate et les troubles à Ghardaia, notre chroniqueur, Richard Labévière, insiste sur le rôle de l’Algérie comme puissance régionale. Avec le Nigéria et l’Afrique du Sud, ce pays est l’un des trois « big three » qui détiennent les clefs de l’avenir du grand continent. - Citation :
Avec une superficie de 2381741 km2, l’Algérie est le plus vaste pays d’Afrique mais également du monde arabe et du bassin méditerranéen. Sa géographie assemble de multiples atouts dont une façade maritime de 1 200 km et d’immenses étendues sahariennes riches en hydrocarbures. Avec 36 millions d’habitants, l’Algérie est aussi une puissance démographique : les moins de 30 ans représentent 70% de la population. Le secteur des hydrocarbures assure à lui seul 97% des exportations (36% du PIB) en direction de l’Union européenne, du Maghreb et des Etats-Unis qui achètent une grande partie de son gaz naturel liquéfié (GNL). Bien que l’Algérie reste un modeste producteur de pétrole en rapport aux pays du Proche-Orient, son gaz constitue une dimension essentielle des relations économiques et géopolitiques du bassin méditerranéen. Elle est le troisième fournisseur en gaz de l’UE après la Russie et le Norvège. Les réserves d’hydrocarbures sont réparties sur quelques 200 gisements d’huile et de gaz, situés dans les bassins d’Oued Mya, de Hassi Messaoud (67%) et d’Illizi (14%) - où se situe le complexe gazier d’In Amenas – de Rhourde Nouss (9%) et d’Ahnet Timimoun (4%). 190 milliards de dollars en réserve Les recettes de l’Etat ont ainsi fortement augmenté et les réserves de change atteint des niveaux record avec plus de 140 milliards de dollars en 2008 et 190 milliards en 2012. La croissance est continue – de l’ordre de 3% par an en moyenne depuis une décennie -, faisant de l’économie algérienne l’une des plus saines du monde arabe. Le niveau d’endettement y est faible. Le pays a été qualifié en 2012 par le FMI dev »pays le moins endetté des 20 Etats de la région Moyen-Orient/Afrique du Nord avec une dette extérieure de 2,4% du PIB et une dette publique de 9% du PIB. Par ailleurs, l’alphabétisation est en hausse (96% en primaire). Le raccordement au réseau électrique est effectué à 98% et l’on doit assister au lancement de la 3G en novembre 2013. L’Algérie s’apprête à inaugurer la plus grande usine de dessalement d’eau de mer au monde près d’Oran d’une capacité de 500 000 m3 d’eau par jour mettant ainsi progressivement fin aux crises récurrentes d’approvisionnement des grandes villes du pays. Dix milliards de dollars pour la Défense Enfin, l’Algérie est la première puissance militaire régionale. Avec une budget de la défense estimé à 10,3 milliards de dollars en 2013 (2,7 milliards en 2000), le neuvième importateur d’armes au monde s’est doté d’équipements modernes, notamment aériens. Client traditionnel de la Russie, l’Algérie a diversifié des approvisionnements en direction de la Chine, des Etats-Unis, de l’Afrique du Sud, de l’Allemagne et de la France. Elle dispose désormais d’une industrie militaire qui produit notamment des véhicules blindés d’infanterie et des corvettes. En effet, l’Algérie veut surtout accroître ses capacités militaires maritimes pour afficher ses ambitions sécuritaires en Méditerranée. Durant l’opération Serval au Mali, l’Algérie a d’abord renforcé la défense de ses frontières puis elle a coupé l’approvisionnement en carburant des factions jihadistes en réduisant les filières de contrebandes. Et le geste le plus fort fut de donner l’autorisation aux avions de chasse et de transport français de survoler le territoire algérien, ce qui ne s’était jamais vu depuis la fermeture des bases militaires françaises en Algérie en 1962. L'OTAN comme partenaire Compte-tenu de l’ensemble de ces données, la géopolitique de l’Algérie se déploie dans trois perspectives principales : tout d’abord, on l’a dit, participer à la stabilité de la Méditerranée en s’imposant comme un partenaire majeur de l’OTAN et des Etats-Unis ; continuer à servir de médiateur dans les conflits africains à partir de la mémoire de sa lutte anticoloniale et d’une position dominante au sein de l’Union africaine ; enfin s’imposer comme la grande puissance sahélo-saharienne. Depuis plusieurs années, la Sonatrach, la toute puissante société nationale des hydrocarbures, ambitionne de relier le dispositif énergétique nigérian à son propre réseau de pipelines et d’oléoducs, option qui permettrait de faire l’économie de la piraterie maritime… Mais Alger cherche aussi à contrôler les autres richesses du Sahel, dont l’uranium et les autres minerais stratégiques de ce grand morceau d’Afrique. Ces différents enjeux restent toutefois conditionnés par nombre de fragilités intérieures qui concernent, tant une économie restant largement cartellisée et relativement fermée qu’une classe politique excessivement cadrée par un FLN vieillissant et des islamistes très conservateurs. Après une décennie sanglante (1988 – 1998) qui a fait près de 100 000 victimes, l’Algérie est restée épargnée par les mal nommées « révolutions arabes ». Tout en continuant et en accélérant les réformes structurelles engagées par le président Bouteflika, l’Algérie - qui continue très judicieusement à baser sa diplomatie sur la non-ingérence et la souveraineté des Etats -, pourrait prochainement s’imposer comme l’un des grands émergeants/émergés aux côtés de la Chine, l’Inde et le Brésil. PUBLIÉ PAR RICHARD LABÉVIÈREConsultant international, rédacteur en chef du magazine en ligne espritcors@ire et collaborateur du mensuel Afrique-Asie. Grand reporter à la Télévision suisse romande (TSR) - 1981/1998, rédacteur en chef à Radio France Internationale 1999/2008 et de la revue “Défense” de l’Institut des Hautes Etudes de Défense Nationale http://mondafrique.com/lire/international/2014/03/19/quand-lalgerie-seveillera | |
| | | Zoubir8 Commandant
Messages : 1597 Date d'inscription : 11/04/2012 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Actualités Economiques Sam 10 Mai - 23:09 | |
| - su30mka a écrit:
- bien parlé zoubir
Merci pour vos encouragements.- nous avons besoin d'une Tunisie démocratique sans djihadistes. - nous avons un devoir de mémoire vis à vis de la Tunisie: ---durant la décennie noire, alors que toutes les pays fermaient leurs frontières, celles avec la Tunisie restaient ouvertes. ---durant la guerre de libération nationale, Bourguiba n'a pas ménagé son soutient logistique à l'ALN (voir ce qu'en dit wikipedia).. ContexteAlors que la guerre d'Algérie fait rage, l'armée française subit régulièrement des attaques venant de l'autre côté de la frontière tunisienne. Le pays, devenu une véritable base arrière, apporte en effet son soutien logistique, par le transit des armes, et héberge des troupes de l'Armée de libération nationale. En 1958, le commandement de l'armée française en Algérie décide de ne plus tolérer le harcèlement de ses forces. Article sur les incidents du 11 janvier 1958, L'Écho d'Alger, 15 janvier 1958 Le 2 janvier se produit un accrochage à la frontière lors duquel les Algériens réussissent à capturer quatre soldats français et à les ramener dans la région du Kef. Le président du Conseil français, Félix Gaillard, charge le général Buchalet de porter un message au président Habib Bourguiba dans le but de relancer les négociations franco-tunisienne et de rappeler au président Habib Bourguiba ses obligations de neutralité 1. Bourguiba refuse de recevoir ce militaire qui avait combattu les fellagas en 1954. Gaillard envoie alors son chef de cabinet en vain. Bourguiba déclare à la presse : « La France doit comprendre qu'un général pour appuyer une protestation ou une frégate pour soutenir une politique, tout cela doit prendre fin. Si l'action continue, je demanderai l'installation d'un régiment de l'ONU aux frontières 2 ». À Paris, ces réactions ne sont guère appréciées car Bourguiba semble ainsi vouloir internationaliser la guerre d'Algérie. Le 11 janvier, 300 combattants algériens de Sakiet Sidi Youssef attaquent en territoire algérien une patrouille française de cinquante soldats (quatorze soldats français tués, deux blessés et quatre prisonniers) 3. Le commandant basé à Alger avise Paris que « des bandes d'assaillants algériens, repérés par l'aviation française, franchissent la frontière à partir de la Tunisie et se répandent dans les fermes et les mechtas (groupement de maisons en dehors d'une agglomération) algériens et que les véhicules de la garde nationale tunisienne stationnent de plus en plus à la frontière en position d'accueil 2 ». Prise de décisionLe 8 février, l'armée française indique qu'un avion, touché par une mitrailleuse postée à Sakiet Sidi Youssef, a dû se poser en catastrophe à Tébessa. En représailles, le général Edmond Jouhaud, commandant de la cinquième région aérienne, planifie un raid aérien sur Sakiet Sidi Youssef et le soumet au général Paul Ély qui, ayant obtenu l'accord oral du ministre de la Défense Jacques Chaban-Delmas, autorise l'utilisation de bombardiers lourds 4. Malgré les incertitudes sur la réalité de l'autorisation par le ministre, il reste cependant que l'armée française était autorisée, au moins dans l'esprit si ce n'est dans la lettre, à prendre des mesures vigoureuses, le choix des armes et de l'échelle étant laissé aux militaires. En revanche, il semble clair que le président du Conseil français, Félix Gaillard, n'avait pas été informé 5. OpérationL'opération implique 25 avions : onze bombardiers A-26, six chasseurs-bombardiers Corsair et huit chasseurs Mistral 6. Vers 10 h 50, un marché où se pressent des paysans de la région est mitraillé par une escadrille de chasseurs volant en rase-mottes. Par la suite, trois vagues de sept bombardiers A-26 pilonnent la localité jusque vers midi ; les Corsair neutralisent les installations anti-aériennes et les A-26 détruisent la mine de plomb désaffectée qui servait de camp aux rebelles. Alors que la Croix-Rouge internationale était dans le voisinage du village durant l'attaque, pour assister des réfugiés, le commandement militaire est prêt à prendre des risques : deux camions de la Croix-Rouge sont ainsi détruits 7, ainsi que l'école du village remplie d'enfants en cette matinée. ConséquencesLe bilan varie entre 72 et 75 morts et 148 blessés, dont une douzaine d'élèves d'une école primaire 2 et des réfugiés algériens regroupés par une mission de la Croix-Rouge 8. En réaction, la Tunisie expulse cinq consuls français qui exercent dans les principales villes du pays, organise le blocus des casernes françaises et met sur pied une visite organisée du village par la presse internationale. Le conflit purement français devient ainsi international puisque la Tunisie porte plainte auprès de l'ONU. Le Conseil de sécurité décide alors une mission de bons offices anglo-américaine. Si le président du Conseil Félix Gaillard n'avait pas été mis au courant de l'opération, il l'a toutefois couverte a posteriori, argumentant en particulier devant l'Assemblée nationale que l'attaque avait été justifiée par une provocation des rebelles algériens de l'autre côté de la frontière 5. Face à la polémique, le cabinet Gaillard est renversé par l'Assemblée nationale le 15 avril, les partisans de l'Algérie française évoquant un « nouveau Munich ». Les communistes votent également la censure. Cette crise ouvre ainsi la voie au retour du général de Gaulle au pouvoir et impose, le 17 juin, un accord entre les deux pays stipulant « l'évacuation de toutes les troupes françaises du territoire tunisien à l'exception de Bizerte ». | |
| | | DR LECTER Admin
Messages : 792 Date d'inscription : 15/05/2011
| Sujet: Re: Actualités Economiques Mar 13 Mai - 15:45 | |
| - Citation :
- http://www.maghrebemergent.com/economie/algerie/item/37306-l-economie-depensiere-perd-de-plus-en-plus-d-adeptes-en-algerie.htmlL’économie « dépensière » perd de plus en plus d’adeptes en Algérie
A bas la gestion a la petromonarchie du golfe, retour à la fierté du travail par ses mains a travers un savoir faire quel qu'il soit, sa tête pour innover et trouver et la volonté pour chemin...vive l'algerie | |
| | | samir_reghaia Sous lieutenant
Messages : 849 Date d'inscription : 05/12/2012
| Sujet: Re: Actualités Economiques Mer 14 Mai - 13:36 | |
| Des effets d'annonce. Je ne vois pas ce qu'ils feront qu'ils n'ont pas pu faire en 15 ans. L'économie algérienne possède trois goulots d'étranglements bien identifiés: 1- Le système financier (et surtout bancaire) archaïque et qui ne finance pas l'économie; 2- L'administration publique sclérosée et bureaucratique à souhait, qui ralentit l'économie et les investissements; 3- Le problème du foncier industriel et agricole. Tant que des réformes profondes et radicales ne seront pas menées, particulièrement sur les deux premier points, il n'y aura pas de decollage économique. C'est frustrant, ce n'est qu'une question de volonté politique. Si elle a été absente toutes ces années, elle le sera durant les 5 ans à venir. Entre temps, les ressources en hydrocarbures s'épuisent... - Citation :
- Abdessalem Bouchouareb promet des mesures révolutionnaires pour améliorer le climat des affaires
Économie - le 13 mai 2014 à 17 h 55 min - Djamel Aklil.
Abdessalem Bouchouareb, ministre de l’Industrie et des Mines, a profité de sa première sortie publique pour lister les priorités de son secteur. Intervenant ce mardi 13 mai à la troisième rencontre du Comité de suivi de l’application du pacte économique et social de croissance, le nouveau ministre a affirmé qu’il entend se pencher sur plusieurs dossiers. Parmi eux, l’amendement de la loi sur l’investissement et la révision du fonctionnement des sociétés de gestion et de participation de l’État, à travers la création de groupes industriels. Abordant le climat des affaires en Algérie, le ministre a évoqué des « mesures révolutionnaires » à même de l’améliorer, mais sans pour autant les dévoiler. Selon lui, « ces mesures vont accélérer la mise en application de l’engagement du gouvernement à lever toutes les contraintes qui entravent l’investissement, notamment en matière de législation et d’accès au foncier ». Ces mesures concernent tout autant, selon le ministre, « le processus d’élaboration des lois qui doit impliquer les différentes parties concernées à travers la concertation avec les entreprises publiques et privées et même étrangères ». La règle 51/49 sur l’investissement étranger en Algérie « sera maintenue », a-t-il affirmé, tout en notant « une éventuelle modification pragmatique ». Son argument est que « la règle 51/49 nous a permis de maîtriser sensiblement la sortie de capitaux en devises et dans le cas où nous devons la démanteler, nous devrions organiser notre économie et toute la législation qui la régit pour que les bénéfices de sa suppression soient totalement en notre faveur ». http://www.tsa-algerie.com/2014/05/13/abdessalem-bouchouareb-promet-des-mesures-revolutionnaires-pour-ameliorer-le-climat-des-affaires/ | |
| | | Zoubir8 Commandant
Messages : 1597 Date d'inscription : 11/04/2012 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Actualités Economiques Mer 14 Mai - 14:47 | |
| Cet article date un peu. Mais j'espère que cette mesure n'est plus appliquée... Les producteurs de semi-remorques au bord de la faillite 29 juillet 2011 Licenciements, production en baisse, stocks qui s'accumulent… Les fabricants nationaux de semi-remorques lancent un SOS. Leur activité est aujourd'hui sérieusement menacée par l'imposition de la taxe sur les véhicules neufs. Ils accusent le lobby des importateurs. «Lorsque j'ai décidé d'investir dans mon pays, je ne pensais pas qu'un jour, les lois me mèneraient au bord de la faillite.» Ali Ibecheninène, gérant de l'entreprise Toufik Trailer, dans la zone industrielle de Batna, spécialisée dans la fabrication de semi- remorques, est démoralisé. «Je voulais servir l'industrie de mon pays et je me retrouve aujourd'hui obligé de licencier les employés. Je me suis engagé dans cette industrie lorsque le président Bouteflika a appelé à bannir l'économie de bazar, lors de son premier discours en 1999. J'ai alors décidé d'arrêter l'importation de prêt-à-porter. Les années de terrorisme ne m'en ont pas dissuadé. Mais aujourd'hui, franchement, je regrette d'avoir investi…» Comme lui, ils sont plusieurs à l'échelle nationale à se dire «ruinés». En cause : une «mauvaise interprétation de la loi de finances complémentaire 2010». L'article 13, obligeant les importateurs de véhicules neufs à payer une taxe, est aussi appliqué aux constructeurs et aux fabricants locaux depuis janvier dernier, et avec effet rétroactif sur plusieurs mois. «A notre grande surprise, l'administration des impôts nous a demandé de payer cette taxe qui fragilise sérieusement le bon fonctionnement de notre activité, alors que nous commencions à peine à satisfaire la demande locale !», explique Hadj Ali. «La loi est pourtant claire et d'ailleurs l'entreprise nationale de véhicules industriels, la SNVI, est exonérée de cette taxe», renchérit Riyad Djennadi de l'entreprise DPR Axxam, implantée à Béjaïa. «Cette taxe de 500 000DA nous a conduits à revoir notre production à la baisse, faute de commandes», relève le patron de Toufik Trailer. «Soit le ministère change d'avis et nous poursuivons notre activité, soit nous fermons définitivement. Car nous sommes dos au mur : nous avons engagé tous nos biens dans ces machines. Il s'agit d'un lourd investissement, qui inclut la formation dont celle d'ingénieurs.» Employés licenciés Plus grave : des milliers d'emplois sont menacés. «Quelque 4000 travailleurs sont inquiets pour leur avenir», affirment les différents gérants que nous avons rencontrés. «Rien qu'à Batna, on compte 1300 ouvriers. Nous sommes dans une impasse. Il est impossible pour nous de poursuivre notre activité dans la situation actuelle», témoigne le gérant de Tirsam, Samir Maâla, spécialisé également dans la production des remorques à Batna. A l'usine, certains employés pensent déjà à chercher un autre emploi même si leur salaire leur est encore versé de manière régulière. La cadence de travail, de 24 heures sur 24 pendant des années, a été revue à la baisse elle aussi. «Je ne peux plus assurer toutes les charges. Dans mon entreprise, 350 emplois sont menacés. Cent travailleurs ont déjà été renvoyés et ce n'est sans doute pas fini», affirme Ali Ibecheninène, responsable également à Toufik Trailer. «Nous sommes en train de fabriquer alors que les ventes ont été réduites de moitié», enchaîne Samir Maâla. Chez Axxam, Riyad Djennadi estime que les ventes ont baissé de 40%. Ali Ibecheninène ne comprend toujours pas comment des fabricants locaux, «qui ont combattu le chômage dans ces régions de l'intérieur du pays en créant des milliers d'emplois» sont désormais traités comme des importateurs ou des concessionnaires. «Nous avions des ambitions pour faire progresser la production nationale. J'avais même le projet de mettre sur le marché algérien un camion 100% algérien en 2014. Mais ils nous ont découragés… Bizarrement, nous avons été sommés de payer cette taxe après la visite du ministre tunisien de l'Industrie en Algérie, relève Ali Ibecheninène. Or, un de nos concurrents les plus sérieux est un concessionnaire tunisien, qui a perdu des parts importantes du marché algérien avant de baisser ses tarifs et de travailler avec les Chinois.» Abattus «On ne peut s'empêcher de se poser des questions. D'autant que ce concessionnaire a bénéficié de mesures d'encouragement destinées aux exportateurs tunisiens. Résultat : le prix de revient des remorques tunisiennes est inférieur à celui des remorques produites localement !», précisent les gérants. «De plus, quiconque achète une remorque chez le concessionnaire tunisien ne paie pas de taxe douanière. Car via les frontières terrestres, je défie n'importe qui de payer un seul dinar aux frontières !», s'insurge Samir Maâla. Ali Ibecheninène s'interroge par ailleurs : «Comment expliquer que le produit final est soumis à une taxe douanière de 3% alors que nous, fabricants locaux, sommes obligés, en plus de la TVA à 17 %, de verser 30% de droits de douanes pour certaines parties de la remorque et la matière première ? Nous sommes tout simplement abattus. Dans le passé, nous n'avions pas de stock. Toute notre production était immédiatement écoulée sur le marché. Aujourd'hui, nos hangars sont pleins à craquer.» Riyad Djennadi dresse le même constat et parle d'une centaine de remorques stockées. Pour tous ces fabricants nationaux, derrière cette décision se cache le lobby des importateurs. Ils affirment ainsi que les statistiques dont ils disposent depuis 2008, jour de la mise sur le marché des semi-remorques nationales, montrent qu'ils gênent sérieusement les importateurs. Sinon, comment expliquer les incohérences de cette politique ? «Un camion semi-remorque importé de 9 millions de dinars est taxé à seulement 340 000 DA, alors qu'un semi-remorque de 1,53 million de dinars produit localement est taxé à 500 000 DA ! C'est clair, tout est fait pour nous pousser à importer…» Source: El Watan | |
| | | chega Modérateurs
Messages : 1806 Date d'inscription : 13/03/2014
| Sujet: Re: Actualités Economiques Jeu 15 Mai - 18:28 | |
| L’Algérie pas si misérable selon une étude sur l’indice de misère dans le monde 522 Jeudi 15 mai à 11:00 Un chercheur de The John Hopkins University a récemment fait une étude sur le niveau de misère des populations de 90 pays du monde. Et selon le classement qui a résulté de cette étude, les algériens ne vivent pas dans une très grande misère. D’après les calculs du professeur Steve H. Hanke, qui ont fait intervenir des paramètres tels que le taux de chômage, le taux d’emprunt ou encore le taux d’inflation, c’est le Venezuela qui a le plus fort indice de misère (79.4). Le pays dont le gouvernement adopte une politique néo-marxiste fait face à un désastre économique avec une inflation exponentielle. Juste derrière le Venezuela, dans le Top 3 des pays les plus “misérables”, on retrouve l’Iran avec un indice de misère de 61.6 suivi de la Serbie dont l’indice de misère est égal à 44.8. Quant à l’Algérie, elle arrive à la 46e place de cette liste de 90 pays qui ont été classés de celui ayant le plus fort indice de misère à celui ayant un faible indice. Notre pays se retrouve donc au milieu du tableau avec un indice de 16.8 dû principalement au taux de chômage. L’Algérie qui arrive loin derrière des pays tels que l’Espagne (7eme du classement), le Portugal, l’Italie ou encore la Tunisie voisine qui a un indice de misère égal à 21.5, se porte donc mieux qu’on peut le croire. Des pays tels que la France, le Royaume Uni ou encore le Maroc sont d’ailleurs quelques marches seulement derrière notre pays avec des indices de misère respectifs de 13.9, 12.9 et 13.3. L’étude américaine a également souligné la relation qu’il peut y avoir entre les politiques publiques, le président et le niveau de misère. Ainsi dans certains pays, il y a une corrélation entre l’indice de popularité du chef de l’état ou de gouvernement et l’indice de misère. Pour finir, les pays qui ferment ce classement et où donc la misère est quasi inexistante sont Taiwan (6.13), l’Uzbekistan (5.70) et enfin le Japon avec un indice égal à 5.41. http://www.algerie360.com/algerie/lalgerie-pas-si-miserable-selon-une-etude-sur-lindice-de-misere-dans-le-monde/ | |
| | | samir_reghaia Sous lieutenant
Messages : 849 Date d'inscription : 05/12/2012
| Sujet: Re: Actualités Economiques Ven 16 Mai - 13:02 | |
| - Citation :
- Vers la tenue d'une conférence nationale économique
Mise à jour : 15-05-2014 Le grand chantier du Pacte national économique et social de croissance est en branle. Si les prévisions indiquent que des changements vont submerger l'ensemble de l'économie nationale, leurs conséquences, notamment sur le secteur social, sont encore à remodeler, surtout en ce qui concerne la valorisation de la croissance du PIB. Ce qui pourrait aussi profiter aux entreprises des secteurs public et privé. Plus que jamais le gouvernement est décidé, à travers une plus large concertation avec ses partenaires sociaux et économiques, d'opter pour une nouvelle démarche dans ce domaine. Un répondant à la mise en application des engagements du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, quant à négocier un autre instrument visant à une meilleure démocratie participative et qui devrait permettre à la tripartite (Gouvernement-UGTA et Patronat) de renforcer son action inclusive afin de produire les conditions forgeant un consensus autour de ce Pacte. Dans cette perspective, le ministre de l'Industrie et des Mines, Abdessalem Bouchouareb, a souligné, mardi, à l'issue de la tenue de la 3è session du Conseil national de suivi des engagements de ce pacte, toute son importance et ses impacts à venir: "Le pacte de croissance approuvé lors de la dernière tripartite, conçu comme une véritable plate-forme d'engagement stratégique dédiée au développement économique et social, est un outil capital pour la promotion de la concertation et du dialogue entre les partenaires sociaux". Ce texte économique est donc appelé à marquer un tournant décisif en ce qui concerne la promotion d'une croissance économique forte et durable, à même d'assurer une amélioration continue des conditions de vie de la population, mais aussi l'émergence d'une économie compétitive et d'une société prospère. Des défis considérables qui nécessitent l'entière complémentarité entre les trois membres de la tripartite et de tout le monde. Ces défis découlent, comme toujours, de la persistance de la dépendance de l'économie nationale des hydrocarbures. Ces défis ne sont pas ceux de l'Etat, mais de la Nation tout entière qui devrait choisir son avenir et se mobiliser pour le concrétiser. Dans ces conditions, et pour articuler positivement les contraintes économiques et les attentes sociales, la logique voudrait que les partenaires sociaux et économiques adoptent une position réfléchie, pondérée et nuancée, qui privilégie l'intérêt économique et celui de la Nation sur les intérêts catégoriels. Dans un autre sens, il s'agit de poursuivre une politique active de protection sociale, mais de privilégier la relance d'une croissance durable dans un cadre macro-économique stabilisé, à l'effet de créer le plus grand nombre de postes de travail, notamment en direction des jeunes. A ce titre, M. Bouchouareb a appelé les partenaires sociaux à jouer un rôle important dans cette phase de relance économique et à se constituer en une force de proposition réelle assurant la continuité et la pérennité des entreprises économiques. "Aujourd'hui, nos entreprises sont interpellées par un contexte marqué par une compétitivité internationale de plus en plus féroce et qui impose ses règles sur les marchés. C'est pourquoi les pouvoirs publics se sont attelés à chaque fois à mettre en place des politiques et des mesures concrètes destinées à encourager la production nationale". Dans cette nouvelle étape de renouveau économique et social, tout devrait être concentré sur les défis à relever du développement à travers la diversification des capacités productives et la création d'emplois dans le cadre d'une stratégie de développement durable, inclusif et équitable. A ce sujet, et du point de vue politique, le ministre de l'Industrie et des Mines a proposé la tenue d'une grande conférence nationale économique et sociale qui réunira tous les acteurs concernés pour débattre des moyens nécessaires pour l'accélération du processus des réformes économiques, l'amélioration du climat des affaires et le développement industriel. B. C. http://www.lemaghrebdz.com/?page=detail_actualite&rubrique=Post%20Scriptum&id=63760 Pourvu que ça ne reste pas lettre morte! La priorité c'est l'économie et jamais on ne sortira des hydrocarbures dans un tel climat d'affaires... C'est d'un interêt vital. | |
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