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| Actualités Economiques | |
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+8philipides7 habiban Zoubir8 faty boussouf benevole DR LECTER yak 12 participants | |
Auteur | Message |
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faty Colonel
Messages : 3229 Date d'inscription : 08/04/2012
| Sujet: Re: Actualités Economiques Ven 27 Juil - 13:53 | |
| - boussouf a écrit:
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- Citation :
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Gazoduc reliant le Nigeria et l’Espagne Sonatrach participe au projet
La SONATRACH participera à la réalisation du gazoduc qui devrait assurer l’acheminement le gaz naturel de Calabar, dans le sud-est du Nigeria, jusqu’en ’Espagne, en passant par le Niger et l’Algérie. D’une longueur de 4.400 km, ce projet dont le coût financier est estimé à 10 milliards de dollars américains a fait l’objet d’un protocole d’accord entre l’Algérie, le Niger et le Nigeria qui entendent en faire une «co-entreprise non constituée en personne morale», indique un document du projet obtenu par l’agence Pan-African news. Selon l’étude de faisabilité, le projet présente un taux de rentabilité interne estimé entre 15,5 et 25% calculé sur la base d’un prix de référence du baril à 70 dollars. La même source indique que le gazoduc garantit une période de retour sur les fonds propres investis de quatre à sept ans. Le Niger est représenté par la Société nigérienne des produits pétroliers (SONIDEP) et le Nigeria par Nigerian National Petroleum ompagny (NNPC). Notre pays et le Nigeria sont deux des plus grands producteurs de pétrole en Afrique, alors que le Niger vient juste de faire son entrée dans le club des producteurs d’or noir, avec une production évaluée à 20.000 barils/jour. http://www.leconews.com/fr/actualites/internationale/sonatrach-participe-au-projet-24-07-2012-158936_268.php pour la vente de gaz ça bloque au niveau du prix certains veulent l'indexer sur le prix du pétrole et d'autres sont pour un autre calcul moins favorable, il me semble, et pas interressant pour les investissements que l'on aurait à faire pour la rentabilté. | |
| | | boussouf Admin
Messages : 2099 Date d'inscription : 20/11/2011
| Sujet: Re: Actualités Economiques Ven 27 Juil - 18:33 | |
| @faty, tu as raison de soulever cette question. C'est pourquoi il a été prévu d'associer des actionnaires européens dans le projet pour les impliquer dans la prise de risques. Les investissements prévus sont énormes (10 Milliards USD) et il n'est pas question que le Nigéria et l'Algérie soient seuls à mettre les mains à la poche alors que le projet sert aussi l'approvisionnement stratégique de l'Europe en gaz | |
| | | faty Colonel
Messages : 3229 Date d'inscription : 08/04/2012
| Sujet: Re: Actualités Economiques Ven 27 Juil - 18:52 | |
| boussouf il faut indexer sur le pétrole c'est ce que demande l'Algerie et avec des partenaires UE pour ne pas avoir de surprises et un prix minimum garanti pour une période donnée pour limiter la casse s'il y en a une | |
| | | berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
| Sujet: Re: Actualités Economiques Sam 28 Juil - 9:36 | |
| - Citation :
- [/b][url=Une solution pour valoriser le gisement de phosphate dormant de Djebel Onk
[url=Le bassin de Djebel Onk (Tébessa) renferme des quantités de phosphate, estimées à près de 3 milliards de tonnes, qui sont peu exploitées en raison du problème du transport. Un ancien cadre de la Sonarem, Larbi Mennasel, estime que le transport par canalisation est la solution et représente un avantage certain pour l’exploitation «intelligente» du phosphate de Djebel Onk.
[url=Acheminer les phosphates de l’important gisement dont dispose l’Algérie à Djebel Onk (wilaya de Tébessa) vers Annaba via El Kouif par canalisation est le rêve de Larbi Menassel qu’il espère voir se réaliser. Parfait connaisseur de la région et du domaine il a été dans sa jeunesse directeur de l’ingénierie à la Société Nationale de la Recherche et de la Géologie Minières (SONAREM), Larbi Mennassel a rassemblé toutes les données pouvant donner corps à ce projet. Ce qu’il souhaite est la réalisation «d’une étude de faisabilité» pour ce grand projet industriel dont il a réuni les éléments. «C’est une aberration économique de continuer à exploiter le gisement phosphatier de Djebel Onk au rythme actuel» dit-il avec une pointe d’exaspération. Djebel Onk est l’un des plus importants gisements de phosphate du bassin minier de l’Est algérien avec 2.8 milliards de tonnes de phosphates. La couche minéralisée dépasse les 30 mètres exploitable à moins de 50 centimètres de la surface de la croute terrestre. UNE MINE A CIEL OUVERT «C’est une mine à ciel ouvert», résume Ahmed Amrani, un autre natif d’El Kouif et fervent défenseur du projet. Les pouvoirs publics font de «l’optimisation de l’exploitation des ressources en phosphate» l’un des objectifs majeurs du secteur minier mais le phosphate est peu exploité avec une production annuelle inférieure à 2 millions de tonnes. «Au rythme actuel, l’exploitation du gisement de Djebel Onk tiendra mille ans», fait-il remarquer. L’Algérie entend valoriser d’ici 2020 ses ressources en phosphate qui ne sont pas négligeables et peuvent lui assurer des rentrées en devises allant jusqu’à 10 milliards de dollars. Le potentiel existe et la demande est tirée à la hausse par les pays émergents. Jusque-là, le plus grand et plus sérieux handicap à l’exploitation de la ressource est le transport. Cela est soluble, affirme Larbi Mennassel, par le transport de la pulpe de phosphate et des dérivés phosphatés par canalisation. La ligne minière allant de Djebel Onk vers Annaba (principale installation portuaire recevant les minerais du bassin minier de l’Est algérien) est limitée. Et le dernier déraillement de sept wagons d’acides phosphoriques, entrainant, en plus de la perte de la marchandise, la fermeture de la ligne minière et la réparation des wagons endommagés, hante encore les souvenir. «Il seraitbeaucoup judicieux de penser au transport par canalisation via l’agglomération d’El Kouif», renchérit Ahmed Amrani. UNE ETUDE DE FAISABILITE QUI NE SE FAIT TOUJOURS PAS ! Larbi Menassel qui connait parfaitement le bassin phosphatier de la région de Tébessa que tous les paramètres technico-économiques favorables à la réalisation d’un «très grand projet industriel» sont réunis : une voie ferrée Djebel Onk-El Kouif et El Kouif-Annaba, une dénivellation très importante de près de 1200 mètres au-dessus du niveau de la mer et des infrastructures sociales et industrielles relativement importantes. La canalisation devra longer le long du tracé de la route nationale 82, peu fréquentée idéale la réalisation des travaux en toute quiétude, sur une distance de 204 km. Cette canalisation présente un avantage économique et environnemental indéniable : elle sera enfouie à moins de 60 centimètres.«Les Marocains l’ont fait. Pourquoi pas nous», relève l’ancien directeur de l’ingénierie à la Sonarem. En effet, le Maroc réalise actuellement un pipeline de 224 km à Khouribga, le plus grand gisement de phosphate du monde, pour transporter plus de 38 millions de tonnes par an. Cette capacité est possible à atteindre pour le gisement de Djebel Onk en optant pour le transport par canalisation. L’étude de faisabilité demandée par Larbi Menassel pour ce projet – relayée par un député de la région de Tébessa qui a saisi par écrit le ministre de l’énergie et des mines Youcef Yousfi – a essuyé un refus «incompréhensible» de la part du PDG de Ferphos. Larbi Menassel souhaite que le groupe Manadjim El Djazair (MANAL) fasse cette étude «pour le bien de la région». source: Le quotidien d’oran (Yazid Ferhat) [url=http://www.city-dz.com/une-solution-pour-valoriser-le-gisement-de-phosphate-dormant-de-djebel-onk/ | |
| | | berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
| Sujet: Re: Actualités Economiques Sam 28 Juil - 13:40 | |
| [url=”زيارة هولاند إلى الجزائر ستتوج بحل مشكل العقارات الفرنسية” Un trou financier de 2700 milliards à Algérie Télécom - Citation :
- ]url=EN PLUS DE LA CENTAINE DE FAUX DIPLOMES DECOUVERTS]
[url=Un trou de 27 milliards de dinars aurait été découvert à Algérie Télécom selon une source auprès de l’operateur public AT, l’information à fait aussi la une du journal arabophone « El-Bilad et plusieurs sites internet.
[url=Selon les sources, le conseil d’administration d’Algérie Telecom, va s’expliquer sur les dessous de cette faille financière, lors de la prochaine réunion du conseil d’administration dont la date n’a pas été encore précisée. Ainsi les scandales en masse continuent à défrayer la scène nationale et mettent en péril l’avenir du pays.
[url=L’affaire des disparitions des 27 milliards de cts remonte à une période s’étalant entre 2008 et 2009 qui aurait poussé le conseil d’administration à demander un rapport détaillé sur plusieurs questions à savoir « où est parti tout cet argent, comment a été il dilapidé et par qui ? » rapporte la même source. Ce trou important d’une somme de 27 milliards de Da « non identifiée » serait arrivé à une période ou le directeur général était intérimaire à la place du président directeur général d’Algérie Télécom au moment où il était conseillé auprès de la direction des finances entre 2008 et 2009 ajoute la même source. L’affaire des faux diplômes Le paiement de 120 millions de centimes sur le dos de l’entreprise pour l’achat de diplômes reconnus au profit de ceux qui ont les bras longs après avoir été noyés dans des affaires de faux diplômes, l’utilisation des deniers publics pour l’achat de diplômes qui servent à des postes importants dans des entreprises privées, ne représentent qu’une partie de l’iceberg. Dans un autre contexte, en ce qui concerne les faux diplômes impliquant des cadres qui auraient procédé à la falsification de documents scolaires leurs permettant l’accès à des postes de responsabilités au niveau d’Algérie Télécom selon la même source qui ajoute que la direction des ressources humaines aurait convoqué par téléphone quelques faux diplômés aux coudes moins franches pour déposer leur démission avant toute poursuite judiciaire. Pour ceux qui ont des relations plus solides et des bras longs, ces derniers auraient vidés leurs dossiers en retirant tous les documents falsifiés pour ne laisser aucune trace et éviter en conséquence les problèmes avec la justice allant même jusqu’à l’éviction du poste selon la source. La direction aurait déboursé des sommes d’argent allant jusqu’à 120 millions de centimes en contre partie de diplômes reconnus permettant à ces cadres de partir dans des sociétés privées après avoir déposer leur dossiers de retraite rapporte la même source. Cette affaire de faux diplômes aurait causé un grand préjudice moral qui pourrait mettre en péril la notoriété d’Algérie Télécom du fait que d’innombrables fausses attestations et diplômes auraient été retirés des dossiers de gens pistonnés qui ont des connaissances solides dans la société afin de ne laisser aucune trace qui pourrait les impliquer avec la justice. Selon la même source, de 100 à 150 faux diplômes auraient été retirés de leurs dossiers. L’exemple de l’une des secrétaires est flagrant. Cette dernière selon la source avec un diplôme de secrétariat délivré par un centre de formation professionnelle aurait occupé le poste du directeur adjoint en échange d’un salaire de 70 milles dinars. Cette dernière selon la source aurait pris un congé sans solde pour fuir la direction générale après l’éclatement du scandale afin d’éviter tout problème. Le scandale de faux diplômes permettant à des personnes pistonnées d’accéder à de vrais postes de responsabilité pourrait mettre en péril des entreprises importantes en Algérie telles qu’Algérie Télécom qui se classe en seconde ou troisième position après Sonatrach. Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source [url=http://www.algerie360.com/algerie/un-trou-financier-de-2700-milliards-a-algerie-telecom | |
| | | berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
| Sujet: Re: Actualités Economiques Dim 29 Juil - 11:26 | |
| [url=Alors que l'Allemagne produit le quart de sa production électrique à partir des énergies renouvelables: L'Algérie développe un vaste programme de partenariats avec des firmes allemandes - Citation :
- [url=La fédération des entreprises du secteur (BDEW) a annoncé hier que la part des énergies renouvelables a atteint le quart de la production énergétique totale en Allemagne pour la première fois au cours du premier semestre 2012.Les énergies renouvelables ont généré 67,9 milliards de kilowatts-heure depuis le début d'année, soit le quart du besoin allemand en électricité. A titre de comparaison, sur la même période en 2011, cette part était de 21%, a précisé le BDEW dans un communiqué publié par un réseau méditerranéen spécialisé. Dans le détail, l'énergie éolienne tient toujours la corde et représente 9,2% de la production électrique, en progression de 1,5 point par rapport à 2011, suivi par la biomasse qui représente 5,7%. Fait remarquable, l'énergie solaire a progressé de 47% sur un an et représente 5,3% de la production électrique allemande totale. Les installations de panneaux solaires connaissent en Allemagne une véritable explosion, grâce à la garantie par l'Etat d'un prix d'achat de l'électricité très avantageux aux producteurs. Les renouvelables doivent jouer un rôle essentiel dans le remplacement du nucléaire, le gouvernement tablant sur une part de 35% de la consommation d'électricité en 2020. Cela n'est pas sans soulever des interrogations dans le pays, notamment sur la nécessité de stabiliser le réseau électrique. Le besoin en électricité en Allemagne s'est établi depuis janvier à 261,5 milliards de kilowatts-heure, en baisse de 1,4% sur un an, conséquence de la baisse de la production industrielle des gros consommateurs que sont la métallurgie, la chimie, les matières premières et la papeterie, selon le communiqué. La fédération a également dévoilé les chiffres de la consommation de gaz naturel qui a atteint 495,3 milliards de kilowatts-heure depuis six mois, un résultat en hausse de 0,4% sur un an. C'est ainsi que l'Algérie a entamé dans le cadre de son programme national de maîtrise de l'énergie et de développement des énergies renouvelables, un vaste programme de coopération et de partenariats avec l'Allemagne, leader mondial dans la production des énergies renouvelables. Plusieurs rencontres et séminaires ont été initiés dans ce sens notamment depuis 2010 notamment dans la perspective de consolider les relations de partenariats et de transfert technologique entre Berlin et Alger dont la coopération étroite remonte aux années 70 dans le secteur mécanique, entre autres. Ainsi l'usine Eclairage Rouiba dont les premiers panneaux solaires seront fabriqués en 2013 a été réalisée dans le cadre d'un partenariat avec une entreprise allemande. Il y a lieu de noter que l'Algérie compte 18 villages électrifiés avec le kit PV, une centrale hybride solaire-gaz à Hassi R'Mel de 150 MW, une usine de fabrication de modules PV de 110 MW en 2013, une ferme éolienne de 10 MW dans la région d'Adrar, ainsi que d'autres projets solaires, tel que la centrale pilote de 400 MW. En 2013, l'Algérie aura une production de 40% d'électricité d'origine solaire renouvelable, toutefois, on projette également de procéder à l'implantation d'une industrie des énergies renouvelables performante avec un fort taux d'intégration nationale progressivement. Aussi, un programme national vise des installations d'une puissance en énergies renouvelables de 22 000 MW entre 2011 et 2030 dont 12 000 MW pour le marché domestique et 10 000 MW pour l'exportation.Les deux partenaires s'intéressent également à la production d'hydrogène à partir d'énergie solaire, aux piles à combustibles, aux procédés thermiques, à l'analyse des systèmes et à l'évaluation technologique. L'accord prévoit par ailleurs un échange de chercheurs et de doctorants. Côté algérien, l'intérêt d'une telle coopération réside dans la perspective à moyen et long terme d'exporter de l'électricité solaire vers l'Europe centrale. Du côté des industries allemande et européenne, l'exportation de composants clefs de centrales solaires thermodynamiques constitue, selon le chargé de la communication auprès de la CAAIC, un marché à l'avenir prometteur. Pour accélérer le déploiement des énergies renouvelables en Algérie, une loi de type "feed-in tariffs", comme il en existe en Allemagne ou en France, a été instaurée. L'Algérie présente un gigantesque potentiel pour l'exploitation de l'énergie solaire. C'est l'un des résultats d'une étude réalisée récemment par le DLR, à la demande du ministère fédéral allemand de l'Environnement (BMU). Meziane Atmani [url=http://www.lemaghrebdz.com/lire.php?id=46664
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| | | faty Colonel
Messages : 3229 Date d'inscription : 08/04/2012
| | | | boussouf Admin
Messages : 2099 Date d'inscription : 20/11/2011
| Sujet: Re: Actualités Economiques Dim 29 Juil - 18:36 | |
| - Citation :
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Hamoud-Boualem, histoire d’une résistance vaillante CINQUANTENAIRE DE L’INDEPENDANCE DE L’ALGERIE
ALGER - Hamoud-Boualem, la plus ancienne entreprise algérienne encore en activité, se veut un modèle de réussite et de résistance vaillante face aux vicissitudes de l’histoire, de la société et... des goûts.
Après avoir vécu deux Guerres mondiales, une guerre de libération et de longues années d’instabilité, Hamoud-Boualem, la marque, se porte comme un charme.
La fondation de Hamoud-Boualem remonte à la deuxième moitié du XIXe siècle, quelques années avant l’apparition des deux grandes marques mondiales de soda (Coca-Cola et Pepsi-Cola).
Youcef Hammoud, l’aïeul fondateur et grand-père de Boualem Hammoud, est alors établi dans le quartier de Belcourt (aujourd’hui Mohamed-Belouizdad) comme limonadier et distillateur d’arômes. Très tôt, il décide de passer le pas et, ajoutant du sucre et de l’eau gazeuse à ses essences de citron, il commence à fabriquer de la limonade, Hamoud-Boualem voit le jour en 1878.
Le succès arrive rapidement. En 1889, lors de la tenue de l’Exposition universelle à Paris, la limonade de Youcef Hammoud, qui s’appelle alors la Royale, se voit récompensée d’une médaille d’or. S’en suivent une vingtaine de médailles d’or et d’argent remportées lors des différentes expositions auxquelles l’entreprise a concouru.
Indémodable, cette boisson est connue, aujourd’hui, sous le nom de "Hamoud la blanche" et reste une valeur sûre pour l’entreprise. Pourquoi les autorités d’occupation française se sont-elles intéressées à une entreprise algérienne et l’ont-elles primée, alors qu’elles s’évertuaient à aliéner tout ce qui symbolisait l’Algérie ?
En effet, la France voulait prouver au monde entier que les économies de ses colonies prospéraient sous sa direction et se vantait des quelques produits artisanaux exposés lors de manifestations internationales après avoir réduit à néant toutes les industries stratégiques algériennes.
"Cette brèche, Hammoud en a profité pleinement pour faire la promotion de son produit et affirmer toute la grandeur de la résistance algérienne face aux difficultés et obstacles rencontrés pendant la période coloniale", précise à l’APS Réda Hammoud arrière-petit-fils de Youcef et directeur général de Hamoud-Boualem.
C’est le petit-fils de Youcef, Boualem Hammoud qui, en 1924, crée l’entreprise en déposant la marque Hamoud-Boualem. En quelques années, il donne un essor très important à sa société, une société 100% algérienne qui sera une source d’inquiétude pour les autorités françaises, lesquelles décident de la soumettre à davantage de taxes et d’impôts en vue de l’épuiser financièrement et lui imposent un actionnaire français ne jouissant d’aucune expérience. Ce dernier accapare la majorité des actions.
La société survit à la nationalisation en reconnaissance de son apport à la Révolution...
En 1951, Youcef Hammoud (arrière-petit-fils de Youcef le fondateur) et Abderrahmane (dit Dahmane) Hafiz, un parent proche, se proposent de racheter la société.
C’est ainsi qu’ils ont recouvré le legs familial et repris les rênes de l’entreprise dont ils sont, aujourd’hui, les principaux actionnaires. C’est grâce à sa contribution à la guerre de libération que la famille Hammoud a survécu au processus de nationalisation enclenché par les autorités algériennes au lendemain de l’indépendance.
Ainsi, les Hammoud et six autres familles en ont été épargnées en guise de reconnaissance pour leur apport et leur contribution à la Révolution.
A la fin des années 1980, l’entreprise réalise d’excellents résultats en tirant un maximum de profits de l’ouverture économique caractérisée par l’arrivée en Algérie des grandes marques de boissons gazeuses et en entreprenant d’importantes opérations d’expansion dans un contexte de concurrence ardue. Cependant, la situation qu’a vécue le pays pendant les années 1990 a freiné cet élan.
Pendant la première décennie du troisième millénaire, la société entreprend une stratégie de diversification inédite. Confortée par le climat de stabilité et de paix instauré, elle revoit à la hausse ses activités de production, consolide son réseau de distribution et acquiert deux nouvelles entreprises de production d’eau minérale, l’une à Béjaïa et l’autre à Sidi Bel-Abbès.
Troisième millénaire : le véritable départ...
En 2000, l’entreprise exporte, pour la première fois, son produit phare le Selecto en collaboration avec un investisseur français. Sur un marché en pleine expansion, l’entreprise produit aujourd’hui près de 300 millions de litres de boissons par an contre 30 millions en 1995. Son chiffre d’affaires en 2010 a dépassé les 6 milliards DA.
La plus vielle boisson algérienne "se taille 20% des parts du marché des boissons gazeuses en Algérie, selon plusieurs bureaux d’études spécialisés", affirme Réda Hammoud, précisant que la marque Hamoud occupe la première place en termes de volume des ventes à Alger et la deuxième au niveau national. Hamoud-Boualem ambitionne d’occuper la première place au niveau national et d’atteindre 30% de parts de marché à l’horizon 2015 parallèlement à l’augmentation de 10% de ses exportations, a-t-il ajouté.
L’entreprise est actuellement à pied d’œuvre pour la réalisation d’une nouvelle unité à l’est du pays (Constantine) afin de renforcer les capacités des unités du Centre (Alger) et de l’Ouest (Oran).
A long terme, l’entreprise se projette dans des perspectives plus que prometteuses dans un marché où sa marque tient une place incontestable. Elle ambitionne de décupler sa production à l’horizon 2022 dans le cadre d’une stratégie complémentaire comprenant également l’élargissement de ses exportations vers les pays du Golfe et en Amérique Latine et la diversification de ses produits.
L’histoire de Hamoud-Boualem, Réda la résume comme suit : "Notre parcours, entamé par le fondateur de l’entreprise, Youcef Hammoud, a vu passer cinq générations qui ont marqué de leur empreinte l’histoire de l’entreprise jusqu’à ce que l’usine arrive à exporter ses produits à l’étranger et devienne leader dans le domaine de l’agroalimentaire.
Cinquante ans après l’indépendance, le message que livre la doyenne des entreprises algériennes à la jeunesse est celui de la résistance face aux difficultés et aléas de la vie, une résistance que l’entreprise mène à ce jour au rythme d’une rude concurrence face aux géants mondiaux des boissons gazeuses".
http://www.aps.dz/Hamoud-Boualem-histoire-d-une.html | |
| | | berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
| Sujet: Re: Actualités Economiques Lun 30 Juil - 18:39 | |
| [url= Algérie : Les 200 milliards de $ de réserves sont déjà en circulation en dinars mardi 24 juillet 2012. - Citation :
- [url=Les réserves de change, près de 200 milliards de dollars, sont un sujet de polémique récurrent. Une source à la Banque d’Algérie a accepté, sous réserve d’anonymat, de donner plus d’éclairage sur la gestion des réserves de change et remet en question beaucoup d’idées reçues. De manière abrupte on apprend que les 200 milliards de dollars de réserves sont déjà en circulation en dinars. La richesse de l’Etat est limitée aux seuls 70 milliards de dollars du Fonds de régulation des recettes (FRR). Pour mieux faire comprendre le la gestion des réserves de changes, notre source prend l’exemple le cas d’un baril de pétrole que Sonatrach vend à 100 dollars. "Une fois les 100 dollars encaissés par Sonatrach, la loi oblige l’entreprise pétrolière à les céder à la Banque centrale" explique-t-il. La Banque centrale va par la suite créer l’équivalent de ces 100 dollars en dinars. "Sonatrach vend d’une certaine manière ces devises à la banque centrale qui la paye en dinars, ainsi Sonatrach voit son compte crédité d’à peu près 7000 DA selon le taux de changes effectif". Au titre de la fiscalité pétrolière, l’Etat prélève 70 % de ces 7000 DA. Cela donne 5600 DA prélevés par l’Etat qui vont dans le trésor public pour être ensuite injecté dans l’économie. Il reste 1400 dinars dans le compte de la Sonatrach à la Banque extérieure d’Algérie (BEA). "Les réserves de change, c’est quoi ? Et bien ce sont tout simplement les 100 dollars que Sonatrach a vendu à la banque centrale" explique notre source. Ces réserves sont gérées d’une manière prudentielle et placées en général en titres souverains. La Banque centrale Algérienne achète par exemple la dette américaine, japonaise, française ou autre... "Tant que ces pays-là existent, l’argent placé par la banque centrale existera également, donc il n’y a aucun risque que cet argent disparaisse" note-t-il avec une pointe d’humour. L’ETAT NE DISPOSE QUE DES 70 MILLIARDS $ DU FRR Notre source remet en cause plein d’idées reçues sur les réserves de change, comme celui de croire que le gouvernement peut y puiser comme bon lui semble. Les réserves de change ne peuvent être récupérées que par la Banque Centrale… pour les placer quelque part. Mis à part la banque centrale, personne ne peut disposer de ces réserves de changes, à moins de donner leur équivalent en dinar à l’institut d’émission. « Il ne pas faut pas l’oublier, la Banque Centrale les a pratiquement achetées ces devises. Donc si le gouvernement, une entreprise ou un particulier veut en reprendre une partie, ils devront payer leur équivalent en dinars à la banque centrale". Le gouvernement ne dispose pas d’un tel argent car sur « les 7000 DA que la banque centrale a créé pour acheter les 100 dollars, il ne reste pratiquement pas grand-chose, L’Etat a payé des employés, des entreprises, il a acheté des biens d’équipement et des services. Ce qui fait que l’équivalent en dinars des 100 dollars a déjà été en grande partie dépensé et il se trouve entre les mains des ménages et des entreprises. C’est ce qui s’appelle injecter l’argent dans l’économie" explique notre source. Sa conclusion est sans pitié pour plein d’idées reçues. Les réserves de change ne sont pas une richesse car ce n’est pas de l’épargne. « La seule richesse de l’Etat ce sont les 70 milliards de dollars que contient le fonds de régulation des recettes" explique-t-il. par Salim Hairouz - Le Quotidien d’Oran [url=http://algerie.actudz.com/article3030.html
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| | | boussouf Admin
Messages : 2099 Date d'inscription : 20/11/2011
| Sujet: Re: Actualités Economiques Lun 30 Juil - 20:40 | |
| Ce journal dit n'importe quoi. Soit la "source" du journal ne s'y connaît pas soit le journaliste est bouché. Il faudrait renvoyer ces gens à l'école - Citation :
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Définition Réserves de change
Les réserves de change sont les actifs principalement détenus en devises étrangères et en or par les Banques Centrales.
Les réserves de change peuvent aussi se présenter sous la forme de bons et obligations du Trésor émis par les différents états. Les réserves de change permettent enfin aux différentes Banques Centrales d'intervenir sur le marché des changes afin de réguler les taux de leur monnaie. http://www.trader-finance.fr/lexique-finance/definition-lettre-R/Reserves-de-change.html CONCLUSION: La banque centrale d'Algérie, c'est-à-dire l'Etat algérien souverain détient bien l'équivalent de 200 Milliards de dollars en titres souverains libellés en dollars (45%), euros (45%) et autres monnaies étrangères (10%). En plus de ces réserves de change, l'Algérie dispose d'un Fonds de régulation de recettes (FRR) en dinars d'un équivalent de 70 Milliards de dollars. | |
| | | berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
| Sujet: Re: Actualités Economiques Lun 30 Juil - 21:07 | |
| - Citation :
- Ce journal dit n'importe quoi. Soit la "source" du journal ne s'y connaît pas soit le journaliste est bouché. Il faudrait renvoyer ces gens à l'école
@boussouf merci pour ce partage d'information je crois que tu as raison ....ce journaliste devrait retourner à l'école | |
| | | boussouf Admin
Messages : 2099 Date d'inscription : 20/11/2011
| Sujet: Re: Actualités Economiques Mar 31 Juil - 16:44 | |
| Des chiffres dont on peut tirer au moins deux enseignements: 1. L'émergence d'une classe moyenne en Algérie, 2. L'importance d'un marché automobile qui va atteindre cette année le nombre de 500 000 véhicules vendus. Malheureusement, ces chiffres nous montrent aussi l'importance des bénéfices engrangés par les concessionnaires importateurs qui sont derrière le sabotage des tentatives de mettre en place une industrie automobile en Algérie grâce aux complicités nouées au sein des hautes sphères - Citation :
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Hausse de près de 50% des importations de véhicules en Algérie au 1er semestre 2012
ALGER - L’Algérie a importé 263.787 véhicules durant le 1er semestre de 2012 contre 176.901 véhicules à la même période en 2011, soit une hausse de 49,12%, a-t-on appris mardi auprès des Douanes algériennes.
La facture des importations des véhicules a aussi augmenté de 48,15%, passant de 157,16 milliards de DA au 1er semestre 2011 à 233,55 milliards de DA au même semestre de 2012, soit plus de 3,15 milliards de dollars au taux de change fixé par la loi de finances de 2012.
Quant à la valeur des importations des véhicules du tourisme, elle a atteint 1,68 milliard usd durant les six premiers mois 2012, précise le Centre national de l’informatique et des statistiques des Douanes (Cnis).
La quarantaine de concessionnaires présents sur le marché algérien ont importé 248.833 véhicules durant les six premiers mois 2012 contre 164.138 véhicules, en hausse de 51,6%, pour une valeur de 209,74 milliards de DA (+52,12%), contre 137,8 milliards de DA à la même période en 2011, précise la même source.
Les importations des véhicules par les particuliers ont également connu une hausse en terme de nombre et de valeur. Elles sont passées de 12.763 unités le 1er semestre 2011 à 14.954 véhicules, soit une hausse de 17,2%, note le Centre.
Le montant a également évolué en hausse passant de 19,27 milliards de DA à 23,80 milliards DA, en hausse de 23,49%, ajoute le centre des Douanes. En 2011, l’Algérie a importé 390.140 véhicules en hausse de 36,73%, pour une valeur de 354 milliards de DA également en augmentation de 30,85% par rapport à 2010.
Malgré les effets de la crise économique internationale, l’arrêt du crédit automobile et les taxes introduites depuis 2008 afin de réguler le marché de l’automobile, les importations ont repris leur tendance haussière dès 2010.
Ce rebond des ventes de véhicules neufs s’explique, selon des experts, par la hausse du pouvoir d’achat en 2011 dans le sillage de la revalorisation des salaires des travailleurs dans plusieurs secteurs, notamment la fonction publique, la santé, l’éducation, etc.
http://www.aps.dz/Hausse-de-pres-de-50-des.html | |
| | | Zoubir8 Commandant
Messages : 1597 Date d'inscription : 11/04/2012 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Actualités Economiques Mer 1 Aoû - 16:08 | |
| Il est intéressant de noter qu'il y a des innovateurs Algériens. LIRE.
Des entreprises algériennes à la Foire de l'électronique de Berlin par Zoubir MerabetLe Quotidien d'Oran 1 8 2012. Une vingtaine d'entreprises algériennes participeront à la Foire internationale de l'électronique (IFA) de Berlin, qui aura lieu du 31 août au 05 septembre 2012. A la recherche de nouveautés et de sources d'approvisionnement, de plus en plus d'entreprises algériennes sont intéressées par ce rendez-vous mondial de l'électronique grand public, selon la Chambre de commerce et d'industrie algéro-allemande (AHK). Selon AHK, les entreprises qui participent à IFA sont soit des fabricants de produits électroniques et d'électroménagers (basées notamment à l'est du pays) ou des importateurs. Le salon de Berlin est une source incontournable d'information pour Les fabricants algériens qui s'y renseignent davantage sur les nouvelles innovations et tendances des produits électroniques grands public et électroménagers, ajoute la chambre de commerce et d'industrie Algéro-Allemande qui note que parmi les visiteurs nationaux, on trouve notamment des importateurs de produits informatiques, vu que l'organisateur de IFA (Messe Berlin GmbH) a intégré ce secteur depuis les trois dernières éditions. La société Bomare Company participe pour la première fois en tant qu'exposant à ce salon mondial. Implantée à Birtouta (Alger), l'entreprise occupera quelques 18 m2 à l'IFA et se propose de faire valoir ses produits devant les plus grands fabricants de la planète. Créée en 2001, BOMARE, est spécialisée dans le domaine de la production de produits électroniques (récepteurs satellite numérique, téléviseurs LCD, LED, Ultra Slim
) et informatiques (Tablette, Notebook..) sous la marque commerciale Stream system. BOMARE Company s'est également spécialisée dans la sous-traitance industrielle (insertion automatique de tous types de cartes mères, injection plastique
).
Selon les responsables d'AHK, IFA est le seul salon qui offre un aperçu complet sur le marché international et attire l'intérêt de milliers de visiteurs venant des quatre coins du monde. Il constitue, par ailleurs, une plate-forme pour les décideurs, fabricants, importateurs et acheteurs des branches électroniques et électroménagers grand public. Lors de la précédente édition, 3,7 milliards d'euros de transactions ont été réalisées par les différentes firmes qui ont exposé leurs produits technologiques pour environ 240.000 visiteurs professionnels venus de 103 pays. Double intérêt pour une participation algérienne (...) En participant à ce salon mondial, l'intérêt des entreprises Algériennes est double. En plus de s'imprégner des dernières nouveautés technologiques, les firmes Algériennes ont accès directement aux concepteurs, les inventeurs et les différentes compagnies qui ont pignon sur rue. Les contacts, une fois établis, pourraient déboucher sur la conclusion de futurs partenariats, selon AHK. La chambre de commerce note que le salon pourrait être une opportunité importante pour les entreprises Algériennes, activant dans le secteur des TIC. Elles pourraient notamment nouer des contacts dans la perspective de développer de futurs partenariats avec des compagnies étrangères, le marché Algérien des technologies de l'information et de la communication restant encore à conquérir. Site: le quotidien d'Oran. | |
| | | Zoubir8 Commandant
Messages : 1597 Date d'inscription : 11/04/2012 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Actualités Economiques Mer 1 Aoû - 17:05 | |
| Des mesures intéressantes afin d'aider la production de céréales:Algérie Presse Service Mardi, 31 Juillet 2012 |
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| Algérie - L’Office des céréales a investi 10 milliards de DA dans la mécanisation (DG) |
L’Office algérien interprofessionnel des céréales a investi 10 milliards de DA pour la création d’une section de motoculture en vue de répondre à la forte demande des agriculteurs, a indiqué son directeur général, Nourredine Kehal. Selon lui, 70% des exploitations du secteur privé ou celles relevant du domaine privé de l’Etat ont moins de 50 hectares alors que pour rentabiliser une moissonneuse batteuse qui coûte un 1 million DA, il vous faut 400 ha, 100 ha pour un tracteur et 200 ha pour un semoir. « L’OAIC a investi durant les trois dernières années 10 milliards de DA pour l’acquisition de 1.250 moissonneuses batteuses, de 350 tracteurs et plus de 1.000 semoirs », a détaillé M. Kehal à l’APS. Cet investissement répond à un besoin énorme émanant des agriculteurs qui ne peuvent pas acheter ces machines du fait de la taille de leurs exploitations ne leur permettant pas de rentabiliser leur investissement dans la mécanisation. « 70% des exploitations du secteur privé ou celles relevant du domaine privé de l’Etat ont moins de 50 hectares (ha), alors que pour rentabiliser une moissonneuse batteuse qui coûte un (1) million DA, il vous faut 400 ha, 100 ha pour un tracteur et 200 ha pour un semoir », a détaillé le même responsable. L’absence d’un environnement prestataire de services a engendré des exploitations sous-équipées et des rendements les plus faibles du bassin méditerranéen. « Or, la mécanisation et la semence garantissent à elles seules 70% des résultats de production », souligne le même responsable. Pour répondre à cette problématique, l’office a décidé en 2010 de créer une section motoculture au niveau de chaque coopérative de céréales et de légumes secs (CCLS) pour assurer des prestations de services aux agriculteurs. « Depuis que l’Etat a pris conscience de cette contrainte, le ministère de l’Agriculture a décidé de créer une section motoculture au niveau de l’office qui dispose de moyens financiers nécessaires », a souligné M. Kehal. Les pouvoirs publics ont mis le paquet pour soutenir l’acquisition d’équipements agricoles à titre individuel ou privé, à travers notamment la création de petites et moyennes entreprises de prestation de services par le biais des dispositifs de soutien à l’emploi de jeunes et l’achat en commun par un groupe d’agriculteurs. A titre d’exemple la moissonneuse batteuse est soutenue à 70% de son prix, le reste étant assuré par un crédit bancaire bonifié sur une période de 5 ans. Les autres équipements dont ceux de l’irrigation sont subventionnés en fonction de leur intérêt. « C’est un mal nécessaire. L’Etat encourage les agriculteurs à équiper leurs exploitations pour améliorer les rendements et par ricochet, réduire sa facture alimentaire », explique M. Kehal. D’après ce responsable, l’impact de la mécanisation et l’amélioration de l’itinéraire technique se fait déjà sentir au niveau du rendement moyen national, qui est passé de 8 quintaux/ha dans les années 1980 à 18 qx/ha actuellement, soit une évolution d’un quintal tous les deux ans. L’autre condition garantissant les rendements est l’irrigation d’appoint, une technique économique en eau, que l’OAIC est en train d’encourager. L’Office a étudié avec la Banque de l’agriculture et du développement rural (BADR) et l’entreprise nationale de tubes et transformation de produits plats (Anabib) deux formules d’acquisition du matériel d’irrigation au profit des agriculteurs. Pour la première option, l’OAIC achètera des équipements d’irrigation, par crédit fédératif à taux bonifié, pour les céder aux agriculteurs en leasing.L’agriculteur paiera ses équipements par une partie de sa production livrée à la CCLS, a expliqué M. Kehal soulignant que l’office va signer une convention avec Anabib dès la prochaine campagne céréalière. Concernant la deuxième formule, l’OAIC se porte garant auprès d’Anabib dans le remboursement de l’équipement acheté par l’agriculteur directement de l’usine. Selon un échéancier établi à l’avance entre l’acquéreur et l’entreprise, l’office prélèvera le coût de l’équipement sur la production céréalière livrée par le producteur. L’OAIC table ainsi sur une superficie céréalière de 500.000 ha à équiper en système d’irrigation d’appoint à court terme contre 95.000 ha actuellement sur 3,3 millions d’ha réservés pour la production céréalière. En introduisant ces techniques, le secteur compte porter la superficie agricole irriguée de 1,1 million d’ha actuellement à 1,6 million d’ha à l’horizon 2014. | |
| | | berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
| Sujet: Re: Actualités Economiques Sam 4 Aoû - 14:34 | |
| samedi, 04 août 2012 12:28 Accusé de fraudes, Sanofi veut soigner son image en Algérie - Citation :
- IRIB-Après sa condamnation pour surfacturations de médicaments,...
... le groupe a lancé une vaste campagne de publicité dans les médias publics pour vanter ses médicaments. Sur le même sujetSanofi cherche à améliorer son image en Algérie, après sa condamnation pour surfacturations de médicaments. Le groupe pharmaceutique français a lancé il y a quelques jours une vaste campagne de publicité dans les médias publics pour vanter ses médicaments, ses vaccins et son apport à l’économie et à l’emploi en Algérie. La publicité passe en boucle dans les radios et la télévision publique. Sanofi a même programmé un voyage de presse pour les journalistes locaux pour une visite guidée de son usine basée à Francfort en Allemagne. Le voyage est prévu fin septembre. L’Algérie qui a importé pour trois milliards de dollars de médicaments en 2011 est un marché important pour Sanofi qui y détient 12% de parts avec un chiffre d’affaires de 210 millions d’euros en 2011. Premier groupe privé sur le marché algérien du médicament, Sanofi a annoncé un investissement de 80 millions d’euros dans une nouvelle usine de médicaments à Sidi Abdellah à l’ouest d’Alger. . 20 millions d'amende Le géant français du médicament veut donc soigner son image en Algérie, après les accusations de fraude portées contre lui par les Douanes locales. Le 24 juin dernier, Sanofi Algérie avait été condamné en appel par la Cour d’Alger a une amende de 20 millions d’euros et son directeur général Thierry Lefebvre à une année de prison avec sursis. Le même jour, le groupe pharmaceutique annonçait l’introduction un pourvoi en cassation pour que « toute la lumière soit faite sur ce dossier pour lequel nous estimons avoir toujours travaillé dans le respect le plus strict des lois algériennes ». Depuis plusieurs mois, le ministre de la Santé Djamel Ould Abbès accuse les laboratoires étrangers et algériens, dont Sanofi Algérie, de surfacturer les médicaments et les matières premières importées. Des accusations qui ont terni l’image du géant français, le premier des laboratoires incriminés à être condamné par la justice algérienne pour surfacturations. Dans un contexte local marqué par le durcissement des conditions de transfert de devises vers l’étranger et la baisse du prix du pétrole dont les exportations représentent 98% de recettes en devises du pays. La surfacturation des matières première des médicaments a été estimée, en 2012, à 153 millions de dollars contre 94 millions de dollars en 2011, selon M. Ould Abbès. Tribun.fr
http://french.irib.ir/info/economie/item/204364-accus%C3%A9-de-fraudes,-sanofi-veut-soigner-son-image-en-alg%C3%A9rie | |
| | | berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
| Sujet: Re: Actualités Economiques Sam 4 Aoû - 15:40 | |
| samedi, 04 août 2012 09:36 Algérie : Quand Sonatrach importe du carburant !? - Citation :
- IRIB-Le PDG de Sonatrach, Abdelhamid Zerguine , prévoit d’importer...
... 2,5 millions de tonnes de carburant dont deux millions de tonnes de gasoil en 2012 . La valeur de l’importation du gasoil n’est pas très importante, a expliqué à l’APS un responsable de Sonatrach .Pour une tonne de gasoil importée, Sonatrach exporte l’équivalent de 3 tonnes de pétrole de brut, ce qui fait que la différence à payer par Sonatrach est trois fois et qui n’est pas très importante, selon ce responsable. Le groupe Sonatrach prévoit d’importer 2,5 millions de tonnes de carburant dont deux millions de tonnes de gasoil en 2012, a indiqué son PDG, Abdelhamid Zerguine. Le PDG, de Sonatrach a précisé que les importations algériennes de carburant ont progressé de 77 % en 2011 à 2,3 millions de tonnes contre 1,3 million de tonnes en 2010 et passera à 2 millions de tonnes en 2012, ce qui équivaut à une augmentation de 700 000 tonnes. Pour une tonne de gasoil importée, Sonatrach exporte l’équivalent de 3 tonnes de pétrole de brut, ce qui fait que la différence à payer par Sonatrach est très importante. L'Algérie est revenue aux années post indépendance. Le pays ne disposait pas de raffineries pour satisfaire le marché en essence, gaz oil et kérosène entre autres. Pour répondre aux besoins internes, Sonatrach vendait le brut et achetait les fractions légères des colonnes de rectification (on perdait dans le change). Boumédiène a accéléré la conception de plusieurs raffineries, le Méthanol, l'ammoniac etc, ainsi que la formation de cadres (Techniciens supérieurs et Ingénieurs) en prospection (géologie, géophysique), l'extraction (production et forage), raffinage, pétrochimie etc. Le gaz livré à l'Italie via la Tunisie est transporté tel quel par gazoduc sans traitement préalable (Élimination : Poussières, CO2, H2O) par contre celui livré par méthaniers est liquéfié (gaz en liquide réduction du volume de 500 fois) avec un traitement au préalable pour éliminer les éléments cités ci-haut, Pour ce faire et comme l'Algérie ne disposait que de l'usine La Camel que Cheb Khaled a repris dans une de ses chansons il fallait construire deux nouvelles unités toujours à Arzew. L’ex- ministre de l’énergie , Ghozali , a signé un contrat avec la Société Américaine El Paso. Ce contrat stipule qu’après la livraison de ces deux usines dotées d'une nouvelle technologie par rapport à la Camel, l'Algérie devrait s'engager à livrer le GNL gratuitement à El Paso durant 40 ans. La Société avait ramené avec elle des travailleurs Phillipins pour accélérer la besogne. Quant le successeur de Ghozali, M.Sadek Boussena , nommé , ministre des Mines et de l’Industrie en 1990 a voulu revoir les modalité du contrat et surtout les 40 ans de gratuité c'est la où les problèmes ont commencé. Accusant un niet catégorique, les Américains ont plié bagages et laissé les lieux tels quels à savoir GNL 1 opérationnel par contre GNL 2 pas encore conçu. Les travailleurs Phillipins ont été gardés par Sonatrach dans le cadre des échanges Sud - Sud. Il a fallu plus d'une décade pour qu'une société Japonaise finisse GNL 2. L'affaire a traîné durant des années devant la justice internationale et on n’a jamais su la fin de l'histoire. Source : Reflexiondz
[b]"C'est la queux qui fait bouger le chiens " berhoum
http://french.irib.ir/analyses/commentaires/item/204326-les-c%C3%A9r%C3%A9ales,-une-arme-de-destruction-massive-,-par-zouhir-mebarki | |
| | | boussouf Admin
Messages : 2099 Date d'inscription : 20/11/2011
| Sujet: Re: Actualités Economiques Sam 4 Aoû - 19:28 | |
| Effectivement, l'Algérie accuse un grand retard en matière de raffinage. Importer pour 2 Milliards de dollars de gasoil et d'essence pour un pays qui exporte plus d'un million de barils de pétrole/jour paraît surréaliste. Le fait que la différence financière ne soit pas si importante n'a pas encouragé la Sonatrach à investir dans ce créneau. Espérons que la croissance de la demande et le souci de la création d'emplois vont pousser à accélérer les projets de création de quatre nouvelles raffineries. - Citation :
-
Sonatrach prévoit d’importer 2 millions de tonnes de gasoil pour 2012
ALGER- Le groupe Sonatrach prévoit d’importer 2 millions de tonnes de gasoil en 2012 pour faire face à l’importante demande nationale de ce carburant, a indiqué à l’APS le PDG de Sonatrach, M. Abdelhamid Zerguine.
Les quantités de carburants qui seront importées en 2012 atteindront 2 millions de tonnes pour le gasoil et 500.000 tonnes pour l’essence, a précisé M. Zerguine à l’issue d’une visite dans la wilaya de Skikda.
Les importations de carburants ont explosé ces dernières années, enregistrant des hausses fulgurantes. Elles ont progressé de 77% en 2011 à 2,3 millions de tonnes contre 1,3 million de tonne en 2010. Les importations du gasoil, carburant très prisé pour son prix bas et pour ses utilisations dans l’industrie et l’agriculture, passera ainsi de 1,3 million de tonnes en 2011 à 2 millions de tonnes en 2012, ce qui équivaut à une augmentation de 700.000 tonnes.
La valeur de l’importation du gasoil n’est pas très importante puisque Sonatrach exporte du brut en échange de ce carburant, explique un responsable de Sonatrach.
Pour une tonne de gasoil importée, Sonatrach exporte l’équivalent de 3 tonnes de pétrole de brut, ce qui fait que la différence à payer par Sonatrach n’est pas très importante, selon lui.
Les importations de gasoil et d’essence en 2011 ont représenté une valeur de 2 milliards de dollars, selon les chiffres déjà fournis par le groupe.
Pour répondre à la demande sans cesse croissante en produits pétroliers, l’Algérie a lancé un vaste programme de réhabilitation de ses trois raffineries (Arzew, Skikda et Alger) avec l’ambition de construire également quatre nouvelles d’une capacité de 20 millions de tonnes/an, a précisé M. Zerguine lors de sa visite d’inspection à la raffinerie de Skikda, la plus grande du pays avec 15 millions de tonnes de brut raffiné/an.
L’Algérie compte élever ses capacités de raffinage de 22 millions de tonnes, actuellement à 42 millions de tonnes, dans cinq ans et à 52 millions de tonnes à long terme, selon lui.
L’avancement des travaux de la réhabilitation de la raffinerie de Skikda par le sud coréen Samsung Engineering pour un montant de 2 milliards de dollars est de 87% à ce jour.
La modernisation de cette usine devrait augmenter ses capacités de raffinage de brut de 10% pour passer de 15 à 16,5 millions de tonnes par an et préserver son outil de production pour les trente prochaines années, selon Mme Zoubida Benmofek, directrice division raffinage au groupe Sonatrach.
Selon la même direction, le programme de réhabilitation des raffineries va permettre de porter la capacité de traitement de Sonatrach à 25 millions de tonnes de pétrole brut et 5 millions de tonnes de condensat, soit globalement près de 30 millions de tonnes/an.
La production de gasoil sera assurée avec une quantité supplémentaire de plus de 3 millions de tonnes/an qui va rehausser la production globale du groupe à 10 millions de tonnes.
Pour les essences, la production passera à plus de 4 millions de tonnes et l’essence sans plomb sera produite à partir des trois raffineries. Actuellement seule la raffinerie de Skikda est en train de le faire.
http://www.aps.dz/Sonatrach-prevoit-d-importer-2.html | |
| | | boussouf Admin
Messages : 2099 Date d'inscription : 20/11/2011
| Sujet: Re: Actualités Economiques Dim 5 Aoû - 14:25 | |
| C'est bien d'apprendre que les entreprises publiques du secteur des fabrications électriques vont bénéficier d'un programme de développement. Mais au regard des chiffres, l'équivalent de 100 millions d'Euros d'investissements sur la période 2012-2016, cela reste INSUFFISANT. Pourtant, le pays a des réserves financières suffisantes et l'investissement permet de diminuer les importations et de créer de la valeur ajoutée et des emplois - Citation :
-
Equipements électriques : Les entreprises publiques misent sur de nouveaux produits pour développer la filière
ALGER- De nouvelles activités comme la fabrication de transformateurs de grande puissance et de batteries solaires pour les panneaux photovoltaïques, aujourd’hui importés, seront lancées par les entreprises de la SGP-Cableries et équipements électriques (Cabeleq), a indiqué dimanche une responsable du secteur.
Le plan de développement quinquennal (2012-2016) de la SGP-Cabeleq, doté de plus de 11 milliards de DA, prévoit notamment la fabrication de transformateurs et de moteurs électriques de grande puissance, de batteries de véhicules utilitaires et industriels et de batteries solaires pour les panneaux photovoltaïques, a confié à l’APS, la présidente du directoire de cette SGP, Mme Aziza Boukaoula. Ainsi, il est prévu la production de transformateurs électriques de grande puissance, supérieurs à 2.000 KV, jusque-là importés, a-t-elle ajouté. Ce programme, validé par le Conseil des participations de l’Etat (CPE) en mars dernier, porte également sur la fabrication par la même filiale de moteurs électriques de grande puissance. Ces moteurs seront destinés d’abord pour les besoins des sociétés nationales notamment les briqueteries, les semouleries et les cimenteries et par la suite à l’exportation.
La SGP-Cabeleq ambitionne, entre autres, de porter de 30% à plus de 60% d’ici à 2016, la part de marché de sa filiale Enpec (Entreprise nationale de l’électrochimie), spécialisée notamment dans la fabrication de batteries de véhicules utilitaires et industriels. De même, la production de batteries solaires pour les panneaux photovoltaïques sera le nouveau créneau de cette filiale pour satisfaire notamment les besoins de Sonelgaz.
Pour répondre aux besoins croissants de l’Enpec, il est prévu également d’augmenter de 7.000 à 15.000 tonnes les capacités d’affinage de plomb, un métal très utilisé dans la fabrication de batteries. Le programme quinquennal d’investissement de la SGP-Cabeleq porte également sur le montage de groupes électrogènes au niveau de sa filiale Reelec, spécialisée dans l’installation et la maintenance d’équipements électriques.
Cabeleq dont les principaux clients sont Sonatrach, Sonelgaz, et Algérie Telecom ambitionne de porter son chiffre d’affaires de plus de 8 milliards de DA à 19 milliards de DA en 2016.
http://www.aps.dz/Equipements-electriques-Les.html | |
| | | Zoubir8 Commandant
Messages : 1597 Date d'inscription : 11/04/2012 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Actualités Economiques Dim 5 Aoû - 14:41 | |
| - boussouf a écrit:
- (...)
Cabeleq dont les principaux clients sont Sonatrach, Sonelgaz, et Algérie Telecom ambitionne de porter son chiffre d’affaires de plus de 8 milliards de DA à 19 milliards de DA en 2016.
http://www.aps.dz/Equipements-electriques-Les.html[/quote] Merci pour cette nouvelle récofortante. L'Etat devrait lancer la filière du petit solaire en important des panneaux solaires. Les prix ont baissé. On peut penser qu'il y aurait un effet d'entrainement, les uns voyant des panneaux sur le toit de leurs voisins. En plus cela créerait des emplois d'installateurs. Désertec c'est bien, mais le petit solaire, le petit éolien, la récupération des eaux de pluies sont des secteurs à ne pas négliger. Que font nos ingénieurs de l'Ecole Polytechnique d'El Harrach? | |
| | | berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
| Sujet: Re: Actualités Economiques Dim 5 Aoû - 15:36 | |
| dimanche, 05 août 2012 10:57 L'Algérie, dans tous ses états, par Mohamed Touati - Citation :
- C'est juste un peu avant le début du mois sacré que les nouvelles, ..
...qui n'étaient, déjà, guère rassurantes, ont fini par mettre sens dessus dessous l'économie nationale. Le bilan consiste en un simple calcul d'épicier et de laconiques communiqués qui laissent entendre que tout ne va pas aussi mal. «La tendance générale du commerce extérieur de l'Algérie s'est caractérisée, au 1er semestre 2012, par une augmentation des exportations de 5,6% et une baisse de 5,2% des importations, ce qui s'est traduit par un excédent de la balance commerciale de près de 15,8 milliards de dollars (mds usd)», révèlent les chiffres livrés par le Centre national de l'informatique et des statistiques des Douanes (Cnis). On ne peut pour autant occulter les défis que doit relever le pays, pour atteindre l'autosuffisance alimentaire, l'autonomie, en matière de produits pharmaceutiques, et, surtout, sortir de la dépendance, par rapport aux exportations en hydrocarbures. Que la rente pétrolière ne soit plus un enjeu politique et que les 200 milliards de dollars de réserves de change ne servent pas, uniquement, de vitrine. C'est juste un peu avant le début du mois sacré que les nouvelles, qui n'étaient, déjà, guère rassurantes, ont fini par mettre sens dessus dessous l'économie nationale et dévoilé une gestion des affaires tatillonne, qui peut justifier le report de la formation du nouveau gouvernement.
L'Algérie a de l'argent certes, mais le quotidien de sa population est loin d'être reluisant. Un paradoxe à première vue qui n'en est plus un si l'on gratte un peu. L'équation est simple. On est dans un pays où l'on importe tout et beaucoup grâce à des prix du pétrole élevés et pour se prémunir contre une mauvaise surprise il faut essayer de faire des économies. Par conséquent, le quotidien des Algériens demeure un excellent baromètre pour juger de la bonne santé du pays. Le mois du Ramadhan représente la période idéale pour faire l'évaluation de ce qui peut s'apparenter à un bilan de santé. Une sorte de stéthoscope qui servirait d'instrument d'expertise pour nous renseigner sur l'état d'esprit des Algériens et la manière dont sont conduites les affaires de la cité par ceux à qui elles ont été confiées. Maires, directeurs centraux, ministres... sont concernés au premier chef et doivent en principe répondre de leurs actes et prises de décision.
Au risque de nous répéter et de donner l'impression que nous nous livrons à un quelconque acharnement, la flambée des prix des produits de consommation de base, celle des fruits et légumes et des viandes, demeurent incontournables pour démontrer qu'il y a quelque chose qui ne tourne plus rond au niveau de la régulation des marchés et des prix de l'hygiène et du contrôle de produits alimentaires. Leur hausse exagérée et organisée se répercute de façon dangereuse sur la santé des Algériens qui ne parviennent plus à avoir une hygiène de vie correcte et une alimentation équilibrée indispensable à leur bien-être. A partir de ce constat, il est inutile de faire la démonstration de ce que peut être une vie au jour le jour, qui ne laisse pratiquement aucune place aux loisirs ou à une culture qui, elle aussi est partie à vau-l'eau depuis belle lurette. Des sommes faramineuses sont englouties par ce secteur folklorisé à outrance, livré à des transactions mercantiles. Pendant ce temps, la facture des importations de médicaments explose sans régler le problème de leur distribution, au niveau des hôpitaux ou des officines. Les malades chroniques dénoncent l'indisponibilité de ceux qui leur sont nécessaires, alors que le ministre de la Santé ne veut pas entendre parler de pénurie. Un exemple type qui renvoie l'image d'une Algérie dans tous ses états. En ce qui concerne la flambée des prix, il faut reconnaître que la question semble tranchée. Il existe une mafia contre laquelle les pouvoirs publics ne peuvent rien ou bien ne veulent rien entreprendre d'efficace pour la mettre au pas. Le ministre du Commerce, qui a redoublé de déclarations indiquant que la hausse des prix serait contenue pendant le mois sacré, a failli à ses promesses sans s'avouer ouvertement vaincu par des spéculateurs qui, vraisemblablement, ont la peau très dure. L'avenir ne s'annonce pas sous les meilleurs auspices. Il est à craindre une augmentation des prix des produits alimentaires avant la fin de l'année 2012. Comment va l'Algérie dans ce type de contexte morose et saturé d'incertitudes? Pas aussi bien qu'elle aurait dû l'être. Le véritable coup de semonce a été donné suite à la dégringolade des prix du pétrole. S'ensuivirent des mises en garde du FMI, du ministre de l'Energie et des Mines et de la Banque d'Algérie. «Désormais, l'équilibre budgétaire requiert des niveaux de prix des hydrocarbures supérieurs à 112 dollars le baril...», avait indiqué, le 1er juillet, Djamel Benbelkacem, directeur conseiller à la Banque d'Algérie. L'Algérie a trop dépensé. Elle importe massivement sans produire. Le temps est venu de se serrer la ceinture, mais surtout de se poser des questions sur la manière dont doivent être conduites les affaires du pays.
http://french.irib.ir/analyses/commentaires/item/204552-l-alg%C3%A9rie-dans-tous-ses-%C3%A9tats,-par-mohamed-touati | |
| | | berhoum Modérateurs
Messages : 5678 Date d'inscription : 11/06/2012 Localisation : Toile du Net
| Sujet: Re: Actualités Economiques Dim 5 Aoû - 17:19 | |
| Réserves d’or de l’Algérie : manque de transparence et cacophonie dans les déclarations officielles Par Contribution | 05/08/2012 | 14:38 - Citation :
- « L’Algérie est classée à la 22e place au niveau international pour ses réserves d’or qui sont estimées à 173,6 tonnes, soit 4,4% des réserves mondiales » titre à la une, des organes officiels en date 05 août 2012 citant l’organe mondial de l’or. Or, c’est le même contenu de l’agence officielle APS de 2009. Même chiffres, même analyse en 2009 et en août 2012 mais contredisant les données du Ministre de l’Energie d’avril 2011 reprises également par l’APS avec une différence de plus de 73 tonnes. La question qui se pose pourquoi maintenant et pourquoi ces contradictions ? Examinons cela en deux points.
1. Premier point : Rappelons que l’or a servi d’étalon monétaire exclusif avec les accords de Bretton Woods instaurant le système monétaire international en 1945 (Gold Exchange Standard) avec le dollar comme monnaie internationale défini en un certain poids d’or et les autres monnaies en dollars. En 1971, avec le Président Nixon, les États-Unis suspendirent la convertibilité du dollar vis-à-vis de l’or et en 1976 les accords de la Jamaïque démonétarisent l’or qui dès lors n’a plus de rôle monétaire officiel.
Evitons l’euphorie. L’or ne crée pas de richesses et ne sert que d’instrument de thésaurisation, les pays ayant les plus grandes réserves d’or n’étant pas forcément les plus développés. L’or coté en once (troy ounce) (1 once = 31,1034768 g) est échangé sur le marché des métaux précieux, principalement sur les places de New York, Londres, Zurich et Hong Kong, étant indéfiniment réutilisable et pratiquement indestructible, la quasi-totalité des tonnes d’or extraites depuis les débuts de l’humanité est toujours existante. La dernière enquête effectuée en 2009 l’estime à environ 161 000 tonnes.
Au total les mines produisent environ 60% de l’offre mondiale, les 40% restants proviennent du recyclage et des reventes de stocks (banques centrales). Le cours de l’once d’or a évolué ainsi : en moyenne annuelle de 300 dollars en 2001, de 400 dollars en 2004, de 600 dollars en 2005, fluctuant entre 800/1000 dollars entre 2008/2009 et entre 2011/2012 fluctuant entre 1550/1650 dollars l’once ayant durant certains mois dépassé la barre des 1700 dollars l’once. L’once d’or est cotée exactement le 02 août 2011 à 1625 dollars. A la Bourse de Paris, le lingot d’or (1 kg) était coté autour de 10 000 euros en 2004, il a avoisiné les 25 000 euros en 2009 et sa valeur fluctue entre 2011/2012 entre 36.000 et 37.000 euros le kg.
2.-Deuxième point : Selon le World Gold Council, de mai 2011, donnant des statistiques de 2009 , le premier détenteur d’or sont les USA avec 8.133,5 tonnes, le deuxième l’Allemagne avec 3407,6 tonnes, le 3ème le FMI avec 3.005,3 tonnes, le 4ème l’Italie avec 2451,8 tonnes, le 5ème la France avec 2.435,4 tonnes, le 6ème la Chine avec 1.054 tonnes, le 7ème la Suisse avec 1.040,1 tonnes, le 8ème le Japon avec 765,2 tonnes, le 9ème les Pays-Bas avec 612,5 tonnes, le 10ème la Russie avec 607,7 tonnes, le 11ème l’Inde avec 557,7 tonnes et le 12ème la BCE avec 501,4 tonnes.
Les analyses largement reprises par la presse algérienne courant 2009 commentent les statistiques du FMI de 2009, reprises à l’époque par une dépêche officielle de l’APS, où l’Algérie disposait déjà, courant 2009, de 173,6 tonnes d’or , soit 4,3% des réserves de change de l’époque. L’Algérie arrivait à la 22ème place mondiale, le premier pays en Afrique en termes de volume de réserves en or, devant la Libye (24ème) et l’Afrique du Sud (27ème). L’Algérie se classe à la 3ème place dans le monde arabe derrière l’Arabie Saoudite (16ème avec 322,9 tonnes) et le Liban (18ème avec 281,6 tonnes).
Or entre 2009/2012, il est utile de préciser qu’existe un gisement situé dans l’extrême sud du pays, à Tirek-Amesmessa (wilaya de Tamanrasset), dans le Hoggar et que la production selon les statistiques officielles avait atteint une tonne seulement pour l’année 2009, bien en recul entre 2010/2011 après le retrait du partenaire australien GMA Ressources en octobre 2011, la compagnie publique d’hydrocarbures Sonatrach ayant pris et assurant la poursuite de la production, dans l’attente d’un nouveau partenaire.
Pourquoi donne t- on le même montant en 2012 alors que le stock aurait du augmenter? Pourquoi le 11 avril 2012, le Ministre de l’énergie contredisant le rapport à la fois du FMI de 2009 et celui du conseil mondial de l’or affirme dans une déclaration officielle reprise par l’APS, je cite le Ministre : « l’Algérie dispose en 2011 de 100 tonnes d’or » . Qui dit la vérité ? Où est la transparence qui concerne d’ailleurs l’ensemble des réserves de change où l’opacité domine ? Cela renvoie à l’urgence d’une transparence dans la gestion de ceux qui sont chargés de gérer la Cité, en fait à un renouveau de la gouvernance.
Le 05 aout 2012 Professeur Abderrahmane MEBTOUL
http://www.algerie1.com/passerelle/reserves-d%E2%80%99or-de-l%E2%80%99algerie-manque-de-transparence-et-cacophonie-dans-les-declarations-officielles / | |
| | | Zoubir8 Commandant
Messages : 1597 Date d'inscription : 11/04/2012 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Actualités Economiques Lun 6 Aoû - 10:58 | |
| Un projet: - écologique, - créateur d'emploi, - économiseur de devises. Le PDG de Tonic est à féliciter. Rappelons que cette entreprise a été rachetée au privé et installe des mini stations d'épuration de l'eau sortant de ses usines afin de ne pas polluer l'environnement.
UN NOUVEAU PRODUIT DE TONIC
Le camion igloo
Par Tarik RAMZI - Mardi 06 Juin 2006 -L'Expression Le projet aura un impact sur l’emploi et l’environnement. L´entreprise sise à Bou Ismaïl, Tonic emballage a mis à profit le double événement de la tenue de la foire internationale d´Alger et de la Journée internationale de l´environnement pour présenter son nouveau produit: le camion igloo qui ramasse les déchets papiers dans les établissements scolaires et universitaires. Une convention a été signée dans ce sens par l´entreprise Tonic avec les ministères de l´Education nationale et de l´Environnement. Le projet vise plusieurs objectifs: sur le plan économique, il s´agit bien sûr de faire dans la récupération du papier pour le recycler dans les usines de Tonic. Cette dernière, qui fournit déjà plus de 40% du marché national -100% pour toute une gamme de produits- , sans compter la quantité exportée vers les pays voisins comme la Tunisie, le Maroc ou la Libye, espère augmenter sa part de marché aussi bien dans l´emballage que dans le papier tissu, avec l´entrée en production de son nouveau complexe vers le mois d´octobre 2006 ; soit à peine dans quelques mois, en créant près de 2000 emplois qui viendront s´ajouter aux 3500 postes de travail déjà existants. Toujours sur le plan économique, le projet pourra intéresser une institution comme l´Ansej, puisque les jeunes micro entreprises sont visées et pourront faire fructifier un tel concept. Depuis environ une année, il faut savoir que 5000 emplois indirects ont été créés alors même que ce chiffe pourra être porté à dix mille d´ici une année. Si les écoles et les universités sont concernées, il ne faut pas oublier que d´autres conventions de récupération sont signées avec les administrations et les collectivités locales, grandes utilisatrices de papier. De façon générale, une opération de ce genre, qui est pionnière dans son domaine fait gagner à l´A1gérie une économie qui se chiffre à plusieurs millions de dollars, puisque le marché national est en voie d´être couvert par la production de Tonic, qui vient se substituer aux importations, tout en ouvrant des perspectives d´exportation. Par conséquent, il n´y a que des gains à attendre d´une telle opération. Sur le plan éducatif maintenant, le fait de viser les établissements scolaires est en soi une très bonne chose, puisque les gosses apprendront, à l´école même, les notions de récupération et de sauvegarde de l´environnement. A l´heure où l´on parle beaucoup de la promotion du développement durable, peut-il exister une meilleure action symbolique? Si les enseignants se mettent de la partie, et c´est le but de Tonic, il serait possible d´inculquer les meilleurs principes aux jeunes générations. Sur le plan social, en faisant participer dans une même opération autant de partenaires, écoles, universités, collectivités locales, Ansej, Net.Com, administrations, le projet est un exemple de ce qui peut se faire de mieux en matière de synergie, de gain de productivité et de propreté de la ville. D´autant plus que Tonic ne se contente pas d´une opération commerciale, mais accompagne son projet par toute une gamme d´initiatives intéressantes: plantation d´arbres dans les cités, boisement des espaces verts, projections de films éducatifs. A ce stade, on ne peut pas craindre de dire que le projet de Tonic est un projet intégré et mûrement réfléchi qui pourra avoir un impact positif sur l´emploi, la protection de l´environnement et l´éducation de jeunes générations. | |
| | | DR LECTER Admin
Messages : 792 Date d'inscription : 15/05/2011
| Sujet: Re: Actualités Economiques Mer 8 Aoû - 16:43 | |
| - Citation :
- L'Algérie en passe de devenir un grand importateur de carburants
http://www.latribune.fr/actualites/economie/international/20120808trib000713384/l-algerie-en-passe-de-devenir-un-grand-importateur-de-carburants.html | |
| | | boussouf Admin
Messages : 2099 Date d'inscription : 20/11/2011
| Sujet: Re: Actualités Economiques Ven 10 Aoû - 16:04 | |
| L'équivalent de 18 Milliards d'Euros d'investissements sur cinq ans pour produire 8000 MW d'éléctricité, c'est énorme ! Si au moins, la moitié de ces investissements pouvait aller vers le secteur des énergies renouvelables - Citation :
- ) mercredi 8 août 2012
1.800 milliards de DA pour produire 8.000 mégawatts les 5 prochaines années
M’SILA - Un programme d’augmentation de la production d’électricité de 8.000 mégawatts (MW) durant les 5 prochaines années, moyennant un investissement de 1.800 milliards de dinars, a été arrêté, a indiqué, mardi à M’sila, le ministre de l’Energie et des mines, Youcef Yousfi.
Le ministre qui a présidé une séance de travail au siège de la wilaya de M’sila, consacrée à la ligne de transport d’électricité M’sila-Barika (Batna), en présence du PDG du groupe Sonelgaz et des autorités locales, a affirmé que les investissements prévus "dépassent ce qui existe actuellement sur le terrain en Algérie".
M. Yousfi a expliqué que la mise en œuvre de ce programme intervient à la suite d’un constat selon lequel les 4.000 MW projetés dans un premier temps entre 2011 et 2016 seraient insuffisants pour faire face à la hausse de la consommation, en particulier durant l’été avec la généralisation des climatiseurs domestiques.
Le ministre a rappelé que l’Etat algérien a consenti des efforts considérables pour satisfaire une demande en hausse durant les cinq dernières années, précisant que la production, qui est passée de 300 MW en 1962, et de 1.000 MW en 1980, est actuellement de 11.000 MW.
"La production à elle seule ne suffit pas si un réseau de transport fait défaut pour faire face à des situations exceptionnelles", a ajouté M. Yousfi qui a cité la demande enregistrée mardi dernier en Algérie avec un pic de 10.000 MW. http://www.aps.dz/1-800-milliards-de-DA-pour-la.html | |
| | | boussouf Admin
Messages : 2099 Date d'inscription : 20/11/2011
| Sujet: Re: Actualités Economiques Ven 10 Aoû - 16:12 | |
| Enfin une déclaration de bon sens qui rompt avec le populisme ambiant! La situation actuelle de soutien des prix d'électricité est une crime contre l'économie nationale: 1. elle encourage le gaspillage et l'irresponsabilité, 2. elle est source d'inégalités puisque le riche et le pauvre profitent du soutien de l'Etat de la même manière, le secteur productif et les secteur improductifs! 3. elle constitue un sérieux frein au développement des énergies renouvelables dans notre pays. Espérons que les décideurs auront le courage de suivre le PDG de la Sonelgaz. L'Etat peut en effet décider d'augmenter les prix et de soutenir directement les citoyens qui ont un bas revenu ainsi que les catégories économiques productives qui consomment l'électricité à des fins utiles. - Citation :
-
Selon le P-DG de Sonalgaz Le prix de l’électricité risque d’augmenter
La rationalisation efficiente de la consommation de l’électricité est subordonnée à une révision à la hausse du prix de l’électricité, a indiqué lundi le P-DG de Sonelgaz Noureddine Boutarfa.
En ces temps de canicule coïncidant avec le mois du Ramadhan, la consommation électrique a amplement augmenté. Devant son incapacité à satisfaire cette demande de plus en plus grandissante, Sonelgaz a souvent recours à des opérations de délestage.
Outre, ces coupures intempestives d’électricité, Sonelgaz n’a de cesse de lancer des invitations aux citoyens afin de rationaliser un tant soit peu la consommation. Mais, manifestement ses sollicitations restent sans écho.
A cet égard, Noureddine Boutarfa a encore une fois exprimé son souhait d’augmenter le prix de l’électricité, ultime moyen devant conduire les citoyens à une consommation plus rationnelle. Car selon lui, la rationalisation de la consommation de l’électricité ne peut se concrétiser sans une hausse des tarifs qui va mettre fin à la sur-utilisation de cette énergie. « Il n’y a pas de politique d’économie d’énergie sans politique de prix. Nous aurons un rendez vous avec les augmentations », a-t-il déclaré.
Il souligne, dans ce sens, que l’évolution fulgurante de la demande ces dernières années a mis à rude épreuve le système électrique national. D’ailleurs les taux de croissance enregistrés ont largement dépassé les prévisions du secteur de l’énergie. Cette situation est d’autant plus aggravée par un recours accru à la climatisation qui a induit des pics de consommation exceptionnels durant le mois de juin, de juillet et les premiers jours du mois d’août, signale M. Boutarfa.
Selon lui, l’Algérie aura besoin de mobiliser une puissance supplémentaire de 1.200 MW afin de pouvoir couvrir une demande exceptionnelle durant les périodes caniculaires. « Aujourd’hui, si vous me dites qu’est ce que vous pouvez faire pour 2012 je vous répondrai que je ne peux rien faire pour cette année mais pour 2016 et 2017 on peut faire beaucoup de choses", a-t-il promis.
A cet effet, Noureddine Boutarfa a estimé que l’Algérie aura besoin d’investir 18 milliards d’euros d’ici 2017 pour doubler ses capacités actuelles de production, de transport et de distribution d’électricité. http://www.leconews.com/fr/evenement/economique/strategie/le-prix-de-l-electricite-risque-d-augmenter-07-08-2012-159181_301.php
Dernière édition par boussouf le Ven 10 Aoû - 18:29, édité 1 fois | |
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