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| Actualités Economiques | |
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+8philipides7 habiban Zoubir8 faty boussouf benevole DR LECTER yak 12 participants | |
Auteur | Message |
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boussouf Admin
Messages : 2099 Date d'inscription : 20/11/2011
| Sujet: Re: Actualités Economiques Ven 6 Juil - 13:28 | |
| Un bel exemple de coopération entre le monde universitaire et le monde de l'entreprise à suivre et à multiplier ! - Citation :
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Création d’un Master en emballage et arts graphiques
L’université de Bejaia et Général Emballage Spa ont signé un protocole d’accord, qui porte sur un échange de compétences et de savoir-faire entre les deux parties. C’est ce qu’a indiqué un communiqué de l’entreprise, leader national de l’industrie du carton ondulé.
La convention, signée par le P-DG de Général Emballage Spa, M. Ramdane Batouche, et le Pr. Djoudi Merabet, recteur de l’université de Bejaia, fait état du lancement d’un Master professionnel en emballage et arts graphiques dès la rentrée prochaine.
Il s’agit d’une première en Algérie. Le Master sera ouvert, a-t-on affirmé, aux titulaires de licences, lesquels une fois admis bénéficieront de bourses offertes par Général Emballage Spa ainsi que d’une immersion en situation dans les trois usines de Général Emballage.
Qualifié d’«historique» par M. Ramdane Batouche, le protocole a été symboliquement signé le 02 juillet 2012 lors de l’ouverture du 6ème Forum de Bejaia «l’Université et le monde productif», qui se déroule au domaine universitaire d’Aboudaou.
Général Emballage entend faire de la relation avec l’université de Bejaia, a indiqué M. Bessa Mohamed, directeur de la Communication, «un espace d’échanges et d’approfondissements des compétences et inscrire la formation au cœur de ses préoccupations.»
Quant à sa participation au 6ème Forum de Bejaia, Général Emballage Spa était présent à travers un stand d’exposition ainsi qu’un acte de sponsoring majeur. 500. 000 DA ont été ainsi accordés aux organisateurs du Forum. Quelque 10 lap-tops seront offerts aux majors de promotions 2012. L’entreprise équipera enfin une salle de calculs avec 25 PC, tables, connectiques et autres. http://www.leconews.com/fr/actualites/nationale/industries/creation-d-un-master-en-emballage-et-arts-graphiques-04-07-2012-158684_340.php | |
| | | boussouf Admin
Messages : 2099 Date d'inscription : 20/11/2011
| Sujet: Re: Actualités Economiques Lun 9 Juil - 17:16 | |
| - Citation :
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Algérie-Qatar : un mémorandum pour la réalisation d’un complexe sidérurgique à Bellara
ALGER- L’Algérie et le Qatar ont signé samedi après-midi à Alger un mémorandum d’entente pour la réalisation d’un complexe sidérurgique dans la zone industrielle de Bellara (Jijel) d’une capacité globale de 5 millions tonnes/an.
Le document a été signé par le ministre de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’investissement, M. Mohamed Benmeradi, et le ministre qatari de l’Economie et des Finances, M.Youcef Hussein Kamel.
Auparavant, M. Benmeradi a affirmé dans une brève allocution que la signature du mémorandum d’entente émanait de "la volonté de l’Algérie et du Qatar de développer un partenariat économique à la hauteur de leurs relations fraternelles". Il a souligné, dans ce sens, que "le gouvernement algérien est convaincu de la volonté du Qatar de développer des relations économiques exemplaires avec l’Algérie".
Selon lui, la consolidation du partenariat économique alégro-qatari intervient dans une conjoncture internationale particulière dans laquelle le monde arabe fait face à de nombreux défis.
"Nous sommes convaincus qu’en raison de ses richesses multiples, le monde arabe est capable de constituer un modèle d’intégration économique et de parvenir à produire lui-même ce qu’il consomme", a-t-il ajouté.
Pour sa part, le ministre qatari de l’Economie et des Finances a souligné que le projet du complexe sidérurgique de Bellara faisait partie "d’une série d’investissements que le Qatar prévoit de réaliser en Algérie".
"J’ai expliqué à M. Benmeradi au cours de notre entretien (précédant la signature du mémorandum) combien la partie qatarie est pressée de réaliser cet important projet à qui l’Emir du Qatar accorde un intérêt particulier", a-t-il indiqué.
Au démarrage, le futur complexe sidérurgique de Bellara produira 2,5 millions de tonnes d’acier/an, avant de passer à 5 millions de tonnes/ans.
L’usine en question fabriquera notamment de l’acier plat et des aciers spéciaux qui serviront à développer l’industrie du rail en Algérie.
L’Algérie importe chaque année l’équivalent de 10 milliards de dollars de produits sidérurgiques, soit près de 20% de sa facture d’importation globale, selon les données du ministère de l’industrie.
http://www.aps.dz/Algerie-Qatar-un-memorandum-pour.html | |
| | | boussouf Admin
Messages : 2099 Date d'inscription : 20/11/2011
| Sujet: Re: Actualités Economiques Lun 9 Juil - 17:24 | |
| - Citation :
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(APS) dimanche 8 juillet La baisse des prix de pétrole ne menace pas les équilibres budgétaires actuels de l’Algérie
ALGER- La baisse des prix du pétrole, observée ces derniers mois, inquiète l’Algérie mais ne menace pas ses équilibres budgétaires actuellement, les dépenses effectives de l’Etat étant fondées sur un baril à 75 dollars seulement, a assuré dimanche à Alger le ministre des Finances M. Karim Djoudi. "La tendance baissière du prix du pétrole nous inquiète et nous impose d’être prudents mais nous ne devons pas perdre de vue deux éléments importants : nos dépenses effectives constatées en fin de l’exercice sont basées sur un baril à 75 dollars et nos capacités de financement, cumulées grâce au FRR, aux réserves de change et au remboursement de la dette, sont considérables", a expliqué M.Djoudi à la Radio nationale. A ces éléments de sécurité budgétaire s’ajoute l’accroissement annuel de 20% des recettes de la fiscalité ordinaire, tirées par la demande publique et une croissance hors hydrocarbures croissante.
La prudence doit s’entendre, poursuit-il, juste comme "un élément de gestion active de notre politique économique et financière pour anticiper des phénomènes susceptibles de gêner nos équilibres internes et externes". La gestion prudentielle prônée exclut cependant toute réduction de salaires, de transferts sociaux et de soutiens des prix, a assuré le ministre.
La Banque d’Algérie avait dernièrement averti contre le maintien de la croissance des dépenses publiques notamment celle de fonctionnement estimant que l’Algérie aura besoin d’un baril supérieur à 110 dollars pour maintenir son équilibre budgétaire. Les cours du pétrole reculaient nettement vendredi perdant plus de deux dollars le baril à Londres comme à New York. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en août valait 98,37 dollars, en baisse de 2,33 dollars par rapport à la clôture de jeudi. En avril dernier, le Brent s’échangeait à plus de 120 dollars/baril soit une perte de plus de 20 dollars en quatre mois. Mais les prix du baril constatés à un moment donné "ne devraient pas dicter (à l’Algérie) des actions structurelles notamment en matière de dépenses d’investissement", a noté M. Djoudi.
Interrogé sur une éventuelle révision à la baisse des dépenses d’équipement en cas où la tendance baissière des prix du pétrole se confirme, il a expliqué que ce n’était pas envisageable à moyen terme, car 83% des dépenses inscrites dans le cadre du plan quinquennal d’investissement (2010-2014) sont déjà notifiés.La mise en oeuvre du plan est donc assurée quelle que soit l’évolution des cours de brut dans le futur, a-t-il prédit.
Quant à un éventuel recours à l’épargne publique disponible au Fonds de régulation des recettes (FRR), doté de 5.300 milliards de DA (plus de 71 milliards dollars) à fin 2011, et aux réserves de changes, qui avoisinent les 200 milliards de dollars, l’argentier du pays a expliqué qu’il s’agissait d’"éléments d’ajustement qu’on peut utiliser en dernière instance". http://www.aps.dz/Gestion-prudentielle-des-depenses.html | |
| | | boussouf Admin
Messages : 2099 Date d'inscription : 20/11/2011
| Sujet: Re: Actualités Economiques Mer 11 Juil - 20:21 | |
| Et dire que les dirigeants de renault n'hésitent pas à rouler les mécaniques et à se faire désirer pour venir fabriquer leurs véhicules chez nous ! - Citation :
Renault : le groupe vend désormais plus de voitures en Algérie ou en Argentine qu'en Espagne et en Italie !
(Boursier.com) -- Sur la première moitié de l'année 2012, l'Espagne a été reléguée à la 10ème place des principaux pays contributeurs aux ventes du groupe Renault. Avec 10,1% de part de marché, Renault n'a vendu qu'un peu plus de 45.000 véhicules en Espagne sur le semestre, moins qu'en Turquie (plus de 56.000 ventes), Algérie ou Argentine (plus de 63.000 ventes). Autre marché automobile européen sinistré, l'Italie n'est plus qu'à la septième place du palmarès commercial de Renault avec un peu moins de 58.000 ventes. http://www.boursier.com/actions/actualites/news/renault-le-groupe-vend-desormais-plus-de-voitures-en-algerie-ou-en-argentine-qu-en-espagne-et-en-italie-490674.html | |
| | | Zoubir8 Commandant
Messages : 1597 Date d'inscription : 11/04/2012 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Actualités Economiques Mer 11 Juil - 22:29 | |
| [quote="boussouf"]Et dire que les dirigeants de renault n'hésitent pas à rouler les mécaniques et à se faire désirer pour venir fabriquer leurs véhicules chez nous ! [quote] L'Algérie est en position de force. Aux négociateurs Algériens de bien analyser le rapport de force. Les capacités automobiles européennes sont en surnombre. L'usine PSA d'Aulnay (93) doit d'ailleurs fermer. Pas mal d'immigrés y travaillent. | |
| | | boussouf Admin
Messages : 2099 Date d'inscription : 20/11/2011
| Sujet: Re: Actualités Economiques Jeu 12 Juil - 9:31 | |
| Zoubir a dit: - Citation :
- L'Algérie est en position de force. Aux négociateurs Algériens de bien analyser le rapport de force.
Les capacités automobiles européennes sont en surnombre. L'usine PSA d'Aulnay (93) doit d'ailleurs fermer. Pas mal d'immigrés y travaillent. Entièrement d'accord avec toi, Zoubir. Les chiffres plaident pour l'Algérie. Le marché algérien est un véritable poumon économique pour l'industrie automobile française. A nos décideurs de savoir négocier et surtout que l'Etat algérien joue son rôle de protecteur de l'économie nationale en mettant à leur juste place les lobbies de l'import-import Après Renault, Peugeot vient de publier ses chiffres de ventes pour le premier semestre 2012. Là aussi, la place du marché algérien s'avère décisive puisque peugeot a vendu en six mois 30 000 véhicules ! - Citation :
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PEUGEOT: BAISSE EN EUROPE, SUCCES EN ALGERIE
Peugeot affiche des résultats prometteurs sur le marché de l’automobile algérien. Depuis le début de l’année, le groupe aurait vendu 30 000 des 35 000 véhicules qu’il a importé, soit une progression de 59 % dans ses ventes. Les acheteurs auraient été séduits par le modèle 207, qui a fait le succès de Peugeot en 2012.
« Les résultats sont largement au-dessus de nos prévisions. Ce que nous avons vendu les 6 premiers mois de l’année en cours est l’équivalent de nos ventes pour toute l’année 2011”, déclarait Pierre Foret, le directeur de Peugeot Algérie, lors d’une conférence de presse.
C’est une bonne nouvelle pour la marque de voiture dont les actions en bourse sont en baisse, et les résultats commerciaux mondiaux des six derniers mois sont en recul de 13 %. http://www.algerie-focus.com/blog/2012/07/10/peugeot-baisse-en-europe-succes-en-algerie/ | |
| | | Zoubir8 Commandant
Messages : 1597 Date d'inscription : 11/04/2012 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Actualités Economiques Jeu 12 Juil - 10:50 | |
| PSA va supprimer 8 000 emplois en France Le Monde.fr avec Reuters | 12.07.2012 Par Le Monde.fr (avec Sarah Belouezzane) Peugeot Citroën a annoncé jeudi 12 juillet son intention de supprimer 8 000 postes sur ses sites français face à la dégradation du marché automobile européen, et de fermer son usine de production d'Aulnay-sous-Bois en 2014. En plus des 3 000 emplois que représente actuellement l'usine d'Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), PSA compte supprimer 3 600 emplois de structure - administration, recherche et développement et commerce - par départs volontaires, et 1 400 emplois dans son usine de Rennes (Ille-et-Vilaine). Sur ces 8 000 suprressions de postes, le constructeur prévoit 6 500 départs nets, a indiqué jeudi son directeur industriel Denis Martin.Le président du directoire de PSA Peugeot Citroën, Philippe Varin, a promis jeudi que "personne ne sera laissé au bord du chemin". "Nous sommes conscients de nos responsabilités au cœur du tissu industriel français", a ajouté M. Varin lors d'une conférence de presse en marge d'un comité central d'entreprise extraordinaire. Il a également rejeté jeudi l'idée d'un prêt ou d'une entrée de l'Etat au capital du constructeur automobile. "Nous avons une sécurité financière importante, ce qui fait que ce sujet n'est pas à l'ordre du jour", a déclaré Philippe Varin. "Mettre de l'argent dans le groupe n'est pas ce qui remplira nos usines", a-t-il fait valoir. (...) Le Monde.fr (avec Sarah Belouezzane) | |
| | | Zoubir8 Commandant
Messages : 1597 Date d'inscription : 11/04/2012 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Actualités Economiques Sam 14 Juil - 14:19 | |
| Un accord passé inaperçu mais fondamental pour l'autonomie de l'aviculture nationale en matière de génétique. Sans des "grands-parentaux" de volailles, notre économie dépendait du bon vouloir de généticiens étrangers. Economie(APS) mardi 6 mars 2012 16 : 13 Prochaine création d’une société mixte algéro-hongroise de production de poussins de ponte (grands-parentaux) ALGER - Une société mixte algéro-hongroise de production de poussins de ponte, la première en Algérie, sera créée prochainement à Attatba (w. de Tipasa) à la suite d’un accord signé mardi entre l’Office national de production des aliments de de bétail (ONAB) et le groupe avicole hongrois ’’Babolna Tetra’’. Ce contrat prévoit l’implantation d’une unité de production de grands parentaux destinés à produire du poussin ponte", a indiqué le directeur général de l’ONAB, Lembarek Yahi. La société "verra le jour très prochainement à Attatba" et permettra à l’Algérie de réduire ses importations de reproducteurs de poussins ponte en développant la souche au niveau local", a-t-il expliqué à l’APS, situant à 2,5 millions de dollars la facture annuelle d’importation de ce produit, notamment de Hongrie. Ce projet sera réalisé en partenariat avec le principal fournisseur de l’Algérie, le groupe hongrois ’’Babolna Tetra’’, présent sur le marché algérien depuis 40 ans. Les deux partenaires prévoient dans une seconde étape l’exportation de poussins de ponte vers les pays de la région. "Cette unité, qui s’ajoutera aux deux unités de production de poussins de chair, déjà opérationnelles à Ain Oussara et à Tlemcen, permettra d’autonomiser la filière avicole de manière conséquente", a indiqué encore M. Yahi. L’accord de création de cette société fait partie de quatre autres signés entre les opérateurs algériens et hongrois dans le domaine agricole, en présence du ministre de l’Agriculture et du développement rural, Rachid Benaïssa et son homologue hongrois, Sandor Fazekas, en visite de travail de trois jours en Algérie. Ces accords entrent dans le cadre d’un accord de coopération économique global signé par les deux ministres au nom de leurs gouvernements respectifs. (...) | |
| | | berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
| Sujet: Re: Actualités Economiques Lun 16 Juil - 21:24 | |
| [b]Citation
[url=Laurent Fabius: “Le gouvernement va bien évaluer l’investissement Renault en Algérie” après le choc Peugeot.]Laurent Fabius: “Le gouvernement va bien évaluer l’investissement Renault en Algérie” après le choc Peugeot.[/url
[url=Le ministre français des affaires étrangères a dit vouloir redonner “un nouvel élan au partenariat entre l’Algérie et la France à l’occasion de l’avènement du président Hollande. Dans le détail peu d’annonces de progrès dans le dossier économique. Les dossiers qui ont avancé sous la mission de Raffarin, devront être finalisés”. Sauf que le “drame” Peugeot jette une ombre sur l’investissement de Renault en Algérie. L’Etat français sera amené à bien considérer l’investissement de Renault qui se dessine en Algérie. “De ce que j’en sais, il est tourné vers le marché algérien. Il ne vient concurrencer pas l’industrie automobile en France. Si c’était le cas, je pense que l’Etat français dirait non” à ce projet, a déclaré, dimanche soir à Alger, le ministre français des affaires étrangères en réponse à une question de Maghreb Emergent au sujet de la capacité du gouvernement français à assumer la décision prochaine d’un investissement important de Renault en Algérie après que le Groupe PSA ait annoncé un plan social de 8000 suppression d’emplois le jeudi 12 juillet dernier. Laurent Fabius qui a qualifié de “dramatique” le plan social de PSA a souligné qu’il était déclaré inacceptable “au sommet de l’Etat”, pour ensuite rappeler que l’Etat français était présent dans le capital de Renault et qu’il allait à ce titre vérifier que les intérêts de l’industrie automobile n’étaient pas menacés par ce projet de l’usine Renault en Algérie. Le ministre français s’est montré toutefois apaisant sur le fait que l’investissement de Renault était tourné vers la consommation des algériens et qu’il allait à ce titre aussi profiter aux emplois industriels en Algérie. Vaisseau amiral des projets d’investissements français en Algérie depuis plus de deux ans, le projet d’une usine automobile de 150 000 véhicules an de capacités sur les modèles d’entrée et de moyenne gamme de Renault a connu des hauts et des bas avant de se préciser en 2012. Dernière évolution dans le dossier, le site d’implantation après avoir voyagé entre Rouiba – près d’Alger – et Bellara, à 350 km à l’est sur le littoral, devrait finalement se poser à Tlelat près d’Oran. Un comité de suivi des dossiers pendants Conséquence de la récente alternance politique en France, souligné par le patron du Quai d’Orsay, aucune annonce notable n’a été faite au sujet des autres dossiers du volet économique de ces dernières années entre l’Algérie et la France lors de la conférence de presse qui a réuni tard dans la soirée du dimanche Mourad Medelci et Laurent Fabius, les deux ministres algérien et français des affaires étrangères. “Nous travaillons à l’émergence d’un partenariat d’exception que nous appelons de nos vœux” a affirmé le ministre algérien évoquant les secteurs prioritaires choisis, celui de l’automobile, du médicament, des matériaux de construction et de la pétrochimie”. Cette dernière filière attend toujours un accord définitif de Total dans le projet de Vapocraquage conduite en partenariat avec notamment Sonatrach et implanté à Arzew. Les deux parties ont convenu d’un comité de suivi qui tentera de faire avancer les questions pendantes. Elle devra rendre des arbitrages sur les dossiers avant la visite d’Etat du président François Hollande en Algérie avant la fin de l’année.]Le ministre français des affaires étrangères a dit vouloir redonner “un nouvel élan au partenariat entre l’Algérie et la France à l’occasion de l’avènement du président Hollande. Dans le détail peu d’annonces de progrès dans le dossier économique. Les dossiers qui ont avancé sous la mission de Raffarin, devront être finalisés”. Sauf que le “drame” Peugeot jette une ombre sur l’investissement de Renault en Algérie. L’Etat français sera amené à bien considérer l’investissement de Renault qui se dessine en Algérie. “De ce que j’en sais, il est tourné vers le marché algérien. Il ne vient concurrencer pas l’industrie automobile en France. Si c’était le cas, je pense que l’Etat français dirait non” à ce projet, a déclaré, dimanche soir à Alger, le ministre français des affaires étrangères en réponse à une question de Maghreb Emergent au sujet de la capacité du gouvernement français à assumer la décision prochaine d’un investissement important de Renault en Algérie après que le Groupe PSA ait annoncé un plan social de 8000 suppression d’emplois le jeudi 12 juillet dernier. Laurent Fabius qui a qualifié de “dramatique” le plan social de PSA a souligné qu’il était déclaré inacceptable “au sommet de l’Etat”, pour ensuite rappeler que l’Etat français était présent dans le capital de Renault et qu’il allait à ce titre vérifier que les intérêts de l’industrie automobile n’étaient pas menacés par ce projet de l’usine Renault en Algérie. Le ministre français s’est montré toutefois apaisant sur le fait que l’investissement de Renault était tourné vers la consommation des algériens et qu’il allait à ce titre aussi profiter aux emplois industriels en Algérie. Vaisseau amiral des projets d’investissements français en Algérie depuis plus de deux ans, le projet d’une usine automobile de 150 000 véhicules an de capacités sur les modèles d’entrée et de moyenne gamme de Renault a connu des hauts et des bas avant de se préciser en 2012. Dernière évolution dans le dossier, le site d’implantation après avoir voyagé entre Rouiba – près d’Alger – et Bellara, à 350 km à l’est sur le littoral, devrait finalement se poser à Tlelat près d’Oran. Un comité de suivi des dossiers pendants Conséquence de la récente alternance politique en France, souligné par le patron du Quai d’Orsay, aucune annonce notable n’a été faite au sujet des autres dossiers du volet économique de ces dernières années entre l’Algérie et la France lors de la conférence de presse qui a réuni tard dans la soirée du dimanche Mourad Medelci et Laurent Fabius, les deux ministres algérien et français des affaires étrangères. “Nous travaillons à l’émergence d’un partenariat d’exception que nous appelons de nos vœux” a affirmé le ministre algérien évoquant les secteurs prioritaires choisis, celui de l’automobile, du médicament, des matériaux de construction et de la pétrochimie”. Cette dernière filière attend toujours un accord définitif de Total dans le projet de Vapocraquage conduite en partenariat avec notamment Sonatrach et implanté à Arzew. Les deux parties ont convenu d’un comité de suivi qui tentera de faire avancer les questions pendantes. Elle devra rendre des arbitrages sur les dossiers avant la visite d’Etat du président François Hollande en Algérie avant la fin de l’année.[/url] | |
| | | faty Colonel
Messages : 3229 Date d'inscription : 08/04/2012
| Sujet: Re: Actualités Economiques Mer 18 Juil - 12:22 | |
| Démantèlement tarifaire : Conclusion prochaine d'un accord Algérie-UE - Citation :
- Un accord entre l'Algérie et l'Union
européenne (UE) sur le démantèlement tarifaire devrait être «très prochainement» conclu, a affirmé hier la chef de la délégation européenne à Alger, Mme Laura Baeza. http://www.elmoudjahid.com/fr/actualites/30575 est ce un bien? qui connait les termes de accord ,j extrapole certainement mais la création meme de cette entité UE qui vise la servitude des peuples et le démantelement des états nations me fait craindre une arnaque. ____________ Les démarches française et américaine vous semblent‑elles converger à propos de la crise actuelle au Mali ? - Citation :
- À
l'évidence, les États‑Unis d'Amérique et la France visent, par‑delà les stricts objectifs sécuritaires, des intérêts stratégiques qui peuvent être concurrents. Le plus important, cependant, reste que les deux pays veulent, graduellement, enferrer l'Algérie dans un système de sécurité régionale qui échapperait à sa maîtrise souveraine. Ce serait le reniement de toute la doctrine diplomatique passée de l'Algérie. Que faire cependant ? La nature a horreur du vide et, fatalement, un pays en particulier ou une force donnée règleront la crise du Mali et en tireront, pour leur compte, les dividendes. http://www.tsa-algerie.com/diplomatie/cinq-questions-au-politologue-mohamed-chafik-mesbah_21481.html | |
| | | faty Colonel
Messages : 3229 Date d'inscription : 08/04/2012
| Sujet: Re: Actualités Economiques Ven 20 Juil - 0:43 | |
| Le véhicule blindé « Nimr » qui sera construit en Algérie, exposé au public - Citation :
- A l’occasion de l’exposition de l’Armée Nationale Populaire
« Mémoires et réalisations », les visiteurs ont eu l’occasion mais aussi la chance de voir le véhicule blindé « Nimr » pour le transport des troupes qui sera construit en Algérie, après la signature de l’accord de partenariat entre le Groupement pour la Promotion de l’Industrie Mécanique (GPIM) du ministère de la défense et le groupe émirati Tawazun.
Ce matin, les actes de création de la société à capital mixte « Nimr Algérie Spa » ont été signés dans le cadre de ce partenariat, fondé « sur le principe de confiance entre les deux pays frères », selon le directeur des industries militaires, le général-major, Rachid Chouaki.
« Le partenariat algéro-émirati est fondé sur le principe de complémentarité industrielle entre les deux pays » a affirmé de son côté, le président exécutif du groupe Tawazun, Seïf Mohamed Hadjiri qui n’a pas manqué de souligner qu’il existe d’autres projets conclus entre les deux pays.
Le colonel Abdelghani Badaoui, président du conseil d’administration de la société « Nimr Algérie » a indiqué que le véhicule blindé « Nimr » sera produit avec une main d’œuvre algérienne. C’est un projet qui générera entre 400 et 450 postes d’emploi, a-t-il ajouté.
Les actes de création de la société « Nimr Algérie Spa » ont été signés ce matin sous la présidence d’Abdelmalek Guenaïzia, ministre délégué auprès du ministre de la défense nationale, une signature s’inscrivant dans le cadre de la mise en oeuvre du protocole d’accord algéro-émirati pour la coproduction de véhicules spéciaux.
http://www.algerie1.com/actualite/le-vehicule-blinde-nimr-qui-sera-construit-en-algerie-expose-au-public/ | |
| | | berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
| Sujet: Re: Actualités Economiques Sam 21 Juil - 11:47 | |
| [/b][url=samedi, 21 juillet 2012 08:21 Algérie, la finance mondiale et ses délinquants, par Zouhir Mebarki [b] [url=IRIB-Il est question d'autoriser les étrangers non résidents à investir en Bourse chez nous. C'est à l'étude, nous apprend l'APS qui cite «une source proche du dossier». C'est bien! Sauf qu'avant de vouloir prendre le risque d'offrir le fruit au ver, il faut bien réfléchir. Surtout en cette période de grands scandales dans la finance internationale. Le tout dernier, le scandale du Libor, met aux prises les banques entre elles. Pour faire vite, disons que le Libor est le taux de référence, utilisé par les banques quand elles se prêtent de l'argent, entre elles. Ce qui est très courant. Il y a plusieurs Libor. Ou, plutôt si! pour le marché londonien c'est le Libor, pour Bruxelles c'est l'Euribor. Shangaï a son Shibor et Djakarta son Jibor. Pour dire que chaque place financière a sa propre cotation. En réalité, les interconnexions et un maillage très complexe, réunit en définitive le monde de la finance. Pourtant, le scandale du Libor qui met en cause la banque Barclays, comme avant elle, la banque suisse UBS, confirme que la finance internationale génère en son sein une grande délinquance. Il s'avère que depuis 2005, le taux Libor est manipulé. C'est-à-dire que les banques font croire qu'elles empruntent à un taux faible qui est un signe de bonne santé financière. La première banque à se faire attraper à ce «jeu» aura été la Barclays qui accepte de verser 365 millions d'Euros plutôt que de subir les enquêtes des régulateurs britannique et américain. Jeudi dernier, nous avons appris que quatre autres banques, européennes cette fois, étaient dans le collimateur des enquêteurs. La perte de confiance à l'intérieur même du système financier mondial n'est pas la moindre des répercussions de cette délinquance sur un marché mondial déjà bien mal en point. Les révélations se succèdent. De la manipulation du taux Libor au blanchiment de l'argent de la drogue et du terrorisme dont est accusé Hsbc à l'utilisation des fonds clients pour renflouer les fonds propres dont doit répondre la banque américaine MF Global en passant par le délit d'initié, le monde de la finance est en pleine «guerre civile». Chacun y va de ses moyens de défense. Ainsi, les quatre dernières banques à avoir été confondues à manipuler le taux Libor préfèrent, aux dernières nouvelles, un accord amiable collectif avec les autorités de régulation. Histoire de ne pas faire comme la Barclays, dont trois dirigeants ont dû démissionner, mais tout faire pour réduire les effets du scandale. C'est à cette période de grande agitation financière dans le monde que nos responsables ont la lumineuse idée de commencer à réfléchir sur l'ouverture de notre Bourse aux capitaux étrangers. Pourvu qu'ils s'éternisent dans leurs réflexions. Le bras de fer engagé par le gouvernement français avec les entreprises du CAC 40 et notamment avec PSA qui a décidé de licencier 8000 travailleurs alors que sa situation financière est positive, est un autre exemple de l'influence de la finance sur les économies nationales. Comme l'a déclaré George Osborne, chancelier britannique de l'Echiquier. Ces faits «sont symptomatiques d'un système financier qui a élevé la cupidité par-dessus toute autre considération et a mis notre économie à genoux». Pour le ministre français du Budget, Jérôme Cahuzac, le scandale bancaire du Libor «relève de la délinquance financière de haut vol». Dire que c'est le moment choisi pour penser ouvrir notre Bourse à cette délinquance. Si le choix du moment a été fait d'une manière lucide et délibérée, l'opinion publique a le droit de savoir pourquoi et comment? Difficile de croire à une coïncidence. Difficile aussi de comprendre pourquoi «on» décide tout d'un coup à affronter un milieu qui donne du fil à retordre aux plus puissants des pays.]IRIB http://french.irib.ir/info/economie/item/201634-alg%C3%A9rie,-la-finance-mondiale-et-ses-d%C3%A9linquants,-par-zouhir-mebarki | |
| | | faty Colonel
Messages : 3229 Date d'inscription : 08/04/2012
| Sujet: Re: Actualités Economiques Sam 21 Juil - 13:00 | |
| ne pas oublier Berhoum les 125 milliards de dollar ou euro je ne sais plus
50 en bon du trésor US
75 en bon du trésor UE
Algerie a t elle de une garantie fonciere ou autre de récupérer sa mise ou de sauver ce qui est sauvable
quant on sait les mensonges soit disant caché du LIBOR et bien d autres scandales financiers et bancaires sans oublier les dettes phénoménales des états qui vont se mettre en cessassions de paiement si les monnaies dégringoles ce qui est fort probable aussi bien en zone euro qu en dollar . | |
| | | berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
| | | | boussouf Admin
Messages : 2099 Date d'inscription : 20/11/2011
| Sujet: Re: Actualités Economiques Dim 22 Juil - 12:53 | |
| - Citation :
-
Mobilis va investir 2 milliards de dollars pour porter ses parts de marché à 45%
ALGER- L’opérateur public de téléphonie mobile ’’Mobilis’’ va investir 2 milliards de dollars (142 milliards de DA) sur cinq ans pour moderniser ses équipements et porter ses parts de marché à 45%, a indiqué samedi son PDG, M. Saad Damma.
"Notre objectif est d’atteindre 45% de parts de marché avec cet investissement", qui s’étalera jusqu’à 2016, a déclaré à l’APS M. Damma, nommé récemment à la tête de l’opérateur historique de téléphonie mobile.
L’objectif de Mobilis en termes de parts de marché est possible à atteindre notamment si l’autorité de régulation intervient, comme cela se fait de par le monde pour équilibrer le marché et empêcher la domination de l’un des opérateurs, a-t-il indiqué.
L’opérateur public détient actuellement 29% des parts de marché de la téléphonie mobile avec presque 11 millions d’abonnés.
L’investissement se fera en fonds propres de l’opérateur qui va assumer à lui seul 87% du financement du plan (142 mds de DA), le reste sera financé par crédits bancaires, précise M. Damma.
Ce plan d’investissement sur cinq ans est destiné essentiellement à financer la modernisation du réseau de l’opérateur historique pour réduire son coût d’exploitation, a-t-il ajouté.
Financièrement, l’opérateur public se porte bien et a même vu son résultat net grimper à plus de 6 mds de DA contre 2,9 mds de DA en 2010.
Son chiffre d’affaire a connu lui aussi une hausse importante passant de 47 mds de DA en 2010 à environ 53 mds de DA en 2011, selon les chiffres fournis par son dirigeant.
http://www.aps.dz/Mobilis-va-investir-2-milliards-de.html | |
| | | boussouf Admin
Messages : 2099 Date d'inscription : 20/11/2011
| Sujet: Re: Actualités Economiques Dim 22 Juil - 13:08 | |
| @berhoum, faty, merci d'avoir soulevé la question sensible de la politique financière de notre pays. Je pense que la plus grande vigilance est nécessaire. Notre pays ne peut pas rester complètement enfermé sur lui-même mais ce n'est pas une raison pour s'ouvir n'importe comment. Un solide encadrement légistlatif et règlementaire doit accompagner la politique boursière et financière du pays. Quant à nos réserves de change placées en bons de trésor à l'étranger, elles atteignent actuellement 200 Milliards de dollars La diversification des portefeuilles et le fait d'avoir choisi des placements souverains garantissant le capital même s'ils ne permettent pas un grand intérêt sont deux moyens de préservation des ressources de la nation en attendant mieux c'est-à-dire la création d'un environnement national propice à l'investissemetn productif. Il ne faut pas oublier que si notre pays a mis de côté toutes ces réserves, après avoir épongé sa dette extérieure, c'est que l'économie nationale est pour le moment incapable de fructifier tout cet argent. Dans l'état actuel des choses, si l'Etat rapatrie cet argent, il ira directement dans les poches des exportateurs de camelotte via la complicité de la maffia de l'import-import qui sévit chez nous Pour diminuer les risques, l'Algérie peut augmenter ses réserves en or, ce qu'elle a commencé à faire puisqu'elle est désormais second dépositaire dans le monde arabe et 22eme dépositaire mondial. | |
| | | faty Colonel
Messages : 3229 Date d'inscription : 08/04/2012
| Sujet: Re: Actualités Economiques Dim 22 Juil - 13:24 | |
| - Citation :
- le fait d'avoir choisi des placements souverains garantissant le capital
c est une bonne nouvelle | |
| | | berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
| Sujet: Re: Actualités Economiques Dim 22 Juil - 13:50 | |
| [b]faty à dit ...[b] c'est une bonne nouvelle Tu a raison une très bonne nouvelle | |
| | | boussouf Admin
Messages : 2099 Date d'inscription : 20/11/2011
| Sujet: Re: Actualités Economiques Dim 22 Juil - 16:38 | |
| - Citation :
-
Nette amélioration de l’excédent commercial de l’Algérie au 1er semestre 2012
ALGER - La balance commerciale de l’Algérie a enregistré un excédent de 15,78 milliards de dollars (mds usd) au 1er semestre 2012, contre 12,45 mds usd durant la même période en 2011, soit une hausse de 26,7%, a appris l’APS dimanche auprès des Douanes.
Les exportations de l’Algérie ont atteint 38,82 mds usd, contre 36,75 mds usd au cours de la même période de l’année écoulée, en hausse de 5,62%, précise le Centre national de l’informatique et des statistiques des Douanes (CNIS).
Quant aux importations, elles se sont établies à 23,03 mds usd contre 24,29 mds usd au cours de la même période en 2011, soit une diminution de 5,21%, indiquent les chiffres provisoires du CNIS. http://www.aps.dz/Nette-amelioration-de-l-excedent.html | |
| | | berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
| Sujet: Re: Actualités Economiques Dim 22 Juil - 18:34 | |
| - Citation :
- [url=Les pénalités liées aux infractions de change en Algérie ont atteint en Algérie l’année dernière les plus de 64 milliards de DA lors des opérations de contrôle à posteriori, a révélé dimanche un haut responsable des Douanes. Les majorations de de valeur représentent l’essentiel, soit 64,3 milliards de DA des 85 milliards de DA, de pénalités encourues par les fraudeurs pour les années 2010 et 2011, 64,3 mds de DA a précisé le directeur du contrôle à posteriori à la direction générale des Douanes (DGD),Regue Benamar Selon le même responsable 75% des fraudes douanières ont été constatées dans le commerce extérieur sur la même période. Il n’a pas manqué de relever ainsi que le gonflement des factures des importations pour transférer illicitement de l’argent vers l’étranger s’est poursuivi en 2011, en dépit d’une déflation enregistrée sur plusieurs produits importés. Le blanchiment d’argent et les sommes faramineuses d’argent qui circulent sur le marché informel, hors circuit bancaire sont à l’origine de la saignée des devises qui reste « amer » et un phénomène favorisé selon Regue Benamar avant de mettre en garde « qu’il y a ceux qui font dans le blanchiment d’argent sale qui est exploité dans le commerce extérieur, c’est un jeu qui est devenu diabolique ». La DGD a engagé un contrôle permanent ciblant les grands importateurs et les opérateurs économiques qui ont un volume d’importation conséquent à l’effet de juguler ce trafic a indiqué le même responsable. Ce dernier a précisé que l’objectif majeur des douanes est de « préserver les réserves de change de l’Algérie » avec l’implication de l’ensemble des institutions de l’Etat chargées de cette lutte agissent en synergie ». S’agissant des autres types d’infractions enregistrées durant les deux dernières années, elles représentent 25% des infractions globales et renseignent sur la diversité des courants de fraudes constatés actuellement au niveau du commerce extérieur. Depuis 2010, date de l’entrée en activité de la direction du contrôle à posteriori des douanes et jusqu’à fin 2011, le dédouanement à l’aide de faux documents a représenté 6,6% des infractions constatées. Les pénalités encourues par les fraudeurs dans ce trafic s’élèvent quant à elles à 5,6 mds de DA, selon M. Regue. Durant les deux dernières années, les pénalités ont atteint 4,8 mds de DA pour le détournement des avantages fiscaux, 1,9 md de DA pour les fausses déclarations de valeur et 301 millions de DA pour les fausses déclarations d’origine, selon les mêmes chiffres. Les infractions constatées dans les régimes suspensifs et préférentiels comme la Zone Arabe de libre échange (Zale) et la zone d’échange avec l’Union européenne, sont marginales représentant seulement 0,29% des infractions globales à 246,1 millions de DA. Regue impute ce chiffre bas aux difficultés rencontrées par les services des douanes algériens pour prouver des infractions contre des importateurs, notamment ceux qui achètent de la Zale et qui pratiquent les fausses déclarations d’origine. Selon lui, l’authentification de l’origine de ces produits est toujours positive, alors que de fortes présomptions pèsent sur le lieu de leur production, a-t-il relevé.[url=Plus de 64 milliards de DA de pénalités en infractions de change]Plus de 64 milliards de DA de pénalités en infractions de change[/url]
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| | | boussouf Admin
Messages : 2099 Date d'inscription : 20/11/2011
| Sujet: Re: Actualités Economiques Mar 24 Juil - 13:20 | |
| - Citation :
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Médicaments : vers un équilibre entre la production nationale et l’importation
ALGER - Le marché algérien du médicament a connu une importante dynamique depuis que l’Etat a renoncé à son monopole sur ce secteur au début des années 90, mais un équilibre entre la production nationale et la facture d’importation reste toujours à trouver.
Le renoncement de l’Etat à son monopole sur l’importation des médicaments a d’abord encouragé l’investissement du secteur privé dans ce domaine. Les unités de production sont passées de moins de 10 unités dans les années 90 à 55 unités ces dernières années, dont 9 unités relevant du groupe Saidal (unique entreprise publique du secteur).
Cette mesure a également favorisé l’investissement étranger dans le cadre du partenariat.
L’Etat qui a géré le secteur du médicament de 1963 jusqu’au début des années 90 a oeuvré pour son ouverture au privé en matière de production, d’importation, de conditionnement et de distribution afin d’organiser l’offre et la demande et d’assurer une couverture globale. La politique nationale du secteur vise à encourager la production locale pour réaliser une couverture de 70 % à court terme et à rationaliser l’utilisation des différentes classes thérapeutiques en termes de prescription et de tarification.
Une nomenclature de remboursement des différentes classes thérapeutiques selon le tarif de référence a été mise en place dans ce cadre.
Pour garantir sa protection et favoriser son développement, l’industrie pharmaceutique locale a bénéficié de mesures incitatives, du transfert de technologie et de la levée des entraves à l’organisation du marché dans le respect de la loi sur la concurrence et des engagements internationaux de l’Algérie.
Le marché du médicament en Algérie a connu une importante dynamique ces dernières années puisque la production, l’importation et le conditionnement de ces produits vitaux sont passés de 900 millions d’euros en 2004 à plus de 1,4 milliard d’euros en 2008 et à plus de 1,8 milliard d’euros en 2011, selon les chiffres du ministère de la Santé, de la population et de la réforme hospitalière.
La production et l’importation dans les secteurs public et privé ont été estimées en 2011 à plus de 1,6 milliard d’euros.
La part de la Pharmacie centrale des hôpitaux (PCH) est passée de 34 millions d’euros en 2004 à 118 millions d’euros en 2008 et à 181 millions d’euros en 2011.
L’importation de vaccins par l’Institut Pasteur d’Algérie (IPA) est passée de 5 millions d’euros en 2004 à 11 millions d’euros en 2008 et à 22 millions d’euros en 2011. Les unités de production ont, elles aussi, enregistré des progrès notables.
De 22 unités de production entre 1995 et 2000, elles sont passées à 44 unités entre 2006 et 2010 outre l’agrément de 10 unités en 2011. La part de la production nationale de médicaments est, quant à elle, passée de 27% en 2008 à 40% en 2011 avec des perspectives de 70% en 2014.
Toutefois, le marché national du médicament a enregistré ces dernières années des perturbations dans l’importation et la distribution, qui ont amené le ministère de tutelle à revoir l’organisation des différents intervenants et à retirer des agréments.
Pour la Société algérienne de pharmacie, la fin des perturbations est tributaire de la définition des besoins nationaux en fonction des programmes sanitaires et de la situation épidémiologique du pays, de la rationalisation de la consommation et de l’encouragement de la production locale, notamment des médicaments génériques, pour éviter le gaspillage et la spéculation.
En dépit des mesures incitatives prévues par l’Etat pour encourager la production locale, le marché national continue de pâtir de l’influence des laboratoires étrangers sur les prescripteurs, notamment en matière de molécules innovantes au détriment des génériques, de la problématique de l’approvisionnement des structures hospitalières auprès de la PCH et d’autres entraves liées au code des marchés publics.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) fixe les besoins de la population dans chaque pays à 260 médicaments alors que la nomenclature nationale compte 5600 médicaments, d’où son nécessaire assainissement.
http://www.aps.dz/Medicaments-vers-un-equilibre.html | |
| | | faty Colonel
Messages : 3229 Date d'inscription : 08/04/2012
| Sujet: Re: Actualités Economiques Jeu 26 Juil - 4:08 | |
| Alger-Paris à 500 euros: les usagers d’Air Algérie dénoncent la cherté des billets - Citation :
- La communauté algérienne établie à l’étranger, notamment en
France, se plaint de la cherté des billets d’avion proposés par Air Algérie pour le mois d’août prochain. L’Association de protection des droits des usagers de cette compagnie a demandé à l’ambassadeur d’Algérie en France d’intervenir pour réduire les prix des billets. Malheureusement, il n’a donné aucune suite à cette requête.
« La communauté algérienne établie à l’étranger, notamment en France, se plaint de la flambée vertigineuse et honteuse des prix des billets d’avion annoncés pour le mois d’août prochain qui coïncidera avec le mois de ramadhan sacré et les vacances d’été », peut-t-on lire sur un communiqué signé par l’Association de protection des droits des usagers d’Air Algérie. « Alors que l’Etat soutient la compagnie financièrement, sur le terrain il n’ y a rien puisque Air Algérie n’a rien offert aux citoyens algériens qui voyagent sur ses lignes », déplore l’association dans un communiqué transmis à Echorouk. Pour étayer ses dires, le président de cette association, Omar Ait Moukhtar, souligne que le prix d’un billet Alger-Paris est proposé à plus de 500 Euros.
« Comment se fait-il qu’Air Algérie fixe les billets Alger-Paris à 500 euros alors que les ressortissants tunisiens et marocains achètent leurs billets beaucoup moins cher pour pratiquement la même distance (Tunis-Paris et Rabat-Paris) ? », s’interroge ce responsable. A titre d’exemple, il précisera que les billets pour les voyages Agadir (Maroc)-Paris ou Monastir (Tunisie)-Paris sont proposés à moins de 130 durant la même période (Mois d’août). « Pourquoi le citoyen algérien doit-t-il payer son billet 4 fois plus cher que nos voisins tunisiens et marocains ? », s’est encore interrogé le même responsable. « Ceci est inadmissible et inconcevable », a-t-il ajouté.
D’autre part, l’association dénonce la complicité d’Air Algérie avec d’autres compagnies étrangères de transport aérien. Dans ce contexte, l’association affirme qu’Aigle Azur par exemple propose des vols Alger-Moscou (Russie) (plus de 3 300 km) à 350 euros, alors qu’un vol Paris-Alger (environ 1 300 km) est proposé à plus de 500 euros.
Par ailleurs, Omar Ait Moukhtar regrette le fait que les autorités algériennes eurent ignoré une requête adressée à l’ambassadeur d’Algérie en France, Missoum Sbih, à l’occasion de la célébration du cinquantenaire de l’indépendance de l’Algérie. « Nous avons demandé une réduction de 90 euros représentant la taxe aéroportuaire, mais l’ambassadeur d’Algérie en France, le plus âgé ambassadeur du monde, n’a donné aucune suite à notre requête », a déploré Omar Ait Moukhtar. Enfin, ce dernier regrettera le gaspillage de plusieurs milliards de dinars en une nuit dans des feux d’artifices pour célébrer l’indépendance de notre pays, au moment où des algériens établis à l’étranger paient leurs billets très cher auprès de « leur compagnie nationale » pour rentrer au pays.
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| | | faty Colonel
Messages : 3229 Date d'inscription : 08/04/2012
| Sujet: Re: Actualités Economiques Jeu 26 Juil - 4:11 | |
| Selon une récente évaluation de la Coface : Le risque Algérie estimé assez faible - Citation :
- Dans une récente analyse du risque par pays
publiée le 11 juillet dernier, la Compagnie française d’assurance pour le commerce extérieur (Coface) a qualifié le risque Algérie “d’assez faible à moyen terme”. - Citation :
- La production de pétrole n’a enregistré qu’une augmentation marginale en
2011, tandis que celle de gaz naturel a pâti d'un ralentissement des investissements et de problèmes techniques. Hors hydrocarbures, l’activité a progressé à un rythme plus soutenu grâce à une bonne récolte agricole et aux secteurs tirés par les investissements publics. Néanmoins, ces secteurs représentent une part relativement limitée du PIB et contribuent donc modérément à la croissance, qui, globalement, a ralenti. En 2012, la croissance est susceptible de rebondir légèrement en raison d'une modeste augmentation de la production pétrolière et gazière et de dépenses publiques élevées, principalement du fait de la poursuite du vaste programme d’investissements publics (construction de logements, de routes et de voies ferrées). Par ailleurs, l'augmentation des salaires du secteur public, ainsi que le subventionnement des produits de première nécessité permettront de soutenir la consommation privée. Quant aux investissements privés, leur progression risque d’être bridée, par une insuffisance de financement, notamment. La Coface indique que le déficit budgétaire s’est accru modérément en 2011, en dépit de la hausse des recettes pétrolières, et il devrait s’accentuer en 2012, en raison de la hausse des salaires dans l’Administration, de l’élargissement des mesures socioéconomiques adoptées en 2011 et de la poursuite de la modernisation des infrastructures. “Toutefois, les revenus des hydrocarbures mis en réserve dans le Fonds de régulation des recettes permettent de financer ce déficit, d’autant que le pays bénéficie d’un faible endettement public”, relève la Coface qui prévoit que les balances commerciale et courante seront encore excédentaires en 2012 à la faveur des exportations d’hydrocarbures et à des cours appelés à se maintenir à un niveau élevé. “Ces exportations seront soutenues par la mise en service, en 2011, du gazoduc Medgaz entre l’Algérie et l’Espagne, ainsi que d'unités de gaz naturel liquéfié en 2012”, note la Coface, précisant que “l’Algérie est, toutefois, tributaire de l'Europe pour son commerce extérieur et les perspectives moroses dans cette zone pourraient freiner les ventes algériennes”. Par ailleurs, les importations continueront à être limitées par les mesures prises par les autorités depuis 2009, en dépit d'importants achats de blé, dont l'Algérie est l'un des plus gros importateurs au monde. D’autre part, l’organisme français d’assurance-crédit affirme que d’imposantes réserves de changes représentant environ trois ans d'importations sont venues renforcer une situation financière extérieure déjà solide. De plus, la politique active de désendettement extérieur, via le remboursement anticipé de la dette rééchelonnée et l’interdiction pour les entreprises d’emprunter à l’étranger, a ramené le ratio dette/PIB à un niveau très faible (3%) et contribué sensiblement à la réduction du niveau de la dette ramenée à un peu plus de 4 miliards de dollars. “Afin d’essayer de désamorcer la contestation politique et sociale, dans le contexte des soulèvements en 2011 dans d’autres pays arabes, le pouvoir a pris des mesures destinées à améliorer la représentation politique et le rôle des médias, à lutter contre le chômage des jeunes et à augmenter le nombre de logements sociaux”, note la Coface. L’organisme revient sur les mesures de restriction ciblant les importations et les investissements étrangers pour rappeler que ces dernières, édictées par la loi de finances complémentaire de 2009 et globalement reconduites en 2010 et 2011, ont été motivées par ce souci de protéger les intérêts économiques du pays et de promouvoir les industries nationales. “En dépit de quelques assouplissements en matière de paiement des importations par crédit documentaire, ces mesures semblent peu propices à une amélioration sensible du climat des affaires et au développement du secteur privé, de même que la faiblesse de l’intermédiation bancaire”, ajoute la Coface qui a maintenu son appréciation du risque pays, soit une notation (A4), de même que la note relative à l’environnement des affaires. D. Akilael moudjahid
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| | | boussouf Admin
Messages : 2099 Date d'inscription : 20/11/2011
| Sujet: Re: Actualités Economiques Jeu 26 Juil - 11:38 | |
| @faty, merci d'avoir soulevé la question du prix des billets d'Air Algérie. Pour beaucoup de nos concitoyens -qui faut-il le rappeler sont en majorité de condition modeste- ces prix sont trop chers. Mais si on regarde de plus près la question, ce n'est pas étonnant. Au moment où les pays voisins accueillent annuellement entre 6 et 10 millions de visiteurs/an, l'Algérie accueille à peine 2 millions. Les tarifs ne peuvent que s'en ressentir. Air Algérie pourra toujours économiser un peu dans l'amélioration de sa gestion mais ce ne sera pas suffisant. Elle restera déficitaire et l'Etat continuera à l'aider. Ce n'est pas viable à long terme. Mais c'est là où les pouvoirs publics doivent faire preuve d'ingéniosité. En attendant que notre pays puisse accueillir à son tour 6 millions de visiteurs et plus (ce ne sera pas pour tout de suite), pourquoi ne pas profiter de notre capacité financière actuelle pour permettre à Air Algérie de se redéployer à l'extérieur quitte à faire des alliances avec des compagnies internationales mieux expérimentées? La Libye de Kadafi a réussi à créer la compagnie Ifriqia desservant une dizaine de pays africains à partir de plusieurs capitales européennes, pourquoi pas nous ? Si Air Algérie arrive à faire des bénéfices sur l'international, elle pourrait répercuter cela sur ses billets vers l'Algérie et les Algériens de la diaspora pourront en bénéficier | |
| | | boussouf Admin
Messages : 2099 Date d'inscription : 20/11/2011
| Sujet: Re: Actualités Economiques Ven 27 Juil - 10:54 | |
| - Citation :
-
Gazoduc reliant le Nigeria et l’Espagne Sonatrach participe au projet
La SONATRACH participera à la réalisation du gazoduc qui devrait assurer l’acheminement le gaz naturel de Calabar, dans le sud-est du Nigeria, jusqu’en ’Espagne, en passant par le Niger et l’Algérie. D’une longueur de 4.400 km, ce projet dont le coût financier est estimé à 10 milliards de dollars américains a fait l’objet d’un protocole d’accord entre l’Algérie, le Niger et le Nigeria qui entendent en faire une «co-entreprise non constituée en personne morale», indique un document du projet obtenu par l’agence Pan-African news. Selon l’étude de faisabilité, le projet présente un taux de rentabilité interne estimé entre 15,5 et 25% calculé sur la base d’un prix de référence du baril à 70 dollars. La même source indique que le gazoduc garantit une période de retour sur les fonds propres investis de quatre à sept ans. Le Niger est représenté par la Société nigérienne des produits pétroliers (SONIDEP) et le Nigeria par Nigerian National Petroleum ompagny (NNPC). Notre pays et le Nigeria sont deux des plus grands producteurs de pétrole en Afrique, alors que le Niger vient juste de faire son entrée dans le club des producteurs d’or noir, avec une production évaluée à 20.000 barils/jour. http://www.leconews.com/fr/actualites/internationale/sonatrach-participe-au-projet-24-07-2012-158936_268.php | |
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