Retour de Total au Sahara Occidental avec un contrat pétrolier géant
Publié le décembre 1, 2012
WSRW :
Cela a fait sensation au Conseil de Sécurité quand le géant pétrolier français Total a signé un accord pétrolier au Sahara Occidental occupé en 2001. Trois ans plus tard, ils se sont retirés. Mais maintenant, ils sont de retour.
En juillet 2011, WSRW a publié un article montrant comment la compagnie nationale marocaine ONHYM avait creusé trois nouveaux et grands blocs pétroliers dans le sud, au large du Sahara Occidental. Aucune compagnie n’avait à l’époque signé pour les blocs, selon la carte ONHYM.
Maintenant, cependant, il est clair que la compagnie française Total a signé pour l’ensemble du lot, par le biais d’un contrat monstre de prospection pétrolière. La nouvelle carte publiée sur les pages Web ONHYM montre que les 3 blocs de l’année dernière ont été réunis en un seul bloc massif, couvrant une étonnante surface de 100,926,70 km ² . Le nom du nouveau bloc est Anzarane Offshore, et est représenté par la zone rose sur l’image ci-dessus.
Aucune date de publication ou de production n’apparaît sur la carte elle-même [télécharger ici], mais les propriétés du fichier PDF montrent qu’il est daté du le 8 mars 2012. Un aperçu publié sur les pages Web ONHYM le 27 février 2012 montre que l’accord a déjà été signé, un autre affirme que la signature est déjà faite en 2011. Le nom du bloc – et la participation de Total sur celui-ci – apparaît également dans un fichier [télécharger ici] publié par Longreach Oil and Gas le 19 mars 2012. Le rapport Longreach mentionne qu’un bloc Total offshore a été signé « récemment ». Ce n’est que maintenant cependant que la localisation exacte du bloc Anzarane est claire. WSRW ne sait pas quand en 2012 la nouvelle carte a été téléchargé sur les pages Web de l’ONHYM. Une source donne les parts de Total dans Anzarane à 75%.
Total s’était retiré de son accord de reconnaissance initiale en 2004, citant le manque de potentiel de la région. Il a, cependant, de temps en temps circulé des rumeurs qu’ils voulaient revenir. Maintenant, ils sont de retour dans la région même où ils étaient, même si la zone est aujourd’hui encore plus importante que dans la période 2001-2004.
« Le retour de Total au Sahara Occidental occupé est une triste nouvelle pour le peuple sahraoui. En faisant cela, Total compromet directement les efforts de paix de l’ONU et sabote le droit international. Nous lançons un appel à la société pour reconsidérer immédiatement son implication », a déclaré Erik Hagen, président de Western Sahara Resource Watch.
M. Hagen a déclaré que WSRW enverra dès que possible une demande directe à Total sur l’exactitude des informations publiées sur les pages Web de la compagnie pétrolière nationale marocaine. Aucune information sur le bloc Anzarane ne se trouve sur les propres pages web de Total.
Lorsque Total – alors TotalFinaElf – a signé une licence pour la même superficie en 2001, le Conseil de sécurité a demandé à son Bureau juridique de produire une opinion sur la légalité de l’accord de l’entreprise avec le Maroc. Le Bureau juridique a conclu qu’il serait en violation du droit international si l’exploration et l’exploitation se poursuivaient au mépris des souhaits et intérêts du peuple du territoire.
Rebell banni
Messages : 7649 Date d'inscription : 21/09/2012
Sujet: Re: Sahara Occidental Sam 1 Déc - 20:57
l'onu ne fera rien faut arête de réfléchir ainsi seul la voie des arme peut libéré le Sahara et comem la crise bat sont plein il faut frappé fort la ou sa fait mâle sa fait 20 ans que l'onus a promis qu’il aura un referendum si il aura un seccé le feu comme des naïve les Saharoui et l’Algérie on accepté ce qui a permis au Maroc de crée et renforcer sont mure et d'occuper le territoire de mettre tout en œuvre pour élevé les enfant palestinien eceque le Sahara soi marocain et il a fait des contrat avec d'autre pays européen pour les richesse quel naïf on et il faut reprendre les arme et cette foi il aura pas de seccé le feu jusque ce qu’il aura un referendum même si la crise frappera encore les occidentaux et le Maroc et que l'onus gueule de l'autre coté a un seccé le feu il assumera les conséquence de sont mensonge seul les arme peuvent régler tout sa
Rebell banni
Messages : 7649 Date d'inscription : 21/09/2012
Sujet: Re: Sahara Occidental Dim 2 Déc - 23:49
Briefing de l’Envoyé Spécial de l’ONU au Conseil de Sécurité pour le Sahara Occidental Briefing au Conseil de Sécurité Envoyé Spécial du SG de l’ONU pour le Sahara Occidental 28 Nov 2012 M. le président, respectables membres du Conseil, C’est avec tout mon sens habituel de l’honneur et plaisir que je me joins à l’information sur l’évolution de la recherche d’une solution politique mutuellement acceptable qui permette l’autodétermination du peuple du Sahara occidental, depuis l’adoption de la dernière résolution du Conseil (Avril 24 mai 2012). Après une période de réflexion, je me suis embarqué pour un voyage longtemps différé en l’Afrique du Nord, du 25 Octobre au 11 Novembre et, sur le chemin du retour, j’ai tenu des consultations à Madrid et à Paris du 12 au 15 Novembre. J’avais trois objectifs dans la région: premièrement, évaluer les cinq dernières années de négociations et d’efforts et identifier les raisons de l’impasse, deuxièmement, anticiper la manière dont le processus pourrait être modifié afin d’améliorer les perspectives de progrès et, troisièmement, d’évaluer l’impact des événements dans le Sahel sur le dossier du Sahara occidental. Au-delà de ces objectifs, j’ai introduit deux innovations: d’abord, j’ai rencontré des dirigeants politiques et des représentants de la société civile en plus des rencontres avec les responsables, d’autre part, j’ai fait ma première visite au Sahara occidental lui-même. Les gouvernements du Maroc, l’Algérie, la Mauritanie et la France, ainsi que le Front Polisario et la MINURSO, ont pleinement coopéré, et je les en remercie. Des remerciements particuliers sont dus au gouvernement de l’Espagne, qui a généreusement fourni un avion pour faciliter mon voyage. Sans entrer dans une description détaillée de chaque étape, laissez-moi vous présenter mes conclusions générales et mes impressions. Tout d’abord, partout, les plus hautes autorités ont confirmé leur engagement à travailler avec les Nations Unies pour rechercher une solution politique au statut définitif du Sahara occidental, et dans le même temps, réaffirmant leur attachement à leurs propres propositions. Au Maroc, le Roi Mohammed VI a réaffirmé la volonté de son pays de continuer à travailler avec moi dans le cadre de sa proposition d’autonomie sous souveraineté marocaine. À Tindouf, le Secrétaire général du Polisario, Abdelaziz a réitéré la volonté du Front Polisario à intensifier son engagement dans l’espoir que la solution inclurait un référendum d’autodétermination transparent. En Algérie, le président Bouteflika a de nouveau affirmé que, alors que l’Algérie n’est pas et ne sera jamais une partie au conflit, elle est toujours disposée à accompagner les parties dans leur recherche d’une solution. Cela dit, a-t-il ajouté, tout règlement qui n’inclut pas un véritable référendum n’est pas une solution du tout. En Mauritanie, le Premier ministre Laghdaf a réaffirmé la volonté de son pays d’être utile, sur la base de la«neutralité positive». Deuxièmement, en regardant en arrière sur les raisons de l’impasse qui perdure, il était évident que, comme la frustration des parties a grandi, chacun a attribué l’échec d’une progression non seulement au refus de l’autre partie à négocier sur la base de sa proposition, mais plus ostensiblement à l’absence d’action décisive de la communauté internationale, le Conseil, le Secrétaire général et son envoyé personnel. Les parties n’acceptent pas que la responsabilité principale de faire des progrès tombent sur les parties mêmes bien que les autres peuvent fournir des encouragements et des idées. J’ai insisté sur ce point à plusieurs reprises dans mes contacts avec les partis politiques et les représentants de la société civile, ainsi qu’avec les responsables, soulignant que, puisque l’ONU traite le conflit sous le Chapitre VI de la Charte, et en l’absence d’un consensus international, personne ne peut imposer quoi que ce soit aux parties et que c’est à elles d’abord et avant tout de trouver un moyen d’avancer dans le cadre prévu par la médiation de l’ONU. Néanmoins, encore et encore, à chaque escale, on m’a dit que l’ONU devrait prendre telle ou telle action – toujours dans le sens d’amener une partie à accepter la proposition de l’autre. Dans mon rôle en tant que médiateur, je ne peux pas être un avocat pour une proposition spécifique. Je plaide pour le processus de négociation. Troisièmement, en pensant à la meilleure façon de procéder, les hauts responsables ont approuvé mon jugement sur l’inutilité de convoquer d’autres rencontres entre les parties dans un avenir proche en l’absence d’un changement dans l’équation. Après quatre rounds de négociations officielles et neuf rounds de pourparlers informels, organiser une autre rencontre mettrait en évidence l’impasse, affaiblissant davantage la crédibilité du processus. Pour la préparation d’autres réunions, formelles ou informelles, j’ai proposé d’entamer d’avantage de consultations avec les acteurs internationaux clés suivies d’une période de navette diplomatique discrète avec les parties et les pays voisins. Mes interlocuteurs ont accepté cette approche, mais certains ont jugé que des réunions périodiques restent importantes pour garder le contact, en minimisant l’erreur de calcul, et en donnanr une preuve visible de la poursuite du processus. Quatrièmement, en examinant l’impact de la montée des tensions dans le Sahel et les dangers que cela représente pour toutes les parties, j’ai constaté que, tandis que tous conviennent que ces facteurs plaident en faveur d’une solution rapide au conflit du Sahara occidental, personne ne semble prêt à faire le premier pas. Au lieu de cela, j’ai trouvé que la réaction commune à des événements dans le Sahel a permis de renforcer les défenses locales contre tout débordement possible. Sur un autre aspect de la question, il m’a été confirmé que, en l’absence d’un règlement, les personnes de tous les coins de la région ont été incités à se joindre à l’une ou l’autre des groupes dans le nord du Mali. Au Maroc, les médias ont continué à parler d’un lien entre le Polisario et ces groupes, mais les hauts responsables à Rabat et à Nouakchott ont été clairs en disant qu’il n’y avait aucun lien existant. Cinquièmement, ma visite au Sahara occidental mérite une mention spéciale. Comme promis, le Maroc, en tant que puissance d’administration « de facto », a fourni toutes les facilitations et je réaliserai des visites supplémentaires en temps voulu. J’ai eu des réunions avec un large éventail de Sahraouis pro-indépendantistes et pro-autonomistes, ainsi qu’avec les autorités locales. Il y avait clairement une soif à parler avec moi, car la liste de ceux que je n’ai pas eu le temps de rencontrer a largement dépassé la liste de ceux que j’ai rencontrés. Tout le monde parlait avec une sincérité évidente, mais il ne devrait pas étonner que j’étais incapable de déterminer où se penche la balance des opinions. Tout ce que je peux dire avec certitude, c’est qu’il ya des porte-paroles avec un langage articulé des deux côtés de l’échiquier politique. Les Sahraouis pro-autonomie ont souligné le développement de Laayoune et d’autres localités sous administration marocaine, ainsi que les nombreux autres avantages qu’ils voient dans cette administration. Les Sahraouis pro-indépendantistes ont mis en évidence ce qu’ils ont décrit comme des relations tendues entre la population autochtone sahraouie et les résidents du Maroc, les violations des droits de l’homme qu’ils voient dans la répression policière et dans les conditions d’arrestation, de détention, les procès et l’incarcération, l’exploitation illégale des ressources naturelles, et l’absence d’emplois. Les manifestations indépendantistes et les réponses de la police qui en découlent se sont en effet produites à quelque distance de moi pendant et après ma visite. À cet égard, j’ai été frappé par le fait que presque aucune des forces de sécurité à Laayoune et sans doute ailleurs dans le Sahara occidental est d’origine Sahraouie, mais plutôt du Maroc proprement dit, et j’ai fait usage de mes rencontres avec les responsables marocains lors d’une seconde visite à Rabat pour plaider en faveur d’une modification de l’équilibre et une meilleure formation dans la gestion des manifestations. En sixième lieu, au cours de ma visite dans les camps de réfugiés, j’ai eu l’occasion de rencontrer des membres des organisations des femmes, des étudiants et de la jeunesse du Polisario. Les personnes présentes ont souligné la frustration que la direction du Polisario lui-même a indiqué dans le passé. Certains ont fait valoir qu’après 25 ans d’échec et d’efforts de l’ONU, il était temps de revenir à la lutte armée. D’autres ont suggéré que, n’ayant pas réussi à parvenir à un règlement, l’ONU devrait simplement abandonner et de se retirer. Pendant ce temps, à Nouakchott, j’ai rencontré certains critiques du Polisario qui avaient quitté l’organisation et étaient impatients de faire connaître leurs griefs par mon entremise. Septièmement, j’ai été consterné par la manière avec laquelle les parties ont utilisé ma visite pour marquer des points. Mes déclarations publiques ont été trop souvent raccourcies ou rallongées pour servir l’agenda de l’une ou l’autre des parties. A Rabat, la télévision marocaine a édité mes remarques en retirant ma citation du texte du Conseil appelant à « une solution politique, qui permette l’autodétermination du peuple du Sahara occidental». À Tifariti, où j’ai visité un site de l’équipe de la MINURSO sur le côté est du mur, un chef militaire du Polisario est apparu de manière inattendu et a cherché à me faire une garde d’honneur. Dans les camps de réfugiés, mes remarques à un groupe de femmes ont été révisées pour ajouter des éloges au rôle des femmes dans « la lutte pour libérer le Sahara Occidental » (fin de citation). Je n’ai pas fait une telle déclaration. Huit, alors que le RS du SG Weisbrod-Weber va bientôt vous faire part des opérations de la MINURSO, je dois applaudir au haut degré de professionnalisme et d’engagement que j’ai pu observer lors de ma visite au siège de la MINURSO, aux sites de l’équipe de Mahbes et Tifariti et pendant ma rencontre avec l’équipe du Service des Mines des Nations Unies. Autant la MINURSO que le SMNU ont besoin de plus de ressources si l’on veut qu’elles s’acquittent de leurs fonctions de façon plus complète. La MINURSO patrouille une surface plus grande que le Royaume-Uni, tandis que le SANU travaille dans ce qui a été récemment appelé l’une des régions du monde les plus infestées par les mines. Au-delà de cela, je tiens à souligner le respect tenu au RS du SG autant au sein de la MINURSO que parmi ses contacts marocains et sahraouis. Sa tâche n’est pas facile. En plus de superviser la MINURSO, il est le Représentant spécial du Secrétaire général pour le Sahara occidental. En tant que tel, il est censé fournir au Secrétaire général et ce Conseil des informations indépendantes sur les conditions de travail de la MINURSO au Sahara occidental. Ce territoire demeure un territoire non-autonome dont le bien-être de la population doit être l’objet, en vertu de l’article 73 de la Charte de l’ONU, de l’intérêt de l’ONU, tout en reconnaissant que le Maroc est de facto la puissance administrante à l’ouest de la berme (?) et que le Polisario joue un rôle similaire à l’est du mur de défense. C’est précisément en raison du rôle du RS du SG à cet égard que je l’ai invité à assister à toutes mes rencontres au Sahara occidental. Neuvièmement, sur le programme du HCR d’aide humanitaire, j’ai entendu des soucis sur une diminution significative les contributions gouvernementales et privées destinées à l’aide des réfugiés en raison de la crise économique actuelle, et l’on m’a rappelé que des contributions supplémentaires font cruellement défaut. Sur le recensement individuel des réfugiés, point relevé encore par Rabat; le Polisario et les autorités algériennes m’ont dit que le HCR est satisfait des estimations des réfugiés qu’ils ont données et que ceux qui plaident pour le recensement individuel sont motivés par des considérations politiques. Dans une réunion des donateurs à Alger, je n’ai trouvé aucun empressement à donner suite à la question. Dixièmement, sur les mesures de confiance, il ya eu des éloges universels pour le superbe travail du HCR dans l’augmentation des visites familiales et l’organisation de séminaires inter-sahraouis, dont le deuxième, sur le rôle des femmes dans la société sahraouie, a eu lieu aux Açores, en Juillet, avec l’aide généreuse du gouvernement du Portugal. Peu de temps après, une session sur les mesures de confiance s’est tenue à Genève au cours de laquelle les parties, les États voisins, et le HCR ont révisé leur mise en œuvre dans une atmosphère très cordiale. Le seul conseil que je donne si on me le demande, c’est de penser de manière créative sur les mesures de confiance en l’élargissement mes mesures de confiance, surtout plus de séminaires, de visites familiales dans des occasions spéciales, et des échanges de jeunes. Les Sahraouis de toutes tendances politiques, tant au Sahara occidental et dans les camps, m’ont dit à plusieurs reprises qu’ils désirent vivement plus de contacts à travers la berme, et des moyens doivent être trouvés pour encourager cela, parce qu’avec le temps il a le potentiel de changer les perceptions même en l’absence de mouvement dans le processus de négociation. Un obstacle est le manque de financement, et j’ai de nouveau prié instamment les anciens et potentiels donateurs passés à contribuer au HCR pour mieux faire mener ces activités possible. Onzièmement, sur les droits de l’homme, chaque partie a utilisé ma visite pour déposer des plaintes concernant les pratiques de l’autre. Il ya eu de nombreuses visites relatives aux droits de l’homme dans la dernière année, dont deux rapporteurs spéciaux qui ont visité le Sahara occidental, mais pas les camps de réfugiés, et au moins une organisation non gouvernementale. En outre, la branche de Laayoune du Conseil National marocain pour les Droits de l’homme m’a dit qu’il a reçu un grand nombre de plaintes et mené de nombreuses enquêtes, mais qu’il attend toujours des réponses des autorités administratives. Les Droits de l’homme ne font pas partie de mon mandat, mais mon conseil, lorsqu’il a été demandé, a été de dire que c’est à ce Conseil et au Haut-Commissaire aux droits de l’homme de décider si l’information préparée mérite une attention et, si c’est le cas, la meilleure façon de le faire, en gardant à l’esprit que toute approche de cette question doit faire doit regarder la situation des droits humains non seulement au Sahara occidental, mais aussi dans les camps de réfugiés. Finalement, permettez-moi de dire un mot au sujet de mon mandat informel pour promouvoir des relations plus normales entre l’Algérie et le Maroc. A Rabat, le roi Mohammed VI m’a autorisé à porter un message au président Bouteflika qui, ensuite, m’a autorisé à transmettre un message en réponse. Les deux messages ont confirmé la volonté des deux chefs d’Etat de poursuivre le processus d’amélioration des relations en développant les visites ministérielles bilatérales qui avaient été convenues. Chaque partie a identifié les questions prioritaires qui devraient être abordées à un premier stade, et je vais faire le suivi pour encourager l’engagement de chaque partie sur ces questions. En ce qui concerne l’Union du Maghreb arabe et l’appel de la Tunisie pour un premier sommet. Au début, j’ai exploré l’avancement de l’intégration régionale avec le Secrétaire général de l’UMA Ben Yahia et avec les trois Etats membres que j’ai visités. Tous ont convenu en principe que le sommet devrait avoir lieu, mais l’Algérie a souligné que, pour en assurer le succès, le sommet doit être bien préparé dans le cadre de la série de réunions sectorielles qui sont en cours mais pas encore completes. Pour l’Algérie, tenir un sommet sans préparation adéquate conduirait à un échec certain. Ce sont donc mes principales conclusions et impressions après mon retour de mon dernier voyage dans la région et ma première visite au Sahara occidental et je prévois une période de consultation avec les parties prenantes internationales clé, une diplomatie discrète avec les parties et les pays voisins, et de nouvelles visites dans la région, y compris le Sahara occidental, en prévision de la reprise des face-à-face des parties. Comme je l’ai dit à Madrid, le conflit sur le statut final du Sahara occidental dure depuis bien trop longtemps. Alors que certains peuvent croire que le statu quo est stable et qu’il est risqué de prendre des risques pour la paix, je crois que c’est une grave erreur de calcul maintenant que la région est menacée par des extrémistes, des terroristes et des criminels opérant dans le Sahel. Dans ces nouvelles circonstances, ce conflit pourrait, si on le laisse s’envenimer, susciter un regain de violence ou d’hostilité qui seraient dramatiques pour les peuples de la région. Le problème doit être résolu, et je demande aux membres du Conseil et de l’ensemble de la communauté internationale d’encourager les parties à entamer des négociations sérieuses pour y mettre fin.
(APS) jeudi 6 décembre 2012 Le parlement suédois adopte une décision demandant au gouvernement de reconnaître la RASD
BIR LAHLOU (territoires sahraouis libérés) - Le parlement suédois a adopté mercredi une décision demandant au gouvernement de son pays de reconnaître la République arabe sahraouie démocratique (RASD) tout en réaffirmant son soutien au droit du peuple sahraoui à l’autodétermination et en condamnant les entraves qui empêchent la décolonisation du Sahara occidental.
Le ministère sahraoui des affaires étrangères de la RASD a qualifié jeudi, dans un communiqué, cette décision d’"historique" de la part de l’institution de représentation du peuple suédois qui souligne "clairement", selon le communiqué, que la communauté internationale "ne supporte plus l’entêtement de l’occupant marocain, son rejet de la légalité internationale et son occupation de parties importantes de la République sahraouie, membre de l’Union africaine et reconnue par plus de 80 pays dans le monde".
"Par cette position historique, le parlement suédois exprime sa condamnation de la politique du fait accompli et la possession des territoires d’autrui par la force militaire et l’agression", a estimé le communiqué.
APS) vendredi 7 décembre 2012 Des associations françaises dénoncent l’implantation de Total au Sahara Occidental
PARIS- Plusieurs associations, syndicats et partis politiques français, solidaires de la cause sahraouie, ont dénoncé vendredi le contrat signé entre la compagnie française Total et le Maroc, portant sur la prospection du pétrole dans les territoires occupés du Sahara occidental.
Ils ont lancé un appel pour que Total "reconsidère immédiatement son implication sur ce territoire".
"La nouvelle carte publiée sur le site web de l’ONHYM, la compagnie pétrolière marocaine, montre un bloc massif, dénommé Anzane Offshore, couvrant la surface de plus de 100.000 km2", précisent ces associations et partis politiques, qui rappellent le statut de colonie du Sahara occidental, partiellement occupé militairement par le Maroc depuis 37 ans.
Ils rappellent aussi, dans un communiqué remis à l’APS, que lorsque Total avait signé une licence pour la même superficie en 2001, le Conseil de sécurité de l’Onu a demandé à son Bureau juridique de produire un avis sur la légalité de l’accord de l’entreprise avec le Maroc.
Le bureau juridique avait conclu à la "violation du droit international si l’exploration ou l’exploitation étaient menées au mépris des intérêts du peuple du territoire", note la même source, soulignant que "les Sahraouis, le peuple autochtone sur le territoire, n’ont toujours pas été consultés sur la question, ni leur représentant officiel, le Front Polisario".
Citant Western Sahara Resource Watch (WSRW), les associations relèvent que le contrat sur ce bloc massif de Total au large du Sahara Occidental a été signé le 6 décembre 2011 et qu’il s’agit "très probablement d’un accord de reconnaissance, similaire à celui détenu par la compagnie dans la même région pour la période 2001-2004 valable pour un délai de 12 mois".
"Cela signifie que l’accord expirera dans les tout prochains jours et que Total doit, en d’autres termes, choisir de laisser expirer l’accord sans renouvellement, comme cela a été fait en 2004, de prolonger le contrat ou de le faire évoluer en un contrat d’exploration à part entière", s’inquiètent ces associations.
Elles demandent ainsi à "toute personne ou institution en capacité d’agir, de mettre immédiatement ce sujet en question avec la direction de Total".
"Ils doivent demander à la fois une garantie qu’aucune activité d’exploration n’aura plus lieu au Sahara Occidental occupé et une explication sur la façon dont cela a pu se produire en premier lieu", poursuivent-elles.
Elles considèrent, en outre, que le retour de Total au Sahara Occidental occupé est une "triste nouvelle" pour le peuple sahraoui et qu’en faisant cela, Total "compromet directement les efforts de paix de l’Onu et sabote le droit international".
Enfin, elles déclarent faire le "nécessaire" pour "obtenir les condamnations que mérite cette complicité dans l’oppression et la souffrance du peuple sahraoui".
même si il dénonce sa servirai a rien sa a toujours était comme sa on verra ce que hollande dira mais il faut rien espéré les sahraoui doivent prendre les arme et ptrofité on ses temp de crise sinon sa sera comme la Palestine sa parle sa parle et 100 ans apré on sera encore la a parlez et le temps fera gagné le roi
Rebell banni
Messages : 7649 Date d'inscription : 21/09/2012
Sujet: Re: Sahara Occidental Lun 10 Déc - 21:40
Stop à la pêche européenne au Sahara Occidental occupé!
L'UE projette de conclure en 2013 un accord de pêche avec le Maroc contraire à toute éthique. L’UE a l'intention de pêcher dans les eaux au large du Sahara Occidental occupé, en violation du droit international. Protestez en signant cette pétition!
Mis à jour le: 10.12 - 2012 08:03Imprimez cette page
Pétition: Stop à la pêche de l'UE au Sahara Occidental !
Pour la commissaire européenne chargée de la pêche,
Aucun Etat au monde ne reconnaît l'annexion marocaine du Sahara Occidental. Elle est illégale. Cependant, l'UE envisage de payer des millions d'euros par an au gouvernement du Maroc à partir de 2013, pour permettre aux navires européens de pêcher dans les eaux au large du territoire du Sahara Occidental.
Le Maroc continue de refuser de coopérer dans le processus de décolonisation au Sahara Occidental, en dépit de plus de 100 résolutions de l'ONU qui insiste sur le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination. Dans le même temps, les autorités marocaines commettent des violations des droits humains des Sahraouis qui expriment leurs opinions politiques.
L'envoyé spécial de l'ONU pour le Sahara Occidental a placé spécifiquement la gestion des ressources naturelles sur la table des négociations pour trouver une solution pacifique au conflit. Dans ce contexte, la coopération avec le Maroc dans l'exploitation des ressources naturelles du Sahara Occidental sabote les efforts de paix de l'ONU.
Selon le droit international, des ressources naturelles du Sahara Occidental ne peut être exploitées que selon les souhaits et dans l’intérêt du peuple du territoire. Malgré cela l'EU envisage maintenant de transférer l'argent des contribuables européens au Gouvernement du Maroc pour l'accès aux eaux du Sahara Occidental, sans même consulter le peuple sahraoui. C’est sur ces préoccupations que le Parlement Européen a arrêté la pêche européenne au Sahara Occidental en 2011.
Nous prions instamment la Commission européenne de stopper immédiatement ses projets de renouvellement de l’accord de pêche européen avec le Maroc pour les eaux du Sahara Occidental. Nous demandons à l'UE de travailler dans le cadre de la paix internationale et de soutenir les efforts de l'ONU pour négocier une solution au conflit.
Le peuple sahraoui a le droit d'être entendu. Aucune nouvelle pêche de l'UE ne doit avoir lieu au Sahara Occidental tant qu'une solution pacifique au conflit n'a pas été trouvée.
EDIT RIMONIDZ : un peut plus de civilité dans les qualificatifs REBELL SVP ! (Gardons un esprit ouvert, tout en étant critique et vigilent)
JOURNAL MAROCAIN!!!!!
Citation :
L’armée algérienne encercle les camps du Polisario avec des murs de sables
Rédigé par Larbi Amine - Emarrakech le Lundi 10 Décembre 2012 à 09:53
Tindouf : Les sahraouis détenus dans les camps algériens, donnés au contrôle du Polisario, ne pourront plus se mouvoir qu’avec des laisser passer, livrés par l’armée algérienne.
PH Archive
Se serait le début d’une démarche de récupération du territoire cédé par le régime algérien au Polisario pour y proclamer sa république.
En effet, l’armée algérienne a procédé ces derniers jours à la construction de ceintures de sable, autour des camps et entre les camps, les séparant les uns des autres.
Il s'agit de surélévations de sol sablonneux, pour empêcher la circulation de véhicules.
Selon le forum de soutien aux autonomistes de TindoufFORSATIN, les détenus des camps, désirant circuler entre les camps, ou en dehors des camps vers les provinces sous contrôle algérien, doivent se munir de laisser passer livrés par l’ANP.
Le FORSATIN a rapporté également, que les forces du régime algérien procèdent depuis des jours à des incursions à l’intérieur des camps, pour des missions d’inspections et de contrôles sur les populations sahraouies, violant ainsi, la 'souveraineté' de la république du Polisario sur Tindouf et ses camps de détenus.
EDIT RIMONIDZ : un peut plus de civilité dans les qualificatifs REBELL SVP !
vraiment des incultes.. s'ils sont séquestrés et qu’ils sont pressés d'embrasser la main du roi, acceptez donc ce referendum c'est vous qui le bloquez.
Rebell banni
Messages : 7649 Date d'inscription : 21/09/2012
Sujet: Re: Sahara Occidental Sam 15 Déc - 22:44
Citation :
Les violations des droits de l’homme au Sahara occidental dénoncées
3EME CONFÉRENCE INTERNATIONALE D’ALGER SUR "LE DROIT DES PEUPLE A LA RESISTANCE : CAS DU PEUPLE SAHRAOUI
ALGER- Les violations répétées des droits de l’homme dans les territoires occupés du Sahara Occidental ont été unanimement dénoncées samedi à Alger, lors de la 3ème conférence internationale d’Alger sur le thème "Le droit des peuples à la résistance : le cas du peuple sahraoui".
Le président de l’association italienne internationale de solidarité avec le peuple sahraoui, M. Luciano Ardesi, a appelé à mettre fin aux "violations massives et répétées" des droits humains dans les territoires occupés du Sahara occidental par les forces marocaines.
Il a indiqué que son association ne ménageait aucun effort pour que le droit à l’autodétermination du peuple sahraoui soit reconnu, soulignant avoir appelé le ministère italien des Affaires étrangères pour qu’ils plaident dans les instances internationales en faveur de l’indépendance des Sahraouis.
M. Ardesi a affirmé que des missions d’observation dans les territoires occupés du Sahara Occidental avaient été organisées par son association, notamment, lors des procès de militants sahraouis.
Toutefois, plusieurs observateurs italiens n’avaient pu assister à ces procès car refoulés par l’administration marocaine, a-t-il déploré, dénonçant par la même le blocus médiatique érigé par le royaume chérifien sur ce qui se passe dans les territoires sahraouis occupés. "Nous avons alerté notre gouvernement et notre ambassade à Rabat (Maroc) sur ces pratiques, leur demandant de protéger les observateurs", a-t-il dit à ce propos.
Son compatriote M. Hugo Matzza de Bologna, membre de l’association "El Ouali" pour la résistance sahraouie, a déploré, quant à lui, le fait que des pays occidentaux, notamment européens, continuent à soutenir le Maroc, se mettant, ainsi, en contradiction avec le droit international et les résolutions pertinentes du Conseil de sécurité de l’Onu.
De son côté, M. David Onakayi Menge, militant des droits de l’homme en France, a condamné les "exactions" commises par les forces de sécurité marocaines contre le peuple sahraoui, dénonçant également la spoliation par le Maroc des richesses naturelles du Sahara Occidental avec la complicité de certains pays occidentaux et de multinationales.
Pour le militant des droits de lÆhomme, le suédois Jan Stromdahl, il faut exiger des Nations Unies l’application "en urgence" des recommandations du Conseil de sécurité qui appellent à l’organisation d’un référendum d’autodétermination transparent et loyal, sous la supervision de l’Onu.
Il a également appelé à proclamer le droit du peuple sahraoui à résister contre l’occupant marocain, "qui ne cesse de commettre des crimes contre un peuple qui n’aspire qu’à l’indépendance".
Les travaux de deux jours de la 3e conférence internationale d’Alger consacrée aux "Droits des peuples à la résistance : le cas du peuple sahraoui" a débuté samedi matin avec la participation de 300 personnes dont 120 étrangers et 40 militants des territoires occupés du Sahara Occidental.
Cette conférence internationale se propose d’être une tribune pour reconnaître au peuple sahraoui le droit de résister à l’occupation illégale de son territoire par le Maroc", a indiqué le Comité national algérien de solidarité avec le peuple sahraoui (CNASPS), initiateur de l’événement en coordination avec l’ambassade sahraouie en Algérie.
TOTAL a demandé le renouvellement de la licence au Sahara Occidental
Publié le décembre 16, 2012
La compagnie pétrolière française TOTAL a demandé un renouvellement d’un an de leur licence controversée au Sahara Occidental occupé. WSRW appelle les investisseurs à se désinvestir de la société.
Le site Business & Human Rights a publié le 14 décembre une déclaration reçue de TOTAL concernant ses opérations au Sahara Occidental. L’entreprise défend ses opérations et admet que «l’ONHYM et notre filiale locale ont fait une demande de prolongation d’un an pour traiter et interpréter les études sismiques en cours ».
Western Sahara Resource Watch a averti récemment que si TOTAL choisitde renouveler sa licence controversée, il demanderait aux propriétaires de la société de s’en désinvestir. «La décision de TOTAL de poursuivre ses activités, sabote clairement la résolution du conflit et ses opérations violent le droit international. Les propriétaires de la société qui ne veulent pas être associés à ce vol planifié des ressources naturelles du peuple sahraoui devrait procéder immédiatement à leur désinvestissement de l’ entreprise « , prévient Erik Hagen, président du Western Sahara Resource Watch.
La large zone du Sahara Occidental dans laquelle travaille TOTAL est occupée par le Maroc depuis 1975/1979. L’occupation du Maroc est condamné par l’ONU.
Voici la déclaration complète de TOTAL (Traduction non officielle WSRW.) :
1. Le 2 décembre 2011, TOTAL E & P Maroc et l’ONHYM (Office National des Hydrocarbures et des Mines) ont reçu une autorisation de reconnaissance couvrant la zone extracôtière Anzarane. Les «informations pertinentes sur zone extracôtière Anzarane » ont été publiées pendant le premier trimestre 2012 sur le site Web de l’ONHYM, ainsi que tous les accords pétroliers, les contrats de reconnaissance et de superficies ouvertes (voir http://www.onhym.com/HYDROCARBURES/PartenariatetCoop%C3%A9rationP%C3%A9trole/Listedespartenaires/tabid/153/Default.aspx)
2. Au cours de la première année de reconnaissance, notre filiale a réalisé diverses études géologiques et géophysiques et a complété un relevé marin au cours de l’été 2012. ONHYM et notre filiale locale ont fait une demande de prolongation d’un an pour traiter et interpréter les études sismiques en cours.
3. Notre filiale locale a mené des travaux d’évaluation dans la même région il y a 10 ans. L’émergence de nouvelles idées sur les potentiels en hydrocarbures de la région, et l’amélioration des technologies sismiques nous amènent à demander une nouvelle autorisation de reconnaissance sur la même zone.
4. Il est important de rappeler qu’une autorisation de reconnaissance n’est ni un contrat d’exploration, ni un contrat d’exploitation. Il permet des travaux d’évaluation et d’enquêtes de nature géologique et géophysique en vue d’évaluer la nature pétrolifère du sous-sol, et elle exclut des forages exploratoires. Ce type d’autorisation de reconnaissance est courant dans l’industrie du pétrole et du gaz, en particulier dans les pays ou régions où l’existence d’hydrocarbures n’a pas encore été démontrée.
5. Notre filiale a travaillé dans la zone offshore susmentionnée en conformité avec les dispositions de la lettre Conseiller juridique de l’ONU datée du 29 Janvier 2002, adressée au Président du Conseil de sécurité des Nations unies, qui stipule que de tels contrats de reconnaissance et d’évaluation « ne sont pas en eux-mêmes illégaux ». Si les résultats de la période de reconnaissance sont encourageants, toutes activités d’exploration et d’exploitation seront menées en conformité avec les « principes de droit international applicables aux activités touchant aux ressources minérales des territoires non autonomes » et non pas « au mépris des intérêts et de la volonté du peuple du Sahara occidental « (voir http://daccess-dds-ny.un.org/doc/UNDOC/GEN/N02/249/87/PDF/N0224987.pdf?OpenElement). Globalement, telle qu’il est exprimé dans notre Code de conduite, « TOTAL respecte toutes les lois, règlements et décisions des Nations Unies et de l’Union européenne » et respecte les règles de UN Business and Human Rights.
PITIE BOUTEFLIKA NE SIGNEZ RIEN AVEC CES COLONISATEURS DE FRANCAIS!!!!!!!
Rebell banni
Messages : 7649 Date d'inscription : 21/09/2012
Sujet: Re: Sahara Occidental Mer 19 Déc - 14:29
Citation :
Sahara Occidental - Ces artistes espagnols qui irritent le Maroc (VIDEO)
Rien ne va plus entre l’Espagne et le Maroc. L'objet du litige, une tribune du célèbre acteur espagnol Javier Bardem sur la question du Sahara Occidental publiée sur le site de CNN, chaîne américaine, le 13 décembre, rapporte le quotidien marocain Le Matin. Et pour cause, Javier Bardem dénonce les conditions de vie des Sahraouis et a vivement critiqué la communauté internationale qui «laisse faire» le Maroc, parce que ce dernier est un allié économique et stratégique pour l’Europe et les Etats-Unis, toujours selon la même source.
«Je suis allé au Sahara occidental pour la première fois en 2008 à l’occasion du Festival International du Film du Sahara, le seul du genre à avoir lieu dans un camp de réfugiés. J’y suis allé pour savoir un peu plus sur la situation dans cette région, qui a été largement exclue des agendas de la plupart des pays et ignorée par les médias en général. Comme c'est le cas pour tous ceux qui visitent cette région, je suis rentré chez moi choqué par les abus du Maroc à l’encontre des droits du peuple sahraoui. Je n’y ai passé que 10 jours. Depuis lors, j'ai essayé de m'impliquer dans cette question, et fait un film Sons of the Clouds: The Last Colony (sorti en février 2012, ndlr) pour essayer d'accorder un peu d'attention à cette situation en grande partie oubliée», écrit Javier Bardem dans sa tribune, rapporte le site marocain Yabiladi.
Ces déclarations ont provoqué un tollé dans le royaume chérifien. Invité par CNN à répondre à Javier Badem, le gouvernement marocain a réagi dans une lettre rendue public le 14 décembre. Son porte-parole, Mustapha El Khalfi, estime que la tribune de l’acteur espagnol est «une représentation irréelle et propagandiste sur la situation des droits de l'Homme dans les camps de Tindouf».
D’autant que, relève le porte-parole marocain, le rapport 2008 de Human Rights Watch publié sur la situation des droits de l’Homme au Sahara et dans les camps de réfugiés de Tindouf, démontrait avec preuves à l’appui que la violation des droits de l’Homme dans la région était imputable au Front Polisario, de l'abréviation espagnole Front populaire de libération de la Saguia el Hamra et du Rio de Oro, un mouvement politique et armé du Sahara occidental, créé en 1973 pour lutter contre l'occupation espagnole. Il est opposé depuis 1975 au Maroc pour le contrôle du Sahara occidental. Dans une tribune éditoriale de Au Fait Maroc intitluée «Sahara marocain: les artistes espagnols sur une fausse route», Abdelhaq Sedrati critique «l’engagement de Javier Bardem, qui fait suite à celui du réalisateur Almodovar»:
«Comme à son habitude, Javier Bardem refait parler de lui en venant défendre devant une commission de l’ONU, le droit à l’autodétermination du peuple sahraoui. Il ne pouvait pas faire autrement que s’accrocher à ce conflit qui résulte d’une longue colonisation conduite par l’Espagne, son pays».
Et le journaliste marocain de conclure:
«Non vraiment, MM. Bardem et Almodovar vous êtes certainement de grands artistes, mais vous devriez chercher une cause plus noble ou bien ouvrir un débat avec les démocrates marocains et ceux qui ont fui Tindouf pour mieux comprendre la région.»
Sahara Occidental: L'Assemblée générale de l'ONU adopte une résolution appuyant l'autodétermination du peuple sahraoui
le 19.12.12
L'Assemblée générale de l'ONU a adopté mercredi une résolution sur la question sahraouie dans laquelle elle appuie le processus de négociation, en vue de parvenir à une solution politique qui permette ''l'autodétermination du peuple du Sahara occidental", tout en louant les efforts déployés par l'envoyé personnel pour le Sahara occidental, Christopher Ross.
Dans le cadre de la situation des 16 territoires non autonomes encore inscrits sur la liste de décolonisation de l'ONU, l'Assemblée générale a entériné la résolution relative au Sahara occidental dont elle avait été saisie par la 4ème Commission chargée de la question de décolonisation sous le point de l'ordre du jour relatif à "l'application de la Déclaration sur l'octroi de l'indépendance aux pays et aux peuples coloniaux".
Selon les termes de la résolution relative à la question du Sahara occidental, adoptée sans vote par les délégations des Etats membres, l'Assemblée générale "appuie le processus de négociation, en vue de parvenir à une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable qui permette l'autodétermination du peuple du Sahara occidental et loue les efforts déployés, à cet égard, par le secrétaire général de l'ONU et son envoyé personnel Christopher Ross", note le texte.
lol ça me fait rire quand ils parlent de solution mutuellement acceptable. Quelle solution mutuellement acceptable l'indepandance? le Maroc n'acceptera jamais, il faut lui mettre la claque qu’il mérite pour qu’il arrête.
Rebell banni
Messages : 7649 Date d'inscription : 21/09/2012
Sujet: Re: Sahara Occidental Jeu 20 Déc - 13:30
Je suis la seul qui parle dans ce topic même si vous ne vous intéressez pas trop, j'aimerais svp que vous donnez votre avis après cette annonce qui clot définitivement que la France bloquera toujours le Sahara et qu'elle est avec le Maroc quoiqu’il arrive et j'ai même rajouté les 2 commentaires de cet article.
Citation :
19 décembre 2012
Sahara occidental : pour François Hollande, "cette question doit être traitée aux Nations Unies"
CHESNOT/SIPA
François Hollande a abordé la question du Sahara Occidental lors d'une conférence de presse donnée à l'occasion de sa visite en Algérie. Le chef de l'Etat a affirmé que ce dossier ne doit pas être traité dans le cadre de l'Union de la Méditerranée, mais qu'il incombait aux Nations Unies de mettre en place des négociations. Interrogé sur le rôle de l'Union de la Méditerrannée par une journaliste algérienne, qui soulignait la forte préoccupation de la société algérienne concernant les conflits israelo-palestinien et du Sahara Occidental, François Hollande a préféré minimiser le rôle du Processus de Barcelone. «Il faut d'autres cadres, d'autres moyens» estime le président français qui juge que «ce n'est pas une question qui doit être traitée dans le cadre de l'Union pour la Méditerranée. mais dans le cadres des Nations Unies par le biais de négociations directes». Pour autant, François Hollande a rappelé le rôle central de la Méditerranée dans les relations avec les pays du Maghreb. «Il ne faut pas que la Méditerranée soit la grande oubliée» a-t-il affirmé en précisant «A nous de faire de la Méditerranée une zone de paix, de sécurité (...), une zone de coopération et de croissance».
A nous de faire de la Méditerranée une zone de paix et de croissance, de lutter contre le trafic de drogue
Relancé par un autre journaliste algérien qui décrivait ce dossier comme «rangé les placards des relations franco-algériennes», François Hollande a écarté toute ambiguïté : «je ne suis pas là pour ouvrir les placards mais pour construire une nouvelle maison et favoriser l'avenir». En octobre dernier, le porte-parole du ministère des affaires étrangères rappelait la position officielle de la France concernant le Sahara Occidental : «Nous faisons confiance aux Nations Unies pour faciliter les progrès vers le règlement d’un conflit qui a trop duré et qui retarde les progrès de l’intégration régionale au Maghreb». Et le porte-parole du Quai d'Orsay de poursuivre : «Nous continuons de penser que le plan d’autonomie présenté par le Maroc en 2007, qui est aujourd’hui la seule proposition réaliste sur la table, constitue une base sérieuse et crédible d’une solution négociée». L'initiative marocaine prévoit, pour les populations sahraouies, la mise en place d'un Parlement et d'un gouvernement autonome.
Commentaire 1 Chakib Fredj association contre les cons qui detestent le maroc
20 décembre 2012, 10:58
voila une reponse claire pour ceux qui s'attendait a ce que francois hollande change de cap,hollande est parti en algerie pour faciliter l'export vers l'algerie ce pays qui ne sait rien produire que du petrole.
Commentaire 2
Hocine Toulait 20 décembre 2012, 11:46
@Chakib Fredj Et l'argent du pétrole fait fait "baver" tes semblables! Le pétrole est encore appelé "Or noir", et fait courir bien des multinationales. Par ce pétrole, l'Algérie négocie d'égal à égal ses projets économiques, sans les courbettes à l'UE, ni faire la manche. Pour preuve, la loi à l'investissement en Algérie basée sur 51/49%, et représente la partie majoritaire dans l'investissement. Et pendant ce temps là, continuez à baver, et faites de la gymnastique en tapant sur tout ce qui est Sahraoui de la RASD.
Toujours des paroles en l'air mais enfin boff je le poste quand même.
Citation :
Coup dur pour la diplomatie marocaine
vendredi, décembre 21, 2012
L'instance européenne demande notamment la libération de "tous les prisonniers politiques sahraouis".
C'est la première fois qu'une résolution des eurodéputés parle nommément de «prisonniers politiques sahraouis» au Maroc. Dans une résolution adoptée mi-décembre à Strasbourg concernant le Rapport annuel 2011 sur les droits de l'homme dans le monde, le Parlement européen (PE) «exprime son inquiétude quant à la détérioration des droits de l'homme au Sahara occidental» et appelle au respect de «la liberté d'association, la liberté d'expression et le droit de manifester». Le PE «réaffirme» également «son soutien» à la mise en place d'un mécanisme international de contrôle des droits de l'homme dans la région.
Préparé par l'eurodéputé et activiste des droits de l'homme lituanien Leonidas Donskis, le rapport initial ne faisait pourtant aucune mention du conflit au Sahara : c'est un amendement co-signé par 96 eurodéputés, formant un inter-groupe «Sahara occidental», qui a été introduit dans le circuit et finalement adopté en séance plénière. Coup dur pour la diplomatie marocaine.
Le Polisario, de son côté, s'est bien sûr félicité du vote final. "Un encouragement et un point d'appui contre l'occupation coloniale et pour l'autodétermination du peuple sahraoui", rapporte l'agence de presse sahraouie SPS. Au-delà de la qualité du lobbying opéré dans les couloirs de Strasbourg et Bruxelles, force est de constater que le régime marocain offre lui-même du grain à moudre à ses adversaires sur le plan des droits de l'homme. La répression systématique de manifestations pro-indépendance sur le territoire, l'atteinte à la liberté d'association ou encore la comparution devant un tribunal militaire du «groupe de Gdeim Izik», ces 24 civils sahraouis incarcérés à la prison de Salé et dont le procès estsans cesse reporté depuis près de deux ans, sont régulièrement dénoncés par les associations internationales des droits de l'homme.
(APS) jeudi 20 décembre 2012 Accord de pêche Maroc-UE : le Maroc viole le droit international (WSRW)
LONDRES - Le président de la Western Sahara Resource Watch (WSRW), M. Erik Hagen, a affirmé jeudi qu’en refusant de faire participer le peuple sahraoui aux négociations sur l’accord de pêche avec l’Union européenne (UE), le Maroc "viole le droit international et sape les efforts de paix déployés par l’ONU".
"Le Maroc n’est pas en position de négocier avec l’UE sur l’accord de pêche, dans un territoire qui n’est pas marocain", a souligné le président de cette association chargée de la protection des ressources naturelles au Sahara Occidental.
Par ailleurs, la WSRW a reçu une subvention de l’organisation suédoise de solidarité avec le peuple sahraoui, de l’ordre de 65.700 couronnes suédoises (environ 7500 Euros) pour soutenir le travail de la WSRW en 2013.
"L’aide financière sera utilisée par WSRW pour tenter d’arrêter l’accord commercial entre le Maroc et l’UE qui couvre le territoire occupé du Sahara Occidental", a déclaré cette association sur son site Web.
La compagnie pétrolière française TOTAL a demandé un renouvellement d’un an de leur licence controversée au Sahara Occidental occupé. WSRW appelle les investisseurs à se désinvestir de la société.
@Rebell, merci d'avoir posté l'info. TOTAL négocie depuis 2007 un mégacontrat avec la Sonatrach pour un complexe de vapocraquage de gaz à Arzew. TOTAL espérait conclure les négociations lors de la visite de Hollande en Algérie. Mais c'est loin d'être fini. Notre pays a le droit de faire jouer la "diplomatie économique" pour faire reculer ces rapaces.
faty Colonel
Messages : 3229 Date d'inscription : 08/04/2012
Sujet: Re: Sahara Occidental Sam 22 Déc - 18:36
Comme d'hab c'est pas une première
bravo aux Suédois pour leurs soutiens au peuple Sahraoui
faty Colonel
Messages : 3229 Date d'inscription : 08/04/2012
Sujet: Re: Sahara Occidental Sam 22 Déc - 18:42
boussouf a écrit:
Citation :
La compagnie pétrolière française TOTAL a demandé un renouvellement d’un an de leur licence controversée au Sahara Occidental occupé. WSRW appelle les investisseurs à se désinvestir de la société.
@Rebell, merci d'avoir posté l'info. TOTAL négocie depuis 2007 un mégacontrat avec la Sonatrach pour un complexe de vapocraquage de gaz à Arzew. TOTAL espérait conclure les négociations lors de la visite de Hollande en Algérie. Mais c'est loin d'être fini. Notre pays a le droit de faire jouer la "diplomatie économique" pour faire reculer ces rapaces.
Total est dans illégalité au meme titre qu un pays du nord de europe qui faisait des recherches offshore et qui depuis a arrété je ne sais plus lequel
Rebell banni
Messages : 7649 Date d'inscription : 21/09/2012
Sujet: Re: Sahara Occidental Sam 22 Déc - 18:55
Et évidement personne ne dira que la communauté internationale n'est qu'un mirage, elle ne fera pas respecter les règles de ceux qui les ont crée celui qui respecte est le mouton, nous devons trouver vite une grande alliance
vous avez deja vu des sanctions contre les américains?? jamais!!!! mais les américains sanctionnent qui ils veulent et ça prend toujours, le peuple sahraoui est condamné à rester comme ça et le temps jouera en faveur du Maroc toutes les résolutions seront bloquées, regardez la Palestine elle a beaucoup de mal à se faire entendre pourtant elle a un grand prestige mondial tout le monde est au courant de ce qui se passe mais les sahraouis sont seuls, il leur faut plus d'armes sophistiquées et il leur reste que la voie des armes, ils doivent detruire l’économie marocaine de n'importe quelle manière pour l’obliger à negocier c'est vraiment une erreur de rester comme ça.
Rebell banni
Messages : 7649 Date d'inscription : 21/09/2012
Sujet: Re: Sahara Occidental Dim 23 Déc - 0:50
22/12/12 14:10
Suède Le Parlement veut reconnaître le Sahara occidental, le gouvernement refuse
STOCKHOLM - Le gouvernement suédois a indiqué jeudi qu'il refusait de reconnaître l'indépendance du Sahara occidental, au lendemain d'un vote du Parlement lui demandant de le faire."Le gouvernement suédois rejette une reconnaissance du Sahara occidental", a déclaré à l'AFP un porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Anders Jorle.
Le Parlement avait adopté la veille une motion affirmant "que la Suède devrait reconnaître au plus vite la République arabe sahraouie démocratique comme Etat libre et indépendant" et qu'elle "devrait également travailler pour cela au sein de l'Union européenne".
Cette motion, proposée par les trois partis de l'opposition de gauche (Sociaux-démocrates,Verts et Parti de gauche), a pu être adoptée grâce au soutien du parti d'extrême droite, les Démocrates de Suède. Les quatre partis du gouvernement de centre-droit ont voté contre.
"Bien sûr, c'est une déclaration importante de la part du Parlement, donc le gouvernement doit la considérer" et "il y aura une réponse", a poursuivi M. Jorle.
Il a expliqué qu'elle détaillerait les raisons pour lesquelles la Suède, comme les autres pays européens, ne compte pas reconnaître l'indépendance de cette ancienne colonie espagnole contrôlée par le Maroc.
"La Suède a traditionnellement une position concernant la reconnaissance de nouveaux pays:
il doit y avoir indépendance, intégration et autonomie. Le territoire doit être contrô lé par le gouvernement, et la population doit être sous son contrôle aussi", a rappelé le porte-parole.
Le Parlement suédois est le premier dans l'Union européenne à demander à reconnaître le Sahara occidental.
"Sahara occidental: la dernière colonie en Afrique", thème d'un séminaire à Tokyo
sam, 22/12/2012 - 15:49 Tags:
Sahara Occidental
Tokyo, 22 déc 2012 (SPS) Un séminaire sous le thème "la dernière colonie en Afrique, le Sahara occidental" a été organisée jeudi à l'Université Meijigakuin à Tokyo, en présence des professeurs japonais, journalistes, universitaires, artistes, étudiants et sympathisants de la cause sahraouie, en plus de l'ambassadeur d'Algérie au Japon. Le séminaire organisé conjointement par l'Institut international de recherche de la paix, de l’Association des journalistes Sahara-Japon (SJJA) et du Bureau Sahara occidental au Japon (WSJPO)a connu la projection des documentaires "Territorio liberado" par Yago et "Sahara occidental" par Itsuko. Prenant la parole au cours du séminaire, l'ex-Premier ministre japonais M. Yukio Hatoyama, a indiqué que "personne ne pouvait accepter la dernière colonie en Afrique", déclarant "qu'il ferait de son mieux pour une solution pacifique pour le peuple du Sahara Occidental". De son côté, l'ambassadeur d'Algérie à Tokyo M. Sid Ali Ketrandji a réaffirmé le soutien inébranlable de son pays à la cause sahraouie, ainsi qu’aux efforts de l'envoyé personnel de l'ONU, Christopher Ross pour trouver une solution au conflit du Sahara Occidental. Le diplomate algérien a rappelé que le Sahara occidental est "partie de l'Union du Maghreb", ajoutant que "l’occupation illégale de cette partie par le Maroc est un facteur de déstabilisation et un véritable obstacle au progrès de l'Union du Maghreb". Il a donc demandé à la communauté internationale, particulièrement l'ONU, d’imposer une solution au conflit du Sahara occidental conformément aux principes du droit international. (SPS) 020/090/TRD 221545 DEC 012 SPS
Suède Le Parlement veut reconnaître le Sahara occidental, le gouvernement refuse
STOCKHOLM - Le gouvernement suédois a indiqué jeudi qu'il refusait de reconnaître l'indépendance du Sahara occidental, au lendemain d'un vote du Parlement lui demandant de le faire."Le gouvernement suédois rejette une reconnaissance du Sahara occidental", a déclaré à l'AFP un porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Anders Jorle.
Le Parlement avait adopté la veille une motion affirmant "que la Suède devrait reconnaître au plus vite la République arabe sahraouie démocratique comme Etat libre et indépendant" et qu'elle "devrait également travailler pour cela au sein de l'Union européenne".
Cette motion, proposée par les trois partis de l'opposition de gauche (Sociaux-démocrates,Verts et Parti de gauche), a pu être adoptée grâce au soutien du parti d'extrême droite, les Démocrates de Suède. Les quatre partis du gouvernement de centre-droit ont voté contre.
"Bien sûr, c'est une déclaration importante de la part du Parlement, donc le gouvernement doit la considérer" et "il y aura une réponse", a poursuivi M. Jorle.
Il a expliqué qu'elle détaillerait les raisons pour lesquelles la Suède, comme les autres pays européens, ne compte pas reconnaître l'indépendance de cette ancienne colonie espagnole contrôlée par le Maroc.
"La Suède a traditionnellement une position concernant la reconnaissance de nouveaux pays:
il doit y avoir indépendance, intégration et autonomie. Le territoire doit être contrô lé par le gouvernement, et la population doit être sous son contrôle aussi", a rappelé le porte-parole.
Le Parlement suédois est le premier dans l'Union européenne à demander à reconnaître le Sahara occidental.
tu déconnes ou quoi rebell tu veux un Anders Behring Breivik suédois un fals flag monter par des alliers du royaume desenchanter n oublie pas que les norvegiens dans les semaines precedentes voulaient se raprocher des palestiniens